mercredi 27 septembre 2017

POURQUOI LE SELF-CONTROL DES RESPONSABLES SECURITAIRES MAROCAINS GENE LE POUVOIR ALGÉRIEN ET LUI FAIT PEUR ?

LE POUVOIR BOUTAFLIKA N'EST PLUS CONTRÔLABLE, IL RIT DE SES PERSPECTIVES PLEURE DE SES RATÉS CRIE DE SES ANGOISSES ET MENT DE SA SITUATION A LA FOIS ?

       A présent, l'on peut confirmer que la géopolitique royale, celle qui a relancé la gamme du renouvellement diplomatique multi régénérant des partenariats stratégiques gagnants-gagnants dans tous les continents, peut durer. Il suffit de la stimuler pour qu'elle reste offensive et en même temps capitalisante et valorisante des victoires politiques sur le terrain surtout en Afrique. Dont, l'influence des services de renseignements civils et militaires est évidente, par autant de personnes-clés autour du Roi Mohamed VI en ces moments charnières dans la vie bousculée des pays de par le monde. Ce qui, d'emblée gène et fait peur au pouvoir algérien dès lors que les responsables sécuritaires marocains n'aiment participer à aucun événement sans en connaitre les bas-fonds des scénarios. Aussi, de ce point de vue, attention de continuer de donner l'impression que le ministre Bourita des Affaires Étrangères et de la Coopération est seul face à la triplette Messahel-Laamamra-Cherqui et leurs enragés éclaireurs à Genève Pretoria New York Bruxelles Addis-Abeba Nouakchott Bamako Lagos Le Caire Londres Tunis Caracas et Montevideo. Cela, évidemment, enverra de mauvais signaux sur le changement du paradigme de stratégie diplomatique du Maroc en ce qui concerne le renforcement de lutte anti terrorisme. Ce que toute l'UE apprécie, particulièrement, l'Espagne la France le Royaume-Uni la Belgique l'Allemagne l'Italie et la Hollande, s'expliquant cette efficacité par le mode d'action exclusif des services spéciaux marocains. Lesquels, ne cessent d'anticiper sur les faits et actes, par un travail méticuleux, résultat de compétences mises en œuvre et d'une expertise inclusive maintenant demandée de par le monde.

       Voilà ce qui nous amène à avancer que plus de 64 ans, partout, le pouvoir algérien n'a cessé de jouer à qui veut toujours perdre face au Maroc. En plus le faisant, paradoxalement, dans un dédale tactique-diplomatique qui en dit long sur sa fixation avec sa cohorte de pays qui lui sont inconditionnels pour le non respect du Droit International. Allant, en dépit des règles basiques du bon voisinage et de la sécurité, jusqu'à provoquer le chaos dans ses interstices de gouvernance assez mitigée à Ksar Lamradia à Alger. Car, obligatoirement, il se trouve toujours plongé dans les secrets de son passé, par rapport à ses prédictions préférentielles actuelles pour Aqmi Daech et autres groupuscules terroristes dans la région MENA Sahel subsaharienne africaine. Ainsi, de fait, il est difficile d'imaginer un autre changement de son attitude malencontreuse, à la fois riant de ses mésaventures avec son avorton le Polisario, pleurant de ses ratés de mauvaise gestion criant de ses angoisses et mentant sur sa situation vis-à-vis de celle du voisin de l'Ouest. D'où, aussi, il est aisé d'y voir quatre célèbres enchainements-envenimements des relations Rabat-Alger, de surcroit l'ayant mis dans un état cauchemardesque de confusion de ne pouvoir tenir le cap comme État moderne. A première vue, de bien lointaines origines qui auraient traversé pour des raisons diverses, l'empire ottoman l’Égypte mamelouk et l'occident colonisateur en l'occurrence. Et dont, chemin faisant après les indépendances l'ont mené à des postures dangereuses anti Maroc, primo la guerre des sables 1963, secundo l'expulsion dans un sens et l'enlèvement voire séquestration dans l'autre de nombreux marocains sans défense par ce pouvoir militariste au lendemain de la Massira (Marche Verte) 06 Novembre 1975 coté marocain, tertio la fermeture des frontières terrestres par suite d'attaque terroriste à l’Hôtel Atlas Asni 1995 à Marrakech et quarto l'essai-harcèlement diplomatique sans arrêt dans toutes les instances internationales notamment à l'UA UE et ONU.

       Et oui, aujourd'hui, tout à coup, la main des manipulateurs au sein de l'UE semble encore vouloir prendre une longueur d'avance sur le Maroc. Une attitude, dont il vaut mieux ne pas s'y habituer, ni par dépendance ni par inadvertance et encore moins par docilité de ne provoquer des remous à Abidjan lors du Sommet UE-Afrique. Alors, faut-il le rappeler, n'est-ce là où l'on voit toute une plaie de mésentente qui s'agrandit avec le temps, n'ayant abouti qu'à plus d'incompréhension éprouvée parfois non nuancée de la part du gouvernement algérien à l'endroit du Maroc ? Comme ça, l'on peut annoncer à l'approche de ce Sommet UE-Afrique à Abidjan, attention il y a danger le fennec algérien prend une réputation de grand méchant ! A l'exemple de ce qu'il a préparé pour le Sommet Japon-Afrique à Maputo au Mozambique en voulant gérer à mi-distance de façon machiavélique, l'imposition de la RASD aux Travaux dont le Japon n'en voulait pas. Une façon pour lui en tant que pays organisateur, de montrer sa suspicion à propos des effets des facteurs de nuisance au Sommet sur la base d'informations vérifiées de ce que représente la RASD au sein de l'UA après le retour triomphal du Maroc. D'autant plus, il faut le marteler sans gêne, aujourd'hui la même suspicion n'est pas levée sur les lobbys pro Algérie qui ont atteint un grade de haine inégalable contre le Maroc. Ce qui traduit, qu'un débat enflammé au quatre coins de l'UE est en voie de voir le jour pour protéger la version initiale de ce Sommet, celle de l'UE-Afrique dont la RASD ne serait conviée, étant donnée qu'elle n'est nullement reconnue à l'ONU.

