jeudi 19 septembre 2013

ET SI LE GOUVERNEMENT BENKIRANE II N’A PAS LIEU D’ETRE, SAURA-T-ON UN JOUR POURQUOI ?

BENKIRANE I NE DIRA JAMAIS POURQUOI ET COMMENT IL S’ESSAYE A PROFIL BAS D'EUTHANASIER BENKIRANE II !

       Justement, quand on lit entre les lignes du déroulé du fil d’actualités, on ne peut s’empêcher de penser en ce qui concerne la formation du futur gouvernement, que des politiques maîtres penseurs, leurs sbires compagnons et/où leurs suiveurs apprentis, n’en veulent plus des islamistes. De fait ils se sont regroupés dans leurs processions partisanes distinctes n’officialisant tantôt en subliminaire tantôt en clair, que leurs messages communs de résistance jusqu’au boutisme à ne pas sauver Benkirane le vaniteux.

       A cet effet on peut énumérer diverses raisons à ça, lesquelles touchant principalement aux incorporations dirigistes rigides de Benkirane en personne. En plus de celles renfermant des interdépendances d’ordre religieux visant des objectifs politico-électoralistes de la part des PJDistes. Cette sorte de planning de contrôle du rythme à connotations emphatiques de diversion en se comportant comme des Fqihs zélés, pour prêter confusion dans les évaluations de l’action de l’Exécutif. Sauf que l’opposition surtout institutionnelle ne l’entend pas de cette oreille, elle fait son travail n’étant pas liée par le compagnonnage auquel aspire Benkirane. Au contraire ses composantes font front commun, et ne cautionnent aucunement sa conduite des affaires de l’Etat, qu’au demeurant laisse à désirer. Dont même le PPS le coalisé longtemps encaisseur des dépassements s’en offense n’acceptant plus de se taire surtout après la non Mkayssa vis-à-vis des démunis.

       Il est vrai que la disparition de l’espoir chez Benkirane de ne pouvoir avoir une autre coalition à sa botte, n’a fait qu’entraîner anarchie dans son monde de rêve intime attendant Godeau qui n’arrive point. Allant parfois à contrario des attentes légitimes du petit peuple l’ayant conduit honorablement à l’Exécutif, jusqu’à en bafouer les intérêts. A même de donner l’impression, ne s’empêchant par des initiatives euthanasistes du pouvoir d’achat de vouloir mettre le pays en excitation dangereuse dans sa cohésion sociale et sociétale. N’est-ce pas ainsi et à maintes reprises sa méthodologie d’exciter les gens, comme ce qu’il a fait en signant le décret de mise en œuvre de l’indexation des prix de l’essence gasoil et autre en catimini? Dont Najib Boulif l’approximatif dans ses sorties explicatives ne maîtrisant même pas la rationalité de l’exécution de l’organisation, l’en a impliqué jusqu’au cou. Car, touchant les intérêts des professionnels du transport et par ricochet provoquant les augmentations des denrées premières que Mustapha Lkhalfi s’essaye de minimiser sans y arriver.

       N’en oublions pas le coup d’assommoir du HCP, peignant un tableau d’une noirceur sans équivalent à propos du commerce intérieur vu la chute du pouvoir d’achat par suite à la non maîtrise de l’indexation, du creusement alarmant du déficit de la balance commerciale extérieure et diminution de l’investissement étranger, de l’augmentation du chômage et de l’absence de liquidité dont Bank Al Maghreb n’en arrête de renflouer à répétition. D’autant plus, en pleine de cette tourmente traversant dans sa voiture luxueuse de service le regroupement revendicatif des diplômés chômeurs, les narguant, tout simplement pour passer en victime de leur brouhaha devant le parlement. N’est-ce pas que c’est déroutant cette façon de faire du cinéma de mauvais goût ? En se montrant entouré et décrié à même de subir leur ire, que lui et ses sbires, qualifient d’injuste et irresponsable, rien que pour qu’il soit délivré par les forces de l’ordre par l’usage encore de la bastonnade non justifiée.

