mardi 19 juin 2018

C'EST BIZARRE LES MONARCHIES DU GOLF NE SONT PAS FÂCHÉES D’ÊTRE PERDUES AUX YEUX DES MAROCAINS !

DE PAR LEUR TRAITRISE, UN JOUR CES MONARCHIES DU GOLF ET LEURS ACOLYTES INCONDITIONNELS SE TROUVERONT ESSOUFFLÉS DEVANT LE GRAND MAGHREB. 

       A peine remis de la traitrise des monarchies du Golf et quelques pays africains sur sa candidature d'organisation du mondial du foot 2026, voilà le Maroc qui se prépare pour le Sommet de l'UA à Nouakchott. En cela, si tout va bien le Roi Mohamed VI s'y rendra en personne pour réchauffer les relations marocaines-mauritaniennes et les remettre au rythme du temps présent de dégel. Comme quoi, encore une fois, ce sera sans concession du coté Maroc pour ne laisser l'UA rentrer dans l'exploration sans issue du différend Maroc-Algérie, et d'où les pays résiduels pro Polisario pourraient s'immobiliser en travers en chantant les refrains du temps du Sommet de la honte 1984 à Nairobi. D'ailleurs, on se demande si le Secrétaire Général de l'UA s'est questionné sur l'ensemble des dispositifs pour créer une nouvelle dynamique de normalisation avec le Maroc qui, lui, depuis son retour triomphal il eut raison sur le fond et la forme de ses interventions. Ainsi, la certitude que les présidents Paul Kagamé et Mohamed Ould Abdelaziz ne s'aventureraient nullement pour faire de ce Sommet la station des élucubrations diplomatiques pour prendre la main sur le dossier du Sahara marocain. En effet, n'est-ce pour cela le Maroc suscite beaucoup d’intérêts via sa stratégie de communication à ce propos selon, primo sa volonté de regarder l'avenir comme trajectoire du grand changement et secundo son agenda médiatique maitrisé à tous les niveaux pour prendre des décisions avec des capacités d'exécution notables avec tous ses partenaires ? 

       Partant, non seulement sur une intuition mais aussi sur la contenance du message de traitrise des pays du Golf, n'est-ce pas que le temps est propice au Maroc pour se ressaisir dignement ? Afin, de gagner le pari de mise en effectivité de son nouveau modèle du codéveloppement partenarial économique social humain avec les pays africains, tout en respectant les clauses écologiques et environnementales qui s'y greffent. Néanmoins, si les pays du CCG continuent à se détourner de la réalité et s'ils ne font pas l'effort de voir que leur image est émiettée dans le présent pour lui présenter des excuses, certainement ils se verraient de façon évidente hors arène politique arabe, peut-être même africaine. Autrement dit, dans un nouveau décor où ils se sentiraient perdus en voyant le temps défaire leurs ambitions géopolitiques actuelles. Jusqu'à s'enliser en étant entièrement occupés à la tache de survivre au ''Trumpisme'' violent et méchant, même s'ils montrent qu'ils ne sont pas fâchés d’être perdus aux yeux des populations arabes. A cet égard, sur toute cette perspective cartographique géostratégique, si on ajoute en surimpression l'image de discorde avec le Qatar et le Sultanat d'Oman sur l'organisation du mondial 2026 par la Maroc, on les verrait en plus de l'Iraq la Jordanie et le Liban aussi battus par le flux du vacarme des partages et commentaires sur le Net et réseaux sociaux à propos de leur désolante traitrise. Évidemment, n'en faut-il en comprendre qu'il s'agisse là, d'une interminable série de coups bas contre leur allié le plus en vue en l'occurrence le Maroc ? Et, d'où il est facile d'en voir une ligne de sous-traitance politique, pour ne le laisser prendre le large en tant que pays fier indépendant souverain et résolu dans ses prises de positions claires ? 

