mercredi 30 décembre 2020

QUAND LES CONSULTATIONS DANS L'UE SUR LE SAHARA MAROCAIN POURRAIENT DEVENIR UNE GARANTIE GÉOPOLITIQUE DE PLUS POUR LE LEADERSHIP DU MAROC.


À QUOI BON L'UE TIMORÉE POST-BREXIT SERVIRAIT-ELLE, SI LE ROYAUME-UNI EMBOÎTE LE PAS AUX USA AU SAHARA MAROCAIN ?


       Après le Brexit, on sent une pression sur l'UE de se fixer sur un vrai discours pour trouver sa place dans les programmations géopolitiques et géostratégiques de l'entente tripartite USA-Maroc-Israël. D'autant qu'à Paris, d'après beaucoup de personnalités de gauche comme de droite, la fausse neutralité de l'UE timorée dans le conflit Rabat-Alger sur le Sahara marocain, semble pour le moment ne pas satisfaire à la démarche de Trump. Alors qu'à Londres, c'est plus clair qu'on est enclin de suivre le même tracé diplomatique que les USA. Peut-être même, après la signature d'accords provisoires avec le Maroc du 06 Octobre 2019, le Royaume-Uni est sur la voie de l'organisation d'assistance au développement multisectoriel dans toutes les trois régions du Sud ( Guelmim-Oued Noon, Laayoun-Saquia Lhamra et Dakhla-Oued Eddahab). N'est-ce là, une occasion d'élargissement de l'entente USA-Maroc-Israël à l'Angleterre ? D'ailleurs, ce serait, si ce choix est validé, la traduction géopolitique de la reconnaissance de la souveraineté totale du Maroc sur tous ses territoires et donc de son leadership régional et africain. Asurément, savoir cela, ça confirme que l'Algérie se trouverait dans des rôles sans intérêts ni géostratégiques ni géopolitiques.


       À l'évidence, le coup magistral de Trump pour la marocanité des provinces du Sud, ne présente pas de difficultés insolubles pour les chefs d'États de l'UE. Au contraire, il leur facilite la maîtrise à se concilier avec les nouvelles dispositions de Rabat, surtout après le nettoyage de l'espace Guergaratte des hordes sauvages polisariennes non civilisées, sans un coup de feu. Ce n'est pas quant à l'Algérie, que l'UE ne puisse jeter oprobres contre les Généraux vert-kaki, ni n'invectiver Tebboune le malheureux en raison de son déni des réalités sur le terrain. Il faut dire, même le Conseil de Sécurité de l'ONU ne réussit pas encore à les tirer de leur obstination déraisonnable. Circonstance aggravante, leur cynique rupture du savoir faire diplomatique, n'en marquant aucune mise en vigueur du bon voisinage avec le Maroc. De fait, verrait-on l'UE sortir de ses raisonnements amalgammés et alambiqués, en se prêtant à l'efficacité de l'offre marocaine d'autonomie 2007 ? N'est-ce pour cela, Antonio Gutterres a décidé de mettre sur le tapis son choix de l'ex-Premier ministre roumain en tant que son envoyé spécial pour combler la démission d'Horst Köhler ? À bon suiveur, bonne lecture !

lundi 28 décembre 2020

N'EST-CE LE BON MOMENT DE DIRE, LA DJED L'A EMPORTÉ HAUT LA MAIN SUR LES SERVICES ALGÉRIENS ?


AUJOURD'HUI, TOUS LES SERVICES DU MONDE DU RENSEIGNEMENT CIVIL ET MILITAIRE DISENT QUE LA PLACE DE LA DGED EST DEVENUE ENVIABLE CAR HORS NORMES.


       Aujourd'hui, tout le monde sait ce qu'éprouvent les services civils et militaires de sécurité extérieure algériens comme sentiments d'antipathie et de défiance à l'égard de la DGED (Direction Générale des Études et Documentatio) au Maroc. Et ce, malgré qu'ils aient, de tout temps, caché leur mauvais rôle en tant que principale force d'un faible secours aux Généraux vert-kaki face aux FAR (Forces Armées Royales). Et pour cause, quand on vient à la question de l'instrument de réussite qui a poussé à la reconnaîssance USA de la souveraineté du Maroc sur son Sahara, s'ajoutant à l'entente tripartite USA-Maroc-Israël, on ne peut se décharger que sur le soin des services de cette institution marocaine très sensible de haut calibre et de haute qualité. Somme toute, il faut le marteler sans aucune résérve, les marocains sont satisfaits du travail méthodique de longue haleine d'emissaires discrets et des diplomates du ministère des affaires étrangères sous coiffe de la DGED, pour arriver aux accords de reprise de contacts directs Maroc-Israël. Comme quoi, l'actualité va trop vite, laissant le pouvoir algérien dans ses élucubrations idéologiques stériles d'un temps révolu, ne pouvant ni préserver son avenir ni lui donner une chance de se réinventer. Et ce n'est pas le rappel à la fois du Général Sanguinaire fugitif Khaled NIZAR et de MEDIENE la pieuvre alias Taoufiq aux affaires qui le sauvera de sa descente aux enfers. Autrement dit, l'Algérie est OUT, elle ne vaut plus rien sur l'echelle des cotations à l'ONU à l'UA et à l'UE, car carrément sur le parterre.