       Le pauvre Benkirane ne sait à quel saint se vouer, ça tombe sur lui de tous les cotés telle la loi des séries limitant impérativement son rayon d’action. Surtout à cadence relevée depuis sa déconfiture lors de la visite d’Ardogan jusqu’à la garde à vue prolongée d’Ali Anouzla. D’autant plus la vitesse de changement des données sociales économiques et politiques, ne lui facilite aucunement la tache se trouvant dépassé par les événements en faisant du sur place. Parce que voilà, peut être sa délivrance du costume de l’Exécutif trop large pour lui arrive à point nommé. Notamment en voyant en direct depuis Bamako qu’il ne pourra jamais avoir l’émulation de Sa Majesté le Roi. Alors qu’auparavant un certain 25 Novembre 2011, il en a montré quelques appointements et relents à même de demander seulement six mois de pouvoir pour sortir le pays de la pauvreté et le mettre en croissance soutenue.

       Et oui la cérémonie d’investiture du nouveau président malien IBK (Ibrahim Boubaker Keita) a prouvé au monde entier, la place très hautement significative de Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans le concert des chefs d’Etats. Parce qu’il est visionnaire humaniste et respectueux des droits de l’homme, dont le discours fut fortement à références historiques culturelles et cultuelles caractérisant la volonté politique du Maroc d’aller toujours de l’avant du coté des pays africains amis, quoique puissent dire les jaloux et autres porteurs menteurs et monteurs de fausses légendes. Aussi l’une des grandes attentions que porte le Maroc à ses amis du Sud en particulier le Mali, c’est de travailler ensemble en partenariat socio-économique gagnant-gagnant, en plus de son bon vouloir de mettre son expertise à leur service dans tous les domaines.

       Ce qu’apparemment Benkirane a désormais solennellement compris, semblant prêt à rejeter ses aspirations d’autrefois de continuer coûte que coûte à malmener le petit peuple par sa mauvaise gouvernance. Surtout qu’à ce jour Mezouar ne l’encourage pas clairement, à même d’accepter de rentrer dans une nouvelle automation de transformation vers une technicité beaucoup plus élevée dans la gestion des affaires du pays ! Cependant, son seul salut tôt où tard, c’est une refonte totale de toute l’équipe gouvernementale dans l'attente d'élections anticipées, à défaut d’un gouvernement d’union nationale. Comme ça les vendeurs d’obscurantisme d’un coté et de chimères sur la valeur ajoutée du rendement de l’action de l’Etat de l’autre, comprendront définitivement qu’il n’y a plus de place à leurs étalages de rumeurs et calomnies. A bon entendeur, salut !  

mardi 17 septembre 2013

MAIS POURQUOI L’ALGÉRIE CONTINUE-T-ELLE A VOLER LES IDÉES DE SON VOISIN DE L’OUEST SANS LE REMERCIER NI LE GRATIFIER MÊME DU SOURIRE ?

N’est-ce pas qu’en politique internationale chez les chefs d’Etats responsables n’usant aucunement de surenchère à l’emporte pièces, les pensées et idées fortes ne sont que l’émanation de leur structuralisme d’historicité cumulative vécue ? Par conséquent la médiocrité de la délation entre accolades et sourires n'est pas leur terrain de prédilection. De sorte, automatiquement, elle n'a plus sa place dans la formation du Maghreb toujours en attente de sa résurrection.

Sachant que dans l’échelle des appréciations des valeurs au sein des institutions internationales, elles sont aussi soupesées et conjuguées de fait à la charge consciente à terme. Surtout en usant de modalités de la mise en oeuvre de la duplicité de l'action en interne et en externe, de la part de ces mêmes chefs vers l’utilisation intégrale des potentialités pour une gouvernance de règlement des conflits et relèvement des défis.

A ce titre, n’est-ce pas ce que l’on vit presque en direct au Maroc avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI, concrétisant l’évolution du militantisme patriotique sous des formes nouvelles multidimensionnelles et multidirectionnelles dans l’air du temps ? A même de se distinguer par sa vision avant-gardiste et ses efforts humanitaires conséquents par des initiatives solidaires ici et là, comme à Zaatari Gaza Brazaville Dakar et aujourd'hui Bamako.  

