vendredi 28 août 2015

ERIC LAURENT, CATHERINE GRACIET ET SEMBLABLES, NE TOUCHEZ PAS A MON PAYS !

ERIC LAURENT, CE MAÎTRE-CHANTEUR CALOMNIATEUR ET MANIPULATEUR-AJUSTEUR D’HISTORIETTES A LA CARTE !

       Mais pourquoi, Eric Laurent et Catherine Graciet se sont-ils investis dans cette entreprise malsaine et scandaleuse en termes de chantage et extorsion de fonds ? N’est-ce parce que s’inscrivant dans la pensée de l’enrichissement illicite rapide et facile, qu’ils ont élaboré ce stratagème désolant et navrant. Un montage digne d’un film d’espionnage en ayant demandé 3 millions d’Euros, pour ne pas publier selon le tableau de bord de l’édition des informations soi-disant compromettantes en mettant au point des circuits externes de recherche active des victimes. Au point qu’ils en ont même par ce procédé machiavélique, renforcé l’incubation de l’inculturation politique chez beaucoup de néophytes et autres novices pensant qu’ils étaient des habitués de Dar Al Makhzen. Et ce, par la généralisation de fausses informations créees pour répondre aux besoins de l’amalgame, dont même les observateurs avertis n’en peuvent déceler les contours que difficilement. Alors qu’en vérité, la traduction politique de la réalité c’est qu’Eric Laurent avait interviewé le Roi Hassan II dans son palais d’Ifrane en 1993 pendant plusieurs semaines pour éditer son livre ‘’Mémoire d’un Roi’’. Il n’était nullement l’ami ni le confident, au contraire il y avait une raison simple pour ce rapprochement dans le cadre de la politique d’ouverture enclenchée par Hassan II.

       Néanmoins, Eric et Catherine pour satisfaire leurs besoins et envies croissant d’année en année, n’est-ce pas qu’ils ont transformé l’édition de leurs pamphlets en une bourse de ressources financières basées sur le chantage ? D’autant qu’ils sont à travers la réalité du marché de l’Edition, devenus ajusteurs incontournables d’historiettes dans leurs têtes dans un but de recherche d’augmentation de leur capital financier. Dont, ils ne s’interdisent ni l’improvisation ni la violation des vies privées dans leurs disettes, et encore moins la modulation et/où le bannissement de la trame mensongère qu’ils réadaptent aux exigences de ce marché pour faire le buz. Une sorte de mouvance-machination rehaussée et caractérisée par une culture de la manipulation pour extorsion de fonds à la carte en leur faveur, sans penser qu'un jour ils pourraient être la proie de la justice qui les mènera à la chute. Ce qui aujourd’hui met leurs semblables filipendules dans l’embarras, car se voyant désormais dépourvus de toute crédibilité dans leurs attaques contre le Maroc. Et dont, la lettre manuscrite signée par ce couple de la honte et aussi les liasses d'Euros trouvées en leur possession, ne feraient que les en rendre tous aussi comptables de ce mal devant les générations des journalistes de demain.

       Maintenant, on peut dire qu’il est loin le temps ou Eric Laurent pensait que la pratique du journalisme d’investigation augmente la probabilité du doute, en plus s’ajoutant à l’incertitude ou faiblesse qui s’incrustent dans les consciences conduisant au refus du manichéisme. D’ailleurs, au déroulé du fil d’actualités, pendant tous ses contacts avec l’émissaire du palais en présence de l’avocat du Maroc Me Dupond Moretti, il a cru avoir gagné la bataille de la raison d’Etat haut la main. Parce qu’apparemment dans la discussion sur le thème de l’édition de son livre, il s’est montré confiant tranchant et systématique, réduisant son interlocuteur à un simple émissaire ne s’accrochant rien qu’à sa foi de ne pas en finir sans conclure. Et c’est là son erreur, d’avoir pensé que la raison d’Etat triomphe toujours de la foi d’un négociateur n’ayant pas lui-même fixé son choix dans cette bataille. Une chose est certaine, depuis le début Eric n’était-il persuadé ni convaincu qu’un tel chantage lui ferait prendre des risques incalculables ? Où bien, croyait-il avoir une cohérence dans sa maîtrise de la temporalité des tractations abordées, ne sachant qu’il est épié surveillé enregistré et filmé de très près par les services de police sous contrôle du parquet ?

       C’est vrai que les répercussions politiques et juridictionnelles de cette affaire s’annoncent chaudes, une occasion pour le Maroc d’insister dans son réquisitoire sur la préméditation de l’acte du chantage et l'extorsion. Et, qu’au demeurant, surement occuperont l’avant-scène médiatique dont l’avocat du Maroc dans ses premiers échanges plus libres les ayant mis à profit par son franc-parler. Par conséquent de ce point de vue-là, tout le monde le sait maintenant, d’autres essais malveillants à l’égard du Maroc ne manqueraient d’exposer les relations franco-marocaines à des jeux interdits. Qu’importe par ailleurs que ce soit ainsi ! La question, c’est de savoir comment continuer à réinvestir la confiance entre le Maroc et la France dans ce brouhaha de critiques infondées sans revenir en arrière ? Particulièrement, de ne laisser les irréductibles et leurs relais fragmentés et diffus dans l’administration française au sein des Affaires Etrangères de l’Intérieur et la Justice, d’user de leurs vieux réflexes. S’agissant, notamment, de lobbys anti Maroc qui pourraient souffler sur le brasier des années de plomb en ressuscitant la mémoire de l’absent voire même du mort.

