vendredi 28 avril 2017

POUR QUI SE PREND-IL, CE PRÉTENTIEUX POUVOIR BOUTAFILIKA APRES L'ADOPTION DE LA RÉSOLUTION 2351 SUR LE SAHARA MAROCAIN ?

IL NE SERA PAS DIT QUE LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU AURAIT MANQUÉ DE LUCIDITÉ DANS SA RÉSOLUTION 2351 FIN AVRIL 2017 POUR STOPPER LE POUVOIR ALGERIEN MENAÇANT EN SUBLIMINAL DE METTRE LA RÉGION A FEU ET A SANG.

Une entité va-t-en-guerre en plus non reconnue à l'ONU, c'est comme ça que le Conseil de Sécurité perçoit aujourd'hui le Polisario après l'adoption de la Résolution 2351 fin Avril 2017. Une sorte de pensionnaire-marionnette dans l'Institution Militaire chic algérienne sous la botte de Gaid Salah qui, lui, il fut et reste le dépositaire du rêve expansionniste commun de Feu Boumedienne avec son ministre des Affaires Etrangères d'alors Abdelaziz Boutaflika. D'ailleurs, pour ce Général viscéralement anti Maroc lançant son défi à la ronde du Conseil de Sécurité, le Polisario dans sa situation actuelle de malaise avéré si ce n'est de panique au rythme syncopé de ses gesticulations, est un bon prétexte pour le pousser à interrompre le cessez-le-feu de 1991 avec l'ONU. Comme ça, n'est-ce pas que tout est dit de ce ton prémonitoire, contre les acclamations des ennemis du Maroc à l'UE à l'UA et à l'ONU. Lesquels, par ailleurs, ayant longtemps compté et profité sans rougir après la Marche Verte (Massira) 1975 sous Feu Hassan II, sur la manne financière corruptrice du trublion Feu Kadhafi et de la dilapidation de l'argent du peuple algérien à son détriment ? N'en sachant, tous, malheureusement pour eux, que le vainqueur d'antan de la guerre des sables 1963 réitérera son exploit et ne laissera aucun doute pour montrer sa détermination à recouvrer toute son intégrité territoriale. Du fait, qu'il est toujours pris par l'ambiance de mobilisation agissante de tout un peuple derrière son Roi les FAR et tous les services de Sécurité Nationale visibles et invisibles. Et, aussi parce qu'aujourd'hui porté par sa marche triomphale de revanche diplomatique posant les premiers jalons d'accès au règlement du dossier du Sahara marocain pour le Conseil de Sécurité de l'ONU. Ce qu'effectivement, sans ambages, a fait perdre leur pari à ses ennemis ne faisant que dans l’opprobre aux allures de menaces guerrières, d'où, lui, dans l'obligation de responsabilité avec assurance il s'en trouve présentement consacré et encouragé par la sollicitation de la Résolution 2351 de faire réussir son offre politique sérieuse d'autonomie 2007 viable et réalisable dans la régionalisation élargie.

       Evidemment, ce pouvoir ne veut en aucune façon s'en éloigner de narguer le Maroc, en appuyant le Polisario et pesant de tout son poids si tant est qu'il en ait encore pour ne le dégager du guet-apens de Guergarate, si ce n'est de le faire rouler jusqu'à la guerre. Ce qui signifie qu'après la Résolution 2351 il ne restera pas spectateur s'il advient que le Polisario continue à exécuter ce programme de mise en marche vers l'enfer. Car, d'emblée il s'en trouvera heureux de retrouver, enfin, l'occasion de l'affrontement direct avec le Maroc, ce qui est quand même délirant d'en recourir à cet artifice d’irresponsabilité de surchauffe des tensions. A l'évidence, à ce propos, n'est-ce là où l'on peut y déceler donc, une racine de rancune de rancœur et de haine en ce temps de fin annoncée de son existence n'arrivant à encaisser le refus du Conseil de Sécurité à ses demandes ? Dont, ses chiens journaleux à ses bottes via corruption active qui sont connus de tout un chacun en Algérie, essayent de réinterpréter selon leur vision les non-dits des paragraphes de la Résolution en question. A même, que le Polisario à front retourné via ses gesticulations dans toute la zone de séparation surtout à Guergarate a eu le culot d'avancer que le Maroc mérite une correction. Rien que ça ! On dirait qu'il n'a rien entendu des compliments du Secrétaire Général Antonio Gutterres, du Conseil de Sécurité, des spécialistes en stratégie militaire à l'ONU et de toute la Communauté Internationale de l'attitude du Roi du Maroc Mohamed VI de n'avoir ouvert le rideau de l'enfer. Quant au comportement de l'équipe Boutaflika à Ksar Lamradia à Alger et des services de renseignement l'emmenant vers l’abîme, c'est de là, que les Nations-Unies abasourdies sont désormais persuadées que son destin est scellé. Tellement, au Conseil de Sécurité à coté des membres permanents avec l'arrivée du Pérou Koweït Cote d'Ivoire Guinée Bissau et Hollande, certainement ils prendront leur responsabilité dans ce nouveau contexte une fois avoir porté leur conviction à la pensée de la future victoire du Maroc s'il advient que le pouvoir algérien ne se retienne pas.

       Néanmoins, maintenant que le pouvoir algérien ait eu connaissance de la clôture que contient cette Résolution l'enfermant dans un enclos diplomatique plus obscur, n'est-ce pas comme ça il aura l'impression de n'écouter que le bruit des vols des mouches énervantes ? Au point même, de voir qu'avec le Polisario leur orgueil commun est circonscrit en les empêchant de croire qu'un jour ils bénéficieraient ensemble du soleil du sable et de la mer du Sahara marocain. N'est-ce en cela, cette fois, même la Résolution 2351 s'en soucie du risque de conflagration que certains Généraux algériens acceptent à y souscrire par leur jeu dangereux de ne s'interdire de franchir le Rubicon ? Mais qu'est-ce qu'il lui arrive, donc, à ce pouvoir de vouloir subir une autre défaite, en cherchant comment tourner l'obstacle onusien qui se dresse devant ses perfidies ses malveillances en semant la pagaille dans toute la région ? N'est-ce parce qu'il n'a pas appris à craindre le Conseil de Sécurité de l'ONU, jusqu'à aller à toute occasion à lui annoncer sans ménagement qu'il s'en fou de la mettre à feu et à sang malgré que le Polisario s'est retiré de Guergarate presque une heure avant l'adoption de la Résolution ? Chose que l'ONU, au vu des répétitions dans ses paragraphes contre les conditions du risque de montage d'un no mans land  de non respect du Droit, ne veut qu'il soit une zone-réceptacle de la propagation du terrorisme de la contrebande et du trafic de tout genre. Qu'en effet, pour leur gouverne à ces Généraux algériens et au Polisario ne jetant à l'endroit du Secrétaire Général Antonio Gutterres que mépris appuyé par cette fuite en avant, les années qui suivent ne pourraient s'écouler sans arrêter cette hémorragie et conséquemment faire barrage à leur rêve chimérique dénué de toute objectivité. Car, d'autant plus, la mécanique infernale des services des renseignements algériens marche mal à même de s'y être engloutis presque en amateurs dans le bourbier Guergarate, d'où l'on peut dire que l'intelligence de Bachir Tartag est maintenant assombrie à l'International pour de bon.