       A cet égard, n'est-ce pas la même suspicion demeure et sera, la base de la réaction marocaine pour accélérer le déstockage des coups-bas en préparation par l'Algérie et ses lobbys corrompus en Europe ? Voire aussi, n'en déplaise aux ennemis, devenir le socle de l'impulsion pour la rupture avec leur mode d'hypothèque de l'avenir UE-Maroc. Qu'effectivement, à chaque occasion Mme Moghirini à son corps défendant, trouve que c'est la seule façon, coté marocain, de s'opposer à la rigidification des racines de ce mal algérien désolant. Par ailleurs, n'est-ce pas à maintes reprises, elle-même, a mis nommément en cause les lobbys s'y liant, surtout dans la lutte de l'UE contre les flux migratoires le terrorisme et le trafic de drogues des armes des faux-médicaments et la traite esclavagiste ? Autant le dire, le monde les perçoit, toujours tentaculaires en effectivité au quotidien dans la cale de la machine UE à Bruxelles, pour faire passer  le pouvoir Boutaflika comme victime. Évidemment, pour stopper ses agitations ne faut-il un plaidoyer passionné par le Maroc, dans tous les supports et plateformes médiatiques y compris sur le Net, afin de le montrer non seulement avançant face au vent mais aussi trainant ses boulets de sa mauvaise gouvernance derrière lui ? D'autant plus, aujourd'hui, mieux vaux arrêter de faire des réponses évasives plus désolantes, sur le comportement controversé des diplomates algériens à l'égard de leurs homologues marocains. A bon suiveur, bon décryptage ! 

dimanche 24 septembre 2017

ZOOM SUR LES SECRETS D'UNE NOMINATION DÉCRIÉE AU SEIN DE L'ONU, EN L'OCCURRENCE CELLE DE RAMTANE LAAMAMRA PAR ANTONIO GUTERRES.

NE PEUT-ON, A CE PROPOS AFFIRMER QU'ANTONIO GUTERRES, LUI AUSSI, COMMENCE A SE PERDRE   DANS LES ENCLOS ONUSIENS ? 

       Quels diplomates et autres observateurs avertis, n'errent pas aujourd'hui dans les déclarations ici et là de la 72-ième Assemblée Générale des Nations-Unies ? De surcroit, auscultant leurs nuances et décryptant les messages délivrés par les uns et les autres sur les préoccupations mondialisées du temps présent. Tellement, l'on peut avancer sans beaucoup d'erreurs, il y a besoin de renouvellement plus abouti et plus achevé au sein de l'ONU qui cherche son souffle. N'est-ce ce qui a poussé Antonio Guterres à avoir envie d'arriver, lui aussi, d'ajouter, avec grand risque il faut le dire, un petit quelque chose à la structure de son Secrétariat Général ? Dans le but, de retrouver ses copains des anciens relais-refuges ''5 étoiles'' où les permanents au Secrétariat Général du temps de Ban Ki Moon leur assuraient des heures d'isolement, afin parait-il de déterminer la couleur des cartes géopolitiques de par le monde. D'autant plus, et c'est incompréhensible, le faisant au détriment du Maroc sans tenir compte que c'est une sorte d'entreprise hasardeuse, notamment en Afrique. Au-delà du désespoir qui domine, car mettant l'Algérie, déjà en déperdition, au centre de ce jeu de stratégie prospective onusienne. Ce qui démontre, vraiment, qu'il eut cru pouvoir sublimer par ce mode de diriger l'ONU, en donnant une soi-disant brillance à son comité de médiation par la nomination de Ramtane Laamamra. A ce propos, dans les couloirs et anti-chambres de l'ONU, on se pose toujours la question, n'est-ce très généreux coté officiel marocain de ne réagir ni crier et encore moins vitupérer pour essayer de changer le cours des choses ?

       Évidemment, à propos de ce tambourinage pro-algérien sur le panneau onusien, n'est-ce pas l'on verrait à quel point les fissures s’élargiraient à l'UA ? Et ce, en référence du désir de plus de 38 pays africains pro Maroc de faire sortir la RASD des rangs, dont l'Algérie en perçoit déjà les échos lancinants et l'impact psychologique avec sa palette de nuances sur le futur Sommet UE-Afrique. Qu'effectivement, ils deviennent dès à présent, formidablement, si forts à l'approche de cet événement, pour ne la laisser prendre l'UA l'UE et l'ONU en otage comme à l'accoutumée par la roublardise de Ramtane Laamamra. D'ailleurs, à cet effet, n'est-ce deçà et delà l'on devine un continuum politique sous-couvert d'animation diplomatique, qui risque de devenir, malheureusement, une institution à thème pour médiation saugrenue au sommet de l'ONU. Une sorte d'alliance objective d’interprétation de l'incompréhension entre les agitateurs et les cyniques, dans une projection stratégique dissymétrique dangereuse sur la scène diplomatique onusienne pour la déstabilisation de toute l'Afrique. Vu comme ça, au Maroc on a l'impression que c'est fait d'abord pour occuper le terrain, puis pour ressusciter les choix de Christopher Ross en essayant d'incliner le Conseil de Sécurité de l'ONU dans ses Résolutions comme du temps du DEA sous (John Kerry-Suzanne Reis-Samantha Power) concernant le Sahara marocain.

