vendredi 25 octobre 2013

AU SAHARA MAROCAIN, A BAS LES SUBVENTIONS D’OPÉRATIONS DE SURENCHÈRE ET FILOUTERIES POLITICIENNES CONNEXES A L’INTERNATIONAL ALGÉRO-POLISARIENNE-DEPENDANTES.

    Mais pourquoi l’Algérie reste-t-elle encore dans l’illusion, visant l’instauration de la surenchère durable et cumulative au Sahara marocain ? Pourquoi ne sait-elle pas que l’écrasante majorité des sahraouis, ne cautionne pas ses méthodes répugnantes usant de ses subventions pour agitation et menace ? Pourquoi ne se remet-elle en question, n’a-t-elle de tout temps rencontré ainsi, aussi bien l’opposition de tout le peuple marocain face à ses turpitudes et manigances, que celle de l’Etat marocain serein et responsable regimbant avec maîtrise les effets pervers se raccordant chaque fois fortuitement à l’évolution de la situation ? Pourquoi s’essaye-t-elle à ce dumping forcé politicien qui consiste à inonder à son gré les masses médias par le mensonge le dénigrement et la rancune, seulement pour des motifs de rancœur et essai de revanche sur l’histoire de la guerre des sables ? Pourquoi continue-t-elle de toujours perdre sur chacune de ses tentatives à l'encontre du Maroc, croyant illusoirement pouvoir gagner sur le tout au final dans l'affaire du Sahara marocain? Pourquoi ne consent-elle pas qu’elle soit en contradiction avec son propre statut étatique presque sub-bananier militariste-affairiste loin de tout fonctionnement démocratique laissant le peuple algérien au carreau? Pourquoi vouloir incroyablement faire la concurrence au Maroc, ce pays séculaire n’ayant souffert d’aucune domination étrangère des siècles durant, allant constamment de l’avant maîtrisant et révolutionnant ses approches constitutionnelles et institutionnelles sans se soucier de quiconque ? Pourquoi n’émet-elle exagérément que des mesures illusoires pour essayer de montrer quelle est stable, alors qu’elle ne s’adapte même aux circonstances de fabrique de tourmente dans la région aux conséquences immédiates désastreuses en Egypte Libye Tunisie et pays subsahariens? Pourquoi ne met-elle pas en commun les informations fournies qu’elle a, lesquelles débordent amplement les limites des connaissances sur le terrain régional surtout à propos d'Aqmi et/où autres groupuscules mercenaires sous sa botte ?   

       A bas donc les quelques essais de supercheries connexes anti Maroc, type frange du parlement européen algéro-polisarien-dépendant et son analogue structural onusien au penchant Kennedy-Kerryen. Même s’il convient de signaler qu’en général les courants de pensées qui existent actuellement dans pratiquement toutes les instances internationales, abandonnent de plus en plus les mécanismes d’approche séparatiste polisarienne. Ce à quoi, il n’est donc pas étrange pour quelques marocains restant humbles et responsables qu’ils se livrent de temps en temps à la critique mesurée, à propos de ce qu’ils appellent soi-disant la mauvaise conscience d’utilisation de la superbe production du CNDH marocain. Alors même que l’Etat marocain se plie aisément sans complexe à ses suggestions sans hésitation ni tremblement en l'occurrence. D'abord par respect de la constitution dans son volet assez conséquent des droits de l'homme, puis toujours préconisant plus de retenue clairvoyance sans faiblesse avec prise de ses responsabilités en matière de maintien de l’ordre public comme partout dans le monde.

       En effet, c’est vrai, cela a fait naître une véritable révolution de l’esprit marocain, tant sur le plan des idées que celui de l’action pour contrer les groupuscules polisariens manutentionnaires. Dont Hassad nouveau ministre de l’intérieur étant de la maison, a fait une analyse juste à la fois avec calme et détermination à propos des événements lors de la visite de Christopher Ross au Sahara marocain. Et ce, devant les députés sans se laisser emporter par  un quelconque optimisme même relatif, sachant qu’il n’est plus seul à porter jugement voire considérer l’évolution de la situation compte tenu du niveau d’implication de la société civile du CCSE-E et du CNDH. Désormais tout le monde sait que le niveau d’intervention diplomatique officielle, complété de celle parallèle (partis politiques, syndicats et corps socioprofessionnels, RME, associations…), détermine positivement le niveau d’appréciation effective au sein des instances internationales onusiennes où autres. Par conséquent, et de ce fait, le niveau général des idées pour solutionner définitivement cet imbroglio préfabriqué par l’Algérie du temps de Boumediene et Bouteflika, en instaurant l’autogestion dans le cadre de la régionalisation avancée s’en trouverait en bonne protection.    

       Vive les programmations marocaines strictes planifiant le chemin à suivre en ordonnançant l’effectivité de la régionalisation avancée. Il n’en demeure pas moins que l’argument assez confus des productions des troubles sous ordonnance algérienne, serait objectivement passé sous silence par Christopher Ross ne voulant plus gaspiller le temps. D’autant plus se montrant, à découvert, finalement intéressé par l’offre marocaine, n’épargnant aucun effort en prévision de cette solution viable à laquelle s’ajouteraient les garanties onusiennes pour assurer continuité et  prospérité du Sahara marocain hautement sécurisé pour tous ses enfants. En ce sens aujourd’hui, n’est-il pas le moment pour nos diplomates officiels et officieux devant ces données nouvelles au Sahara marocain de doubler de vigilance pour pallier les dangers parce que l'Algérie des généraux nababs s'en trouve objectivement larguée à tout point de vue? Et donc se mettre en état de veille et d'écoute sur tout ce qui se trame venant de la part de l'Algérie ses satellites et ses relais, pour ne plus revivre de mauvaise surprise comme l’essai-filouterie ONU-USA d’Avril 2013. Qu’heureusement il s’est soldé sans grande casse par suite à la surchauffe de dernières minutes de diplomates chevronnés, coiffée en hauteur de vue par le plus probant acte politique de Sa Majesté contre cette machinerie menée tambour battant par les ennemis. Dont les receleurs de la discorde en interne comme en externe, parmi eux, quelques disciples algéro-polisarien-dépendants en rêvent qu’ils pourraient cette fois-ci s’appliquer pour la réitérer et imposer au Maroc leur régulation des droits de l’homme via MUNIRSO. Oubliant de surcroît que ce secouement est à l’origine du nouveau réveil de l’élite marocaine des associations des partis politiques des syndicats des corporatismes socioprofessionnels, poussant les officiels de sortir des temps morts de la pensée unique en gestion du dossier Sahara marocain.