       Désormais, en raison du ton de la teneur et du structuralisme des priorités de la Résolution 2351, les polisariens égarés et perdus ne doivent-ils savoir que là-bas au de-là du Mur en direction des 03 régions Dakhla-Laayoune-Guelmim, leur seule famille c'est les marocains ? Et que ça ne sert à rien de continuer à vivre dans la transhumance de l'exil forcé, si ce n'est de la prison dans les camps de Lahmada à Tindouf et ailleurs dans le Sud algérien dans des conditions inhumaines. Au sens où, c'est le moment pour eux de demander pardon et sortir des tranchées se trouvant rien que dans leurs têtes, pour ne plus rester dans la posture de l'assaut de l’héroïsme imaginaire sans lendemain. Alors même qu'il n'y a pas de honte à rentrer chez-soi même la tête baissée, au vu que ça ne devrait ni irriter ni offusquer mais seulement pousser à se redresser avec mérite parmi les siens sans pleurs. Evidemment, par suite à cette Résolution 2351, est-ce qu'il y aura des effets pratiques dans l'urgence en ce sens, surtout la réactivation du recensement ? En tout cas, personne n'en niera qu'aujourd'hui, elle fait bouger les lignes pour une solution politique négociée dans l'optique de l'offre d'autonomie façonnée à la marocaine. Ce qui montrera sans conteste, à quel point la Russie Cuba et l'Afrique du Sud ont-elles un levier sur l'Algérie, en augmentant leur pression et afficher une détermination pour qu'elle se mette en rejet de ses peurs non fondées ? Notamment, en ne considérant plus que la première priorité c'est déstabiliser le Maroc via des ateliers de fabrication des tensions le long des frontières par des exfiltrations des jihadistes syriens hommes et femmes. A bon suiveur, bon décryptage ! 

mardi 25 avril 2017

AVEC LA RÉSOLUTION .... DU 28 AVRIL 2017 SUR LE SAHARA MAROCAIN, LE POUVOIR ALGÉRIEN SES GÉNÉRAUX ET LE POLISARIO MORDRONT LE SABLE.

N'EST-CE PARCE QUE LA RÉSOLUTION .... DE L'ONU PROVOQUERA UN SÉISME NULLEMENT PARADOXAL QUE CA SERA LA CLÉ DE LECTURE DE L'AVENIR DU SAHARA MAROCAIN, AVEC LA PROTECTION DES INTÉRÊTS POLITIQUES COLLECTIFS DES HABITANTS DES 03 RÉGIONS DAKHLA-LAAYOUNE-GUELMIM ?

       Aujourd'hui au Conseil de Sécurité de l'ONU rien n'est plus comme avant au vu qu'il y aura derrière la Résolution .... de fin Avril 2017 sur le Sahara marocain, l'expression d'un doute assez évident sur les alliances-perfidies anti Maroc. D'ailleurs, sur ce plan ne prévoira-t-elle aujourd'hui avec Antonio Gutterres, une grande surprise d'abord aux soutiens du Maroc à propos de l’échec de manipulation des circonstances pour le non retrait du Polisario à Guergarate. Puis à ses ennemis, à l'égard des trahisons comme d'antan qu'à l'évidence ne venaient pas de façon fortuite notamment durant l'époque Ban Ki Moon. D'autant plus, qu'elle sera cohérente et dissemblable à celles d'avant écrites selon les paragraphes par des auteurs différents subissant des influences très diverses à priori négatives. C'est pour cela, l'on peut dire sans équivoque, la Résolution .... attendue provoquera un grand séisme par rapport à la logique du compromis que le Conseil de Sécurité a perdu avec l'équipe Obama, après que les observateurs aient scruté analysé et décrypté son contenu. S'additionnant aussi à la reconnaissance du rôle du Maroc, lorsqu'on se familiarise avec les appréciations argumentées et validées qui en découleront montrant le pouvoir Boutaflika et le Polisario mordre le sable. C'est dire, sachant, en plus, quand à son ton sa portée et sa teneur où le Maroc s'y reconnaîtra du fait que ça sera probablement la plus ambitieuse, elle ne sera pas un grand écart paradoxal par les idées de l'amalgame de la contrevérité et du mensonge de tous les ennemis du Maroc à l'UA à l'UE et à l'ONU. Lesquels, en ce temps présent à travers des articles médiatiques ils usent des mêmes éléments de langage pour dénigrer l'avant projet de Nikki Haley se basant sur les constatations et recommandations des rapports présentés au Conseil de Sécurité, par le Secrétaire Général sa représentante à la Minurso Kim Bolduc et le Commandant des casques bleus le Général Wang XiAojun. 

    A cet égard, ne faudrait-il surtout pour l'Algérie et Mauritanie essayer de comprendre l'algorithme qui anime le Conseil de Sécurité à proposer ses anticipations de reconduction de la Minurso pour un autre bail d'une année ? Et, surtout ses interprétations pour qu'elles fassent, elles-mêmes de leur propre arbitre, les ponts entre les idées du réalisme que comportera cette Résolution ....fin Avril 2017. Parce qu'il est difficile de découvrir son ampleur résolutive sans être à la page du monde qui bouge pour intégrer, que l'ONU s'est, elle aussi, mise en marche sans fléchir au vu du nouveau état d'esprit qui l'habite désormais. D'où il y a déjà interpellation du Polisario et le pouvoir algérien, de ne plus mésestimer par l'indifférence la nomination du futur Envoyé Spécial Horst Kôhler qu'au demeurant est très frappante par la notion de nouveauté portant la griffe du Secrétaire Général. Bien sûr, tout ceci montre, conséquemment, que la stratégie du Maroc porte, et donc met en exergue qu'il est en capacité d'imposer le tempo et de changer le paradigme de la projection prospective du Conseil de Sécurité de l'ONU. Ce qui donne un sentiment d'urgence de rattraper le temps perdu longtemps suspendu au paternalisme un peu scout de l'Algérie vis-à-vis de son rejeton Polisario. Qu'en effet, aujourd'hui, heureusement, c'est un débat d'une séquence politique qui est amorcé par rapport à son comportement à Guergarate et aussi de l'attitude de Gaid Salah pleine d’auto négation, pour ne pas se borner au contenu de la Résolution au-delà de la clarification des positionnements des membres permanents. Et, d'où donc, on l'espère, ça sera le cap du Conseil de Sécurité en tant qu'Instance Suprême de l'ONU contre les manipulations illégitimes du front résiduel de refus de pays comme Algérie-Zimbabwe-Venezuela-Uruguay jouant de la dispersion idéologique des mots d'un temps révolu à l'encontre de l'offre marocaine d'autonomie 2007. En l'occurrence, une constellation d'idées qui vont avec les fractures sociétales socio-économiques et politiques de ce conglomérat, notamment, via l’entêtement des dirigeants même sachant qu'ils sont dans l'erreur. Ainsi, comme ça restant dans leur secret, ils n'en finissent de se considérer victimes de la méchanceté du destin et de la tournure que prend aujourd'hui le dossier du Sahara marocain, tellement ça leur donne quelques étoiles dans les yeux. Quel gâchis, tout ça pour qu'ils en arrivent là, en montrant une sorte de tartuferie affective envers le Polisario qui commence à lui jouer un mauvais tour !

       Et oui, à l’évidence, c'est ça la nouvelle approche Antonio Gutterres, avec tout ce qu'elle offre d'intelligence humaine et de pragmatisme d'accomplissement de son plan dans la neutralité et l'impartialité pour contrer les perfidies et les manipulations. Néanmoins, n'est-ce via les futures Résolutions dans les années qui viennent, que l'on verrait que ça va forcer une mue idéologique dans tous les camps longtemps restés récalcitrants à la formule d'autonomie ? Dont il ne faut pas oublier, aujourd'hui, de rappeler que le Maroc a tenu bon contre le tapis des coups bas et malveillances pour le détourner de cet objectif durant tout le mandat de Ban Ki Moon. En plus, ce dernier, ne s'était-il vu soutenu par la mécanique infernale de la média-génie foncièrement anti Maroc depuis l'arrivée d'Obama à la maison blanche ? Contrairement, à maintenant avec Trump, d'où l'on peut dire, qu'il y a vraiment une opportunité à ne pas rater pour la mise en marche onusienne de cette offre politique marocaine viable et facilement réalisable. Mais, faut-il encore pouvoir la mettre en calibrage humain d'accompagnement des choix géostratégiques avec CCG du développement du Maroc, par rapport à ceux géopolitiques sélectifs parfois circonstanciés sinon conjoncturels des USA de la Russie et de la Chine de l'UE de l'UA ? Et ce, à travers la mobilisation des compétences après la formation du gouvernement Othmani, loin des recrutements des copains des voisins des consanguins voire des partisans rouillés et autres sou fifres traînant dans les couloirs des cabinets ministériels. Tout cela, pour ne pas tomber dans le triomphalisme de façade et ne plus revoir les situations abracadabrantesques se répéter par manque d’intégration des données géopolitiques du pays surtout pour le renouvellement de couverture opérationnelle dans tous les défis. Dont le Maroc est expressément obligé de réaliser encore plus d'effort, pour faire naître plus d'espoir et se montrer dans les rangs avancés de l'IDH (Indice de Développement Humain) à l’échelle des cotations des valeurs à l'ONU. Parce que le gouvernement sortant, entre fatalisme et inquiétude, n'a rien respecté de la plateforme de l'INDH enclenchée depuis 2004, si ce n'est s'ouvrir par l'affrontement idéologique par l'illustration de la partisanerie sans perspective de mise en avant d’arrêter la stagnation. Encore heureux, que le volet des infrastructures porteuses et prometteuses loin de toute démagogie ni calcul politique, eut été sous contrôle de la dynamique et vision royale dont tout un chacun en voit la transformation du pays avec célérité. 