       Ainsi, même de ce point de vue, l'on peut dire que le Secrétaire Général n'en sut éviter d'en voir, lui aussi, de toutes les couleurs après avoir testé cette nomination non élégante, car nullement un modèle de confiance. Non seulement de la part de la société marocaine qui veille au grain à cause de la culture des conflits que maitrise Ramtane Laamamra. Mais aussi de la communauté internationale surtout africaine, qu'effectivement pense qu'il s'agisse d'un essai pernicieux de gout amère difficile à supporter. A cet égard, autant clarifier ce fait partial et non neutre voire irresponsable de la part d'Antonio Guterres, n'est-ce pas qu'il est entrain d'allumer un feu que l'on pensait éteint depuis le limogeage de ce protégé pas comme les autres ? Car, en voulant faire moderne, il s'est fait rattrapé par les relents de l'histoire des haines contre le Maroc, que ce professionnel aguerris de la polémique politicienne ait toujours fabriqué et monté du temps de Ban Ki Moon ? Qu'à l'évidence, ceci montre qu'il y a toujours malaise riche en messages mensongers anti Maroc, que diffusent les portes flingues Laamamra-dépendants, de par leurs raisonnements très idéologisés au sein Secrétariat Général de l'ONU. Et c'est là, où le bât blesse, Antonio Guterres même se disant trop préoccupé par l'offre marocaine 2007 d'autonomie, n'a-t-il souligné qu'il a un problème de stratégie et de cohérence ? Ou tout au moins, vu de cet angle, qu'est-ce qui lui arrive jusqu'à penser que son discours d'investiture aurait froissé l'amour propre de ses amis algériens Laamamra-Messahel-Cherqui  ? Parce que, s'efforcer de reprendre les mêmes rouages de Ban Ki Moon, c'est tenter de se fermer au Maroc même si, eux, ils lui disent le contraire à chaque fois qu'ils ont l'occasion. Notamment, de réitérer sans rougir ni trembler face à lui, que l'Algérie n'est nullement partie prenante dans l'affaire du Sahara marocain. Comme ça, l'on constate du coup que pour préserver leur soi-disant aura diplomatique ou pour se faire éviter les moqueries dans les chancelleries, ils ne font que la politique de l'autruche. En l'occurrence tête dans le sable et le derrière en plein vent, parce qu'ils appréhendent qu'un jour à l'heure H, le Droit de poursuite transfrontalier par le Maroc rentrerait réellement en effectivité, en mettant leur déni de l'ingérence en souffrance et donc à l'épreuve.

       Néanmoins, conséquemment, c'est là où se trouvent les non-dits de ses silences par rapport aux coalitions secrètes de la mésentente avec le Maroc, pour ne pas dire le cauchemar par Secrétariat Général de l'ONU interposé ? Parce que, outre cette négligence avec des trajectoires pas banales, il y a aussi sa dépendance à des incubateurs d'idées sournoises dans son entourage immédiat. Dont, beaucoup de marocains au diapason de se qui se trame, se sont jurés de tout dire à la moindre constatation de dérives quelles qu'elles soient, même n'étant pas directement dans les secrets qui parfois ravivent et/où subliment les enrobages diplomatiques. C'est d'ailleurs une chance de sentir un apaisement, après la rencontre de Bourita notre ministre des Affaires Étrangères et de la Coopération marocain avec le Secrétaire Général. D'où, que les dirigeants algériens et leurs amis ne le veuillent ou pas, Antonio Guterres a reconnu que le Roi du Maroc Mohamed VI est aujourd'hui considéré un guide africain inégalable, portant des jugements très intéressants en établissant des prescriptions personnalisées de hautes performances. Dans tous les sens plus effectives par une lutte acharnée contre le terrorisme pour le codéveloppement dans la paix, via des partenariats stratégiques gagnants-gagnants économiques cultuels culturels et sécuritaires avec toute l'Afrique. 

       Comme quoi, de même que Bouritta avec son habileté n'a pas fait de commentaire désobligeant pour le Secrétaire Général, apparemment, l’intéressé non plus, n'en a eu aucune réflexion mal placée sur les impressions non officielles provoquées au Maroc, par suite à cette invraisemblable nomination dans son sillage. En tout cas, ça a fait naitre un embarras pondéré chez la société civile sans colère ni fâcherie avec lui, mais seulement des commentaires fielleux sans aller jusqu'à la jacquerie. Évidemment, c'est là l'intelligence de l'Etat-Maroc que l'on peut confirmer, du fait que c'est un véritable tournant au nom de la diplomatie constructive que sa réponse officielle parait murement réfléchie, sans cacher la vérité et sans jeter au panier tant d'années d'amitié avec ce Secrétaire Général redoutable et déroutant. A bon suiveur, bon décryptage !

jeudi 21 septembre 2017

C'EST QUOI CETTE MISE SOUS PRESSION DU MAROC, PAR LA NOMINATION DE RAMTANE LAAMAMRA AUPRÈS D'ANTONIO GUTTERRES ?

NON, LE MAROC NE CHANGERA PAS DE GRILLE DE LECTURE A PROPOS DE LA NOMINATION DE RAMTANE LAAMAMRA DANS LE SILLAGE DU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L'ONU.

      Ça y est, n'est-ce pas l'on peut dire, le Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutterres est arrivé, lui aussi, à vendre son âme ? Ne voulant prendre en ligne de compte, que le Maroc a gagné en confiance rien qu'à la mise en œuvre de sa politique diplomatique ambitieuse pour contrer les envies de ses ennemis se comportant comme des pays voyous. Ç’a quoi, n'est-ce pas, tous, ils ont réalisé que le Maroc n'a pas peur d'affronter même par la guerre, leurs discours dont ils proposent des solutions radicales dévalorisantes sur le recouvrement de ses souverainetés territoriales ? Mais voilà, alors qu'ils ne pensaient nullement s'approcher de l'étalage de sa force à Guergaratte et ailleurs, l'attitude du Secrétaire Général de l'ONU de nommer Ramtane Laamamra dans son sillage, semble destinée à lui couper l'herbe sous ses pieds. Néanmoins, à tous les égards, pourquoi s'en est-il saisi des travaux de la soixante douzième session pour se mettre au travers du chemin de la neutralité et l'impartialité en le nommant ? Bizarrement, on dirait qu'il l'ait fait, croyant, ainsi, s'offrir une vertu, même si, le Maroc n'a cessé de lui répéter à ne pas se comporter comme l'autiste Ban Ki Moon, son prédécesseur. Ce qui, certainement, si on parle de préservation du statu quo, cela noircira son tableau d'homme intègre intelligent et vif cherchant les exploits dans toutes ses démarches. Du coup, le pire pour lui, même étant sur le perchoir onusien, c'est qu'un jour il scrutera la poussière montante de mille éclats d'obus, pour des raisons d'obturation des pouvoirs algériens et celui mauritanien à l'égard de ce voisin qu'est le Maroc stable. Car, c'est de cela dont il s'agira à un moment l'autre, s'ils ne révisent pas leur tendance-harcèlement de vouloir faire couler le sang dans la région, du fait de leur approche sur le bas-côté de la diplomatie irresponsable. 