       Cependant, dans un tel contexte, la légitimité du Maroc de passer à l’offensive qui consiste à dire que le rapport des forces est en sa faveur, ne pouvant en aucune façon changer car il s’agit d’un flagrant délit. Et/où ni Eric ni Catherine ne pourraient invoquer des circonstances ni tenter des résistances, pour faire en sorte que la sanction touche le marché de l’édition dans sa globalité. Ce qui certainement consisterait à les forcer à chercher un compromis éditorial dans un sens qui n’attaquerait plus le Maroc, ni défavoriserait sa reconversion en démocratie participative souvent auparavant non correctement médiatisée. Notamment, en tenant compte de l’individualisation des préférences et des choix stratégiques de coopération entre le Maroc et la France dans le monde d’aujourd’hui. Aussi, à l’aune de la prochaine autre visite officielle du président François Hollande au Maroc, se conjuguant avec le réchauffement relationnel et la multiplication d’épisodes de coopération sécuritaire probants, il n’y a de choix que de continuer à l’optimisation des performances et à l’amélioration de la confiance. 

      Par ailleurs, le paysage politique semble propice par les retrouvailles des automatismes via des repères essentiels à l'action concertée. Encore faut-il anticiper de contenir ensemble les essais malveillants, et d’en contrôler les indices polluants l’esthétique relationnelle actuelle exemplaire. Parce que le mal imposé par la voilure de l’affaire Eric Laurent est répugnant de l’avis de tous les marocains. Et que raisonnablement ils n’en requièrent la moindre indulgence pour suspendre les poursuites. Espérant bien sûr que la justice française fasse seulement à charge la part des choses étant en mesure de satisfaire le Maroc concernant les dégâts et préjudices causés. Finalement, n’est-ce pas que l’objectif d’Eric le fou et Catherine la soumise c’est de préparer leurs retraites dorées, chacun dans son coin sur le dos des marocains ? Avec peut-être, création d’un club des nouveaux riches de l’édition des livres-pamphlets et autres guides-navets par des tricheurs et usurpateurs. A bon suiveur bonne lecture !   

jeudi 27 août 2015

QUE CHERCHE LE CONSEIL FÉDÉRAL SUISSE, PAR SON MARCHANDAGE SUR LE DOS DU MAROC ?

MAIS, POURQUOI LA SUISSE CETTE PLAQUE TOURNANTE DES TRANSFÈREMENTS DE CAPITAUX DÉTOURNÉS ET BIENS MAL ACQUIS VENANT DU MONDE ENTIER, A-T-ELLE FAIT CELA ?

       La Suisse a-t-elle vraiment pris position pour les visées indépendantistes du Polisario au même titre que pour l’Algérie ? La réponse est oui, car elle a manifesté un soutien apparent en sortant de l’auto rumination clandestine de ses pensées anti Maroc en juin 2015 en faveur du Polisario. Néanmoins, à présent, plus de silence coté des marocains pour dénoncer ce soutien plus lucratif qu’il n’en a l’air ! On peut même dire qu’elle est tombée sur sa tête, suite à l’acceptation de façon unilatérale de l’adhésion du Polisario à la convention de Genève 1949. Menaçant de facto les liens économiques commerciaux et surtout financiers forts qu’elle a avec le Maroc, à l’exemple de la filière des traitements des déchets industriels et aussi du relèvement du niveau de la coopération et des assurances sans omettre les relations diplomatiques longtemps normalisées sans tension ni soubresaut. D’ailleurs, n’est-ce là où le Maroc doit toujours rester vigilant dans tous ses rapports avec des pays mercantilistes animés par le seul appât du profit ?

       C’aurait été mieux pour la Suisse de ne pas tomber dans ce piège en formulant des observations et des avis en matière de cette représentation, et donc de ne pas supporter cette demande d’adhésion du Polisario. Aussi, même étant soucieuse de la seule dimension de financiarisation de ses mégaprojets qui font le bonheur des banquiers seulement par la création de la valeur en papier, ne devait-elle assurer sa neutralité sur la base des données sur le terrain onusien, sans tenter de marchander avec l’Algérie sur le dos du Maroc ? A cet égard, il est vrai qu’on ne peut ne pas dire que la mise en œuvre de cette machination-mésaventure ne s’inscrit aucunement dans un cadre illégal, en plus ne visant qu’à remettre en question la résolution 2218 du Conseil de Sécurité de l’ONU. Et pourtant, la fédération helvète sait qu’il n’y a pas de texte lui conférant le droit de s’octroyer ce genre de puissance décisionnelle sans s’en référer aux modalités de fonctionnement de la dite Instance. Autrement sinon, on pourrait penser qu’elle a une mission bien douteuse se basant sur positionnement anti  Maroc. Surtout face à l’expression du désagrément du pouvoir algérien, qui aurait mis sa manne colossale de devises détournées en circulation dans les circuits financiers fermés au nom du subterfuge du secret bancaire, mais laissant le peuple algérien dans le manque absolu à tout point de vue. Sauf que, même avec ça, il n’en demeure pas moins que le pouvoir algérien continue d'apparaître si rabougris structurellement vis-à-vis du déploiement et adaptabilité de la diplomatie marocaine réaliste offensive et probante reconnue par la communauté internationale.

       Cependant, alors que la diplomatie marocaine affichait un air triomphaliste, pourquoi la Suisse a-t-elle provoqué ce coup de théâtre semblant remettre en question la marocanité du Sahara ? Notamment, si l’on se réfère à l’appui de tous les membres du Conseil de Sécurité de l’ONU pour l’exemplarité marocaine, dans le respect des droits de l’homme sans ambages ne facilitant la tache de l’Algérie officielle pour autant. Parce que, par ce positionnement basé sur de futiles calculs d’épiciers, elle parait mener une guerre sournoise contre le Maroc, surtout à travers les répercussions dans les chancelleries. Au point que son geste est d’ores et déjà décrié officiellement énergiquement par le Maroc, sachant qu’elle ne connait que le langage de la fermeté argumentée et non l’indignation tout court même structurellement construite. Rappelons-nous au moment du clash avec Kadhafi, du bras de fer avec la France et des consultations avec les USA sur l’évasion fiscale, n’a-t-elle changé d’avis ne voulant perdre ses avantages commerciaux et financiers dans chacun de ces cas ?