Le Maroc comptant sur ses potentialités faisant face à son destin !

       Cette pratique commencée dès l’avènement du nouveau règne, n’a-t-elle pas donné une nouvelle image du pays à l’international bien au diapason du fil des changements en cours ? S’en trouvant, s’autorisant de se donner à lui-même et/où à d’autres sans complexe de supériorité, des leçons d’humilité en dépassant les blocages subsistants. Lesquels n’ayant besoin que de bonne gouvernance gouvernementale dans des conditions politiques partisanes stables pour se dissiper. Ce que notamment, les observateurs avertis aujourd’hui en demandent au gouvernement marocain futur, de réduire les immobilismes façon Exécutif Benkirane I, en le poussant à s’embarquer dans le chantier des réformes par un volume croissant d’initiatives salutaires quelque en soit l’émetteur. A l’exemple des recommandations du CCSE-E dans le cadre de la régionalisation avancée dans le Sahara marocain pour plus de production de richesses locales, loin de l’esprit de rente d’avant. S’ajoutant aux autres réformes toujours en suspens comme ce qu’en préconisent la Cour des Comptes Bank Al Maghrib et le HCP.

       En l’occurrence, un dynamisme tous azimuts de tout essayer, pour l’édification du nouveau Maroc dans le respect de la constitution. Tant la confiance est grande et n’est nullement timorée, surtout ne donnant pas une marge d’insécurité comme sous des cieux pas lointains dont le solde différentiel de sérénité étatique est trop négatif. Que les receleurs désinformateurs à la botte des ennemis du pays tentent d’en masquer les relents et les effets, n’en ratant aucune occasion pour s’y engouffrer sciemment. S’aidant de montages suspects sur la toile pour procéder aux essais de dénigrement du Maroc, dont ils croient pouvoir dévaloriser la marche du Roi surtout en Afrique. Quel strabisme politique de leur part ! N'est-ce pas que cette même Afrique s’est déjà autonomisée du joug de l’Algérie des généraux nababs qui s’en trouvent de fait ensabler avec le Polisario dans des turpitudes et déconcertements désolants. Et ce n'est pas un remaniement ministériel algérien à connotation va-t-on guerre contre les initiatives diplomatiques royales, qui empêcherait le Maroc de continuer son offensive raisonnée et réfléchie. Même si, maintenant les feux de position du gouvernement Benkirane I sont disposés à contre sens, et qu'il est urgent d'accompagner les remaniements que connait la région. Par des changements des titulaires de certains postes ministériels parce qu'incompétents, et surtout pour dépasser les réflexes d'entrainement par l'habitude ainsi instaurée pour les autres.

       Néanmoins, rien que pour mettre tout le monde davantage au parfum de la détermination sans faille du Maroc, face à ceux-là mêmes, s’essayant en subliminaire jusqu’à frôler l’apologie du terrorisme d’Al Qaida où autre. N’en déplaise à eux, le Maroc n’en serait jamais déstabilisé par cette fréquence accélérée des fluctuations dans la délation et menaces irraisonnées sur sa sécurité. Ainsi donc, un immense effort est demandé au prochain gouvernement d’absoudre les différends politiciens ne menant nulle part en l’occurrence. Particulièrement, vis-à-vis des partis politiques, syndicats, corps socioprofessionnels, intellectuels, journalistes, Oulémas et forces vives de la société civile pour le renversement de cette tendance. Parce qu’une telle attitude responsable, modifierait considérablement la physionomie de leurs rapports voire même la typologie réactionnelle à son vis-à-vis. Et surtout pour qu’ensuite toutes les instances constitutionnelles de l’Etat que nous envient certains pays dont l’Algérie n’en pouvant faire de même, puissent continuer à remplir leurs rôles respectifs en tant que raccommodeurs des détails de gouvernance et aussi des contributions de l’opposition institutionnelle. Et pourquoi pas offrir des solutions substantielles dépassant les interventions démodées sur la protection de l’économie le social le culturel et surtout le politique. En ce sens, c’est là un capital purement moral à exploiter, étant compris dans les interstices de l’esprit de la nouvelle constitution du 01 Juillet 2011.

