samedi 29 juillet 2017

QUE POURRAIT-ON MONTRER D'AUTRE DU DISCOURS ROYAL OU A PLANÉ CE QUE L'ON ATTENDAIT A ENTENDRE ET A VOIR ?

ENFIN, AVEC LE DISCOURS ROYAL C'EST LA FOI EN L'AVENIR LOIN DU RAZ DE MARÉE D'INFORMATIONS TERRIFIANTES DIFFUSÉES PAR LES ENNEMIS EN INTERNE ET EN EXTERNE SUR LE MAROC !

       Le bonheur des marocains après le communiqué du cabinet royal sur le moment de la diffusion du discours, c'est d'avoir regardé le Roi ce soir du 29 Juillet 2017 faire le discours de Aid Al Aarch. Et, du coup en déceler, primo peut-etre la fin du raz de marée des soubresauts du fait de la grâce royale à certains détenus condamnés pour délits mineurs en marge du Hirak d'Al Hoceima, et secundo l'angoisse chez les décideurs ne se sentant plus à l'aise dans le moule de l’État après la colère du Roi au dernier Conseil des ministres du 25 Juin 2017. Et, dont le résultat des investigations aura certainement à leur faire remarquer qu'ils avaient tort d'oublier l'impatience des habitants du Rif, et ce, en prenant gout dans un aveuglement systématique de se croire investi sans rendre un jour des comptes...D'ailleurs, par ce discours, ne s'agit-il là, du regard royal perçant persuasif sur l'horizon politique gratifiant par ses lignes sociales économiques écologiques diplomatiques et sécuritaires ? D'où, l'on comprend par une analyse à chaud qu'il va rester dans les annales, celui, où l'on a noté la différence d'entendre vraiment ce qu'est le Maroc aujourd'hui, malgré ses ressources assez limitées. En plus, ce que sont devenus les partis politiques de par leurs guéguerres politiciennes les uns vis-à-vis des autres, n'ayant abouti qu'à la mauvaise gouvernance sans aucune responsabilisation dans leur façon de faire la politique. Tellement, ce discours comporte la teneur au ton juste sur l'image prospective ou plane ce que l'on attendait à entendre et à voir pour assurer une continuité efficace pour l'investissement avec équité dans toutes les régions du Maroc. Ce qu'en effet a rendu, de fait, audibles les non-dits et les sous-entendements de la charge émotionnelle sur les manquements enregistrés à propos du programme Al Hoceima le Phare de la Méditerranée ''Manarate Al Moutawassite''. 

       D'autant plus, c'est un discours qui répond par les mots justes aux grandes questions sur l'IDH (Indice de Développement Humain) du temps présent dans ce monde tumultueux, notamment, dans les segments sociaux comme la santé l'habitat le chômage l’éducation et l'administration. Dont le Roi Mohamed VI en a réitéré que c'est une ligne rouge à ne plus tolérer d'où, conséquemment, si les décideurs n’arrêtent pas leurs désinvoltures, ils auront à subir leurs propres tristesses que la force du temps judiciaire leur imposera. Néanmoins, et c'est là ou le bât blesse, combien de fois Sa Majesté le Roi Mohamed VI en a fait référence aux manquements des responsables gouvernementaux pour qu'ils ne baissent de réactivité vis-à-vis des doléances des populations en les laissant devenir, par conséquent, une proie facile devant la mécanique partisane stérile. Qu'en plus, au final, ils en espèrent toujours recevoir salut plein de respect qui en dit long sur leur tartufferie, car ne croyant aucunement à la force d'analyse avec brio que montre le discours même les ayant tançés dans les moindres de leurs gestes et comportements inacceptables. N'est-ce, par ailleurs ce qui par ricochet donne la puissance-expertise à ce discours à propos de la stratégie de décryptage par anticipation du Roi comme quoi est arrivé le temps d'effectivité de l'Article 1 de la constitution au service du citoyen ? Et que ceux, qui vivent des privilèges de la fonction qu'elle soit politique ou administrative, doivent savoir que le temps du carriérisme est fini. Surtout s'ils ne montrent plus ambition de tracter le pays en avant, et ce, même s'ils n'ont pas honte d’être montrés du doigt à chacune de leur apparition devant les citoyens.

       Et oui, c'est ça la vraie définition de ce discours usant de la subtilité du mot du verbe et de la phrase, que par ailleurs l'on découvre lorsque l'on en scrute ses dimensions politiques faisant du Roi du Maroc l'architecte des grandes œuvres dans la paix la cordialité et la sécurité.  Sans, bien sur, oublier le coté diplomatique sur la cause nationale par le retour triomphal à l'UA, l’intégration presque actée à la CEDEAO, la place qu'il a dans la rythmique de lutte antiterroriste du G5+5 et l’échange du renseignement avec G5 Sahel, la diplomatie de l'encouragement responsabilisé pour le codéveloppement avec toute l'Afrique par les partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal et surtout la participation des FAR (Forces Armées Royales) dans le maintien de la paix sous coiffe onusienne partout comme en Centrafrique dont le Maroc en paye un tribu lourd en perte de ses soldats. Alors, ne faut-il le marteler, il n'y a nullement de doute comme quoi l’État-Maroc fort de ses services d'ordre et sécurité est attentif à ce qui se passe sur tout le territoire comme aussi tout autour de lui ? Confirmant qu'il n'est pas prêt à se faire bercer par le silence quasi absolu de l'élite de la rente venant de l'étranger. Ni se laisser berner par les affabulateurs qui invitent à combler les manquements en gouvernance à Al Hoceima et ailleurs, en appelant à la violence l'anarchie et la déstabilisation. D'ailleurs, ne peut-on reprocher à quelques uns parmi-eux, leurs fréquentations peu avouables des milieux qui prônent leur soit-disant suprématie par l'usage de la dialectique diabolique du verbe, parfois, en boder-line avec  les mouvances et milices paramilitaires ? D'où, l'on entendait que mensonges et contrevérités dont, on ne peut ne pas remarquer la similitude avec le spectre des péripéties du temps de ce que l'on appelait printemps marocain arabo-amazigh. Même si, au-delà des annonces faites au moment du discours mémorable du 09 Mars 2011 qui avaient apporté la sérénité et tranquillité sociale, celles du temps présent émanant de celui du 29 Juillet 2017 sont encore plus fortes avec des clés de mise en lumière de l'avenir prometteur du pays dans l'optimisme le plus absolu. Au sens que, désormais, ça représente quelque chose de fort dans l'histoire du Maroc, de ce que les marocains portent en eux comme volonté et détermination de réussir le défi selon le calendrier de la feuille de route royale, parce qu'ils n'ont plus confiance au partis politiques.

       Alors, après avoir scruté chaque paragraphe de ce discours de grande portée historique dans toutes ses projections en perspective normative de l'action, voila les marocains sont maintenant rassurés sur les lignes transformatrices de la vision future. Cependant, pour être plus clair, il ne s'agit pas simplement d'un décryptage technique relatif à la structure du discours, mais bien d'une analyse de la dimension de rationalisation administrative profonde propre au fonctionnement de l’État-Maroc qui veut se projeter dans le tableau onusien de l’émergence. Car, c'est vrai, tout le monde aura vu le Roi en tant que chef d’État déterminé ayant les yeux rivés sur l'ascension économique et sociale de son pays, tout en restant vigilant sur l'anxiété à propos de l'état d'insécurité croissant dans lequel est plongée la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Ce qu'au demeurant offre une chance inouïe à tous les marocains, à s'élever dans l'extrapolation de leur futur sur le parcours de leurs engagements au-delà des concepts de l'observance initiatique du temps passé. Et il est possible d'aller beaucoup plus loin, pour comprendre la dynamique de ce discours dans son volet de la demande implicite de transformation intérieure recouvrant le partage et la générosité. Dès lors que, parfois, la transformation n'est pas uniquement un processus physique matériel, il est également sociétal immatériel reliant le désir de vivre l'avenir en paix, sans avoir peur des changements qu'ils soient sociaux économiques et/où politiques. A cet égard, ne peut-on dire que c'est donc fini le rôle des promeneurs institutionnels, pour mettre fin à leur intrigue de se cacher derrière l’institution royale alors que ce sont des incompétents qui mordent aujourd'hui des mains qu'ils léchaient hier ? A bon entendeurs, salut ! 

jeudi 27 juillet 2017

C'EST CLAIR, LE MAROC EST MEILLEUR EN REACTIVITÉ QUAND IL EST INJUSTEMENT PIQUÉ AU VIF OU MALMENÉ !

N'EST-CE PARCE QUE C'EST UN PAYS QUI SANS JAMAIS RENIER SON IDENTITÉ A TOUJOURS SU RELEVER LES  DÉFIS SUCCESSIFS DE SON HISTOIRE POLITIQUE, ET IL VA ENCORE LE PROUVER APRÈS LE DISCOURS ROYAL DE AID AL AARCH 30 JUILLET 2017 ?