       En tout cas son geste est incompréhensible, au vu qu’elle est impliquée avec le Maroc en tant que quatrième investisseur étranger dans beaucoup de thème de l’économie de l’innovation. En l’occurrence, les énergies renouvelables (Solar-Impulse), le développement durable (filières d’Argan et de Cactus-figue de Barbarie), la gestion de l’eau de l’environnement et pollution de l’air (curage et dégazage), le transport, la chimie, l’électronique, l’agro-industrie et recherche d’offre référencée au Maroc de produits agro-innovants bio stimulants bio fertilisants et bio pesticides, la pharmacie, et l’hôtellerie-tourisme. Sans oublier les échanges interparlementaires fructueux, dont la Suisse en a toujours salué les importants efforts consentis par le Maroc pour arriver à une solution politique négociée sous les auspices des Nations Unies. Mais, après tout, ou sont-ils les commentateurs politiques pour fustiger ce tripatouillage de la conscience marocaine ? En réalité, ne doivent-ils au fait de cette mésaventure du CFS (Conseil Fédéral Suisse), crier au scandale de propagande pour le Polisario ? A bon suiveur bonne lecture !  

samedi 22 août 2015

L’OPINION DE LA RUE, SERA-T-ELLE ÉLECTORALEMENT EN PHASE AVEC LES DÉFIS DE LA DEUXIÈME RÉVOLUTION QUI S'ANNONCE ?

ÉLECTEURS DE TOUS LES BORDS, DÉFENDEZ-VOUS EN VOTANT MASSIVEMENT CONTRE LES DÉMAGOGUES LES OPPORTUNISTES ET LES POPULISTES ! 

       Maintenant que les feux de la campagne électorale sont allumés, que les estrades et tribunes de propagandes sont installées et les tracts mis en distribution, va-t-on encore commettre les mêmes erreurs que par le passé ? D’autant, il est vrai qu’au moment des campagnes électorales, le politique ne croit pas se souvenir de ses actes déconcertants pour la population pour se représenter devant-elle. Au contraire, il ne pense seulement qu’à sa longévité publique, au point de se faire ratatiner ses neurones en renvoyant son propre échec sur les adversaires. A cet effet, ne pourrait-on dire qu’il ne supporte la vie sans mandat électif, au vu qu’il est très impliqué dans les visions du passé presque à la limite du mythe d’Icare qui naquit de ses propres cendres ?

       A cet égard, la question qu'on est en droit de se poser, est-ce que l’électeur marocain dans le rural comme en ville, ne veut plus continuer à supporter le bric-à-brac de gestion des services communaux déficients et anarchiques ? Cependant, dans ces conditions, est-il nécessaire de rappeler que le politique fait tout son possible pour réinvestir les consciences des électeurs parfois de manière illicite sans se soucier, ni des frontières éthiques partisanes ni des limites comportementales ? Sans doute, parce qu’il se prétend toujours le seul vrai porteur de l’espoir dont en  rêvent les habitants de sa circonscription électorale. C’est ainsi qu’il se sent fort de sa stratégie rodée et de ses ambitions illimitées, en mettant à profit sa communication basale traditionnelle pour essayer de renouveler son bail électif.

       Mais voilà, dans son discours à l’occasion du soixante deuxième anniversaire de la révolution du Roi et du peuple, le Roi du Maroc s’est montré pédagogue clair incisif et surtout sans aucune obscurité dans le ton et la teneur de ses remarques sur les gestes excessifs radicaux populistes emphatiques immoraux voire illicites des quelques postulants à la charge élective. Presque un y’en a marre en subliminaire, de voir les partis politiques toutes tendances confondues, continuer à vouloir faire élire les tricheurs les usurpateurs les faussaires et les professionnels électoraux démagogues, pour qu’ensuite on entend des observateurs gloser sur la valeur ajoutée et pertinence d’élection de candidats incompétents. Une grande leçon d’appel à la vraie effectivité de la démocratie participative territoriale de proximité, par les bons choix des conseillers intègres et compétents pour éviter les mauvaises prestations de services par la suite. Et, dont conséquemment, Sa Majesté en a réitéré son souhait de voir le Maroc du renouveau s’embarquer dans la temporalité de la deuxième révolution, celle de mise en effectivité du chantier grandiose de la régionalisation avancée. N’est-ce là l’élément qui pourrait ajouter un plus d’identification des meilleurs candidats se trouvant dans les arènes, même en présence de bruitages généralisés pour inverser les tendances d’un coté comme de l’autre ?

       N’empêche comment y parvenir ? La réponse est justement dans le discours royal du 20 Août 2015, pour sortir de l’aléatoire avec des conseils communaux provinciaux et régionaux capables de maîtriser l’accompagnement de la logistique institutionnelle à même de la rentabiliser davantage. Oui, il s’agit d’émerveillement qui certes se traduit par cet appel royal à la participation au vote, pour les électeurs marocains en faisant confiance rien qu’aux potentialités compétentes disponibles correctes et honnêtes. C’est aussi un grand signal pour les candidats même ceux droits et innocents (hommes et femmes), de savoir que la charge élective n’est plus une affaire de bon plaisir comme avant, mais un devoir de travailler d’arrache-pied avec sérieux et abnégation les intérêts administratifs sociaux économiques culturels et même sociétaux des électeurs selon des programmations réalistes sans parlotte ni emphase. Et c’est là le génie de ce discours d’anticipation, sur les questions de lutte contre les dépravations et les sous-entendements aboutissant aux irrégularités de gestion. Qu'au demeurant pourraient s’avérer catastrophiques à tout point de vue pour les collectivités territoriales, surtout pour la feuille de route des grands défis de la régionalisation avancée.

