L'ANNÉE 2021 EST CELLE DES HONNEURS DIPLOMATIQUES AUX MAROCAINS PAR EXCÉLLENCE.

L'ANNÉE 2021, N'A-T-ELLE RECOUVERT TOTALEMENT LES ÉCHANGES DE CABLES CODÉS DES CHANCELLERIES DE PAR LE MONDE ?

      Plus l'Algérie continue de chercher des poux au Maroc, plus elle le trouvera en meilleure forme et position pour la stoppper net. D'ailleurs cela ne fait, une fois de plus, que contribuer à la clarification de la situation dont on comprend la chape informationnelle en interne qui coupe les Généraux-Caporaux vert-kaki (Kabranates França) de la réalité sur le terrain. À l'exemple du reniement du rapport de la Banque Mondiale qui a traîté des insuccés économiques flagrants augurant d'une faillite prochaine de l'État algérien et par conséquent d'un chaos dangereux. Alors que le Maroc est entrain de faire évoluer la paix sociale même étant dans un bras de fer géopolitiquement déterminant avec le voisin du Nord. Aussi, à dire vrai, le discernement des dirigeants algériens ne varie pas seulement par effet de manque d'intuition mais par dispertion de l'irrationnel en voulant briser le voisin de l'Ouest par rancune-rancœur et haine viscérales. Un état d'esprit qui en dit beaucoup de leur psychologie en ces temps d'augmentation des tensions, car n'aquiéscent ni la puissance affichée du marché d'exportation marocain jusqu'à l'insolence des chiffres, ni les succés d'appel des investissements étrangers nombreux et encore moins la stratégie Zéro mercenaire propolisarien en Zone Tampon à l'Est au-delà du Mur au Sahara marocain. Dont le Maroc a investi un programme de défense géostratégique colossal pour ne laisser les ennemis aller très loin dans la provocation.

       Évidemment, vu le desastre ambiant côté Algérie-Tunisie et Mauritanie, plus forte encore est la conviction de leurs peuples respectifs de se joindre au Maroc pour renforcer l'existence du Maghreb unifié. Dont, il est vrai qu'il s'y est préparé à flux tendu depuis belle lurette à tous les niveaux et cas de figures. Faute d'entente avec le régime algérien productif de disgressions itératives anti Maroc, telles ses positions sur la présidence du Comité Al Qods, sur le nettoyage de Gargarattes et la Zone Tampon à l'Est du Mur, en plus des harcellements des paysans marocains à Al Aarjat en région de Figuig. Sans omettre les vociférations à voix hautes sur le ciblage par drones des polisariens qui y s'aventurent ne valant à peu près rien devant la determination des FAR (Forces Armées Royales) et du peuple marocain tout entier à assurer la souveraineté et l'intégrité du Royaume. Autrement dit, face à toute donnée conjoncturelle réelle ou hypothétique c'est un raisonnement sans faille ni incantation de les dompter les maîtriser et les surveiller pour en finir avec ces loubards apprentis terroristes soutenus par les voyous de la politique à Ksar Almouradia d'Alger en Afrique du Nord et dans la bande sahelo-saharienne.

       Ceci dit, la question qui taraude, est-ce que ça ne vaut pas la peine de crever l'abcès une fois pour toutes avec CHENGRIHA et TEBBOUNE ? Qu'au demeurant, ils sont au bord du Burn-Out ainsi que leurs relais, à l'exemple du tartuffe Kaiss SAED à Ksar Carthage de Tunis et de l'espiègle Mohamed OULD CHEIKH AL GHAZOUANI dans les tentes caïdales de la présidence en Mauritanie. Et, auquel cas, mettre ce régime en fin de vie, dans l'impossibilité de revivre dans la multiplication de ses paris de continuer de narguer le Maroc. Ne faut-il en voir par là, la consecration du pragmatisme diplomatique recouvrant d'honneurs le Royaume Chérifien pour sa cohérence sa lucidité et sa clairvoyance ? Et donc, quelque part, montrer l'Algérie humiliée, sans compétence géopoltique et diplomatique au Grand Maghreb. Ne pouvant en aucun cas imposer ses thématiques à la Ligue Arabe au prochain Sommet d'Alger en Mars 2022 s'il a lieu. Parce que, c'est indispensable de se référer aux procédures des choix géostratégiques marocains en raison de leur qualité particulière grandement appréciée à l'UA à l'UE et surtout au Conseil de Sécurité de l'ONU. N'est-ce, cela, qui a provoqué la lassitude chez CHENGRIHA et TEBBOUNE voyant tout ce que fait le Maroc dans sa profondeur africaine par des partenariats gagnant-gagnant comme lestage conséquent de plus sur eux ? Ne s'agit-il là aussi d'une préconisation géostratégique de l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël après le coup magistral de Donald TRUMP il y a un an presque jour par jour ? S'ajoutant à la coopération technico-militaire sans précédent avec Tsahal qui fait envier l'UE, y compris dans les connexions et échanges de renseignements très sensibles intérieurs et extérieurs entre Rabat et Telaviv. À bon entendeur, salut !

MADRID ET ALGER TOUJOURS À LA TRAÎNE SOUS LES YEUX DE RABAT.

LE MONDE ENTIER EST TÉMOIN DES CONSÉQUENCES QU'A ENTRAÎNÉ L'ACTE SCÉLÉ DE COOPÉRATION TOUS AZIMUTS MAROC-ISRAËL SUR LE MORAL ALGÉRIEN ET ESPAGNOL.

      Il y a plus de 21 ans, lorsque le Roi Mohamed VI accéda au trône, les choses semblaient confuses au moment de la crise de l'Ilot "Laila" et en laissèrent perplexes plus d'un par l'attitude d'Aznar Chef du gouvernement d'alors. Or, aujourd'hui, la perplexité a laissé place aux convictions côté Maroc pour le recouvrement de tous les présides spoliés par l'Espagne, prioritairement Sebta Melilia et Iles Jaaffarines. Et, dont les FAR (Forces Armées Royales) DGED DGDST et autres centrales assimilées s'y sont préparées dans la discrétion absolue depuis, pour assurer sécurité et défense dans la mesure où ces présides sont devenus le champ des engagements diplomatiques pour les récupér sans effusion de sang. Comprendront, ceux qui pourront ! Un enjeu caractérisé par les déclarations politiques se mêlant ici et là à des constats stratégiques d'où il importe d'assimiler les visions géopolitiques qui se cachent derrière. Autrement dit, que détermine-t-elle cette stratégie du Maroc de porter tort aux vélleités espagnoles ? A-t-elle été conçue comme précurseur de l'espace apaisé des futures négociations par la force des choses entre Rabat-Madrid ? Sachant, dans l'intérêt du bon voisinage, d'après les notes confidentielles de l'Armée espagnole, que le Maroc est en capacité militaire de les reprendre en moins de 4 heures. 

       Néanmoins, n'est-ce là, le fait nouveau après la reprise tous azimuts en "ON" de la coopération Maroc-Israël et la volteface de l'Allemagne, désormais sans Merkel Tebboune-compatible ? Laquelle, au demeurant n'estimait-elle il n'y a pas longtemps que c'est l'occasion de rester sur le démembrement du Royaume chérifien sans prendre son offre d'autonomie 2007 au sérieux ? De fait, que faut-il alors penser de tous les événements qui ont marqué l'année écoulée après l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël depuis le coup de Donald TRUMP pour la reconnaîssance de la souveraineté du Maroc sur la totalité de son Sahara ? Mais, la question qui taraude, n'est-ce, quels en sont les actes les plus remarquables dans le traîtement du Conseil de Sécurité de ce dossier ? Autant l'annoncer avec clarté, si on demande quelle place occupe le Maroc dans cette entente, on pourrait dire qu'elle relève de la nécéssité de la nouvelle donne géostratégique mondiale pour le renforcement de la thèse marocaine. Dont, la Suisse la France le groupe Visgrade-4 le CCG le Royaume-Uni le Japon le Canada le Pakistan la Chine l'Inde et même la Russie perfide, en ont manifesté un intérêt pour la mise en pratique de l'offre d'autonomie 2007. Et c'est là où l'on voit que Ksar Almouradia d'Alger et le ministère de la défense sont squatés par des aliénés voire des fous. Car, sont inconscients de leurs vociférations mal placées et colportassions de mensonges hors du temps entre mythes et contes de fées. Ce qui les montre incapables de discernement et de raisonnement probants dans ce conflit préfabriqué du temps de KADHAFI et BOUMEDIENE. À même jusqu'à faire aujourd'hui de l'Algérie un État voyou qui, sans cesse, nargue et harcèlle tous les voisins. En particulier le Maroc dont la géopolitique réelle consistante et structurée est soutenue par la Communnauté Internationale, l'UE, l'UA et les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU. À bon entendeur, salut !

LE MAROC A ÉTÉ BEAUCOUP PLUS INDULGENT VIS-À-VIS DE L'ALGÉRIE.

L'IDÉE QUE L'ALGÉRIE EST UNE GRANDE NATION EST FUNESTE AUX YEUX DES HISTORIENS RIGIUREUX NON CORROMPUS.

       Bien avant son Indépendance en 1956, le Maroc savait que recouvrer et protéger toutes ses frontières est la première des souverainetés. Il en a même fait, à ce jour, son profilage diplomatique et déterminisme géopolitique. Loin de toute contagion d'expansion hégémonique comme le fait, malheureusement encore, l'Algérie des Caporaux-Généraux. Ainsi, l'on peut dire, c'est même un signal des revendications  marocaines que le Sultan Ben Youssef Mohamed V, avait envoyé aux Nations-Unies il y a 66 ans. Dont, les faits sont excéptionnels témoignant de l'adhésion du Maroc à la légitimité historique et à l'expression du droit dans la continuité sans sensation ni tentation d'usurpation. Voilà pourquoi, pour faire face à l'attitude hostile de l'Espagne et au bellicisme honteux de CHENGRIHA et TEBBOUNE, il envisage de créer une base militaire avec des radars et systèmes de défenses anti drones et anti missiles. Comme dome de protaction en partenariat d'excéllence d'armement avec Isarël aux alontours de Melilia. Une occasion de trianguler ses aspirations d'armement dans le cadre de l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël par la mobilisation des hélicoptères "APACHES" et le déploiment des batteries "PATRIOT" le long du Mur au Sahara marocain. En plus de ses engagements envers d'autres fournisseurs conventionnels comme la France l'Espagne l'Allemagne la Chine la Russie l'Italie le Brésil et la Turquie.