         L'Histoire politique des soupçons et collusions sur le Hirak d'Al Hoceima ne brasse-t-elle idées et souvenirs, dont les interpénétrations interrogent sur le destin de certains décideurs après le discours du 30 Juillet 2017. De ce fait, le plus important aujourd'hui, même étant malmené par les affabulateurs de ce Hirak, c'est que l'Etat-Maroc soit resté Zen droit dans ses bottes. En attendant le déclenchement de la grande lessiveuse après la célébration de 18 ans de règne avec de grandes réalisations et en même temps des résistances aux coups bas. Ainsi, en faisant la part des choses, c'est en allant à la recherche du motif de la méchanceté encore enfouie chez ces affabulateurs, que les observateurs-investigateurs reconnurent dans les regards des habitants du Rif l'existence d'une amertume sur le pourquoi certains décideurs ne les aiment pas. Alors que le Roi, Lui, depuis le début de son règne avait choisi d'effacer ce désagrément que les rifains sentaient des années durant vis-à-vis de l'Etat-Maroc. D'abord par ses visites nombreuses et ses vacances d'été passées captant leur attention, puis par ses discours d'Al Hoceima annonçant de grandes décisions d'une manière trop spécifique. De fait, conséquemment, on a peine à croire que l'expression du vote des législatives du 07 Octobre 2016 à Al Hoceima et région, ait pu débouché à la catastrophe sociétale actuelle dans le Rif. C'est-à dire, le rapprochement pratique à l'opposition pour se débarrasser des tourments de la religiosité logorrhéiques discourantes pjdistes, en plus d'autres comportements saprophytiques de certains petits partis. Comme ça, l'on peut dire, dès le début du Hirak il y a 9 mois, le ver était dans le fruit !

       D'ailleurs, n'est-ce vrai que les frustrations font partie de la politique par manque, de moyens, de clairvoyance ou de fatigue nerveuse par suite des vues par le bout de la lorgnette à double foyers. Au point qu'à ce propos, n'est-il maintenant clair que certains membres du gouvernement précédent, peu nombreux heureusement, ont facilité et préparé la présente situation sociétale que vit le Rif. Pas seulement par les principes rancuniers et mesquins qu'ils avaient à toutes fins imposer aux habitants d'Al Hoceima et de sa ruralité profonde. Mais aussi, qu'on ne le veuille ou pas, pour faire naitre l'envie qu'on puisse les mettre au parfum sur les grandes décisions en brandissant leurs bâtons de nuisance. Tellement, ils étaient à la dévotion du chef de gouvernement par habitude, en paraissant subjugués devant lui, d'où leur refus d'accepter l'attachement électoral des habitants montré à l'opposition dans presque toutes les contrées du Rif. A cet effet, en se remémorant tout cela, c'est terrible de penser qu'il y eut chez eux, un processus à l'origine de cette tension sociale devenue sociétale où ils s'obstinaient à cacher la poussière sous les tapis et prétendre que tout allait bien. Évidemment, l'essentiel réside à montrer pourquoi alors qu'ils sont aujourd'hui mal à l'aise, ils adoptent une allure informe à tel point qu'on ne sait à qui ni à quoi ils ressemblent du fait qu'ils ne communiquent pas ? Donc, ne faut-il le répéter, pour mieux comprendre le pourquoi de cette ouverture de ce bal d’inconsidérément de leur part à l'encontre des doléances des populations surtout rifaines ? 

       A l'évidence, lorsque le corps électoral en province d'Al Hoceima s'est mis dans les bras du PAM (Parti d'Authenticité et Modernité), on pensait que c'est un vote duquel ils lui ont remis uniquement les clés de gouvernance locale et régionale, dans l'espoir de les faire accéder à la modernité. Sauf que, ce vœu tant voulu qu'il soit concrétisé, ait pris des proportions dangereuses du fait de l'irresponsabilité de ces décideurs empêtrés dans la fascination politicienne du mépris pour ne pas dire du mal vis-à-vis de ce parti. A même d'aller jusqu'à la rendre presque d'utilité publique contre les vœux des habitants et, conséquemment, contre les intérêts de stabilité politique de leur propre pays. D'où l'on a vu qu'ils couraient vers la médiocrité, en plus, le faisant seulement pour quelques jouissances dans ce jeu de revanche purement électoraliste, sans savoir qu'il y a risque de ne continuer à figurer dans la formation gouvernementale suivante. D'autant plus, le moins que l'on puisse dire c'est que le chef du gouvernement sortant, une fois reconduit n'était guère pressé à former sa nouvelle majorité. Dès lors que la rétrospective de ce calamiteux manège oblige à une constatation de faits de négligence et d'irresponsabilité de sa part. Effectivement, n'est-ce parce qu'il avait le gout des intrigues et des passions qui le portaient vers des partis en souvenir de l'unique raison d'instaurer ensemble, le cas échéant, une monarchie parlementaire pour la mettre sous conditionnement des frères musulmans trônant au Qatar ?  Comme ça, avec le discours royal tant attendu, enfin le Maroc saura trouver la force de sévir au nom de la raison d’État pour ceux-là mêmes qui l'ont conduit à cet enfer de se voir injustement piquer dans le vif et être malmené en interne et en externe par des affabulateurs.

       Et pourtant, pendant tout ce temps Sa Majesté le Roi Mohamed VI se mobilise et continue sa marche diplomatique sans relâches en Afrique. Dont la presse africaine publie toujours à ce jour ses schémas visionnaires pour la mettre en confiance avec les précautions d'usage sans désarmer. Mais sitôt rentré, n'a-t-il remis de l'ordre en le débarquant et nommant un autre chef de gouvernement dans l'esprit de la constitution du 01 Juillet 2011. Aussi, maintenant, ce qu'il faut qu'ils retiennent tous, c'est l'envie de l’État-Maroc à vivre pleinement sa destinée, sachant que Grace à Dieu il s'en sortira du Hirak actuel par le haut. Sans céder aux interférences extrinsèques par les différentes expressions d'appel et demande de justice sociale dans toutes les régions. En cela, ne faut-il aller à d'autres alternatives qu'après tout la constitution le permet, pour que le Maroc trouve le ressort nécessaire de ne plus revivre la perte de temps ? Afin de continuer à bâtir son projet social économique industriel solide et ambitieux dans tous ses volets structurants de haute technicité en aéronautique automobile énergies renouvelables agroalimentaire les mines le numérique et autres. En quelque sorte, pourquoi pas un gouvernement d'union nationale, où la société civile, la vraie, prendrait toute sa part, bien sur d'une façon sereine. Tranquillement sans se perdre dans la recherche de faire luire l'image de tel ou tel parti politique, ni par les mots attentionnés ni par  les compositions douilletterie frôlant le narcissisme exacerbé. Sans omettre la montée en puissance par l'abordage d'abord des besoins réels d'information et d'orientation sur la formation professionnelle pour y apporter les réponses adéquates au chômage structurel. Puis, en se reportant avec hauteur de vue sur la trajectoire de l'amélioration de la coopération dans le but de traiter le terrorisme la migration et le codéveloppement. A bon entendeur, salut !

mardi 25 juillet 2017

BIENTOT LA FIN DU JEU POLITICIEN OUVERT SUR L'INCONNU ET LE HASARD, SURTOUT APRES LE DISCOURS ROYAL D'AID AL ARCH 2017.

SUREMENT, N'EST-CE APRÈS CE DISCOURS ROYAL TANT ATTENDU QUE TOUT LE MONDE S'EN APERCEVRA QUE LES ILLUSIONNISTES STRATÈGES DU MAL AFFICHERONT LEUR MINE DES MAUVAIS MOMENTS ?

       Dans la passion effrénée des ennemis du Maroc de détruire ce qu'il a construit, c'est surtout le désir déconcertant qu'ont les illusionnistes en interne de contrôler et manipuler les petites gens qui inquiète résolument. Et ce n'est un mystère pour personne d'affirmer que c'est une énorme machination ayant commencé depuis 2013 qui continue à planer au-dessus des têtes de tous les marocains de Tanger à Laguouira. Tellement, autant le rappeler, c'est le mal qu'incarne toujours par excellence le pouvoir algérien aidé à l'époque de Christopher Ross et Ban Ki Moon, par une sorte de mouvement essence de la méchanceté et du mensonge à l'égard du Maroc. S'ajoutant à l'expression des malveillances du DEA avec John Kerry sous l'administration Obama, d'où il y eut une démonstration sur comment provoquer des oppositions entre les populations dont les idéologies et les religions servent de points de repères. Qu'en effet Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans son discours au Sommet Maroc-CCG de Riyad en avait ouvertement dit ce qu'il en pensait, sachant se ressourcer pour rassurer et les éviter avant qu'elles deviennent trop pesantes. Malheureusement, encore à ce jour depuis 9 mois le Maroc se trouve face à l'amalgame d'autres intervenants en mal de reconnaissance, usant de quelques arguments doctrinaux d'un temps révolu quêtant à tout prix le soutien de ses ennemis. Comme ça, pour lui montrer qu'il est traversé par une vague revendicative pour le moins légitime sur certains aspects, ils ont bifurqué consciemment vers le coté de l'illégalité par des effets sociétaux dont il est impossible de ne pas en faire le lien avec la cacophonie médiatique tous supports compris. 