        Néanmoins, pourquoi certains protagonistes politiques y compris le chef du gouvernement marocain ont-ils  auparavant dit qu’on fait les élections avec ce qu’on a ? Parce qu’en procédant ainsi, il n’ont fait que baliser la route aux prétendants de l’ancienne méthode d’élection selon la symphonie de la triche pour les candidats et de la tentation pour les électeurs encore dans la nostalgie électorale du passé. Où, peut-être voulaient-ils user d’esprit obscur pour la destruction des traces d’éventuelles compromissions des tenants et aboutissants entre partis politiques, que la transhumance des dernières minutes a confirmé ? Sauf que, le rêve c’est qu’un jour, le chef du gouvernement doit s’expliquer très clairement sur les dispositions prises pour clarifier les quelques dissimulations sur ce dossier électoral. Même si, le ministère de l’Intérieur veille au grain s’opposant déjà à ceux dans ses rangs qui se préparent à la campagne électorale à l’ancienne. D’ailleurs, à ce propos, le ministère de l’Intérieur ne cherche-t-il avant tout dans cette façon d’aborder les choses, de montrer aux siens qu’il s’apprêtait à ne se donner en offrande le cas échéant ? Ainsi, quels que soient les résultats, on demandera certainement des comptes au chef du gouvernement de part et d’autre, surtout ceux qui n’auraient pas gagné. De sorte que l’on peut y voir aussi l’ampleur de leur naïveté de ne pas comprendre que les temps ont changé, au vu de leur refus d’accepter leur défaite. A même de se sentir fait berner par leurs camps jusqu’à même de demander qu’on leur restitue leurs subsides de renflouement des caisses de leurs partis respectifs.

       C’est vrai, tout montre que les électeurs marocains notamment les jeunes sont sensibles à cette démarche royale adoptée à quelques jours de la date du scrutin 04 Septembre 2015, dont la finalité permettra de les pousser à voter massivement. A dire vrai, c'est la fin d'une ère et le début d'une autre, dont tout le monde sait que ce sont les électeurs qui apporteront au pays plus de mérite de respect et de considération, au-delà de ce qu’ils lui doivent. Non pas seulement parce que la démarche royale obéit aux principes fondateurs du renouveau marocain dans la transparence et cohésion sociétale, mais aussi du fait qu’elle fait partie intégrante des valeurs authentiques de l’identité boostée marocaine. Ainsi, sur  ce même terrain Sa Majesté a montré une grande détermination à s’opposer par tous les moyens de souveraineté, aux nouveaux apprentis-terroristes de la sous-traitance machiavélique, dont certains ne voudraient qu’entacher le processus électoral dès lors qu’ils essayent de s’infiltrer à travers les frontières.


       Malheureusement face à la dangerosité de la situation, certains novices analystes confondant inconsciemment le précepte d’humanisme n’en voient que le coté charitable, en les considérant seulement des chercheurs au péril de leur vie de pays d’attache comme le Maroc pour ne pas dire d'asile qu'il ne sera jamais. Alors qu’en fait preuve à l’appui, il s’agit bien pour certains d’apprentis-terroristes et/où chantres confirmés porteurs du mal grondant dans toute la région en l’occurrence le phénomène terrorisme trans-étatique et transnational. Finalement, le Maroc n’a de leçon à ne recevoir de personne sur le traitement des étrangers qui se trouvent sur son sol. Il en a démontré récemment et même à travers l’histoire son respect des étrangers, pour qu’ils puissent vivre dignement sans aucune restriction ni tracasseries dans leurs droits. Que par ailleurs, il en est l’exemple parfait de pays tolérant hospitalier et humain, mais seulement dans le respect de ses lois ses coutumes et surtout du champ cultuel sunnite d’obédience malékite notamment. Car faisant partie de sa construction religieuse tentaculaire à travers les siècles, au point d’être aujourd'hui un rempart solide contre les mélodies de nuisance émanant de tous les intégrismes. A bon suiveur bonne lecture !

dimanche 16 août 2015

MALAISES OU QUESTIONNEMENTS ONUSIENS A PROPOS DES RISQUES DE SURCHAUFFE-CONFLAGRATION AU MAGHREB ?

N’est-ce là une situation qui risquerait de tuer toute lueur d’espoir d’entente Maroc-Algérie ?

       Après le discours royal d’Aid Al Arch 2015, faut-il s’étonner de l’augmentation de la virulence diplomatique algérienne contre le Maroc ? Et bien non ! D’autant plus, on ne saurait évoquer les préparatifs prospectifs douteux déjà entamés sur la frontière coté algérien sans mentionner, malheureusement, leurs effets préoccupants à plusieurs niveaux coté marocain. Qu’évidemment, au demeurant, ne font qu’ébranler la retenue diplomatique marocaine jusque là consciencieusement contrôlée au cœur décisionnel en concertation avec les partis politiques. Et dont le pouvoir algérien en raison de son désir de renforcement des turbulences régionales, ne cherche qu’à en limiter la continuité ne sachant qu’en réalité ça fortifie le capital sympathie du Maroc. N’est-ce là un comportement relevant du sentiment d’irresponsabilité qui pousse ce pouvoir haineux et rancunier à commettre de tels dérapages, en référence  à ses modalités d’instrumentalisation et manipulation dans l’affaire du Sahara marocain ?

