mardi 29 octobre 2019

LES PREMIERS ENSEIGNEMENTS DU GESTE ODIEUX DE PIÉTINEMENT ET BRÛLAGE DU DRAPEAU NATIONAL À PARIS.

APRÈS L'ACTE  IRRÉPARABLE DE LA CRIMINELLE HALIMA ZINE, LES MAROCAINS DURCISSENT LEUR CAMPAGNE COMMUNICATIONNELLE ANTI SÉPARATISME.

     Après le geste criminnel immonde de Mme Zine Halima lors de la manifestation à Paris en soutien au Hirak cessessioniste du Rif, on pense que dorénavant elle végétera comme une péstiférée quelque part dans Montpelier. Et ce n'est pas son statut de marocaine du monde qui lui épargnera les déboires judiciaires qui pointent à l'horizon. Cela se voit, sinon se perçoit à travers le tollé provoqué sur la toile du Net. Autrement dit, l'avenir ne lui sera d'aucun secours parce qu'elle a piétiné et brûlé le drapeau de son propre pays tout en brandissant l'étendard de la république éphémère du Rif de 1920 sous Abdelkrim Khattabi face aux espagnols. De fait, jamais elle ne sera une icone célèbre aux yeux des marocains, et ne lui reste donc que de s'enfermer pour expier sa faute. Déjà, l'on peut affirmer que ses journées comme ses nuits lui seraient de plus en plus longues et donc dures à supporter. Parce que, pour le peuple marocain, ce nouveau fait conspirationniste accompli à Paris en brûlant le drapeau national constitue une bassesse de violation de la souveraineté et l'intégrité territoriale. Aussi, de la répitition de ce genre d'actes puériles et odieux, d'abord en déchirant les passeports puis en brûlant l'emblème et symbole marocain qu'est le drapeau, ces sauvageons montrent leur dernière ambition de déstabiliser les marocains. 

       Maintenant c'est sûr qu'ils ont peur sans dire de quoi après le geste inqualifiable de Halima Zine. Peut-être du risque d'expulsion qui les poursuit désormais comme leurs ombres. En tous cas, telle est à peu près l'idée qu'ils exposent sur les réseaux sociaux, d'où ils tentent de vider de toute substance l'unicité l'indivisibilité et la cohésion du Maroc. D'ailleurs, la sinistrose qui les envahit montre qu'ils n'ont pu se douter que l'Etat-Maroc n'accorde aucun crédit à leurs motifs d'irritation de la conscience du peuple. D'autant plus, tout le monde sait qu'ils se sont trouvés contredits même au sein de leurs familles de l'intérieur et de l'extérieur du Maroc. Voilà pourquoi une condamnation unanime d'ordre moral et politique est portée sur leur procédé, et/où se joignent les appréhensions quant à leur avenir. De toute façon, que ceux qui au nom des droits humains deux poids deux mesures qu'ils affectionnent parce que de mèche avec ces idiots, doivent savoir qu'ils seront décontenancés et montrés du doigt. Pour preuve, les critiques qui ne cessent de monter contre leurs arguties. D'où l'amertume la plus extrême, dont, tout un chacun sait la puissance de ce mot dans la bouche des marocains. Ceci dit, à quoi bon continuer à projeter outrageusement ici et là des actions ne consacrant en rien les droits de l'homme. N'est-ce pour cela le Maroc a renforcé sa vigilance sur ce qui se trame comme effet provocateur contre ses institutions ? Oui, il faut l'affirmer avec assurance, le défi du Maroc c'est aussi combattre ces énergumènes là ou ils se trouvent. C'est pour cette raison les marocains n'ont jamais cessé d'élever leurs objections à l'endroit des séparatistes quels qu'ils soient. Comme aujourd'hui durcissant leur campagne communicationnelle contre les conspirationnistes rifains et autres. À bon lecteur, bon décryptage !

samedi 26 octobre 2019

SOMMET RUSSIE-AFRIQUE DE SOTCHI 23-24 OCTOBRE 2019, UN BILAN PLUS QUE PROMETTEUR POUR LE MAROC.

L'AFRIQUE SORTIE DE L'ATTENTISME EST DÉSORMAIS BOUSCULÉE PAR POUTINE QUI VEUT DOUBLER SES ÉCHANGES  MULTIFORMES AVEC ELLE EN TROIS ANS.

