IL EST VRAI QUE PARTANT DE LA, ON PEUT DEVINER SANS COMPLAISANCE NI FAUX SEMBLANTS LEURS PORTRAITS POLITIQUES PUBLICS.
N’EST-CE PAS QU’A TRAVERS LEUR EXPERIENCE, IL Y A TOUJOURS QUELQUES LECONS A MEDITER ? NE S’AVOUANT JAMAIS DEPASSES, MAIS SEULEMENT SOULAGES PAR LA RECONNAISSANCE DES NOUVEAUX ARRIVANTS.
Mais qui est-il SNOUSSI Ahmed, cet homme de culture dont on sait qu’elle a influencé son langage? Ne fait-il pas partie de ces gens la ?
Un chic homme, cultivé et fin diplomate dans son temps. Assurément à la page de ce temps présent, à l’aise aussi sur son passé dont il s’était acquitté sans dégâts, et aussi avec maestria dans toutes les fonctions officielles qu’il eût eu à occuper. Il fait partie de la vieille garde, mais ayant l’aura des hommes d’avant-garde intarissables. Aurait même été un ami proche de Feu Hassan II, et membre du gouvernement au moment de la tuerie de Skhirat.
Dont beaucoup de jeunes sont en sevrage sur pas mal de grand-chose, alors même que les vieux politiques doivent s’allonger sur le divan et en parler pour la compréhension des plaies de beaucoup d’âmes marocaines civiles où militaires. Surtout qu’après, c’était le début de l’ère du contrôle tout azimut, des mouvements estudiantins, ouvriers, comme aussi des colonnes militaires qui pouvaient indiquer qu’il y aurait peut être de la violence en l’air.
Sa façon de remémorer sa vie et lire celles des autres le transcende par peur d'oublier les détails. D'ailleurs lors de son passage chez Ntifi sur 2M, il fut captivant dans son récit des préparatifs et réception de la diva du monde arabe Oum Kaltoum au Maroc, dont beaucoup de personnes peuvent en témoigner, entre autres Madame Badiaa Rayane la star de la télévision de l’époque. Jamais encore on avait vu un politique se laisser emmener sans résistance, jusqu'à restituer comme par miracle une conscience télévisuelle de divertissement sous l'emprise de l'instantané et de l'humilité. Ce qui lui a conféré une reconnaissance même tardive des marocains à ce propos.
C'était si exaltant d'avoir pu l'arracher au long mutisme des politiques, même si, beaucoup de choses de l'histoire contemporaine restaient à éclaircir.
En l'occurrence sur les débuts de la gestion du dossier du Sahara, et le couac de l'UMA qu'aujourd'hui le temps printanier arabe semblerait lui donner un profile d'aisance de solution et réalisation, si on se réfère aux déclarations trop optimistes de tous les protagonistes au premier anniversaire de la révolution tunisienne. Il est évident qu’on peut continuer de rêver, ça ne serait pas réalisé de sitôt. Vu que la réconciliation des âmes des pays de l’UMA, est dépassée par les transcriptions des gènes de la pensée émotive, n’offrant pas de solutions claires et satisfaisantes à tout un chacun.
Lorsque l’on connaît son penchant vers l’érudisme, on comprend tout le sens de son éloignement du vide des perspectives sans joie de l’ignorance. Avec son style, s’attelant sans dérobade à répondre aux questionnements du temps présent, parfois évoquant en subliminaire l’aspect un peu pale de l’œuvre de la jeunesse marocaine, qu'il imagine s’engageant dans une recherche approximative de la réécriture de l’histoire. Tout simplement comme une ombre en pensant qu’elle est une génération spontanée, alors même que sa maturité politique dégagée dès l'avènement du printemps arabe est révélatrice du contraire. Bien sûr, que tout le monde se trompe en estimant qu’elle s’écarte de la confession des mémoires de nombreux marocains, ayant milité et payé le prix fort pour la liberté et la démocratie tout au long des années de plomb.