       Désormais, aux yeux du monde, l'animosité gratuite aveuglante, telle qu'elle est montée par tous les services de renseignement algériens, ne contient aucune précaution qui la limite auprès du pouvoir politique à Ksar Almouradia d'Alger vis-à-vis de Rabat. C'est donc, un postulat bellisciste que la DGED n'a jamais ignoré et ne saurait négliger. D'ailleurs, qu'on en juge de ce qui a été fait  ! Déjà dans la méthodoogie d'analyse des déclarations de Tebboune et les décryptages des messages de l'APA (Armée Populaire Algérienne), elle montre une perspicacité proclamant sans équivoque la vigilance pour la pérennité de toutes les frontières physiques voire géodhésiques avec l'Algérie. N'est-ce, cela aussi qui met l'assistance mutuelle du Maroc avec la Mauritanie en alerte à toute éventualité d'agression de l'Algérie ? D'autant qu'à priori cette dernière, après les assurances de Joe BIDEN de ne pas faire regretter aux juifs leur vote pour lui, voit toutes ses institutions civiles et militaires se saborder devant ses yeux et devant le monde. Comprendront, ceux qui pourront ! Un vrai gachis avec des conséquences économiques dramatiques que le peuple algérien subit, car incapable d'éviter à cause de la chappe de terreur sur lui. Et dire que ce pays en pleine dérive continue encore dans son aveuglement, en s'impliquant dans des complications diplomatiques sans lendemain. Et, surtout, celles militaires l'engageant envers et contre tous, même contre la Russie. Dont, pour le moment, il ne croit plus qu'elle lui serait d'un quelcoque soutien au Conseil de Sécurité de l'ONU. Ce qui veut dire, au cas où il se trouverait en guerre ouverte face au Maroc sûr de lui, aucun de ses soutiens d'alors ne lui serait utile. N'est-ce là, un constat d'échec des politiques suivies pendant presque 45 ans ? À bon entendeur, salut !

samedi 26 décembre 2020

PEUR EN ALGÉRIE DE TINDOUF À ORAN, APRÈS L'ENTENTE TRIPARTITE GÉOSTRATÉGIQUE USA-MAROC-ISRAËL.




L'ACTE MAGISTRAL DE DONALD TRUMP DÉFINIT LA LIGNE GÉOSTRATÉGIQUE DE L'ENTENTE USA-MAROC-ISRAËL, PAS SEULEMENT AU SAHARA MAROCAIN.


      L'accord Maroc-Israël de reprise des contacts directs à l'issue de la visite de la délégation américaine-israëlienne à Rabat, est l'expression du resserement de deux grands axes. D'un côté, celui qui a entrainé la reconnaîssance par les USA de la souveraineté totale du Maroc sur tous les territoires de son Sahara. De l'autre, celui dont il convient, toutefois, de dire qu'il y eut beaucoup de discrétion et un sens rigoureux dans la discussion Maroc-Israël depuis au moins 2018. Ce qui, d'ores et déjà, proclame sans ambages l'absolu engagement présent et futur pro Palestine du Maroc. Et, aussi fait envisager sans conteste un grand projet d'alliance tripartite USA-Maroc-Israël sur l'Eau, le Commerce, l'Agriculture, l'Aviation, le Hi-Tech, l'Armement, le Tourisme et la Culture. En effet, finalement, est-ce que l'entente Maroc-Israël ne prévoit-elle en subliminal de convenir de s'informer mutuellement de l'activité de "l'Internationale Terrorisme" en zone MENA-Sahel subsaharienne ? Et donc, se consulter sur les mesures de défense à envisager en étroite collaboration avec les USA et la France. Particulièrement sur l'avenir de la mémoire civilisationnelle de la région, contre le Polisario qui est devenu l'une des pierres angulaires de ce puzzle de la terreur qu'est le terrorisme.


       Oui, ces accords dont tout le monde en parle, installent une chappe de peur sur Ksar Almouradia. D'abord, parce que répondent beaucoup moins aux inquiétudes du régime quant à l'avenir de sortir le pays de l'isolement et/où l'ont plongées les initiatives mal inspirées des Généraux vert-kaki dans le côté oriental du Mur de  séparation en Zone Tampon. Puis, autant le dire sans retenue ni gêne, parce que Tebboune Chengriha et leurs portes-flingues ne se font pas résignés aux accords Maroc-Israël finalisés sur fond de l'entente géostratégique. Ce pacte grandiose, entre autre contre les fakes-news du Polisario et les balivernes à tout vent de l'Algérie sur les FAR qui sont pour l'instant de marbre. Sans oublier les attaques des médias algériens inféodés au pouvoir contre la Minurso, contre Antonio Gutterres et contre le Conseil de Sécurité à ce propos. Ajouter à cela, la prestance de Nasser Bourita qui ne va pas sans inquiéter Sabri Boukadoume son vis-à-vis algérien qui, lui, porte malheur à son pays. Et, ce ne sont pas ses essais de faire impliquer la Russie, qui vont faire changer de fusil d'épaule pour Joe BIDEN. Surtout, après l'échec cuisant du plan machiavélique avec Erdogan de construire une base sur l'atlantique. Mais comment à Ksar Almouradia en est-on arrivé là ? N'est-ce pas, parce que ce pouvoir pourri ne fait que subir des déconfitures diplomatiques les unes après les autres ? Redoutant, aujourd'hui, que cet accord trouve preneurs en Kabylie et chez les Mzabs, comme ultime coup de grâce pour le régime. Une sorte de garantie de liquidation du contentieux colonial avec le Maroc qui, lui, est tourné vers le pari de l'avenir rayonnant. Et, dont les investissements colossaux diversifiés s'annoncent de partout à rythme inattendu impressionnant. À bon lecteur, bon décrytage !

jeudi 24 décembre 2020

QUE CHERCHE-T-IL LE BUNDESTAG À PROUVER DANS LE CONFLIT MAROC-ALGÉRIE ?