       De fait, maintenant, l'on peut dire, on est déjà rentré dans le nouveau monde inconnu, celui dont il n'est plus le premier pays familier de ces monarchies du Golf, notamment en géopolitique et géostratégie manifestées lors du discours royal de Riyad 2016. D'autant plus, il faut l'annoncer sans ambages, ne l'était-il las des mécanismes sur la vérité qui se repose sur les objectifs de stabilité du CCG au point d'avoir manifesté son désir à maintes reprises de se retirer de la coalition contre le Yemen ? Tellement il fut irrité bien avant leurs turpitudes et tromperies Trump-dépendantes sur les retards d'octrois de leurs crédits et dons, qu'aujourd'hui l'occasion est belle pour lui de ne plus rêver à une nouvelle vie avec ces pays maitres dans les pirouettes-traitrises. C'est vrai, l'Arabie Saoudite les Émirats Arabes Unis le Koweït et Bahreïn bien hardis et maladroits à la fois dans leurs dictées à leurs inconditionnels de les suivre à l'aveugle, ne trouveront rien à dire sur leur traitrise par la non convergence d'idéaux. D'autant plus, n'est-ce là la leçon qu'il faut méditer pour le Maroc l'Algérie la Tunisie la Mauritanie la Libye et l’Égypte pour aller de l'avant ? Dans le but de ne plus supporter à se répondre à eux-mêmes, quel sens ont eu leurs soutiens pléthoriques aux diverses ingérences ici et là du CCG sur commande de l'occident qu'en plus les voit en déclin même avec la manne pétrole-gazière ? Désormais, quel changement dans l'attitude des peuples du Maghreb, ne manquera pas de faire remarquer que leurs vies de voyages dans les capitales les palaces et les paquebots ne seraient plus acceptées ni tolérées. Ce qu'évidemment, qu'on ne le veuille ou pas, fera des pays du grand Maghreb une entité solide pour franchir les obstacles politiques et sortir de leurs dédales obscurs. Et, pourquoi pas oser de grandes choses transversales en évitant les fâcheries les incompréhensions, en plus des errements et interférences dans les cuisines internes des uns et des autres. A bon entendeur, salut !

dimanche 10 juin 2018

APPROCHE-T-ON VERS LA FIN DU BROUILLAGE DES RAPPORTS GOUVERNANTS GOUVERNÉS SUR LE BOYCOTT ?

N'EST-CE LA OU L'ON VOIT QUE LE BOYCOTT MÊME S'IL EST LÉGITIME, EST DÉRANGEANT ET CHOQUANT DU FAIT QU'IL N'Y A PAS DE GARANTIES CONCRÈTES NI TANGIBLES SUR LES DÉRAPAGES  ? 

       Quand on scrute le tintamarre médiatique à propos du boycott certes légitime, on ne peut pas dire qu'on ne sait pas ce qu'il en deviendra du gouvernement Othmani, surtout si rien n'est fait pour le contenir. D'autant qu'il y eut la grande déception de perte de temps, sans imaginer la moindre solution juste et équitable, non seulement pour faire face à la remontée de tous ses impacts négatifs, mais aussi pour faire barrage aux idées souvent saugrenues voire pernicieuses lancées ici et là. Ce qu'en effet a permis aux manipulateurs tireurs de ficelles, de surcroit marchants de tensions et d'illusions, de paraitre une communauté soi-disant distinguée. Confirmant que le gouvernement s'est laissé glisser sur une mauvaise pente et qu'il survit uniquement rien que pour lui. En plus, n'allant pas sur les thèmes du boycott pour ne donner raison aux manipulateurs sur les sociétés boycottées qui sont, hélas, déjà rentrées en souffrance à cause des intrigues et non-dits. En effet, ne peut-on avancer que c'est là une invasion réelle des consciences, de surcroit due au déficit communicationnel du gouvernement qui incarne l’échec de sa stratégie ? A ce propos, n'est-il grand temps de ne lui laisser cette seule possibilité de s'exprimer par des choix politiques à l’échalote, rendant mal à l'aise les marocains qui, eux, veulent de nouveau pousser à réparer la gouvernance de l'Exécutif. 

       A l'évidence, personne ne peut nier que les manipulateurs sont entrain d'allumer le feu et l'attiser, dans un but de faire basculer le pays vers l'inconnu. C'est même là, la grande perfidie sous-entendue du boycott actuel, au vu du ton et du timbre des expressions dangereuses s'y étant greffées pour détruire l'économie du pays. Et, qui sont partagées entre la menace sur la stabilité des institutions en poussant les marocains à se haïr les uns les autres et la chronique de vocation contrariée de l’État pour ne continuer à assoir son autorité. En effet, tôt ou tard il va falloir sortir le Maroc de cet anachronisme politique, parce que sinon, cela voudrait dire qu'on ne cherche pas à s'en débarrasser malgré les rumeurs qui vont bon train dans le sens d'une nouvelle réorganisation institutionnelle. En revanche, pourquoi certains membres du gouvernement actuel sont-ils des gens à histoires, faisant dans l'expression intolérable avec des amalgames scandaleux ? Dont, aussi leurs approches à circonscrire le boycott sont des positionnements politiciens peu nets, ne sachant qu'aujourd'hui, l’État-Maroc n'échange plus ses secrets géopolitiques les plus ardus avec personne. Autrement dit, n'est-il loin le temps où il les partageait, du moins en apparence, via ses ambitions et ses espérances d’arrêter les ingérences de l'Algérie et ses lobbys dans l'affaire du Sahara marocain ? Aussi, pour que l’État puisse continuer à préparer l'avenir avec tant de confiance de sérénité et de sécurité, ne lui faut-il qu'il ne soit obligé d'accepter les dérapages d'après le printemps arabe, dont il s'avère maintenant qu'ils étaient parrainés par le DEA (Département d’État Américain) ? Évidemment, c'est là où le bât blesse, car ils sont le résultat d'une naïveté qu'aujourd'hui risque de devenir une habitude avec toute une panoplie de leviers de commandes entre les mains d'un Exécutif faible. 