       En tout cas, à valeur d'aujourd'hui, nul ne peut nier que suite à cette Résolution .... il y aura beaucoup de fierté et de joie du coté des diplomates rodés marocains, bien au diapason de l'état d'esprit des faiseurs d'opinion à l'international. Particulièrement, de vouloir continuer à travailler par l'argumentaire la conviction la détermination et non par le copier-coller voire le larcin des idées d'autrui sans la moindre reconnaissance. Au fond, c'est vrai, tout cela avec le temps et la volonté du Maroc dans son Sahara, s'organisera, s’éclaircira et deviendra intelligible à travers l'effectivité solennelle de son offre d'autonomie 2007, parce que tout a changé au Secrétariat Général de l'ONU. Bien évidemment, pour qu'on en arrive à cette Résolution, le Maroc, il faut le dire sans détours, n'a-t-il bénéficié de l'engrenage positif en événements géopolitiques enclenchés par le Roi Mohamed VI avant et après le retour triomphant à l'UA ? De surcroît, en plus, l'exhortant dans ses nombreux discours de sortir de ses paradoxes primo par la mobilisation tous azimuts anti terrorisme, secundo par la révision des statuts selon la vision des sages autour de Paul Kagamé et Alpha condé et tertio contre l'expansion territorialisme de l'ethnicité-nationalisme bête et méchant. Et ce, pour le co-développement gagnant-gagnant d'égal à égal avec le Maroc par les partenariats-échanges nouvelle génération, dans tous les secteurs socio-économiques culturels écologiques politiques et sécuritaires, que les Nations-Unies soutiennent et applaudissent très fort. Comme ça, ne peut-on espérer que la Résolution ....fin Avril 2017 sur le Sahara marocain mentionnera en subliminal que les polisariens sont fous et qu'il ne leur reste point de courage de s'installer dans la sagesse ? Et surtout, sans leur consentir la moindre circonstance atténuante, contrairement au temps de Ban Ki Moon qui distillait une sorte d'amalgame presque sous-forme de félicitation pour leur soi-disant courage qui sied, d'après certains chroniqueurs corrompus, avec celui des combattants même battant en retraite. D'ailleurs, par ce genre d’interprétation non objective, on aura tout vu à l'ONU, à même de les plaisanter aussi sur leur nouvelle posture face au Secrétaire Général, au Conseil de Sécurité et à la Communauté Internationale, qui, pardon de le dire n'ont certainement pas la force d'en rire. A bon entendeur, salut !     

samedi 22 avril 2017

LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU FIN AVRIL 2017 SUR LE DOSSIER DU SAHARA MAROCAIN, SERA-T-ELLE D'AMPLEUR CLAIRE ET NETTE D'ENVOYER AU DIABLE LE POLISARIO ?


DANS CE CONTEXTE DIFFICILE, Y'AURAIT-IL UN DÉCLIC AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU POUR UNE SORTIE DE CRISE PAR LA VALIDATION DES CRITÈRES D’APPRÉCIATION D'ANTONIO GUTTERRESS DONNANT RAISON A L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE 2007 ?

       La question qui interpelle pour l'avenir proche, est-ce que le bourbier Guergarate s'ouvrirait-il vers le spectre de la guerre ou se verrait-il circonscrit par la Résolution du Conseil de Sécurité de l'ONU fin Avril 2017 ? D'autant plus, tout un chacun sait que le Polisario est absorbé par la tache du déni qui réveille son arrogance vis-à-vis du Conseil de Sécurité le faisant en conséquence glisser vers l'inconnu. A même jusqu'à en oublier que rejeter la demande du Secrétaire Général Antonio Gutterress de se retirer de la zone de séparation en respect des clauses du cessez-le-feu 1991 signé avec l'ONU, c'est confirmer une certaine aliénation dont il se trouve. Alors même qu'il y a une pression diplomatique contraignante le mettant en cause, et qui va au-delà du renversement de l'ordre des Résolutions avec leur arsenal juridique onusien assez vaste pour le stopper. A cet égard, après 42 ans d'obsession anti Maroc par le pouvoir algérien c'est quand même de la vie gâchée du Maghreb dont il s'agit d'où il commence en tant que système désuet à en récolter la facture des pompes funèbres concernant le creusement de sa tombe. Ce qui résume pourquoi il est aux abois avec un haut niveau de risque de déstabilisation géographique structurelle via séparatisme pléthorique grondant et sans appel qu'il vit. Qu'en plus se conjugue à la guéguerre entre factions qui le composent et le traversent, à la violence sociétale et ethnoculturelle qui le menacent pour arriver au désastre politique à peu près complet par sa faillite et sa perte.

       Néanmoins, de fait, comprenant parce qu'il ne sera pas surpris de voir en pleine période de Résolution fin Avril 2017 ses aspirations d'avoir un comptoir sur l'Atlantique pourrir et ses gesticulations se disloquer, il continue de s'armer et en même temps organiser des rondes soi-disant de garde le long de ses frontières avec le Maroc pour s'efforcer de montrer de l'assurance. Même si, pour lui, les déceptions l'amertume et la tristesse ne lui sont épargnées jusqu'à vouloir faire infiltrer les jihadistes hommes et femmes sous couverture de refugiés syriens, tellement, l'on peut en penser peut-être que sa vie est en chronicité de honte d'avoir contrarié le Maroc sur le recouvrement de sa souveraineté sur son Sahara pour rien. Comme si, aujourd'hui déjà mort, il contemple, avec amertume et désespoir, sa bérézina économique politique en Afrique et diplomatique irrémédiable auprès de toute la Communauté Internationale dont il n'y a plus rien à faire pour le ressusciter. Parce qu'avec le Polisario, tous les deux ils ont atteint le point de non retour, dès lors qu'en scrutant les parrainages au Conseil de Sécurité de l'ONU des résolutions des fins des mois d'Avril des dix dernières années, ils se disent aujourd'hui victimes de leur vision du monde. Alors qu'en fait, tout le monde le sait maintenant, ils sont impulsifs et rancuniers que le Maroc en soit devenu le seul prétendant sud-méditerranée digne de confiance au poste de chargé de vigilance et de sécurité dans le G5+5 de toute la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Ce qui montre, que les nouveaux soutiens sans ambages de la thèse marocaine d'offre d'autonomie 2007 au Conseil de Sécurité n'accueillent plus ni passivement ni activement les avances et les cadeaux de l'Algérie s'essayant de les pousser à saper le processus de la régionalisation déjà mise en effectivité alléchante car réellement pragmatique dont le monde en parle.