CONTRE TOUTES MAUVAISES SURPRISES VENANT DU BUNDESTAG, LE MAROC A FAIT BLINDER LES PORTES DE SON OFFRE D'AUTONOMIE 2007.


       Quoi qu'il en soit, le timing de la réunion du Bundestag sur le Sahara marocain la veille de Noël 2020, interpelle et donc fait réagir. D'autant plus, il montre les relents d'une incompatibilité opérationnelle entre la démission  du chef allemand du petit groupe de soutien du Polisario au parlement européen et la volonté de l'Allemagne de garantir le processus onusien. N'est-ce, au moment du breifing à huis clos du 21 Décembre 2020 au Conseil de Sécurité de l'ONU, elle s'en est tenue à la solidité de la thèse marocaine. C'est pour cela le Maroc s'en tiendra seulement à l'effectivité de son offre d'autonomie 2007, dont la programmation n'autorise aucun soupçon. Autrement dit, au cas où le Bundestag voudrait troquer la parole de l'Allemagne contre celle des lobbies propolisario, le Maroc renoncera à se prévaloir des déclarations officielles sans garanties. Évidemment, il n'en accéptera pas moins que rien qui ne saura changer l'attitude des parlementaires soudoyés par l'Algérie, par rapport à celle connue des Verts vis-à-vis du Sahara marocain. Oui, la dénonciation par les Verts allemands de l'entente sournoise des gauchos avec le Polisario, sous couvert du régime algérien, apporte la preuve que l'appel à la réunion extraordinaire du Bundestag sur la Sahara marocain sent la manipulation sous forme de bluff communicatif.


       Cependant, en vertu de ce breifing sus-indiqué du Conseil de Sécurité de l'ONU, les échanges notés, qu'on ne le veuille ou pas, sont à l'avantage du Maroc. C'est ce qui ressort de la note des membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, et dont la conclusion ne comporte aucune résérve. Comme quoi, "contre les mauvaises surprises pouvant venir du Bundestag ou d'ailleurs, le Maroc a fait blinder toutes les portes de ses chancelleries pour la sauvegarde de son offre d'autonomie 2007. En effet, l'on peut dire aujourd'hui, l'Allemagne ne se propose pas de modifier le principe de ses relations avec le Maroc, elle y serait même disposée comme l'Italie le Portugal le Royaume-Uni la Pologne la Roumanie le Canada et le Japon, sans condition préalable, d'ouvrir des Consulats à Laayoune ou Dakhla. Ce qu'évidemment, par la force de la balance diplomatique, aboutirait à un nouveau règlement des relations du Maroc avec tous ces pays. De fait, Bundestag ou pas, le Maroc assumera ses engagements et les fera remplir sans faiblesse ni relachement. Aussi, c'est dans cette perspective qu'il convient de voir  en ce resserement, l'instrument diplomatique pour contrecarrer la pression des lobbies anti Maroc qui sont aux abois après le coup de Trump. N'est-ce, ce qu'a noté le journal "L'espagnol" de l'isolement de l'Algérie qui ne peut plus briser la croûte des militaires qui éttouffent l'énergie et les aspirations du peuple. À bon entendeur, salut !

mardi 22 décembre 2020

LA FRANCE DOIT, D'ELLE-MÊME, ROMPRE AVEC SON OBSCUR JEU DIPLOMATIQUE AU SAHARA MAROCAIN.

LA FRANCE ENTRERA-T-ELLE EN LICE EN EMBOÎTANT LE PAS AUX USA, POUR LA RECONNAÎSSANCE DE LA MAROCANITÉ DU SAHARA ?


       La France se leurre en s'en tenant toujours aux bases sur lesquelles elle avait édifié depuis 1975, le système de sa fausse neutralité au Sahara marocain. Un stratagème qui, des années durant, lui a valu résérvation de la place la plus en vue dans ce conflit préfabriqué par l'Algérie. Et, aussi entretenu par la Libye de Kadhafi voire largement soutenu par la gauche anti occident du temps du rideau de fer. D'ailleurs, françois Mitterand en tant que chef de l'opposition, n'avait-il cautionné la proclamation de la naissance par forceps de la "rasd" en Juillet 1979 dans le desert autour de Tindouf. C'est alors qu'aujourd'hui, la France se souvenant qu'elle est sujette à des crises sociales politiques sécuritaires voire aussi constitutionnelles, se met à simuler son mal-être diplomatique quelque peu compromettant pour elle, par rapport au Maroc. Pourtant, la voie est battue devant elle, pour s'empresser à le dépasser. Non, par la petite scène de la satisfaction logorrhéique, mais par la prise de position claire en emboîtant le pas aux USA, par la reconnaîssance d'elle-même de la souveraineté du Maroc sur son Sahara.