       Aussi, quelle est donc la conséquence immédiate sur le comportement du régime à Ksar Almouradia d'Alger de cet engagement du Maroc en ON avec Israël, si ce n'est la perte de sommeil de CHENGRIHA ? D'ailleurs, on ne peut pas penser que le CCG comme les USA et le Royaume-Uni n'aient été informés de l'élaboration de ce mégaprojet. Par lequel, par ailleurs, le Maroc affirme la densité du système activateur ascendant de son rôle géostratégique sécuritaire capital dans la région MENA-Sahel-Subsaharienne. C'est évidemment, ce qui fera apparaître au monde entier la part espiègle voire noire de l'Algérie dans le conflit du Sahara marocain. À dire vrai, l'arnaque mediatique que l'Algérie est une grande nation est funeste. De fait, aux yeux des historiens rigoureux non corrompus, elle est même considérée grande gueule. Dont, la France souhaite maintenir son influence, tandis que, la Russie désire s'en établir par une base navale dans l'oranais et aussi via le groupe WAGNER qui possède déjà des appendices de mercenaires en Lybie et dans la bande Sahelo-saharienne. 

       À cet égard, il suffit de jeter un coup d'œil sur le déclin que vit l'Algérie pour comprendre l'absurdité criarde de son opposition à la création de cette base sophistiquée à quelques kilomettres de Maghnia. En somme, un enclos national et juif qui sera le siège de l'industrie de fabrication de drones kamikazes et autres armes létales dissuasives sous le drapeau marocain sur la base des accords d'Abrahams. Autrement dit, pour le Maroc qui a été beaucoup plus indulgent envers le régime algérien, l'idée de diversifier ses alliances pour protéger ses partenariats stratégiques avec l'UE est une lucidité. Non seulement, pour former une puissance défensive garantissant la solidité de l'État face au non pacifisme des gens à Ksar Almouradia d'Alger. Mais aussi, pour ne jamais s'agenouiller ni s'excuser devant les Caporaux-Généraux vert-kaki de ce régime devenu le pion que manœuvrent la France l'Espagne l'Italie et l'Allemagne. En quelque sorte, assurer et assumer la force tranquille du Maroc sans menace à l'entourage et sans tremblement dans les prises de décisions. N'est-ce là, un profil de responsabilité politique et militaire pour la sauvegarde de l'équilibre de paix entre Rabat-Alger ? Et ce, sans illusions en sortant du ressenti comme une injure aux appels de cohérence et coexistance des cinq peuples maghrebins dans l'attente de l'élaboration du Grand Maghreb. À bon lecteur, bon décryptage !

LE RÉGIME ALGÉRIEN VERT-KAKI N'EST-IL DÉJÀ DANS LE SAUVE-QUI-PEUT ?

LE PEUPLE ALGÉRIEN NE VEUT PLUS DE CE RÉGIME QUI LUI GARANTIT DE MOURIR DE FAIM AVEC LA PERSPECTIVE DE LA GUERRE CIVILE.

       Aujourd'hui, l'on peut affirmer, les caprices du régime algérien se situent exclusivement à l'Ouest. Dont les objectifs braqués par ce comportement dangereux sont le harcellement et la division du Maroc. Il reste que du point de vue géopolitique cet enveniment de l'état actuel des relations Rabat-Alger est nocif pour toute la région MENA-Sahel-Subsaharienne. Parce qu'en faisant de lui la cible à abattre pour casser son envol économique et sa détermination de lutte antiterroriste, il est certain que la recession avec les inévitables dépassements antidémocratiques se dérouleront comme s'il s'agisse de région fermée. Tellement, l'on peut annoncer que la gravitation de certains pays limitrophes autour des malfrats Caporaux-Généraux vert-kaki ne fera qu'entretenir l'altération de leur neutralité passive longtemps étalée sans peur dans le conflit du Sahara marocain. En tout cas, on peut affirmer à ce propos, que le peuple algérien ne veut plus de ce régime qui lui garantit de mourir de faim en plus du risque d'éclatement de guerre civile. 

       En quelque sorte, ce peuple frère a horreur d'une Algérie emiettée et affamée dans un chaos où les séparatismes n'attendent pour s'ordonner que la première étincelle. Évidemment, de ce constat, tous les observateurs et analystes en géopolitique au Maghreb vantent le calme et la sérénité du Maroc face aux vociférations, véhémences et menaces du régime militariste algérien. Ce qui prouve que l'enragement de CHENGRIHA TEBBOUNE et LAAMAMRA vit un temps mort dans le bras de fer géopolitique sur le Sahara marocain. D'autant plus, n'annulant ni les interférences sur les libertés et la nécéssité de production pour le développement. Et encore moins les défections en séries vers l'Étranger d'Officiers de hauts rangs, confirmant l'état de délabrement avancé des Institutions en "Algérie nouvelle". Aussi, il n'y a pas de raison de voir ailleurs une autre solution au conflit préfabriqué par KADHAFI au Sahara marocain que d'imposer à l'Algérie et sa chimérique protubérance Polisario l'offre d'autonomie 2007. C'est d'ailleurs ce que promeuvent toutes les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU depuis cette date. 

       De fait, on ne comprend pas pourquoi l'Afrique du Sud se positionne-t-elle toujours dans le déni de cette réalité ? Étant donné que sa ministre des Affaires Étrangėres a montré un désinteressement hallucinant à l'unicité territoriale de l'Algérie après sa dernière visite à Brahim GHALI à Tindouf. En somme, une duplicité dans la reconnaîssance de la souveraineté algérienne et polisarienne sur les camps de la honte dans toute Lahmada. Et ce, au vu des conséquences de la chronologie des attaques de ciblage par les drones marocains des hordes polisariennes, après le nettoyage de Guergaratte et le balayage de la Zone Tampon à l'Est du Mur par les FAR. À dire vrai, cela montre que depuis le retour du Maroc au sein de l'UA, l'Afrique du Sud constitue avec l'Algérie qui décaisse beaucoup d'argent, le tandem énigmatique de la diplomatie Zéro africaine. Ce qui traduit, de facto, leur complexe vis-à-vis du Maroc d'où, l'on voit déjà le régime vert-kaki changrihaéen dans le sauve-qui-peut incarnant ses échecs tous azimuts. À bon entendeur, salut !

LA TUNISIE RISQUE DE DEVENIR LE SQUELETTE DANS L'ARMOIRE DES CAPORAUX-GÉNÉRAUX ALGÉRIENS.

EN CAS DE DÉSACCORDS ALGER-TUNIS, LA RIPOSTE DES CAPORAUX-GÉNÉRAUX ALGÉRIENS NE SERA JAMAIS CONVENTIONNELLE.

      Après l'adoption de la Résolution 6202 du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le Sahara marocain, l'on peut aujourd'hui dire, sans résérve que l'Algérie par ses chantages et pressions, fait subir à la Tunisie les pires rétorsions diplomatiques. En la faisant souffrir surtout, de l'inattention envers elle par la Ligue Arabe unanime dans son soutien au Maroc. Ce qu'évidemment, en plus la met dans une situation politique compliquée devant les instances de l'UA. Notamment, la Commission présidée par Moussa Mahamet FAKI qu'auparavant a musclé ses réponses envers l'Algérie, car ne voulant plus faire survivre la RASD en son sein. Tellement, les coincidences sont bien au-delà de l'invraisemblable jeu des Caporaux-Généraux algériens, exacerbant et exaspérant de ce fait les observateurs assidus non corrompus de l'Histoire politique de l'OUA devenue UA. Finalement, on n'est pas loin de l'envoûtement sombre de l'ingrât Kaiss SAIED, par le modèle algérien au parfum de l'inélégance noire du TRIO de la terreur NEZZAR MEDIÈNE et CHENGRIHA. Lesquels, n'ayant pour attractivité que les coups vivants de l'invention des Fakes-News effrayantes, et ce afin de prouver qu'ils sont indispensables au pays.

       En effet, c'est ce qui explique que L'APN usurpatrice du pouvoir en Algérie depuis BOUMEDIENE, est aujourd'hui considérée par la CIA dans son dernier rapport à la Maison Blanche, hors la loi. Non seulement au vu de son refus de la Résolution 6202 du Conseil de Sécurité de l'ONU, mais aussi de ses exactions envers le "Hirak" et non respect des droits humains et libertés dans les camps de Lahmada-Tindouf. D'autant qu'elle porte de nouvelles reconstitutions du puzzle de la destabilisation dans toute la bande Sahel-Subsaharienne. Par le terrorisme multifacettes, et/où, les vielles ficelles de DRS sont truffées de versions secrètes, à l'exemple des coups sourds qui ont secoué le Mali le Niger le Tchad et la Mauritanie. Dont, Dr Moncef MARZOUKI l'ancien chef d'État tunisien en a à maintes reprises appelé à la vigilance par rapport aux combines mafieuses des illettrés Caporaux-Généraux algériens. En cela, même si la Tunisie apeurée et bègue jusqu'au maître du palais présidentiel de Carthage Kaiss SAIED, elle doit surveiller ses arrières sans être obligée de continuer à jouer le pion de service. Autrement dit, pas un partenariat ni plan d'essai de sa sortie du joug algérien ne doivent filtrer, sinon elle deviendra le squelette dans l'armoire de la "Issaba" à Ksar Almouradia. Étant donné que la riposte envers toutes les Institutions constitutionnelles tunisiennes ne sera jamais conventionnelle ni rassurante et encore moins inoffensive. N'est-ce pas que c'est un régime criminel qui a donné à ses nombreux actes restés à ce jour impunis, des explications farfelues et désinvoltes ? À bon lecteur, bon décryptage !

LE CHOIX DE LA TUNISIE AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU C'EST DE LA VÉRITABLE TRAÎTRISE.

LA TUNISIE DÉCHANTERA LE JOUR OÙ ELLE APPRENDRA QUE L'ALGÉRIE FAIT DE SON VOTE AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU UN NON ÉVÉNEMENT.

      Maintenant, c'est sûr qu'après le coup de poignard de la Tunisie sur le dos du Maroc au Conseil de Sécurité de l'ONU, les relations maroco-tunisiennes vont se desserer. Ce faisant, il convient, toutefois, d'agir avec doigté et un sens rigoureux de la fermeté en proclamant que les couloirs des chancelleries marocaines de par le monde ne se pavoiseront plus jamais aux couleurs tunisiennes. Comprendront ceux qui pourront ! Certes, l'Algérie des Caporaux-Généraux se tient pour satisfaite du comportement de l'équipe de kaiss SAED le Président tunisien ayant négligé d'apporter la moindre indication à la question de la rédaction de la Résolution 6202 sur le Sahara marocain. Évidemment, de par ce constat hilarant la Tunisie s'est conformée au principe de refus de l'Algérie dont on a observé son insincérité au cours de l'explication du vote pour définir sa ligne de conduite. Et d'où, il n'y a pas lieu de douter de son incroyable légèreté en se déchargeant par ce soin sur ses sentiments d'antipathie datant de l'époque du voyou Zine Alaabidine BENALI. En revanche pour le reste, on ne peut pas ne pas qualifier l'attitude de la Tunisie comme traîtrise, qu'au demeurant, s'accompagnera de bruits de casserolles au sein de la Ligue Arabe et à l'UA.

