vendredi 26 août 2016

LOIN DE L’ETAT DE GUERRE DANS LE DÉSERT, QUE RESTE-T-IL SINON AGIR A LA HAUTEUR DES AMBITIONS DE L’ ÉLECTROCHOC DU DISCOURS ROYAL DU 20 AOÛT 2016 ?

POURQUOI  POUR LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE VIA (LA-OCI-UE-UA-CLAC ET L’ONU AVEC LES ORGANISATIONS SOUS SA BANNIÈRE), AVOIR CHOISI LES SUGGESTIONS NORMÉES DU ROI DU MAROC POUR LE CO-DÉVELOPPEMENT ET LA LUTTE ANTI-TERRORISTE ?

       Après l'électrochoc du discours royal de la vérité et du grand courage en date du 20 Août 2016, qu’apporterait sa contribution au maintien d’un standard de qualité des connaissances sur l’Islam tolérant pour les marocains de l’Etranger ? Certainement que ça les ouvrirait plus à comprendre pourquoi le Roi du Maroc a eu l'intelligence de ne pas faire l'erreur de fermer les yeux comme ce qu'ont fait sans gêne beaucoup de Chefs d'Etats, car se sont couchés devant le fait accompli terroriste. Autrement dit, seul Lui, Roi Résistant, a su prendre le taureau par les cornes en se concentrant d'abord fièrement sur les divers problèmes des MRE. Dont les observateurs nationaux et étrangers en ont reconnu le changement de braquet et relance de dynamique contre les frustrations couvrant toutes leurs couches sociales et sociétales. Parce qu’il y a un problème d’acceptation de l’affirmation de l’Islam en Occident surtout en Europe, dont les musulmans surtout les maghrébins comptent sur le statut du commandeur des croyants du Roi du Maroc pour apaiser leurs craintes. N’est-ce en cela que c’est un gage de reconnaissance à Sa Personne de par le monde dans les chancelleries ayant vu et observé dans son discours une intégration de solutions pragmatiques, tant sur le plan cultuel que sur celui sécuritaire pour dépasser l’état de souffrance et peur partout dans le monde ?

       D’ailleurs, c’est intéressant de voir qu’en Afrique et au Grand Maghreb ce pari du Maroc est déjà en passe d’être gagné, au vu qu’il ne pratique que le partage collaboratif de thèmes sunnites d’obédience malékite. En faisant profiter les membres et jeunes futurs Oulémas étrangers, des formations continues sous l’égide le l’Institut Mohamed VI avec le Ministère des affaires islamiques et Habous, s’ajoutant en plus à la création des conventions avec les Oulémas confirmés et internationalement reconnus pour leur modernité argumentée et tolérance justifiée. A cet égard, à l’horizon, n’en peut-on voir un vrai espoir porté par la raison en référence de cet appel historique aux allures d’annonce de la fin de la crise Maroc-Algérie ? Mais, est-ce que les faiseurs de paix et de guerre dans la région sont mûrs pour se laisser envahir par cette tentative royale de l’espoir pour la sortir du chaos qui la guette, sans basculement dans le déni des réalités des foyers du sevrage du Grand Maghreb à la paix ? A ce propos, ne s’agit-il vraiment de l’attente de l’introspection diplomatique algérienne réelle en réponse à celle marocaine à fort ajout humanitaire positif, pour mettre en regard les décisions politiques au dessus des soupçons en plus sans triches ni tribulations ?  Néanmoins, ne peut-on dire si les conditions de réalisation le permettent qu’il y a là un véritable espoir d’émergence d’un modèle commun de co-développement et d’initiation d’équité positive dans tous les domaines ? Et ce, dans une autonomie généreuse, d’une part avec souci de cohésion sociétale maghrébine s’inscrivant dans le faire du bien pour une meilleure région MENA-SAHELSUBSAHARA, d’autre part avec préférence à la greffe de bonne pratique démocratique dans les gouvernances institutionnelles étatiques semi-étatiques et pourquoi pas dans le privé.

       En revanche, voilà pourquoi chercher ne plus s’accrocher à l’état de fait existant, n’est-ce créer la production d’idées stabilisatrices d’ampleur inédite et de finalité de mise en confiance autre de ce que s’est fait à ce jour dans la région ? Ce qui donne une idée qu’aujourd’hui la diplomatie marocaine pleins gaz, elle confirme son état d’esprit de compréhension et analyse des événements, loin de tout engagement aventurier vers l’état de guerre dans le désert. D’autant qu’effectivement, les mentalités ont évolué, même si, c’est là où les généraux de la vielle garde au sein de l’armée algérienne croient découvrir l’expression militaire idéale via l’évasion diplomatique avec la Mauritanie. Qu’au demeurant, malheureusement n’alliant ni rigueur ni vigueur et encore moins obligation de la pratique du bon voisinage vis-à-vis du Maroc leur supporter inconditionnel lors de la guerre de libération. En plus, continuant à le narguer en trahissant sa confiance, car ils ne savent toujours pas que leur soi-disant devoir de fidélité absolue à la pensée de Feu Président Boumediene de ne jamais laisser le Maroc tranquille, n’est autre qu’un serment aux airs mafieux de Causa Nostras.

     Indéniablement, cela indique concrètement que la communauté internationale ne doit en aucun cas cesser de lutter contre les transcriptions terroristes qu’elles soient matérielles ou immatérielles. D’où, la nécessité pour le couple Maroc-Algérie de se tenir toujours au courant de ce qui se passe dans ce marché de la gamme des produits et armes de la terreur et aussi des différentes techniques et normes qui les régissent. Hélas dans ces conditions, pourquoi l’absence de lucidité chez certains politiques et Généraux algériens d’où ressort leur position anti Maroc très tranchée et qui n’est au dessus des soupçons de l’emprise des lobbys portant l’ADN du Département d’Etat américain et non du Pentagone. Toutefois, et c’est là ou le bât blesse, pour qui roulent-ils donc les Généraux nababs mettant en exergue leur concentré de rancune et rancœur datant de la guerre des sables 1963 ? Voyant leurs compatriotes algériens souffrir sans le moindre espoir de changement du système en place ni dans l’action diplomatique sereine ni dans le devoir de bonne gouvernance. Par rapport à l’approche méthodologique de la réactivité militaro-diplomatique marocaine indépendante réfléchie et responsable dont on parle de plus en plus au sein de la chaîne onusienne de traitement des conflits.

       Néanmoins, selon la finalité de ce raisonnement, n’est-ce parce que c’est la ligne de conduite du Roi du Maroc visionnaire qui n’est plus à démontrer qu’évidemment au Secrétariat Général de l’ONU on en redoute particulièrement son pouvoir décrypteur réactionnel aux perfidies quelles qu’elles soient ? Avec toutes les nuances qu’il peut y avoir et, dont on peut en sonder le rapport malveillant sinon machiavélique qu’entretiennent presque à demi-voilage les concepteurs des tribulations contre le Maroc dans l’administration américaine sous Obama depuis 2013. Et qu’en plus le discours royal du 20 Aout 2016, en constitue un tournant stratégique le plus référentiel à la clairvoyance du Souverain. Ayant sans ambages montré que la diplomatie marocaine n’est la réserve de personne en la présentant sous un autre visage, d’où jaillissent la résonance de sa hauteur de vue la force de son analyse et l’étendue de l’image de sa bonne presse à l’international. Un pari tenu, sans inquiétude de divulgation sur la différenciation de leur enracinement ni sur leurs interconnexions l’ayant amené à faire ce pas de géant dans le traitement en ON de la problématique du Jihad. Bien qu’en ces moments tout un chacun peut en déduire qu’il est intentionnellement mal exposé par les concepteurs du daechisme, pour qu’il soit mal compris et donc mal interprété par des novices ne maîtrisant les subtilités de la langue arabe.

       Désormais, personne ne peut nier que la diplomatie marocaine grâce à ses nouveaux réseaux qui se sont progressivement développés, elle a atteint d’autres bases de concessionnaires diplomatiques de ses concurrents en Amérique Latine aux Caraïbes en région Mena en Océanie et dans toute l’Afrique. De fait, elle peut réclamer l’une des plus importantes couvertures géopolitiques relationnelles au sein de l’ONU l’UE l’UA et autres Instances voire Centres d'Etudes et Analyses représentant une part du marché des perspectives en influences géostratégiques. D’autant qu’aujourd’hui sous l’impulsion effective royale, elle opère en ON pour contrer l’idéologie daechiste en Afrique, car ne voulant que des pays amis ne soient orientés vers l’enfer qu’essayent d’installer ici et là les tireurs des ficelles vendeurs et distributeurs de l’arsenal en armes libyennes détournées. Dont il est urgent pour la communauté internationale d’agir directement dans ces espaces d’incubation et d’échanges des services via la sous-traitance entre groupuscules terroristes et des contrebandiers. Comme ce qu’a fait le Maroc à Guergaratte en zone de séparation avec la Mauritanie, tout en ayant l’œil éveillé sur ce qui se passe dans les camps de la honte. A bon suiveur bon décryptage !


mardi 23 août 2016

AVEC LES CONFLITS DE LA RÉGION ET EN AFRIQUE, OU EN EST LA PROBLÉMATIQUE DE L’ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE A LA MAROCAINE ?

