vendredi 27 septembre 2019

LES COMPÉTENCES EN POLITIQUE, TOUT LE MONDE EN PARLE AUJOURD'HUI !

EST-IL DE L'INTÉRÊT DU MAROC D'IMPOSER AU PROCHAIN GOUVERNEMENT DES COMPÉTENCES EN DEHORS DES PARTIS POLITIQUES ?

       C'est le sprint final pour l'annonce du gouvernement remanié, version qui repose sur un nouveau cycle consolidé par l'acte II du pacte social et économique viable. Verrait-on donc, pour de bon, atterrir des compétences à ce gouvernement hors partis coalisés ? En tous les cas, si Othmani ne peut relever ce défi qui lui a été signifié à l'audience royale, une autre alternative s'imposera d'elle-même. Ainsi, pourrait-on dire, d'autres consultations démarreront, sans se laisser déborder par les sous-mariniers de la partisanerie stérile. Et ce, afin de rendre parfaitement clairs les messages que portent les discours royaux du 30 Juillet et 20 Aout 2019. À cet effet, la question qui s'impose c'est comment le Maroc peut-il souscrire à cette démarche à laquelle il estimerait être de son intérêt d'imposer des compétences venant des circuits publics et privés ? N'est-ce, du fait que la coalition gouvernementale bat déjà de l'aile, reconnaissant implicitement, dans ces conditions, la légitimité de cette option créée par les tartufferies de quelques ministres dont les Pjdistes ?

       Mais pourquoi Othmani se cache-t-il derrière la logique de l'Article 47 de la Constitution, en disant à qui veut l'entendre que les compétences au sein du gouvernement ne peuvent venir que de l'intérieur des partis coalisés ? N'est-ce pare qu'il veut faire croire à tout le monde qu'il ne forme pas un corps expéditionnaire sous ses ordres mais un gouvernement ramassé costaud et cossu politiquement parlant. C'est-à-dire, pour que le Roi lui donne son accord, et donc ne pas perdre la face, car à son avis, la précipitation n'en vaut pas la chandelle. D'où, son mutisme calculé de ne montrer qu'il n'ait pas pris garde des messages sociaux menaçants qui se forment au dessus du Maroc. Dont, des institutions de surcroît constitutionnelles pilotées par des gens sérieux, tels le HCP la Cour des Comptes le CNES-E et Bank Almaghrib, en ont relayé leurs mécontentements par rapport à la gouvernance du moment au sein de l’Exécutif. D'ailleurs, n'est-ce là où le bât blesse, de voir que cette évidence n'apparait pas comme telle chez les protagonistes au parlement marocain avec ses deux chambres ? De par leur affrontement continu qui a seulement valeur symbolique dans leur jeu de démocratie directe n’augurant rien de bon. Même sachant que les compétences sont une clé indispensable à la bonne gouvernance par la capacité à s'organiser, à s'adapter, à être autonome dans la prise des décisions et/où à travailler en équipe.

       Alors, dans l'attente de la vraie intégration du concept de "COMPÉTENCES" par la majorité et l'opposition, il est difficile pour elles de contester la pertinence de ces remarques-objections sous-entendues. Autrement dit, si rien n'est récupéré rapidement, ça devrait précipiter les périls non seulement du gouvernement Othmani, mais aussi des aspirations de tous les politiques cherchant à s'octroyer une autre démarche parce qu'ils se croient au dessus de tout soupçon. En particulier ceux qui émettent l'opinion qu'il eût été plus judicieux de dynamiser les compétences qu'ils ont sous la main. N'est-ce là où l'on voit, que le chef du gouvernement se trouve en présence d'un redoutable complexe de difficultés interférant les uns aux autres ? Qu'évidemment ne lui permettent de solutionner la situation dont se trouve le pays en matière d'autorité sans compétence et vis-versa. En cela, pour être plus clair, n'est-ce la compétence en politique c'est le pouvoir d'agir pour le développement du pays et pour l’intérêt du peuple, de réussir la gouvernance et de faire progresser l'économie et le social en même temps avec des réformes porteuses d'espoir dans la mesure du possible ? Tout simplement en respectant la parole donnée au moment des élections, par la réalisation adéquate des programmes liés à la ligne directrice du gouvernement. A bon lecteur, bon décryptage !

dimanche 22 septembre 2019

LE RETOUR IMMINENT DU TECHNOCRATE PRODIGE BENMOUSSA CHAKIB.