       Aujourd'hui, l'on peut dire on est au cœur du sujet réel dans les relations maroco-tunisiennes. En effet, Tunis a acquiescé aux pressions et chantages d'Alger en embarquant anecdotiquement-orgueilleusement dans l'esprit et la volonté anti Maroc. Allant-même jusqu'à montrer ses intentions stratégiques dans ses perspectives pernicieuses d'intérêts géopolitiques pour l'affaiblir. Et ce, sans avoir ni l'horizon diplomatique ni le cadre sur la limitation de sa naiveté à propos du désir de son remplacement dans l'échelle des nations vivant la meilleure cadence de développenment pour l'émergence à tous points de vue. Mais, pourquoi la Tunisie n'est pas reconnaîssante au Maroc de tout ce qu'il fait pour elle en matière d'aide et assistance ? D'ailleurs, d'une certaine manière c'est dommage, et d'où on ne peut s'empêcher de lancer une critique sur les recommandations de l'Allemagne proclamant la nécessité absolue de stopper l'avance du Maroc. Autrement dit, elle s'est montrée la canaille qu'elle a toujours était pour distraire les pays faibles comme l'Algérie et la Tunisie. Ce qui, par la même occasion, fait plaisir à la Russie dans son double jeu diplomatique dans le conflit du Sahara marocain. N'est-ce pour cela les trois peuples se déclarent résolus à se tenir côte à côte, toutes forces réunies, pour la réalisation d'un vrai espace vital maghrébin dans la paix ? À bon entendeur, salut !

OUI, LE MAROC MANIFESTE SUR LE PLAN MILITAIRE UNE TÉNACITÉ ET UNE RIGUEUR TECHNICIENNE IMPARABLES.

TEBBOUNE AU COURS DE SES NOMBREUX MONOLOGUES MEDIATIQUES, N'A-T-IL MONTRÉ SES SENTIMENTS D'ANTIPATHIE ET DE DÉFIANCE QU'IL ÉPROUVE À L'ÉGARD DU ROYAUME DU MAROC ?

      Désormais, on est en droit de dire, le régime militariste algérien est voué à la disparition. C'est pourquoi il fait le pari de l'escalade, à tout prix contre le Maroc. Et ce, même sachant que ses services de renseignement extérieur civil et militaire ont gaspillé leur temps en lui cherchant querelle. Autrement dit, ils ont montré qu'ils ne sont pas à la hauteur, illustrant de la sorte des ambitions sans compétence dans le domaine. Ceci dit, l'important reste que tous les ennemis déclarés du Maroc ont aussi perdu toutes leurs batailles pour la seule et même raison face à la DGED DGST et la diplomatie multipotente. Tel est le constat qui alimente ces derniers temps les discussions des observateurs avertis sur la cassure du "NIF" de TEBBOUNE face à la determination du Maroc. Ainsi, la giffle réitérée d'Emmanuel MACRON envers cette Algérie sans ossature ni politique ni historique est venue à point nommé. Dont l'analyse structurale du régime algérien est expliquée par la rente de l'histoire manipulée à plusieurs niveaux. Et/où l'idéologique et le politique anti France s'articulent sur l'hégémonisme désuet de la guerre froide Est-Ouest.

       Néanmoins, pourquoi en Algérie le dessein des grands hommes d'État pour l'avenir sans accros ni turpitudes vis-à-vis des voisins n'a plus de place ? À dire vrai, l'idéal du Grand Maghreb est même devenu périmé depuis le complot de BOUMEDIĖNE en 1964. Évidemment, la guerre des sables 1963 nous le rappelle comme quoi les Généraux grabataires et séniles vont encore prendre une autre tannée (Triha) à Guergaratte s'ils se laissent jouer le rapport des forces sur le terrain. Et, ce n'est pas la menace de TEBBOUNE de faire une guerre sans fin qui empêchera les FAR d'avancer en remémorant les nombreuses batailles victorieuses Amgala I et II Gueta-Zemmour Bir-Guendouz Tifirati et autres. D'autant que le Roi du Maroc Mohamed VI a rétorqué fermement à la "Issaba" sur le vœu de voir les FAR se retirer. L'Ayant fait via missive adressée au Secrétaire Général de l'ONU, d'un ton solennel, que l'Armée marocaine restera ad vitam æternam à Guergaratte à Lagouira et en Zone Tampon du côté Est du Mur. Tellement, l'on peut affirmer, le glas a sonné à propos de ce que TEBBOUNE appelle sans rougir la "force de frappe" qu'est l'Algérie. Alors que de nombreux observateurs avertis non corrompus au sein de l'UA de UE et à l'ONU la qualifient de bombe à retardement.

       En effet, TBBOUNE au cours de ses nombreux monologues annonçant que son pays est prêt à tenter l'impossible pour signifier au Maroc puis aux USA Israël et la France son refus de subir l'humiliation sans réagir. Autrement dit, il déclare la guerre à tous sans en mesurer les conséquences sur les structures fragilisées de son pays par le "Hirak" les séparatismes et les déconvenues financiero-économiques voire aussi politico-diplomatiques. De fait, ne peut-on en supposer que par ce jeu de poker-menteur jusqu'à la démonce, tôt ou tard il en paiera le prix. Mais, pourquoi, lui, CHENGRIHA LAAMAMRA CHERQUI et BELANI, continuent-ils dans leur aveuglement, dont tout un chacun aura vu le degré d'antipathie et de défiance qu'ils éprouvent à l'égard du Royaume Chérifien du Maroc ? Même sachant que sur le plan militaire il manifeste une ténacité et une rigueur technicienne imparables, qu'on lui reconnaît dans la formulation de ses plans de bataille. Notamment, lors de ses participations aux manœuvres terrestres aériennes et navales avec d'autres armées sous commandement américain. À bon entendeur, salut !

MACRON SOUFFLE-T-IL SUR LA BRAISE DE L'IMMIGRATION NORD-AFRICAINE POUR FAIRE PÉNITENCE OU PAS ?

LE COUP DE SEMONCE DE MACRON AU RÉGIME MILITARISTE ALGÉRIEN : QUELS ENSEIGNEMENTS ?

       Aujourd'hui, CHENGRIHA TEBBOUNE et LAAMAMRA essayent d'échapper à leur sort qui s'annonce lugubre. Notamment, après l'avertissement brutal d'Emmanuel Macron sur l'exploitation du pouvoir algérien de la fibre anti France. Et ce, comme une rente politique deppuis l'indépendance octroyée par le résultat du Référundum biaisé de Charles DE GAULE en 1962. Maintenant, la question qui se pose, est-ce que Macron l'a-t-il fait en préalable à une action plus dure, avant de faire volte-face sur recommandations de la DGSE ? Pour ne pas aller plus loin dans la tension Paris-Alger, et par la même occasion avantager le Maroc car ne portant ni la DGED ni la DGST en haute estime. Mais pourquoi Macron est allé d'une façon perfide jusqu'à insinuer aliénation et depossession d'eux-mêmes ? En tout cas, rien n'est moins sur, parce qu'à défaut de cette eventualité, c'est la Cour Penale Internationale qui s'en chargera de le leur rappeler. En inculquant l'abolition du culte du silence et du secret d'État dans la conscience des algériens. Dont, le livre paru derniėrement sur les années noires de la décénie 1990-2000 en fait aujourd'hui écho terrifiant. En quelque sorte, une série noire sur "la grande fabrique du terrorisme" par les Caporaux-Généraux algériens.

       Cependant, s'il est aisé de démonter ce qu'on nomme ici au Maroc avec beaucoup de lucidité, le systême algérien haineux et rancunier, n'est-ce pas la tache sera corsée pour Macron qui a déjà reculé ? Une regression notée dans le ton diplomatique qui en dit long sur la France d'aujourd'hui qui est en décomposition politique portant le pire des poisons face à l'interminable jeu de "GO" et perfidies de NEZZAR et MEDIÈNE. Ainsi, il ne faut pas s'attendre à l'effondrement rapide de ce régime sanguinaire, qu'auparavant en pleine guerre froide, il s'était vu soutenu par l'URSS, la CHINE populaire et les pays Non-Alignés. Sans oublier de par la cinetique de protection de l'entité maghrebine de l'époque, le rôle déterminant du Maroc et Tunisie à l'ONU ayant mené à l'indépendance octroyée dont tout le monde en parle.

        En effet, il y a longtemps que l'Algérie n'est plus dans l'enchantement des années 60-70 du siècle dernier. Et, donc, il est necéssaire de ne sauvgarder ce régime qui refuse de reconnaître son statut de "peau de chagrin" qui se voit manger peu à peu par le "Hirak", la situation financièro-économique désastreuse, la cotation diplomatique déconcertante à l'international et les excroissances ici et là des séparatismes. Évidemment, avec un pareil constat, primo que doit-il faire le Maroc, si ce n'est rester en vigilance accrue pour stopper tout aventurisme côté Est et Sud-Est ? Secundo, pourquoi à Ksar Almouradia d'Alger sans aller au fond du problême, on conseille timidement de ne s'abandonner aux incantations de "Mama FRANÇA" ? N'est-ce parce que les décideurs civils et militaires ne peuvent plus se considérer les artisans de la soi-disant puissance régionale immuable sans  la révérence à l'Élysée ? Ce qui signifie et en même temps illustre, que la France répond prioritairement tactiquement, dans la perspective d'une confrontation entre le "Nif" algérien et son regret d'avoir reconnu ses exactions pendant 132 ans de sa colonisation de l'Algérie. À cet égard, le FLN et les Caporaux-Généraux algériens n'ont-ils réussi à contenir la divulgation du secret de l'historicité de la création du DOM (Département Outre-Mer) Algérie depuis 1830 par suite au decret choc du Général français SCHNEIDER ? À bon lecteur, bon décryptage !

L'ARRÊT DE LA COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPÉENNE EST UN NON ÉVÉNEMENT.

 

L'UNION EUROPÉENNE VA-T-ELLE SORTIR DE SA DUALITÉ DE CONCEPTUALISATION DE SES ECHANGES AVEC LE MAROC ?