       À l'évidence, aujourd'hui après 45 ans de la Marche Verte 1975, les marocains sont nantis du coup magistral de TRUMP du 10 Décembre 2020 qui est presque une feuille de route pour le Conseil de Sécurité de l'ONU pour le règlement de ce conflit qui n'a que trop duré. Ils se font de plus en plus pressant surtout sur l'UE, usant de leur doigté à même jusqu'à pousser les diplomates français au Quai d'Orsay dos au mur. Il faut dire, qu'on ne le veuille ou pas, maintenant ces derniers voient la diplomatie marocaine devenir le support-vecteur solide du partenariat stratégique avancé avec l'UE. Sans commune mesure avec les accords aux connotations turfistes avec l'Algérie en pleine déscente aux enfers. Et ce ne sont pas les non-dits du ministre des Affaires Étrangères français Jean Yves Le Drian, lors de son dernier passage à Rabat qui pourraient changer la teneur des appels du monde politique à faire le pas pour conforter l'attitude du Maroc. D'ailleurs, n'a-t-il décliné sa flatteuse invitation comme toujours, de pousser à trouver une solution politique au Sahara marocain ? Sauf que, cette conception de garder le flou est dépassée, et que c'est une ère nouvelle qui s'ouvre par les investissements colossaux Émiratis américains-israëliens britaniques canadiens et australiens risquant de mettre l'UE à la trappe. N'est-ce, même à la dernière réunion 21 Décembre 2020 du Conseil de Sécurité de l'ONU à huis clos sur demande de l'Allemagne d'Angela MERCKEL "outrancièrement tebbounnisée", les USA ont été plus entreprenant, ayant débouté l'Algérie et giflé le Polisario ? Aussi, pour être plus claire, la France n'a de choix que rompre avec son obscur jeu d'oscillation diplomatique et se mettre en ligne du droit et la justesse de l'offre marocaine d'autonomie 2007. À bon lecteur, bon décryptage !

lundi 21 décembre 2020

DJERAD L'ANTISÉMITE, DJERAD L'ANTI MAROCAIN DE SERVICE !


CETTE AFFICHAGE SEMBLABLE À CELUI DU NATIONAL-SOCIALISME, NE MET-IL EN LUMIÈRE LES MOTS-CLEFS DE L'AVENTURE GUERRIÈRE DU RÉGIME ALGÉRIEN ?


       À l'évidence Abdelaziz DJERAD l'encarté au FLN, fut le malheureux héros d'une sortie médiatique aventurière assez déplaisante. D'où, il avait imprudement décliné sa raison d'être le nouveau fanfaron antisémite du régime algérien. S'obstinant, lui aussi, dans le refus de reconnaître la défaite du régime face au Maroc entreprenant à tous les niveaux. Aussi, cela ne signifirait-il qu'en cas d'hostilité sur le terrain de l'Algérie avec le Maroc, la conspiration des Généraux ventrus vert-kaki n'aura aucune valeur d'influence géopolitique ni  militaire. Tellement, leurs soutiens résiduels ne se feront plus assignés au rôle du double jeu, mais seulement à la clarté des positions par peur des conséquences économiques de l'entente stratégique USA-Maroc-Israël. Sans omettre l'impact de la reprise des contacts diplomatiques directs Maroc-Israël qu'au demeurant sont en préparation accélérée. Autrement dit, pourquoi ce tartuffe de la politique en l'occurrence DJERAD, attribue-t-il à sa déclaration démesurée une valeur dissuasive contre la reconnaissance des USA de la souveraineté totale du Maroc sur toutes ses terres de Tanger à Lagouira ? 


       Néanmoins, n'est-ce d'une part, nul à la Ligue Arabe, surtout au CCG ne se fie à la parole de l'Algérie ? Et, d'autre part, dans les capitales des puissances, on ne se leurre plus sur l'état réel de l'avantage diplomatique concédé au Maroc. Ce à quoi, en vertu de ce constat flagrant, la justesse de la thèse de l'offre marocaine d'autonomie 2007, sera de mise dans les instances internationales. Sachant qu'elle portera en elle, qu'on ne le veuille ou pas, la garantie du Conseil de Sécurité de l'ONU. Il est vrai que le pouvoir algérien avec ses Généraux de salons, assistent aux manœuvres racistes antisémites du premier minitre. Sans savoir que ça risquerait d'entraîner l'Algérie dans une aventure semblable à celle du National-Socialisme. Comprendront ceux qui en savent les conséquences de l'issue de cette aventure ! Comme ça, si toutefois, DJERAD désire encore jeter l'huile sur le feu pour le compte des Généraux, ils en seraient tous responsables devant l'histore de cette légèreté. Parce qu'un tel engagement dans la terreur, demanderait l'obligation des Nations-Unies à les stopper avant qu'il ne soit trop tard. Certes, l'attitude de DJERAD le rend le vrai bouc emissaire, si ce n'est carrèment le dindon de cette farce de mauvais goût voire répugnante des militaires. À bon suiveur, bonne lecture !

dimanche 20 décembre 2020

LE MAROC DOIT-IL ROMPRE AVEC LA PASSIVITÉ ENVERS L'ESPAGNE ?