       N’est-ce pas par ailleurs qu’à ce titre que les incartades et couacs d’Othmani Saad Eddine ces deux dernières années, lui ont coûté son écartement ? Parce que peut être on pensait qu’avec lui une fois la phase de formatage terminée, il allait subir le cycle inévitable des phases de recombinaison comme à l’ancien temps. Sauf qu'il n'en a rien été, étant resté trop ardoganisé morsisé voie ghannouchisé au point de ne pas avoir la capacité de discernement de mesurer où se trouve l’intérêt de son pays. Ayant obligé le palais à réviser de fond en comble sa théorie conjoncturelle de ne laisser plus d’espace au ministre tutélaire titulaire aux affaires étrangères, dont la nomination d’Amrani au cabinet royal en est un signe avant coureur. Ainsi, à la lumière de tout ceci, ce qui attend Mezouar n’est pas seulement d’affronter les situations difficiles seulement par la phraséologie diplomatique mais en usant de mesures toniques sur le terrain en parfaite harmonie avec le palais et aussi en concordance sans ambages avec les désirs du peuple marocain ne supportant plus l'encaissement des coups sans réagir. 

       C'est vrai qu’il est rare que la célébrité à la façon des athlètes, n’impacte pas le rayon d’action d’une fonction ministérielle, soit-elle des affaires étrangères et de la coopération. Sauf qu’il n’est pas aussi impossible qu’un politique expert comptable économiste de surcroît, ne soit un excellent diplomate capable d’utiliser au mieux l’intelligence organisée pour une production juste et équitable de prévoyance d’hic voire danger. En d’autres termes chez Mezouar cet homme du marché politique, c’est à ce niveau qu’interviendront les meilleures notions de formatage et profilage pour qu’il entame son périple diplomatique sans aucune faiblesse en se préparant à la venue prochaine de John Kerry au Maroc.   

samedi 19 octobre 2013

LECTURE DE BASE DU RÔLE EXPRESSIF DÉTERMINANT DU DISCOURS ROYAL AU PARLEMENT AU MOIS D’OCTOBRE 2013 !

CES DISCOURS ROYAUX DE LA NOUVELLE ÈRE, FACE AUX EFFETS PERVERS D’ABORD DES RATAGES DIPLOMATIQUES, PUIS DES MAUVAISES ACTIONS DES  GOUVERNANCES LOCALES PROXIMALES ET SURTOUT DES JEUX POLITICIENS GOUVERNEMENTAUX OU AUTRES.

L’EVOLUTION DES DISCOURS ROYAUX DATE DEPUIS LE LANCEMENT DU NOUVEAU CONCEPT DE L’AUTORITÉ À CASABLANCA  EN 1999 AU LENDEMAIN DE L’AVÈNEMENT DU RÈGNE DE SA MAJESTÉ MOHAMED VI.

       L'évolution des discours royaux est en ce sens déterminante, d'autant plus prenant acte du déroulé événementiel à tout point de vue à l’échelle nationale régionale et internationale. Ainsi, d’année en année, les champs de ces discours royaux sont investis par la politique l’économie sociale et les appels à la bonne gouvernance de proximité. Tout simplement parce que le souverain marocain ne voulait pas que ces disciplines restent obscures apanage d’un cercle fermé d’experts et de gens manipulateurs politiciens. Et de ce fait, elles demeurent non intégrées par la majorité des marocains, au-delà des aspects formels de l’organisation de la représentation de tous les acteurs socio-économiques et politiques sur le terrain. En conséquence de quoi, malheureusement, certains de ces politiciens continuent de n’apporter aucune valeur appréciable à titre d'exemple dans la diplomatie parlementaire parallèle, et aussi dans les gestions des villes comme au rural pour les conseillers communaux. Alors que normalement, elle devrait s’animer par le renouvellement des intervenants politiques et la restructuration de compétences référées à des savoir-faire usant d’outils plus harmonisés et cohérents. Surtout en ce moment pour la mise en exécution de la régionalisation avancée dont le CCSE-E en a déjà posé les grandes lignes.

       Certes, il ne s’agit pas ici de faire une critique facile sur les limites internes de cohérence entre, gestion des commissions parlementaires du dossier du Sahara marocain impactant parfois négativement la diplomatie, et programmation non ciblée au sein des collectivités territoriales en faisant du n'importe quoi. Mais de cogiter les quelques dérapages d’interventions en plus des omissions, peut être involontaires par les contraintes sur les finalités d’exécution des programmations et d’effectivité des lois dans l’esprit de la nouvelle constitution. D’ailleurs le discours royal au parlement, lequel est considéré managérial prônant l’initiative en terme de professionnalité par les fins analystes notamment dans les différents points évoqués, en est indicateur pour en assimiler la portée et répondre à la carence criarde en matière de bonne gouvernance. Cependant, à cet égard, n’est-ce pas que le new deal de Sa Majesté en quatorze ans de règne pour faire rentrer nos politiques dans ce cadre, s’est avéré compatible à l’évolution d’affinement infrastructurel progressif de l’INDH sur tout le territoire ? Et/où les instruments surtout de l’économie sociale ont servi les gestions de proximité en bonne gouvernance à quelques exceptions près, dont nul ne peut ignorer les répercussions micro-économiques pour les localités. Et oui, n’est-ce pas qu’heureusement à travers le déroulé des actualités, ces mêmes instruments se sont hissées aussi au statut-cadre assez honorable des compagnes électorales dans notre pays ? En l’occurrence, mettant notre pays le Maroc en cohérence dans certains volets de ses grands défis, et aussi en impossibilité d’agir sur d’autres sans faire varier les mentalités et corporatismes. Qu’au demeurant la dernière salve des discours royaux a fait bougé les consciences, dont tout le monde en a reconnu la colère maîtrisée du souverain, surtout lors de l’ouverture de la troisième session de la neuvième législature en cours.

       Mais voilà que se manifestent déjà sur les bancs de l’hémicycle des deux chambres du parlement, les conséquences des effets pervers de la façon dont a été formée la nouvelle mouture gouvernementale Benkirane II. De sorte qu’un jeu dangereux est maintenant établi par le fait accompli de l’intégration du RNI à l’ex-coalition ayant perdu l’une de ses composantes. Parce que la nouvelle voulant justement s’affranchir de tout le temps perdu, rien qu’en se définissant comme la conversion d’un conglomérat désuet devenu caduc en un autre se voyant porteur de biens et/où de valeur ajoutée politique, une sorte de prêt comme au foot. Sauf que, si on rentre dans l’esprit de la nouvelle constitution malheureusement non encore effective non initiée pour ne pas dire réinitialisée, cette opération semble associée aux marchés contractés en catimini entre Mezouar et Benkirane. C'est-à-dire s’étant échangés postes et titres, en se hasardant à  donner aux nouveaux acquéreurs l’aval de continuité comme si rien n’était, ne se préoccupant même pas du vote négatif du RNI auparavant, ni du retrait de confiance du PI ayant ramasser ses billes ne cautionnant plus.

       C’est vrai, si les débats sont devenus cossus voire vifs ces dernières années à même d’être contradictoires entre partis politiques, c’est parce bons nombres de gouvernements dont celui à connotation islamiste Benkirane I, ont appliqué des programmes socio-économiques dont personne n’en veut. Qu’en fait même en ce moment le conglomérat Benkirane II, s’apprête à s’y enliser parce que tout simplement ne s’étant pas fait entraîné dans des conflits d’objectifs sous la tension provoquée par l’arrivée du RNI et des technocrates. En cela Benkirane, ce qui l’intéresse, c’est de prolonger son séjour à la chefferie même sans en avoir en main les reines de commandes. Une mesquinerie politique, juste pour continuer à toute fin utile à pavaner, ce qui n’a d’égale que chez les avatars doublures au cinéma n’hésitant pas à exagérer dans leur rôle simplement pour que l’on puisse les rappeler et les réengager à chaque tournage.