Cependant, lui, de par son périple diplomatique surtout onusien, il est toujours aux aguets sachant que des brebis galeuses du diable se cachent parmi le mouvement du 20 Février, et n’aimerait pas que la marche vers la construction de l’avenir sûr du Maroc, en soit ébranlée.
Au lendemain de l’approbation par les marocains de la nouvelle constitution, certainement qu’il eut été un citoyen encore plus vaillant, tout à fait heureux en vrai dans ses souvenirs, pouvant enfin découvrir les merveilles de la grande enjambée tant attendue vers plus de démocratie. Malgré que certains nostalgiques du tout où rien en maquillant leurs visages, s’infiltrant dans le mouvement du 20 Février, disent que ça n’a pas encore atteint la tension qu’ils souhaitent. De fait, on le perçoit agacé de ce ton fanatique utilisé, mais, il sait que la politique en démocratie est permissive à cela. D’ailleurs à ce propos, plus on creuse dans la structure des arguments de cette réflexion plus on devient timoré sur l’insoutenable légèreté de ces milieux et sur leur semblant triomphe de leur méthode paranoïa critique qu'ils ne cessent de développer. Pour cela ne faut-il pas vaincre l'hésitation et le dilemme des barrières des petites convenances que tous les protagonistes ont entre eux, y compris celles émanant de certains services producteurs que de tergiversations à tout vent, par méconnaissance où incompétence?
Juste une dernière chose, qui peut paraître au commun des lecteurs inopportune, mais du point de vue historicité des lieux ça son importance. A cet effet à part les mesures de sécurité d’usage à l'appui de certains faits malencontreux aux portes des hôtels, on ne sait pas ce qu’il pense de l’humiliation de l’ex ministre du tourisme Znagui exhalant sa fureur les nerfs tendus, parce qu’il ne pouvait entrer au complexe Qabila à Cabo Négro, malgré qu’il ait décliné son identité. Peut-il accepter en tant que marocain, ayant soutenu dans sa vie onusienne des résolutions antiségrégationnistes, qu’un jour il serait empêché de rentrer dans un restaurant, fut-il de high classe? Le cinéaste Souhail Benberka à une époque pas lointaine, n’en avait-il pas fait les frais dans un avion à destination de Johannesburg ? Sauf que c’était arrivé à l’étranger. Quant au ministre devenu conseiller auprès de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, depuis qu’il avait subi ces méfaits des nouvelles frontières de ces lieux pourtant publics, certainement, il n’aurait d’yeux que de tout revoir à propos de ces comportements intolérables, et qui sont absolument bannis par la force de la constitution. D’ailleurs le législateur n’est pas dupe, ce système des castes n’a jamais eu et n’aura aucunement sa place au Maroc.
N’EST-CE PAS QU’A TRAVERS LEUR EXPERIENCE, IL Y A TOUJOURS QUELQUES LECONS A MEDITER ? NE S’AVOUANT JAMAIS DEPASSES, MAIS SEULEMENT SOULAGES PAR LA RECONNAISSANCE DES NOUVEAUX ARRIVANTS.
Mais qui est-il SNOUSSI Ahmed, cet homme de culture dont on sait qu’elle a influencé son langage? Ne fait-il pas partie de ces gens la ?
Un chic homme, cultivé et fin diplomate dans son temps. Assurément à la page de ce temps présent, à l’aise aussi sur son passé dont il s’était acquitté sans dégâts, et aussi avec maestria dans toutes les fonctions officielles qu’il eût eu à occuper. Il fait partie de la vieille garde, mais ayant l’aura des hommes d’avant-garde intarissables. Aurait même été un ami proche de Feu Hassan II, et membre du gouvernement au moment de la tuerie de Skhirat.