AUJOURD'HUI, L'ESPAGNE DANS TOUTES SES PROFONDEURS POLITIQUES, SAIT L'INCOMPARABLE PUISSANCE DE NUISANCE DU MAROC ET DE QUOI IL EST CAPABLE.


       L'Espagne officielle joue double jeu dans le conflit préfabriqué au Sahara marocain. C'est pour cela, même sachant "qui triche perd", elle considère l'entente stratégique tripartite USA-MAROC-ISRAËL malvenue pour elle. Voyant, de ce fait, son rêve de continuer de narguer le Maroc remis en cause de l'autre côté de l'atlantique. En tout cas, les faits hitoriques la mettent à nu, car, sous Franco agonisant en 1975, elle avait signé scéllé et enregistré à l'ONU l'acte de décolonisation de ce territoire reconnu marocain. D'ailleurs, cette attitude faisait figure de sagesse en rétrocédant sa gestion tutéllaire au Maroc qui, l'ayant de tous les temps revendiqué. Vraiment, l'on peut dire, aujourd'hui l'Espagne a peur du calendrier de la programmation des revendications de Sebta et Melilia. Notamment, sur les menaces contre ses efforts d'organisation de ses diverses ripostes face à l'assurance de plus en plus exprimée de ce voisin du Sud. Pour preuve la circonscription commerciales par les autorités territoriales marocaines autour de ces présides spoliés. En cela, voilà le Maroc en position d'aborder avec calme l'essentiel des secrets des tergiversations espagnoles, ne le touchant aucunement dans ses desseins du tracé de l'avenir, ni le perturbant dans ses prestations diplomatiques pour la reconnaissance onusienne totale de son Sahara. 


       C'est même là, la subtilité de l'expression diplomatique du nouveau cycle de la vie politique marocaine. Celui, de collection des données stratégiques pour la conception, le pilotage et la projection en perspective d'avenir des projets structurants pour le rayonnement et le développement de Tanger à Lagouira. Mais alors, pourquoi Mme Arancha GONZALÈS LAYA la ministre espagnole des affaires étrangères de l'UE et la coopération s'essaye-t-elle à l'accordéonisme dans ses sorties médiatiques ? Tantôt, à faire l'éloge des relations exemplaires Rabat-Madrid, tantôt, à revenir à la médisance politicienne anti Maroc chaque fois qu'elle se trouve en difficulté. Ne le fait-elle pour noyer le poisson en interne, face au Podèmos et aux diverses expressions séparatistes culturelles et territoriales qui rongent son pays ? Plus précisément, afin d'aboutir au plan d'action commune à l'UE pour narguer ce pays de plus en plus fier de ses succès et, qui dérange. Ce qui, pour elle, répond à faire de sorte à le stopper dans toutes ses envolées économiques et conquètes géopolitiques, en usant d'harcellements et chantages. Sauf que, en a-t-elle les moyens d'influence au sein de l'UE qui sait l'incomparable puissance de nuisance du Maroc ? Évidemment, de ce constat, le Maroc ne doit-il rompre avec sa passivité envers l'Espagne, en lui montrant que la loyauté ne peut être que réciproque. Autrement, dans le cas contraire, ce qu'il est capapble de faire au tourisme ibėrique, à l'armada de pêche hauturière, à la lutte migratoire, au terrorisme. Bref, à la position espagnole en tant que premier partenaire économique du Maroc. À bon suiveur, bon décryptage !

jeudi 17 décembre 2020

AUJOURD'HUI, LE MAROC INÉBRANLABLE DANS SES CONVICTIONS MÉRITE PLUS LA CONFIANCE DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU.


AU LIEU D'AJOUTER DES ÉLÉMENTS MATÉRIELS À LA DÉFENSE RÉELLE DE LA MAROCANITÉ DU SAHARA, CERTAINS ENNEMIS DE L'INTÉRIEUR VENDEURS DE LEUR ÂME À L'ALGÉRIE, ESSAIENT DE DÉCOURAGER L'EFFORT DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU.


      Aujourd'hui, les illusions de l'Algérie quant à la certitude de voir un jour le Conseil de Sécurité de l'ONU circonscrire le Maroc de son Sahara, ont fait choux-blanc. Quant au Congrès américain, l'on peut d'ores et déjà, affirmer que son siège de la filouterie du rouillé John BOLTON et des contrevérités du mouillé Christopher ROSS, est définitivement fait. Ce qui donne l'assurance au Maroc tout joyeux, que John BIDEN s'empressera après le 20 Janvier 2021 à confirmer le coup de TRUMP. D'ailleurs, ce ne sont ni les sournoiseries diplomatiques du verrouillé Sabri BOUKADOUM par les Généraux vert-kaki, ni les intentions malveillantes du douillet américanisé Ramtane LAAMAMRA et encore moins les manipulations de l'embastillé dans l'UA Smail CHARQUI qui peuvent arrêter le Maroc dans ses perspectives victorieuses. Ajoutons à cela, qu'en ce qui concerne les grandes puissances, elles ne peuvent consentir à l'inclusion de la chimérique "rasd" dans le concert des Nations-Unies à quelque titre que ce soit. Au contraire, certaines de ces puissances s'aprêtent à emboîter le pas aux USA pour reconnaître de facto la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Sans oublier que la même remarque s'applique aux pays qui, soit-disant, se disent neutres et dont, la doctrine a changé depuis la reconnaissance des USA au Maroc la totalité de son Sahara. Réclamant, de fait comme l'ex-président tunisien Moncef MARZOUKI, d'un temps impératif au Conseil de Sécurité de l'ONU de dire le droit, rien que le droit inaliénable du Maroc de jouir de toutes ses terres.