       Ce faisant, même si, parfois, on voit les visages des membres décideurs de ces institutions dissimulant une revanche sur l’histoire, on en comprend avec où sans relativisme dans l’appréciation leur recherche des formules souples et attractives. De surcroît d’anticipation sur les dérives de mauvaises gouvernance, pour une meilleure adaptation aux défis mondialisés. Parce que, souvent traitant certains sujets sensibles selon différents volets n’étant à la portée pour tout un chacun. Notamment de part leur complexité  et temporalité touchant au conservatisme des mentalités et autre non renouvellement des formalités administratives. Mais alors, pourquoi en Algérie bouteflikaéenne ce n’est pas encore le moment d’en gratifier ces émetteurs, dont les travaux sont à l’unanimité reconnus dans les instances internationales ? Est-ce, par peur de montrer à leur endroit cette reconnaissance implicite à ce propos, comme ce qu’ont fait l’ONU, l’UE, le HCR, l’UNESCO, l’UA et les USA par suite à la publication du dernier rapport du CNDH sur les droits des migrants en terres marocaines ? Où seulement, par voie de conséquence de peur de s’en trouver devant le dilemme de faire pareillement, vu que c’est devenu le pivot voire une grille fixant la notoriété des pays en voie de développement lors des ventes de leurs modes de gouvernance à l’international. Dont le gouvernement Sellal I en pleine absence du président Bouteflika pour raison de maladie, s'en est essayé à copier Sa Majesté dans ses déplacements mais sans résultat apparent. Au contraire ça n'a fait qu'attiser les relents de discorde et d'appels aux manifestations contre l'Etat algérien apathique nonchalant et même désinvolte à l'égard du peuple. Parce que continuant à dilapider des sommes colossales pour entretenir le chimérique Polisarioo à ses dépens.

       A cet effet, heureusement que les masses médias à l’étranger, les réseaux sociaux, les blogs et d’autres supports sont bien approvisionnés en inspirations de gratifications du Maroc, pour le travail sérieux et pertinent accompli par ses institutions constitutionnelles indépendantes. Même si, on y est obligé d’en adjoindre à ce structuralisme sous toutes ses formes, un nombre de cris d’avertissements et d’appels pour dénoncer politiquement les quelques nonchalances où relâchement dans les actes dans certaines structures de l’Etat. Aussi, ne faudrait-il pour les services de vigilance gagner du temps en se concentrant sur les détails sans hésitation ni retenue en évitant d’être incompréhensibles, dès lors que les prémices de surenchère par le pouvoir algériens sont moins en raison politicienne que de leadership. Surtout qu’en positionnement géopolitique du Maroc par l’aura du Roi Mohamed VI, on assiste à une longueur d’avance contrecarrant l’agitation boutaflifaéenne en ce temps présent. Lequel, voulant copier le modèle marocain sans en avoir les moyens structurels de le faire dans le respect de la constitution, en plus de la perte de confiance indicatrice des divergences de points de vues entre les fractions politiques algériennes sur bon nombre de sujets.

samedi 14 septembre 2013

LE NOUVEAU MAROC EN QUÊTE D’EXPLOITS PERMANENTS DANS SES DÉMARCHES SOCIALES ECONOMIQUES ET POLITIQUES EST NÉ NON SEULEMENT DES CENDRES DES ANNÉES DE BIAISES DE SES ANCIENNES GOUVERNANCES !

Même en pleine tractation difficile avec le RNI pour la formation d’une mouture gouvernementale II, pourquoi Benkirane n’arrive-t-il pas à sortir de sa rigidité entre heurs et malheurs ?