       Cependant, par leur trahison à la fidélité au pays ne peut-on dire qu'ils ont délibérément laissé entrevoir un état de crise et/où d'angoisse pour toucher psychologiquement en amont tout le monde ? Afin, de préparer le terrain pour pouvoir colporter des insinuations comme quoi ils assistent à l’échec de l'autoritarisme de l’État. Comme sorte de conséquence du fait qu'il ait mis tous les experts de la machine du cabinet royal sur le pont pour préparer une rentrée politique hors norme. Eh bien qu'il en soit ainsi maintenant que le rapport de l'inspection mixte du ministère de l'Intérieur et des Finances sur les retards et négligences dans l'exécution du programme ambitieux 2015 ''Al Hoceima Manarat Al Moutawassite'' est apparemment prêt ! Et puis il y a toutes les données que ces mêmes illusionnistes connaissent si mal, contrairement aux collaborateurs des conseillers qui les maitrisent si bien en comparaison à ceux des cabinets ministériels pour raison facile à deviner. D'où, évidemment, à l'heure actuelle l'on devine déjà la passerelle qui s'érige pour la mise à disposition à l'instant du discours tant attendu. Comme cadre de la vision future alliant la volonté politique et l'action sur le terrain pour l'amélioration de la condition de vie de tous les marocains surtout les démunis. Mais, ce discours de la vérité ne serait-il un formidable retour au valeurs essentielles de ce que c'est la marocanité vraie qui, de tout temps transformait la quête fondamentale de l'unité du pays en cohésion sociale et sociétale. D'autant plus, il est vrai, tout semble être placé sous le signe de l'ouverture à de grandes questions qui ont refait surface dans la conscience de chacun sur la base de quelques belles idées. Qui sommes-mous ? D'où venons-nous ? Et, Où allons-nous ? Pourtant, n'est-ce là l'événement qui ouvrira le chemin du possible pour le Maroc ? De sorte ce qu'il faut savoir même avec ça, pourquoi l'illusion a-t-elle envouté les petites gens du Hirak d'Al Hoceima, alors que son concept en tant que tel n'a jamais fait au début partie de leur vécu. Ce qui corrobore que notre pays est fortement jalousé, de surcroit ne souffrant d'aucun état insécuritaire, dont, malheureusement, certains frôlant le ridicule veulent le faire croire en interne et en extérieur par leur comportement à la limite de la traitrise.

       Néanmoins, pour être plus clair, est-ce que le vécu véritable dans le Rif ne peut-il par une information précise sur la nature l'intensité et le fonctionnement du Hirak, montrer l’élévation des consciences enregistrée des rifains ayant eux-mêmes ciblé le marquage de ses zones d'ombre ? Dont, évidemment, notamment à la fin de semaine qui est dores et déjà entamée, en on verra certainement la levée de beaucoup de secrets en scrutant les annonces du discours surtout leur volet progressiste. Là, tout le monde comprendra que les machiavéliques atomiseurs des tensions resteront sur leur faim et donc n'auront plus d'espace pour continuer leur cirque dans l'anonymat quand il s'agira de quelque préoccupation ou mouvance que ce soit. Aussi, à cet égard, comprendre la dynamique interactive du Hirak d'Al Hoceima est nécessaire, si l'on veut s'engager dans le rétablissement de la confiance entre les porteurs honnêtes des revendications légitimes et les décideurs politiques de tous les bords et rangs. Même si, cela, ne peut survenir que si la capacité à imaginer des solutions concertées, pourra apporter une information complète et une réflexion de qualité pour guider les choix de bonne gouvernance. Or, par ailleurs, la gouvernance en tant que rampe de lancement élevée, n'est-elle, de fait, une question de choix plus évidents que d'autres ?  Pour atteindre les objectifs dont le Maroc aspire en matière de gestion de proximité de l'administration territoriale en harmonie avec celle des services extérieurs. D'une part, de maitrise des épisodes de difficultés susceptibles de renforcer les blocages et la culpabilité et d'autre part d'authenticité d'action référencée évitant bien des hésitations si ce n'est des déceptions. 

       Donc, devant la scène du risque guerrier des idées des uns et des autres, n'est-ce la mise de gouvernance peu ordinaire, trop idéologisée, des 6 dernières années dont il est question ? N'est-ce à cause de cela que l'on voit aujourd'hui beaucoup de décideurs de différents rangs de l’État, semblant dans un réflexe phobique tourner en rond parce qu'ils ont peur ? Et en même temps, ils essayent de séduire ici là les observateurs sans y arriver, en faisant jouer tous les ingrédients des promesses d'un ailleurs qui s'est déjà figé par leur artificialité trompeuse, pour ne pas dire par leur  perversité politicienne. C'est pourquoi, tout indique, qu'il va falloir s'attendre à un discours royal de Aid Al Arch du 30 Juillet 2017, qu'il soit musclé solide non seulement en référence au retour au sein de l'UA et l'engagement à intégrer la CEDEAO. Mais aussi, en assurance pour l'avenir du pays sur les conséquences à court moyen et long terme des nombreuses visites royales et sur le positionnement à propos d'Al Qods et la crise du CCG. Sans oublier les appels aux élites d'y participer à cette résurgence surtout pour transformer radicalement et définitivement la conception de gouvernance au sein de l'Exécutif. En l'additionnant, en même temps à celle à l’Étranger que la tournée de la délégation du comité de suivi des chantiers ouverts le démontre et le confirme aisément. A cet effet, conséquemment, n'est-ce tout cela se fera dans les règles de l'art pour répondre à tous les besoins de décentralisation et de de-concentration dans toutes les surfaces constitutionnelles et institutionnelles qu'elles soient politiques diplomatiques économiques et/où judiciaires ? D'ailleurs, l'occasion est trop bonne pour ne laisser les usurpateurs des idéologies user de la transformation des mentalités pour se métamorphoser en gourous de toute mouvance dans le futur. Ainsi, comme ça ils ne pourraient prétendre réconcilier l’État avec leurs utopies en privilégiant l'échange flou et vague sous-forme de self-service vendant tout et n'importe quoi. A bon entendeur, salut !  

vendredi 21 juillet 2017

Y A-T-IL MEILLEURE DÉCISION DE L'UA QUE CELLE DE N'IGNORER SI LA COMMISSION COMME AUSSI LE MAROC S'EN ACCOMODENT OU EN SOUFFRENT DU MAINTIEN DE LA RASD ?

LE MAROC NE DÉMONTRE-T-IL PAR LA PREUVE QU'IL N'EST PAS BON POUR L'UA DE TROP ATTENDRE POUR GELER L’ACTIVITÉ DE LA RASD EN PRÉPARATION DE SON EXCLUSION DÉFINITIVE ?

       Tout va trop vite, mais n'en pensez pas que l’État-Maroc ne prenne tout de même le temps seulement de différencier les ''ego'' des épandeurs d'anarchie et tragédies chez-lui et en Afrique ! Primo, il le fait contre le pessimisme actuel ambiant voyant les ''affaires'' se succéder s'additionner et s'accumuler comme dans le cas du programme ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassit'' et pas seulement. Ce que d'ores et déjà attriste les marocains sur la construction de l'avenir de leur pays d'où, ils n'en éprouveront nulle joie avant de voir les responsables de cette négligence mis l'un après l'autre à l'index de la condamnation judiciaire. A l'évidence, on peut avancer que déjà ça les console en ayant observé que certains journalistes et des lanceurs d'alerte, sont devenus assez libres pour s'autoriser à ne plus être discrets sur le manquement aux devoirs par les décideurs. Et ce, dans l'optique du nouveau contrat judiciaire rentré en effectivité pour contribuer au changement positif que rappelle le circuit de la chienlit qui s'installe dangereusement dans le Rif. D'ailleurs, avec les temps qui courent, qui peut s'en plaindre de voir des ministres ou personnalités de hauts rangs rendre des comptes ? Comment ne pas se féliciter que la justice se veuille exemplaire ? 

