jeudi 31 janvier 2019

LE MAROC ET L’ALGÉRIE MARCHENT-ILS A PAS SURS VERS L'AFFRONTEMENT INÉVITABLE ?

CE QUESTIONNEMENT NE SOULIGNE-T-IL L’IMPÉRATIVE NÉCESSITÉ DE TRAITER LE MAL PAR LE MAL, AU VU DE L’INDISPONIBILITÉ DE L’ALGÉRIE A LÂCHER PRISE SUR LE SAHARA MAROCAIN ?

        Après le briefing d'Horst Kohler devant le Conseil de Sécurité de l'ONU sur les pourparlers de Genève 05-06 Novembre 2018, Antonio Gutterres n'est plus convaincu que l'Algérie veuille pousser vers une solution politique viable. Autrement dit, impossible d'y échapper à cette  malice de mettre des grains de sable dans la conversation pour détruire toute la fonctionnalité de l'ONU et provoquer l'affrontement direct sur le terrain. Dont, nombreux sont les envenimements qui le démontrent par le roulage de la mécanique de l'Armée algérienne le long des frontières terrestres avec le Maroc et les agissements du Polisario en Zone Tampon selon les circonstances. Afin, primo de faire fuir les investisseurs, secundo exercer une pression sur l'UE et tertio tromper la communauté internationale que c'est bien le Maroc qui cherche la confrontation. Alors, que faut-il concrètement en conclure, si ce n'est qu'il y a un dysfonctionnement dans l'expression de l'indisponibilité du pouvoir algérien à lâcher prise sur le Sahara marocain ? Dont, on entend tout et son contraire de la part des caciques du pouvoir à Ksar Lamradia, jetant sur le Maroc des anathèmes qui n'ont aucun sens ni politique ni diplomatique. Allant même, jusqu'à tomber dans une logique de non refondation des bases relationnelles de bon voisinage avec le voisin de l'Ouest. Justement, à valeur d'aujourd'hui, il n'y a aucune confidentialité sur la traçabilité des velléités répétées de ce pouvoir à l'égard des pays limitrophes, avec en plus une pré-programmation de la péréquation du non renoncement à tous ses dénis sur le Sahara marocain. 

       A l'évidence, tout le monde sait que les FAR peuvent arrêter cet essai de subtilisation des droits de souveraineté sur le Sahara marocain. Mais, le Maroc a finalement opté, en grand pays sage serein et responsable, d'abord pour un renforcement de ses compétences diplomatiques, puis par le durcissement du ton envers tous les ennemis. Notamment, en indiquant à qui veut et peut l'entendre, qu'il n'accepte ni échelonnement ni révision de son offre d'autonomie 2007. N'est-ce, ce qui occasionne en ce moment, plus d'accès fiévreux à hauts risques, sur les enjeux géopolitiques et géostratégiques dans la région ? Fort heureusement, le peuple algérien frère exprime en ce sens, sans équivoque, combien il est triste de voir ses gouvernants passer plus de 43 ans à narguer le Maroc et à mettre les bâtons dans les roues de la construction du Grand Maghreb. Tellement, aujourd'hui, il parait contrarié au point de n'avoir que sa controffensive sur le Net et les réseaux sociaux, pour les décrire comme des fous tranquilles de surcroit inconscients de l'obscurité diplomatique dont ils pataugent. En somme, ils se sont engagés dans cette mésaventure  de destabilisation de la region, simplement pour cacher les conséquences désastreuses de leur gouvernance civile-militaire, en plus restant indifférents à tout ce qui n'est pas fait par eux à l’échelle de toutes les Wilayas. C'est vrai, ce n'est nullememt enthousiasmant ce sentiment de trouble des consciences, tandis que les algériens parlent critiquent et se mettent en colère sur ce qu'ils voient comme clowneries, en cette veille des élections présidentielles algériennes du 18 Avril 2019.