       La délégation étoffée marocaine mobilisée pour le premier Sommet Russie-Afrique a sûrement aimé le sprint de rattrapage géostratégique dans tous les domaines annoncé par Vladimir Poutine. En cela, il faut le marteler sans gêne, le Maroc en est l'une des pierres angulaires africaines reconnues et justifiées par rapport à la relation de la Chine l'Europe et les USA. N'est-ce pas il est le deuxième partenaire commercial africain en Russie, pour ne se laisser distancer dans cette course des partenariats géostratégiques gagnants-gagnants ? Évidemment, la délégation marocaine conduite par le chef du gouvernement n'est pas venue à Sotchi les mains vides, ne voulant pas être une participante fantôme. Et donc, certainement elle avait des monographies sur  les potentialités des douze régions à faire connaître, des infographies d'évolution de l'économie du pays à mettre en valeur, des statistiques sur le climat des affaires avec label hautement sécurisé à faire prévaloir. Tout cela s'inscrivant dans la ligne visionnaire du Roi Mohamed VI pour la sécurité la stabilité et le développement de l'Afrique dans le respect des souverainetés territoriales des États. Bref, un arsenal techno-informationnel et juridique portant un message subliminal fort à l'adresse des ennemis de l'intérieur et de l'extérieur du Maroc. Pour preuve, l'accord signé en marge du forum autour de coopérations bilatérales concrètes induites depuis la visite d’État du Souverain en 2016, pour la construction d'un complexe géant pétrochimique garantissant un raffinage de haute valeur ajoutée. 

       Aujourd’hui, tout un chacun sait que le monde vit des changements structurels dans les gouvernances pour un nouvel ordre sociétal équitable multiforme. Dont, au Maroc qu'on ne le veuille ou pas, ça prend l'allure d'un engouement qui est en phase avec son attractivité pour les investissements. N'est-ce, cela qui a mis le président algérien intérimaire Ben Salah en dérision sur les réseaux sociaux face à Poutine le pragmatique ? Car, en niant les réalités politiques et économiques de l'Algérie régentée par Gaid Salah, il a révélé son inutilité et celle du gouvernement Bedoui. Aussi, dans cette situation algérienne inédite, après trente six vendredi de mobilisation du peuple, ni l'Afrique du Sud ni même le Polisario chassé par Poutine ne sont à l'aise face aux objections nécessaires russes. C'est dire que pour la Russie, le pouvoir résiduel boutaflikien restant, ne fait pas le poids face au dynamisme diplomatique marocain. Sachant que la horde boutaflikienne, entre pessimisme et déni, n'a fait depuis vingt ans que subir des défaites cuisantes à tous les niveaux et dans tous les secteurs. En somme, de par l'incomparable aura et leadership du Roi Mohamed VI, le Maroc n'a jamais été aussi convoité par les investisseurs étrangers en tant qu'hub et plateforme d'entrée en Afrique que depuis l'avènement du nouveau règne en Juillet 1999. En effet, ne peut-on d'ores et déjà dire, ce qui  est ressorti du forum de Sotchi sera au bénéfice de la garantie conjointe russo-marocaine pour une solution onusienne du conflit du Sahara marocain dans le cadre de l'offre d'autonomie 2007 ?

       En revanche, est-ce que la riposte opposée par le gouvernement algérien à la déclaration d'Amar Saadani ex-patron du FLN sur la marocanité du Sahara, ne marque-t-elle une duplicité de langage révoltante de ce pouvoir ? D'autant plus qu'elle a, à beaucoup d'égards, plus l'apparence d'un diktat militaire à ce gouvernement illégitime, qu'un constat de résurgence politique de ce qui reste de la bande haineuse et rancunière FLNiste. Mais pourquoi cette bande continue-t-elle de ne pas s'assimiler au Hirak et à la rébellion du peuple algérien frère qui n'admet plus le déni des réalités historiques à propos du Sahara marocain ? N'est-ce là, où l'on comprend sans naïveté, que le FLN aveuglé ne s’était soudé des années durant que par son admiration pour les maroquins et les postes de la rente pétrole-gazière. La SONATRACH en est encore l'illustration vivante, comme vache à traire sans rendre des comptes, dont, les algériens trouvent aujourd’hui que ce jeu sordide a trop duré. Autrement dit, si aujourd'hui l'ennemi juré du Maroc en l'occurrence Gaid Salah, parait avoir perdu toute retenue, peut-être la retrouvera-t-il après le Sommet Russie-Afrique de Sotchi au bilan plus que prometteur pour le Maroc. Parce que sinon, c'est d'une attitude musclée en interne de l'Armée algérienne dont il aura à faire face. Ce qui, sans aucun doute produira un orage précurseur de sa mise á l'écart, pour ne pas dire de sa démission forcée. Étant donné que les langues commencent à se délier, montrant que la relation Maroc-Algérie est plus grande que la continuité de ce Général octogénaire, en tant que courroie d'officialisation de la position anti tout ce qu’entreprend le voisin de l'ouest. À bon entendeur, salut !

dimanche 13 octobre 2019

HUIT ANS D'HYPNOSE POLITIQUE POUR NE PAS DIRE DE "ROQUIA" ET CA CONTINUE!

