samedi 25 juin 2022

POUR LE MAROC, L'INSOLENCE ALGÉRIENNE, C''EST FINI !


DÉSORMAIS, C'EST LA TOLÉRANCE  ZÉRO CONTRE LES CAPORAUX-GÉNÉRAUX VERT-KAKI ALGÉRIENS USANT DE MOYENS HONTEUX POUR FREINER LE MAROC D'ATTEINDRE SES OBJECTIFS GÉOPOLITIQUES ET GÉOSTRATÉGIQUES.


       Aujourd'hui, lorsqu'on cherche de comprendre l'attitude désastreuse des caciques du pouvoir algérien vis-à-vis des marocains, on s'aperçoit qu'elle est l'émanation de leur irrésponsabilité. S'ajoutant à leur difficulté d'assimiler les leçons de l'Histoire et la géographie du Maroc depuis douze siècles. Ce qui corrobore indiscutablement que les Caporaux-Généraux vert-kaki qui sont arrivés sur une embarcation du SDECE (ex-DST française) étaient imposés aux algériens sous Charles De GAULE en 1962. À dire vrai, ce sont des sous-traitants compléxés qui n'excellent que dans l'immoralité en tant qu'exécutants des ordres de leurs maîtres au palais de l'Élysée, à Matignan et au Ministère de la Défense. Autrement dit, ils sont restés à ce jour dans la continuité de l'esprit du decret de création de la "Concession" française sous-forme de DOM (Département Outre-Mer) du côté sud de la Mediterrannée par le Général SCHNEIDER en 1832. Il faut dire que ces Caporaux-Généraux incultes haineux et rancuniers n'ont que faire de la coopération dans l'entente et le bon voisinage avec le Maroc. 


       Ainsi, depuis 1963 au lendemain de la guerre des sables, ils n'ont cessé par des moyens honteux pour l'affaiblir et freiner ses efforts d'atteindre dans le calme et la sérénité ses objectifs géopolitiques et géostratégiques. Ce que le Furum Cran Montana avait installé depuis la première version, comme le tout nouveau Maroc-Espagne d'investissement entraînant et incitant les investisseurs en accord avec la région Dakhla Oued-Eddahab. Voilà pourquoi les sentiments marocophobes qui les animent les font noter à la LA (Ligue Arabe) et à l'UA UE ONU comme des alliénés mentaux politiquement parlant. Pire encore, la Communauté Internationale ne suscite ni sympathie ni confiance envers eux. N'est-ce pas que la profusion logorrhéique de TEBBOUNE-CHENGRIHA et LAAMAMRA-BELLANI sous-forme de crachat au visage des marocains, lybiens, tunisiens et même des mauritaniens, ne va pas sans inquiéter dans la région MENA-Sahel subsaharienne ? En plus, leurs dernières sorties médiatiques sur l'Espagne fait foi comme quoi ce sont des fous furieux ankylosés dans leurs rapports avec la plupart des pays. 


       Évidemment, même avec ces comportements violents, ils ne sont parvenus à rien dans le Sahara marocain qui est cadnassé militairement par les FAR (Forces Armées Royales). D'ailleurs, à ce propos, ils n'ont fait que créer un état psychogène en Algérie par suite des tumultes séparatistes en Kabylie et dans l'Azawad. Sans oublier les nombreux ratages socioéconomiques sécuritaires et diplomatiques qui font de ce régime la risée du monde. En effet, leur projet d'expansion vers l'Atlantique au Nord de la Mauritanie est définitivement enterré, car pour le Maroc c'est fini de supporter cette insolence algérienne. Dont, tout un chacun sait que le compte à rebour de la déflagration de ce pays ingrât s'est auto-déclenchée et rien ne pourra l'arrêter. Comprendront ceux qui pourront ! N'est-ce là un destin de faillite préconçue et entretenue par le régime des Généraux grabataires séniles et voleurs ? À bon entendeur, salut !

mardi 14 juin 2022

LE NUCLÉAIRE CIVIL MAROCAIN, UNE TRANSITION ÉNERGITIQUE VERS LA DÉCARBONATION PRODUCTIVE ASSUMÉE.




LE NUCLÉAIRE CIVIL MAROCAIN, UNE ADAPTATION PRIORITAIRE AVEC UN GROS INVESTISSEMENT DE L'ÉTAT.


      Le Maroc, cette force tranquille a un besoin urgent de répondre à la demande croissante d'énergie pour faire face à l'essor colossal industriel qu'il connaît. C'est pourquoi il œuvre en coulisse et avance à pas sûrs pour ne plus se mettre en dépendance énergitique de qui que ce soit. D'où la réactivation de l'option nucléaire qui le taraudait il y a 12 ans pour reprendre ce programme qui fut refroidi après l'accident de Tchernobyl en Ukraine sous l'empire soviétique URSS 1986. Sans oublier celui de Fukushima suite au tsunami de 2011 au Japon qui a fait fissurer l'ossature de l'enceinte de la centrale nucléaire et détraquer le système de refroidissement provoquant des explosions en série. Aussi, lorsque la ministre de la transition énergitique Madame Laila BENALI a évoqué intentionnellement le rêve du défunt Roi Hassan II de déssalement de l'eau de mer grâce au nucléaire, elle faisait allusion à ce qu'ont déjà fait Israël, les Émirats Arabes Unis, l'Arabie Saoudite et dernièrement l'Égypte dans le monde arabe en ce sens. En somme, un choix géostratégique assumé de production décabonée sans liesse ni traumatisme transcendant tous les champs d'action avec en plus de gros investissements. Comme le centre d'études nucléaires au bled Dandoun à la forêt Maamoura près de Salé.


       De fait, aujourd'hui le Maroc avec une planification sérieuse et maîtrisée d'un Mix énergitique diversifiée voudrait arriver à couvrir 25% de ses besoins en électricité par ce programme en l'an 2050. En effet, tout un chacun sait que la décision politique est prise et qu'elle est avalisée par l'AIEA (Agence Internationale de l'Énergie Atomique) par la géolocalisation des sites et la capacité du pays à en assurer la sécurité. D'autant plus, les grandes manœuvres géostratégiques et géopolitiques ont d'ores et déjà résurgit autour de ce programme ambitieux marocain. Et ce, entre les grands groupes internationaux tels Areva le français, Général Électric l'américain et Atomstroyexport le russe dans l'attente du lancement de l'appel d'offre. Et que rien ne sera ni dans l'attermoiement ni dans le doute mais seulement dans la justesse d'assumer la faisabilité de ce programme avec un cahier des charges claires et nettes. D'abord pour essayer de rattrapper les retards alors-même que le Maroc possède une expérience technicienne en la matière. Et dont, ce n'est nullement une stratégie de préparation de guerre cachée contre le voisin de l'Est qui est atteint d'un catastrophisme incompréhensible à ce propos. Puis, pour intégrer le club des pays nucléarisés en s'y adaptant prioritairement aux défis de l'avenir dans l'interêt géopolitique du Maroc. À bon entendeur, salut !