LE GRAND CASA EN QUESTION !

       Certaines villes marocaines enchantent l’imagination parce que sur le chemin du progrès qui mène au rayonnement. Dont le grand Casablanca même chargé de ce concept, devrait faire plus d’efforts par la fusion totale des aspects innombrables pour sa promotion à l’international plus que jamais d’actualité. Capitale économique, centre commercial et industriel, port africain très important le grand Casa s’est métamorphosé en quelques années. Il est devenu la métropole moderne de sept millions d’habitants, le noyau d’une agglomération dont on espère que les réalisations futures en matière d’urbanisme et de protection de l’environnement soient à la hauteur des grandes cités du monde.

          En effet quel est le but de cette idée royale visionnaire, sinon d’inciter au dynamisme économique et financier, à la croissance de cette plateforme casablancaise sur une échelle plus grande ? D’ailleurs tout un chacun le sait, cela complétera l’avance de co-localité en matière technologique dans les secteurs aéronautiques électroniques, et pourquoi pas compensation tractant et tirant de leur torpeur les secteurs les moins modernes déjà existants. Ainsi, est-ce que le Maroc cette tête de pont de la pénétration du savoir technologique dans le continent africain (Mghreb-Afrique de l’Ouest-Afrique centrale), ne réunit-il pas les avantages pour l’implantation de nouveaux établissements financiers et bancaires ? La réponse est positive, qu’au demeurant ils sont à valeur d’aujourd’hui au nombre de vingt cinq grands groupes de la finance internationale à s’y être déjà établis dans l’ébauche du pole en construction. N’est-ce pas là le symbole du changement de cap que les casablancais attendaient pour leur ville si vaste, que même du haut d’une tour ils ne peuvent l’embrasser d’un seul coup d’œil ? Sachant que sa population se multiplie pendant la journée et se dépeuple au profit des cités périphériques et quartiers banlieusards à partir de dix huit heure, voire aussi des villes limitrophes et autres villes nouvelles s’érigeant telle Zennatta pour la décongestionner.

       C’est vrai que le Casablanca même surpeuplé, et/où réside donc un univers de misère et de richesse, peut devenir ce grand pole financier, dont le site électronique Forbes et des journaux français libanais et autres ont en louent déjà les mérites. Au point que, dorénavant, Casa aura besoin de conseillers au fait des défis à relever et non d’activistes nombrilistes. Et ce pour, l’amélioration des actes d'urgence en protection civile en l'occurrence services hospitaliers pompiers ambulances morgues et d'autres, l'augmentation de la capacité d’hébergement hôtelier diversifié, la maîtrise du volet du transport pour la fluidité mobilité tranquillité et surtout sécurité, de la mise en exergue de la propreté en usant de nouveaux cahiers de charges pour ramassage des déchets et traitement selon la conceptualisation futuriste des décharges publiques et enfin un syndicalisme positif pour une administration publique de proximité efficiente et efficace loin des parasitages de la corruption. Qu’on ne s’étonne pas donc, si ceux-là même qui se sont opposés à l’amélioration des services et infrastructures s’en trouvent aujourd’hui montrés du doigt dans Casa. Contrairement à Fès Marrakech Agadir, parce que la volonté d’aménagement dans ces territoires avait pris la forme d’un effort déterminé et lucide pour modeler le développement avec la sauvegarde de l’authenticité. 

lundi 14 octobre 2013

POURQUOI LE ROI MOHAMED VI, A-T-IL DIT AUX MINISTRES DE L’EQUIPE BENKIRANE II "ET MAINTENANT AU TRAVAIL"?

A L’EMISSION « LIQAE KHASS » BENKIRANE N’A PAS RECONNU QU’IL S’AGISSE DE MOUTURE GOUVERNEMENTALE RECOMPOSÉE PRESQUE ILLOGIQUEMENT A CONTRE SENS DE L’ESPRIT CONSTITUTIONNEL.

       Est-ce vrai qu’elle est semblable à celle disloquée auparavant ? Peut être que non, vu l’étrange composition que cette mouture. 39 membres correspondant à une sorte d’Académie d’Hybridation, véritable conglomérat  où réside en plus un pole technocratico-consanguino-affairiste trop cossu. Dont Benkirane se targue d’avoir chargé le CGEM de mettre de l’ordre dans la ruche de l’économie en nommant l’un de ses capitaines les plus en vue. En tout cas, on le sait maintenant, depuis longtemps au Maroc la carte politique est nuancée du fait d’apports de courage et ténacité de gens de grande valeur de tous les bords. Notamment ceux s’étant passés par l’état psychogène des années de plomb, ayant fait leur preuve dans la gestion des affaires de l'Etat.

       Ce qu’aujourd’hui Benkirane n’arrive pas à intégrer dans son propre raisonnement, vu sa méthode impulsive essayant d’aiguillonner à son avantage ce cumul fructueux sans en avoir la carrure historique. Ne sachant même pas mesurer la déception de la majorité des marocains se déroulant devant ses yeux à propos de sa nouvelle formation gouvernementale. D’où des pronostics défavorables venant de toutes parts,  vu que Benkirane est resté malheureusement dans ses choix de son équipe, régi par le code moral des préférences dues, entre autre, à l’affluence et influence des familles au dépens de l’élite sociale dans les partis voire sociétale dans la société civile. Que d'ailleurs Sa Majesté avait anticipé les tançant les secouant lors de la prise de photo souvenir, pour que cette équipe soit capable de s’atteler au travail avec sérieux et abnégation. N'est-ce pas que, les walis et gouverneurs qui vont arriver ne se conformeraient aucunement à l'existence mouvementée du gouvernement, mais seulement à la dynamique royale qu'on le veuille où pas? En plus, personne n'a intérêt de laisser le tajine gouvernemental cramer juste pour affaires politiciennes entre factions et fractions. D'où l'insistance royale de faire sortir les lois de programmation de l'action du gouvernement en concomitance à celles du statut de l'opposition.

       D’ailleurs aux indiscrétions venant de l’intérieur des instances du PJD, il n’est pas arrivé à convaincre ses détracteurs à propos de cette mouture gouvernementale. En plus, et surtout, par sa position qui associe la langue de bois et le style de fer dont il a fait preuve vis-à-vis des journalistes qui ne se sont pas laissés intimidés. C’est navrant de le voir encore figé dans ses positionnements autoritaires, le mettant face aux contrastes de ses comportements et dires qu’au demeurant n’offrant du point de vue intellectuel qu’un raisonnement d’occupation du terrain politique sans plus. A même de se voir de temps en temps tisser un faisceau de soupçons approximatifs sur ses ennemis politiques à propos de leur incompétence de le faire tomber. Usant  par ailleurs de communication brouillonne, et de distillation d’informations pour exploitation majeure en s’appuyant essentiellement sur les contrevérités. De sorte qu’il se montre quelqu'un qui n’a rien assimilé de son nouveau niveau de vie, se targuant n’avoir pas changé.