Y’AURAIT-IL UN SURSAUT APRES LE DISCOURS ROYAL DU 20 AOÛT 2016  POUR SOUTENIR L’ACCRÉDITATION DU MODÈLE MAROCAIN AU MAGHREB ET EN AFRIQUE POUR UN MIEUX-ETRE SOCIÉTAL?

       A l’occasion des soixante troisième anniversaires de la révolution du Roi et du peuple, n’en est-on en droit de penser ou en est l’Economie Sociale solidaire à la marocaine ? N’en peut-on en plus de la perception royale quadri normée (Maghreb-Terrorisme-Immigration et Co-développement) essentiellement portée sur l’avenir, lire des recommandations en sous-ligne pour son accréditation appropriée notamment de contribution à la paix sociétale. Car, au Maroc, sans occulter les indices de quelques mauvais résultats dans certains domaines comme la Santé de proximité et l’Education Nationale en général, elle reste l’une des priorités. Aussi, étant que l’actualité l’exige il faut absolument dépister la prévalence des manquements au devoir contre la volonté populaire, lesquels souvent irrationnellement confondus par les décideurs à la perturbation extrinsèque sourde-muette à leur ligne de gouvernance. En effet, rien que pour la Santé les répercussions des indices de médiocrité des prestations sont là, à l’exception du programme de lutte contre le cancer avec son apport conceptuel intégratif de bonne réussite de la part de la Fondation Lalla Salma. Ce qui ne montre que mauvaise fonctionnalité exclusivement du gouvernement, même pour les projets phares légués par le prédécesseur en Janvier 2012 où fut soulignée l’urgence de réalisation. Dont dorénavant il est impératif d’en contrôler l’envenimation politicienne électoraliste, en maintenant un climat sain via l’affront à toutes les misères qui s’y greffent surtout dans les contrées enclavées les plus socialement emblématiques.

       D’ailleurs, c’est là un défi du lendemain des législatives prochaines du 07 Octobre 2016, pour la mise au point rapide d’une nouvelle stratégie valorisée par les compétences et potentialités nationales afin de marquer la place Numéro 1 africaine dont aspire le Maroc. Néanmoins, comment faire, si ce n’est tenter d’autres solutions collaboratives en les finançant intrinsèquement grâce aux transformations de l’assiette fiscale locale sans de-tricotage de l’informel. Bien sûr seulement en le réintégrant sans brutalité administrative ni laxisme aux visées électoralistes, en usant d’outils acceptables pour créer plus de valeurs ajoutées par des accords d’accompagnement des petites entreprises. Ce qu’évidemment ne formalisera plus son attrait mais conditionnera sa certification locale ajustée à la demande en fonction des offres et opportunités au sein des collectivités territoriales. Mais, cette effectivité de nouvelles idées pour mettre ces outils dans la gouvernance locale provinciale et régionale, ne recommande-t-elle l’obligation d’une formation continue, permanente, évolutive et interdisciplinaire ? Et donc, mieux vaut comprendre si l’environnement socio-économique est propice pour pouvoir faire ce que l’on pourrait appeler programme APIC ‘’Activation des Potentiels d’Investissement Croisés’’ couplé à une évaluation des pratiques administratives. En plus de savoir si sa faisabilité pourrait-elle être objectivement enrichie par l’apport des spécialistes qualifiés en la matière, dans les forums de discussion sur l’Economie Sociale à l‘international via les chambres de commerce et investissement ?

       C’est désormais le fait fort en subliminal du discours royal du 20 Août 2016 de la vérité et du courage, pourvu de logique imaginative intégrative de solutions pour le Maghreb et l’Afrique parce que se référant au potentiel historique normatif de la lutte commune pour l’indépendance. D’autant plus, l’intelligence économique Maroc-Algérie aujourd’hui c’est essentiel qu’elle ne soit plus le fantasme de la guerre, mais le support des accords sans perfidies ni jeu de souffrance en Afrique et ailleurs pour le co-développement. Et ce, afin de faire barrage au terrorisme multi-faces qui fait souffrir le monde et surtout l’Afrique, et dont l’ordre organisationnel touche directement les séparatismes et s’immisce dans les conflits interethniques ne permettant épanouissement des potentialités ni expression des volontés mais seulement leur épuisement. C’est d’ailleurs grâce à ce positionnement du Maroc ne supportant ni la malveillance ni la médiocrité, qu’on ne le veuille ou pas, il est entré en phase de géostratégie de préparation de sortie du tunnel de l’interdépendance à autrui. Notamment, par la détection précoce des actions ne lui apportant de consistance géopolitique au moment où il est encouragé par le FMI la BAD et d’autres institutions financières pour continuer son bonhomme de chemin. Même si, à cela s’y ajoute un bémol compte tenu de certains résultats décevants obtenus par le gouvernement en Economie Sociale, qu’en plus, les médias n’en sont pas exempts de leur part de responsabilité n’ayant pas correctement joué leur rôle à dénoncer les retards d’exécution en dehors de l’INDH devenue exemplaire. Peut-être, parce qu’ils ne se sont focalisés que sur la rétention informationnelle-polémique touchant la macroéconomie réelle, avec sa marge de fluctuations sur les données de l’instantanéité et non la prospective. Dans la mesure où la valorisation de la temporalité effective du domaine social n’est nullement une condition suffisante, pour traiter ses sujets en profondeur et leur donner la substance politique pour faire réagir les décideurs à expliquer leur manquement pour le bien-être des marocains déshérités et marginalisés.

       N’est-ce ainsi, parmi les recommandations sans prise de position dans  les rivalités entre le Maroc et l’Algérie, le Roi n’a-t-il gracieusement traité les questions d’interactivité réelle en perspective diplomatique-socioéconomique entre pays africain à l’égard du retour normal du Maroc parmi les siens sans tambours battants ni youyous ? Simplement, objectivement, à travers le traitement de la quasi-totalité des sujets de préoccupations, s’ajoutant à sa détermination sans snobisme via l’apport et partage d’idées allant dans le cadre du renforcement des acquis partenariaux gagnants-gagnants déjà établis. En plus, sans omettre de mettre particulièrement l’accent sur l’importance de la cohésion l’unité et la sécurité de l’Afrique, qui reste l’une de ses préoccupations prioritaires avec accompagnement usant de bonnes initiatives de développement humain. Néanmoins, n’en oublions pas que ce discours porte les relents de la sensibilisation implicite de tous les intervenants politiques, société civile comprise, de mettre en valeur leurs moyens pour atteindre l’objectif de collaboration humanitaire avec l’Afrique pour donner une autre image. Même si, pour les uns dans leur certitude jusqu'à l'hypocrisie au demeurant très discutée et non exempte de toute critique en plus continuant de penser qu’ils sont les porteurs des préceptes de l’Islam croyant sans preuve d’idée-purge qu’on cherche à les balayer impérativement urgemment de l’arène politique décisionnelle. Et, pour les autres dans leur volonté de ne se laisser intimider par quiconque ni de l’intérieur ni de l’extérieur, et de ne rien lâcher ni céder sans s’en tenir aux résultats réels de l’expression de votation du 07 Octobre 2016.       