       Il est vrai que depuis presque deux ans de l’adoption de la nouvelle constitution et l’arrivée du conglomérat gouvernemental sous la houlette islamiste, on n’a pas cessé d’assister à des essais par l’affrontement des valeurs sur les enjeux de gouvernance même au sein de la coalition gouvernementale. De ce fait donc, c’est avec une immense stupeur que le gouvernement Benkirane I aperçut après l’arrivée de Chabat aux commandes du PI, tous les voyants sociaux économiques et politiques clignoter en même temps bouleversant ses moments d’heurs. Tellement qu’hélas le naufrage politique de la coalition gouvernementale était déjà notifié à qui de droit, en l’occurrence le peuple marocain se trouvant en sevrage conditionnel des reformes économiques suivant normalement celle judiciaire dont désormais on en voit le premier jet.

       C’est vrai les investissements publics ont accusé un retard sidérant, ne s’inscrivant même pas dans les cycles de maintenance, s’étant fait subir une rupture brutale voire un amaigrissement des budgets alloués. Dont l’opposition institutionnelle en porte une part de responsabilité morale, l’ayant laisser se noyer dans ses malheurs entre dérapage et dé-rayage. Et qu’apparemment, elle aurait poussé surtout le PJD à faire n’importe quoi, ne sachant malheureusement pas apprécier l’élasticité de ses controverses entre le vrai et le faux. Ce qui a fait de ce gouvernement le chantre de l’incompréhension des demandes anamorphosées sur tout le territoire national, particulièrement, entre son incapacité de production des bonnes idées et sa stagnation contraignante sur sa posture nationale. Surtout dans le monde rural, lequel ne montrant en effet que souffrance à tout bout de champ vis-à-vis des superpositions des inégalités des richesses structurelles où induites.

       Sauf que, de tout temps depuis l’indépendance, il n’est pas d’homme politique à l’Exécutif qui n’ait fait mention d’aspiration au mieux pour la population. Malheureusement, il y eut beaucoup de déconvenues pendant tout ce temps pour des raisons connues et compréhensible maintenant. Or, actuellement, bien que non officiellement reconnues par l’Exécutif, ces ratages en gouvernance font du bruit à l’intérieur comme à l’extérieur du pays. Et qu’enfin il ne saurait acceptable pour le futur gouvernement de continuer de se rappeler ces essais innombrables des échecs sans se mettre au travail. Déjà, il y a eu une perte de temps politiquement inestimable en tardant à ne pas se distinguer par rapport aux législatures d’avant sous l’ancienne constitution.

       Cependant, il ne s’agit certes pas d’une suspicion généralisée  fortuitement balancée envers les protagonistes de l’arène politique. Mais, d’une dissection des interpénétrations ac-cumulatrices d’intentions malveillantes par la surenchère revancharde entre coalisés et opposition institutionnelle. Voire à certain degré se voulant liberticide de la parole notamment de la part de quelques pjdistes hors gouvernement bien dans leur rôle de diffuseurs de calomnies. Et, incompréhensiblement, eu égard au raisonnement d’hérisson pour d’autres, s’invitant à même de verser dans le satanisme de dénigrement de la mémoire des morts. Justement, parce qu’en remuant des souvenirs par l’approximatif et l’inexactitude réactionnelle,  en conséquence de leur sénilité gériatrique dépendante. Que par ailleurs, ils ne font que jeter de l’huile au feu, croyant ainsi pouvoir se débarrasser de leur lourd héritage d’exilés notoires de la politique simplement dans leurs têtes.

Mais c’est quoi l’arme déterminante de l’envol du Maroc, où du moins, n’est-il réellement en bonne voie de consécration ?

       Aujourd’hui au Maroc, après publication de multiples rapports brillants concis et pertinents sur la situation sociale économique culturelle et politique, de surcroît émanant des diverses institutions constitutionnelles indépendantes mais pesantes tels le CNDH, le CCSE-E, la COUR DES COMPTES, le HCP et BANK AL MAGHRIB, voilà qu’on assiste à un changement de braquet dans l’action publique au plus haut sommet de l’Etat. Et ce, loin des lynchages par débats interposés fixés par des souffleurs de chaud et froid entre manipulation et intoxication à l’égard des marocains. Qu’au demeurant risque si rien n’est rattrapé, de provoquer une entaille plus profonde dans le long processus de réconciliation consciemment accepté de tout un chacun dès le début des travaux de l’IER initiée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI, en plus et surtout après le oui référendaire du 01 Juillet 2011.