     Ô Benkirane n’a plus le don fatal aux journalistes ! En effet pour subvenir à ses fins politiciennes, il a essayé de les contraindre à se mettre sur la défensive, allant jusqu’à vouloir travailler leur mental par sa fougue inappropriée. Hélas pour lui, il n’est pas arrivé à les maîtriser, parce que l’activité de ces journalistes interviewers contradicteurs ne s’est pas faite en préparation comme excursion d’agrément. En tout cas de sa part, c’était fait simplement pour partager son emprise sur eux ensemble, et, intuitivement pour ne pas laisser de traces de ses recombinaisons politiciennes. Procédant à une fouille saccadée de leur subconscient pour les déstabiliser, afin d'aboutir non seulement de les pousser dans leur limite mais à leurs idées conservées intactes. 

       Quoique cette émission n’a rien apporté pour l’amélioration de franchissement des obstacles politiques, dans la mesure où sa façon de canaliser la discussion dans une direction ne l'a nullement aidé à se cantonner dans son rôle constitutionnel. N’est-ce pas que la tragédie qu’a vécu Benkirane face aux journalistes poignants et collants, par ailleurs pas tous, surtout après ses querelles au sein de son parti le PJD, l’a mis avec ses protégés dans une situation défensive de cantonnement et de retrait ? Sa colère exprimée par un style non original anti démocratique, parait le commencement d’un feuilleton politique risquant de l’exclure définitivement des rangs des hommes d’Etat. Parce que dans ce rôle grotesque et en même temps tragique pour lui, qu’il a présenté avec insuccès dans sa première sortie médiatique, l’y a mis hors jeu même étant encouragé par le peu d’amis (es) qui l’entouraient hors champs des cameras.

       Ainsi, si on l’évalue sur la base de ses moments passés pour la formation de son gouvernement Benkirane II, il pourrait bien être déclaré l’un des hommes politiques marocains les moins stabilisables. DE cette façon, on dirait qu’il incarne une sorte de mélange de plusieurs variantes selon les opportunités les unes par rapport aux autres, ne se différenciant que par le temps de mise en exécution. N’est-ce pas que durant cette émission (Liqae Khass) sur la chaîne Al Oula, il a réitéré ses exposés d’essais échantillonnages dans ce sens déroutant ? Dont, lui avec certains de ses inconditionnels, les croyant encore source primordiale de bonne gouvernance. Alors que cette méthodologie est désormais considérée par les observateurs aguerris une sous-production, qu’en fait il n’y a pas si longtemps on en a vu déjà la connotation politiquement dévastatrice de la valeur des partis. Primo, parce que la proportion de non clarté obtenue dans les raisonnements, est malheureusement soumise au processus de décomposition de la confiance aux politiques. Secundo, parce que c’est là où Benkirane II, comptait concrétiser ses activités de reconquête des populations à travers la télévision. En usant de ce qu’il appelle d’ores et déjà la tache d’avenir, mais malheureusement seulement par le concours aux rêves futuristes trop idéalisés comme à son habitude.


       Mais pourquoi certaines paroles explicatives de Benkirane frôlaient les non dits voire parfois la contradiction manifeste. D’abord concernant le cas Othmani, tout le monde sait pourquoi il s’est fait débarqué des affaires étrangères, car ce poste demande une fidélité sans faille à la ligne tracée par le souverain et non des prises de latitude à tire larigot à propos de tels où tels événements. Et dire qu’il s’est sacrifié rien que pour ne pas gêner la constitution du gouvernement est une niaiserie politique. Alors que pour Laenser, c’est juste une fidélité à la ligne choisie depuis l’avènement du nouveau règne de changer le ministre de l’intérieur pratiquement tous les deux ans ( Midaoui- Jettou- Sahel- Benmoussa- Cerkaoui- Laenser ), et maintenant Hassad pour éviter à ce département la formation de liaisons infructueuses à tout point de vue et  ne pas tomber dans l’expérience d’avec Basri de l’ancien temps. Parce que dire que le ministre de l’intérieur s’expose de par sa fonction aux critiques acerbes sur tel où tel traitement par la bastonnade dont il en supporte seul les conséquences électorales est une tartuferie politicienne. En plus est-ce que Benkirane ne sait-il pas que l’Etat marocain a fonctionné à merveille avec un gouvernement d’expédition des affaires courantes, pendant tout le temps de ses chamailleries avec Chabat et même au-delà ? Je comprends qu’il n’ait pas  à s’expliquer ouvertement à profusion, mais faut-il qu’il le fasse sans tromper la conscience des marocains par ses essais de l’approximation désinvolte.  

vendredi 11 octobre 2013

LE NOUVEAU GOUVERNEMENT BENKIRANE II EST-IL NÉ PAR DÉRIVATION N’AYANT PLUS D’OSSATURE POLITIQUE ?

VRAIMENT CE CASTING OU BENKIRANE APRES AVOIR SUBI  FRAYEUR ISTIQLALIENNE ENTRE DÉRIVES ET TRAHISONS, N’EST A L'ÉVIDENCE PAS ACCROCHEUR.

       Après l’effondrement de la première coalition gouvernementale, la nouvelle semble ne plus avoir d’existence politique, laquelle totalement saucissonnée en zone d’occupation des postes seulement. Et, dont le chef de l’Exécutif en l’occurrence Abdelilah Benkirane botte désormais en touche ne remplissant qu’une fonction honorifique. Car ne bénéficiant plus du statut spécial que normalement lui octroi la constitution, mais seulement d’apriorismes. Désormais, il ne pourrait apuré les contentieux qu’au demeurant naîtraient sans doute des litiges de fonctionnement, parce qu’il est en minorité ayant lâché du terrain au profit de forces plus fortement structurées. N’est-ce pas qu’il est sûrement entrain de voyager dans sa tête, rêvant et pleurant voire soupirant avec ressentiment que son remariage dans de telles conditions est vraiment un abandon et trahison envers les marocains qui avaient voté pour le PJD ?

       Aussi, l’éclosion de tant de ministères ne permettra aucunement au gouvernement Benkirane II de se distinguer de celui Benkirane I, à la fois dans sa fonctionnalité et dans ses inspirations n’ayant provoqué déjà que déception et écœurement vis-à-vis de ce nouveau montage-ratage gouvernemental. Dont malheureusement le Maroc va en subir les premières retombées politiques, vu que ce chef de gouvernement n’a fait montre que de TABOUJADITE par laquelle il ne pourrait faire face aux mécontentements de l’opposition de la société civile des intellos des journalistes syndicats et autres. En plus, parce que loin s’en faut, il aura à passer son temps à user de pompages et colmatages des brèches par suite à l’énorme soufflerie déjà mise en place par les chevaliers de la discorde et leurs billettistes.