       Oui, au Maroc beaucoup de choses ont été faites, mais reste toujours à faire pour la meilleure coordination des intervenants dans les prises de décisions symboliques et courageuses face à l’environnement difficile de son économie sociale. D’où l’on peut en voir  une finalisation prochaine après le 07 Octobre 2016, dans les domaines de la Santé la Famille l’Enfance l’Education l’Habitat la Culture l’Ecologie et le Travail (Chômage), par optimisation des ressources disponibles. Et pourquoi ne pas la projeter dans la perspective visionnaire marocaine vis-à-vis de l’Afrique de la décennie future. D’une part afin de pérenniser ce désir d’avenir commun par le lancement d’autres projets dans les plus brefs délais, d’autre part pour que l’Afrique puisse effacer les préjugés qui lui font tant tort et rompre avec les forces jalouses qui ont une vue divergente du Maroc influencé par le progrès-réalisme. A cet égard, n’est-ce là que la population africaine à travers les messages de la vérité du discours royal du 20 Août 2016, en perçoit qu’ils apportent l’argumentation sans ambages pour mieux faire comprendre à tous leurs politiques décideurs de manifester plus d’intelligence dans l’exploitation d’idées nouvelles dans la gouvernance. Et donc de rattraper les retards enregistrés par suite à l’incroyable kermesse empreinte de clichés de l’époque coloniale qu’il va falloir changer radicalement dans la responsabilité. D’autant qu’à ce jour, quelques collaborations de ces intervenants ont permis de connaitre leur volonté de vouloir diminuer la prévalence de toutes les tensions guerres et misères sociales que connait le continent africain. Ce qui confirme que les lignes de démarcation entre le Maroc et les pays africains sont en perpétuelle consolidation, étant donné qu’elles deviennent si claires et si tangibles ayant pour objectif de développer et d’appuyer les initiatives  d’intégration de la dimension cultuelle sociale et sécuritaire via la méthodologie marocaine. A bon entendeur salut !

mercredi 17 août 2016

POUR QUELLE RAISON DIT-ON QU’AU MAROC A L’AUNE DES ÉLECTIONS DU 07 OCTOBRE 2016, CERTAINS POLITIQUES SONT DEVENUS FOUS ?

A QUOI RIME LA VIOLENCE VERBALE ET/OU ÉCRITE USANT DE L’EXPRESSION ‘’MOINS PJDISTE QUE MOI TU MEURS’’ ?

       Au Maroc tout doit être débattu, absolument tout sauf La personne du Roi qui est inviolable, et respect Lui est dû  (Article 46 de la constitution 2011). Aussi, en cette veille du 20 Août 2016 soixante troisième anniversaire de la révolution du Roi et du peuple (1953), c’est désormais acté qu’il n’est de l’apanage de quiconque de tirer politiquement la couverture pour lui pour raison de valorisation institutionnelle en dehors du respect de la loi. N’est-ce pour cela que le choix de Benkirane de se présenter aux élections du 07 Octobre 2016 à Salé a provoqué beaucoup de remous où se mélange le diffamatoire l’insulte et la violence verbale et/où écrite à tout égard condamnable ? Au sens où il est là le manquement qu’on ne peut rattraper que par discussion franche pour le dépasser, et donc s'en éloigner de cette rythmique de l’habitude médiocrement assimilée car mal documentée juridiquement. S’ajoutant à de l’insolence non justifiée dans le traitement de sujets de cette portée, malheureusement faite sur fond du mépris des marocains surtout les universitaires et observateurs-analystes libres, qui, eux, tiennent compte en plus du volet juridique-constitutionnel. En réalité, n’est-ce là où il y a matière à traiter ce dilemme de la part de Benkirane par le choix de la raison, où bien continuer à superviser les élections sans légitimation des violences en toute circonstance où bien de se présenter comme tout un chacun en démissionnant pour n’exacerber davantage les tentions sociétales ?

       Néanmoins, quoique l'on puisse penser que l’on soit d’un coté ou de l’autre, être superviseur de l’autorité publique, responsable administrativement du processus électoral et en même temps se porter candidat, est antinomique avec l’esprit de la constitution 2011. D’ailleurs, aller chercher de mauvaises explications et d’injustifiables comparaisons comme le font certains analystes de la dernière pluie sans en évoquer le prétexte de la légitimité de la contestation, est un raccourci de déni de la bonne pratique de la démocratie. D’autant plus, cerise sur le gâteau, vouloir tourner la page rapidement de cet artefact d’interprétation constitutionnelle seulement selon la vision idéologique islamiste en évitant d’éluder de fait la responsabilité morale et technique, c’est tomber dans la jurisprudence de singularité fétichiste. En tout cas, ceci montre une désobéissance inconsciente à la loi sans argumentation valable par eux, dont les inconditionnels du PJD s'en sont emparés par la pratique de l’apologie d’autres modèles à priori productifs et uniformisants de la pensée politique. Parce que c'est là la démarche que la majorité silencieuse des marocains n’en veut pas s’y plier, étant donné que ça représente une focalisation ayant provoqué l’erreur fatale qu’ont vécu et vivent encore certains pays sous des cieux non lointains. Lesquels, sont toujours dans la tourmente du soi-disant printemps arabe, car ils n’en ont pu lire et disséquer objectivement les recoins des interprétations sur la dangerosité des décisions de ce genre de laxisme des uns et des autres.

       Voilà en quoi la stratégie de légitimation de la violence verbale usant de l’expression ‘’moins pjidiste que moi tu meurs’’ que veulent imposer certains politiques, pourrait en influencer d’autres à sauter le pas qu'il prépare depuis longtemps. Celui de leur jumelage à la nébuleuse intégriste, à même d'aller jusqu’à en vouloir prononcer leur ''Fatwa'' pour pousser l’Etat-Maroc à déclarer l’état de catastrophe électorale par reniement du cadre de respect de la loi. D’ailleurs rien que ça, c’est une illustration des soupçons envers eux pour déni de la démocratie faisant spasmes aux tripes, alors que le Maroc n’est pas l’Algérie ni la Turquie ni l’Egypte ni le Yémen et encore moins la Syrie. Même si, nombreux sont les politiques ignorants ces maux, qu’au demeurant ont rongé le temps de mise en effectivité réelle de la constitution du 01 Juillet 2011. Et c’est même malheureux d’en arriver à ce constat par la faute de cette approche du gouvernement trop benkiranisé, ayant retardé intentionnellement sa volonté de ne se laisser cristalliser qu’autour de ses influences politiciennes électoralistes.  A ce titre donc pour ne laisser de zones d'ombres, n’en pensez pas que c’est une nonchalance ou déficit dans l’observance des failles en matière du suivi constitutionnel par l’Etat-Maroc unique et unitaire à ce propos. Et, dont des observateurs en voient aujourd’hui la raison de la mobilisation des ‘’fouloul’’ du PJD sur le Net par la provocation la voyant neutralisante du seul parti qui leur tient tête, en l’occurrence le PAM.

       Cependant après cinq ans de cette expérience avec ses hauts peu nombreux et ses bas foisonnant dans tous les recoins, et malgré tous les serments faits aujourd'hui dans le sens du respect de l’essence des élections, reste à ne jamais oublier que l’assassinat de bonne pratique politique de la multipolarité aura des conséquences incalculables. Notamment, par l’exercice du genre camouflage usant des lavages de cerveaux combinant l’émotionnel et l’activité borderline à même la menace de blocage de l’Etat lui-même. Franchement, maintenant, dans le cadre de la régionalisation avancée ne doit-on se poser la question pourquoi ne pas s’atteler faire de ce débat médiatique qui s’offre actuellement, une opportunité d’échanges d’idées à la faveur des citoyens toutes couches sociales et tendances politiques confondues. N’est-ce ainsi qu’on éviterait les catastrophes d’irresponsabilité mal digérées non seulement par eux, dont on entend parler ici et là par suite de séries d’affaires sentant la mauvaise interprétation de la légitimité élective ? Justement ne s’agirait-il de ce fait, de dissiper leur méfiance même ironique vis-à-vis de ces gestions à la renverse de quelques présidents et élus régionaux, afin de rendre aux douze régions la vraie place institutionnelle par la brillance et non la décadence ? D’autant plus le juriste constitutionnaliste, l’universitaire académique, le journaliste analyste, le chercheur observateur et le décideur politique apporteraient leur soutien à coups communicationnels et informatifs pour la montée en puissance de la régionalisation avancée. Surtout qu’aujourd’hui, les plateformes d’analyse des faits et gestes politiques constituent un socle majeur en matière de transfèrement du capital informatif, en appuyant les initiatives à le décortiquer dans la transparence via de meilleures illustrations. A bon entendeur salut !

lundi 15 août 2016

MAROC-UA, BIENTÔT LE RELAIS D’ORGANISATION TROISIÈME GÉNÉRATION.

EST-CE QUE CETTE TRANSITION AVEC LES EXIGENCES DÉMOCRATIQUES DEMANDÉES EN CE SENS, SERAIT-ELLE DE QUALITÉ  EN PRÉSENCE DE NKOSAZANA DLAMINI L'EX MADAME ZOUMA ?