       On dirait que le rancunier Boutaflika a perdu son temps dans tous ses défis envers le Maroc pour faire de l'Algerie ce qu'il en a fait ! En plus, en ce moment n'étant plus convaincu que son peuple ne puisse l'abandonner avec son entourage, la main sur le cœur et l'attention pleine d'admiration pour les voisins et frères de l'Ouest. Aussi, quand aujourd'hui, les islamistes disent à l'Armée de Gaid Salah  qu'elle est leur magnifique fierté, pendant que les partis politiques s'éparpillent dans un misérabilisme désenchantant, cela doit pousser à plus de vigilance coté Maroc. Voire pourquoi pas, ne se garder de poser les vrais questions sur ce rapprochement incompréhensible, en se préparant à l'éventualité de traiter le mal par le mal le cas échéant ? Bien sur, les islamistes savent que l'Armée algérienne ne va pas bien, et qu'elle ne pourra redevenir le rempart d'autrefois contre eux, ni faire face aux FAR fort fières et admirées de partout. Peut-être, parce qu'elle ne peut donner l'assurance que, quoi qu'il arrive avec le Maroc, elle ne serait pas seule dans cette Algérie qui commence déjà à bruler ? N'est-ce là où l'on comprend que le compliment des islamistes ne la flatte pas autant que les éloges timides que l'Occident, via ses compagnies d'hydrocarbures, lui adressait depuis toujours. Et pas seulement lors des années noires 1992-2002, d'où il faut être plus regardant et vif d'esprit sur ces sentiments, qu'effectivement, ne sont faits que d'un curieux mélange des regards diplomatiques sur le Sahara marocain après l'arrivée au pouvoir de Abdelaziz Boutaflika. Finalement, d'ores et déjà, l'on peut déclarer c'est fini les prétentions de l'Armée algérienne, d'où, elle a construit ses rêves chimériques pour soi-disant décrédibiliser les FAR. En se cantonnant depuis le début dans un positionnement d'hostilité et d'inimitié déclarée, sans se résigner à se faire à l'idée que le Maroc possède énormément d'atouts géostratégiques comme leviers en matière de défense et controffensive. A bon entendeur, salut !  

jeudi 24 janvier 2019

QUAND LE MENSONGE RIME AVEC MÉPRIS ANIMOSITÉ ET ROUBLARDISE !

C'EST MAINTENANT ÉVIDENT QUE CERTAINS POLITIQUES VONT ENCORE NOUS MENTIR, MAIS QUE DEVRONS-NOUS LEUR RÉTORQUER SUR LEURS FAIBLESSES ?

       Le salut d'un gouvernement quel qu'il soit, ce n'est pas seulement sa gouvernance avec solennité mais aussi son dévouement avec rigueur et vigueur à écouter les doléances du peuple. A l’évidence, n'est-ce là la vraie problématique du gouvernement Othmani qui ne l'entend que d'une oreille distraite ? En somme, alors même que l’élan du pays tend vers l’émergence, pourquoi certains politiques sèment le doute par le mensonge et in considération au peuple. Parfois, ne sachant, même pas, comment participer à ses joies, sans se montrer affligés par l'égoïsme et le mépris versatile. Aussi, même si ça les interpelle parce qu'ils ont un ADN populiste, ils se complaisent à les répandre sans gâcher un seul instant. A tel point, aujourd'hui, beaucoup de marocains commencent à se faire énormément de soucis sur leur capacité de changer leur registre du quotidien, et ce, en bien.  Autrement dit, n'est-ce parce qu'ayant d'abominables langues qu'ils se projettent dans l’arène du populisme par de fausses colères pour provoquer zizanie de partisanerie stérile. 