Dont beaucoup de jeunes sont en sevrage sur pas mal de grand-chose, alors même que les vieux politiques doivent s’allonger sur le divan et en parler pour la compréhension des plaies de beaucoup d’âmes marocaines civiles où militaires. Surtout qu’après, c’était le début de l’ère du contrôle tout azimut, des mouvements estudiantins, ouvriers, comme aussi des colonnes militaires qui pouvaient indiquer qu’il y aurait peut être de la violence en l’air.
C'était si exaltant d'avoir pu l'arracher au long mutisme des politiques, même si, beaucoup de choses de l'histoire contemporaine restaient à éclaircir.
En l'occurrence sur les débuts de la gestion du dossier du Sahara, et le couac de l'UMA qu'aujourd'hui le temps printanier arabe semblerait lui donner un profile d'aisance de solution et réalisation, si on se réfère aux déclarations trop optimistes de tous les protagonistes au premier anniversaire de la révolution tunisienne. Il est évident qu’on peut continuer de rêver, ça ne serait pas réalisé de sitôt. Vu que la réconciliation des âmes des pays de l’UMA, est dépassée par les transcriptions des gènes de la pensée émotive, n’offrant pas de solutions claires et satisfaisantes à tout un chacun.
Lorsque l’on connaît son penchant vers l’érudisme, on comprend tout le sens de son éloignement du vide des perspectives sans joie de l’ignorance. Avec son style, s’attelant sans dérobade à répondre aux questionnements du temps présent, parfois évoquant en subliminaire l’aspect un peu pale de l’œuvre de la jeunesse marocaine, qu'il imagine s’engageant dans une recherche approximative de la réécriture de l’histoire. Tout simplement comme une ombre en pensant qu’elle est une génération spontanée, alors même que sa maturité politique dégagée dès l'avènement du printemps arabe est révélatrice du contraire. Bien sûr, que tout le monde se trompe en estimant qu’elle s’écarte de la confession des mémoires de nombreux marocains, ayant milité et payé le prix fort pour la liberté et la démocratie tout au long des années de plomb.
Cependant, lui, de par son périple diplomatique surtout onusien, il est toujours aux aguets sachant que des brebis galeuses du diable se cachent parmi le mouvement du 20 Février, et n’aimerait pas que la marche vers la construction de l’avenir sûr du Maroc, en soit ébranlée.
Juste une dernière chose, qui peut paraître au commun des lecteurs inopportune, mais du point de vue historicité des lieux ça son importance. A cet effet à part les mesures de sécurité d’usage à l'appui de certains faits malencontreux aux portes des hôtels, on ne sait pas ce qu’il pense de l’humiliation de l’ex ministre du tourisme Znagui exhalant sa fureur les nerfs tendus, parce qu’il ne pouvait entrer au complexe Qabila à Cabo Négro, malgré qu’il ait décliné son identité. Peut-il accepter en tant que marocain, ayant soutenu dans sa vie onusienne des résolutions antiségrégationnistes, qu’un jour il serait empêché de rentrer dans un restaurant, fut-il de high classe? Le cinéaste Souhail Benberka à une époque pas lointaine, n’en avait-il pas fait les frais dans un avion à destination de Johannesburg ? Sauf que c’était arrivé à l’étranger. Quant au ministre devenu conseiller auprès de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, depuis qu’il avait subi ces méfaits des nouvelles frontières de ces lieux pourtant publics, certainement, il n’aurait d’yeux que de tout revoir à propos de ces comportements intolérables, et qui sont absolument bannis par la force de la constitution. D’ailleurs le législateur n’est pas dupe, ce système des castes n’a jamais eu et n’aura aucunement sa place au Maroc.
Monsieur Snoussi, devra répondre des défaillances des services qu'ils dirigeait pendant 18 ans à l'Onu à coup de milliards sans résultats. Durant ses deux mandats au sein de cette organisation, Soixante-douze pays membres avaient reconnu la soi-disant République Sahraoui. Que faisait-il au juste là-bas ?
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