       Le Maroc deviendrait-il dans un avenir proche l’activateur de bonnes pratiques politiques pour l’Afrique ? Certes, il s’agit là d’un questionnement essentiel sur la production et la réalisation d’une capacité de force d’immunisation de l’Afrique de ses pratiques politiques d’un temps révolu. D’autant que l’UA est maintenant critiquée ouvertement en interne pour son laxisme à l’égard de la RASD dopée et entretenue par l’activisme aveuglant de l’Algérie en totale contradiction avec le respect du droit international. S’additionnant à un type de gouvernance en souffrance de vraie démocratie via comportement décadent de la commission, qui n’est en fait qu’attaque chronique immorale et agressive contre l’image de l’UA elle-même. Evidemment, que l’on ne peut s’empêcher de penser que c’est lié à la conceptualisation honteuse de la triche historique à Nairobi 1984 au détriment du bon droit du Maroc. Laquelle, malheureusement s’étant traduite par la reconnaissance de la poche extra-Etat du Polisario en pseudo république sur le socle de l’UA.

       Il est vrai qu’à cette époque le Maroc a dû faire face aux malentendus stupides qui ont perturbé ses relations avec l’Afrique, dont aujourd’hui sa nouvelle perception après 32 ans d’absence lui confère un sentiment de satisfaction voire revanche. N’est-ce là l’impression légitime qu’ont les pays africains d’avoir été bernés à ce point par l’Algérie cautionnée de la Libye de Kadhafi ayant usé de la corruption des chefs d’Etats et autres décideurs influents de l’époque ? Et qu’actuellement, cet état de fait ne provoque que malaise politique dans tous les rouages de l’UA, dans l’espoir de se racheter vis-à-vis de cette discrimination infondée contre la bonne autorité et intégrité du Royaume du Maroc. C’est d’ailleurs assez phénoménal de voir que cette défiance à l’UA c’est venu nécessairement de l’intérieur de la masse sociétale diversifiée africaine voyant en le Roi du Maroc le vrai concepteur du sauvetage de l’Afrique discours de Bamako et Abidjan faisant foi. Un sacré défi de leur part car ne faisant plus confiance aux instances actuelles de l’UA et surtout en outrepassant la peur même mentale venant du passé. A l’évidence, partant de ce constat, l’on peut dire que l’Afrique profonde s’en est rendu compte de l’usurpation algérienne en appréhendant d’une manière militante historique authentique et réaliste le problème du Sahara marocain.

       En cela, n’est-ce là où le rôle du Maroc est déterminant dans la mesure où sa méthodologie préconisée favorise optimise et pérennise la meilleure gouvernance dans le sens de cet éveil africain ? Sans omission de l’entretien de l’ordre et de la stabilité de tous ces pays, lesquels ne voulant continuer à payer la facture qui n’est aucunement la leur mais seulement au profit de l’escroquerie de l’Etat algérien. Aussi, ne peut-on avancer que désormais, ils sont dûment placés par le Maroc dans un programme d’anticipation sur les dérapages de fonctionnalité de l’UA selon une prescription au dessus des soupçons. D’une part, pour réduire les poches de résistance ne pouvant provoquer qu’ambiance de méfiance de ces pays africains entre eux, et d’autre part, pour assurer un accompagnement de l’économie par la transparence et non l’urgence de financiarisation des projets à tire larigot. A l’exemple du bradage des terres arables, même si ça relève de décisions souveraines des pays, et d’où on en voit qu’elles sont exploitées par des multinationales sans notifications au préalable en temps réel. Et ce, pour qu’ils ne se retrouvent assis  entre deux chaises, en plus pour leur bien faire éviter les failles juridiques irraisonnables parce qu’il s’agit de problème crucial de l’alimentation de toute l’humanité où il ne faudrait y avoir d‘exclusivité en sourdine ou de monopole en catimini.

       Voilà pourquoi, dans le cadre du retour annoncé du Maroc au sein de l’UA (Union Africaine) au Sommet de Kigali au Rwanda Juillet 2016, sûrement il sera introduit un style d’organisation-gouvernance de la Commission extrêmement prometteur comparativement à celui existant à ce jour. Mais, que voudrait dire cela concrètement, surtout si les promesses de déblocage pour une meilleure stabilité de ses rangs ne restent pas conjoncturelles ? N’est-ce qu’une structuration 3-ième génération aura lieu sous l’impulsion du Maroc, avec qu’on ne le veuille ou pas pour conséquence immédiate la suspension de la RASD dans l’attente de son exclusion définitive ? Néanmoins par ailleurs, n’est-il difficile de ne pas y voir de fait qu’il est le seul pays porteur en Afrique d’une telle avancée en bonnes pratiques politiques notamment dans la nouvelle temporalité décisionnelle puissante ? Pour preuve, n’est-il devenu ce directoire d'entrepreneuriat vivant, où par ailleurs claque l’imaginaire des pays riches et émergents pour ses opportunités et potentialités sans protectionnisme ni défaut de régulation pour nourrir les espoirs ? Montrant alors la possibilité de ce qu’il faut faire par suite d’authentification des signes de l’état d’esprit des entrepreneurs marocains, pour lever les fonds souverains faisant appel aux partenariats géopolitiques et stratégiques qu’il eut contracté tout récemment en Russie Inde Chine et auprès du CCG. 

       Bien sûr, personne ne peut nier que cela s’intègre au long processus de la maturation politique du Maroc, ayant abouti 17 ans après l’intronisation du Roi Mohamed VI à sa rénovation cultuelle-sécuritaire et ses innovations socio-économiques et culturelles-écologiques. Et ce, après la 1ère génération de création de l’OUA 1963 à Addis-Abeba longtemps restée cliché de joie sans lendemain, puis la 2-ième celle de l’UA 1984 dont tout un chacun constate qu’elle ne fut qu’usurpatrice du droit international n’ayant causé que mésentente déchirement et désespoir partout en Afrique. A ce titre, autant l’affirmer avec véhémence, il va falloir s’attendre à plus de résistance de l’Algérie et donc par voie de conséquence de la Commission encore sous la main de l’Ex Madame Zouma. D’où la nécessité d’un nouvel éclairage diplomatique marocain permettant d’augmenter rapidement les marges de progression de l’idée de la motion des 28 de Kigali, pour mener à bien une gouvernance de prévention de ces blocages récurrents et illégaux des institutions. C’est donc pour faire évoluer significativement les débats sur les nouvelles pratiques à suivre au sein de l’UA, qu’un dépistage des perfidies qu’organisent l’Algérie et ses supports sur le marché africain doit constamment se réaliser. 
     
    A cet effet, de nombreuses analyses politiques mettent aujourd’hui en rapport le fonctionnement de la Commission et l’état d’existence de la démagogie et du populisme au sein de l’UA en défaveur des perspectives économiques encourageantes en ce temps présent. Aussi, l’observance du changement profond que vit l’Afrique tant sur le plan de sa fréquence que son aspect différencié progressif retenu par la communauté internationale, est si intéressant à quantifier au-delà des chiffrages officiels très discutables. Alors, pour cela, quel serait l'impact des regards des chefs d’Etats eux-mêmes, d’abord sur la future gestion avec ses forces de rappel à des propositions de révolutionner l’approche, puis sur la compensation des déficiences à l’investissement et non à ses horizons qui différent d’un pays l’autre. Dont franchement la Mauritanie plus fébrilement axée sur son zéro obtenu après l’échec flagrant du Sommet Arabe à Nouakchott le mois de Juillet 2016, considère que c'est juste un accident dans son parcours. Sauf que sans qu'elle n'ait pu l'éviter, elle veut affronter le Maroc à coup de hache diplomatique dépassé dans le temps et l’espace. Tellement, n’en ayant toujours pas assimilé par orgueil démesuré à cause de son nouveau formatage dont elle a fini par admettre l’argument de racket de son mentor, que seul le rapprochement avec le Maroc lui assurera stabilité et essor sans rentrer dans l’offense ni l’énervement du couple Maroc-Sénégal. En tout cas, toute l’Afrique le sait et en est convaincue qu’avec le Maroc elle gardera son indépendance économique en créant un potentiel de développement très important, pour pousser sans euphorie à l’externalisation de ses idées novatrices faisant appel à son intelligence.  Et oui, bientôt le soleil se couchera sur toute l'Afrique sans mystère algérien ni paranoïa Sud'africaine et encore moins de raisonnements accusateurs envers le Maroc.  A bon entendeur salut !

vendredi 12 août 2016

CES DRÔLES DE DAMES QUE SONT CES AMÉRICAINES PROVOCATRICES DE LA CONSCIENCE DES MAROCAINS.