       Ainsi, n'est-ce pas que les vents d'antan de la complicité au Conseil de Sécurité de l'administration Obama, de Ban Ki Moon avec son Envoyé Spécial Christopher Ross, du Venezuela et de l’Uruguay, aient maintenant quittés l'Algérie et sa protubérance Polisario pour de bon ? Jusqu'à ne vouloir après décryptage du rapport d'Antonio Gutterres, connaissant son but d'entreprendre une nouvelle approche, de se voir renverser en arrière du plan qui sera concocté par la Résolution dont ils n'étaient des années durant nullement effrayés. Comme ça l'on peut dire, la stratégie de l'Algérie est maintenant effilochée et déchirée, dont on distingue mal la perspective pour un avenir régional serein paisible et stable, si ce n'est sa croyance voire conviction à refaire la guerre des sables de 1963. Et, combien même cela serait, pour avoir la Résolution fin Avril 2017 de son coté, est-ce que le Maroc n'a pas tant de choses d'autres à anticiper à ajouter et à éclaircir pour mettre le monde à témoin, qu'il n'est plus aisé pour quiconque de maintenir la pression sur lui afin de continuer à implanter des idées saugrenues. Même pas du ministre Abdelkader Messahel le substitut de Ramtane Laamamra apparemment en disgrâce, qu'effectivement cet ancien journaliste originaire de Tlemcen paraissant sursautant et faisant du surplace en communication d'où se distillent de nouveaux ordres aux diplomates algériens de préparer les chancelleries à l’éventualité de la guerre. D'autant plus, c'est là où l'on mesure, néanmoins, le prodigieux et continuel effort du Roi du Maroc que ce soit officiel public ou privé dans le secret, pour l'anticipation et l’accélération de la rythmique des opérations de séduction et de rapprochement bien pensé mettant fin à l'incompréhension, signe qu'il n'y a pas mieux que le contact direct. Et ce, en Afrique Chine Inde USA Russie et Cuba, dont les observateurs initiés en voient l'une des finalités diplomatiques de grande envolée géopolitique et géostratégique pour ignorer l'Algérie dans ses sautillements indignes.


       Désormais, fini le temps où le Maroc suit l'Algérie selon les saisons de ses caprices à elle à travers l'UA UE et même l'ONU, parce que maintenant tout va bien, trop bien même au vu qu'il eut une préparation pour ne pas se laisser poignarder dans le dos comme en 2013 du temps de Suzanne Reis. N’empêche qu'il y a encore en ce temps présent des soupçons envers certains administrateurs onusiens corrompus, au lieu de se mettre à l'évidence ils se rendent invisibles jusqu'à trouver une autre parade pour un nouveau assaut d'encerclement des actions de nos diplomates onusiens. Mais, c'était sans compter sur leur clairvoyance et ténacité se ressaisissant et reprenant leur air le plus fier qui ne s'affaisse jamais devant aucune tentative de déstabilisation, comme ce qu'a fait Omar Hilal à son homologue vénézuélien au Conseil de Sécurité. D'ailleurs, s'il advient que la Résolution de fin Avril 2017 du Conseil de Sécurité de l'ONU n'offre pas assez de reconnaissance au Maroc, par timidité ou de peur de s'engager pour effacer l'amertume de l'Algérie qui se dessine via l'arrogance du Polisario à Guergarate, ce serait un acte de lâcheté. Alors qu'on pensait que tous les deux sont pris de panique, tellement, l'agitation de l'année de l'un, la légèreté politicienne de l'autre, s'ajoutant à la prétendue innocence des deux par le temps passé à narguer l'ONU, auraient provoqué beaucoup d'inquiétudes dont ils crurent ne jamais les affronter. Comme ça, ne peut-on dire qu'à la sortie de la future Résolution en faveur de la tendance marocaine, le Polisario n'aura pas la force de faire bonne continuité après décryptage et mûrissement du ton, de la teneur et la perspective d'avenir qu'elle porterait annonçant sa débâcle ? Voilà pourquoi, l'on peut avancer dès à présent le Maroc en étendant ses bras devenus longs dans l'échiquier des Nations-Unies saura maintenir le pouvoir algérien et son filipendule Général Gaid Salah à distance en respect. Sinon tout au moins, il leur montrera qu'il est en capacité de les atteindre par toutes ses batteries déployées dans tous ses plans d'urgence pour le développement tous azimuts des 03 régions du Sahara marocain Dakhla-Laayoune-Guelmim, que ce soient politiques économiques et/où sécuritaires-militaires. A bon entendeur, salut !  

mercredi 12 avril 2017

LE PREMIER RAPPORT D'ANTONIO GUTTERRES SUR LE SAHARA MAROCAIN N'EST PAS UNE SORTIE D'ESTRADE, MAIS UN COUP DE SEMONCE SUBTIL POUR CALMER L'ARDEUR DE L’ALGÉRIE.

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COMME CA, NE POURRAIT-ON CONFIRMER, POUR LE POLISARIO LES ESPOIRS DE NAGUÈRE SE TRANSFORMENT AUJOURD'HUI EN SOUVENIRS DE MAUVAISE AUGURE EMPORTANT LES JOIES DÉSORMAIS MORTES DE QUELQUES GÉNÉRAUX ALGÉRIENS ?  

       L'onde de choc du premier rapport d'Antonio Gutterres sur la Sahara marocain nous apprend qu'il s'agisse d'un coup de semonce pour calmer l'ardeur de l'Algérie. Mais, attention de vouloir faire de la levée de la barrière psychologique dans ce cas précis, une satire des us et coutumes onusiennes loin de la trajectoire marocaine qui tient l'ordre et la paix dans la région. Surtout, en le comprenant comme une sortie d'estrade pour l'exigence de désengagement et aussi pour pousser au dialogue et à la négociation d'égal à égal l'Algérie et le Maroc. En tant que protagonistes directement concernés, sans en assumer le tracé des frontières marocaines au bord et au-delà desquelles aucune aventure n'est permise, même pas celle qui serait inscrite dans le suivi des résultats de la remédiation par l'intermédiaire du nouveau Envoyé Spécial dans la zone de séparation. D'ailleurs, le pouvoir algérien trop espiègle pour laisser le Polisario respecter le cessez-le-feu d'alors de 1991 en ce sens avec le Maroc, notamment à l'approche de la Résolution fin Avril 2017 du Conseil de Sécurité. Et d'où, l'ONU les sonde sur la coopération future et la décision résolutive finale après ce premier rapport d'Antonio Gutterres sur le Sahara marocain au Conesil de Sécurité. Dont, on n'en entend que commisération coté Maroc, désapprobation du Polisario en plus du malaise du pouvoir algérien et ses Généraux connaissant leurs positions et rhétoriques dans ce dossier.

       Aujourd'hui la question qui taraude les observateurs avertis, est-ce que la tendance réaliste du nouveau Secrétaire Général de l'ONU dans le traitement du dossier Sahara marocain, se dévoilera-t-elle aussi plus objective dans les pourtours des paragraphes de la Résolution du Conseil de Sécurité fin Avril 2017 ? Parce qu'à défaut qu'elle en soit à la fois le sarcophage du Polisario et le balai de l'interventionnisme du pouvoir Boutaflika et ses généraux, elle leur en laisse tout de même gout de défaite et délire de dé-confiance si ce n'est de défiance. Sachant qu'une telle victoire marocaine de l'étape face à leurs élucubrations, les hantera exclusivement par les défis nombreux et variés qui s'y grefferont qu'ils soient politiques socio-économiques culturels cultuels écologiques et sécuritaires. D'autant plus, la capture de la feuille de route que cette nouvelle tendance préconise, ne doit-elle se mettre immédiatement en réseau sous recadrage participatif de tous les protagonistes y compris du nouveau Envoyé Spécial l'ex chef d'Etat allemand s'il est confirmé ? En l'occurrence Monsieur Horst Kôhler, pour construire sa trajectoire dans la durée acceptable en faisant sauter la barrière psychologique, avec des sentiments toujours empreints d'une sorte d'admiration à la thèse marocaine. Dont, malheureusement, certains fonctionnaires onusiens dans un passé récent y avaient pris fait et cause contre, par infidélité aux principes de neutralité et impartialité colorée de corruption passive sinon carrément active. 

       En cela, l'essentiel n'est-ce comment prioriser la confirmation solide de l'offre d'autonomie marocaine 2007, en assurant son émergence via logique intégrée plus interactive et non interrogative à propos des tractations directes et pratiques que souhaite enclencher Antonio Gutterres ? Et ce, par l'obligation d'exigence des résultats traduisant l'esprit de l'approche qui se mettra en place, usant d'une autre ligne politique en phase avec la vision marocaine pour le co-développement africain qui n'a rien de diversion. Dès lors que le contexte géopolitique a changé dans ce monde fou fou fou,  comme aussi celui géostratégique explorateur des relents du premier rapport d'Antonio Gutterres sur le Sahara marocain, demandant une rationalité qui permet d'en percevoir où il compte aller relativement aux positions des USA Russie Chine UA UE ONU et CCG. Ceci étant dit, c'est ainsi au vu que les événements ne tournent pas comme il l'aurait voulu, le Polisario menace de châtier les éléments de la Minurso qui tomberaient entre ses mains en zone de séparation dont il se targue de l'avoir libérée du joug marocain. Cependant, en proférant de telles menaces et tels délires, ne se montre-t-il n'ayant ni bonne tête ni droit raison en ne voyant pas d'un bon œil la préoccupation du Secrétaire Général des Nations-Unies à ce propos ? Parce que, de fait, c'est d'une guerre d'escarmouches, d’expéditions intermittentes et de petites places qu'on prend qu'on cède et qu'on reprend dans ce genre de situation de laquelle, par ailleurs, il se prépare pour marquer sa présence. D'ailleurs, à cet égard, n'est-ce là où, humblement, Antonio Gutterres dans son rapport pour le Conseil de Sécurité, il eut reconnu au Roi du Maroc sa particulière bienveillance d'avoir ordonné le retrait sans condition des FAR (Forces Armées Royales) de Guergarate ?