       Évidemment, de ce point de vue la question qui taraude, est-ce que ces gens-là, ne doivent-ils se taire pour de bon sans se plaindre ? Étant donné qu'ils gagnent beaucoup d'argent en se voyant comme des héros, pour ne pas continuer à encore tromper le peuple avec leurs points d'exclamations qui envahissent les pages de leurs supporters sur Facebook Instagram Tweeter et réseaux sociaux. A ce propos, le gouvernement donne le mauvais exemple en mettant la trame de ses décisions seulement sur le duel PJD-RNI, pendant que ses autres composantes dissertent en cachette sur les attaques au vitriol entre Pjidistes et Rnistes. C'est là aussi où le bât  blesse,  lorsque l'on voit qu'au sein du conglomérat ministériel (plus de quarante), certains puisent des idées farfelues pour obtenir des effets néfastes sur la cohésion gouvernementale ? Dont l’État-Maroc s'en trouve, malgré-lui, pris dans le piège de l'entrechoquement sans valeur ajoutée à la démocratie. En effet, la dernière exclamation de Benkirane montre qu'il n'a pas encore appris à tenir sa langue entre ses dents, au souvenir de ses mots et phrases qui avaient motivé sa disgrâce. D'ailleurs, qu'attend-il pour arrêter ce style de développement de l'intrigue de la dé-confiance et de la méfiance qui a pris racine au lendemain du 25 Novembre 2011 avec le soutien de Madame Hillary Clinton alors Secrétaire d’État au foreign office ? A cet egard que peut-on conclure, si ce n'est depuis l'indépendance du Maroc en 1956, même avec les moments de tension ayant menés à des syncopes constitutionnelles, les déceptions n'étaient jamais arrivées a ce paroxysme. Ne s'agit-il vraiment, comme l'ont relatées  le revue "Jeune Afrique" et la dernière note de la banque mondiale, d'un retard considérable pris par le Maroc dans son désir d'avenir ?

       En tous les cas, il est impossible de ne pas s'apercevoir des relations ambiguës que Benkirane nourrit à l'égard de l’État-Maroc, des coalisés au sein du gouvernement Othmani, de l'opposition pléthorique et du peuple. Ne faisant, par ailleurs, qu'assombrir son image au vu des reproches et récriminations que, tous, lui font sans ménagement. Ceci indique, sans réserve, qu'il n'a pas l’étoffe d'un Homme d’État pour représenter l'idéal marocain moderniste ici et là à l'international. A cause, sans doute de ses imprudences rétrogrades et insensées, qu'en effet, lui seul, par son inconstance les considère et juge utiles. En revanche, pourquoi l’État s'est montré plus généreux et plus noble de geste humain à son endroit au moment ou il s'est fait débarquer de la chefferie du gouvernement. Lui, le milliardaire politique qui n'aime pas les autres, parce qu'il les hait et méprise du fait qu'ils lui ont tenu tête devant toutes ses manœuvres. D'ailleurs, cette question n'est-elle au cœur de sa séquence de hiérarchisation des marocains par rapport aux privilèges qu'il ait eu ? Néanmoins, pour être plus complet, n'est-ce pas que sept années et demi sont longues pour garder le secret de cette parenthèse qui coute encore au Maroc ? N'est-il arrivé le temps de divulguer, même en subliminal, le sens du retard de la non résistance de l’État-Maroc à la tentation du PJD d'envahir les structures des Institutions et les postes clés dans l'Administration ? Dont, en plus, on a vu Benkirane et Othmani s'en enorgueillir d'en avoir reçu, en ce sens, des cadeaux qui les réjouissent encore intensément. C'est peut-être, ce qui a poussé Benkirane de s'en référer, dans toute l'acception des mots utilisés pour décrire sa soi-disant indigence comme quoi, il était dans une position financière entre "l'Âne et le Mulet" après sa disgrâce. Comprendront ceux qui voudront, car  plus roublard cynique méprisant et menteur que ça, connait pas ! A bon suiveur, bon décryptage !

lundi 21 janvier 2019

LES DÉPUTÉS DE L'UE ONT CHOISI LE MAROC PLUTÔT QUE LE CHAOS QUE SOUTIENNENT ALGER ET PRETORIA.