       En effet, dans l'optique de cette logique créée par la nouvelle donne de Donald TRUMP, désormais les moyens juridiques semblent suffisants pour le Maroc, afin de concrétiser ses aspirations légitimes géopolitiques économiques et sécuritaires. Notamment, par l'effectivité de l'offre d'autonomie 2007, ne pouvant donner que davantage d'aide économique et assistance technique civile et militaire promises par l'administration USA. Et ce, pour autant qu'il ne l'ait déjà mis dans les tuyaux de l'entente tripartite stratégique USA-Maroc-Israël. Certes, ceci ne peut se faire sans soulever qu'il demeure toujours prêt à prendre les mesures nécéssaires en vue de protéger son intégrité et sa souveraineté. D'autant qu'il n'est pas dans les intentions du Roi Mohamed VI de revenir sur la parole donnée, en vue de défendre la Palestine ni d'abondonner le principe de deux États, qui, jusqu'ici est resté lettre morte à cause du désinteressement de la communnauté internationale. Et, que ceux des ennemis de l'intérieur vendeurs de leur âme à l'Algérie, qui considèrent la reprise des contacts et relations diplomatiques Rabat-Telaviv malvenue, ne soient plus dans l'assurance pour continuer leur besogne. Comme ça, en cette periode particulièrement euphorisante pour le peuple marocain, ils arrêteront de décourager l'effort national pour la reconnaissance du Sahara par l'ONU. À bon entendeur, salut !

mardi 15 décembre 2020

VERS LA CONCRÉTISATION DU REBOND GÉOPOLITIQUE DU MAROC EN 2021 !


DÉJÀ L'OPÉRATIONNALITÉ DU COUP DE TRUMP FAIT PESER SUR L'ALGÉRIE UNE PRESSION SANS PRÉCÉDENT.


       Aujourd'hui le Maroc a gagné en communication diplomatique et en perspective de richesse d'investissements étrangers sur la totalité de son Sahara. Contrairement à l'Algérie isolée et qui hallucine parce qu'elle est prise dans la nasse qu'elle a elle-même tissée. De fait, le Maroc a besoin plus que jamais de fructifier l'effectivité de son offre d'autonomie 2007, selon la nouvelle donne après le coup magistral de Trump. Et, ce ne sont pas les illusions d'Alger quant à la position de Moscou, à défaut d'une déclaration claire l'engageant du côté de Washignton, qui diminueront ses inquiétudes spéciales. Autrement dit, on est presque sûr que la Russie ne fera rien contre le Maroc dans les circonstances actuelles. Elle ne se cambrera nullement dans une quelconque intransigeance, même faisant l'une de ses conditions seulement de rester dans le cadre du Conseil de Sécurité de l'ONU. Ce qui signifie que le Maroc va à pas sûrs vers la concretisation du rebond géopolitique en 2021.


       Évidemment, les événements de ces derniers jours ont fait modifier l'équilibre géostratégique, donnant en conséquence l'occasion surtout à l'UE de faire amende honorable. Notamment, la France et l'Espagne qui pratiquent par moment double jeu exacerbant et chantages insuportables. Néanmoins et chacun le sait désormais, la reprise officielle des relations Maroc-Israël n'est pas une menace pour l'Algérie qui ne manque aucune occasion pour le crier, sournoisement, à redondance malsaine. Allant, jusqu'à s'imaginer atterir sur les aérodromes marocains Drones-prédateurs transalls cargos et Avions-bombardiers israëliens. Voir aussi, s'ancrer les sous-marins lanceurs de missiles à portée stratégique en mediterrannée et sur la côte atlantique. C'eût été judicieux pour elle de reconnaître sa défaite diplomatique face à un Maroc très fort, avant de se mettre en combat imaginaire ne pouvant lui garantir même pas l'espoir d'éviter l'implosion. Décidément, l'Algérie surarmée a peur, vivant l'effet de la paralysie progressive. En plus, estimant qu'il est de l'intérêt de l'ONU de lui prêter immédiatement toute l'assistance pour faire face à ce qu'elle qualifie, idéologiquement, le danger sioniste à ses frontières. N'est-ce, cela l'opérationnalité du coup de Trump, faisant peser sur elle une pression sans précédent ? À bon lecteur, bon décryptage !

vendredi 11 décembre 2020

APRÈS WASHINGTON, À QUI LE TOUR DANS LES GRANDES CAPITALES DU MONDE DE FAIRE LE SAUT À LA TRUMP ?




JOHN BIDEN, SE TIENDRA-T-IL, LUI AUSSI, À LA LETTRE ET À L'ESPRIT DE L'ACTE DE TRUMP SUR LE SAHARA MAROCAIN ? 