       Secundo, pour revenir au propos initial, c'est parce qu'on s'inquiète de l'image du pays à l'International que désormais l'Etat veille à ne jamais céder à la manipulation quelle qu'elle soit. Par exemple, ne laisser de place aux horreurs que vivent les séquestrés des camps de la honte, sans les dénoncer avec véhémence dans les instances internationales. S'ajoutant de ne pas accepter les turbulences et intrigues que suscite la perspective de la succession d'actes terroristes ici et là par Daech Aqmi boko Haram et autres, dans l'espace MENA et aussi sur le prolongement de la bande Sahel subsaharienne africaine.  Ce qui évoque la maladresse des uns et des autres décideurs politiques de part et d'autre de la ligne de démarcation pour la stabilité de toute la région. D'ailleurs, pour avoir quelques chances de résoudre cette problématique, en ce moment de désenchantement et d'incrédulité, c'est plus utile qu'un programme de partage de renseignement anti terrorisme un peu correct soit instauré. Et qu'il soit rapidement lancé, au delà de ce qu'il représente et ce qu'il met comme atout politiquement parlant, entre les mains des pays qui ont à montrer ou à donner en la matière. En quelque sorte, des interrogations poignantes qui pourraient se résumer en ''Seront-ils dignes de confiance'' pour se partager avec eux des informations sensibles ? Comme ça, l'on peut dire leur façon de fer-à-repasser d'écraser par idéologie d'un temps révolu les autres pays, n'est qu'expression qui traduit leur angoisse de se trouver face à eux-mêmes. N'est-ce ainsi, sur le bord des grands moments de géolocalisation africaine des terroristes, la politique de la complicité mesurée pourrait supplanter celle de l'affrontement ?   

       Cependant, cette reconnaissance de la capacité du Maroc de s'affirmer par ses liens historiques les ajustant en dehors des nuisances de l'Algérie et ses soutiens qui se trouvent en branle car prenant leurs rêves  pour des réalités. Autrement dit, à force de nourrir des feuilletons de discorde, n'ont-ils fait que souligner la disproportion entre leurs budgets affectés à l'effort de saper uniquement l'influence géopolitique du Maroc en Afrique ? D'autant plus, tout le monde le sait maintenant, que leurs armées respectives ne font rien pour ne pas garnir les arsenaux des groupuscules terroristes disséminés partout. Contredisant de fait, les désirs d'adaptation aux besoins des partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal qu'offre et présente le Maroc à tous les pays africains dans les domaines de la sauvegarde des richesses matérielles et immatérielles, passant inéluctablement par la réhabilitation de l’investissement structurant par l’accès aux infrastructures adaptées pour les projets de grande envergure. Sans omettre la multiplication des engagements dans l'éducation la santé la justice le cultuel le culturel l'écologie l'administration l'immigration et la sécurité. Alors, faut-il le rappeler, vraiment le changement de structure préconisé dans le rapport Paul Kagamé au sein de la Commission de l'UA n'en veut qu'elle reste dans l'abaissement à l'algérienne ? Notamment, en facilitant l'approche qui pousse les pays amis-inconditionnels du Maroc à s'organiser en comité anti les ''antis nouvelle UA''. Parce qu'effectivement, Moussa Mahamat Faki ne croit nullement aux prétentions de l'Algérie, car, connaissant leur traçabilité plus profondément à même qu'elles sont à chaque fois déboutées et inaccessibles à la conscience. Et ce, afin de ne donner l'occasion aux héritiers du style emphatique algérien usant de la petite pensée qui s'y dissimule, et aussi pour ne les laisser s'agiter par des controffensives communicatives non secrètes multifactorielles et blessantes pour toute l'Afrique. En cela, ne peut-on dire que tous ces héritiers ont déjà mangé leur pain blanc, dont ils avaient bénéficié depuis l'épisode malheureuse de Nairobi 1984 à cause  des mœurs idéologiques de restriction des droits légitimes du Maroc ? 

       De ce fait, ce qu'était sur à l'époque de la guerre froide, n'est-il devenu avec le temps une tragédie pour les séquestrés dans les camps de la honte, dont Thomas Sankara le marxiste en avait dit de son vivant '' Les tragédies des peuples révèlent les grands hommes; mais ce sont les médiocres qui provoquent ces tragédies'' ? Alors, n'est-ce pour cela le Maroc, après son retour à l'UA n'a pas trop attendu pour demander la suspension de la RASD ? Par ailleurs, ne l'a-t-il fait afin d'améliorer la cohérence décisionnelle de la commission qui, déjà, lui témoigne qu'elle est disposée à arrêter cette mascarade honteuse ? Ç’a quoi, ce n'est un secret pour personne, que l'Algérie commence à s'en rendre compte de la perméabilité d'au moins 50 pays à cette disposition. Même en continuant à s'agiter à front retourné en donnant le sentiment de la soutenir, malgré les affrontements jusqu'aux meurtres ici et là dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs entre pro et anti Polisario. Comme ça, aux yeux de l'UA, l'Algérie n'est-elle devenue le pays concessionnaire de la marque PSP ''Promesses Sur Promesses'' surtout envers ceux qui ne l'auraient pas encore compris.  Même si, en la voyant rester dans ses retranchements suspects elle ne laisse rien au hasard, alors qu'il aurait fallu qu'elle cesse ses sautillements malveillants et ses manipulations en tant que chuchoteuse de la discorde au sein de l'UA. N'est-ce cela, par ailleurs, un comportement inacceptable qui confirme qu'elle a du mal à s'y faire à la fronde anti RASD, partout sur le continent africain ? En particulier, dans la commission de Moussa Mahamat Faki depuis la réintégration du Maroc dans les interstices de ses instances, faisant naitre l'espoir de sortir l'UA de l'engrenage du silence d’antan à l'époque Nkosazana Dlamini. Et qui ne plaisait guère au Maroc et à la communauté internationale, étant donné que l'essentiel résidait dans les signes avant-coureurs de l'illusion sortant délibérément du champs du semblant ayant provoqué et maintenu les fantasmes de l'Algérie. Bien sur, d'autant plus le Maroc, merveilleusement, il le fait en tant que représentant garant de l'ordre et stabilité géostratégique avec compétence et responsabilité. Ne donnant plus l'impression de se laisser déchoir de son rôle géopolitique prédominant, en tant que membre inclusivement très influent au cœur même de la Commission de l'UA

       Aussi, y a -t-il meilleure décision de l'UA que celle de n'ignorer si, lui, il s'en accommode sans partager la passion ou s'il en souffre du maintien de la RASD avec désolation sur cette persévérance manipulatrice de l'Algérie qui n'a que trop duré ? Ainsi, au-delà du défi qu'elle lui lance, en s'entourant de pas plus de cinq pays, se comportant encore comme commissionnaires-receleurs de cette grotesque tricherie montée depuis 1984 à Nairobi, en l'occurrence l'Afrique du Sud le Zimbabwe la Namibie le Mozambique et le Kenya. Qu’interminablement, en effet, à ce jour, sont en manque de reconnaissance pour le leadership africain, ils ne font que continuer à le narguer en maintenant leur spirale des sournoiseries à quelques variantes près les unes des autres. Parce qu'autrefois à l'OUA puis après à l'UE à partir de 1995, n'est-ce pas qu'ils se plaisaient tous dans la stratégie du silence en tant que premiers pourfendeurs dans les chemins communicatifs mensongers à l'égard du Maroc ? Alors qu'en ce temps présent, avec sa surface politique qui s'agrandit et le relief de sa vision percutante pour l'Afrique, il en est autrement de leur tentation de la faire bifurquer de l'idéal, surtout de son avenir ne serait-ce que l'espace d'un instant fut-il le moment d'un Sommet ou rencontre de haut rang. A cet égard, n'est-ce assez comparable au travail de dévoilement et apparition de la réalité, ingrédient indispensable à l'existence future de l'Afrique dans ce monde dangereux pour essayer de la maintenir debout sans perte d'équilibre ? Notamment, celui de la multiculturalité moyen de perpétuer l'ADN africain, à cause des interfaces de l'interventionnisme bête et méchant pour ne la laisser creuser son sillon avec liberté et plénitude ? A bon suiveur, bon décryptage !   

mardi 18 juillet 2017

PERSONNE NI DE L’INTÉRIEUR NI DE L’ÉTRANGER NE POURRA FAIRE PERDRE LE STATUT GÉOPOLITIQUE DU MAROC.

N'EST-CE LA L'ACCOMPLISSEMENT DE LA MARCHE AUDACIEUSE ET INTRANSIGEANTE DU MAROC AU PROFIT DE L'AFRIQUE DE PLUS EN PLUS EXIGEANTE EN MATIÈRE DE CRÉDIBILITÉ DIPLOMATIQUE  ?