       En ce sens, on peut désormais dire la marche royale dès 2012 constitue le nouveau modèle de décollage et d’envol du Maroc dans tous les domaines. De sorte, qu’il s’agisse même de début de propulsion du Maroc parmi les rares pays en voie d’émergence selon Ban Ki Moon à prendre le taureau par les cornes en matière des droits de l’homme. Qu’en fait il en a reconnu intrinsèquement la dynamique royale, se félicitant de l’appel solennel du souverain au respect des droits des migrants sur le territoire marocain. Réitérant un vœu que Benkirane puisse sortir de sa lenteur, et s’atteler à l’exécution de ce programme ambitieux que toute la communauté internationale a salué. Même si l’Algérie des généraux n’en convient pas à reconnaître ce pas de géant initié par le souverain, allant dans sa conception première de mettre les bâtons dans les roues du Maroc. Et donc, continuant dans son défaut de ne vouloir recevoir aucun vent de changement venant de l’Ouest, jusqu’en n’acceptant que les allures de travers portées par ses sous-mariniers dinars-dépendants. D’ailleurs, ce n’est pas l’essai de son désensablement par le large remaniement ministériel ayant fait appel à la cohorte d’amis du président Bouteflika aux affaires, qui empêcherait le Maroc de continuer dans sa voie raisonnée et structurée pour relever les défis mondialisés. Parce qu’en plus elle aura à faire face à ses propres problèmes internes pointant à l’horizon à même la genèse du concept « arroseur arrosé », malgré la distribution d’argent colossal par le gouvernement sortant Sellal I, pour palier aux cris diversifiés à l’indépendance des territoires de Kabylie Hoggar Chaouia et autres. C’est d’ailleurs ce que corroborent les appels aux manifestations sur tout le territoire pour Al Karama du peuple algérien à court et moyen voire au long terme.


       Bien sur au Maroc, tout cela n’est pas venu comme ça par hasard ! N’est-ce pas qu’il y a eu un travail de fond, de surcroît maîtrisé dans la temporalité de son adaptabilité aux fondamentaux du nouveau Maroc qui se construit jour après jour ? N’est-ce pas que la lutte anti-terroriste de tout un peuple en harmonie avec les services de sécurité dans la cohésion et la responsabilité, y a aussi contribué ? N’est-ce pas le rayonnement du souverain par ses multiples voyages et contacts directs en interne, et /où, en externe ONU Afrique pays du Golf Asie Europe USA et ailleurs, ont placé la diplomatie marocaine sur de bons rails ? N’est-ce pas quand même, en corrigeant avec célérité certaines incartades de suivisme idéologique chez certains novices se prétendant diplomates d’envergure, que la marche du roi par sa réactivité a jalonné le chemin à suivre assurant l’inviolation des terres marocaines car attirant des convoitises ? N’est-ce pas le suivi socio-économico-écologique de Nizar Baraka marchant sur les pas de Benmoussa par le schéma de production des richesses locales, a en plus accentué l’impact prévisionnel de l’économie de colocalisation et partenariat du Go to Sahara marocain dans le cadre de la régionalisation avancée dissuadant les sahraouis de migrer vers le nord ? N’est-ce pas la nouvelle stratégie de communication par des discours royaux itératifs puissants dans la forme la symbolique le temps choisi et le fond, a provoqué un désir de changement dans le traitement des caractéristiques monographiques du pays loin de l’approche à l’ancienne donnant plus de temps au temps ? Finalement,  depuis la Moudouana avec Youssefi, c’est le Maroc dans tous ses états de révolution apaisée dont il s’agit. Car s’étant par la suite plus investi par le made in morrocco en plein souffle printanier amazigho-arabe, de sorte même les pjdistes zélés s’en sont dernièrement accoutumés ne s’enfermant plus dans la pensée des frères égyptiens se mettant derrière le génie de la construction honorable du pays.