BENMOUSSA CHAKIB, UN TECHNOCRATE DEVENU POLITIQUE NE S’APPUYANT QUE SUR LES CHIFFRES ET LES COMPARAISONS. 
      Est-il vrai qu'il n'aime pas les rythmes politiques où l'on ruse, l'on biaise et l'on triche, ne faisant que ralentir la cadence du changement ? N'est-ce, avec la médiocrité tactique gouvernementale actuelle qui consiste à noyer le poisson par des argumentations spécieuses, le chaos sociétal ne tardera guerre ? Voilà pourquoi, avec Chakib Benmoussa, à la tête de la Commission spéciale dans l'acte II du nouveau pacte social pour le développement préconisé par le Roi Mohamed VI, l'accompagnement sera positif. D'ailleurs pourquoi pas à la chefferie du gouvernement s'il advient que l'actuel chef Ottmani ne puisse en constituer un gouvernement aux normes dictées par le souverain pour que la volonté des marocains de l'intérieur et de l'extérieur s'interpose. Comme ça, le volontarisme de ce technocrate-prodige politiquement doué, ne se perdra même en continuant à communiquer par les chiffres et les comparaisons. Franchement on peut le dire, n'a-t-il depuis toujours professé un respect des opinions d'autrui, et conjuré ses semblables de faire de même. Et ce n'est nullement un manque d'autorité, parce que son incroyable parcours providentiel l'ayant projeté au ministère de l'intérieur n'était pas dû à sa proximité mais sa perspicacité de par sa haute formation polytechnicienne ? 
       Évidemment, tout le monde le sentait au ministère de l'Intérieur toujours soucieux de faire bonne figure et surtout meilleure besogne, ne se plaçant dans aucune bascule où l'automatisme de gouvernance peut engendrer des torts à l’État. De sorte qu'en plein éclatement de l'imbroglio des puzzles de l'affaire "Bellierj", il l'annonçait cette péripétie comme série fictionnelle illustrant la pure vérité. Dont, les marocains se souviennent encore qu'ils étaient médusés en ayant les yeux rivés sur la télévision lors de sa sortie médiatique d'un ton juste sans expressions rébarbatives. En revanche, pourquoi personne ne peut nier que les marocains sentant leurs cheveux se dresser sur leurs têtes, avaient pris l'affaire la leur ? Allant jusqu'à s'en moquer du courant légaliste comme aussi des propagateurs de controverses qui tiraient dans tous les sens sur lui. A cet effet, avec le temps il s'était fait remplacer puis l'amnistie des politiques inculpés fut proclamée. Tellement, dans son court passage à vide, certains pensaient que ses retrouvailles avec l'humble l'avaient rassuré, découvrant qu'en politique rien n'est simple. Du moins, pour lui c'est clair maintenant, car affirmer une vérité ce n'est pas ébaucher des soupçons sur le déroulement des faits, où énoncer des certitudes en accord avec une quelconque conviction. Étant donné que ça ne peut engendrer que des batailles juridictionnelles interminables, surtout dans un pays qui cherche à ordonner le moulage de sa démocratie naissante. Assurément, loin de se laisser décourager par cela, il a renoué avec les désirs sous-jacents qui l'animaient pour se refaire une santé, et ne pas sombrer dans l'oubli où s'opposent les comparaisons attendrissantes suggérées par la compassion ou la manipulation. 
       Oui, il fut récompensé par le poste d'Ambassadeur du Maroc en France Andores et Monaco, et ce, après son passage à la tête du CCSE devenu par la suite CNES-E en tant qu'épandeur de bonne gouvernance économique sociale et environnementale dans les consciences des nantis et décideurs en faveur des laissés pour compte. Aussi, aujourd'hui tout le monde comprendra qu'il s'agit d'une nomination à la tête de la Commission spéciale pour l'appropriation du concept intégrant les nouvelles bases sociales économiques culturelles écologiques et politiques de la régionalisation avancée. Et non de recyclage circulaire dans des postes stratégiques dans un Maroc ambitieux sécurisé indivisible et solidaire. Et tout compté-pesé, le Maroc en bénéficiera de son expertise d'accompagner sans faiblesse la dynamique enclenchée par le souverain, surtout après les discours mémorables du 30 Juillet-20 Aout 2019. D'autant plus, n'y avait-il déjà pris acte en veille de l'adoption de la Constitution du 31 Juillet 2011, en annonçant qu'il faille que les politiques sortent du manichéisme à tout vent et bannir leurs réjouissances étalées tambours battants ici et là ? C'est ainsi l'on peut affirmer, que sa profonde réflexion sans opportunisme s'est forgée et/où l'avenir du pays n'est pas écrit à l'avance, mais se construit par des hommes et des femmes en connaissance réelle de l'évolution cartographique des disparités économiques-sociales-politiques et sécuritaires locales régionales et internationales. Finalement, n'est-ce, ce désir conscient que doit traduire la Commission spéciale par ses offres consultatives d'interactivité avec le prochain gouvernement quel qu'il soit ? Ce qu'effectivement poussera à en découdre avec les pratiques du passé, par la matérialisation sur le terrain de la nouvelle charte sociale ? A bon entendeur, salut !