       Le Maroc depuis son retrait de l'OUA à Nairobi 1984, passant ensuite par la longue période de non rectification de l'injustice de 1995 à son vis-à-vis jusqu'à son retour triomphal au sein de l'UA le 29-30 Janvier 2017, toute la Communnauté Internationale l'a bien vu prendre la défense de l'Afrique avec fougue réalisme et méthode. Même si, il faut le rappeler sans gêne, à Hambourg au G20 en Allemagne du 7-8 Juillet dernier ce  fut décevant pour toutes les attentes africaines, quelles soient sociales économiques écologiques et sécuritaires de lutte contre le terrorisme. D'ailleurs, de ce point de vue, plus le relâchement du G20 vis-à-vis de l'Afrique est grand, plus s'installeront des complicités immondes entre les manipulateurs-chuchoteurs des perfidies tirant vers sa déstabilisation. Ainsi, de fait, c'est maintenant confirmé par la preuve, il y a un moment où trop c'est trop ! Et donc aujourd'hui on a envie de dire, le Maroc se montre un assez brillant pays parmi les quatre en Afrique pour la tracter car tendant vers l’émergence avec le Botswana Maurice et Éthiopie. N'est-ce là où l'on voit se dessiner une corrélation entre la courbe de son destin tracé et le balisage du nouveau contrat marqué de réalisme dans le fonctionnement futur de la machine de l'Exécutif ? N'est-ce là l'accomplissement de sa marche audacieuse et intransigeante en Afrique, malgré les quelques freinages induits en interne ? En plus des brouillages en externe qui s'en prennent au mode de sa grille d'expression de ses initiatives géopolitiques desquelles il joue un rôle essentiel dans l'innovation en positionnement gravitationnel autour de l'idéal africain.

       En quelque sorte, ne s'agit-il d'éviter les essais de simulation de mise du Maroc en situation institutionnelle précaire, d'où, sa vigilance corrobore le tournant décisif dans toutes ses activités extraterritoriales diplomatiques ? Et ce, en résonance complète avec bonne visibilité géopolitique et géostratégique dans toute l'Afrique, sans avoir du mal à se convaincre de l'inutilité des malveillants. Parce que, d'autant plus, lui, il le fait sans être naïf sur l'évitement de la recension historique fastidieuse qui rebute par l'uniformité la légèreté et la répétition des machineries de ses ennemis résiduels. Notamment, les services de renseignement de l'Armée algérienne qu'au demeurant sont convaincus que le Maroc a gagné en puissance décisionnelle indépendante. Usant de développement de partenariats gagnants-gagnants qui s'ajoutent à l'esprit d'entraide et au strict respect des souverainetés de tous les pays africains reconnus à l'ONU. D'ailleurs, n'est-ce même incroyable de toujours voir ce pouvoir algérien continuer à se raconter des histoires, alors qu'il est en déliquescence n'ayant plus d'aura ni régionale ni continentale ni internationale ? Dont le résultat est sidérant, de par son crépuscule politique déjà engagé, et/où, tout se défait autour de lui et son rejeton Polisario dans toute la région MENA-Sahel subsaharienne africaine et pas seulement. Malgré qu'il se targue de l'activisme de ses représentants dans les couloirs et les antichambres de l'UA l'UE et l'ONU, lesquels se montrant fort affairés à dépenser sans compter la rente pétrolière-gazière dans le but de satisfaire les caprices des lobbys anti Maroc. 

       Néanmoins, pour être plus complet, n'est-ce ceci qui montre que dans ce monde de plus en plus corrompu, le Maroc a pris soin de définir les intervalles de confiance de sa politique d'optimisation diplomatique ? Enregistrant ainsi une belle et vertigineuse progression dans l’échelle des cotations onusiennes, car, fonctionnant à merveille après son retour à l'UA sur le mode d'un rythme de travail continu équilibré portant la caution royale. Sans fâcher, ni avec haine les irréductibles ennemis déclarés arrogants au vu de leurs tricheries caractérisées comme l'Algérie l'Afrique du Sud et le Zimbabwe, ni par mépris les soi-disant encore hésitants-imparfaits qu'en effet sont en marche de faire le bon pas à l'exemple de l'Angola. A ce tire, il faut le reconnaitre, le Maroc n'a-t-il réussi à déstructurer le fer-barbelet de la pénétration stratifiée des idéologies contradictoires de tous ses ennemis qui s'essayent à le faire taire ? Et dont, objectivement ne faut-il regarder si l'affaiblissement des intellectuels en est pour quelque chose ? En particulier dans les postures, des uns allant jusqu'à l'illusion d'autosatisfaction alors que les autres jusqu'à la reconversion à l'autoflagellation inquiétante. Tout simplement, en perçant le secret de leur retrait de l'arène politique, par l'identification des similitudes positivistes et contournement des différences négativistes rien que pour pour le bien du pays. 

       A l'évidence, faut-il le rappeler sans détours, assez donc des décideurs gouvernementaux ou autres qui parlent beaucoup sans rien faire de concret en matière de perspective d'avenir social apaisé et sociétal juste ! Dès lors qu'en dehors de la diplomatie sous coupole royale de l'avis des observateurs, coup sur coup, c'est le grand écart dans la praticabilité de gouvernance qui n'est plus tenable, car usant de faux-timing, d'inutile cadrage sociétal et mauvaise approche de fonctionnalité. Alors même que le Maroc, vit presque en direct un changement du cours de son histoire avec le Hirak d'Al Hoceima dont, bizarrement, on en a décelé chez certains un genre de comportement d'huissiers qui surgissent dans le tumulte pour faire la constatation de non atteinte physique de personnes retenues judiciairement alors que ça fait partie des compétences des médecins. Tellement aujourd'hui, l’État-Maroc, que ça plaise ou non, est obligé de renforcer les mesures de lutte contre toutes les dépravations et ne plus se laisser aller aux convenances d'autrefois. En cela, sa victoire symbolique dans sa marche vers la démocratie n'est-elle vraiment là ? Sans se mettre en colère mais seulement en respectant l'esprit du discours royal de Dakar du 06 Novembre 2016, qui en a appelé subliminalement à la suspension en interne des imitations qui existaient depuis longtemps au profit des pasticheurs avérés, des corrompus notoires, des tenants du centralisme, des putschistes en puissance et des voleurs d'élections. 

       Et oui, même si le Maroc se fait perturber dans sa feuille de route il n'en demeure pas moins que jamais il se verra taire le moindre de ses désirs d'avenir pour la prospérité dans la paix et la responsabilité. En cela, personne ni de l'intérieur ni de l'étranger ne pourra faire perdre son statut géopolitique, sachant Sa Majesté le Roi est précieux pour la composition de sa nouvelle partition diplomatique de haute performance, et d'où il montre qu'il se refuse à céder à la pénétration des idéologies mettant en cause tout ce qui a été fait. Au point que le peuple, lui aussi, doit chaque jour être réceptif et réactif même étant dans l'attente du grand changement qui s'annonce imminent. Et dont on voit les visages de certains décideurs paraissant fermés sinon tristes, car à l'inquiétude du lendemain s'ajoute la peur de la mise à disposition de la justice. Une sorte de conséquence logique de remettre les pendules à l'heure du châtiment politico-administratif équitable, à propos du non respect des engagements pris après l’éclatement de l'affaire ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassit''. Comme ça, l'on peut dire près de 6 ans de pjdisme débridé sont désormais sur le grill, tellement, jour après jour il n'est plus reconnaissable par ses certitudes d'antan. De ce fait, tant que le gouvernement actuel n'aura pas fait amende honorable, il lui sera difficile de démontrer qu'il ne s'apparente plutôt à celui de Benkirane II qui a fini dans l'impasse. Néanmoins, ne doit-il se refuser de continuer son jeu politicien qui au fil de ses premiers 100 jours a pris l'aspect d'un labyrinthe avec ses contrariétés communicationnelles et ses rivalités couteuses en influence de radicalisme politique ? Et aussi, conséquemment, ne plus se borner à se donner en spectacle désolant au vu de son déni de la dérision provoquée par certains de ses membres, dont on ne sait s'ils sont victimes de la méchanceté du destin ou de l'absurdité d'indisponibilité à faire le suivi correct des chantiers ouverts par leur soin. A bon entendeur, salut ! 

jeudi 6 juillet 2017

L'UA CHERCHE ASSIDUMENT SOUS LE SCEAU DU PRAGMATISME A ENDIGUER DÉFINITIVEMENT LA PERSPECTIVE D'ESCALADE QUE VEUT LUI IMPOSER L’ALGÉRIE AU SAHARA MAROCAIN.

L’ALGÉRIE FACE AU MAROC RESTERAIT-ELLE AD VITAM ÆTERNAM  DANS LE HORS-PISTE POLITIQUEMENT DANGEREUX A L'UA, MÊME SACHANT QU'IL N'EST JURIDIQUEMENT NI BALISÉ NI JALONNÉ A L'ONU ?