       Quel strabisme conjugué de myopie politique à même de frôler la naïveté ! D’une part par l’adoucissement-transfiguration du devenir diplomatique marocain risquant de nous jouer des tours parce que le temps d’effectivité de la régionalisation avancée nous est compté. Et, d’autre part par l’usage benkiranéen de théâtralité-transgression presque pathétiquement bouleversante même révélant une jeune dans toute sa plénitude et maturité politique. D’ailleurs pour en arriver à ça, finalement, Benkirane a montré ses limites d’intégration des données, n’ayant rien compris ni saisi de la profondeur de la lettre recadrage de notre diplomatie, dont on l’espère il saura rattraper le coup après le discours de la colère maîtrisée à l’ouverture de la troisième session parlementaire de la législature en cours. Et delà ne plus rester attaché à son optimisme débordant n’ayant pas pris acte de la rude et impitoyable réalité des tractations onusiennes auparavant. Dont le timoré Othmani commençait à s’en habituer, mais sans être en parfaite harmonie avec le positionnement officiel de l’Etat dans l’affaire des frères musulmans égyptiens. Rien que pour ça les observateurs avertis lui prédisaient un débarquement de la battisse shellaenne des affaires étrangères. Chose que d’ores et déjà risquerait de vivre à son tour Benkirane, de se faire éjecter lui aussi de la chefferie du gouvernement incessamment sous peu si les choses se corsent dans l’affaire du Sahara marocain, afin qu’il puisse se résoudre enfin à faire les voyages dont il rêve.

       C’est vrai qu’avant, de par la formation du gouvernement Benkirane I l’influence PJDiste y prédominait, par contre de nos jours sous Benkirane II elle est devenue clairement technocratico-consanguino-affairiste dépendante. En cela, ce n’est pas le signe d’un gouvernement apaisé, plutôt une sorte de mélange détonnant d’une variété rarissime, dont les conséquences risqueraient d’être dramatiques, parce que cette composition pléthorique masque d’emblée la visibilité identitaire, qu’étrangement par ailleurs ne rentrant même pas dans le moule sacré de défense des libertés. Surtout des couacs avec la presse, la société civile et aussi les individus de surcroît non en age majeur comme dans le cas du baiser sur Facebook.

       Mais, pourquoi ce gouvernement présente cet aspect dilué et dilaté encore plus dangereux pour sa cohésion sa stabilité et sa cohérence dans les sorties médiatiques ? Même si, sa plus grande originalité c’est peut être d’avoir réussi à implanter une oasis en nombre de femmes ministres déléguées, repeignant sa devanture pour atténuer les critiques acerbes des observateurs à son vis-à-vis. En tout état de cause, l’homme où la femme ministre aujourd’hui n’est plus ce collaborateur muet, au contraire il (elle) doit jouer son rôle  important de technicité d’influence politique partisane, même au sein de cette équipe super dimensionnée dédoublée et sous équipée, ce qui annonce des remodelages et redistributions des prérogatives et compétences. Sinon c’est du cynisme des uns et des autres risquant de devenir l’anathème dans les entourages immédiats que l’on verrait surgir certainement à profusion.


       Néanmoins, comme ce qu’a préconisé Sa Majesté aujourd’hui même dans son discours devant le parlement, que ce gouvernement fasse tout pour l’effectivité des lois constitutionnelles attendues et débloquer les marges de déconcentration administrative relevant de ses compétences, en s’éloignant des micmacs politiciens. Pour qu’ensuite la décentralisation soit une valeur ajoutée à la régionalisation avancée désormais en attente d’exécution, et conséquemment mettre nos ennemis en posture déshonorante pour eux à l’international. Ce qui demande réactivité et vigilance dans le traitement de notre cause nationale par tout un chacun, en anticipant sur leurs lectures et essais de déstabilisation de notre ligne de conduite. C’est une guerre ouverte que normalement nous devons gagner en se référant à l’esprit de la marche verte et à la méthodologie de prévoyance sans nous parler à nous-mêmes seulement. Le gouvernement Benkirane est maintenant averti des priorités à affronter dans le cadre du consensus participatif national, parce que ce n’est nullement sain de continuer de mettre tous le monde dos à dos. Il en a beaucoup trop fait sur la contribution de chacune des composantes sociétales de par son comportement autiste d’avant faisant régner les soupçons et la rumeur. A bons decrypteurs en sous-entendu je vous salut tous! 

samedi 5 octobre 2013

LES CARRIÈRES DE MARBRE FOSSILISE AU TAFILALET : EST-CE LES PRÉMICES D’ARRÊT DE L’EXCAVATION ANARCHIQUE DU DÉSERT ET DE L’EXPLOITATION HONTEUSE DES GUEULES POUSSIÉREUSES ?

Après les coups de semence des tempêtes de sables, en regardant au-delà des sommets du décor ogival des dunes : on aperçoit à travers le profile aride de l’Erg les silhouettes des extracteurs de blocs. Par ailleurs travaillant à la solde de pseudo industriels excavateurs du désert sans scrupules, en plus aux ambitions démesurées outrepassant à la fois la loi et le règlement.

Et même si, quelques exploitations sont autorisées, elles n’échappent pas comme les autres aux dérapages sur les méthodes d’extraction employées, les cubages falsifiés, et les délimitations dépassées. Par conséquent, le fait de fermer les yeux et laisser faire n’a fait que croître une animosité entre les tribus indignées par la destruction de leur biotope et ces nouveaux riches excavateurs ravageurs du désert.

C’est ainsi que les sites environnementaux ont subi des années durant des dénaturations catastrophiques, parfois à l’aide d’engins puissants. Une vraie logistique de génie civil d’exploitation des carrières (grues, treuils, tracteurs, compresseurs et même les citernes à gasoil etc…). Dont tout un chacun peut la considérer avec suspicion, vu qu’elle vise à augmenter la fortune des uns au dépens des autres sans s’affranchir des moindres droits envers les finances de communes ou même l’Etat.

Mais voilà, la visite de Sa Majesté le Roi Mohamed VI à Errachidia Erfoud Rissani et Merzouga annonce l’arrêt de l’exploitation sauvage des carrières. Cette question restée sans réponse dans l’agenda gouvernemental malgré la publication des listes des rentiers bénéficiaires. Parce que faisant partie de l’ambiguïté des rapports politico affairistes qui mobilisent toutes les ressources d’influence vis-à-vis de nombreuses administrations centrales et régionales. En cela la société civile ayant droit de regard sur ce qui se passe dans ce secteur par la force de la constitution, s’extasie et s’excite déjà à la prise en main du dossier par l’Agence Nationale du développement et  préservation des oasis et des territoires de l’arganier.  

Les pseudo industriels du désert, ces nouveaux riches de la rente et du laisser-aller !

       Tout au long de l’année, une lutte contre le temps est engagée au su et au vu de tout un chacun par les vrais comme les faux exploitants des carrières de marbre fossilisé. Ils se réjouissent par ailleurs du succès de leur pillage tant la réussite leur convient et les conforte. En plus jouant aux apprentis sorciers monopolistes, manipulant même une armada de petits artisans. C’est vrai, dans ce monde bien particulier où la totalité des artisans leur est subordonnée, ils les adaptent aux desiderata de leur production illégale. Parce que pour eux l’émulation n’est qu’un moyen de rentabilité de premier ordre, elle ne fait aucunement appel d’après eux aux qualités de l’individu de son attachement aux valeurs humaines.