       Voilà pourquoi, l'on peut affirmer, les marocains face au boycott, que l'on soit d'accord ou pas, se sentent abandonnés, sachant que le chef du gouvernement n'a pas respecté la pensée du discours royal de Dakar. D'ailleurs, ce qui se passe aujourd'hui au gouvernement marocain, notamment à propos du boycott sans aucune garantie sur les dérapages est ambigu. Et ce, au-delà de tout ce qui annoncera peut-être la fin de la coalition RNI-PJD faite sous la contrainte de sortie du blocage d'il y a dix huit mois. Néanmoins, sans nulle intention de dénigrer le bon vouloir de l’État-Maroc d'avoir essayé de pousser le gouvernement Othmani à sortir de la crise actuelle sur le boycott, on ne peut pas dire que ce dernier aime qu'on lui résiste. N'est-ce de là, qu'on comprend que certains de ses membres aiment qu'on fasse carpette devant eux, ne sachant que c'est obsolète comme attitude. Forcément, à ce propos, ne s'agit-il d'une alarme pour tous les dirigeants des partis, surtout ceux qui veulent exercer le pouvoir sans éviter le cloisonnement politique et les incarnations budgétaires sociales politiciennes intarissables qui sont un frein pour l'innovation dans la gouvernance surtout dans la recherche de solutions pour l'emploi ? D'autant plus, il est évident que pour les uns, ils ne veulent en aucune manière s'en éloigner du benkiranisme pas cher, usant de diffusion de perfidies en s'inspirant des fantassins du Net à l'image de ce que font les robots et les algorithmes à l'international pour impacter les consciences. Alors que pour les autres, ne comprenant pas qu'on est déjà dans un autre monde, ils ne sont toujours pas prêts à adhérer à la dimension solidaire exigeante et nécessaire pour réaliser quelque chose de significatif en termes de production et partage équitables des richesses. Ceci dit, peut-on dire qu'on s'approche de la fin des brouillages des messages entre les marocains et le gouvernement en ce qui concerne le boycott au demeurant légitime ? A bon entendeur, salut !

vendredi 1 juin 2018

N'EST-IL TEMPS DE METTRE FIN AUX COÏNCIDENCES DU ''GAUCHOISME'' ET ''ISLAMOISME'' VIS-A-VIS DU BOYCOTT ?

SI LE BOYCOTT PERDURE VOIRE S'INTENSIFIE, CERTAINEMENT ON AURA A RESSENTIR LE TEMPS POLITIQUE SANCTIONNER LES INCOMPÉTENCES DES UNS ET LES FOURBERIES DES AUTRES, POUR SORTIR LE PAYS DU DOUBLE PARRAINAGE DE ''L'ISLAMOISME'' PERFIDE ET DU ''GAUCHOISME'' BÊBÊTE.

       Quelle que soit la lecture politique que l'on peut faire du boycott, personne ne peut nier l'inquiétude qui s'enfle sur la géostratégie de défense des intérêts du Maroc dans la mondialisation. En effet, qu'on se le dise, son offensive économique suivie à ce jour, est une guerre commerciale remportée via les partenariats gagnants-gagnants qu'il contracte ici et là pour avoir une place dans ce concert du libéralisme ? Aussi, on doit le mentionner sans gêne, si le boycott est une décision justifiée et justifiable mais dangereuse, son choc aura permis de se focaliser sur les scénarios politiques pour éviter l'enlisement. Et donc, pour se faire à l'idée de ce mode d'expression, pas de naïveté sur l'approche oscillatoire du gouvernement et pas de naïveté sur le pari lancé des tireurs des ficelles toujours fourrés derrière le clavier en essayant de lier sournoisement les idées fatales à l'économie du pays. N'est-ce pas c'est effroyable de les voir s'agiter de la sorte, en plus participant à l'élaboration de ce stratagème de mise à feu du pays ? Du reste, que l'on soit d'accord ou pas, c'est la première fois qu'ils affichent une réelle implantation dans les réseaux sociaux, démontant en même temps l'autisme du gouvernement et la grande confiance en lui. Et d'où, les observateurs avertis trouvent le bilan gouvernemental pour contenir ce machiavélisme, maigre et décevant. Sans doute à cause de l'esprit hautain de quelques membres que tôt ou tard il va falloir les faire débarquer. Encore heureux, grâce à Dieu, rien de fondamental ne les distingue dans la coalition mais seulement les chavire dans le mépris du peuple, bien loin de la bonne foi.