      Dans l'état actuel, tel qu'il se présente après la reconnaissance des USA de la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara, la question qui se pose avec accuité à l'attention des capitales du monde : c'est à qui le tour pour faire le saut à la Trump ? Dont, beaucoup se disent déjà satisfaites de l'évolution, dépassant le degré de leur neutralité passive. Il est vrai que ce fait nouveau créé par Trump, va automatiquement les conduire à réviser leur stratégie diplomatique. D'abord, en sortant des formulations alambiquées, puis en s'attelant à la clarification des positions, chacune selon l'équilibre de ses priorités. Autrement dit, déjà, l'on peut dire, n'est-ce, ce que commencent ouvertement à soutenir dans leurs propos certaines capitales, comme Varsovie Budapest Buccarest Londres Tokyo Lahaye Rome Brazilia etc...? Lesquelles, par ailleurs, n'entendent plus se laisser berner par le régime algérien, ses Généraux vert-kaki et le protoplasme polisarien, qu'au demeurant, tous, s'y emploient donquichottement dans la désinformation et la diffusion des fekes-news.


       Oui, les USA sous Trump ont maintenant donné le tempo à la mécanique onusienne pour rétablir la vérité historique au Sahara marocain. S'ajoutant à la normalisation des relations du Maroc avec Israël, sans s'abuser sur le sens de cette reprise de contact diplomatique direct. Alors qu'au sein de la société marocaine des sachants, seuls les nonistes missionnaires vendeurs de leur ame aux ennemis du pays, les islamistes purs et durs inféodés aux frères musulmans et les islamo-gauchistes notoires en mal d'affirmation, la rejettent sans concession. Il ne faut pas croire qu'ils ont pignon sur rue, c'est même le contraite. Mais, n'est-ce là où il faut se rendre compte de l'anticipation opportune de Trump ? En effet, autant le dire avec franchise, est-ce que la future administration John Biden se mettra en disposition de concrétiser l'esprit et la lettre de la promulgation de l'acte de reconnaissance de la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara ?  La réponse est évidemment, OUI ! En tout cas, les marocains comme les israëliens comprennent les avantages qui découlent pour eux de cette reconfiguration géopolitique et ses retombées stratégiques. Tellement, cet acte courageux de Trump avec ses bifurcations relationnelles d'un ordre nouveau, qu'on ne le veuille ou pas, possède une base référentielle garantissant le bien fondé de la marocaineté du Sahara. Dont, le DEA la CIA et le pentagone en possèdent les archives non déclassées attestant cela. Aussi, même si, l'hostilité manifestée par l'Algérie depuis quarante cinq ans a singulièrement mis les rapports Rabat-Alger sous grande tension, notamment après le nettoyage de l'espace Guergaratte par les FAR, les choses sur le terrain et dans les instances internationales évoluent mécaniquement en faveur de l'offre marocaine d'autonomie 2007. C'est dire que le Maroc n'a pas attendu le tweet historique de Donald Trump pour se montrer très dur voire incisif vis-à-vis de l'Algérie. D'abord sur la malheureuse condition de vie infligée aux séquestrés des camps de lahmada-Tindouf. Puis, sur le diktat des Généraux aux fouteurs de troubles "baltajis" polisariens et aux mercenaires, de faire les éclaireurs-fixeurs dans la zone Tampon de Guergaratte, en tant que première étape dans le but inavoué d'y accèder à l'atlantique. Sauf que, il faut le rappeler à toute fin utile, l'Algérie doit savoir que les FAR veillent au grain et ne se laissent pas piéger. À bon entendeur, salut !

jeudi 10 décembre 2020

DONALD TRUMP FAIT LA RÉVOLUTION DANS LA TÊTE DES CACIQUES CIVILS ET MILITAIRES DU POUVOIR ALGÉRIEN !

Si, malgré la reconnaissance des USA avec Trump de la marocaineté totale du Sahara, l'Algérie se trouvait dans une guerre avec le Maroc, elle en subirait les conséquences sur toutes ses forces militaires.


       Le pouvoir algérien aux abois, continue de parler d'auto-détermination même sachant que c'est un jargon dépassé par le Conseil de Sécurité de l'ONU. Pire encore, il le fait avec disgression outrancière et irresponsabilité incroyablement à contre courant de la communnauté internationale. C'est évidemment ce qui indique qu'en dessous, il prépare la guerre à brève échéance contre le Maroc. Par ailleurs, à le voir s'agiter de la sorte, n'est-ce pas il se décharge, de ce fait, sur les principes idéologiques désuets du temps révolu de la guerre froide entre bloc de l'Est et celui de l'Ouest ? Sauf qu'aujourd'dui un coup de massue est tombé sur sa tête, après le tweet histotrique de Donald Trump, annonçant la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur la totalité de son Sahara, en plus de l'ouverture d'un grand Consulat Général des USA à Dakhla.  À ce propos, il faut le marteler sans cesse, l'Algérie l'a dans le baba ! D'ailleurs, il n'y a qu'à voir comment à Ksar Almouradia et dans les batisses des ministères de la défense et des affaires étrangères, on se prépare pour définir la ligne de conduite  et de recommandations au peuple algérien pour affronter le tremblement diplomatique provoqué par cette reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur son Sahara par Trump.