      Quand on décrypte l'arrêt rendu du 29 Février 2021 par la CJUE (Cour de Justice de l'Union Européenne) en défaveur du Maroc, on comprend qu'elle est allée très loin. Créant ainsi une véritable suspicion sur son intention non avouée, et/où les discussions sur les réseaux sociaux auront, bien sûr, pour centre d'intérêt les problêmes d'interprétation. Pourtant, rien n'indiquait un tel revirement, si ce n'est une appréhension d'un basculement idéologique anti Maroc amorcé par le parlement européen à Strasbourg en pleine crise du rush migratoire sur le préside Sebta. En effet, c'est sans aucun doute la place accordée à une entité fantoche le Polisario vivant sur un terrain étranger en l'occurrence l'Algérie, qui démontre l'aspect troublant voire de magouille au sein de cette "déshonorable" Cour. Mais, pas seulement car il y a aussi un autre aspect de collusion et de corruption avec les lobbies anti Maroc dans cette nouvelle orientation voulant avant tout montrer ce qu'est le vieux continent dans sa rancune. Un archaisme qui se veut avoir le dernier mot comme une indication s'adressant surtout aux USA et les pays soutenant l'offre du Maroc d'autonomie 2007. Si bien que, pour elle, par le chantage bon nombre de ses décisions futures pourraient constituer autant d'obstacles à la reconnaîssance de la marocanité intégrale de son Sahara. Sauf que, le Maroc en a déjà vécu il y a quatre ans une telle situation dont il s'en est bien sorti.

       Donc, il faut que les marocains prennent conscience de la dimension psychlogique de cette irresponsabilité temporelle de cette Cour plus difficile à saisir pour les novices. Autrement dit, la question c'est de savoir pourquoi cette irrationnalité dans l'argumentation de la CJUE dans un conflit purement politique ? Même si, par le constat historique cela ne signifie aucunement le début d'une prédiction de la mise à l'écart du Maroc dans l'échelle onusienne. Parce que, son engagement sera qu'on ne le veuille ou pas, une digue infranchissable pour arriver au final à l'aliénation de cette irrationalité de la CJUE. D'ailleurs, c'est sûr, face à cette inattendue donnée, le naissant gouvernement AKHANOUCH devra s'efforcer, coûte que coûte, de casser la dualité de l'Espagne de la France et de l'Allemagne dans la conceptualité des accords sur les produits agricoles et de pêche avec l'UE. À même de mettre sur le devant qu'il n'est plus prêt à faire le dos rond et, lancer, lui aussi, un ultimatum de non reconduction de ses accords comme il y a 4 ans. Notamment, pour faire de la puissance démoniaque de la CJUE, un non événement juridictionnel comme l'a déjà intonné Nasser BOURITA en filigranne dans sa première déclaration à chaud. Afin qu'elle ne puisse, de quelque façon que ce soit, tuer l'avenir du Royaume Chérifien en tant que premier partenaire stratégique avec l'UE. Évidemment, la question qui taraude, pourquoi la CJUE a-t-elle pris la requète du Polisario en tant que représentant des sahraouis pour argent comptant ? Alors qu'il n'y a pas longtemps ils ont voté massivement pour leurs representants dans les élections du 08 Septembre 2021. N'est-ce pas qu'on veut faire payer à Rabat son affront à l'axe hypocrîte Madrid-Paris-Berlin ? Sans oublier son rapprochement avec Londres dans cette periode de décomposition de l'UE  après le Brexit. À bon suiveur, bon décryptage.

CHENGRIHA AFFIRME SA VOLONTÉ DE FAIRE LA GUERRE AU MAROC, MAIS S'EFFORCE D'AJOURNER LA DÉCISION.

LA RECTITUDE DANS LES RÉPONSES DU MAROC AUX CAPORAUX-GÉNÉRAUX ALGÉRIENS, FONT DE SON ENGAGEMENT SANS FAIBLESSE UN REMPART INFRANCHISSABLE.

       Tenez-le pour dit, ça va mal finir en Algérie ! Parce que la situation politique en interne n'augure d'aucun répit du "Hirak", ni même détente dans l'influence des séparatismes. Par conséquent, le Maroc est amené à doubler de vigilance et à considérer la discorde au sommet de l'État algérien entre CHENGRIHA et d'autres Caporaux-Généraux avec prudence. Autrement dit, c'est parce qu'ils ne se sont toujours pas remis du choc majeur Guergaratte que la situation Rabat-Alger est explosive. Déjà, ils ont montré une febrilité par la rupture des relations diplomatiques et une puérilité risible par la fermeture de l'espace aérien aux avions civils et militaires marocains. Dont, il incombe désormais aux observateurs les plus avisés de tenter d'identifier la prochaine "poche noire" qui déclencchera l'affrontement armé direct. D'où, le véritable chassé-croisé de déclarations d'AKHNOUCH-OUAHBI-BARAKA et BOURITA pour en démêler avec sagacité le fil rouge de la réalité sur le terrain. Disant en plus, ça restera aussi la priorité de définition et précision des objectifs de la coalition tripartite du gouvernement RNI-PAM-PI dans ses réponses sans faiblesse aux pouvoir algérien.

       En effet, l'incontinent et complexé CHENGRIHA avec l'instable toujours grisé TEBBOUNE et leurs journaleux portes-flingues considèrent qu'à terme la guerre Algérie-Maroc est inévitable. Et ce, même étant convaincus dans leur intime raisonnement que les ripostes des FAR sont comme une épée de Damoclès qui pend au dessus de l'Algérie. Tellement ils en sont tétanisés à l'idée d'être laminés et donc éjectés voire chassés par force du pouvoir. Voilà pourquoi, le Maroc théorisé par BOUMEDIÈNE comme étant l'ennemi classique, il fait peur aux Caporaux-Généraux. D'ailleurs, à présent, qu'on ne le veuille ou pas, il a le rôle géopolitique dominant. Dont il  faut en comprendre économiquement diplomatiquement et aussi militairement qu'il est de loin l'État de la région Maghreb-Sahel-Subsaharienne africaine le plus redouté par le malheureux CHENGRIHA. De toute évidence, pour ce dernier, d'après le DRS, la complêxité technicienne militaire des FAR est intrigante dans le contexte de vie de chien qu'il a vécu depuis la mort suspecte de GAID Salah. Craignant que l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël ne se conjugue à celle dernièrement scéllée USA-Royaume-Uni avec l'Australie et, de fait, n'entraîne que d'avantages au voisin de l'Ouest pour stopper les coups bas haineux de l'Espagne l'Allemagne et la France. 

       Mais, comment ne pas interpréter cette hésitation de l'Algérie de passer à l'action, par la peur d'usage des FAR dans leurs ripostes et controffensives stratégiques d'atouts inconnus et donc imprévisibles ? Une préoccupation sérieuse qui en dit long sur la diabolisation hors du temps du Maroc, par l'équipe CHENGRIHA. Le faisant, seulement pour saper son inclusion parmi les grands. Qu'évidemment, elle est préprogrammée par les dêcideurs civils et militaires à Ksar Almouradia d'Alger pour inciter l'administration BIDEN de se rapprocher d'eux. N'est-ce cela qui montre que le régime militariste algérien butte sur le choix de la déclaration de la guerre contre le Royaume Chérifien qui, lui, surveille de près toutes les tentatives d'intimidation à son encontre. En somme, un constat d'escalade en accordéon dont le Secrétaire d'État américain Anthony BLINKIN en avait mis en garde l'Algérie. Ce qu'en plus sa 4-ième conseillère au département d'État, en marge de la 76-ième session de l'Assemblée Générale de l'ONU 2021, a décrit à Ramtane LAAMAMRA comme un signal de l'engagement sans ambages des USA avec CCG Israël Royaume-Uni Canada Japon et Chine à l'égard du Maroc. À bon entendeur, salut !

LE RAID MAROCAIN AU MALI N'EST NULLEMENT UN LEURRE.

PARCE QUE LAAMAMRA MINE ET RENVERSE LES CODES DE VALEURS DU BON VOISINAGE AVEC LE MAROC, IL EST MAINTENANT CATALOGUÉ LE LOOSER DE SERVICE SUPPORTER DU TERRORISME.

       Après le nettoyage de Guergaratte, le déploiement à Lagouira, le balayage de la zone Tampon à l'Est du Mur, les victoires diplomatiques pléthoriques et les déclarations déliées des obligations que lui imposait le bon voisinage, le Maroc commence à montrer ses atouts et forces géostratégiques. Au point, l'on peut dire, les informations glanées ici et là après l'assassinat des camioneurs marocains au Mali renvoient précisément à la date du 11 Septembre 2021. Dont, le niveau d'implication du régime algérien ne fait aucun doute. Ayant en même temps prévu d'une part, l'entréee en escadre contre le Maroc qui savait que le terrorisme dans le Sahel le menace.  Et, d'autre part, exécuter le plan concocté avec l'Espagne l'Allemagne et la France sera le défi majeur pour ralentir son developpement. Mais la question qui taraude, n'est-ce cette voie commune où ces pays s'engageaient les conduirait à se briser face à sa détermination ? D'ailleurs, entendons-nous bien, le Maroc n'a de choix que de rompre le silence autour de ce complot ourdi à son encontre au vu qu'il est, qu'on ne le veuille ou pas, au centre du plus formidable système militairo-diplomatico-économico-politique des deux dernières décénnies. Ce qui indique que l'Algérie se trompe en lachant ses hordes polisariennes au Mali et ailleurs, soi-disant, pour perturber les liens et les rapports commerciaux priviligiés du Maroc avec les pays du Sahel et la CDEAO.

       C'est ça le Maroc aujourd'hui, il avance et ne recule devant rien ! Tellement, l'on peut dire à ce propos, TEBBOUNE est dans une torpeur, CHENGRIHA est mal en point et LAAMAMRA est dans de mauvais draps. En effet, il est démontré que ce dernier est impliqué dans ce drame en tant que looser qui, par ailleurs, s'est réveillé humilié après qu'un Commando d'élite marocain avec l'accord du Mali, ait investi la zone où la horde polisarienne a attaqué les camioneurs marocains. D'autant plus, chacun sait que ce Commando en a arrêté l'un des assaillants et identifié tous les autres. Un renversement de la situation inattendu, notamment après le balayage des Satellites Mohamed VI A et B en coordination avec le lancement des drones prédateurs guidés par le renseignement sur place. Une sorte d'élan de promouvoir la puissance de projection tout terrain en profodeur africaine de la logistique des FAR. Un tournant à partir duquel les premières investigations de la DGED sur le terrain, ont mis directement en cause LAAMAMRA. Qu'évidemment, tôt ou tard, il y risque de payer le prix fort devant la CPI (Cour Pebale Internationale) et avant tout de perdre le restant de ses relais résiduels et amitiés louches à l'UA l'UE et l'ONU. Maintenant que les noms des assaillants assassins et leurs commaditaires sont établis à partir des indices les plus rècents et les indications des services occidentaux qui pillulent dans la région, les ripostes diplomatiques d'Omar HILAL deviendront un mécanisme ajusté avec les intérêts du Maroc et les pays du Sahel et de la CDEAO. Aussi, il faut le dire sans résérve, le profil général des pays impliqués ayant œuvré à la préparation de cet acte ignioble avec ou sans l'offre de garantie du retrait des terrorites de la scène du crime fait peur. Autrement dit, l'engagement par Raid du Commando d'élite marocain au Mali n'est pas un leurre, mais une indication sur la vision géopolitique globale du Maroc pour lever les doutes d'insécurité dans toute la région. Dont, effectivement, la Mauritanie doit les prendre en ligne de compte, au lieu de rester dans sa balance tarifaire d'être tantõt avec lui tantôt contre. À bon suiveur, bonne lecture !