vendredi 13 septembre 2019

LE RÉGIME ALGÉRIEN A TOUJOURS LA COLÈRE DU PEUPLE EN FACE ET AUSSI LE TEMPS SUR LE DOS À PROPOS DU SAHARA MAROCAIN.

N'EST-CE LÁ OÙ LE LIMOGEAGE DE JOHN BOLTON COMPLIQUE L'ATTITUDE DU RÉGENT AUTOPROCLAMÉ GAID SALAH VIS-À-VIS DU MAROC ?

       Gaid Salah est toujours en difficulté au trentième vendredi du "Hirak" même dans son petit jardin de prédilection. Déjà le déséquilibre immense  dans ses discours officiels pleins d'incohérences, le montre plus énervé à l'égard du voisin de l'Ouest le Maroc. Ne voulant en aucune façon se rendre à l'argumentation du Secrétaire Général de l'ONU de se fixer sur l'initiative viable et sérieuse qu'est l'offre marocaine 2007. Et comme un malheur ne vient jamais seul, le coup de Macron au G7 par la venue surprise de l'iranien Darif à Biaritz, n'eut-il comme conséquence immédiate le coup de Trump en limogeant John Bolton le faucon ? Encore que, sans être médisant, Trump a fait la politesse à son ex-conseiller à la sécurité de l'informer par un "tweet" comme à son habitude. Lui rappelant, par la suite dans une note, que seul le Président peut envisager les transactions en matière des programmes de dénucléarisation ou de déstabilisation des régions en connivence avec la CIA et le Pentagone. Surtout, quand il y a des risques de dérapages par choix stratégiques de la terreur des crachats de missiles. Comprendront ceux qui pourront, notamment par rapport à l'Iran la Syrie l’Afghanistan l'Ukraine et la Corée du Nord avec derrière la Russie et la chine   ! Et, de fait, cet évènement au sein de la Maison Blanche a mécontenté le pouvoir algérien, laissant déprimé le régent autoproclamé Gaid Salah qui, tels les polisariens a été mis en présence du fait accompli. Même si, ce limogeage était prévisible, au vu de la place prépondérante prise dans le sillage du Président Trump par son gendre le jeune kushner. 

       À l'évidence, n'est-ce cela qui corrobore le fait qu'on a donné satisfaction et une compensation à ce gendre, faisant part d'une intime conviction qu'à l'heure actuelle il fallait se débarrasser de John Bolton. Comme ça Gaid Salah pourra comprendre que kushner, en tant  que Conseiller politique de son beau-père le Président, n'a que foutre du Polisario. En effet, aux premières nouvelles du coup de massue de Trump sur la tête de Bolton comme quoi il n'a plus besoin de ses services, la question pour le pouvoir algérien c'est d'essayer de rétablir à la Maison Blanche d'autres relais pour faire luire son soi-disant prestige par les offrandes pétrole-gazières-dépendantes et autres cadeaux onéreux. C'est dire que Gaid Salah pleurant à chaudes larmes est assailli par le doute suite à la colère des algériens, il ne veut lâcher le morceau et continue à en faire trop dans son ingérence dans le dossier du Sahara marocain. Tout simplement, parce qu'il redoute qu'en contre-coup de ce limogeage expéditif, le Polisario se sachant cloué au pilori, ne tienne plus à l'autodétermination mais à l'autogestion dans la régionalisation avancée sous l'égide du Maroc. En cela, déjà des prémices au sein de l'ONU de recommander une solution totale et finale dans le cadre de l'offre marocaine 2007 est sérieusement envisagée. Alors même que les sbires du pouvoir algérien au Secrétariat Général et dans les instances internationales atténuent, toutefois, la rigueur de cette possibilité. Allant jusqu'à ajouter que c'est une tentative pour faire accepter à la junte militaire algérienne le Nom du successeur d'Horst Kohler le démissionnaire.