       Cependant, tout ceci montre assez remarquablement une grave erreur par manque de profondeur et de réflexion, tellement les dérapages se suivent et se ressemblent paraissant si pathétiques pour cacher ses déconvenues financières et économiques. Notamment, en croyant comme ça, la retenue diplomatique marocaine ne puisse se faire plus sentir dans la concurrentiabilité loyale dans tous les domaines du développement du Maroc. Alors qu’au contraire, ça donne des ailes aux décideurs marocains pour appeler à l'investissement étranger car comprenant la posture kamikaze du pouvoir algérien une confirmation de sa défaite dans le concert international. Même si, le président Bouteflika semble s’entêter à renouveler la configuration-fonctionnalité de sa horde pour pomper le capital-excédent de l'offre de l'autogestion dans l'affaire du Sahara marocain. Tout simplement, dans le but affiché de s'imposer au Maroc qui a désormais une grande maîtrise des structuralités et orientations en la matière, et ce de l’avis du Conseil de Sécurité de l’ONU d’Avril 2015. N'est-ce parce que ce pouvoir ne sait toujours pas qu’une résolution onusienne est dite en phase et sans ambages, lorsqu’elle s’intercale dans l’intervalle des fluctuations des positionnements allant dans le même sens session après session ? Sauf que, malheureusement, il continue dans son aveuglement à même de se singulariser dans des affaires guignolesques telle l’interdiction aux stations radios de passer les chansons marocaines.

       A cet effet, c’est vrai que le pouvoir algérien table sur les contradictions et la nonchalance du gouvernement marocain actuel en matière des grandes idées. Mais, dans le même temps il a une peur bleue des recadrages du Souverain marocain, le faisant toujours souffrir jusqu’à aller se consoler dans ses exercices préférés de rétropédalage politiciens. Evidemment, de ce point de vue, ne peut-on dire que le Maroc est le seul pays de la région prêt, d’abord de mettre à profit son expérience de mise à niveau sécuritaire révélant son nouvel état d’esprit non par les mots mais par les actes. Puis de renforcer sa tendance vers plus de justice équité et adaptation dictées par les exigences socioéconomiques culturelles et politico-sécuritaires-cultuelles du moment. Voilà pourquoi, le Maghreb cet espace relationnel pitoyable, doit impérativement jouer l’apaisement dans toutes ses prérogatives en tant qu’entité régionale unitaire sécurisée. Ce qui lui assurerait à coup sûr d’être le contrepoids décisionnel régional par la relance vers sa puissance économique sur fonds de triomphes marocains. Notamment, pour ne plus continuer de payer le lourd tribut de la mésentente, en voyant d’année en année le passif s’alourdir au fur et à mesure que l’Algérie continuerait d’incarner ce que la stabilité du Maghreb a de pire. En l’occurrence, l’indifférence à la compétition loyale remettant en cause les bénéfices politiques pour l’intérêt commun, malgré la réactivité de quelques opérateurs économiques pour ne pas céder à la panique quelle qu’elle soit.

       Seulement, la question en pareille condition n’est-elle, s’agit-il d’un moment voire tournant fatidique pour le Maghreb au-delà du zoom prospectif sur les vraies chances de s’en sortir ? Car il faut bien le dire, ces derniers temps il y eut bien des secousses fiévreuses ethno-sociales dans beaucoup de Wilayas, dont les algériens en ont donné le ton de ce qui attend les généraux algériens s’ils n’obtempèrent pas. Et, dont leur attitude le long de la frontière reflète leur volonté de passer au clash déconcertant, que le Maroc essaye de juguler tant bien que mal pour ne pas s’y être fourvoyé. N’est-ce, ce qu’on appelle dans le jargon onusien, ne pas jeter de l’huile sur le feu, même si l’indignation de l’opinion publique marocaine s’en est faite trop pressante pour mettre fin à ces agissements ? En effet, l’Etat-Maroc y en a vu un mauvais calcul se cristallisant sur un constat d’enraidissement des néophytes, voire d’enhardissement des apprentis novices en politique ne sachant se contrôler, surtout dans le contexte particulier de l’enclenchement du processus électoral que le monde entier scrute et surveille de plus près. D’où, il n’est pas exclu de voir d’autres turpitudes dangereuses pour la provocation matérialisée par la sous-traitance intermède de Daech, qui pourraient se situer même sur nos territoires comme le cas d’Atlas-Asni à Marrakech. Ce qui demande encore plus de vigilance et renforcement d’instruments permettant d’anticiper sur ce risque terroriste, dont l’Algérie pourrait en profiter pour ratisser large dans ses attaques contre le Maroc.

       Néanmoins, que les choses soient claires, le Maroc victorieux diplomatiquement bataille après bataille n’a de choix que de se montrer en position de force pour parer à toute éventualité de paroxysme et tension-conflagration incontrôlable.  De ce fait, conséquemment, n’est-ce là un atout déterminant pour lui, d’engranger les bénéfices de son leadership économique et politique, pour contraindre Bouteflika et ses généraux à diminuer leur prétention de maintien de leur rêve dans le Sahara marocain ? Et ce, en vue que le Maroc puisse, primo continuer à imposer le tempo de l’évolution de la contribution onusienne sans malaises, selon les données de son offre d’autogestion dans le cadre de la régionalisation avancée désormais déjà en route. Et secundo d’instaurer définitivement les instruments de cyber sécurité, qui laisseront fonctionner davantage les mécanismes de son projet sociétal singulier moderne et authentique. De surcroît respectant les droits universels fondamentaux sans désorientation ni hésitation, dont en témoignent nombreux supports médiatiques sérieux reconnus à l'international. A bon entendeur salut !  

dimanche 9 août 2015

EN DÉMOCRATIE POUR CHAQUE COUAC DE GESTION ET/OU BÉRÉZINA ÉLECTORALE, C’EST UNIQUEMENT LA FAUTE AUX MINISTRES !