TOUS LES COMMENTAIRES MONTRENT QUE CE TRAIN DE L'HYPNOSE EST ENTRAIN DE DÉPASSER LES NOTIONS DE LA REPRÉSENTATIVITÉ LÉGITIME JUSQU’À DEVENIR TROP RADIOACTIF POUR LES COALISÉS .


       À priori, le discours du Roi du 11 Octobre 2019 au parlement contient un ultime recadrage des banques et institutions financières, doublé d'une solennelle mise en garde à toute la classe politique. Et sortir de l'état d'hypnose duquel le PJD est devenu trop radioactif par ses ''discours-roquia'' concernant les coalisés. Comme ça, l'on peut dire, les parlementaires et tous les membres du nouveau gouvernement remanié sauront à quoi s'en tenir pour relever le défi de la nouvelle donne d'accompagnement du développement. En quelque sorte, ils se doivent, ne plus s'abuser sur le sens des discours royaux ni les résumer de manière désinvolte voire erronée. En effet, sans rentrer dans les détails du rôle efficient des banques dans l'économie du pays, ce qui importe aujourd'hui, c'est la facilité et la rapidité de mise à disposition des jeunes entrepreneurs de moyens de payement pour le bon fonctionnement et le meilleur suivi de leurs jeunes entreprises. 

       Avec cet état d'hypnose qui continue et après les clashs du PPS-MP et les secousses à l'USFP, le remaniement semble un sauvetage du PJD et en même temps un évitement du crash du RNI. N'est-elle là la défaite de Driss Jettou qui comme on l'a vu a, suite à son rapport cossu mais controversé, essayé d'abroger l’expansion du PJD et RNI dans la consciences des marocains et de l’État ? Il suffit de voir comment le PJD et le RNI, pendant trois ans, n'ont pas su capitaliser sur leurs postes ministériels stratégiques pour comprendre la mise des lignes rouges de Jettou sur la voie du remaniement. Ils n'ont pas pu systématiquement réussir à imposer une ligne pour le développement par des résultats forts nets clairs et porteurs d'avenir en matière d'entreprenariat des jeunes, notamment dans le secteur informel. N'est-ce, par ailleurs, ce manquement à la parole donnée qui interdit aux partis politiques marocains de resserrer leurs liens avec les populations dans toutes les circonscriptions électorales ? Pire encore, le remaniement a montré que tous les chefs des partis coalisés se sentent en perte de vitesse, ne pouvant plus mettre en exergue le moindre acquis des mobilisations dans les meetings régionaux. S'ajoutant à l'arrivée des cotataires rentiers de la politique aux postes du pouvoir, alors que tout le monde sait qu'ils ne répondent pas aux critères de compétence.

       Mais n'outrons pas, toutefois, l'optimisme que nourrissent les chefs des partis dans leurs stratégies, chacun selon son positionnement, de vouloir conquérir la chefferie du gouvernement en 2021. Étant donné que pour eux, l'option n'est plus entre le pessimisme et la résignation, mais entre la victoire probable et le ras-de-marée qu'ils se font miroiter, Évidemment, y en a marre de revoir les mêmes entreprises politiques s'agiter sans résultat à chaque remaniement, alors qu'au sein du peuple marocain on n'est pas enclin au même optimisme à propos du gouvernement Othmani II. Bien sur, on n'irait pas jusqu'à dire que ça les rend plus hostiles à cette mouture remaniée de la sorte, parce qu'au contraire ils demandent à ne plus voir la traduction de l'absurdité politique. Malheureusement, Othmani continue d'en faire fi par ses insinuations loin de la vérité de l'histoire politique du pays, d'où, il y a toujours une manipulation machiavélique derrière de sa part. Ce qu'au demeurant pourrait annoncer le crépuscule de son gouvernement, ne sachant que les couteaux qui étaient remisés après la formation de son gouvernement ressortent, aujourd'hui, pour des raisons facile à deviner. Finalement, au Maroc, tout est à reconstruire pour se réinventer et repenser une ligne politique pour éviter les risques d'un boycott des élections en 2021. A bon entendeur, salut !        

lundi 7 octobre 2019

PJD ET RNI, QUI VA DUPER L'AUTRE AU REMANIEMENT MINISTÉRIEL ?