       Maintenant, l'on peut dire, ce qui reste du pouvoir algérien sait que la carte du Maroc restera intouchable. Et que ça ne servirait à rien que Google continue à la traficoter à mauvais escient. Tantôt par des pointillés tantôt par contraste de coloration sur le Sahara marocain. Puisque, tôt ou tard, la solution finale sera avec le peuple algérien en colère sur ses dirigeants actuels à propos de leur position erronée et sans fondement légal vis-à-vis de l'Histoire du Maroc et son intégrité territoriale. Effectivement, ce n'est pas un hasard dans l'agenda de Trump provoquant ce coup de tonnerre par le limogeage de John Bolton, s'ajoutant à la nomination d'une diplomate chevronnée aux Nations-Unies. Mais qu'en pensent nos analystes attitrés en Études Stratégiques à ce propos ? Ne s'agit-il, en partie dans la région MENA-Sahel subsaharienne, de la complicité active du DEA sous Pompéo pour exercer la pression sur Gaid Salah ? D'ailleurs, qu'on se le dise une fois pour toutes, le Maroc voit d'un mauvais œil l’ingérence sans fin du pouvoir algérien, d'où Bolton avait construit son choix de chantage du Maroc sans guerre. N'est-ce, ce qu'à maintes reprises a poussé le Maroc à adresser des missives d'un ton  aussi calme que décidé au Secrétaire Général de l'ONU. Non seulement sur les atermoiements de l'Algérie, mais surtout les gesticulations du Polisario en Zone Tampon à l'exemple de Guergaratte Mjik Tifirati et autres ? À bon suiveur, bonne lecture ?

mardi 10 septembre 2019

FINI LE CYNISME AVEC LEQUEL LES GOUVERNEMENTS ONT VIOLÉ LEUR PAROLE !


C'EST DONC, UN AUTRE DISPOSITIF SOUVERAIN MAROCAIN EN ÉCONOMIE SOCIALE QUI S'INSTALLERA ET S'ALLONGERA PAR L'ACTE 2 DU NOUVEAU PACTE SOCIAL.

      Aujourd'hui, le Maroc est-il vraiment devenu un Hub pour les investisseurs étrangers de tous les horizons ? Il faut croire que oui, parce qu'articulant depuis l'avènement du nouveau règne une stratégie de développement tourné vers l'effort de construction d'un État moderne et fort. Même si, au moment où il a commencé à libérer les énergies du pays par les privatisations, beaucoup d'économistes doutaient de sa capacité à se moderniser, à cause de son administration ankylosée et de sa classe politique structurellement perfide ne semblant pas au niveau des projections attendues du changement. Bien sûr, ceci n'était pas sans revers sur les institutions pour raison de non réalisation des réformes audacieuses sans l'utilisation d'artifices de substitution au schèmas voulu. Sauf que, les choses se sont précipitées par le caractère urgentissime de l'adoption de l'INDH en 2005 avec des bons et mauvais points en matière d'éxécution des programmes sur le terrain. Dont, il faut le dire sans gêne, il y eut des ratages en gouvernance si ce n'est carrément projection seulement de mirages dans certains secteurs. Tellement, aujourd'hui, après les critiques lancinantes de tous les bords, il est aujourd'hui question d'obligation de rattrapage en gouvernance centrale et locale. Pour mettre fin à la défiance des dilapideurs des deniers publics de l'INDH à tous les niveaux. D'où, l'on peut affirmer que c'est là la garantie conjointe des deux derniers discours du Roi (30 juillet-20 Aout) 2019, pour éviter l'abus des pouvoirs, l'affaiblissement du politique, le développement de la servitude volontaire et la disparition de la vertu civique.  Car ce qui importe c'est la marche souveraine des intitutions, se situant entre le Peuple le Législatif l'Éxécutif et de ce qui ressortira des réflexions de la Commission sur le nouveau pacte social préconisé par le Roi Mohamed VI.