       Néanmoins, dans ce rapport, n'y a -t-il une allusion au projet d'autonomie 2007, en tout cas un parti-pris de se montrer empressé avec garantie devant cette offre marocaine dans la régionalisation élargie, celle des conciliations espoirs et défis ? Au point que l'Algérie embarrassée par l'assurance du Secrétaire Général, tellement, d'une voix désormais inaudible à l'ONU elle voudrait rapporter quelques observations inutiles comme à l'accoutumée et, donc renégocier le contenu et la perspective fixant un objectif réaliste qui passe par l’intégrité territoriale du Maroc. Mais voilà, il faut le marteler, le Conseil de Sécurité apparemment n'est pas prêt à lui céder, sinon seulement en faire fi de cette demande, s'apercevant, ni les séquestrés malgré-eux ni les habitants des 03 régions Guelmim-Laayoune-Dakhla ne seraient dans le temps et l'espace jamais soumis au couple infernal Polisario-Algérie. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on voit qu'à l'ONU le temps est compté pour le Polisario, du fait qu'Antonio Gutterres est sur ses traces aventureuses à Guergarate et ailleurs sur la bande de séparation ? Qu'en effet, elles sont blessantes pour le Conseil de Sécurité et auxquelles l'Algérie n'y peut rien faire car, elle-même, elle participe au redéploiement du Polisario à Guergarate et en même temps place son doute sur front d'incompréhension sur le rapport livré par le Secrétaire Général. 

       A cet égard, de ce fait, le sait-elle que la honte lui mouille les pieds sans la ragaillardir, étant donné que ses soutiens s'acheminent à la quitter sur le carreau à coté de son rejeton, car sont en désaccord avec elle ? D'autant plus, qu'il n'est guère facile pour elle de s'incruster dans l'action paraissant homogène des membres permanents du Conseil de Sécurité à propos du Sahara marocain. Comme quoi, n'est-ce là où le raisonnement du Maroc se tient, de surcroît sans capituler comme un bleu devant toutes les jacqueries voulant le faire échouer coûte que coûte dans ses recouvrements de ses souverainetés ? Certes, le Secrétariat Général sous Ban Ki Moon ne fut pas forcément pur et sans tache dans sa tâche sur les préventions des échecs de Christopher Ross faisant le serpent qui se contorsionne pour planter ses crochets et inoculer son venin dans la structure de l'offre marocaine d'autonomie 2007. Aussi, c'est en cela, que les marocains n'attendent pas du Conseil de Sécurité une compassion mais une adhésion à leur approche paisible et harmonieuse, sans bras de fer ni trahison ni faux-pas pour éviter l'escalade militaire à Guergarate et le long des lignes-frontières du mur marocain. Ce qui profitera à la stabilité par la voie de l'influence géopolitique de la plateforme des 03 régions de son Sahara pour son rayonnement et sa dynamique économique via ses partenariats gagnants-gagnants contractés en Afrique. S'ajoutant aux pointes pour le moment inviolable de sa modélisation de ses futures projections géostratégiques en mer de chine en Amérique Centrale et du Sud au Canada et en Turquie. A bon entendeur, salut !  

dimanche 9 avril 2017

A LA SURPRISE DU POUVOIR ALGERIEN, LE NOUVEAU ENVOYÉ SPÉCIAL POUR LE SAHARA MAROCAIN N'A PAS MAUVAIS ESPRIT.

NATURELLEMENT, AVEC LA NOMINATION D'UN EX CHEF D’ÉTAT ALLEMAND EN TANT QU’ENVOYÉ SPÉCIAL D'ANTONIO GUTTERRES AU SAHARA MAROCAIN, L'ONU N'A-T-ELLE COMPRIS QUE L’ALGÉRIE LA TRAITE AVEC AIR DE CONDESCENDANCE FORT BLESSANT POUR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ ?

Maintenant pour qui sonne le glas, l'Algérie le Polisario ou les deux ? Au hasard, l'on peut dire, l'Algérie apercevant son grenier de ses opprobres anti Maroc se tarir, éprouve un peu d'agacement à l'idée de s'y trouver enfermer après la nomination de l'ex chef d'Etat allemand Horst Kôhler en tant qu'envoyé spécial au Sahara marocain. Même si, c'est vraiment le Polisario qui se voit subir un revers cuisant sur ses gesticulations, et ce à entendre les réactions et lire les partages de conneries de ses portes-flingues sur le Net et réseaux sociaux à ce propos. C'est un peu le même refrain que l'on entend, d'où l'on perçoit qu'ils sont tous les deux en colère, parce que, convaincus qu'ils vont être adossés au MV ''Mur de la Vérité'' en ne pouvant plus tricher dans leur compétition vis-à-vis du Maroc par le respect du Droit et la Légalité. Tellement, qu'aujourd'hui ils prêtent l'oreille à tout ce qui se passe à l'ONU en espérant que le nouveau envoyé spécial se hâtera à se positionner en leur faveur. A cet égard, combien même ils viennent de s'en rendre compte que ça ne passera pas, du fait que les fantômes du réalisme et pragmatisme allemand ne se rabattront sur eux.

       C'est donc fini l'époque sous l'effet du pétrole et du gaz, quand le pouvoir algérien faisait plaisir à quelques chefs d'Etats et décideurs internationaux dès lors que ça maintenait sa continuité forcée par la corruption. Et aussi fini ce temps où le Sahara marocain lui paraissait une proie facile, car, aujourd'hui, présentement, après l'offensive marocaine tous azimuts elle lui pèse de façon certaine et dont il s'étonne bizarrement de ne pouvoir se maîtriser dans ses agitations et ses danses diplomatiques. A même de se voir encore emprisonner dans ses rêveries, ne sachant que son imagination de basse besogne débordante lui laisse un grand trou dans sa mémoire, d'où l'impossibilité qu'un jour il pourrait avoir son comptoir sur l'Atlantique qui le hante plus que toute autre privation. Ne voulant définitivement savoir, le Maroc est dans la capacité d'étendre de nouvelles idées et initiatives souveraines pour donner un souffle de modernité à son offre d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie. Ce qu'évidemment prouve un nouvel état d'esprit de l'UE la Chine et la Russie, l'ayant mis en plus car connaissons son intuition transcendante et pragmatisme de hiérarchisation des priorités, dans sa consécration à l’échelle des valeurs universelles. Contrairement à l'Algérie, qui n'a de cesse que traiter l'ONU avec condescendance à même le mépris de-ci de-là, jusqu'à paraître par conséquent outrageant et offensant le Conseil de Sécurité par ses turbulences turpitudes et malveillances. Au point que, Antonio Gutterres persuadé que le retour du Maroc à l'UA par la compétence royale de la diplomatique de mobilité hors norme et sa modélisation par la matérialisation du co-développement en Afrique et partout ailleurs, invite l'Algérie à cesser ses allégations injustifiées et à intégrer sans formalité le cercle qui s'agrandit autour de lui. 