N'EST-CE UN TOURNANT PRÉCIEUX EN FAVEUR DU MAROC DANS SA REVENDICATION LÉGITIMISTE POUR TRAVAILLER ET AUGMENTER LES ÉCHANGES AU SEIN DE SON SAHARA ?

        Après l'accord agricole et pêche UE-Maroc, ne peut-on affirmer que les ministres des affaires étrangères, l'algérien Messahel et la sud africaine Maite Nkoana Mashabane, auront le mal des airs des terres et des mers pour se rendre à Bruxelles ou Strasbourg ? Autrement dit, ils ne pourront plus s'entretenir avec leurs lobbys-valets en Europe, qu'à travers la grille de cet accord merveilleux sublimant les beaux jours qui s'ouvrent pour d'autres partenariats stratégiques gagnants-gagnants ? Il s'agit donc d'un acte politique fort, dans le sens de l'élaboration de la pensée et l'action des députés européens, pour confirmer l’intégrité territoriale du Maroc au-delà de l'effectivité accélérée de ses bonnes idées dans son Sahara. Voilà pourquoi, on est en droit de dire, malheur est tombé sur tous les ennemis du Maroc où ils se trouvent ! Car, et c'est la realite, désormais, personne ne les apprécie ni les encourage dans leur soi-disant rôle de chercheurs de Mécènes au sein de l'UE pour le soutien du Polisario  ! A dire vrai, leur intrigue a assez duré et qu'il va falloir inexorablement la traiter avec dureté pour la supprimer définitivement des annales de l'UA et de l'ONU. Non seulement en expliquant avec ténacité les raisons historiques de la jalousie morbide de l'Algérie et celle irrationnelle de l'Afrique du Sud envers le Maroc. Mais, en soulignant le choc des visions géostratégiques entre, l'axe Alger-Pretoria émanant de la colère et la haine et le multi-axe Rabat-Capitales africaines pour le progrès la stabilité et la sérénité. Alors, que faut-il retenir si ce n'est toutes les volontés du Maroc se concrétisent et se réalisent les unes après les autres ? Par le courage politique du Roi du Maroc, restant toujours cohérent et crédible dans ses décisions géopolitiques, que l'UA l'UE et l'ONU encouragent voire en demandent.

       Évidemment, si ces beaux jours sont arrivés, c'est parce que l'on a retiré les passerelles démagogiques qui unissaient tous les ennemis du recouvrement de l’intégrité territoriale de Tanger à Lagoouira par le Maroc. En quelque sorte, c'est l'avènement d'une nouvelle ère évitant les frustrations et consacrant le processus plutôt historique que tactique à l'UA après le retour triomphal du Maroc, au Conseil de Sécurité de l'ONU après l'adoption de la Résolution 2440 et à l'UE pendant les difficiles et longues négociations ayant abouties à l'accord agricole UE-Maroc. D'ailleurs à cette confiance au Maroc plutot que le chaos, l'Algérie et l'Afrique du Sud ont du mal à se contenir, mais que peuvent-elles faire ? D'autant plus, elles n'en sont qu'à la moitié de leur gêne par rapport à d'autres révélations sur leur déni des gesticulations du Polisario en Zone Tampon. A l'evidence, sur le fond et la manière, le Maroc a déjà commencé à tenir parole en pressant tous ses projets qu'ils soient politiques économiques ou sécuritaires promis courageusement à se réaliser dans son Sahara. Ce qui, évidemment, interpelle sur la raison qui pousse Messahel à dire ''Si je ne peux pas à l'avenir faire comme je l'entend aux pourparlers à Genève, je préfère renoncer d'y participer''. N'est-ce là un motif de convenance avec Maite Nkoana Mashabane de chercher à brouiller les pistes devant Horst Kohler qui, lui, sait qu'il ne peut rien faire pour leur tendre la perche qui leur conviendrait. Sachant que les représentants marocains à ces pourparlers, ont un tel sens de l'a-propos que, d'instinct, ils sauront ce qu'il faut répondre en conservant une maitrise de soi en toutes circonstances. 