GOUVERNEMENT AKHNOUCH, EN AVANT TOUTE.

AKHNOUCH ET SES COALISÉS NE DOIVENT-ILS  DÉFINIR LE ROLE SPÉCIFIQUE DE CHAQUE MEMBRE DU GOUVERNEMENT NOTAMMENT LE PORTE-PAROLE ?

       Maintenant, tout le monde sait qu'au Maroc, exercer le pouvoir Éxécutif avec des angles morts et ambition pas claire, c'est vraiment compliqué voire impossible. Ainsi, l'on peut dire, le RNI et ses coalisés au gouvernement n'ont de choix que de respecter leurs engagements de la campagne éléctorale avec l'intentionalité de mieux faire. D'abord, en détruisant le rôle joué par les divers pasticheurs opportunistes de tous les horizons qui ont largement profité de l'apaisement et la sérénité du peuple après les secousses du printemps arabe. Ensuite, sortir du mélange de l'euphorie politique de la victoire et la peur des faux espoirs, et ce, par le retour progressif à la normalité tracée après le discours royal mémorable du 09 Mars 2011. Sachant qu'il n'y a pas de recette magique,  mais seulement la prise de véritables bonnes décisions tactiques dans le respect de ce que préconise le modèle de developpement. Autrement dit, par la mobilisation des compétences dans les territoires et régions, pour préparer l'avenir en dehors de l'apologétique idéologique et autres propagations de fakes-news. Et, donc, pour ne plus vivre un autre bail législatif pour rien, comme l'ont relaté beaucoup de medias internationnaux après trituration du PJD. Comprendront, ceux qui voudront ! 

       Comme ça, si le gouvernement AKHNOUCH ne veut s'assujetir à la fronde de la classe moyenne et les pauvres, il devra sortir de la politique de l'entre-soi. En proclamant de s'offrir pour résoudre les problèmes sanitaires sociaux éducationnels culturels et de travail du pays avec détermination et abnégation. Parce que, le gouvernement n'est pas un lieu de villégiature mais d'engagement pour assurer le bien du pays. Et c'est là où la gouvernance sans erreurs dans les choix et suivis des grands chantiers doit se comprendre selon la triangulation (verticalité-horizontalité-humilité). Déjà, l'on sait qu'AKHNOUCH, OUAHBI ET BARAKA pour ne citer qu'eux, montrent un intérêt grandissant à cette gouvernance par la réalisation des résultats sans verbiage désolant et blessant à la façon BENKIRANE et ses inconditionnels  zélés adeptes. Primo, par et pour l'ouverture au dialogue social et interprofessionnel, secundo pour l'affirmation transcendantale sur le terrain du changement opéré par les urnes et tertio pour la montée irreversible de la conscience collective centrée sur le développement et le progrès dans l'unité et l'unicité du Maroc. 

       En effet, tous ces thèmes developpés n'auront leur place dans la perspective politique qui s'annonce, que si l'évolution d'existence au parlement des partis coalisés est au sein de l'influence entre AKHNOUCH et les chefs de partis sans accros avec la société civile. Pour cela, le poste-clef au gouvernement pour assurer la cohésion et la cohérence dans les propos, dans les programmations et dans les activités de l'administration publique, c'est le porte-parole. N'est-ce le futur postulant qui doit redonner ses lettres de noblesse à ce travail difficile et peut-être même ingrat, doit répondre aux critères de cette nouvelle gouvernance ? Ceci, évidemment, demande un savoir-faire, un doigté voire flair pour la bonne communication. En somme, ça exige une culture politique très large et une rationalité dans le raisonnement pour faire la part des choses. Parce que les marocains en ont marre de la langue de bois et des stéréotypes du passé récent, alors que le pays joue ses atouts économiques diplomatiques géopolitiques et sécuritaires géostratégiques pour contrer ses ennemis qui ne veulent toujours pas lacher prise sur son Sahara. À même jusqu'à contester la reconnaîssance souveraine de la marocanité intégrale du Sahara par les USA et l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël. À bon entendeur, bon décryptage !

LE MAROC, CETTE FORCE TRANQUILLE N'EN VIENT-IL À DRESSER LE VÉRITABLE INVENTAIRE DES COUPS FOURÉS DU RÉGIME ALGÉRIEN ?

LES EXPLOITS DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE ANTICIPENT DE FACTO LA CARTE DISLOQUÉE DE L'ALGÉRIE DU FUTUR.

       Par son dogme et par les excès de ses vociférations anti Maroc surtout, le pouvoir algérien inquiète la Ligue arabe et l'UA-UE dont les pays de la région MENA-Sahel-Subsaharienne. Il est vrai que ces derniers temps sous l'influence de l'Allemagne, un durcissement très net envers le Maroc s'est opéré en Algérie. En effet entre 1962 et 2021, au lieu de s'interroger sur les modes de gouvernance qui ont assuré la transition du Maroc vers un État institutionnel de rang respectable, le pouvoir militariste algérien, hélas, est resté dans son mirage d'hégèmonisme utopique creux. De fait, il n'a fait que se confiner dans sa haine sa rancune et sa rancœur depuis 1963 au lendemain de la guerre des sables. C'est pour cela l'on peut dire à présent, l'expérience des Kabyles Touareg Mozabes et Azawades montre leur sagesse accumulée au cours de leur lutte sans violence contre le système d'oppression et d'exploitation raciste de la "Issaba" à Ksar Almouradia d'Alger.

       Alors que le Maroc cette force tranquille, continue à relever les défis économiques sociaux et sécuritaires pour un avenir encore plus radieux, les Caporaux soi-disant Généraux de pacotille se voient toujours confrontés avec les doléances légitimes du "Hirak". Sans oublier les séparatismes grondants voire rompants en Kabylie Azawad et au Mzabe, s'ajoutant au dossier du Sahara oriental réactivé à l'ONU pour le retour à la mère patrie le Maroc. Notamment, après le coup de massue d'Omar HILAL asséné en termes structurés et clairs à Ramtane LAAMAMRA le nanipulateur de l'idéal démocratique du peuple algérien, pour qu'il sorte de l'ambigüité de l'idéologie du temps révolu. Mais, c'eût été encore plus flagrant si Antonio GUTTERRES avait sû procéder à se borner à dire le droit rien que le droit sur le Sahara marocain dont il en est convaincu sans pouvoir l'exprimer. 

       Pauvre Algérie ! La voilà réveillée avec le sentiment déprimant de sa défaite géopolitique accompagnée de débacle diplomatique face au Maroc digne du plus profond respect. D'ailleurs, c'est désormais le monde dans lequel elle vit qui n'est pas une attitude véritablement nouvelle, et ce, à la faveur des réveils des spectres de la décénnie noire 1990-2000. Telle est la perspective dans laquelle les tortionnaires et sanguinaires potentats du régime CHENGRIHA, MEDIENE et NEZZAR, continuent de développer leur haine de leurs opposants irréductibles. En plus, le faisant sans savoir qu'ils donnent à leurs plaidoiries du mordant devant la Communnauté Internationale pour les condamner fermement. En fait, s'agissant de l'interprétation par les observateurs assidus et avertis du constat fait de l'Algérie actuelle, c'est une coordination d'actes que les exploits de la diplomatie marocaine ont mis en évidence. Passant par dresser l'inventaire des coups fourés pendant 46 ans, en allant même jusqu'à anticiper la carte disloquée de l'Algérie du proche futur. À bon entendeur, salut !

LE MAROC S'OPPOSERA À CEUX QUI VEULENT LUI FORCER LA MAIN SUR SON SAHARA.

À WASHINGTON TELAVIV RYAD DUBAI ET LONDRES, ON EST RÉSOLU À SOUTENIR LE MAROC EN CAS D'AGRESSION DIRECTE DE L'ALLEMAGNE L'IRAN ET L'ALGÉRIE.

       La rupture diplomatique unilatérale d'Alger avec Rabat provoque une incompréhension unanime de la Ligue Arabe, de l'UA, du monde islamique et de la majorité de la Communnauté internationale. Malheureusement, il faut le dire avec force, Antonio GUTTERRES s'en émeut à même de s'en inquiéter pour son ami Ramtane LAAMAMRA. Alors qu'il n'a piper mot à la suite des propos menaçants irresponsables que CHENGRIHA l'incontinent Caporal soi-disant Général, tenait à l'égard du Maroc et ses Institutions. Le voilà donc montrer son vrai visage, parce qu'il sait que les choses se corsent sur le terrain diplomatique et militaire en défaveur de l'Algérie. De fait, la diplomatie marocaine est montée au créneau, en demeurant prête à réagir sous la forme la plus dure envers tout un chacun se permettant d'intervenir en faveur de l'Algérie en faillite. Déjà, Omar HILAL le représentant permanent du Maroc à l'ONU en a imposé le ton la chronologie et la virulence mettant le régime algérien aux abois. D'ailleurs, aujourd'hui, c'est sûr que le Maroc fort de l'entente tripartite avec USA et Israël en plus de ses nouvelles alliances stratégiques, n'admettra plus les turpitudes et les enquiquinements de ses ennemis sur son Sahara. Parce que, pour lui, ce dossier est bel et bien clos depuis 1976, et dont, par ailleurs, les FAR (Forces Armées Royales) en sont chaudement félicitées pour le travail fait avec professionalisme par les marocains de par le monde.