TOUT JEU DE MOTS MIS A PART, UN GOUVERNEMENT REMANIÉ DE LA SORTE N'ASSURERA POLITIQUEMENT PARLANT, QUE LE JUDICIEUX USAGE DES AFFAIRES COURANTES, JUSQU'AUX ÉLECTIONS 2021 .

       Dans la conjoncture politique actuelle, à la veille de l'annonce de la formation du gouvernement Othmani II, l'attitude de l'ex-chef du gouvernement Benkirane et ses acolytes telle qu'elle se présente, pose un vrai problème. D'ailleurs, les coalisés ne sont pas satisfaits, somme toute, de l'évolution de leurs relations chacun selon son positionnement avec le chef du gouvernement. Tellement, l'on peut dire, l'hostilité manifestée par les PJDistes zélés à leur égard, avant et après l'éviction du PPS, ne fera que refroidir davantage leurs contacts avec lui. Évidemment, on ne manquera pas dans le proche avenir, d'exemples pour illustrer ce constat d'état d'angoisse ne pouvant engendrer qu'impuissance et désillusion pour ne réussir une meilleure gouvernance. En revanche, par politesse politique, l'on peut d'ores et déjà pronostiquer le pire des spectacles scénarisés lors des épreuves avenir au sein du gouvernement. Autrement dit, ce sera la continuité de la tragédie du ''politique marocain'', n'ambitionnant de procéder à sa transformation par son incapacité à réduire l'écart entre ses propres idéaux et le réel socioéconomique alarmant dont vit le pays. 

       Peu importe, cette nouvelle aventure des coalisés après le remaniement, de fait, la déception sera inéluctablement au rendez-vous. Ce qui montrera, une distorsion entre l’espoir né après les discours royaux du 30Juillet-20Aout 2019 et l'attente enthousiaste d'un changement de braquet dans tous les secteurs avec de nouvelles personnes intègres. Effectivement, la défaillance terrible des chefs politiques formant une sorte d'aristocratie des chauvins, s'avèrera illustrative de leurs choix des postulants à la ''ministérialité partisane''. Dont le peuple en est, aujourd'hui, lucide de leur invraisemblable mascarade de traduction de la démocratie sur les décombres des laissés pour compte au sein de l'Exécutif. Parce que, d'abord Othmani vient de découvrir à quoi servent l'interrupteur ''Ngassa''et le robinet ''bazbouz'', s'ajoutant à la bourde communicative d'Akhnouch ayant montré être l'enfant de sa mère décédée au tremblement d'Agadir avant qu'il ne soit né. Puis, un Benabdellah du PPS s'emportant à la première averse verbale à son encontre, au point d'user de mots ''kaoued Aliya'' comme baroud à minimiser son rôle dans cette non maintenance politique au gouvernement.

       D'ailleurs, aux réserves qu’émettent, déjà, beaucoup d'analystes politiques avertis non inféodés à aucune partie prenante, concernant l'impossibilité de l'exosquelette qui sera greffé à ce gouvernement, en l'occurrence les technocrates de l'aider à s'en sortir indemne d'ici 2021 au moment des élections. N'est-ce là, le substrat de cette tournure des évènements soulevant au moins deux questions ? Primo, entre Othmani et Akhnouch qui va duper l'autre au remaniement ministériel, alors que la grande partie des solutions sociales et économiques viendront de la Commission Spéciale qui verra, elle aussi, le jour prochainement ? Secundo, ce gouvernement hybride, probablement avec la part du lion aux technocrates, sauvera-t-il le PJD de sa descente aux enfers ou carrément mettra-t-il le RNI en affrontement direct avec le PI qui aiguise ses longs couteaux pour le trophée électoral 2021 ? Et ce, étant donné que le PAM et l'USFP n'arrivent toujours pas à se remettre en scelle pour raison interne d'Egos et autres. En effet, comment ne pas être profondément déboussolés, alors qu'on s'attendait sortir des tartufferies des conservateurs hypocrites et des sottises des réformateurs naïfs, pour donner à la politique ses lettres de noblesse ? N'est-ce pas qui vivra verra que trop d'artifices politiques nuisent à l'essentiel ? A bon entendeur, salut !