POURQUOI CES DAMES DES PIQUES AVEC RÉPLIQUES ET RELIQUES JUSQU'A L’OUTRANCE, EN L’OCCURRENCE SUZANE REIS-KERRY KENEDY-SAMANTHA POWER NE MODÈRENT-ELLES LEURS TOPOS DU RENCHÉRISSEMENT DE LA HAINE ANTI MAROC ?

       Il est certain que le Maroc a ses raisons de se méfier du renchérissement de la haine de ces dames des piques contre lui, d’autant qu’elles s’expriment sous différents voilages ruinant le capital sympathie des marocains envers les USA. Dont ainsi chacune d’elles sans fondement ni sagesse selon son positionnement dans l’antichambre décisionnelle intimiste, se livre à l’harceler ne sachant même pas que l’Algérie elle-même n’a pas bonne conscience en le faisant. Je dois dire sans aucune misogynie, que cette pratique relève d’arbitraire habillé de gestes cachant des scandales de contestation de leur propre statut dont elles en ont irrémédiablement peur. A cet effet au regard de ce constat, comment se fait-il qu’elles continuent à nier l’évidence en plus sans vraie connaissance du dossier du Sahara marocain ? Pourquoi n’en comprenant-elles pas encore que c’est l’une des raisons de leurs échecs patents car n’assimilant toujours pas que désormais le concept ‘’résistance non aveugle’’ aux USA se confond avec marocanisation des esprits dans la région MENA ? Comprendra qui voudra, des épisodes curieux ont contribué à jeter le froid dans les affinités de certains pays de cet espace avec le Département d'Etat Américain ! Et que ça ne sert à rien de dénoncer l’attitude du Maroc en le chargeant injustement en tant que locomotive des pays essayant d’affaiblir le rôle de l’ONU dans ses interventions pour la paix. D'ailleurs, n’est-ce là où il y a un pur montage de calomnies envers le Maroc, dont tout un chacun peut en voir comment toutes les trois en tant que diffuseuses de contrevérités ont-elles essayé de dessiner le futur de la région quasi tendancieusement sans y arriver ?

       Evidemment, dans le cas Maroc-USA c’est indéniablement l’échec du chef du Département d’Etat John Kerry même s’il s’en défend par des locutions empiriques ne sachant comment et où se donner de la tête. Et, desquelles il a manqué de hauteur de vue en apparaissant uniquement l’allié objectif de l’Algérie au détriment du pays séculaire stable et hautement sécurisé qu’est le Royaume Chérifien. D’ailleurs pour ces drôles de dames, n’est-ce ce qui les a conduites à se mettre dans des danses diplomatiques outrancières ne se distinguant que dans le faux et les malveillances, soi-disant, pour se faire valoir en tant que combattantes contre l’injustice? Or en politique d’alliance stratégique avec le Maroc, ce motif n’est malheureusement de leur part qu’expression conspiratrice sournoise en prenant parti d’un chimérique idéal, de surcroît historiquement quasi inexistant ni temporellement ni physiquement. Qu’au demeurant, ne leur conférant qu’opportunité de reconnaissance officielle algérienne sans lendemain, si ce n’est de leur faciliter de faire le lobbying assisté pour le développement de l’exploitation du gaz et du pétrole par de grands trusts au bénéfice de la rente de la junte des généraux grabataires.

       Pourtant dans cette affaire du Sahara marocain qui n’a que trop duré, on ne peut pas dire que le Maroc n’interagisse positivement avec l’ONU sous Ban Ki Moon. Et ce, malgré que la forme le contenu et le ton de ses rapports en tant que Secrétaire Général, n’épousent la tendance réelle sur le terrain qu’en définitive est à l’avantage du Maroc sans conteste. A ce titre, ne s’est-il mis au cœur de la bataille Maroc-Algérie pour imposer son point de vue car comptant sur le soutien et le cautionnement de ces dames maîtresses de cérémonies de fabrique des piques anti Maroc sans l'aval ni du Pentagone ni du Congrès. Cependant, s’agissant de provocations, il ne faut pas sortir de ''West-Pont'' pour comprendre la charge de 2013 sous Suzanne Reis en tant qu’ambassadrice des USA à l’ONU, ayant voulu élargir les prérogatives de la Minurso pour les droits de l’homme. Néanmoins, ce dont on est sûr aujourd’hui, c’est du sabotage longtemps programmé par quelques démocrates aspirant déstabiliser le magistère marocain via le comportement de la représentante américaine actuelle Madame Samantha Power au Conseil de Sécurité avant la résolution du 29 Avril 2016. D’autant que le drame du Département d’Etat Américain c’est d’avoir misé sur Kerry Kennedy se prenant pour la gendarmette et ses soutiens de lobbys attachés dans  leur religion anti Maroc à la girouette Aminatou Haydar, au risque de dégrader les relations stratégiques Maroc-USA. N’en ayant tiré le moindre enseignement de la convergence de vue sur la tolérance cultuelle marocaine et sur sa lutte anti terroriste exemplaire miroir du talent du Roi Mohamed VI dans le monde et dont les choix découlent de sa clairvoyance positive non géo stratégiquement conflictuelle.

       Néanmoins, est-ce que tout cela n’est-il fait que dans le seul but de glorifier Christopher Ross vivant ses derniers jours au sein de l’ONU, pour le grand bonheur du Département d’Etat Américain sous John Kerry et ses manutentionnaires voulant imprimer leur marque sur la politique régionale ? Au point, qu’ils essayent même à ce jour d’ouvrir les vannes d’harcèlement du Maroc, sachant pertinemment qu’ils ne gagneront pas la bataille finale contre lui. Dont, il est vrai pour beaucoup d’observateurs internationaux, cette mission reste fatigante pour lui parce qu’usante de ses facultés voire potentialités de vigilance. D’ailleurs, avec sa détermination géopolitique devant tous ces problèmes il ne se presse d’empêcher des discussions franches avec les USA, tout en se laissant mûrir ses ripostes en créant tout le temps l’événement qui fait pas mal de tort à tous ses assaillants. Voilà, pourquoi ces dames doivent-elles savoir que continuer à harceler le Maroc de la sorte, c’est s’enticher d’un goût extrême et irraisonné pour l’aventurisme politique déstabilisateur de toute une région ? Alors que la qualité de sa proposition d’autonomie gestionnaire dans le cadre de la régionalisation avancée, montre que seul ce montage par ses ondes référentielles positives  géodésiques physiques de Tanger à Laguouira procurerait le confort exceptionnel dans l’approche anti terroriste internationalisée contre Daech-Aqmi-Boco Haram. En revanche, pourquoi ne savent-elles que si elles l’abandonnent en cherchant à faire la popularité du Polisario qui en fait il est synonyme de détournement des aides humanitaires et de base arrière du terrorisme grondant dans la région, cela expliquerait le discrédit qui se jette partout sur le Département d’Etat.  


       Alors, allons encore plus loin, pourquoi ne se posent-elles la question que leur attitude additionnée à la partialité et non neutralité de Ban Ki Moon vis-à-vis du Maroc, procure le plus grand doute de ce que veulent les USA, de presque une quarantaine de pays africains sur 54 dont 28 en ont déjà signé la motion de Kigali Juillet 2016 ? A cet égard, n’est-ce après cette montée en flèche de l’aura diplomatique du Maroc, que des observateurs à l’international s’en sont-ils réappropriés comme sujet d’analyse géopolitique sa méthodologie suivie ? Tellement, que maintenant ils en sont convaincus que le vécu marocain pendant 17 ans s’est développé précautionneusement sans donner l’image d’un pays contestataire, mais seulement favorisant l’échange de son point de vue à titre d’illustration de ses idées modernistes pour la recherche du progrès authentique. Contrairement à l’Algérie par ses dérapages porteurs de maux négativistes voire anachroniques sans clairvoyance ni confiance dans l’avenir, et/où les polémiques médiatiques s’y greffent ne laissant de place aux initiatives salutaires, mais seulement aux menaces par-ci et là de brûler le pays tout entier. A bon entendeur salut !  
D’autant j’annonce que c’est peut-être le dernier essai d’A poil la politique, vu qu’en ce moment pour raison d’inconfort je ne peux continuer dans ces conditions à livrer bataille de patriote libre dans ses idées et ses analyses.

lundi 8 août 2016

QUE CHERCHENT-ILS VRAIMENT CES EXCITÉS, QUE SONT BAN KI MOON ET CHRISTOPHER ROSS ?

SILENCE, BAN KI MOON ET CHRISTOPHER ROSS LIVRENT LEUR DERNIER CRACHAT DE VENIN EN TANT QU’ULTIME BAROUD D’HONNEUR !