       Si l'État-Maroc ne fait aucune objection à l'offensive des ses diplomates contre Alger, n'est-ce parce qu'ils garantissent réciproquement l'appui inconditionnel de la Ligue Arabe de l'UA, et des grandes Capitales à part Berlin en cas d'affrontement direct ? Ceci dit, le fait nouveau crée par les mises au point itératives d'Omar HILAL sur l'autodétermination de la Kabylie n'aurait-il dû conduire Ramtane LAAMAMRA à réviser son attitude diplomatique haineuse ? C'est ce que soutiennent les chancelleries de par le monde, en se montrant très critiques vis-à-vis du régime des Caporaux-Généraux algériens. Sans oublier, que rien ne les menacerait du côté Ouest s'ils n'entreprendraient de folies contre le Maroc. D'autant plus, n'est-ce les pays du Grand Maghreb et G5 Sahel ne concluront aucun accord militaire avec l'un contre le second en cas de complications armées ? Non seulement pour ne pas revivre le contexte de 1963 pour certains, et effacer les stigmates des batailles d'Amgala I et II  pour d'autres. mais, parce qu'ils comprennent les avantages qui découlent pour eux de cette attitude avec un Maroc aujourd'hui encore plus fort très sûr de ses capacités militaires. Vraiment, pourquoi ce pouvoir "fonfaron" ne s'est-il conformé à la main tendue du Roi Mohamed VI ? Ne risque-t-il d'encourir l'ire royale en refusant d'y adhérer à cette démarche de la détente de la paix et de la fratérnité ? D'ailleurs, à Washington Londres Paris Ryad Telaviv Dubai et Pékin, on n'est plus enclin à l'optimisme après les bruits de bottes des deux côtés de la longue frontière algéro-marocaine. Dont, l'Iran et l'Allemagne ne s'en cachent pas de leur soutien aventurier à Alger à l'aide de convention d'assistance militaire. À l'évidence, ceci met la CIA le Pentagone et le DEA en état de vigilance extrême en plus des FAR qui sont sur le qui-vive. À bon lecteur, bon décryptage !

C'EST ACTÉ QUE LE MONDE VIVRA LE CRASH EN DIRECT DU POUVOIR ALGÉRIEN !

L'ALGÉRIE DOIT SE CALMER DANS SA RECHERCHE DE DIGUES DIPLOMATIQUES POUR ISOLER LE MAROC DE LA LIGUE ARABE ET L'UA, SINON ELLE SE VERRAIT PLOMBER DÉFINITIVEMENT LES AILES.

      Depuis la généreuse main tendue du Roi Mohamed VI à Abdelmajid TEBBOUNE, la société algérienne vit une réelle ébullition. Dénonçant par la preuve à la fois, les discours hystérisés anti Maroc des Caporaux-Généraux grabataires algériens et les impulsions expressives aggressives de leurs portes-flingues complêxés vis-à-vis de la diplomatie marocaine. Aussi, on peut le dire sans gêne, la méthode à la façon Ramtane LAAMAMRA ne suit pas le mouvement sociétal algérien, se donnant exclusivement pour tâche de ne laisser le Maroc faire rayonner davantage sa présence dans les instances internationales. Au point que la rapidité de la prise de décision de la rupture des relations diplomatiques avec le voisin de l'Ouest ne représente le fait majeur ni sur le fond ni sur la forme. Au contraire, côté Rabat c'est même un non événement car elles n'étaient au niveau. D'autant que la majorité des algériens n'approuve pas cette décision sachant qu'elle n'est considérée comme un chemin d'accès au développement du pays sans l'aide du Maroc leader en Afrique en la matière. De fait, il n'est même pas troublant qu'une longue période de plus de 46 ans n'ait laissé aucune trace dans la mémoire du régime algérien en faillite dans tous les domaines. Notamment, dans le renseignement et la diplomatie, dans la non cohésion et stabilité du pays, dans les programmes de développement et l'assurance d'une vie d'autosuffisance alimentaire de première necéssité digne d'un pays petrolier et gazier. 

       Voilà pourquoi, l'on peut affirmer, ce régime se la joue comme application politique vengeresque en interne contre les algériens eux-mêmes. Ce que par conséquent les marocains ne tolèrent plus, formant qu'on ne le veuille ou pas, la clef de voûte qui les soutient dans leur lutte d'émancipation et de liberté voire d'autodétermination pour la Kabylie le Mzabe et l'Azawad. Et, dont on se pose la question, est-ce que ce régime sanguinaire saura-t-il se réveiller de cette démence sans repère ni fondement dans les initiatives qu'il prend pour contrecarrer le Maroc ? En tout cas, avec cette Algérie caporalisée quels enseignements peut-on en tirer pour l'Allemagne hautaine l'Espagne crucifiée et la France hypocrîte dans leurs deals avec les faux-chérubins que sont les Caporaux-Généraux ? Certes, ceci ne désigne encore qu'un comportement en phase avec l'attitude hostile des ennemis du Maroc telle l'Allemagne. Lequel, de surcroît, est façonné par les portes-plumes du pouvoir à Ksar Almouradia sur la rivalité dogmatique contre ce qu'ils appellent l'ennemi classique, en l'occurrence le Maroc. Cette rivalité faisant appel à l'irrationnalité de leur part dans les interprétations du déroulé du fil d'actualités sur commande de la DRS. À même jusqu'à prôner dans les rapports secrets l'affrontement direct, sans oublier le symbolisme désuet d'un temps révolu prenant sa signification dans l'histoire des haines infondées de BOUKHARROUBA depuis la guerre des sables 1963. 

       Il est évident que la puissance multipotente, désormais reconnue du Maroc, donne un sens plus pragmatique à ses relations avec l'Algérie. Dont, le message est resté clair et sans ambages à l'occasion du discours royal d'Aid Al AARCH 2021. Mais, avec un régime pareil au voisinage, c'est comme prêcher dans le désert. N'est-ce cela qui a poussé les Caporaux-Généraux algériens dans leur fuite en avant, à se précipiter de se positionner comme allié objectif des lobbies ennemis du Maroc, espagnols français et surtout allemands ? Ne s'agit-il là d'une stratégie fantasmagorique de leur part, subliminalement piègeante montrant le ventre mou de l'UE ? Qu'au demeurant, tout un chacun sait qu'elle est incapable d'être spontannée pour bien digérer la discorde Rabat-Alger sans parti-pris et sans complotisme. Autant le dire avec franchise, cette rupture des relations diplomatiques importe peu, même si, quelques novices en analyse politique la voit bizzarrement une mauvaise nouvelle pour le Maroc. Pourtant, c'est juste considéré par l'ensemble des marocains, un pont pathétique voire humoristique qui n'a rien d'un défi pour contrer le Maroc en essayant de l'isoler. Autrement dit, pour lever les doutes, vouloir l'organisation de digues diplomatiques pour l'isoler dans ses rapports avec la Ligue Arabe et l'UA, est une chimère. D'ailleurs, de ce point de vue, c'est comme si le pouvoir algérien cherche à se crasher en direct, car n'ayant plus les parachutes adéquats pour éviter cela. À bon entendeur, salut !

LE DISCOURS ROYAL DE LA DERNIÈRE CHANCE LÈVERA-T-IL LE DOUTE ET L'ILLUSION DE L'ALGÉRIE ?

LE DISCOURS ROYAL DE AID AL AARCH 2021 MONTRE UNE PERCEPTION DE L'AVENIR QUI POSSÈDE UNE AIRE D'INTUITIONS FORMANT ARRIÈRE-PLAN D'IDÉES DIRECTRICES DE LA CONSCIENCE DES PEUPLES MAROCAIN ET ALGÉRIEN.

       Tout un chacun sait que la diplomatie est l'art de bien construire la confiance entre États, notamment quand il y a la volonté politique derrière. De ce fait, elle se présente comme la projection des raisonnements et propositions pouvant aboutir à des ententes si tout va bien. Telle est l'ossature du raisonnement du discours du Roi Mohamed VI de Aid Al Aarch 2021. Dont, on constate que sa validité sur le volet Algérie ne dépend que du contenu de la réponse officielle de Ksar Almouradia, avec l'espoir qu'elle soit dépouillée de notions creuses. En cela, n'est-ce pas la teneur le ton et la structuralité de ce discours du Roi Mohamed VI mettent le régime algérien dans l'embarras à l'international ? Au vu de l'attitude critique de ses snipers et leurs supports dans la médiagénie primaire anti Maroc, ne pouvant conduire Abdelmajid TEBBOUNE à la raison. En tout cas, si ce dernier reste dans son imitation de n'atteindre qu'une fausse analyse de sa conscience, à même de ne saisir l'essence de l'entente avec le Maroc, l'histoire le jugera sévèrement. Autrement dit, la plénitude de connaîssance du fond de la problématique de 1994 qui est aujourd'hui dépassée, telle que l'a démontré le Roi Mohamed VI, est la seule altérnative comme recherche de solutions constructives. Et ce, au simple regard porté sur les intérfétences des intrus opposant la vérité formelle à celle matérielle dans le cas du couple Maroc-Algérie. 

       C'est vrai, il s'agit d'un thème longuement développé dans les idées directrices des discours du Roi depuis 2008. Au point qu'aujourd'hui, les intérêts les plus hauts à sauvegarder entre Rabat-Alger demmandent le développement d'une relation conduisant à une conception nouvelle fondée sur la bonne intentionalité de part et d'autre. À l'évidence, pour le Maroc, cette prise de conscience rigoureusement réaliste n'est pas nouvelle. D'ailleurs, c'est pour éviter qu'il tombe dans le même piège que l'Agérie qu'il refuse l'hitoricisme débridé comme objet des intuitions, tel que le proposent les Caporaux-Généraux grabataires et séniles algériens. Aussi,  il importe donc de distinguer, face au psychodrame que vit l'Algérie après le discours royal, entre leur vécu intentionnel de ne s'ouvrir à aucune proposition marocaine et celui conscient de se mettre en accord même momentanné avec lui. Parce que, si le Maroc, lui, s'apprête à relever le défi de réouverture des frontières terrestres avec l'Algérie, la France hypocrîte l'Espagne ridicule et l'Allemagne malintentionnée de leur côté se voient déjà confrontés au souverainisme qui monte et qui prend en exemple la résistance du Maroc dans leur plus proche sphère d'influence. Ce qui donne bien au ton du discours royal son impressionnante hauteur de vue d'où, l'on perçoit l'architecture de l'aire de sérénité qui se construit. Formant l'arrière-plan de la conscience des peuples marocain et algérien loin des émotions événementielles. N'est-ce, ce qui interdit absolument tout jugement non argumenté portant sur l'existence spatio-temporelle des intrus dans les affaires de leurs pays repectifs ? Pour atteindre les objectifs fixés par le discours de la dernière chance de l'Algérie d'une façon directe. Comme quoi, elle n'a pas à avoir peur de son voisin de l'Ouest, ni dans l'immédiat ni dans le futur. Ce qui, objectivement, lèvera le doute la peur et l'illusion sur tout ce qu'entreprend le Maroc. À bon entendeur, salut !

ATTENTION, LA COLÈRE DU MAROC PEUT ABOUTIR À LA PARTITION DE L'ALGÉRIE.