       Maintenant, à l'ONU à l'UA et à l'UE, l'on sait ce que valent les diplomates marocains, ne négligeant rien des faiblesses de certains au Secrétariat Général pour l'Algérie et l'Afrique du Sud. Tellement la vigilance de nos services va jusqu'à chercher le meilleur style diplomatique et/où la distinction de la manière montre la malhonnêteté des gens entourant Antonio Gutteress, et, qui, de fait, sont à l'origine du déni invraisemblable à propos des agissements inacceptables du Polisario en Zone Tampon. A cet égard, pourquoi prennent-ils souvent le faux pour le vrai, surtout ceux du Secrétariat Général, allant jusqu'à s'admirer les uns les autres ? Alors qu'ils ne sont nullement dignes de confiance, parce qu'ils ne font que cultiver les sentiments anti Maroc datant de l'époque Ban Ki Moon-Christopher Ross. Peut-être veulent-ils qu'Horst Kohler ne s'en occupe pas à pousser vers une solution politique négociée viable, dans le cadre de l'offre marocaine d'autonomie 2007 en parfaite harmonisation avec l'Accord agricole UE-Maroc ? Où du moins, pourquoi préfèrent-ils garder la main sur la Munirso, pour organiser les déplacements des escadrons fermant la marche de chaque mouvement de la horde polisarienne, en Zone Tampon sans le relater ? Et oui, aujourd'hui, tout le monde sait le plaisir que les marocains éprouvent en lisant ici et là que l'Algérie et l'Afrique du Sud sont aux abois après la signature de cet accord. Et dont elles se sentent, d'ores et déjà, sur le tapis en pleurnichant sottement comme elles en ont l'habitude à chaque fois que le Maroc reçoit une reconnaissance de ses provinces du Sud. A bon entendeur, salut !

dimanche 13 janvier 2019

AVEC DUJARRIC LE COMPLOTEUR, SEULE UNE FOUDROYANTE RÉPONSE MAROCAINE LE FERA TOMBER EN DISGRÂCE.

LE DÉMENTI HONTEUX DE DUJARRIC SUR LES AGISSEMENTS DU POLISARIO EN ZONE TAMPON, UNE POUDRIÈRE DEVANT LES YEUX DE L'ONU !

       Maintenant, l'on est convaincu, qu'au secrétariat Général de l'ONU il y a des gens qui œuvrent et manœuvrent contre le Maroc. Un constat qui, malheureusement pour eux, les montre toujours en souffrance et en décalage vis-à-vis des cadrages que de temps à autre leur fait Antonio Gutterress. Mais, pourquoi ne veulent-ils pas renoncer à leurs sottes prétentions de dénigrer le Maroc pour le déstabiliser dans sa ligne diplomatique normative de la vérité pour l'instauration d'une solution politique sérieuse et viable ? A cet égard, Stéphane Dujarric à travers sa dernière réponse à la lettre de Omar Hilal au Conseil de Sécurité, sur les agissements intolérables du Polisario à Mhiriz en Zone Tampon, n'a-t-il dépassé les bornes en les dementant  ? Une communication, d'où l'on comprend, pourquoi, dans son entourage on veut encore que l'ONU dépense des milliards pour le maintien de la Minurso dans ses errances sans résultats probants. Ainsi, en exploitant les silences de cette dernière de cette façon inadmissible, non seulement il montre que le rouge de la honte lui est monté à la tête. Mais aussi qu'il veuiIle se cacher derrière la stratégie d'instauration de soit-disant zone libérée sous-couvert du machiavélisme de John Bolton avec une note salée en conséquence. Et ce, entre intox autour du Sahara Marocain et gaspillage du temps pour donner une opportunité à des prédateurs de la sous-traitance médiatique pour tirer à vue sur les FAR semblant rassurant.