Mais au Maroc d’aujourd’hui encore en voie d’installation de démocratie, cette redondance quelque part mangeuse de leur droit de réponse, n’est-elle simplificatrice de la complexité réelle de leur vécu politique sur le grill gouvernemental ?

      Aujourd’hui après plus de quatre années d’Exécutif tellement décrié pour certains ministres, faut-il croire au déterminisme de ministérialité sans compétence requise ? Pour la même raison, est-ce que les liens biens évidents du favoritisme dans beaucoup de cas, n’en témoignent-ils d’installation de cette mauvaise image ? Difficile de ne pas l’imaginer ! D’autant que les questions les plus lancinantes en ce qui concerne ces liens, ne permettent pas de casser le destin commun de ces politicards sans l’intervention de l’Etat employeur. Pourtant le Maroc a vu s’épanouir après la constitution du 01 Juillet 2011, les actions de jeunes ministres candidats à la célébrité en dehors des habitudes mais sans prouesse visible. Et qu’en plus, on croyait rebelles et non conformistes au point d’avoir dérouté les observateurs analystes politiques et même leurs proches collaborateurs les voyant fréquenter certains salons de recompositions d’idées idéologiques et politiques contradictoires.

       Néanmoins, quand on relit leurs propos du début de leur nomination aux maroquins, on en déduit qu’ils étaient loin de la compréhension des effets pervers des échanges politiques non maîtrisés. Ne sachant pas qu’ils ne pourraient tenir dans cette posture, car le bain de la politique est de tout temps ainsi modélisé pour le bien des uns le pire des autres et vis versa selon l’angle d’analyse. Sans doute parce qu’ils étaient trop idéalistes, de telle sorte qu’ils n’aient contribué par leur exercice au quotidien à asseoir leur autorité hors circuits étatiques. En ce sens, à priori, est-ce que le caractère moins mordant si ce n’est désolant de cette recomposition gouvernementale mérite-t-il même qu’on s’y attarde ? Notamment, du fait qu’elle s’y est prise tellement en retard pour sortir de son nombrilisme exagéré et de sa meurtrière indifférence vis-à-vis des laissés pour compte et autres démunis au sein du peuple. Car, s’étant trop investie dans l’approche prolixe comme du temps de l’élite gauche caviar saoulée par sa grossière opulence avérée, dont certains en payent encore les frais du fait qu’ils aient été alpagués par les portes battantes de la justice ne lâchant pas facilement prise.

       Effectivement, cela fait presque trois mois que le gouvernement a lancé dans la précipitation sa nouvelle collection des lois électorales pour approbation. Pour autant, on ne peut pas dire que l’imperfection ne fut pas au rendez-vous ! Ayant mis sur la place de ce marché très attendu par tous, des combinaisons d’accompagnements presque relevant du copier-coller à quelques retouches près. Aussi, par conséquent, après la première salve-pétarade électorale des chambres professionnelles du 07 Août 2015, le gouvernement blessé est-il vraiment dans un nouveau départ sans de nouveaux bobards, comme sur la diminution du chômage ? Somme toute, l’histoire proche le montrera sûrement. D’autant plus le sentiment que l’on a pour chaque ministre dans son intime conviction, c’est à quoi bon servirait d’improviser et se montrer le pivot dans cette stratégie de renouvellement d'ambition? Alors que les dés semblent jetés et les échanges ennuyeux loin de leur recapitalisation, non seulement pour les observateurs mais aussi pour la population. Et ce n’est pas le cap florissant que tente de montrer le chef dans sa lettre de recadrage du dernier projet de loi de finance 2016 de la législature, qui leur fera éviter la bérézina annoncée aux communes provinces et régions. Parce que ce n'est pas suffisant pour le mettre à profit, et ce, en attendant le pire pour la chambre des conseillers, quelque part, apparemment hors portée de la coalition qui peut-être serait contrainte de se réfugier dans ses lamentations.

       On croit rêver. Surtout qu’il n’y a pas longtemps, des entremetteurs de sondages fictifs en attente de leur repêchage et parachutage dans le cycle des nominations pour service rendu, lançaient à tort et à travers une soi-disant bénédiction de popularité à l’endroit du chef le comparant à El Mehdi Al Mountadar. Surtout en répétant que sa gouvernance est un miracle en soit, dont la phase de ralentissement de la croissance serait inexorablement dépassée. Rien que ça ! Sauf que là, c’est l’histoire d’une désillusion qui se fabrique presque en direct devant eux, par la volonté du peuple de s’en défaire de cette arnaque faite sur le dos des crieurs du temps du printemps marocain M20F inclus. Dont le Roi fut seul pour y répondre par le discours mémorable du 09 Mars 2011 de la manière la plus nette sans hésitation ni tergiversation, réussissant après le plébiscite référendaire la prouesse d’une belle concentration d’avancées constitutionnelles sociales économiques et politiques. N’est-ce d'ailleurs ce qui explique au regard de fins analystes, les variations des tonalités des coalisés de par leurs liens corrélés et nichés au cœur de leur aventure commune sans aucune préparation ? Se référant aux éléments pertinents du discours royal de Aid Al Arch 2015, ayant permis  de convaincre par l’évidence que leur gouvernance ne fait pas l’unanimité par manque de solidité programmatique de proximité dans les confins et terroirs lointains du Royaume.