       Aussi, leurs univers ne se limitent qu’au huit lettres qui constituent le mot « affaires ». Bien sur, ils s’emploient à les fructifier par de grandes opérations commerciales s’effectuant dans un espace relativement fermé. D’autant plus régi par des pratiques leur permettant des gains en dehors des lois en vigueur, s’aidant même de supports étatiques bancaires et financiers comme outils de médiation des transferts de devises. Ils utilisent l’informatique via Internet,  parce que maîtrisant la modélisation des règles de l’économie mondialisée de ce marché par des enchères internationales sur des sites à circuits fermés dont ils ont les sésames.

       Dans cette perspective l’élan pour satisfaire à la demande croissante, est la production en grande quantité de ce marbre fossilisé. Pour cela chaque année, des milliers de tonnes de blocs, de plaques et d’articles façonnés sur place sont déversés sur les marchés du monde. Ce fabuleux marbre fossilisé noir où marron ayant mûrit dans les carrières à ciel ouvert, illustre l’attrait et fascination qu’il exerce sur les professionnels comme les divers acheteurs. Son prestige c’est sa beauté et sa rareté dans le monde, vu que rentrant aussi bien dans le design architectural que la décoration des habitations modernes.

Ah, ces extracteurs de blocs parfois en sous-traitance !

       Debout depuis l’aube, ces hommes extraient les blocs multidimensionnels les pieds bien assurés dans les dépressions de la roche, qu’on dirait moulées pour cet usage. Les images dégagées des gestes cent fois recommencés se plantent dans le cœur et la chair comme des épines provoquant des soupirs d’impuissance. Aucune force humaine n’aurait pu les contraindre à faire ce qu’on leur demande. Même le plus élémentaire instinct de conservation ne pourrait les y obliger, mais les dimensions plus réduites que les leurs n’offrent guère que cette alternative par ce travail.

      
       Aux heures les plus brûlantes, par une intolérable sensation de chaleur ou la perception des choses devient parfois inconsciente, il est impossible d’imposer cette cadence avec une rémunération semblant avoir du mal à contenir les immenses besoins ont ils rêvent. N’est-ce pas que les réflexes à ces moments ne s’enchaînent plus, et aussi l’action s’immobilise ? Parce que tout le monde se met à l’abri du soleil essayant de boire abondamment de l’eau chaude ou du thé. Alors qu’au crépuscule, ces mêmes hommes scrutent les pistes lointaines dans l’attente des camions à bennes. Et donc s’en suit un autre enfer, celui des chargements des blocs qui dureront plusieurs heures avant de prendre destination des hangars à Erfoud et Rissani.

Ah, ces gueules poussiéreuses apprentis artisans tailleurs polisseurs à la pièce !

       Alors que le temps n’est plus où l’ouvrier travaillait quatorze à seize heures par jour, ces sous-exploités qui étaient jusqu’à ce jour considérés comme des machines où il importe d’obtenir le plus grand rendement, ils s’en sont réjouis de cette prise en main de ce secteur. C’est vrai ils aspirent ne plus être couverts de poussières ni vêtus de haillons, sans couverture sociale ni même RAMED. Pour eux fini le temps où ils sont éparpillés dans des ateliers de fortune non déclarés, où les conditions de travail et d’hygiène sont lamentables évoquant les ergastules du temps de l’esclavage.

       Et, même si, certains parmi eux récemment, avaient bénéficié de l’INDH pour monter leurs unités artisanales, ils restent piégés sous les toiles rafistolées multicolores en mauvais états. Ainsi, hormis leurs pieds glissés dans des babouches usagées, on ne voit d’eux que leurs yeux brillants par suite de l’utilisation permanente de pommades ophtalmiques si ce n’est carrément dermiques. Au point de continuer d’offrir un spectacle pour touristes les prenant en haute estime pour leur courage.

       Heureusement ce temps de recensement de ses apprentis artisans est arrivé à point nommé, qu’en fait aidera bien sur à la réflexion de mise en œuvre et édification d’un complexe artisanal digne de ce nom. Dans lequel, la formation continue serait dispensée grâce aux mains expertes usant des innovations tant au niveau pratique que technologique. Les artisans ainsi initiés contribueront certainement à la qualité des articles façonnés, surtout pourront s’aider du guide présentoir d’articles pour ajuster les prix dans une transparence afin d’éviter les surprises des livraisons à domicile qui entachent encore le label Maroc.


       Cependant, cette réflexion restera incomplète si l’on n’évoque pas les efforts que doivent développer les services départementaux de sauvegarde des territoires, en l’occurrence la police et la gendarmerie pour coordonner leurs dispositifs et instruments de surveillance de l’écologie. Est-il utile de souligner que ce fonctionnement au niveau de ces dispositifs aura des conséquences positives sur la propagation illicite par une instauration d’une nouvelle approche d’exploitation des carrières. Mais, cela implique une certaine idée des responsables territoriaux qui doivent profiter de la décision royale dans beaucoup de domaines pour servir les grandes orientations de l’Etat au service des citoyens en termes positifs de biens et d’utilités.

vendredi 4 octobre 2013

« …ET MAINTENANT APRES UN RETARDEMENT DÉCONCERTANT LE PJD ET LE RNI SE GROUILLENT POUR RETAPER LA MAISON GOUVERNEMENTALE DANS L’OMBRE ET SUR RUINES LAISSÉES DU TYPHON ISTIQLAL »

FINALEMENT, TOUTE UNE TAYLORISATION D’ACTES DE BRUITAGE EN SEMI-ENTENTE ET DE PACTES DE SERRAGE EN CATIMINI, ENTRE MEZOUAR ET BENKIRANE POUR EN ARRIVER PRESQUE À UN GOUVERNEMENT DE SOUS-TRAITANCE ET RAFISTOLAGE !

       Voilà que Mezouar doit prouver à tout le monde que sa baisse de crinière et son choix sont légitimes. Et que les idées se chevauchant dans son esprit afin de satisfaire sa soif de domination, il les avait conçu depuis son essai avorté de tractation du G8. A première vue par cette prédisposition, ne peut-on pas dire qu’il anticipait sur la tragédie politique Benkirane-Chabat ? Qu’en effet n’est autre si on regarde de plus près qu’une historiette dramatique pour eux, et pour la politique au Maroc en général. Tandis que, les données réelles perpétuellement remaniées et mêlées à leur intégration fictionnelle par-delà le déroulement du fil d’actualités, c’est un but bien précis, celui dépeindre leurs destinées individuelles en proie à leurs tendances contradictoires entre intrigue et désamour.