       Soyons francs, c'est un embarras cette nomination de Ramtane Laamamra auprès du Secrétaire Général de l'ONU. Sans en nier l'existence de manœuvres fallacieuses de certains manipulateurs onusiens cyniques, les uns voulant mettre la pression pour faire changer la grille de lecture du Maroc sur ce qu'ils font, les autres enfonçant le clou jusqu'à semer le doute sur ce qui s'appelle l’État-Maroc fort. Dont, à ce jour, il est difficile de les en convaincre de ne plus continuer leur vénération des pays ennemis qui ne se préoccupent que du jeu politico-diplomatique pour plus de nuisances ciblées, calibrées ou pas à l'encontre du Maroc. Parce que, pour eux, tout ce qu'il fait par sa diplomatie omnipotente positivement agressive, ne les rend pas heureux. Au point qu'ils n’arrêtent de penser que ceux de ses pays-amis, très nombreux, qui travaillent et œuvrent  à contre sens du désir de le dénigrer, ne font pas leur bonheur dans leur acharnement-dilemme existentiel. D'ailleurs, il ne faut pas avoir besoin de lire les câbles de Wiki-Leaks ou autres, pour démontrer ce qui se passe aujourd'hui à la soixante douzième assemblée de l'ONU tremblant aux relents des discours les uns prenant les contrepieds des autres. Tout cela, bien sur, fait partie du plan-cataclysme à intervalle de temps que veulent imposer les tireurs de ficelles par des positions diamétralement opposées, dont il est impossible pour les marocains d'en accepter le chaos qui se profile par certaines mises en scène malicieuses. Non seulement en les dénonçant avec vigueur sans menaces ni propagandes contreproductives, mais en proposant des solutions essentielles à la paix avec lendemain rayonnant dans la région MENA Sahel subsaharienne africaine et partout en Afrique via les partenariats pour le co-développement. 

       En cela, ne faut-il pour ce qui est des marocains vendeurs de leur âme, qu'ils sachent une fois pour toutes, que leur propre pays en l'occurrence le Maroc, n'a pas l'intention de céder sur quoi que ce soit. Notamment, à propos de l'essai de certification des intentions d'Antonio Gutteress sous couvert de recherche d'aide pour augmenter sa vigilance de lutte anti terroriste dans la région sans garantie ni confirmation de la communauté internationale. Ce qui indique que, finalement, lui aussi, est plus rapide que les vents dévastateurs de la sérénité de l'ONU par son choix anormal risquant d'ouvrir plutôt la porte de l'enfer. D'où, après, il n'en pourrait dissimuler ni ses regrets ni son appui à l'essai de son représentant spécial l'allemand Kohler. Notamment, ce qui concerne, apparemment, son désir de transfèrement des compétences de la sous-commission de Smail Cherqui à l'UA vers le cadrage onusien, pour que  cet incivil se montre lui aussi comme un héros voire un homme digne de foi. C'est vraiment énorme voir surprenant tout cela, alors que ce représentant spécial s’apprête à se rendre à Laayoune pour tâter le pool coté marocain et voire comment faire pour relancer le processus qui se trouve dans le fossé. En tout cas, de ce fait, ne faut-il dire merci à Antonio Gutterres, de nous avoir arraché de la confiance aveugle qu'on lui a témoigné depuis son arrivée à la tête de l'ONU ? Eu égard de la grande fourberie qu'il nous a préparée en usant du vieux serpent de mer, celui du non changement du rouage et d'attitude au Secrétariat Général de l'ONU envers le Maroc en s'approchant plus de l'Algérie. Et, dont l'argument principal c'est la bureaucratie ankylosante, de surcroit conjuguée de perfidies déconcertantes dans les nominations au sein des organes décisionnels de la machine ONU. 

       Comme ça, l'on peut dire, la raison de la colère du Maroc dans ce contexte, c'est de l'utilisation immature de quelques marocains machiavéliques, heureusement peu nombreux, du fonctionnement lourd du Conseil de Sécurité. Dont, c'est vrai le monde des petits pays, veut s'en débarrasser de l'héritage du jeu des grands par vétos interposés déstabilisant la concentration sur telle ou telle Résolution, comme dans le dossier du Sahara marocain qui n'a que trop duré. Et donc, n'est-ce là où il faut se rendre à l'évidence, notamment, en essayant de résoudre la paranoïa de ces marocains de l'intérieur se montrant sciemment égarés, pour qu'ils en renoncent à leur égo, dès lors qu'ils croient à tort, encore pouvoir en bénéficier au quotidien des largesses des ennemis pour leurs flirts avec le Polisario. A l'évidence, n'est-ce là une situation qui mérite solution rapide dans le cadre juridictionnel marocain, qu'au demeurant demandera à l'Etat-Maroc de les débusquer en toute urgence, partout dans toutes ses localités ? En montrant sa détermination par une politique de la main ferme, non seulement envers eux dans le but de ne les laisser continuer de vivre dans le plaisir de l'intox anti Rabat par des critiques infondées et mensongères. Mais aussi, vis-à-vis des pouvoirs algérien et mauritanien, dont l'agressivité est malheureusement en phase ascendante, et qu’effectivement ne favorise que le cycle propice pour l'affrontement direct avec Nouakchott-Alger. A bon entendeur, salut !

samedi 16 septembre 2017

C'EST QUOI CETTE NOUVELLE POSTURE DIPLOMATIQUE MAURITANIENNE MI-PROVOCATION MI-GAG ENVERS LE ROYAUME DU MAROC ?