       Prenons garde de ne rien retenir de ces quatre années, où quelques ministres n’ont fait curieusement que de l’accompagnement verbal dans leur gouvernance. Aussi, après ce discours, quand la terre a tremblé sous leurs pieds par suite du constat royal à propos de mauvaise gestion évidente et gouvernance consulaire catastrophique, ne paraissaient-ils tous désemparés face aux regards féroces de leurs militants ? Alors que face à leurs détracteurs patentés, ils n’en ont montré qu’agressivité des peureux et serviles prêts à se rabaisser se gardant de les attaquer de front. Ceci dit, il s’avère qu’aujourd’hui quelques ministérialités n’ont été composées en dehors de la tradition, d’où leur plus grande précision à la faveur de la conceptualisation de la gouvernance spirituelle sécuritaire économique et politique. Dont le but n’est pas de faire de la figuration, mais de délivrer un message étatique fort à l’intention des politiques qui font de la triche dans leur bail qu’ils espèrent aisément renouvelable.


       Maintenant on devine à ce coup de sommation-inventaire, où le Souverain voulait en venir. Loin d’être fortuit, il est lié à la situation sociale du pays, montrant ce que les ministres auraient du faire, même s’il y a déséquilibre dans la finalité d’exécution des programmes entre ministères de production, de consommation et de dépendance. Notamment en s’ouvrant sur les initiatives de gouvernance créatrice des richesses matérielles pour la croissance durable et aussi immatérielles pour le rayonnement du pays. Au lieu de faire semblant d’être dans la recherche de la compétitivité, rien qu’en s’agrippant sur les statistiques à fluctuations conjoncturelles éphémères chacun dans son secteur. Le temps presse, le Roi accélère de plus en plus sa cadence et donc il va falloir appeler au sursaut des bonnes volontés, tout en continuant à vilipender les manipulateurs de l’aveuglement du gouvernement. A bon entendeur salut !  

mercredi 5 août 2015

L’OUBLIERAIT-ON AUJOURD’DUI, QU’ENTRE LE MAROC ET L’ALGÉRIE LA COMPARAISON EST RAISON ?

En vertu de quoi l’Algérie continue-t-elle sa bataille d’emblée perdue contre le Maroc ?

       L’Algérie ce voisin de l’Est dont la gouvernance-imbroglio, n’a fait qu’abolir par effet-tunnel de paresse inimitable le jalonnement d’itinéraire de construction de l’espace maghrébin. Ainsi, l’effet-rebond de sa remontée pour une alliance de fonctionnement d’une façon irréversible qu’attendaient les marocains n’arriva jamais ! D’autant, qu’il y avait dans l’ancienne vision de certains, l’image d’une Algérie gouvernée à l’avantage de la construction du Grand Maghreb. Et ce, en référence à la géographie, religion, langue et histoire commune de décolonisation. Sauf que chemin faisant, ils ont reconnu s’être trompés, du fait que cette dernière s’était intimement inscrite sans le montrer dans le projet de non réalisation de ce grand rêve. Une posture incompréhensible, qui en émeut encore les observateurs et bouleverse à ce jour plus d’un pays du pourtour méditerranéen dans leur lutte anti terrorisme daechien et autres.  

       C'est maintenant avéré la construction du Grand Maghreb sur la mauvaise foi du pouvoir algéien, qui continue d'exiger du Maroc des concessions particulièrement celles à conotation de souveraineté et géostratégie. Renforçant l'idée qu’après l’indépendance de l’Algérie les observateurs avertis savaient que le pouvoir central abritait des hommes-faucons d’un cercle fermé, qu’il était difficile d’en devenir membre sans l’aval du tombeur de Ben Bella. En l’occurrence Boumediene, dont la volonté voulait qu’ils soient un gage de sécurité et pérennité pour lui, ses conseillers étrangers, ses amis proches et leurs familles. Notons aussi que ce n’était pas le moindre paradoxe structurel du dirigisme qui a survécu consécutivement à la guerre des sables 1963, polarisant aujourd’hui la curiosité des analystes politiques bigarrés interloqués et/où carrément déçus. N’est-ce d’ailleurs de ce traumatisme que date l’entrée véritable de l’Algérie en période d’incubation de sa rage envers le Maroc ? S’étant embarquée depuis dans une succession d’intox et fausses-embellies, d’où se dessinaient en filigrane les vraies raisons de son animosité à ne pas voir le Grand Maghreb atteindre la perfection dans l’assemblage ni l’harmonie politique dans sa fonctionnalité.