       Néanmoins, par ailleurs, n'est-ce là, où l'envoyé spécial d'origine allemande pourrait vendre des résultats concrets, en imaginant la construction d'un processus de tractations pour se mettre, lui aussi, en position de neutralité et impartialité dans le but d'affiner encore l'approche de l'offre marocaine d'autonomie ? Evidemment, aux premières livraisons de ses intentions dans l'attente de sa confirmation alors qu'il a l'appui total du Conseil de Sécurité, certainement qu'il va le faire sans scepticisme ni désinvolture parce que pour lui aucune frontière fut-elle psychologique n'est infranchissable. Sachant, qu'objectivement sanctuariser la région passe par des Etats forts dans leur lutte anti terrorisme, par le besoin de sécurité prenant en général la visibilité et non la contestation de l'offre marocaine de l'autonomie dans la régionalisation élargie. Et ce loin, non seulement de leur obsession de se partager des risques des frontières poreuses parce qu'il y a la négligence la nonchalance l'incompétence ou même la dé-confiance derrière, mais aussi pour l'instauration de la démocratie même à rythme réduit. D'autant plus, qu'aujourd'hui nombreux sont les polisariens dont la reconversion se confirme et se poursuit ayant compris qu'on les envoie tout droit face au MV, qu'heureusement ce nihilisme suicidaire dont ils souffrent est entrain d’être stoppé. Par la force convaincante de l'offre d'autonomie 2007, dont Monsieur Horst Kôhler en est certainement lucide, et par laquelle les liens tribaux déliquescents d'autrefois semblent se régénérer pour ne plus handicaper le courage politique du Maroc d'avoir présenté en 2007 son offre inégalable. Alors, même si, il va la prendre en considération de façon nette claire et contrôlable via stratégie dont on espère qu'elle soit cohérente, il y aura des difficultés et des complications par suite des évolutions statutaires qui malheureusement sont restées en suspend.    

       Tellement, et là, l'ex envoyé spécial en l'occurrence Christopher Ross le savait sans en rendre compte en ON, des individus bernés comme les familles égarées sahraouies encore en séquestration dans les camps de Tindouf et ailleurs se sont rendus à l'évidence, à même de se prendre à rêver aux possibilités que leur offre la démocratie participative qu'ils avaient auparavant dédaigné pour rejoindre dans la fierté et l'honneur la mère-patrie le Maroc. Véritable consécration de l'offensive royale sur le plan géostratégique dont il y a peu de temps ils ignoraient ou méprisaient la portée la dynamique et les relents géopolitiques qui pourraient en découler dans l'immédiat. Qu'en effet, le rôle et la détermination des habitants de l'intérieur des 03 régions Dakhla-Laayoune-Guelmim qui ont du les leur révéler par le fait normal, celui de la participation massive aux différentes élections dans la transparence la sérénité le calme et la responsabilité. Autrement dit, du coté du pouvoir Boutaflika, pour une surprise, c'en est une, et de taille ! C'est vrai, à toute fin utile, tout le monde sait que la transformation de l'image des provinces du Sud du Maroc obsède sans répit ce pouvoir qui ne cesse de changer de braquet selon son calendrier à temporalité transgressive. Bien souvent, contre la permanence de l'acuité du raisonnement et du positionnement de la communauté internationale, dont l'exigence se fait sans conteste à la gloire de l'Histoire dans le dossier du Sahara marocain. Certes, pour éviter les solutions mollassonnes, bien sûr en étant plus attentif aux conditions d’échecs de Christopher Ross qui a tout fait pour enclencher l'état de guerre, ce ne sera pas de tout repos pour son successeur pour démontrer son efficacité face à la galaxie des lobbys anti Maroc sans raison.    

       En revanche, il faut le rappeler sans gêne, bientôt que l'Algérie l'accepte ou pas, avec le nouveau Secrétaire Général de l'ONU son envoyé spécial fraîchement désigné et le Conseil de Sécurité par sa futur Résolution fin Avril 2017, le Maroc sera hors d'atteinte géo-politiquement parlant. Alors, que ceux des Etats-Ennemis ayant voulu lui porter le coup de grâce, n'est-ce pas qu'ils en seront à leurs frais et donc par désintéressement à leurs gesticulations ils iront rejoindre le groupes des pestiférés et bannis des arcanes de l'ONU ? Même si, c'est fait sous-couvert de théâtralité de soi-disant de Comités révolutionnaires d'un temps révolu à en juger par certains slogans trompeurs, qui sont en fait à mi-chemin entre le culte de la personnalité de Brahim Ghali et celui de l'apologie de la terreur non seulement contre le Maroc mais pour l'entrée des enfers pour la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. D'ailleurs, il suffit d'en scruter les indices de l'idéologie d'antan au nom de laquelle les égarés dans les camps de Lahmada au Sud algérien auraient été bernés, pour savoir qu'aujourd'hui c'est l'islamisme politique jihadiste daechiste et aqmiste qui a pris la relève pour les fixer malgré-eux. Et, donc, prévoir à en prendre acte pour ne pas tergiverser et rapidement mettre un plan dans le cadre du projet raisonnable de refroidissement de la zone, celui de l'application de l'autonomie dans la régionalisation mise en oeuvre par le Maroc. N'est-ce l'enjeu en vaut une solution saine et responsable pointant potentiellement la stratégie dynamisante de l'influence de l'Afrique que prône active et réalise le Roi du Maroc ? Et ce, sans et loin de rester dans l'usure des visions mesures et montages socio-économiques écologiques et sécuritaires de courte vue, afin de pousser à démentir la logique tonitruante des ennemis et conséquemment forcer le destin de l'Afrique encore fragile sinon métastable. Pour cela, ne faut-il avoir l’honnêteté de regarder le pragmatisme habile et expansif d'Antonio Gutterres pour l'adresse de l'UA dans le cas du Sahara marocain, comme une projection futuriste via réalisme allemand par rapport aux idées et non aux effets irrationnels menés par le Polisario dont ne s'en cachent pas les médias algériens ? A bon suiveur, bon décryptage !

jeudi 6 avril 2017

SAVOIR RESTER ZEN A L'ONU QUOI QU'IL ARRIVE FACE AUX AGACERIES RITUELLES DES ENNEMIS, N'EST-CE LA DEVISE DU NOUVEAU MAROC STRATÈGE ET IMAGINATIF ?

DANS LE DOSSIER DU SAHARA MAROCAIN APRES LA FORMATION DU GOUVERNEMENT DE L'ENTENTE-MÉSENTENTE, EST-CE VRAIMENT FINI LE TEMPS DES TRACASSERIES AU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L'ONU SANS VIOLATION DU DROIT, EN PLUS DES DOUCHES TANTÔT FROIDES TANTÔT CHAUDES AU CONSEIL DE SÉCURITÉ COMME PAR LE PASSÉ RÉCENT  AVEC OBAMA A LA MAISON BLANCHE ?

       Quel dommage, quelle déception et quelle perte de temps par l'ONU dans le traitement du dossier du Sahara marocain depuis 1975 ! Voilà ce que l'on peut dire à propos du déroulé du fil événementiel de cet imbroglio préfabriqué par l'Algérie pour en arriver à la situation actuelle, surtout après l’époque Ban Ki Moon influencé par Christopher Ross et dirigé du DEA avec Kerry-Reis-Power. Pourtant, pour les Nations-Unies le gouvernement du Maroc dans sa lutte sans merci contre le terrorisme pléthorique, est le seul pole sérieux qui propose une intégration réussie dans la régionalisation viable prometteuse et porteuse d'avenir. Et qui est déjà en marche, à laquelle le Conseil de Sécurité n'a d'alternative que d'y faire confiance pour éviter l'endormissement et l'enlisement par le retour au statu quo qui n'a que trop duré. De fait, à ce titre, le gouvernement Othmani avec Nasser Bourita aux affaires étrangères et la coopération internationale aidé de deux Secrétaires d'Etats Mounia Boucetta et Abdelkrim Benatiq, ne doit-il suivre la dynamique offensive tous azimuts enclenchée et accélérée directement sous l'égide et la bienveillance du Roi Mohamed VI ? Par une vraie politique de mobilité dont, toute la fabrication de sa légende diplomatique du temps présent ait fait du Maroc le pays géo-stratège froid performant et fécond en initiatives de hautes valeurs ajoutées pour le co-développement et le maintien de la paix en Afrique. 