L'ALGÉRIE EST DÉJÀ TOMBÉE DANS LE PIÈGE QU'ELLE A TENDU IL Y A 46 ANS AU MAROC ?

      Le Maroc par sa diplomatie offensive et ses services de renseignement toujours aux aguets, a réussi son retour à l'UA. En somme, ayant en même temps poussé au nettoyage de la Commission de Moussa Faki Mahamat et à l'anéantissement des menaces qui pesaient sur son Sahara pour le rendre un champ de bataille clos. Comme ça, l'on peut d'ores et déjà dire, l'Algérie ne sait plus quoi faire devant la détermination du Maroc d'en finir avec elle et sa protubérance honteuse qu'elle porte sur le dos. En effet, aujourd'hui, la question à creuser c'est comment mettra-t-il fin à l'ingérance de l'axe infernal Espagne-Allemagne-France en appui au régime ténébreux des Caporaux-Généraux algériens ? D'ailleurs, face à la manière de leurs filouteries  exagérément anti Maroc, l'image incontestablement nouvelle c'est que le peuple marocain a montré au monde quant à la valeur de persévérance et de résistance à leurs assauts une argumentation de réciprocité inattendue. En plus tout en restant de marbre, parce qu'il est blasé assez chargé de gloires mémorables civiles et militaires pour comprendre chez eux ce sentiment de haine et jalousie morbide. Mais, pourquoi se sentent-elles solidaires avec ce pouvoir funeste contre lui, jusqu'à monter des scénaris communs de spéculations indignes à l'exemple de l'affaire "Pegasus" des écoutes pour salir son honorabilité et rendre ses sacrifices de coopérations antimigratoires et de luttes antiterroristes inutiles.

       Évidemment, ces pays de l'UE n'en voulent toujours pas arrêter leurs attaques impérieuses contre le Maroc par médias corrompus interposés qui sont en perte de crédibilité. D'ailleurs, ce qu'a périlleusement, chanté et dansé Ramtane LAAMAMRA au Sommet des non-alignés par visio-conférence le 13-14 Juillet 2021 ne les a pas aidé ni lui a réussi après son retour aux affaires. Parce que, du côté marocain c'était une occasion en or de le clouer au pilori, par le coup de maître d'Omar HILAL depuis New-York. Ce qui a eu l'effet d'un puissant catalyseur sur la volonté de l'affronter sur le terrain de la partition de l'Algérie, avec un résultat diplomatique sans équivoque. Autrement dit, cela explique l'effort énorme et l'engagement considérable consentis par l'État-Maroc pour la maîtrise de la situation militaro-diplomatico-sécuritaire au Sahara marocain. Une réalité qui en dit long sur l'altérnative géopolitique du moment à l'UA, et dont il est urgent de l'optimiser avec des faits et actes. Notamment, après l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël et l'intégration de l'État hebreux en tant qu'observateur au sein de l'UA. Avec l'impact psychologique que l'on sait et qui est hautement sensible à la diffusion des intérêts géostratégiques du nouveau Maroc. Sans oublier la perspective d'affirmation du rapprochement sans précédent avec le Royaume-Uni après le "Brexit" dont tout le monde en parle.

       C'est dire que la contrattaque intélligente très significative de Omar HILAL représentant permanent du Maroc à l'ONU, en se référant au cas de la Kabylie qui mérite plus de soutiens pour son indépendance, a provoqué un tremblement dans les arcanes du pouvoir algérien. Tellement l'on entend depuis, que des pleurs à Ksar Almouradia et des regrets aux ministères des Affaires Étrangères et de la Défense de ne pas reconnaître le constat d'échec. Et d'ailleurs le Maroc de par son sérieux, est arrivé de continuer d'observer avec assurance dans le silence, au-delà de toutes les attaques subies, sa tendance vers l'emergence. En revanche, concernant la DGSE française, la question qui traude n'est-ce combien de taupes qu'elle a au Maroc ? Et d'où, les ripostes marocaines à ses nombreux coups-bas et agissements hostiles, ont détruit toutes les bases de logistique informationnelle de cet organisme de renseignement français chez les vendus de leurs âmes. Tout compte fait, c'est maintenant acté que le Maroc ne s'interdira plus d'atteindre les activistes de la 5-ième colonne, et, de fait, destructurer les objectifs stratégiques surtout de l'Allemagne et l'Espagne en Afrique. À bon entendeur, salut !

LE DEA A-T-IL VENDU SON ÀME AU DIABLE EN ÉCHANGE D'UNE CAUTION SANS ANGOISSE ?

QUAND LA DGED ET LA DGDST DÉPEIGNENT LES SERVICES DE RENSEIGNEMENT DE L'ESPAGNE ET DE L'ALLEMAGNE, COMME PIÈTRES FIGURANTS EN COMPARAISON À LA CIA ET PENTAGONE.

      C'est sûr que pour le Maroc, les voix de la traîtrise sont exclusivement attribuées aux ennemis de l'intérieur. C'est ce que l'on appelle la 5-ième colonne névrosée inconsciente, car souvent tentée à croire à la spéculation politique viscéralement anti Maroc. En somme, celle qui provoque leur attirance vers les mystères de l'occident qui a le goût du débordement dans son imaginaire. À l'exemple de confusion délibérée d'actes de viols avec le respect des droits humains. Éffectivement, ce constat a atteint son paroxysme lorsque les USA avec Joe BIDEN se sont mis eux-aussi à la recherche d'un miroir pour montrer soi-disant une image de dualité procéduriale judiciaire d'un partenaire stratégique tel le Maroc. Autrement dit, ils ont suivi de près l'invention de l'UE sur les allégations d'atteintes des droits pour lui tordre la main. Surtout, en usant du parlement européen dans le bras de fer avec l'Espagne pour le contraindre de se séparer de l'expression de ses souverainetés dans tous les domaines. Ceci rappelle ce qu'il a vécu à redondance à l'époque d'OBAMA avec John KERRY et Suzane REIS pour qu'il cautionne l'extension des droits de l'homme au Sahara Marocain. De toute évidence, preuve à l'appui, n'est-ce au Maroc que l'on doit l'un des plus puissants récits de refus de ne se laisser dicter ce qu'il doit faire par quiconque ? Dont, on a vu aujourd'hui la celérité extraordinaire de sa réponse pour réfuter la complaisance dans l'interventionnisme du DEA sous Anthony BLINKIN. Concernant, notamment, les cas de deux journalistes Omar RADHI et souleimane RAISSOUNI poursuivis sur la scène judiciaire marocaine toujours en cours.

       Oui, il faut le dire sans hésitation ni résérve, le Maroc dans sa marche vers l'émergence dérrange. À tel point que certains pays européens qui se sont abandonnés aux forces du mal qui les habitent, s'en trouvent rongés de jalousie morbide. Parce qu'ils n'en voulent pas qu'il soit trop libre en se retirant unilatéralement habilement de tout contexte l'intégrant dans des décors qui ne se conforment à ses propres normes souveraines. En effet, il est vrai que leurs intrigues diversifiées vis-à-vis de lui, sont complêxes jusqu'à croire que leurs influences leur donnent la possibilité de s'imposer. Une erreur d'appréciation du nouveau Maroc ayant connu des mutations profondes structurelles économiques sociétales et même militaires. C'est dire que l'exploitation éhontée du statut avancé du Maroc avec l'UE, ne leur sert à rien même en édulcorant leurs propos contre lui. D'ailleurs, ce qu'il y a de remarquable, c'est quand la DGED et la DGDST dépeignent les grotesques bas-fonds de l'attitude des services de renseignement intérieur et extétieur de l'Espagne et l'Allemagne comme piétres figurants dans le domaine. En comparaison à la CIA et Pentagone dont la certification d'excéllence suggérée et décrite dans le détail n'en donne aux services marocains que plus d'efficacité interactive envers ses partenaires loyaux. Tandis que le DRS algérien qui se vautre dans la suprêmatie viellie onkylosée et rouillée, sa chute est inéluctable car il porte les traces de ses dépassements outranciers et débauches innomables. En cela, pour être plus complet, le DEA a-t-il vendu son âme au diable en échange d'une hypothétique caution sans angoisse ? À bon entendeur, salut !

AVEC SES VICTOIRES DIPLOMATIQUES LE MAROC PEUT SUIVRE LE CHEMIN DE LA CROISSANCE POUR EMBRASSER L'IMMENSE HORIZON DE L'EMERGENCE.

AVEC RAMTANE LAAMAMRA MÊME ÉTANT L'AMI DE DUJARRIC PORTE-PAROLE DE GUTTERRES, LA DIPLOMATIE ALGÉRIENNE N'EST PAS MIEUX ASSURÉE DE SURVIVRE AUX CHARGES DU "HIRAK"  ET AUX ASSAUTS DE LA LIGUE ARABE L'UA l'UE ET l'ONU.

       La diplomatie marocaine, qu'on ne le veuille ou pas, justifie ce que l'on veut. D'ailleurs, en donnant des réponses ciblées bien muries sur tout, notamment face au trio infernal Allemagne-Espagne-Algérie, elle n'a fait que developper la connaissance de ses expériences les plus concrètes. Dont, évidemment c'est le produit que le gênie marocain ait élaboré ces vingt dernières années. De fait, dans la "Galigate" elle a été comprise dans les instances internationales comme le devenir historique de l'expression souveraine du pays. Mais, qu'en pensent Arancha GONZALÈS LAYA et Sabri BOUKADOUME, tous les deux Ex-ministres des Affaires Étrangères de leurs pays respectifs ? On peut même dire que dans leur manière de pratiquer la diplomatie, ils se sont identifiés aux séditieux conspirateurs et non aux connaîsseurs rationnels de l'histoire-faite. C'est pourquoi, ils n'en sont plus distincts dans leur nouveau rang inférieur à celui de leurs collaborateurs d'il y a peu de temps.

       C'est vrai, depuis que l'Algérie ait accédé à l'indépendance, c'est-à-dire en 1962, son idéal national c'est de détruire le Maroc. Alors que 59 ans plus tard avec BOUKADOUME dans son jeu diplomatique malsain, les règles établies étaient la haine la rancœur et la rancune comme du temps du tandem BOUMEDIĖNE-BOUTAFLIKA à l'égard du voisin de l'Ouest. Sans omettre qu'avec GONZALÈS LAYA l'attitude anti Maroc de l'Espagne s'est accrue à un degré inquiétant créant un contexte de tension sur le Sahara marocain. Et ce, malgré l'aval de la Communnauté Internationale sur l'offre marocaine d'autonomie 2007, en plus du coup de Donald TRUMP par la reconnaissance des USA de la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara, au demeurant confirmée par l'administration de Joe BIDEN. D'ailleurs, en réaction, face à ces animosités exprimées de l'Algérie et l'Espagne, il s'est développé au Maroc une volonté d'inclure dans la reconstruction de l'État moderne paisible, la prise de conscience de l'auto-production dans tous les domaines. Ce schéma permet de reconnaître la simultanéité de l'action diplomatique marocaine, tant sur le plan du processus du développement tous azimuts que sur la faculté d'imagination de la nouvelle organisation géographique. Se distinguant de la projection du destin de l'idiote Arancha GONZALÈS LAYA immaculée de l'âme fautive du faible et instable BOUKKADOUME, comme symbolique de leur humiliation et donc leur fin.