       Cependant, et à plus forte raison face au prestige du Maroc aujourd’hui, le pouvoir algérien n’a de choix que de se mettre au pas de marche avec et à coté de lui pour lever les ambiguïtés de ses tragédies du temps présent. Lesquelles, ne se régénéraient-elles des années durant dans la passion bien marquée d’opinions contre le Maroc, qui, lui, reste par ailleurs loin de tout angélisme face au traitement du terrorisme multifacettes ? Ceci étant, pourquoi l’Algérie n’a-t-elle pas changé, étant restée le pays des contradictions ne cherchant qu’à déstabiliser le Maroc, sans en avoir ni les moyens ni l’autorité morale ? Ce qui d’ailleurs n’a pas suffit à lui forger maîtrise politique, mais plutôt en a fait une source-malveillance sans prudence dans ses activités diplomatiques à tire larigot. Ignorant de fait, l’envergure à tout point de vue de ce pays qu’est le Maroc traversé par une histoire millénaire ponctuée de gloires, jusqu’à celles contemporaines passant par la marche verte allant vers la conceptualisation et mise en œuvre de la régionalisation avancée d’aujourd’hui. En cela, ne faudrait-il se demander pourquoi le Maroc a toujours cherché de la tenir en respect ? En effet, par ce positionnement sur les prémices de mésententes à propos de son Sahara, le Maroc n’a fait que rester dans la vigilance puisée de l’esprit hassanien ? Qu’en effet, aujourd’hui il en récolte les retombées non moins fondamentales, faisant paraître sa vraie dimension diplomatique au sein de l’UA qui commence à lui faire les yeux doux pour son retour. A cet égard, n’est-ce cela, qui interpelle la Mauritanie de sortir de son tangage entre retour vers l’Algérie, ou, se faire valoir une carte de fidélité avec le Maroc ? Et oui, ce pays dont l’image du moment en constitue une source essentielle de reconnaissance de son passé dans les confins africains par son engagement-partenariat gagnant-gagnant, alors que l’Algérie de l'avis des observateurs qualifiés est larguée en rase campagne africaine.

       Néanmoins, même si le Sahara marocain ne peut être considérée comme la cause unique du conflit Maroc-Algérie, il reste l'un des facteurs déterminants de l’enjeu stratégique de stabilité de toute la région. D’ailleurs la mobilité tactique marocaine, rendue aisée par la reconnaissance à l’international surtout le conseil de sécurité de l’ONU de l’offre d’autogestion dans la régionalisation avancée, se révèle de plus en plus poignante dans toutes ses victoires diplomatiques. Qu'en plus, si le Maroc fait la guerre à Daech avec seulement ses propres moyens, n'est-ce pas qu'il le fait aussi pour gagner la bataille sociale économique culturelle cultuelle et sécuritaire-politique au travers son fil d’actualités et événements chez-lui, puis en Afrique et partout ailleurs ? N’est-ce comme ça qu’il montre à tout le monde, que son leadership régional n’est que la conjugaison temporelle de ses leaderships sectoriels diversifiés mis sur sa table en réponse à sa feuille de route tracée par le Souverain ? Tels (constitution avant-gardiste, multipartisme, institutions constitutionnelles, respect des droits humains, sécurité et stabilité reconnues, finances banques et économie au diapason du temps, infrastructures et chantiers colossaux ouverts, INDH et activités plus performantes en aéronautique automobile agriculture pêche tourisme transport eau potable électrification rurale énergies renouvelables exigences écologiques et autres).

       Qu’à cela ne tienne, aujourd’hui l’Algérie reste le lieu de préparation des thèses de ses automutilations, notamment dans ses aventures anti Maroc loin de la raison et de la responsabilité. C’est dire qu’une fois de plus, il va falloir la relever des ruines de son machiavélisme, qui l’a mis dans une posture politique aux paradoxes invraisemblables. A même que le pouvoir s’en expose d’être la risée de la communauté internationale, l'ayant classé le pays lieu de rendez-vous des ratages des réformes et aussi un champ d’expériences des mauvaises gouvernances, de par la corruption les malversations et les détournements des deniers publics. S’additionnant à l’entretien de la gouvernance rentière qui a un coût sociétal élevé, dont elle n’a pu se protéger des sales éclaboussures comme pour les détournements des aides internationales surtout européennes pour les séquestrés des camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs. En vérité, l’Algérie presque profondément tétanisée sinon momifiée, est devenue le mouroir de l’idéal avant-garde des maghrébins libres. Tellement qu’elle ne s’est jamais engagée dans la voie du modernisme de capitalisation des atouts de ses richesses gazières et pétrolières, notamment sur le plan de développement humain dont elle en paye les frais. Voyant malgré-elle, le Maroc se transformer en pole de référence en matière de réal-politic, surtout par les essais de contrôle tant bien que mal selon ses moyens pour influer sur ses dépendances économiques dans tous les secteurs. Alors qu’au contraire, elle, demeurant engluée dans son déclin par le manque de vision des décideurs sur ses besoins futurs à l’horizon proche, n’hésitant pas à rentrer dans la transe immorale de la compromission pour narguer le Maroc. Et qu’en plus, ce n’est pas l’attitude sulfureuse des masses médias en connivence avec le pouvoir, qui l’en aiderait de sortir indemne de ce brouillard de mauvaise gouvernance frisant l’inconscience si ce n’est le ridicule. Parce qu’ils ne font qu’exprimer la légèreté des officiels par manque de lucidité, les poussant à tant de fautes dont on y voit que vaine illusion dans leur engagement anti Maroc scandalisant en premier lieu les algériens eux-mêmes.

       Finalement, force est de constater que le pouvoir algérien refuse de reconnaître ses erreurs, préférant accuser les marocains de manipuler les algériens surtout les frontaliers. Alors bon, n'est ce plutôt le contraire qui se fait ? N’y a-t-il y a des essais avérés plus où moins connus, venant de corbeaux marocains s’appelant soi-disant ‘’militants’’, mais dont l’objectif est d’imposer de l’intérieur du Maroc un rite politique de sous-traitance chaotique ? A cet effet, on ne peut ne pas dire qu’il n’y a pas là un enjeu politique de téléguidage de l’Étranger y compris dans les structures de l’Etat, s’agissant entre autres de renforcer le joug du pouvoir algérien rentrant dans le reliquat insoluble de la guerre froide. Ce qu’aux yeux de la communauté internationale rend évident l’effondrement actuel de tous les leviers de commande de ce pouvoir, de par la vigilance des services de renseignement marocain s’ajoutant au constat social et sociétal déconcertant sur le terrain algérien dans toutes les wilayas. A bon suiveur bonne lecture !