       Aussi, il faut le dire, depuis l'arrivée d'Antonio Gutterres le 01 Janvier 2017 les observateurs les plus aguerris non corrompus, n'en perçoivent pour le moment au sein du Secrétariat Général aucune inertie rythmée inconnue, si ce n'est quelques fausses notes induites délibérément par des personnes malintentionnées. Non comme par le passé récent via un ciblage menaçant de l'intégrité territoriale, qui eut plongé la problématique du Sahara marocain en décélération-accélération à l'ONU selon des rythmes incompréhensibles non circonstanciés et donc condamnables. N'ayant évidemment pas abouti à aucune progression pour humainement géo-politiquement et stratégiquement combler les aspirations de retour à la mère-patrie le Maroc des séquestrés marocains dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs dans le Sud algérien. C'à quoi, combien le mieux pour le Maroc sans violation du Droit international c'est de ne se résigner, quoi qu'il arrive ! A même de se demander aujourd'hui, si c'est la non compréhension des données politiques qui ont pu mettre le traitement de son Sahara en faillite ou la manière dont Ban Ki Moon a pratiqué son interventionnisme désolant. Et ce, par rapport à la neutralité l'impartialité et l’indépendance des projets des Résolutions et leurs retombées sur les décisions résolutives du Conseil de Sécurité à la fin du mois d'Avril de chaque année depuis 2007. Autrement dit, aujourd'hui, ce ne sont pas des pays comme l'Algérie le Venezuela l’Uruguay et d'autres peu nombreux mais bien envahis de lobbys anti Maroc qui choisiront le cap de la Résolution attendue fin Avril 2017. Particulièrement, vis-à-vis de sa marche exutoire sa célérité exécutive et sa temporalité proactive d'initiatives ne s'y afférant pas à l'intention positiviste du Secrétaire Général. N'est-ce, en cela, c'est ce qui renvoie à la magnifique lecture de soutien de l'Ambassadrice Nikki Haley représentante permanent de l'équipe Trump à l'ONU qui préside le Conseil de Sécurité ce mois-ci, à l'effort du Maroc pour éviter l'escalade et maintenir les conditions de la paix à Guergarate ? Notamment, par rapport à la tendance actuelle des USA sans filouterie ni malveillance, à la reconnaissance du sérieux de la thèse d'offre d'autonomie 2007 marocaine dans la régionalisation élargie. Et ce, conséquemment par l’interprétation pragmatique de la question du Sahara marocain, à la fois vis-à-vis de l'infra-communication de la part du Maroc et des livraisons voire diffusion de contrevérités du coté des ennemis

      D'ailleurs, pour faire face, primo au renouvellement du concept global du refus de ces pays pour qu'ils ne doutent plus des chants du mépris des marocains patriotes à leur égard, ils doivent s'attendre à la projection d'une ombre de rejet envers leur agacerie-animosité par la Résolution prochaine fin Avril 2017. Secundo à leurs dénis des réalités sur le terrain d'où la chamaillerie s'élargit entre eux, ils doivent aussi savoir qu'aucune lumière ne brillera dans leur approche tendancieuse dans les Instances onusiennes. Dont les diplomates marocains à plusieurs reprises en ont montré qu'ils n'en veulent être placés en spectateurs, s'additionnant à l'indéfectible positionnement de soutien de la France l'Espagne CCG Inde Japon Canada. Conjugué de surcroît à celui évolutif pro Maroc de la Chine l'UA l'UE et pays de l'Amérique Centrale et du Sud avec en plus l'intention de la Russie ayant fait virer sa cuti comme un mauvais sort jeté dernièrement au Polisario. En clair, il y a une volonté onusienne perceptible qui s'imposera entre leurs désirs et leurs actes, si tant est qu'ils en auront, qui les invitera à la capitulation sans condition. Et donc, d'où soudain leur sournoiserie s'immobilisera et aucun automatisme idéologique d'entraide entre eux comme d'antan, ne suffira à désordonner la rupture du Conseil de Sécurité qui s'annonce en construction contre leur manière de penser à maintenir en vie le chimérique Polisario. Sans être capable de faire la différence entre l'habitude de parler sans frein en contradiction avec la charte des Nations-Unies et celle d'argumenter pour agir comme ce que fait la diplomatie marocaine à New York Genève Bruxelles et Addis-Abeba. Dont l'objectif, c'est de mettre fin aux agaceries rituelles politiciennes, qu'au demeurant longtemps passaient comme un clivage trans-politique en matière de la façon de vouloir conduire l'avenir de la région MENA-Sahel subsaharienne africaine.     

       Néanmoins, n'est-ce pour cela Antonio Gutterres en tant que Secrétaire Général des Nations-Unies n'a-t-il juré d'agir en défenseur de la légalité loin des clichés des intérêts des usurpateurs et manipulateurs qui lui rodent autour ? D'autant plus qu'à ce jour, on ne peut pas dire qu'il n'ait pas tenu parole que ce soit dans les interventions d'urgence ou de secours pour la sécurité se mettant à l'oeuvre en fonçant comme une locomotive dans le respect de l'esprit de la charte de l'ONU. Même si, une atmosphère de peur de circonspection et de désolation a pesé comme un quadrillage anti Maroc, parce que, des échanges informatifs pernicieux sur le Net à propos de son rapport pour le Conseil de Sécurité ont pris une importance considérable de parasitage divulgué de tricheurs et tireurs de ficelles comme un raz de marrée pour le torpiller. Comme quoi, lui aussi, n’échappe pas à cette manie des perturbateurs de sérénité des débats au sein de l'ONU, mentant ici exacerbant là car croyant ainsi maintenir leur pression sur lui pour ne pas perdre leur avantage d'alors l'ayant vécu durant les deux derniers mandats successifs de Ban Ki Moon. De toute façon, comme tout un chacun l'aurait remarqué, la quête de l'information vérifiée tient une grande place dans la vie des marocains et, ce n'est pas cette façon d'essayer de les manipuler en les bombardant de mensonges et contrevérités à l'issue de chaque huis clos au Secrétariat Général qui les perturberait. 

       A cet égard, ces manipulateurs, s'ils ne se ressaisissent pas ils risqueraient d'aller à la rencontre de leurs soutiens d'avant en l'occurrence l'équipe Obama le pouvoir algérien Christopher Ross et ses lobbys, au poste de garde de leurs rêveries anti Maroc en entendant cette fois-ci les cris et hurlements les vilipendant grandeur nature. En définitive, la vérité personne ne peut l'ignorer, c'est que ni ces manipulateurs ni les pays foncièrement fanatiquement anti Maroc n'auront les leviers de commande au sein du Conseil de Sécurité. Une démarche dont ils en rêvent d'avoir d'instinct les mêmes besoins d'accompagnement de la bascule de leurs tricheries de dénaturation de l'Histoire du Maroc, en se mettant en avant dans le même état d'esprit du DEA et la Fondation Kennedy. Aussi, pour Antonio Gutterres lorsqu'on occupe un tel poste pour conduire la destinée du monde, selon une feuille de route infaillible, n'est-ce pas qu'il sait quels événements peuvent, du jour au lendemain, faire basculer le destin d'une région dans l'horreur de la guerre ? Au sens où, pour sa part, il faut donner de soi pour recevoir à son tour du soutien et de la reconnaissance, parce que malheur à qui reçoit et ne rend pas ! N'est-ce en cela, on le voit déjà accroître sa capacité d'échanger pour dépasser la crise de la région Guergarate pour ce qui concerne le dossier du Sahara marocain, en se découvrant les dangers de la charge non pas tellement pour l’immédiat mais pour demain et après demain ? A bon suiveur, bon décryptage !

samedi 1 avril 2017

APRES L'EPISODE GARGARATE, L'ONU AVEC ANTONIO GUTTERRES N'A PLUS LE DROIT DE S'ESQUIVER COMME DANS LE PASSÉ SOUS BAN KI MOON ?

EN TOUT CAS DANS L'AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN DONT NOS DIPLOMATES ONT FAIT PREUVE DE COMPÉTENCE A UN MOIS DE L'EMISSION DE LA RÉSOLUTION DE FIN AVRIL 2017, EST-CE QUE LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU NE DOIT-IL S'IMPOSER A LUI-MÊME DE NE PLUS S'ESQUIVER ? 