         Au 29-ième Sommet de l'UA du 03-04 Juillet 2017 à Addis-Abeba, le représentant de l'Algérie Ismail Cherqui semblait assis bien seul sur le feu, même étant présent sur l'estrade. Autrement dit, n'est-ce pas après avoir fait le tour de l'audience par ses petits yeux de roublard, il a donné l'impression de s'assoupir en s'appuyant sur le dossard de son siège comme s'il est dans une salle d'attente. Bien sur, pensant intimement qu'il ne pouvait pas imaginer venir dans la grande salle sans trouver une haute représentativité du Maroc à ce Sommet par son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid. Ce qu'au demeurant, en a montré qu'il soit perturbé, ne s’empêchant de rougir car plus intimidé par la prestance du Prince dans sa lecture de l'intervention royale, lui rappelant le temps qu'il eut vécu en présence du Roi Mohamed VI le 29-30 Janvier cinq mois auparavant. Autant le rappeler, n'est-ce pas plus il en était saisi du magnétisme régnant dans la salle, plus il rougissait, d'où c'est une idée pas seulement que les marocains avaient sur le déroulé de la séance plénière avec le discours du Roi annonçant le retour triomphant du Maroc à l'UA. Tellement, aujourd'hui l'on dirait que c'est un autre mauvais moment passé de ce représentant de l'Algérie avec ses pions de l'Ex-Commision de l'UA sous Nkosazana Dlamini, même étant allé d'une délégation à l'autre pour voir si ses leçons sont bien apprises pour contrer le Maroc. 

       A l'évidence, enfin les observateurs internationaux sont avertis que la nouvelle Commission de l'UA est en passe de se débarrasser des déliriums idéologiques de l'ancien temps. A même, de ne vouloir plus paraitre ni voleuse ni ramasseuse de l'argent des bailleurs de fonds en l'occurrence la Chine l'UE la Turquie le CCG les USA et l'ONU en s'enfuyant pour le dilapider dans les divisions qui la traversent. En tout cas, c'est comme ça, malheureusement pour le pouvoir Boutaflika, il a découvert qu'il y a eu des déplacements des curseurs de présenter les choses par la délégation marocaine et ses nombreux amis au sein de la Commission. Dont le ministre marocain Nasser Bourita des Affaires Étrangères et de la Coopération Internationale, visiblement, en a annoncé de grandes ambitions par de nouveaux objectifs prioritaires compatibles avec la nouvelle donne après le retour du Maroc parmi les siens. Et ce, sans donner l'impression de faire des leçons, mais seulement expliquant les changements profonds dans la pensée de la Commission de l'UA d'aborder de scruter et donc de rédiger les protocoles les accords et communiqués concernant le Sahara marocain. N'est-ce d'ailleurs, ce qui a fait découvrir à la communauté africaine que Moussa Faki Mahamad a fait disparaitre pour et par la meilleure défense des intérêts de l'UA, les bas-coups anti-Maroc d'où évidemment il a poussé à la consécration de la thèse marocaine de laisser la solution politique du conflit seulement entre les mains de l'ONU. D'autant plus, se montrant zen toujours serein précepteur de parole calme, qui plait bien à Addis-Abeba parce que ses moindres gestes sont singuliers ne portant aucune trace de parasitisme idéologique. Contrairement à l'agitée Amina Mohamed la kenyenne, n'ayant pas dirigé sa défaite restant encore sous addiction obamaéenne d'incompréhension de voir l'Algérie épisode après épisode mise en quarantaine.

       Aussi, de ce point de vue, même si le parcours serait semi d'embuches, le couple Maroc-Algérie n'a de choix que de se mettre sur le pas exemplaire de construction de la confiance France-Allemagne. L'occasion de faire de l'avenir commun un carrefour de rencontres sociales économiques sécuritaires et politiques pour relever ensemble les défis de la mondialisation, de l'aide au co-développement, du terrorisme et de la lutte contre les dépravations migratoires clandestines économiques ou humanitaires voire même le racisme. D'autant plus, quand on fait le séquençage des informations s'y greffant à l'état de fait de dé-confiance existante à propos des gesticulations devenues héréditaires sur plusieurs présidences de l'Algérie, on n'en comprend guère l'instauration de l’imprévisibilité à tout vent. Alors que la réalité, est entre les mains du Maroc du fait de sa détermination de donner des coups durs à ce genre de comportements d’où il viennent. Notamment, les essais de portée déstabilisatrice à son encontre par l'Armée de Gaid Salah cherchant à faire peur à la Commission de faire capoter son non-alignement à l'axe Pretoria-Alger et semer le doute en son sein sur une sorte d'évolution qui serait inquiétante et qui banaliserait son rôle dans le conflit du Sahara marocain. Mon Dieu rien que ça, c'est ce qui démontre qu'il y a toujours idée d'augmenter la pression sur la Commission et sur le Maroc par l'Algérie et ses six pays pions tout au plus ! Parce qu'ayant du mal à enrayer la marche en avant de plus de 39 pays d'exclure tôt ou tard la RASD pour corriger l'injustice de 1984 à Nairobi. A cet égard, l'Algérie restera-t-elle dans cette impression de réémission de ce genre de jeu de théâtre, cherchant à maximiser primo son impact sans en avoir ni l’étoffe diplomatique ni l'envergure politique et secundo ses influences sans savoir qu'à l'international il y a une perception différente sur le nouveau Maroc qui révèle que la RASD n'est pas utile au sein de l'UA ?  D'ailleurs, qui vivra verra !

       Néanmoins, même si, le Nigeria dans sa poursuite d'agenda dissuasif de vouloir rester coute que coute la locomotive de l'Afrique, avec toutes les crises conjoncturelles et structurelles en interne qu'il connait, ceci n’empêche pas l'UA de se pencher sur l’arrêt de l'alimentation de l'escalade des provocations de l'Algérie via son avorton le Polisario dans la zone de séparation au delà du ''Mur'' de sable. Et ce, dans un souci de faisabilité technique des réformes non pas seulement de financement, mais aussi pour donner corps et âme aux redéfinitions de sauvetage des propositions du rapport du président rwandais Paul Kagamé. Qu'au passage, il faut le rappeler, se déportent nettement sur les suggestions sous le sceau du pragmatisme de soutien franc au Maroc du président en exercice de l'UA le guinéen Alpha Condé. Et aussi, clairement, contre les pistes plus marquées d'imprécisions et largement inspirées d'appréhension invoquant les capacités de nuisance de l'Algérie restant fidèle à sa promesse par la perspective de réalisation du projet chimérique en conformité avec l'esprit Obama.  Encore, bizarrement, n'est-ce là où l'on voit qu'il y a une volonté de sa part de tromper tout le monde, par l'usage de réponse à la fois d'un soi-disant code de conduite d'appel d'air pour débloquer la situation et en même temps d'un abaissement d’écoute pour l'interface-intégration effective des propositions marocaines par le cadre de l'offre d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée.

       En cela, le pouvoir algérien pour cacher par espièglerie qu'il s'agisse de fixation anti-Maroc, sa rythmique de continuer à harceler le Maroc n'est plus suffisante. Allant jusqu'à chercher par ci et par là au Grand Maghreb, d'abord comment l'encadrer par le désir de rationalité de l’Égypte de n'avoir le Maroc face à elle,  que ce soit au Soudan en Érythrée en Éthiopie au Soudan du Sud et en Ouganda comme seul élément proactif de vision de haute performance stratégique ? Puis, à ce titre au besoin, de savoir quelle serait l'attitude de la Tunisie et la Libye qui subissent sa manipulation de prolongement de l'état de fait de l'isolement du Maroc ? D'ailleurs, maintenant, l'on peut dire sans se tromper, le nouveau Maroc après ce Sommet de la loyauté et la volonté de le confirmer dans les premières lignes, n'a-t-il aidé les pays du Maghreb de sortir de leur blocage par des scénarios de prise en compte de la confiance mutuelle plus réalistes ? Et, aussi l'UA de se mettre hors bavardages sur ses anciens secrets, auxquels longtemps lui en tant que pays n'y avait pas accès, dont, par où, l'Algérie prononçait ses expressions comme caisse de résonance sans morale et sans règles de convenances du bon voisinage pour faire taire les observateurs sur le terrible vécu des séquestrés dans les camps de Tindouf Rabouni et ailleurs. D'autant plus, si on se réfère à la chronologie de toutes ses manipulations à elle, même paraissant ruer dans ses songes en croyant avoir le bon échange pouvant résoudre définitivement les énigmes politiques qui se posent à elle, on en comprend qu'elle ne veuille que garder la main sur la Commission avec la complaisance de ses pions résiduels. A bon suiveur, bon décryptage !

mardi 4 juillet 2017

APRÈS LA COLÈRE ROYALE DU 25 JUIN 2017 VIS-A-VIS DU GOUVERNEMENT, NUL CONFISCATION DU CHANGEMENT DÉSIRÉ NE PEUT ÊTRE ACCEPTÉE !