       Mais Mezouar est fait ainsi, quand bien même il aurait été libre dans ses choix, il ne faudrait aucunement y voir le moindre paradoxe dans ses réflexions auxquelles il s’y est consacré au cours de son apprentissage. Parce qu’en fait, c’est juste une série d’essais de ses conceptions sur la possibilité d’exercer sa volonté s’inscrivant dans la droite ligne de son idéalisme politique. Ce à quoi il s’y est affirmé et continue à le faire jour après jour auprès des siens avec maestria.  Non seulement par ses choix de personnes à la ministérialité mais par sa volonté de paraître l’artisan infatigable d’une politique de structuralisme socio libéral. Même sachant pertinemment que c’est un champ de bataille entre les antis et pros de sa soumission à ce devoir qu’il qualifie lui-même de glorification. Mettant en même temps à rude épreuve le fonctionnement idéal du RNI par cette taylorisation d’actes et pactes avec Benkirane. Grâce à laquelle, comme lui prédisent certains observateurs, il remporterait probablement la victoire finale parce qu’apparemment se solderait par la déroute du PJD. Lequel montrant déjà des signes d’essoufflement et fatigue vu ses résultats déconcertants aux élections législatives partielles, comme à Moulay Yacoub face au PI et à Settat face au MP. Par ailleurs, n’est-ce pas que ceci annonce des turbulences voire du rififi entre PJDistes et MPéistes en duel d’influence à la Chabat, les uns par rapport aux autres.

       Evidemment tout ceci se présentera et se concrétisera encore plus dans le futur proche, comme un film docu-fiction corroborant l’influence des rivalités au grand jour par rapport aux haines sournoises sur le mérite de chacun des partis coalisés du gouvernement Benkirane II. C’est vrai, ce n’est que par cette nouvelle donne qu’on puisse aussi juger voir évaluer l’activité de ce gouvernement qui s’annonce, soit en tant qu’entité éclairée de rassemblement, où, carrément niche de désappointement par suite aux vexations et brimades pouvant venir d’un coté comme de l’autre. Certes, il est souhaitable que les nombreux défis à relever, devraient briser les liaisons de fascination en son sein qui n’apporteraient rien à la cohésion gouvernementale. Comme aussi celles gratuitement pourfendeuses du benkiranisme ne pouvant qu’ajouter de l’huile sur le feu. C’est pourquoi sans doute avec les RNIstes au gouvernement, Benkirane se fera l’ajusteur de la coexistence paisible entre coalisés, et n’aura plus le front plissé, l’œil malicieux et la bouche emphatique à profusion parfois jusqu’à la contradiction. N’a-t-on pas dit « celui qui veut avoir des œufs doit supporter le caquètement des poules » ?

       Certes ce nouveau gouvernement n’aura de choix que de marcher à pas soutenus, de par l’influence de l’approche du Roi qui l’initiera à la culture du travail d’arrache pied avec ambition et abnégation. N’est-ce pas que la marche royale sur beaucoup de volets est en pleine accentuation, secouant le monde entier notamment le Maghreb l’Afrique le Moyen-Orient l’Europe sans excepter les pays BRICS ? Par conséquent, dès lors que ce gouvernement sait que le souverain marocain suit avec passion le cours des événements, les imprégnant de nouvelles idées sur les partages des avis, des opinions et surtout les tendances avec célérité d’octroi des droits sociaux économiques culturels cultuels  écologiques et politiques, il ne pourrait traîner les pieds et faire le plagiste du gouvernement Benkirane I.

       Et oui, cette démarche royale novatrice n’est autre qu’un signal fort de l’avènement du nouveau concept de la puissance du raisonnement socio-économique et politique faisant fi des ramassis d’exploitants d’autrui, des opportunistes, des vendeurs de leurs âmes. Tout en attribuant plus de reconnaissances aux humbles et fabricants du Maroc des grands défis mondialisés, de par leurs engagements spécifiques diversifiés. En plus, n’est-ce pas qu’aux dires des observateurs étrangers ayant constaté qu’au cours de ses nombreux déplacements hors Maroc notamment en Afrique, Sa Majesté le Roi Mohamed VI est devenu le porte-parole le plus écouté. Prenant et montrant son courage à même de frôler l’épuisement avec une remarquable conscience politique de faire ouvrir tous les pays africains amis et/où en voie de le devenir, à la donne géostratégique marocaine de lutte antiterroriste sans hésitation ni tremblement. En ce sens, l’Afrique entière se mettant à l’heure de Rabat, commence à apprendre le défi loin des  directives du mal de jadis qui l’ont mis longtemps à user des haines ethniques et ne faire que guerres atroces.

       En tout état de cause, voilà ce que désirent les marocains du gouvernement Benkirane II en l’occurrence. Qu’il garde les yeux ouverts, de sorte qu’en plus il ne soit pas découragé par les insuccès des interventions à tire larigot des deux années passées. Et, que ses activités politiques partisanes ne l’empêcheraient pas d’appréhender les réformes nécessaires selon une méthodologie participative à cadence raisonnable claire. Bien sur tout en poursuivant la mise en effectivité de la constitution pour laquelle les marocains se sont passionnés. Parce que l’ombre hantée des cris de détresse et les voyants allumés de mauvaise gouvernance, font encore palpiter les cœurs des marocains : A savoir par rapport à sa gestion du temps politique, ses usages de l’emphatisme de codification du chemin à suivre presque de religiosité en sous-cutanée, son incompétence à déceler par anticipation les mystères du langage diplomatique vu sa nonchalance partisane, sa déshérence non respectueuse des vrais défis de l’enseignement, ses couacs gestionnaires touchant au pouvoir d’achat des démunis, ses hostilités à front ouvert avec l’opposition institutionnelle, ses flous sur le vrai calendrier de mise en œuvre de la régionalisation avancée malgré l’apport déterminant du CCSE-E et CNDH sur bien des volets, ses tergiversations à prendre les décisions courageuses et honorables pour les diplômés chômeurs et enfin  sa prévalence d’usage de vision à double foyer de surcroît dépendante d’agendas politiques extérieurs qu’à cet égard n’ayant provoqué que rupture criardes avec toutes les forces politiques du pays n’aimant ni ardoganisation ni morsiésation et encore moins ghannouchisation où autres.


       Finalement, les marocains ne voudraient que leur gouvernement du temps présent ne soit plus célèbre que celui de la première mouture trop benkiranisée, qu’en hypothéquant davantage l’avenir du Maroc. Ce qui malheureusement susciterait sans aucun doute l’indispensable intervention des instances internationales financières, en concomitance d’un climat politico syndical grondant. Pour cela, et ce n’est nullement trop tard, si Benkirane ne se sent plus le courage de faire mieux même ayant installé son deuxième conglomérat gouvernemental rien que pour protéger son amour propre, il n’aura qu’à rendre les clefs et vivre le sursaut marocain comme un quidam envahi de ses refoulements. Car, d’autres politiques au diapason de l’économie mondialisée pourraient relever ce défi, comme ça à toute fin utile, le gouvernement qui s’en suivrait se portera et se verra en bonne et prompte posture. 

mercredi 2 octobre 2013

QUEL DOMMAGE, ENCORE DES RATAGES DANS LES ESSAIS PARALLÈLES DE LA DIPLOMATIE PARLEMENTAIRE MAROCAINE !

MAIS POURQUOI LES PARLEMENTAIRES MAROCAINS CONTINUENT-ILS A S’Y RISQUER LA DÉCEPTION, ENTRE GÉNÉROSITÉ ET CONVOITISE DANS LE MONTAGE-FAÇONNAGE DE LEURS DÉLEGATIONS FACE AU DÉROUTANT PARLEMENT EUROPÉEN ?