       Aussi, quand on en vient à la teneur et au style de la rédaction de cette communication saccadée, d'abord par tweets succéssifs puis par confirmation officielle de Donald Trump, on en comprend que le nettoyage de l'espace Guergaratte par les FAR, a d'ores et déja apporté ses fruits. Autant le dire sans gêne, il n'y a pas lieu de douter de l'effectivité immédiate de cette annonce qui risque de faire la révolution dans les têtes des caciques civils et militaires de ce pouvoir haineux. En ce sens, voilà pourquoi les sentiments belliqueux de défiance du pouvoir algérien envers son voisin de l'Ouest, sont infondés et surtout inaccéptables. Pour preuve, Chengriha l'insouciant fugitif des scènes de guerre, un peu comme l'était son patron d'alors Feu Gaid Salah, lui aussi, aime impressiomner les cadets des écoles militaires des régions qu'il visite à cadence soutenue. Tantôt, vociférant par des paroles à tire larigot à presque gorge sèche, tantôt brandissant menaces à peine voilées qui laissent à désirer. Sans savoir que, si ses copains Généraux nababs vert-kaki veulent la guerre, et bien ils l'auront à leurs risques et périls. Comprendront, ceux qui connaissent les déroulés de leurs défaites historiques succéssives à Amgala I Amgala II Bir Gandouz Galta-Zemmour Mahbes Mjik et autres batailles pas des moindres. Parce que les FAR en pareil cas, comme d'habitude, elles montreront encore leur poigne et tactique jusqu'à ce que victoire totale s'en suive. À bon lecteur, salut !

vendredi 4 décembre 2020

LE MAROC A, DÉFINITIVEMENT, ÉTEINT LE MYTHE DE L'ALGÉRIE ET DES RENÉGATS POLISARIENS !

MAROCAINS SÉQUÉSTRÉS DANS LAHMADA-TINDOUF, REVENEZ À LA MÈRE-PATRIE AVEC HONNEUR ET CONFIANCE.

      Le monde entier sait que les marocains séquéstrés dans les camps de la honte, sont vendus à l'Algérie. Par les pires polisariens-collabos des Généraux vert-kaki usant de réciprocité d'intérêts au court terme. Et ce, dans un but de faciliter leurs grandes supercheries communes et enrichissements illicites les uns les autres. Et par conséquent, il est maintenant aisé de ne pas qualifier nos sœurs et frères emmenés de force dans les camps de la honte au lendemain de la marche verte, de traitres. Contrairement à leurs géoliers du fantoche Polisario portant les stigmates de ses échecs diplomatiques cuisants. Mais, pourquoi après le nettoyage de l'espace Guergaratte par les FAR, ce dernier a-t-il essayé de faire une OPA médiatique en se donnant l'air de non coupable de ce qui lui est arrivé sur le terrain et sur la scène mondiale ? N'est-ce à dire, qu'avec le soutien des fous à Ksar Almouradia d'Alger et leurs Généraux, ils voulaient s'emparer d'une partie de l'histoire de l'héritage patrimonial culturel et territorial du Maroc séculaire ? 


       En effet, après l'offre marocaine d'autonomie 2007 que l'Algérie et le Polisario ont refusé, c'est sûr ils n'en verront point une autre. Plus clairement dit, la suite côté Maroc ne tiendra plus compte du Polisario ni de ses soutiens rédiduels en érrance dans les couloirs des ONG. D'ailleurs, autant le dire avec franchise, Brahim GHALI et son entourage de zélés gauchisants d'un temps désuet, sont aujourd'dui nommés les salauds de service dans ce conflit préfabriqué par le pouvoir algérien depuis l'époque de Feu Boumediene. Au point qu'ils sont vilipendés et formellement reconnus seulement traîtres "cinq étoiles", par toute la communauté diplomatique à l'ONU. Ainsi, on peut affirmer dès à présent, qu'ils n'ont jamais sû qu'avec le temps leur traîtrise finira par échouer, aussi bien dans les instances internationales que face à la conscience des peuples de par le monde. Et ce ne sont ni les balivernes de Sabri BOUKADOUM ni les perfidies de Smail CHARQUI qui pourront changer le principe du Maroc à restaurer le droit et la justice au sein de l'UA, pour en finir avec les mirages et les chimères que porte la fontômatique "rasd".

     

       À l'évidence, le drame du pouvoir algérien faussement polisarisé à outrance depuis 45 ans, c'est son déni de l'histoire du Maroc. Tellement, il a engendré un mythe impossible à réaliser en se basant sur les renégats qu'il eut engraissé des années durant sur le dos du peuple algérien. Sans savoir, qu'en général, leur traîtrise est une affaire de légèreté d'analyse d'endoctrinement et d'embrigadement idéologique par manque de repères historiques de leur part. Et c'est là, où le gênie politique des trois Roi du Maroc Feu Mohamed V Feu Hassan II et Mohamed VI que Dieu l'assiste, inspire sur l'interprétation à long terme de la traîtrise. Autrement dit, laisser les renégats partout où ils sont, mourir de leur image de vendus pour une poignée de pétro-gazodinars dévalués. De fait, déjà, le comportement subséquent de Brahim GHALI et ses lieutenents semble corroborer cette vision royale, étant donné qu'ils s'éteignent au fur et à mesure, devant la balance diplomatique nettement en faveur du Maroc. C'est pour cela, aujourd'hui, les marocains ont beaucoup de raisons de les tenir comme inexistants. Notamment, dans les circonstances géopolitiques du moment à Addis-Abeba à Bruxelles à New-York et dans la plupart des capitales dans le monde. À bon lecteur, bon décryptage !