QUE CHERCHE-T-IL LE PRÉSIDENT DE LA MAURITANIE MOHAMED OULD ABDELAZIZ, EN BRULANT TOUTES SES CASQUETTES PAR SES DISCOURS AMBIGUS POUR LE MOINS ESPIÈGLES ANTI OFFRE MAROCAINE 2007 D'AUTONOMIE GESTIONNAIRE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE ?

       Aujourd'hui, le président de la Mauritanie Mohamed Ould Abdelaziz, hélas, pour remédier à ses ennuis en interne et contrer les dangers de déstabilisation en externe, est entré dans un nouveau concept de séduction du pouvoir algérien. Dont, qu'on ne le veuille ou pas, on en perçoit se dessiner une culture diplomatique aux relents troubles, par ses postures changeantes faisant figures d’anecdotes politico-médiatiques à l'UA à l'UE et à l'ONU. Et ce n'est pas pour rajouter la communication à sa Com qui ne gomme rien de son approche farfelue sur un rythme culotté, ne sachant, étonnamment, que le Maroc n'a jamais cherché à lui nuire. Mais, seulement, il fait connaitre le ''made in morocco'' en diplomatie loin de toute incivilité de se faire imposer le choix de ses ambassadeurs plus dans l'air du temps, par ailleurs devenus respectables et redoutés de par les exemples tous puisés dans l'univers de la chancellerie moins conformiste.  Et, dont le ministère des affaires étrangères et de la coopération se sent l'obligé d'assurer les mauritaniens à travers la continuité du maillage de la desserte aérienne via la RAM, et aussi des perspectives d’augmentation des échanges commerciaux routiers via le point-portail Guergarate avec les pays de la CEDEAO. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on devine que la Communauté Internationale en apprécie, particulièrement, le flux de ces échanges qui s'en dégagent ? Malgré les gesticulations infondés non recevables du Polisario, sans que les marocains ne deviennent les contrôleurs actifs, subodorant, présumant voire interprétant les dires et attitudes de l'Algérie à ce sujet.

       C'est même plutôt stupéfiant, sans être suffisant pour que Mohamed Ould Abdelaziz pense qu'un jour il puisse renverser le sens de l'Histoire, en même temps dedans et dehors de la recherche onusienne d'une solution politique équitable et viable. Et, donc, de s'arroger le fait de pouvoir atteindre son but, traduisant de fait, la tendance des ennemis à espérer en trouver un écho favorable par rapport à la réalité sur le terrain. S'ajoutant, en même temps, à ses discours espiègles et ambigus pour le moins anti offre marocaine 2007 de l'autonomie dans le régionalisation avancée, croyant, ainsi, faire une offrande aux Généraux algériens qui cherchent à conjuguer les éléments de la tension Alger-Rabat en des événements malheureux. Cependant, autant le rappeler sans équivoque, n'ont-ils montré à maintes reprises qu'ils n’hésitent devant rien pour trouver des soi-disant arguments à leurs tromperies les plus basses ? Et ce, pour déstabiliser les échanges commerciaux prometteurs avec la Mauritanie, en s'essayant de vouloir redorer la place du port d'Oran estampillé plaque tournante des détournements des aides humanitaires pour les séquestrés des camps de la honte dans le Sud algérien. D'autant plus, le faisant avec une emphase caractéristique de leur rhétorique blessante pour faire craquer les nerfs des mauritaniens et rétablir l'autre axe des autres points de chute des trafiquants et terroristes via Tindouf-Zouirat. 

       En cela, n'est-ce la question qui taraude c'est qu'attend-il le Maroc pour accélérer le verrouillage de cette rythmique suspecte de ce créneau de recherche à le doubler ? Qu'évidemment, les premières lézardes dans le séparatisme prémonitoire mauritanien propolisarien, remontent au début des années 70 pour provoquer trouble et confusion, dont à cette époque l'Algérie de Boumedienne, elle aussi, s'en était assez moquée. N'en croyant ni aux gesticulations de Mokhtar Ould Dada premier président mauritanien,  ni à l'origine du travestissement par certains égarés de l'indéniable fixation des années 60 pour ce que préparait Feu Hassan II. En effet, pour Mohamed Ould Abdelaziz, faut-il encore le rappeler, que dans sa recherche de charisme c'est juste l'occasion à ne pas rater son plongeon dans l'univers politique ultra-concurrentiel des chefs d’États de la région. Néanmoins, même s'il en est convaincu que cette passion de fabrication de mousse tensioactive diplomatique dans le couple Maroc-Algérie, ne faudrait-il qu'il sache que ça ne servirait jamais ses intentions de revenir au centre du bras de fer sur le Sahara marocain. Voire même, d'en attendre la moindre aide par-ci et par-là, jusqu'à être en mesure de s'imposer comme le chainon manquant de la dernière série de ses trouvailles pour enquiquiner le Maroc. Ce qui, conséquemment, pourrait resté gravé comme acte rare, de fait inconcevable de par sa fronde mi-intrépide mi-circonspect, en parallèle à la synergie guerrière des impostures de soutien au Polisario par les ennemis du Maroc.