       Encore une défiance de plus pratiquement dans le temps mort, de Ban Ki Moon et son gourou Christopher Ross contre la montée géopolitique et la place géostratégique du Maroc unique unifié et stable. Parce que, l’idée de penser voire de chercher à parquer le Sahara marocain dans un genre étatique à la Commonwealth, ne relève que d’un tempérament machiavélique de faire perdre plus de temps au Maroc. Alors même que sa fonctionnalité amorcée dans le cadre de la régionalisation avancée, lui impose d’aller plus vite pour montrer les ennemis dans leur vraie posture en tant que coupables de ce qui arrive au Grand Maghreb. A cet effet, il faut le rappeler sans hésitation, que cette idée saugrenue ne serait jamais acceptée par les marocains. A commencer par les habitants des 03 régions Dakhla-Laayoune-Guelmim qui ne s’imaginent même pas de voir la fonction de Chef de l’Etat en l’occurrence Sa Majesté le Roi Mohamed VI devenir informelle. Et qu’en plus n’aura aucun statut légal avec cerise sur le gâteau, le représentant de l’Etat n’aura qu’une fonction symbolique en assistant aux événements et fêtes nationales.

       Aussi, même si, cette conception-prothèse a ses passionnés petits pensionnaires au sein du Secrétariat Général encore sous Ban Ki Moon pour quelques petits mois, il faut savoir qu’elle a beaucoup de détracteurs surtout au Conseil de Sécurité de l’ONU la trouvant d’un âge historique désuet et ridicule. Pour preuve, Christopher Ross le titulaire de la chaire de cette diplomatie de façade est plus que jamais affaibli, d’où il se cherche une autre issue pour sortir de son propre piège-traquenard. Dont il s’y est entremêlé démagogiquement les idées suivant ses humeurs, entre Indépendance autodétermination fédéralisme et confédération. Assurément, en fin de mandat de Ban Ki Moon pourquoi s’illusionne-t-il de pouvoir ainsi donner le coup de grâce à l’offre marocaine d’autonomie de 2007, en faisant en sorte de s’accorder plus de temps mort avant la fin de la récréation ? Sauf qu’aussi à l’inverse il donne en même temps l’impression en ON comme quoi maintenant il est convaincu, que ses manipulations relayées dans le pré-carré fermé au Secrétariat Général n’apporteront rien. Evidemment, face à cette soi-disant volte-face, il faut rester sur ses gardes et s’en méfier des tours que préparent Christopher Ross, car il se voit transbahuté sans ménagement dans l’oubli une fois l’époque Ban Ki Moon éteinte par la force du calendrier onusien. 

       Ceci étant dit, normalement au Secrétariat Général de l’ONU c’est là où l’impartialité et la neutralité devraient être prises en compte dans tous les différends et litiges  sur les souverainetés des pays. Malheureusement avec Ban Ki Moon elles ne sont même pas reconnues dans l’affaire du Sahara marocain, s’étant lui-même, en personne, fait remarquer par des comportements et gestes désolants inacceptables et intolérables. Ce qui a, conséquemment, fait établir un climat de méfiance de certains pays permanent au Conseil de Sécurité à son égard, voire un état de dé-confiance des marocains à ses conceptions-perfidies qu’ils cherchent à faire passer par des artifices lexicaux de basse besogne. Au-delà même de l’inquiétude avérée par les impacts de ses échecs itératifs, sur sa schizophrénie indéniablement constatée par tous les marocains et par toute la communauté internationale. Néanmoins, faut-il le répéter à redondance, cette idée satanique n’est nullement incontournable, comme l’est fondamentalement l’offre d’autonomie gestionnaire dans le cadre de la régionalisation avancée. En plus, l’effet conjugué du bien-être de la population sahraouie après l’effectivité de mise en place des Conseils des collectivités territoriales issus du long processus électoral à partir du 04 Septembre 2015, est devenu source d’inspiration sociale économique culturelle et écologique. Et dont la grande majorité des marocains séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf et ailleurs, s’en réjouissent désormais de la pratique et fonctionnement de la démocratique sans restriction au Sahara marocain.   

       Voilà pourquoi des diplomates dans beaucoup de chancelleries très en vue, considèrent-ils le Secrétaire Général Ban Ki Moon incapable d’assurer une influence positive sur les dossiers en suspens dans la pratique au quotidien. Voire même incompétent au vu des résultats obtenus sur le rapport d’insouciance qu’ont montré certains pays à son endroit, en référence à son inaptitude à donner ses lettres de noblesse à sa charge à l’ONU. Parce qu’il ne suffit pas d’inaugurer les chrysanthèmes et faire des déplacements à travers le monde pour faire le ‘’m’as-tu vu’’ lors de Sommets régionaux et conférences internationales que ce soit pour de nobles causes ou pour avoir bonne conscience sur ce que vit le monde. Au contraire un Secrétaire Général doit être un homme ou une femme rompu à la politique pour pouvoir faire le distinguo entre l’interventionnisme positif dans l’urgence, et les réunions à tout vent qui se font sous l’égide de l’ONU. Dont il ne faut plus se cacher de décrier les budgets alloués, qu’au demeurant sont astronomiques par la pratique des gonflements des prestations et donc les fausses facturations.

       Cependant, au fur et à mesure que la fin de l’ère Ban Ki Moon s’approche, attention à cet essai de saucissonnage édulcoré qu'on veut imposer au Maroc sous couvert d’artifices onusiens si ce n'est carrément l'usage de l'Article 07 de la charte. Dès lors qu’il risque de contribuer, quasiment autant que l’appel au séparatisme, à la déstabilisation du pays et à la destruction de sa cohésion sociétale avec des conséquences terribles sur la région Europe-Maghreb-Sahel et Afrique subsaharienne. D’ailleurs ce ne sont pas les exemples qui manquent affirmant la dangerosité de cette idée pernicieuse, comme le cas du Sud-Soudan où l’ONU s’est montrée politiquement trop petite dans ses imaginations de solutions malheureusement sur directives du Département d’Etat américain. N’ayant fait évidemment que provoquer désolation et interrogation sur le bien-fondé de ce saucissonnage-partition du Grand Soudan d’autrefois. N’est-ce là encore un exemple parmi tant d’autres où Ban Ki Moon a tout fait faux durant ses deux mandats à la tête de l’ONU, tellement que sa personnalité est devenue insignifiante car manquant de mordant impartial et aussi de bonnes attentions dans la neutralité ?

     A cet effet, ne pourrait-on dire que dans ce contexte le drame de l’ONU sous Ban Ki Moon envoûté par ses envoyés particulièrement Christopher Ross, c’est les traitements inégalitaires des conflits ? Tantôt dus à des indifférences non justifiées comme en Palestine, tantôt à des zèles imputables aux manigances et perfidies comme dans le cas du Sahara marocain. N'est-ce là une explication de leur bouillonnement de rancune jalousie et rancœur par livraison de crachat de leur venin en tant qu'ultime baroud d'honneur? C’est pour cela par l’influence revigorée de satisfecit en ce qui concerne son inflexibilité envers eux, en usant de sa nouvelle modélisation diplomatique géopolitique et relationnelle stratégique que le Maroc est devenu significativement leur bête noire contrecarrant méthodiquement leurs malveillances. A l’exemple de son annonce de reprendre son siège à l’UA après 32 ans d’absence, en plus sous condition car il en détient le droit en tant que fondateur de l’OUA en 1963 à Addis-Abeba après la charte de la conférence de Casablanca 05-07 Janvier 1961. A bon entendeur salut !

dimanche 7 août 2016

LES NOMBREUX DÉFIS DE LA COP22, MÈNERONT-ILS LES MAROCAINS VERS L’EDEN DE LA RECONNAISSANCE ?

EN ATTENDANT LA MEILLEURE PRESTATION MAROCAINE LORS DE LA COP22, N’EST-CE DÉJÀ LE BRANLE-BAS DE L’EXIGENCE SÉCURITAIRE QUI PRÉVAUT ?