       En effet, quand on scrute les commentaires, vidéos et autres audios sur le boycott, on a la certitude que la diablerie qui s'y greffe pousse à nous haïr les uns les autres ? Surtout, ceux venant des vendeurs de leurs âmes à l’Étranger, tantôt par les partages des mensonges et contrevérités pour se venger et détruire l'économie du pays, tantot par l'esquive de la réalité et la place du Maroc à l'international pour des fins faciles à deviner. D'ailleurs, on ne soupçonne pas la somme d'avanies qu'ils pensent avoir en réserve, pour continuer à attaquer vilipender voire humilier ceux qui leur tiennent tête. Évidemment, à cet égard, non seulement le plus important c'est la consolidation de l’intégrité territoriale la cohésion sociale et le progrès par la démocratie dans la paix et la sécurité, mais d'en tirer un bilan en faveur de la gouvernance qui pourra s'accompagner de l'idéal social solidaire. Autrement dit, même si le boycott est légitime, il ne faut pas céder à l'ingérence des ennemis, des lobbys et autres manipulateurs professionnels qui montrent une ambition de déstabilisation par le marché de la non convenance. Et c'est là où il faut savoir qu'il y a quelque chose d'immoral dans le boycott, quelque chose qui exclut ou qui freine, ne prenant compte des efforts consentis pour la modernité de l'économie du pays. Dont, des lobbys anti Maroc s’émissent car ils se considèrent avec prétention-indiscrétion et manque de tact politico-diplomatique, des entités supérieures par interjection. Ne sachant, en vérité, qu'ils ne sont que des templiers de la discorde se résignant à la médiocrité du pouvoir Boutaflika pour se prouver qu'ils sont encore très actifs au sein de l'UA de l'UE et de l'ONU. Oui, l'on peut confirmer qu'ils sont plus proches des grandes malhonnêtetés qui jalonnent toute l'histoire des gens de ce pouvoir, comme des forçats fourbus attachés aux norias idéologiques d'un temps révolu. 

       C'est vrai, la seule solution pour sortir de ce marasme c'est de répondre d'urgence aux attentes du peuple qui, lui, se met déjà à répéter que le boycott est un évènement digne des grands mouvements que le Maroc ait connu. N'est-ce, ce qui montre que les marocains ont changé et qu'il ne sont plus ceux d'il y a six ans au moment du printemps arabe ? Tellement, aujourd'hui, la majorité voit le cœur battant le boycott se jouer entre frustration et mal-compensation, par le double parrainage de ''l'islamoisme'' perfide et le ''gauchoisme'' bêbête. Par rapport à la pensée de la gloire perenne du Maroc, que les ennemis, hélas, n'acceptent toujours pas de par le style le ton de leurs critiques en majorité négatives. N'est-ce, ce qui prouve que l'Algérie ne se contente plus seulement de représenter le conglomérat résiduel des quelques pays ennemis du Maroc à l'UA, mais pousse vers la transformation des institutions au Maroc en dépôts de malentendus si ce n'est carrémment d'insultes. En effet, par son ingérence ne cherche-t-elle à lui porter le coup de grâce, dont l'intention ne vaut pas que l'atteinte à son intégrité territoriale mais aussi l'acte de déstabilisation des pays limitrophes de toute la région ? N'est-ce là, l'une des bizarreries du pouvoir Boutaflika qui, tente d'impacter les d’États maghrébins et du G5 Sahel pour en faire des contes  d'assoiffés de culture anti Algérie ? Bref, d'une manière générale, tout ce que la communauté internationale déteste et n'accepte plus entendre ni voir, surtout sur le Maroc disposant de beaucoup d'atouts dans l’échelle des cotations à l'ONU. Mais pourquoi l'Algérie ne sait-elle que son affolement n'arrivera jamais à donner à ses perfidies l'ondulation voire l’écho, et que si elle ne s’arrête pas ça va finir mal pour elle. Parce que les Nations-Unies, elles, sont convaincues des règles et standards qu'appliquent le Maroc dans sa perspective en tant qu’État respecté. En plus, donnant à sa conception irréprochable de bon voisinage, une portée politique qui va au-delà de la dimension régionale africaine. A bon entendeur, salut !