CELA NE VOUDRAIT-IL DIRE, EMPRUNTER UNE NOUVELLE APPROCHE POUR BÂTIR UNE VRAIE EXCELLENCE DANS LA GOUVERNANCE ET DE METTRE FIN A L'ADDICTION DES PORTEURS DE HAINE QUI EN VEULENT A LEUR PROPRE PAYS ?   

       Alors qu'aucun pays ne recoure par gaité de cœur à l'utilisation de la force pour contenir l'agitation des casseurs lors des manifestations, il est difficile d'admettre qu'aujourd'hui le Maroc traverse des moments d'où son image à l'international risquerait de s'écorner. Surtout s'il n'y a pas un électrochoc positif contributif pour donner de la visibilité à l'action publique et à sa réorientation vers plus de façonnage et réveil des consciences pour la meilleure gouvernance. En réponse constructive d'évitement de l'addiction  à la haine pour qu'elle ne se propage davantage, conséquemment, aux manipulations in-situ des usurpateurs-receleurs du ''Hirak'' d'Al Hoceima dans le Rif. Lesquels, par ailleurs, par leur pratique d'épandage d'informations border-line et faux secrets pour raison facile à deviner, ils ne tranchent avec la dramatisation du contexte car cherchent toujours à rester dans l'opacité logorrhéique trompeuse. Aussi, face à ce jeu perturbateur du fil conducteur pour trouver des solutions à l'impasse du ''Hirak'', ne faudrait-il s'assurer que la cohésion sociétale ne se déchire encore plus à cause de l'opportunisme lamentable de certains politiques hommes et femmes sans foi ? N'usant, malheureusement, que de fausses promesses dont la base était déjà entamée voire phagocytée, crise de confiance oblige, depuis la fronde du M20F en 2011 lors de la soi-disant soufflerie arabo-amazighe.

       Néanmoins, à ce propos, même si c'est mal compris par ces insoumis qui sont dans le déni à tout vent, la question qui taraude les observateurs avertis du champ politique marocain, n'est-elle, comment trouver la solution adéquate pour en sortir de la chienlit désormais pointant son nez au Rif ? En quelque sorte, un autre passage institutionnel pour ressortir du bon coté constitutionnel, par un vrai rythme politique d'un État encore plus fort, de surcroit respecté et respectable dans sa ligne de mise en effectivité du développement à marche forcée par le programme ambitieux ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassite''. Parce que, faut-il le rappeler, il n'a nullement de choix que de s'accrocher à la force de réalisation de ce chantier grandiose de vision politique publique par l'innovation et l'instauration de plus de démocratie. Non seulement par la création des conditions de plus d'unité à sa juste valeur sans exclusion ni rejet de quiconque, mais aussi sans prise de risque de tomber dans l'aventure dangereuse de tout faire capoter. Alors même qu'il sait, les ennemis de l'extérieur ne cessent de lui tendre des pièges ici et là, en cherchant de s'accaparer les doléances légitimes des habitants afin de pouvoir en attiser le Hirak et le rendre plus étouffant via l'aide des vendus et renégats. Comme quoi, c'est d'une réorientation vers la production des richesses locales matérielles et immatérielles dans tous les secteurs dont il s'agit. Notamment, en se basant sur les transformations des approches d'usage de l’éventail des moyens dans le social la culture l'éducation le tourisme l'habitat le Numérique la transition énergétique et la recherche en agroalimentaire et pêche maritime.

       En cela, pour confirmer ce désir de changer de braquet, d'approche et de méthodologie dépassant la partisanerie ridicule qui hante encore et toujours les institutions, ne faudrait-il pour le gouvernement sortir de ses contradictions hilarantes ? D'ailleurs, n'en a-t-on pas vu par le ton candide du chef du gouvernement dans sa prestation sur Aloula et 2M, se demandant lui-même ne pas savoir pourquoi le Hirak ne s'estampe pas ? Évidemment, par ce constat, même prenant un teint de quelqu'un d'apeuré, n'a-il répondu aux journalistes par une série de petits grognements discrets pour ne pas dire distraits, dans le but de marquer sa désapprobation de n'avoir plus envie d'entendre de questions sur le Hirak ? Parce que, intimidé qu'il fut il ne sut quoi dire, étant hardi et maladroit même en semblant reconnaitre explicitement la légitimité des revendications jetant les manifestants dans la rue en faisant accuser le coup au gouvernement de sa gestion calamiteuse. Pourtant, ces journalistes qui ne sont pas nés de la dernière fournée, pourquoi l'observaient-ils faire ce genre de réponses sans oser le contredire dans ses usages étroits de langue de bois ? Tellement, ils ont donné l'impression de ne s'en apercevoir qu'ils le suivaient sans beaucoup d’intérêt, presque en s'excusant de ne l'interpeler sur les grandes choses verticales qui devaient être la base de l'action du gouvernement.

        Cependant, autant le redire sans ambages, le Maroc n'est pas et ne sera jamais un pays facile à bousculer ni de l'intérieur ni de l'extérieur. Car, à chaque fois qu'on cherche à le prendre en tenaille par une quelconque nouvelle forme expressive de la discorde touchant à son unité et unicité, il réagit par de réelles avancées dans sa marche courageuse en donnant la preuve du renforcement coordonné de sa lutte contre ces malveillances et essais sordides. Comme ce qu'il montre aujourd'hui via sa retenue équilibrée et maitrise de son sang froid, face à la soi-disant résistance certes invraisemblablement visible des quelques insoumis, la partageant presque minute par minute sur le Net et les réseaux sociaux. D'ailleurs, n'est-ce là le nœud de l'affaire de ces surexcités du ''Hirak'' à Al Hoceima dans le Rif marocain ? Ce qui, conséquemment, invoque comment stopper la coordination des manifestations tantôt sur les places célèbres tantôt sur les plages ou autres hauteurs environnementales pour faire le Buzz. C'est vraiment essentiel de le répéter sans aucune gêne, cela n'est-il construit comme s'il s'agit d'un sprint social qui ne se termine jamais ? Au vu du retard de la coagulation de cette insoumission ne faisant d'Al Hoceima qu'une fausse fenêtre de ce que c'est le vrai Maroc paisible tranquille et apaisé. Alors même que c'est le contraire qui normalement devait se prévaloir par les bons choix sans regrets sur le respect des lois ni confrontations sociétales et encore moins sur la concession de la ''Hiba'' de l’État. Même si, loin des contraintes et peurs déjà un retrait relatif des forces de l'ordre est entamé donnant un signe encourageant.

       A l'évidence, tout indique, que peut-être bientôt une bonne nouvelle dans ce sens serait officielle, parce qu'apparemment tout est en starting-block pour la grande annonce. Tellement ça sera une vie de liesse célébrée partout, en mettant fin à la série des mauvaises gouvernances d'un côté, comme des manquements au respect de l'Etat de l'autre. De toute façon, ce sera la faillite encore plus grave des ennemis que montrera cette rédemption de l’État pour l'entente la cordialité au milieu de tout ce brouhaha. D'ailleurs, n'est-ce pas souvent les marocains s'en sont interrogés et s'en sont demandés si, oui ou non, ces ennemis ne sont pas des imbéciles ? Parce que, n'en ayant compris c'est quoi qui les a poussé à s'engouffrer dans le Hirak et surtout n'en sachant qu'au final c'est de leur déconfiture avec amertume et désespoir de ne réussir leur coup de force dont il s'agira ? Et qu'un jour même les quelques insoumis irréductibles toujours à leurs bottes, reviendront au bercail par suite de repentance car ils auraient compris qu'ils ne trouveront de paix dans cette médiocrité. En tout cas, c'est parce qu'ils sont écrasés de honte d'amertume de tristesse et de déceptions qu'ils savent que rien ne leur sera épargné par la feuille de route d'une justice équitable, à part s'ils sont graciés par Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Alors, de ce point de vue, que ceux par leurs sorties médiatiques, parfois avec cynisme à même le vice s'arrêtent de provoquer plus de confusion sur la préparation de l'éclaircie politique et sociale à Al Hoceima. Donc, à toute fin utile, nul confiscation du changement en vue, après la colère royale du 25 Juin 2017 à l'encontre du gouvernement Othmani. A bon entendeur, salut !

samedi 1 juillet 2017

QUI EUT VOULU LA JOUER A QUI PERD GAGNE DANS LE HIRAK ACTUEL D'AL HOCEIMA, AU DÉTRIMENT DES INSTITUTIONS ET DU PEUPLE MAROCAIN ?

BAS LES DOUBLE-MASQUES, DEPUIS 1958 LORSQUE LE RIF MONTRÂT UNE SORTE D'INSOUMISSION AYANT DÉCLENCHÉ LA FOUDRE DE L’ÉPOQUE D'OUFKIR, SANS COMPARAISON A CE JOUR AVEC LE HIRAK D'AL HOCEIMA ET RÉGION !