       Aujourd'hui, même si ça paraît factuel, pour le Conseil de Sécurité de l'ONU le besoin d'un système de référence et de repères s'impose à lui afin de se resituer dans l'affaire du Sahara marocain. D'autant plus, n'est-ce ainsi qu'il se fera l'honneur de croire en la thèse marocaine pour ne plus être dans le désir du temps de Ban Ki Moon qui, lui, s’étant malheureusement pendant dix ans raccroché au mauvais présage et à l'illusion de regain de tension ? Dont on sait maintenant, que l'apocalypse à laquelle l'Algérie s'y réfère après son départ, n'est que le sous-entendement avec les lobbys anti Maroc à l'ONU à l'UE et à l'UA pour refuser l'offre d'autonomie 2007 et essayer de freiner l'essor tout azimut des provinces du Sud dans la régionalisation avancée. Evidemment, à cet effet, pour certains membres au Polisario très nombreux, comme le Secrétaire Général des Nations-Unies ils ne détestent pas eux aussi le Maroc ni son offre, mais seulement appréhendent le temps encore long qui mènera à une Résolution définitive viable du Conseil de Sécurité de l'ONU. En clair, n'est-ce en ce sens qu'il ne faut pas dormir sur les lauriers, voire même pas de se détendre ou lâcher prise diplomatique au moins jusqu'à constater les prémices d'une victoire se dessiner aussi bien dans le temps que dans l'espace ? Parce qu'on n'est pas à l'abri d'une aberration consentie par les ennemis à des fins politiques inacceptables, en la matière quant à l'évolution de la situation au Conseil de Sécurité à New York. Et ce, même si, le Secrétaire Général est au parfum de la temporalité de l'équilibre géopolitique qui se joue après l'arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche. Dont tous les deux sont inquiets de la rhétorique installée par l'Algérie, sans oublier le sort réservé au contrôle de la stabilité de toute la région, alors qu'ils sont maintenant au courant des recoins-nœuds de la traçabilité onusienne de ce dossier depuis 1975.

       Effectivement, sûrement, Antonio Gutterres n'est pas dupe pour qu'en général il soit moins efficace dans ce dossier que son prédécesseur. En remettant les choses dans l'ordre surtout après l'épisode de Guergarate, dont il n'ignore rien du danger de la manipulation des services de renseignement algériens. D'ailleurs les évocations des hécatombes ici et là tout au long des frontières Maroc-Algérie que prépare le manitou Gaid Salah, ne rentrent-elles aussi dans sa stratégie machiavélique des contre-offensives pour mettre aussi en souffrance préélectorale présidentielle les politiques inconditionnels placés sous domination du cartel de Ksar Lamradia avec à sa tête Said Boutaflika frère du président absent et Athmane Tartag alias Bachir patron des renseignements ? Ce qui montre que le pouvoir Boutaflika va exploser tôt ou tard, du fait des intransigeances de certains Généraux envers le Maroc pour affaire les concernant, des raideurs des services de renseignements civils et militaires à l'encontre des voisins Tunisie Libye Niger Mali et Mauritanie. S'ajoutant à de la mauvaise conscience des politiques vis-à-vis du peuple algérien lui-même, qu'au demeurant, toutes les attitudes de ce pouvoir sont devenues par la force du temps ses propres infirmités qui ne le protègent plus des critiques acerbes. Semblant, de facto, le facteur perturbateur de la complaisance des pays tireurs de ficelles, c'à quoi, à l'ONU ils passent pour des gens qui n'arrivent à supplanter leur angoisse par manque de perspective politique essentielle pour faire la part des choses et ne rester dans leurs dénis controversés. 

       Forcément, il est vrai qu'avec le feuilleton Guergarate, l'ONU sous Antonio Guetterres n'a plus le droit de s'esquiver comme du temps de Ban Ki Moon. Alors même que certains Généraux algériens sous les arcades de l'Etat-Major à Alger, ils ombragent leur regard vis-à-vis du voisin de l'Ouest d'une ondulation permanente agressive, peut-être annonçant l'omnipotence de l’éminence d'une escalade guerrière. En cela, y a pas là de quoi avoir besoin de s'attendrir coté marocain, mais seulement multiplier la vigilance et rester aux aguets voire sur le qui-vive. Cependant, il ne faut pas se leurrer, ils ne verront pas leur objectif se réaliser ni de sitôt ni dans le temps, car s'attendant de la part du Conseil de Sécurité de l'ONU à des mesures concrètes en faveur du Maroc entre les tendances d'apaisement actuelles qui se profilent contre leur projet de déstabilisation. Et, dont, l'on peut dire qu'Antonio Gutterres est intelligent pour savoir comment trancher dans son rapport pour le Conseil de Sécurité fin Avril 2017, selon la manière que les diplomates à l'ONU commencent à en savoir la portée des mots qui sortent de sa bouche sur plein de dossiers en suspend. Sans toutefois en négliger qu'il s'agisse de son confort moral fondé sur une clairvoyance au sens infaillible, sachant que la fréquentation excessive des mercenaires barbouzes et apprentis-terroristes par Gaid Salah ne fait que tirer l'Algérie en arrière dans le concert mondial. 

       D'ailleurs, à cause de cela le pouvoir algérien ne s'interdisant rien pour diluer la menace en interne, est de fait impuissant pour aller jusqu'à l'affrontement contre le Maroc via le Polisario. Et, d'où cette entité fantoche, si elle se résigne à cette médiocrité pour se prouver qu'elle est encore vivante, elle ne récoltera que les conséquences dramatiques du comportement de l'équipe Gaid Salah qui triche biaise et ruse dans le bon voisinage non seulement face au Maroc. A même de croire, notamment, que du coté des FAR (Forces Armées Royales) si l'on exige pas directement d'elle de rester dans ses limites, c'est que la riposte ne viendrait jamais. Et bien, voilà ce qui montre que ce Général zélé et ses fidèles n'ont retenu aucune leçon du passé, dont le Maroc au vu des coups bas itératifs qu'il ait subi et supporté il en a entrepris un enseignement de ne se laisser ni brusquer ni malmené. N'est-ce là le vrai sens de sa légitimité de représailles construites à sang froid dans le cadre légal du droit de poursuite, selon le déroulé de son approche réaliste dans son Sahara pour mettre fin à leurs songes de pratique de la terre brûlée ? Et ce, par rapport aux perspectives des événements géopolitiques et géostratégiques qu'il eut enclenché et amorcé avec un doigté diplomatique sans pareil, pour éventuellement parer à toutes les attaques par les temps qui courent. De fait, en l'occurrence, on ne peut pas concevoir qu'Antonio Gutterres n'ait pas mis ces remarques au cœur de son rapport sur la situation à Guergarate, dont il essaye objectivement impartialement d'instaurer un climat apaisant en insistant sur le retrait du Polisario.

       A l'évidence, les diplomates comme les observateurs onusiens d'où émanent de brèves confidences à propos de cet imbroglio, savent par les câbles échangés via la Minurso en parallèle à la surveillance satellitaire et par les drones producteurs de renseignement-minute qu'il s'agisse d'une région à haut risque de déflagration pouvant être imprévue et dévastatrice. A ce titre le Secrétaire Général des Nations-Unies n'a pas besoin d'autres témoins pour faire sortir le Conseil de Sécurité d'une complaisance inexpliquée, voire de sa discrétion en plus jusqu'à ce jour sans réticence visible à l'orchestration de soufflerie du chaud et du froid par le pouvoir algérien sur toute la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Néanmoins, que doit-il répondre à tout cela le Conseil de Sécurité dans sa prochaine Résolution fin Avril 2017, si ce n'est, simplement ne pas lui chercher des excuses ni alibis ni prétextes dès lors qu'il n'a fait que pétrir une chimère jusqu'à ne s'en rendre compte qu'elle soit sa caricature à l'international ? Tellement, par son inconstance face à la réalité sur le terrain, ce pouvoir aux abois ne veut pas comprendre une fois pour toutes, que nul ne peut tromper le Maroc sur son Histoire qui est la condition essence de son existence. Surtout, partant de sa stratégie payante qu'il ait été resté loin de la somme d'avanies que tenait le maître-chanteur Christopher Ross pour le clouer au pilori, dont l'on soupçonne, à raison, que les instructions émanaient du DEA sous Kerry-Reis-Power à l'époque Obama. A bon suiveur, bon décryptage !