       Voilà, pourquoi pour lui, de son point de vue, il n'y a qu'un saut de puce pour la naissance de ses critères de séduction de l'équipe Boutaflika à Ksar Lamradia d'Alger ? En plus  à des fins d’interprétation du rôle de rebelle sans savoir à quoi ça le mènerait, tant qu'il ne fait pas du bon voisinage son adage. N'est-ce, par conséquent, ce qui ramène à son idée de bruler toutes ses casquettes, en pensant de la sorte, pouvoir prendre un peu de l'air du temps pour s'en sortir des colères de la société civile et contrattaques de l'opposition en Mauritanie ? Sauf que, chose qu'il n'arrive à intégrer dans son calendrier, c'est que l'usage de ce genre d'initiatives, un peu isolées, mi-provocation mi-gag, font partie de l’anecdote politique dépassée. Parce que, en ce temps présent, pas si évident ni sur, d'arriver à ébranler ni la perspective de prospection géostratégique marocaine usant des partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal avec toute l'Afrique, ni géopolitique spécifique et économique évolutive dans l'espace CEDEAO. Comme quoi, ne faut-il qu'il s’attelle, assidument, à régler la problématique des poches de l'esclavagisme qui sévissent encore en Mauritanie ? N'est-ce cela qui en témoigne qu'il s'expose, à la fois à la remontrance de la Commission de l'UA sous Mohamat Moussa Faki et à l'ire du Conseil de Sécurité de l'ONU au vu de ces poches de résistance à l'application de la charte des droits de l'homme ? Tout à fait comme les autres protagonistes, en l'occurrence Christopher Ross et Ban Ki Moon qui jouaient de rôle double sans recensement des séquestrés. Usant, d'une collection d'actes politiques partiaux non neutres, de mode lobbyings anti Maroc qui veulent imposer la guerre dans la région sans tenir compte des résolutions onusiennes dans l'affaire du Sahara marocain. A bon entendeur, salut !

lundi 11 septembre 2017

LE POUVOIR ALGÉRIEN DONT LA MÉMOIRE FLANCHE COMME DU TEMPS DE FEU BOUMEDIENNE, N'EST-CE PAS IL VEUT LA GUERRE ET NON LA PAIX AVEC LE MAROC ?

AUTREMENT, POURQUOI CHERCHE-IL A PACTISER AVEC AQMI DAECH ET LES SOCIÉTÉS MILITAIRES PRIVÉES QUI ONT PIGNONS SUR RUE DEPUIS L'AFGHANISTAN JUSQU'AU GOLF DE GUINÉE ?

       Quand on scrute minutieusement les danses diplomatiques infondées, car inondées d'informations aussi alarmistes que fantaisistes du pouvoir algérien à l'encontre du Maroc, on le voit, faire du bondissement sur place ayant du mal à sortir de ses cicatrices du passé. D'autant plus, la puissance de l'enchainement de ses défaites successives ô combien cuisantes, l’empêche de se résigner à la réalité pertinente agressive pour lui. Aussi, par delà sa recherche fantasmatique de pactiser, parfois en termes guerriers avec les groupes terroristes tels Aqmi et Daech contre le Maroc, et sa tendance de rassurer les sociétés militaires privées qui ont pignons sur rue depuis l'Afghanistan l'Iraq la Syrie passant par la Libye et la bande Sahel subsaharienne jusqu'au profondeur africaine, on ne peut pas dire qu'il veuille la paix. Et donc, conséquemment, il se cambre à chaque mésaventure qui lui arrive, en plus n'ayant toujours pas avalé le retour triomphal du Maroc à l'UA fin Janvier 2017. Symbole de ses dénis par le comportement indigne de son représentant à l'UA, l'incivil Smail Cherqui lors de la cérémonie de l'officialisation de reconnaissance de la place du Maroc à l'UA. D'ailleurs, à l'international tous les observateurs avertis estiment indispensable ce retour à l'UA, en rappelant quelques vérités essentielles pour rassurer tous ceux qui sont victimes de troubles de la mémoire politique africaine.

       Certes, de ce point de vue, c'est une réintégration au demeurant qui déjà a mis fin aux aventures ambianceuses de la dé-confiance à la sauce Messahel-Shissano-Nkossazana au sein des institutions de l'UA. Sans oublier, aussi, qu'elle commence à marquer les esprits des africains par le retour du rêve des bâtisseurs de l'OUA l'ayant vécu depuis 1960 à Casablanca jusqu'en 1963 à Addis-Abeba. Ce qui, normalement, aidera pour combattre ce qui s'apparente à la marocophobie de l’État algérien et ses soutiens inconditionnels aujourd'hui qui, comble de l'hypocrisie, en plus le font en montrant attitudes noires sur fond blanc de soi-disant leur innocence. A l'évidence, maintenant l'on peut dire sans se tromper, que le pouvoir Boutaflika est à bout de souffle. Les 18 ans de sa présidence ayant abouti actuellement à l'appel à sa destitution, n'ont pas eu raison de la détermination et la témérité du Royaume. Surtout, que six mois avant le Sommet de l'UA fin Janvier de cette année ont suffit au Roi du Maroc pour venir à bout des tergiversations de la Commission sous Nkosazana Dlamini l'Ex Madame Zouma. En ce sens, n'est-ce cela qui eut poussé l'équipe des ravisseurs de ce président malade à Ksar Lamradia d'Alger, car saisie d'une impulsion lugubre, de vouloir coute que coute prendre sa revanche sur ce retour marocain grandiose qui marquera sans conteste les annales de l'Histoire de l'UA et pas seulement ? D'autant plus, pour ce pouvoir, c'est insupportable de passer pour un nain en diplomatie, n'ayant subi durant 18 ans que des humiliations pour son soutien au Polisario. Comme ça, l'on peut dire que le serment de Feu Boumedienne de ne jamais laisser le Maroc tranquille, il puisse encore tenir plus longtemps. 