       Bientôt on saura qui eut voulu la jouer à qui perd gagne dans le Hirak d'Al Hoceima, et ce au détriment de la stabilité des institutions, de la tranquillité du peuple marocain et de l'appel des investissements chinois et autres dans la région Tanger-Tetouan-Al Hoceima. Même si, on ne peut pas dire autant des mois écoulés avant le tumulte sociale, relativement à après les élections du 07 Octobre 2016 à ce jour. Par rapport à la comparaison avec la catastrophe épouvantable de traitement du Rif avec Oufkir depuis l'indépendance du Maroc. Aussi, pour combattre les injustices, dénoncer les dépravations et briser les coquilles vides des fausses promesses en ce temps présent, on ne peut mieux trouver que l’utilisation de l’arme de la bonne gouvernance dans la sérénité et le calme. Aussi, même avec des capacités limitées des décideurs politiques gouvernementaux actuels, au sens de l’exécution de leurs programmes, cette arme ne serait pas de trop et encore moins vaine. C’est vrai qu’en s’impliquant ainsi cette analyse, l’art politique prendrait toute sa dimension positive tant dans l’effectivité des programmes que l’intéressement des jeunes à la chose publique. Bien sûr, sans résignation à du n’importe quoi, notamment en matière des enveloppes budgétaires allouées, mais seulement par des actions dont l’effet essentiel susciterait particulièrement leur engouement au vu des résultats escomptés.


       En quelque sorte il faut éviter la prolifération des contractions de crédits hypothéquant l’avenir du pays, au détriment du vivre sereinement qu’au demeurant ne risquerait que d'instaurer la dépréciation des efforts faits et donc de bouleverser l’illustration des fondamentaux de la constitution du 01 Juillet 2011. Autant le dire avec clarté, n’est-ce vrai que la bonne gouvernance se fonde sur la puissance du contrôle de l’exécution du programme politique et socio-économique, pour améliorer le train de vie des populations surtout celles démunies ? A cet effet, bien entendu, tout échec dans l’exécution du programme électoral de tout gouvernement, n’est que l’image des applications nonchalantes qui l’entourent. Et pour cause la perte du pari du gouvernement sortant après les élections du 07 Octobre 2016, car, dans beaucoup de cas il a travesti la vocation des décideurs à mieux faire à Al Hoceima et région. De surcroit, n'ayant permis la bonne conversion de leur volonté à cause peut-être d’incompétence si ce n'est de calculs politiciens non exempts de reproches, dont le Maroc en paye aujourd'hui un lourd tribu social. Autrement dit, à ce propos, pour les membres du gouvernement actuel sous Othmani, plus les critiques qui leur sont faites sont justifiées, plus elles rendent compte de la déformation de leur image auprès des populations non seulement dans le Rif mais sur tout le territoires national. Cela évidemment, avec les temps qui courent a conduit à la mention désormais populaire « DEGAGE ! » par l'usage des slogans anti-tout. Notamment, vis-à-vis de tout le gouvernement où la société civile eut été écartée mais restant polie même étant gênée de ne pas exprimer son mépris ni son dégout à la façon de monter un gouvernement toujours avec les mêmes figures.


       En vérité, au Maroc, dès lors qu'il se produit des interactions politiques entre opposition et majorité, le comportement du gouvernement par chance et/où dé-chance s’en trouve beaucoup plus affecté dans sa formation et structuralisme. Justement quand on lit les monologues en sorties médiatiques de certains membres du gouvernement actuel, adoptant généralement des tons à doubles masques à propos du Hirak d'Al Hoceima, on est saisi par leur désir de vouloir confiner leurs opposants dans leur champ d’endormissement emphatique mimétiquement magnétisant comme à l’ancien temps. Ne sachant pas qu’on est plus dans les contes basriens d'AL Aamzine du temps passé, où la menace prévalait sur l’évolution de dialogue comme ce qu’on a vu en préparatifs de la grève générale du 29 Octobre 2014 sous Benkirane. Néanmoins, sans doute qu’en plus, l’humeur et l’émotion qui commencent à se dégager du périple de l'après soufflerie arabo-amazighe pour la démocratie, ont-elles compté pour beaucoup dans leur attachement aux forces inductrices de ce champ de confinement par la peur l'inquiétude et l'angoisse. Vraiment, ces images envoyées de la sorte, n’aideraient à l’enchantement ni au ravissement des marocains surtout les jeunes à se polariser sur la politique publique d’une façon convaincue et convaincante. Même si, depuis l’avènement du nouveau règne longtemps avant le bourgeonnement du M20F, tout le monde pensait que la lutte contre la sinistrose des jeunes en politique figurerait parmi les priorités de l’Etat.


       D’autant plus, après le discours royal du 09 Mars 2011 on n’en pensait pas moins que l’effet de la nouvelle constitution du 01 Juillet 2011 et les conditions de déroulement des élections législatives anticipées du 25 Novembre de la même année et même celles en échéances respectées du 07 Octobre 2016, allaient pousser les partis politiques à en profiter afin de sensibiliser davantage les jeunes à s’embarquer en politique. Sauf que dans ce pays qui fut reconnu pour et par sa grande élite politique d’avant et après l’Istiqlal, ça ne marche toujours pas. Surtout, au vu de l’état d’excitation des politiques contemporains se croyant d’une extraordinaire brillance, alors qu’ils sont d’une absolue impuissance dans un circuit fermé d’une extrême imprécision et désinvolture voire nonchalance par manque d'ambition pour un Maroc fort et immunisé des controverses en interne. D'ailleurs, n’est-ce pas juste après le discours royal du 10 Octobre 2014 devant le parlement, au lieu d’éviter de continuer à tomber ci bas nos valeureux représentant n’ont guère manqué de se la ramener aussi honteusement. Montrant une fréquence d’intérêts seulement politiciens sans performance pour les besoins de la démocratie du pays, malgré qu’en plus sous le règne du Roi Mohamed VI beaucoup d’avancées sont enregistrées dans tous les domaines pour insuffler de grands espoirs quant à l’attirance des jeunes à la politique.


       A cet égard, pourquoi, avec toutes ces garanties royales il y a encore des hommes politiques qui agissent au sein du gouvernement, malheureusement, encore en méconnaissance du terrain mouvant qu’est la société marocaine aujourd’hui ? De surcroit, le faisant, loin de toute codification anti-dérapage ne s’en souciant ni de leur conduite insolite provoquant brouhaha populaire, ni de l’image qu’ils donnent de leur famille politique. Allant, de par l’interprétation des observateurs et analystes politiques, jusqu’à préconiser des actions étonnantes oscillatoires et non équilibrées en s’attachant gauchement au pompage des idées d’autrui sans en avoir la compétence de décryptage constructif. Mais, comment faire alors pour ne plus passer à coté de la prévalence de l’action royale dans le monde, laquelle s’étant caractérisée à soutenir l’éveil des jeunes à prendre honorablement la destinée de leurs pays respectifs en main ? N’est-ce cela que tout un chacun a constaté dans les tournées et rencontres du Roi à l’intérieur comme à l’étranger, incitant les décideurs à se mobiliser pour accompagner le développement solidaire équitable dans la sécurité et la stabilité ? N’est-ce pas, tout simplement parce que la jeunesse aidera à la recherche des échanges socio économiques et politiques Sud-Sud, étant donné qu’elle est devenue partout dans le monde, l’interface des sensibilisations, débats, formations et informations contre les extrémismes notamment religieux ?


       En cela la lutte contre les dépravations les précarités par une tendance vers l’égalité des chances au même titre que les autres actions pour la paix sociale, en ferait certainement le socle humain de nouvelle gouvernance probe et prometteuse qui s'annonce imminente après la colère royale au premier Conseil des ministres du 25 Juin 2017 avec Saad-Eddine Othmani en tant que chef du gouvernement. D'abord, sur l'approche pour contenir le charivari à Al Hoceima dont certainement il en livrera avec sa prestation de ce soir sur les chaines nationales Al Oula et 2 M les contours. Puis, sans avoir l'idée de vengeance dont le Roi n'en veut procéder à la prise de sanctions morales politiques et/où pénales sans preuve dans l'attente des conclusions des investigations de la commission mixte d'inspection des ministères de l'Intérieur et des Finances sur le retard d'exécution du programme ambitieux du projet ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassit''. Pourtant, on ne peut pas dire que les marocains dans les douze régions, à ce propos depuis le début du Hirak n'aient pas été ouverts à la discussion, étant mème peu critiques vis-à-vis des politiques suivies sur le manquement au suivi du projet de requalification d'Al Hoceima. Lequel, malheureusement, n'ayant trouvé bons exécutants aux gouvernements ni le sortant ni l'entrant, malgré la polémique envahissante à propos des responsabilités politiques des ministres ayant signés les partenariats sur le Net et les réseaux sociaux. A bon entendeur, salut !