       En réalité le Maroc fait déjà face par sa vigilance, à la multiplication de leurs interconnexions transversales les qualifiant d'inutiles ne servant qu'à gonfler les devis de l'aveuglement de l'Algérie pour raison facile à deviner. Justement, dans cette affaire Dujarric, les non-dits sur sa vraie pensée, c'est de se mettre en phase avec la thématique saugrenue pernicieuse de Messahel-Laamamra qui déjà mise dans les tuyaux. En l'occurrence, l'organisation à grande échelle d'une chasse des sahraouis marocains séquestrés dans lahmada-Tindouf, pour les conduire au dehors des frontières algériennes en direction de la Zone Tampon. Voilà pourquoi l'équipe de Said Boutaflika à Ksar Lamradia a-t-elle dit, toute embarrassée, à son rejeton le Polisario, ''va-t'en, j'ai affaire'' ! Sauf que son embarras sonne faux sur le fond et la forme, entre son amertume de ne pouvoir encore tromper les observateurs internationaux aguerris et sa confusion vaniteuse de continuer son habituelle posture en débitant ses petits sermons.  Pourtant, on ne peut pas dire que le Maroc n'a pas essayé de la guérir de sa vanité, par la main tendue du Roi Mohamed VI en vue de régler les sujets de discorde en suspend.

       Oui, il faut le dire, c'est maintenant claire que l'Algérie possède des manettes de commande au Secrétariat Général de l'ONU. Primo, parce qu'elle ne manque pas de culot dans ses présomptueuses manœuvre politiciennes, ce qui, normalement, doit alerter sur perversité-atrocité dans les opérations d'expulsion des étrangers quels qu'ils soient leurs statuts et origines. Secundo, parce qu'elle est flattée par les lobbys de l'industrie des hydrocarbures et adulée par certains sots dans l'administration américaine à la Maison Blanche. Tellement, à chaque fois, l'équipe civile et militaire au pouvoir surprend par des décisions en perspective d'exploitation de fausses données, soi-disant vitales pour sa longévité et donc sa survie. Le cas des marocains expulsés massivement le jour d'Aid Al Adha en 1975, témoigne de cette agressivité sans commune mesure pour fermeture d'un air hautain le pays. Finalement, quand la communication de Monsieur Dujarric porte-parole du Secrétaire Général de l'ONU, sert simplement la ligne diplomatique de l'Algérie, seule une réponse sans tremblement du Maroc, sur fond de dénonciation tonique de son attitude, lui fera subir l’opprobre de tous les marocain jusqu'à sa disgrâce. A bon entendeur, salut !  

dimanche 6 janvier 2019

LE SYSTÈME BOUTAFLIKA EN ALGÉRIE, VA-T-IL EXPLOSER ?

L'ONU EST CONVAINCUE QUE LE SALUT DE L’ALGÉRIE RÉSIDE DANS LA FORME DE SA SAGESSE AVEC SON VOISIN ET ALLIÉ OBJECTIF QU'EST LE MAROC !

       L'Algérie depuis Boumedienne à Boutaflika, dans sa recherche d'une place primordiale à l'international,  a tout essayé pour écarter le Maroc. Primo, en s'opposant systématiquement à tous ce qu'il entreprend dans tous les domaines sans y parvenir. Secundo, en ne se résignant à la stature internationale du Maroc comme force qui prend compte des intérêts et nécessités de la stabilité de toute la région. Évidemment, aujourd'hui à l'ONU l'on sait que la perception égoïste-égocentrique du pouvoir Boutaflika, ne légitime aucunement sa fuite en avant dans les pourparlers de Genève. C'est ce que la Communauté Internationale appelle, tournant géostratégique au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU en faveur du travail diplomatique du Maroc. Notamment, dans le sens de son essence géopolitique par lequel il postule une vision moderne de ce qu'est vraiment le ''leadership régional et continental''. Contrairement au soi-disant ordre de suprématie de l'Algérie basée sur la dilapidation de la manne gazière-pétrolière, pour des fins inavouables entrainant et soulevant ici et là des tensions régionales. Aussi, l'impact géopolitique de la fermeture des frontières terrestres et maritimes Maroc-Algérie, après l'acte terroriste odieux de l’Hôtel Atlas-Asni à Marrakech en Aout 1994, n'est-il considéré du coté d'Alger comme rivalité de pouvoir au Maghreb en contrattaque à la justification du Maroc a l'époque.  N'est-ce là où reside encore la problématique de l'équilibre des forces Rabat-Alger, par rapport aux enjeux de l’interprétation des années durant des luttes des puissances entre-elles autour de la marocanité du Sahara ?