       N’est-ce pas que tout travail diplomatique d’un parlement qui se respecte, aussi diversifié soit-il, en quête de redorer l’image du pays à l’international nécessite clairvoyance dans l’organisation de ses délégations en s’essayant à la chancellerie internationale ? Comme ça sa renommée dépasserait de loin toutes sortes de bruits se répandant dans l’esprit des marocains sur ses propositions de la composition des membres des délégations qui accompagnent la chancellerie dans ce travail. Sinon, s’il s’avère qu’il est victime pitoyable des préférences partisanes non qualifiées pour lire entre les lignes et faire des réponses adéquates et ciblées, les  Djines comme les Yinses sur terre en mer et dans l’air ne pardonneraient ces circonstances teintées d’occultisme envers les compétences.

       Cela exige bien entendu des chefs de délégations à délaisser l’emphase et l’écumage phraséologique, pour s’attaquer à des faits diplomatiques fondés sur l’anticipation et la clairvoyance faisant appel à la vivacité dans la compréhension et à l’esprit de déduction. Sachant que le Maroc est jalousé à bien des égards à propos de sa singularité et exemplarité d’octroi des droits aux migrants même les européens. Qu’au demeurant l’Algérie se sentant larguée blessée dans son amour propre, cherche à utiliser tous les rouages de la diplomatie roublarde. Usant de soi-disant structure associative d’amitié pour encore convaincre le restant des parlementaires européens ennemis à persévérer le chimérique groupuscule polisarien. S’accommodant aux  pensées de certains défaitistes qui donnent à tort plus de crédits au brouhaha monté et provoqué ici et là au Sahara marocain. Et ce, moyennant petro dinars via des officines mauritaniennes de transfert de fonds en faveur de toujours les mêmes comme à Assa Guelmim et ailleurs.

       A cet effet, n’est-ce pas grâce au tact diplomatique de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, que le traitement de manière réellement harmonieuse de beaucoup de volets dans les relations extérieures a vu le jour ? Fondant un nouveau concept offensif, sorte de noyau d’idées diplomatiques neuves porteuses d’avenir, en même temps détrônant l’ancien style ne faisant que repousser les tentatives de nuisances. De fait, en plus, toutes les méditations et fantasmes sur les mystères de sélection et tri des compétences en chancellerie marocaine, ne seraient plus création diabolique des détracteurs, mais la preuve qu’il y a un désir de s’éloigner du laisser-aller d’antan. Désormais, on le sait maintenant, les termes de la nouvelle chancellerie marocaine ont changé, laquelle devenue sorte de phare pour liberté du ton sur notre droit inaliénable au Sahara marocain depuis la lettre royale pour les ambassadeurs.

       Néanmoins, même si, une bonne partie des tractations en chancellerie se fait par la diplomatie parallèle sous la direction de gens dévoués, elle reste encore en demi-teinte. C’est d’ailleurs le cas de la diplomatie parallèle parlementaire MRE société civile et autres, que normalement ne devront apporter que satisfecit réconfort et surtout approbation du peuple marocain tout entier. Malheureusement, et c’est maintes fois vérifié dans des moments en face de parlementaires machiavéliques et déroutants, surtout les européens que nos députés et conseillers dans une proportion inquiétante montrent des défaillances d’intégration et maîtrise de leur inspiration pour expliquer correctement la position du Maroc.

       En ce sens, le blocus que le lobby parlementaire européen anti marocain, essaye d’imposer en s’infiltrant par sa méthode pendule- calendrier comme ce qu’ont fait les quelques espagnols dans l’idée d’entraver la démarche marocaine de la régionalisation avancée. Se targuant et annonçant que les tractations politiques, dès lors, prises par leurs homologues marocains comme une matière première pour investissement rapportant notabilité statutaire et rentabilité pécuniaire, elles ne pouvaient être rationnelles. Et c’est là où le bas blesse, tout simplement, parce que quelques uns des nôtres n’avantagent uniquement que leurs intérêts personnifiés mêmes divergents. Montrant ainsi qu’ils ne diffèrent ni dans le fond ni dans la projection de leurs désirs respectifs à exercer la diplomatie parallèle officieuse pour leur réputation seulement. De fait, ne font-ils pas montre d’un structuralisme mental ne visant que cette conciliation saugrenue de leurs points de vue, loin de toute résilience ? Continuant à se parler à eux-mêmes, parce qu’incompétents de faire bouger les lignes par le raisonnement structuré au sein des diverses plateformes lobbyings en Europe notamment du Nord.

       Finalement, n’est-ce pas qu’il s’agisse de mauvaise politique diplomatique parlementaire « Qadae wa Qadar » faisant fi des attentes ? Que malheureusement le peuple continue malgré lui à subir et vivre encore de par cette désorganisation irrationnelle dans leurs tractations partisanes entre groupes parlementaires en vue des constitutions des délégations allant à l’étranger pour faire du tourisme. Laquelle, par ailleurs, n’était-elle pas instaurée depuis belle lurette selon la même méthodologie n’ayant rien apporté de probant à la chancellerie officielle et aussi celle officieuse parlementaire ? Sauf qu’aujourd’hui, heureusement, la dynamique royale ayant augmenté de vitesse dans son travail visionnaire moderne, est là pour faire changer cet état d’esprit. D’ailleurs de ce point de vue, il s’agit en plus de sorte d’adjuvant qui s’appelle l’émulation en vue d’établissement de normes de rendement pour le plus grand bénéfice du pays.

       C’est vrai, vu comme ça du fait du rapprochement même dans la douleur entre RNI et PJD, la gouvernance diplomatique changera fondamentalement. Parce que ne pourrait échapper par ce changement de braquet à la refonte d’approche de restructuration, dont le discours royal  de Bamako en est l’exemple de cette méga vision marocaine vivante.        Cependant, n’est-ce pas que voilà un fabuleux exemple de défi à relever dans tous les domaines de gestion diplomatique fine de proximité, en substituant les accointances et privilèges des futurs décideurs ambassadeurs consuls et autres collaborateurs de l’ombre par du troc à l’usage de bonne gouvernance diplomatique, notamment dans le défrichement des opportunités économiques en terres étrangères sur la base de partenariat gagnant-gagnant ?


       Et même si, les RNIstes qui avaient bonne garde dans l’opposition échangeant volontiers communément leurs reproches acerbes au gouvernement Benkirane I par le raisonnement et le réalisme sur sa nonchalance diplomatique, si rien n’est rattrapé ils s’en trouveraient eux aussi en mauvaise posture. Mais à les écouter, certainement ils y feront attention, vu que cela les aiderait à transcrire de nouvelles idées sans vergogne. Du moins en faisant fructifier ce ton politique nouveau et style d’engagement structurant loin de toute inadvertance où inattention dans la gestion des crises diplomatiques. N’est-ce pas que le mois d’Avril 2014, où, possiblement l’on verrait encore d’autres mystères de l’Ouest, ne devrait pas nous tétaniser ? Au contraire maintenant que les grandes lignes de notre diplomatie en Afrique Europe Asie et aux Amériques et ailleurs, sont claires marquant une grande offensive, on ne pourra plus subir l’effroi et l’émoi de 2013.