       Actuellement, le Maroc vit la phase préélectorale la plus suivie et scrutée par les observateurs de toute son histoire du champ politique. Aussi, bien que cet intérêt soit louable, il n’en demeure pas moins qu’il s’inscrit dans le cadre plus général du déroulé de la vie événementielle marocaine de grande envergure telle la COP22. Dont il n’est ni délicat ni tabou d’en aborder le volet sécuritaire et encore moins interdit d’en explorer ce qui fait l’essence de ce genre de défi marocain. Et donc il faudrait affirmer ce que ferait le Maroc, étant donné que la mise en place référentielle de la COP22  d’utilité scientifique, ne se limite pas qu'à l’aménagement du site et à la logistique. Sachant qu'elle englobe l’ensemble des besoins autant fonctionnels que promotionnels pour continuer la procédure amorcée à Paris en 2015, sous l’impulsion concertée des experts volontaristes et ONG influentes. Mais si le retour des choses ne suit pas en cas d’échec, il serait éventuellement légitime pour essayer de cristalliser le mécontentement, seulement autour des lobbys dont le dévouement est indigne car s’ouvrant spécifiquement à la grille de la pensée néocolonialiste. D’autant, ne se contentant pas de servir l’équité que confirme indéniablement l’importance de la prévention des catastrophes naturelles induites par le comportement de l’homme, vu qu’ils ne veuillent que certains gouvernements n’adhérent à ce programme en provoquant un dialogue positif.  

       Ceci étant, n’est-ce pas tous les marocains doivent s’en réjouir de la perspective sécuritaire de l’Etat-Maroc unique et unitaire de toujours concentrer ses efforts pour contrecarrer la problématique terroriste opportuniste et conjoncturelle ? Et, surtout en s’interrogeant sur ce que la future coalition gouvernementale devrait faire pour bien montrer la bonne volonté du pays d’aller plus vite, sans réticences ni allégeances même discrètes à d’autres visées sociétales dont on perçoit en subliminal le langage semblable à celui sous d’autres cieux. Mais, comment faire si ce n’est d’abord une mise en place d’un programme national gouvernemental permanent et efficace contre le chômage, la précarité et la marginalisation. Puis, la prise de mesures draconiennes d’accompagnement des initiatives déjà consenties par l’institution royale, pour réduire l’écart criard en infrastructure entre l’urbain et le rural qui par ailleurs fait froid dans le dos. Encore heureux pour les marocains, que l’exégèse de la teneur du ton et du style direct voire cru et non simpliste de la salve des derniers discours du Roi Mohamed VI aient rendu lisibles les étapes politiques décisives exprimant leurs aspirations-alliances pour le leadership en Afrique. De surcroît, par la nécessité  de circonscrire tous les risques de subsistance de foyers in sécuritaires pouvant remettre en cause sa tendance vers le progrès, bien sûr sans perte d’identité ni risque de tomber dans le suivisme désobligeant. Et pourquoi pas passer à la vitesse supérieure d’assécher les zones d’ombres de l'usage de privilèges accordés toujours aux mêmes personnes pour ne plus avoir l'impression d'évoluer dans le smog total.    

       En effet, en se portant candidat à la programmation de la COP22 sur son sol à Marrakech du 07 au 18 Novembre 2016, le Maroc sait d’emblée que l’Afrique va davantage en bénéficier. D’abord, par la réduction des préjugés et leurs incidences sur sa capacité de se focaliser sur l’essentiel surtout vu l’enjeu que représente le changement climatique. Puis, par la résistance aux choix économiques et politiques n’allant même pas dans le sens d’une pratique de réparation du tort qu’on lui a fait subir des années durant. D’ailleurs n’est-ce là la preuve que l’objectif recherché du Maroc c’est de faire une ‘’COP22 pour tous’’, et/où l’espoir c’est qu’il n’y ait ni dichotomie des enjeux économiques stratégiques entre pays riches, ni besoins d’influences géopolitiques des uns par rapport aux autres sur le dos des pays pauvres ? Reste à savoir si tous les pays industrialisés influents éprouveraient une passion à cette touche du Maroc, pour ne pas freiner l’initiation du concept égalitaire qu’il cherche à mettre en exergue comme leitmotiv d’information et sensibilisation par toutes ses missions diplomatiques parcourant le monde.  

       En fait, c’est vrai qu’à valeur d’aujourd’hui, personne n’en doute que la COP22 sera une édition riche en nouveautés à l’image de la précédente hautement sécurisée organisée l’an passé en Octobre 2015 à Paris, qui a vu un record de participants-experts et autres délégations étatiques semi-étatiques et associatives. Parce qu’entre autres objectifs visés par cette rencontre  internationale sous l’égide de l’ONU et du Royaume du Maroc, il y a la valorisation et la promotion de l’excellence et l’expertise dans le domaine de la sécurité publique et aussi du renseignement de grande sensibilité. Et ce n’est pas pour être enquiquinant que de répéter dans ce contexte mondialisé où le terrorisme subit des déconvenues en Syrie en Irak et surtout après la pression des USA en Libye, il est légitime en dépit de ce que représente comme danger évident le retour au Maroc des jihadistes, que le ministère de l’Intérieur et les services de sécurité soient sur le qui-vive. Car même si ça parait évident, il serait incompréhensible que les organisateurs onusiens en tant que modérateurs de la COP22 de ne pas essayer de faire de temps à autre le point sur la question et, surtout, discuter dès à présent avec l’Etat-major sécuritaire marocain sur comment faire face à tout danger.

       Ainsi, aujourd’hui au Maroc l’on peut confirmer que l’exemplarité de la prise en charge de l’exigence sécuritaire, est devenue partie intégrante de l’attention portée à la quiétude des marocains et leurs invités. Sachant, d’autant plus qu’elle n’a cessé d’évoluer positivement depuis l’hécatombe du 16 Mai 2003 à Casablanca, de manière responsable sereine et réfléchie pour que soit assuré le bon déroulement de la COP22 du fait de l’amélioration des prestations de service par une logistique maîtrisée et sécurisée. Dont le Maroc s’y est investi par son savoir-faire, de cette exigence qui vise à mieux agir tant sur le plan des techniques d’investigations que sur celui des traitements des faits sans distinction au regard de ce qui arrive ici et là dans le région MENA. Mais la question qui taraude plus d’un, est-ce que cet événement planétaire pourrait-il créer un nouveau deal de l’intelligence coopérative africaine génératrice d’espoir et non de chimères, en s’imposant en tant que plateforme incontournable de rencontre, de partage et d’échanges entre climatologues de tous les horizons ? Et ce, en réponse aux attentes des pays africains et insulaires les plus exposés aux influences du dérèglement climatique, et pourquoi ne pas trouver de vraies solutions aux problèmes posés concernant le développement des Energies renouvelables, les traitements des déchets, les déforestations outrancières et la désertification galopante.

       Voilà pourquoi il n’y aura aucun doute à propos de la conduite à tenir sur la classification des priorités au moment des symposiums et excursions vers le méga-projet de production d’Energie solaire Nour1,2,3 à Ouarzazate lors de cette édition marocaine représentant de facto l’Afrique. Néanmoins, de ce point de vue ne peut-on affirmer que les conférences qui seront programmées avec le concours d’experts nationaux, apporteront quelques indications d’action-réponse contre l’effet de serres ‘’Al Ihtibass Al Harari’’. Notamment pour l’initiation à la sauvegarde de l’environnement, l’éco agriculture économe, la géo localisation satellitaire du trafic maritime vu les dérives constatées des continents, les trombes d’eaux et inondations récurrentes, les feux de forets dévastateurs, le dégel et fonte des glaciers...etc. Déjà, on en perçoit les prémisses d’insistance sur les décisions politiques gouvernementales, sans jamais nier le grand intérêt scientifique qui reste une occasion d’actualisation des données pour l’ensemble des secteurs concernés social économique technologique environnemental et sanitaire. Parce qu’auparavant le GIEC en a estimé dès 2007 que le réchauffement climatique est du à 90% à l’activité humaine, sauf que la certitude n’est pas absolue vu qu’à ce jour des recherches sont encore en voie de modélisation d’observation pour avoir la confirmation.

       Finalement, n’est-ce pas qu’il n’y aura de belle réussite d’abord du Maroc puis de l’Afrique même ponctuelle et conjoncturelle, que celle attendue durant cette COP22 à Marrakech en novembre 2016 ? N’est-ce ainsi qu’avec sa volonté de modernisation à marche forcée, le Maroc faisant la différence entre objectivité et subjectivité montrera au monde entier qu’il est un pays d’idées pensées et recommandations ? Qu’en effet elles rentrent toutes dans le chemin-cadre de son activité-expression organisationnelle sécurisée, dont le but étant d’offrir plus de visibilité et plus de communication avec le concours des sommités nationales et internationales notamment africaines en la matière. De ce fait, le considérerait-on objectivement le défenseur responsable et non naïf des intérêts de l’Afrique, lors de cet événement planétaire qui s’annonce décisif à l’image des promesses tenues pendant la COP21 à Paris 2015 ? A bon suiveur bon décryptage !

mardi 2 août 2016

MAIS QUE VEULENT-ILS CES POLITIQUES PIRATES DES CONSCIENCES AU NOM D’AL WATAN ?