       Évidemment, n'est-ce ce qui démontre, sans équivoque, que Boutaflika a tout raté, même ses rendez-vous de la chance d'avoir son pays natal comme voisin et dont il en rêvait intégrer les rangs de la police nationale ? Bien sur, c'est même cruel pour lui, après tant d’échecs dans ses bras de fer face au Roi du Maroc, qu’apparemment il respecte et même adore, de vouloir réinventer l'Afrique de la compromission avec les sociétés militaires privées pour déstabiliser ce voisin si cher au peuple algérien. Aussi, n'est-ce parce qu'il est emporté dans ses tourbillons, notamment par l'influence de certains Généraux militaires et leurs services de renseignement, que ce pouvoir ne sait plus ni quoi ni comment faire pour réapprendre à lire les effets intimes de la pensée voire la riposte marocaine. Laquelle, faut-il le rappeler, n'est-ce pas qu'elle serait efficace proportionnée et bien relativisée à tout point de vue au fait du déterminisme du réel sur le terrain ? Par conséquent, tout aventurisme militariste avec ou sans soi-disant essai d'asphyxie diplomatique du Maroc, ne fera que mettre le pouvoir algérien hors état de nuire dans un état de perspective sans bol d'air. Là où tous les coups sont permis par des moyens plus étendus, d'autant plus que l'encouragement à l'engagement marocophile prend de l'ampleur à l'UA. On peut même l'annoncer qu'il ne se cache encore rien au sein des recoins de toutes les chancelleries diplomatiques de plus de 44 pays africains, dont leurs gestes amicaux de volonté de coopérer avec lui l'attestent. 

       Néanmoins, de fait, à l'ONU à l’échelle des cotations, n'est-ce désormais on ne conçoit le pouvoir Boutaflika qu'avec un petit rôle dans ses retranchements tristounets ? Dont, apparemment il n'en veut être catalogué, alors que l'exemple de l'agitation stratégique de sa non remise à plat des missions diplomatiques est patente, surtout concernant la réception à Alger de chefs d’États de la lignée des dictateurs. Comme ce qu'il a fait, de surcroit en ON, pour Maduro qui se trouve au cœur d'une indignation mondiale parce qu'il s'acharne contre les oppositions vénézuéliennes, en s’agrippant au pouvoir par des manœuvres dilatoires usant de procédés qui relèvent du machiavélisme politique débridé. N'est-ce là, d'où l'on voit que l'équipe Boutaflika au pouvoir et tous ses inconditionnels soutiens qui, eux-mêmes pas tout à fait rescapés des enfers des foules des marcheurs, qu'ils vivent dans l'angoisse voulant changer du tout au tout en préparant d'autres plans en commun contre le Maroc. D'ailleurs, à décrypter leur comportement, on observe que la sensation de peur ne les quitte plus, et même elle les a transformés jusqu'à accepter à exécuter des postures nuisibles pour le Droit International, et donc préjudiciables pour eux.  Et c'est là coté Maroc, l’intérêt des films et des reportages dignes de foi sans messages inintelligibles partout à l’étranger, en plus des expositions des conférences et surtout des débats qui s'y attachent d'une excellente qualité menés par d'experts portant la conception résolutive marocaine avec clarté. Comme ce que fait Youssef Amrani et autres marocains chacun selon ses méthodes et moyens, qui n'ont jamais cessé de montrer la tricherie de l’État-honteux algérien sous Boutaflika ayant trop abusé de la farce africaine de 1984 à Nairobi pour confondre campagne pour le leadership et délires.

       Vraiment, ce n'est un secret pour personne que d'avancer que le système Boutaflika est impliqué dans le jeu des rapports des services de renseignements qui pilulent dans la région. Dont les chefs, ne manquent jamais de proclamer haut et fort qu'ils n'y sont pour rien de ce qui s'y passe comme grande série de manipulations dans tous les sens, alors qu'en fait ils sont la clé de voute de ce montage qui rassemble toute une nébuleuse de société spécialisées dans la fabrication des conflits et le suivi de la logistique infernale qui va avec. Parce que ça sert de base géopolitique et géostratégique des tireurs des ficelles et leurs prête-noms pour chacune des sociétés militaires privées jouant les supplétifs des États. Et ce, dans toutes les poches où il y a la contrebande par la corruption flagrante, le balisage du trafic de tous genres via les filières des pistes migratoires entremêlées aux réseaux du terrorisme pléthorique, la traite des hommes et femmes pour la prostitution. Tout cela, dont le but de les contrôler selon un stratagème-organigramme précis de leur vaste projet de déstabilisation du Grand Maghreb et Sahel subsaharien africain mis en place. Sauf que, tous les grands services de renseignements (Egypte-Tunisie-Maroc) connaissent au bout du doigt ce qui s'y prépare coté des militaires algériens avec à leur tête Gaid Salah, car ils savent comment décortiquer leur passion communicative anti MAROC. N'est-ce, par ailleurs, la question à laquelle il va falloir s'y employer de continuer de répondre par la meilleure présentation diplomatique à coups retentissants dans l'air du temps ? En cela, à ce propos, n'est-ce, ce qui, tout au moins on l'espère, doit provoquer un déclic chez nos diplomates pour doubler de vigilance et de renverser cette manipulation algérienne tendancieuse ? A bon suiveur, bon décryptage !   

mardi 5 septembre 2017

UNE FOIS L'IMPOSTURE POLISARIO LIQUIDÉE A L'ONU, L'UA NE SERA PLUS UN MACHIN POUR LES DIPLOMATES ALGÉRIENS.

AUJOURD'HUI QUAND ABDELAKADER MESSAHEL PARLE MÉCHAMMENT DE LA MUTATION DIPLOMATIQUE DE L'UA, ON A L’IDÉE CURIEUSE QU'IL PRÉPARE D'AUTRES COUPS FOURRÉS CONTRE LE MAROC.

       A l'évidence, quand on scrute les tergiversations du pouvoir algérien, on le sent désœuvré sans avenir et désappointé sans horizon ni espoir. Contrairement au Maroc qui, lui, son sérieux fait l'unanimité, non comme donneur de leçons mais un partenaire actif agissant d'égal à égal avec tous les pays africains pour éviter les coups fourrés des ennemis. Ainsi, après dix huit ans de présidence Boutaflika, on ne peut pas dire on ne savait rien des velléités des hommes de cette machine machiavélique de surcroit exécrable. Tellement, c'est une animosité sans pareil et sans limite que montrent ces gens du cercle fermé de Ksar Lamradia à Alger à l'égard des marocains. Pour preuve, les combines de certains Généraux de l'Armée et du renseignement par leurs attouchements avec les groupuscules terroristes et encouragements des hostilités du Polisario pour le déclenchement de l'affrontement direct avec le Maroc. Comme ça, dans ce contexte, quand Messahel parle à demi-mots offensants dans ses sorties médiatiques à propos de l'autorité morale du Maroc au sein de l'UA, on a l'idée curieuse qu'il cache quelque chose de plus roublard si ce n'est plus dangereux.  Et ce n'est pas une révélation que de dire, c'est une vengeance que le pouvoir algérien cherche à faire subir au Maroc. Et ce, au vu des données impressionnantes sur ses agissements hostiles dans les rencontres internationales, comme aussi via les attitudes des ennemis inconditionnels tels le Mozambique Zimbabwe Afrique du Sud Namibie Angola et peut-être même le Kenya.