       Voilà pourquoi, candidement ignorants de ce que c'est véritablement le pouvoir algérien, certains chroniqueurs médiatiques soudoyés essayent de le montrer le nez fièrement levé par rapport a tous les voisins. Allant même jusqu'à donner l'impression que la mise en perspective de sa géopolitique au Grand Maghreb et sa prospection géostratégique en région sahélienne subsaharienne africaine, sont parfaitement cohérentes et equilibrees . En somme, un déni des réalités sur le terrain de leur part, en ne voulant pas les scruter de tous les cotés pour les détailler, par peur d'une déception au premier constat. En effet, n'est-ce la preuve que ces machiavéliques journaleux ne sont que le produit de la fusion-confusion d'in-considération du pouvoir Boutaflika à son voisin de l'Ouest ? Bien sur, à partir du retour triomphal du Maroc à l'UA, l'équipe autour de Messahel-Gaid Salah est rentrée dans la transaction à préparer le renseignement et la conduite des hostilités anti Maroc, en s'appuyant sur les éléments du contexte géographique du Sahara marocain. Comprendront ceux qui pourront ! A dire vrai, cela qu'on ne le veuille ou pas, montre que le dessein du destin de ce pouvoir signifie une prétention géopolitique comme projet de son existence voire de sa survie. Malheureusement pour lui, cela permet au Maroc par l'éveil de ses services et l'épiage technologique de haute définition résolutive dont il dispose, de décrypter en temps réel les desseins militaires du commandement de Gaid Salah. En perspective et dynamique de réaction adaptée et proportionnée par les FAR (Forces Armées Royales), à toutes les éventualités d'attaques surprises de l'armée algérienne quels qu'ils soient le moment le lieu et les circonstances.

       A l'évidence, devant les actes inadmissibles à répétition de son avorton Polisario en Zone Tampon surtout à Guergarate, que peut-on dire en conséquence à ce pouvoir haineux et rancunier si ce n'est chiche d'intervenir par la guerre contre l’intégrité territoriale du Maroc de Tanger à Lagouira ? Ainsi, à l'orée de l'improbable cinquième mandat d'Abdelaziz Boutaflika, on est obligé au Maghreb de se poser des questions et de se préparer au mauvais présage de l'avenir de l'Algérie. D'abord, par des analyses en profondeur des données sur les scénarios des successions plausibles, pouvant être conduites en référence soit à l'économie soit à l’ethno-interculturalité soit à la sécurité et lutte antiterrorisme. Puis par, ce que pense le peuple algérien frère, qui voit le marocain en plein accord et confiance en sa diplomatie s'attelant avec certitude à reconstruire un diptyque homogène qui part des conceptions d'une stratégie de défense sans concession et des raisonnements géopolitiques de codéveloppement gagnant-gagnant avec les pays qui le désirent. A cet égard, il faut le dire sans gêne, l'Algérie est dans un tourbillon où chaque jour suffit sa peine, tant elle est au bord de déclenchement d'un affrontement clanique sans merci entre les opérationnels actuels à Ksar Lamradia et les prétendants à la rénovation du système rouillé par le népotisme et ankylosé par la corruption endémique. Et qu'on ne nous raconte pas de bobards, comme quoi la Constitution algérienne serait respectée s'il advient qu'une disparition du président Boutaflika survienne au vu de son état de santé détérioré. A bon entendeur, salut !