AU MAL D’ASSIMILATION PAR CES POLITIQUES DE CE QU’EST L’ETAT-MAROC, SOLUTIONS DE FERMETÉ CONCERNANT LEUR REVE DE DIMINUTION DE COMPRÉHENSION !

       Il est vrai qu’un Etat qui tergiverse dans ses prises de positions fermes à l’encontre des perfidies populistes électoralistes, il ne fait que perdurer le risque de rupture de sa cohésion sociétale. Justement, comme de coutume les observateurs nationaux et étrangers n’ont pas manqué de débattre des thèmes du discours royal ferme et tonique à l’occasion d’Aid Al Aarch 30 Juillet 2016. Qu’en résumé, ils en ont noté que le politique marocain est invité à s'engager et s’inscrire dans la démarche des exigences de la qualité et compétence lui permettant de mieux structurer ses pensées et donc d’améliorer ses performances en probité et droiture. D’autant que c’est vrai avec les temps qui courent, cet engagement demande d’auditer connaitre et définir les objectifs précis à améliorer dans ce sens, en plus d’efforts de requalification pour avoir une planification de rehaussement des responsabilités politiques. Sauf qu’à cette diagnose doivent s’ajouter d’autres exigences telle la prescription technique de la traçabilité des pratiques politiques non conformes à l’esprit du management de la constitution du 01 Juillet 2011. Dont le but ultime c’est d’augmenter la satisfaction des marocains au plus long terme à propos de l’exercice de la politique, bien évidemment sans se libérer du devoir de vigilance permanent pour la détection des anomalies comportementales et des dysfonctionnements s’appuyant sur des motivations douteuses.

       Partant de ces considérations, maintenant c’est clair, la doctrine-vision du Roi du Maroc c’est le saut vers le progrès dont il faudrait politiquement en comprendre l’exigence l’ordre et la méthode en ne laissant point de place aux manipulations-sournoiseries partisanes. Mais, est-ce que les politiques pourraient être amenés à en intégrer la portée et réfléchir à l’évolution de leur prestation tant décriée en ce temps présent afin de maîtriser les phases pré et post-électorales ? De ce fait, heureusement l'Etat-Maroc stoïque droit dans ses bottes s'étant approprié une conscience politique moderniste, ne se laisse aucunement berné continuant à vivre tranquillement sa marche pour éviter de laisser croître les chocs et les blessures à un rythme effrayant comme sous d'autres cieux non envieux. D’où le souhait après les élections législatives du 07 Octobre 2016 de développer un nouveau créneau qui ouvre la voie vers des opportunités nouvelles, en perspective d’amélioration des rendements socio économiques culturels et écologiques. N’est-ce là ou est sa meilleure attitude de se donner raison contre les manipulateurs-menteurs, notamment en termes de sensibilisation de tous les marocains contre les complications sociétales que veulent lui imposer ces pirates des consciences au nom d’Al Watan ? Même si, pour certains parmi-eux aboyeurs populistes de surcroît pseudo idéologues intolérants et rigides dans leur réquisitoire contre l'Etat, ça puisse leur apparaître si difficile à interpréter positivement ni à accepter aisément.

       Aussi, au Maroc aujourd’hui l’interprétation des repères de la modernité et son évolution, ne serait jamais dépersonnalisée ni par indifférence à l’authenticité ni par perte de résurgence identitaire et encore moins par suite d’usurpation d’Al Watanya (Patriotisme). N’est-ce là aussi, l’obligation constitutionnelle faisant de la personne du Roi en tant que commandeur des croyants le garant de la jouissance de l’Etat de toutes ses prérogatives de toujours se mettre hors mêlées partisanes et sociétales en assurant cohésion et stabilité du pays ? Et qu’expressément il s’y atèle en jugulant dans la responsabilité le lien causal par quoi on veut essayer sans raison valable de tordre la main du ministère de l’Intérieur électoralement parlant. Et oui, à l’heure où l’émergence du Maroc est devenue un signe d’accomplissement personnel du Roi Mohamed VI, l’arbitrage de la cour constitutionnelle s’avère primordial pour éviter l’installation de ce cycle vicieux pouvant ne provoquer que lésions de prédisposition partisane dont il est urgent de stopper la recrudescence. Dès lors que l’origine politique de son apparition et progression est due à l’enchevêtrement des influences intrinsèques et extrinsèques, et dont il ne faut négliger la part du formatage de certains leaders-prêcheurs de haine ayant un rôle clé dans la propagande en ON et en OFF. D’ailleurs pour eux, il n’est pas question d’économiser leurs gestes d’aggravation du champ politique, dont ils espèrent ré-axassions du profilage électoral pour le mettre dans un alignement à leur avantage.

       Evidemment il faut savoir que le populisme est l’une des caractéristiques qui se développe le plus dans la sphère politique marocaine. Montrant de fait, que c’est fini le temps des débats sur les grandes idées que l’on qualifiait d’antan en terme général de conséquence logique pour que les dirigeants se hissent au rang de la responsabilité du courage et de la probité des Hommes et Femmes d’Etat. Chose que l’on n’a pas vu qu'on ne le veuille ou pas depuis l’avènement des PJDistes à l’Exécutif, ayant montré qu’il y a un mal d’assimilation de leur part de ce qu’est vraiment l’Etat-Maroc. Non seulement à cause de l’amour bidimensionnel du chef dans l’exercice du pouvoir tout en faisant en même temps l’opposition chronique préoccupante, mais aussi par la conséquence directe de l’augmentation du facteur de risque pour d’autres attitudes gravissimes qui n’ont pas d’être lieu. Et, d’où l’on peut dire que les marocains auraient raisons de se méfier des comportements border-line de ces prêcheurs-menteurs se considérant presque des héritiers de l’Exécutif. Ainsi, tout marocain digne et fier de sa marocanité doit intégrer le fait que le discours d’Aid Al Aarch 30 Juillet 2016 lui a conféré une tranquillité de conscience, notamment à propos du sifflet royal de la fin de tolérance de ce genre de populisme à visée électoraliste de bas de gamme. Duquel c’est d’un kidnapping de la volonté des marocains dont il s’agit, par l’encouragement aux heurts sociétaux, souvent sans respect de la vie privée des gens afin de mettre le pays sur le brasier de l’islamisme bête et méchant.   

       Voilà ce qui amène à affirmer, n’est-ce pour cette raison que Feu Hassan II avait une grande estime pour le regretté Abderrahim Bouabid le classant en tant qu’Homme d’Etat ? Et qu’aujourd’hui, l’Histoire se répète avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI envers Abderrahmane Youssefi l’ayant honorablement mis dans la même catégorie. Toutefois, si pour les observateurs avertis il s’agit d’un geste montrant comment le Roi l’apprécie grandement spécifiquement pour sa hauteur de vue sur la gestion des affaires de l’Etat, il n’en demeure pas moins que le désaveu du populisme électoraliste du PJD est évident. Parce qu’on ne peut pas être à la fois décideur-prêcheur et opposant-agitateur, comme ce que l’on voit presque en direct aujourd’hui par des polémiques tendancieuses et essais de capitalisation politicienne contre l’usure de l’Exécutif. Effectivement, de cette inauguration d’une avenue à Tanger en son Nom en sa présence par Sa Majesté, n’en pourrait-on affirmer que cela a fait prendre conscience au panel politique marocain de la hauteur de vue de ce petit homme sobre mais rayonnant par sa culture et son autosuffisanc? D’ailleurs, personne ne peut en nier la profondeur et la symbolique que c’est pratiquement une reconnaissance officielle, en plus le jour même du discours du trône au style direct clairement contre les tentatives de dépersonnalisation politique du Pays. 

      Finalement, alors que la saison électorale sonne aux portes annonçant le lancement de moments de désinformation pour dénigrer les institutions, ne faut-il pour ces politiques pirates de sortir de leur schizophrénie de fabrication des médisances gratuites sans valeur ajoutée à l'image du Maroc à l'international ? Une fois de plus, n’est-ce l’espoir c’est qu’il n’y ait de place aux manipulateurs dans la presse de caniveaux et aux sites des réseaux sociaux conditionnés et inconditionnels qui prêchent la haine, la violence voire le meurtre et le colportage des mensonges et contrevérités ? A cet égard, pourquoi est-ce qu’ils ne savent pas que leur méthode est préjudiciable pour eux, vu qu’elle n’est productrice que de poussées congestives inter et entre paris politiques ? A bon suiveur, bonne lecture !