       Effectivement, à écouter Messahel et à le voir enfermé dans ce rôle de diffuseur de chroniques anti Maroc presque montées en boucle, on a le sentiment qu'il est enferré, crachant son venin jusqu'à oser la mise en garde de l'UA. Laquelle, pour etre plus claire avec lui, elle ne veut aucunement lui céder le peu que ce soit, car, elle est convaincue que l'Algérie a perdu face à la détermination du Maroc. Et c'est encore le moins qu'on puisse dire, au vu qu'elle n'a guère envie de se ruer derrière ses spéculations et ses tartufferies en plus ne s’apercevant qu'il se fourre le doigt dans l’œil pour ne pas dire en restant poli, dans le baba. A cet égard, pour l'UA, comprendre la situation dont le système Boutaflika se trouve, c'est récupérer les valeurs de sérénité pour ne pas tomber dans le piège et ne plus refaire les erreurs d'autrefois. Autrement dit, la priorité pour elle, c'est ne plus rester sous l'influence attisant des peurs et surtout identifier les engagements encourageants par le fait de créer une stratégie d'anticipation pour éviter les dérives. Déjà, l'on peut dire, la première réponse marocaine, même sélective, sur le prolongement des balivernes algériennes, permet d'établir une analyse comparative des responsabilités entre Ksar Lamradia l'Armée et les Services de Renseignements. Dont, aujourd'hui toute la Communauté Internationale pourrait en voir les nuances et en déceler les différences qui ne sont pas celles attendues, et qu'au demeurant découlent de l'exercice du chantage et de la peur sur les pays du G5 Sahel.

       Alors qu'y a-t-il sous les menaces déguisées de Messahel envers le Maroc qui a maintenant le privilège du soutien de plus de 44 pays pour mettre dehors la RASD ? N'est-ce là où l'on voit son intention sournoise pseudo-guerrière de se faufiler par les mensonges et opprobres tout en augmentant la provocation via pression sur les pays amis du Maroc à l'UA ? Dont, Gaid Salah, lui aussi, n'en a jamais détourné son attention comme un chef de chantier qui en surveille et épie non seulement les préparatifs par des mesures mafieuses coercitives à l'égard du voisinage, mais aussi via montage de la logistique qui ne trompe pas sur sa stratégie de déstabilisation du Maroc. En cela, n'en croyez pas que les balivernes venant de Messahel envers toute l'UA, ne sont lancées que pour restaurer ce qu'il appelle la conscience africaine de nettoyage des mémoires. Non, c'est un sondage des opportunités pour surprendre le Maroc et le mettre en souffrance, dès lors qu'il s'agisse de la part du pouvoir Boutaflika de sa volonté de faire main-basse sur les institutions africaines comme d'antan.  Mais, à quoi pense-t-on, en effet, quand on dit main-basse sur l'UA ? Aborde-t-on les questions essentielles de cette mise en scène de Messahel, en regardant d'abord comment la commission présidée par Moussa Mahamed Faki le voit ? D'autant plus, le Maroc diplomatique compte beaucoup sur son objectivité pour faire régner la sérénité et le calme dans les débats dans le futur, car c'est sa fonction et son rôle primordial pour que l'UA ne soit plus un machin pour les diplomates algériens.

       En fait, depuis 1963 Abdelkader Messahel, pur produit boumediennien, n'a cessé de diversifier ses angles d'attaque contre le Maroc. Tantôt, par des menaces de congestion relationnelle nord-africaine sans réfléchir ni à la stabilité ni à la prospérité du Grand Maghreb. Tantôt, en s'érigeant carrément comme un foyer de contamination, pour ne laisser l'espace Sahel subsaharien africain évoluer vers le destin commun et unique dans sa lutte contre le terrorisme pléthorique qui a malheureusement pinions sur rue. De ce point de vue, Messahel serait bien piètre tacticien s'il continue à développer pareille mauvaise foi, dont aujourd'hui, on connait surtout ses penchants destinés à piquer le peuple algérien, pour le monter contre les voisins. Notamment les marocains, en essayant de se venger de forfait pour une blessure ancienne, allant jusqu'à qualifier sans rougir, le Maroc, d'ennemi concurrentiel quand aux marchés qu'il ouvre chez-lui en tant que Hub pour l'Afrique dans les principales branches de haute technicité, comme l'automobile l'aviation le numérique la défense l’énergie renouvelable et l'agro-alimentaire. Aussi, on connait sa haine pour la France qu'il considère coupable des maux que vit l'Algérie, à même de penser qu'il y a échange informatif sur les officiels algériens transitant par le sol français en faveur du Maroc. D'ailleurs, n'est-ce triste et même terrible pour lui, d'en arriver à un degré de marocophobie systématique voulant forcer le destin sans prendre les dispositions matérielles pour ? N'est-ce déplorable qu'il en soit à avoir peur de tout ce qui est entrepris par le Maroc, allant jusqu'à vivre dans l'obsession de la consultation au quotidien de sa feuille de route. Du coup il s'en est réduit à recenser les preuves successives de la détermination de l'Etat-Maroc, mais sans savoir comment faire pour l'enrayer. Et c'est ce qui montre, manifestement, qu'on ne le veuille ou pas, le Maroc en tant que pays stable conquérant des marchés par partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal avec tous les pays africains ? A bon suiveur, bon décryptage !