       Dans cette perspective, à cause des circonstances géopolitiques dans la région MENA-Sahel-Subsaharienne en faveur du Maroc, il importe surtout de lier l'aversion non atténuée sur le conflit du Sahara marocain du revenant et fourbe Ramtane LAAMAMRA au projet des Caporaux-Généraux vert-kaki algériens de la destabiliser. Sauf que, la question qui taraude, est-elle mieux assurée de survivre aux charges du "Hirak" et autres assauts de l'UE l'UA et l'ONU ? En tous les cas, cela a déjà conduit Nassr BOURITA et son staff, en concertation soutenue avec la DGED et la DGDST, à retrouver l'inspiration pour donner des indications sur l'espoir réel recherché comme valeur ajoutée dans toute la région. Autant le dire avec assurance, il y a à cette implication marocaine un précurseur qui n'est autre que la vision royale de ne rester dans l'abstraction des faits politiques et diplomatiques qui se déroulent. Et donc, de se tourner vers la réalité suprême dont tout le monde sait l'importance informationnelle de l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël. Laquelle, par ailleurs, est favorablement accueillie par le Royaume-Uni Chine Canada Italie Hollande Japon Danemark dans l'espace G5-Sahel. Notamment, concernant la netteté des engagements et règles d'accompagnement du Maroc sans arrières-pensées ni filouteries pour contrer les desseins du sanguinaire LAAMAMRA. À bon suiveur, bon décryptage !

CHENGRIHA, UNE BAUDRUCHE QUI SE GONFLE ET SE DÉGONFLE.

POUR CHENGRIHA ET SES AMIS CAPORAUX-GÉNÉRAUX, L'ALGÉRIE CETTE VACHE À TRAIRE N'EST DANS AUCUN BESOIN URGENTISSIME POUR AVANCER.

       Aujourd'hui tout le monde aura compris que l'Algérie avec Said CHENGRIHA et Abdelmajid TEBBOUNE vit sa déscente aux enfers. Autrement dit, il s'agit de la sanction de ce régime militariste séditieux et dispendieux qui est en place. Dont on sait son isolement au sein de la communnauté internatiomale excépté avec les régimes hantés par le mal-être dipolomatico-politique comme lui. Tels Iran-Venezuella-Syrie-Afrique du Sud qui soutiennent d'une incroyable complêxité logistique les groupes terroristes dans la bande sahelo-subsaharienne et l'Afrique de l'Ouest. Il serait bon de comprendre que CHENGRIHA troublé par la circulation d'informations le concernant est une baudruche qui se gonfle et se dégonfle. La preuve en est, primo son attitude par rapport aux menaces du retraité Général libyen HAFTAR sur le bassin gazier de HASSI Messaoud. Secundo, sa tetanisation face au G5-Sahel aujourd'hui sous influence marocaine. Et tertio vis-à-vis du diktat de MAMA FRANÇA  sur l'implication directe dans l'opération Barkhane après la désertion d'Emanuel MACRON.  D'autant plus, le "Hirak" donne une impulsion rendant impossible la pratique du slalom politique où il n'y a ni sincerité ni compétence et encore moins le fremissement d'un avenir radieux pour l'Algérie. 

       Autant le dire sans filtre, le temps est compté pour ce pouvoir qui, déjà, glisse sur les bords abrupts de l'abîme. Par ailleurs, n'est-ce pas CHENGRIHA s'est lui-même tendu un piège en laissant mauvaise impression lors de sa prestation logorhéique ridicule malsaine à Moscou ? Oui, ce Caporal-Général en voulant pratiquer l'arrogance discourante, alors qu'il n'a ni l'étoffe intellectuelle ni le charisme des leaders pour le faire, finalement il n'a fait que révéler au monde l'handicap majeur de la nouvelle Algérie. En plus, la conjoncture économique difficile qu'elle vit, avec une monnaie au rabais conjuguée d'insuffisances de denrées de premières necéssités (huile-lait-farine-eau etc), sont la preuve du dévissement de l'État. Ce qui fait débat entre algériens, envenimant encore plus le rapport géostratégique et géopolitique Maroc-Algérie. Dont les observayeurs voient que la machination permanente qui marque les manœuvres honteuses d'Alger et ses positions anti Maroc ne peuvent se dérouler sans danger pour ce pouvoir. Notamment, s'agissant du basculement dans la terreur avec disqualification de toutes ses institutions devenues plateformes dramatiques touchées de malédiction. 

       En effet, pour ce régime en fin de vie, l'agression des voisins fait partie de son ADN et donc de sa stratégie haineuse rancunière et belliqueuse. Tellement, l'on peut affirmer, que c'est l'expression inaccéptable du surdimensionnement de l'égo de la "Issaba" ayant fait de l'Algérie cette vache à traire. Sans omettre, qu'auparavant, elle avait perdu toutes les guerres contre le Maroc depuis l'ère BOUKHARROUBA à ce jour. Et d'où, étaient mêlées danses diplomatiques  à l'UA, invectives soutenues à l'UE et sournoiseries mystérieuses à l'ONU en collaboration avec l'Allemagne l'Espagne l'Iran et l'Afrique du Sud pour faire plier le Maroc. N'est-ce véritablement une représentation de l'axe du mal anti Maroc fondée sur la tromperie la filouterie et le mensonge que le monde entier dénnonce aujourd'hui avec force ? Privant, de fait, l'incontinent CHENGRIHA de jouer au puissant jusqu'à penser avec ses amis Caporaux-Généraux (800+11) en commémorant le 59-ième anniversaire de l'indépendance que l'Algérie n'a aucun besoin urgentissime pour avancer. Une cessité diplomatico-politico-militaire en ne voulant se rendre à la réalité des nouvelles dispositions géopolitiques et géostratégiques en cours dans la région. À bon entendeur, salut !

L'INTIFADA AU PARLEMENT ARABE FACE À CELUI EUROPÉEN N'EST-ELLE CAUTIONNÉE DE PAR LE MONDE ?

NE S'AGIT-IL D'UNE PERSPECTIVE DE REPRISE DES PRÉSIDES SEBTA MELILIA ET AUTRES ILES ENCORE SPOLIÉES SANS HEURTS ?

      Il a été souvent dit et à tort, que le nationalisme des marocains de Sebta et Melilia n'est pas prêt de s'affranchir de la tutelle de la colonisation espagnole. Une contrevérité entonnée par Madrid et colportée par Alger, alors-même qu'un sebti ou melili ne reconnaît aucunement la présence des espagnols "bouraqàa". D'autant qu'il est impossible de rester seulement sur ce constat, au vu de leurs cris du cœur continuels en plus d'ovations et acclamations avec tant de fierté de "vive le Roi du Maroc Mohamed VI". Ne considérant aujourd'hui, que des desseins imaginés par Lui et d'où, se manifeste l'intèrêt de reprendre ces présides et Iles encore spoliés sans heurts ni persécutions. En cela, que peut-il faire le gouvernement de Pedro SANCHÈZ face à la dipolmatie marocaine très offensive sur ce plan ? N'est-ce, d'essayer de mieux comprendre le gigantesque puzzle des intérêts vitaux géostratégiques qui est monté dans le cadre de l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël ? Dont, le fondement réside en la programmation technico-diplomatico-politique par l'ONU pour inverser la géographie tutéllaire des deux villes et les Iles restées occupées, en faveur du Maroc. 

       Un retour aux sources, dont John BIDEN après son passage à l'OTAN à Bruxelles l'a fait comprendre subliminalement à l'UE, surtout au leger et insugnifant Pedro SANCHÈZ. Autrement dit, tout le monde aura vu l'humiliation subie par ce dernier car voulant s'attaquer à la déclaration des USA sur la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara. Et, d'où, il faut le dire sans géne, le président américain Joe BIDEN l'ait averti d'être au rendez-vous des transformations géostratégiques en cours dans la région. Par ailleurs, ne l'a-t-il fait en endossant le rôle du seul leader du monde, avec confiance habileté et détermination en clarifiant sa ligne politique sur les malentendus de l'UE avec le Maroc ? En effet, n'est-ce pour cela le parlement arabe a fait son "Intifada" politique face à l'aveuglement de celui européen qui s'est décalé de ce que normalement il devait faire pour apaiser la tension Rabat-Madrid ? Tellement, au Caire pour la première fois, il a fait bloc derrière le Maroc pour repousser l'attitude hautaine et hypocrîte de cette institution domiciliée à Strasbourg. En tout cas, voilà la preuve qu'il y a un espace politique de décliner vertement la perversité de l'approche espagnole d'impliquer le Parlement européen. Lequel, a montré son côté affreux immature et inconscient, qu'évidemment l'Allemagne en est derrière jusqu'à la dissimulation et le double jeu contrairement à ce qu'elle pense. 

       Ainsi, l'on peut d'ores et déjà affirmer, les parlementaires arabes en ayant supprimé le clanisme et sous-groupes pour défendre la marocanité de Sebta Melilia et autres Iles, ils ont donné naissance à un nouveau souffle de cohésion pour la remise en état des aspirations des peuples. Ce qui a amené certains pays de l'UE de se chamailler avec l'Espagne et l'Allemagne en les malmenant. Parce que comprenant le rôle déterminant du Maroc avec des résultats très honorables dans la lutte contre la migration clandestine le terrorisme international et la contrebande transnationale. C'est pour cette raison la déception est visible en Espagne, car son gouvernement a subi des échec cuisants face à la diplomatie marocaine sûre d'elle. Mettant en cause la trahison l'hypocrisie et les petits arrangements d'Arancha GONZALÈS LAYA avec les Caporaux-Généraux vert-kaki algériens. Sans oublier la permanence du déni croisé de l'Espagne avec l'Allemagne et l'Iran sur la marocanité du Sahara. Sousentendu, l'axe du mal Alger-Madrid-Berlin-Téhéran n'a-t-il amené les USA et l'ONU à faire une clarification de plus sur leurs tergiversations et sournoiseries anti Maroc ? À bon entendeur, salut !