       En effet, c'est une coopération effective exceptionnelle qui s'annonce pour une assistance consultative au futur gouvernement. D'ailleurs pour ne pas l'anesthésier et ne pas ruiner l'esprit de la constitution, elle ne peut s'exercer pratiquement qu'à travers les canaux institunnels fixés par la Constitution que les marocains avaient plébiscité au référendum du 31 Juillet 2011. Sachant même que l'Article 47 n'a pas facilité la transparence dans les nominations aux postes stratégiques, surtout dans la gestion des dossiers sensibles. Ni même donné plus d'espace dans l'application du programme gouvernemental, à cause des mésententes de tous genres entre les partis coalisés de la majorité. Qu'au demeurant il va être difficile de lever en consultation de formation d'un gouvernemrnt des compétences, pour des raisons faciles à deviner. À cet égard, pour être tout à fait plus clair, n'est-ce le développement de l'économie sociale pour des pays comme le Maroc est très lié au rôle surtout de ses institutions ? Par le bon vouloir développeur de l'État  qui, par ailleurs, s'inscrit aujourd'hui dans les débats academiques et intellectuels à propos de cette problématique. Comme ça, afin de mettre en évidence les conséquences immédiates de la mise en place d'un gouvernement de compétences en pleine deuxième phase du modèle de développement typiquement marocain, ne faut-il voir précisément comment s'incarnera l'implication de cette Commission dans l'analyse de la situation. Sans omettre les mécanismes de budgétisation s'y afférant pour diminuer les précarités, améliorer la santé et relever le niveau du modèle de l'Education ? Comment se traduira le choix politique du prochain gouvernement dans l'application des programmes face aux propositions et shémas retenus pour produire et distribuer équitablement les richesses ? Quels seront les effets des nouvelles nominations, par suite au tsunami annoncé au sein de toute l'administration pour l'accompagnement de ce grand chantier plein de défis à relever ? 

       Évidemment, personne ne peut nier que le Maroc a essayé, malgré tout, de se mettre en dynamique politique porteuse du processus de transformation de la société marocaine pour intégrer facilement les choix normatifs de l'acte 2 du contrat social encadrant le développement souverain du Maroc. Ce qu'èvidemment va influencer le cours des choses, dont il faut espérer que la mauvaise gouvernance enregistrée des années durant ici et là, en plus sans réditions des comptes ni poursuites judiciaires jusqu'à présent, ne soit plus extensive et dévastatrice des espoirs. Cela, en effet, suppose que la Commission qui verra bientôt le jour, puisse établir des plans lisibles et monter des shèmas techniciens de développement facilement assimilables. Qu'au demeurant, tiendront compte des contrastes socioéconomiques culturels et géographiques des territoires dans le cadre de la régionalisation avancée. Et, par conséquent, soient réalisables selon un agenda précis dans des délais impartis corrects, sans présenter de difficultés insolubles sur le rapport d'implication public/privé. De fait, maintenant, tout le monde sait que le Roi Mohamed VI veut accélérer l'engagement du pays dans le sillage des pays africains asiatiques et latino-américains à la trajectoire tendant vers l'emergence. En cela, à bien des égards, l'image que le Maroc donne à présent à l'étranger de son développement est assez bonne. A ce titre, ne peut-on dire, il compte déjà après tant d'efforts, parmi les pays africains à croissance enviable ? N'est-il devenu la première place financière en Afrique, parce qu'il présente des potentialités d'investissements très rémunérateurs ? On peut même dire, les opportunités se sont améliorées convenablement de pair avec la requalification macro économique du pays ? Et ce, malgré les huit ans de gouvernance à coloration pjdiste au sein de l'Exécutif sans valeur ajoutée ni politique ni socio-économique. Presque à contresens du développement hétérogène de l'économie sociale, ayant  commencé à faire perdre au Maroc sa classe moyenne. Ce qui présente un sérieux doute sur la capacité d'intégration du gouvernement à sa tête le PJD, de ce que c'est le développement au sens vrai du terme. Notamment, s'il ne change pas son code d'hégémonisme politique stérile et puérile, risquant de menacer la paix sociétale en comparaison avec les pays du bassin méditérrannéen. A bon suiveur, bon décryptage !