samedi 27 juin 2015

VAILLE QUE VAILLE, LE MAROC SE PRÉPARE A AFFRONTER DANS SA GUERRE CONTRE LE TERRORISME GRONDANT, D’AUTRES DIFFICULTÉS AVEC L’ALGÉRIE.

POURQUOI L’ALGÉRIE OFFICIELLE EST-ELLE TOUJOURS DANS LA RUPTURE EN DOUBLE AVEUGLE CONTRE LE MAROC ?

       Rien ne va plus entre les officiels du renseignement marocain et les caciques enragés et rouillés du DRS algérien. Tellement qu’il est difficile à tout marocain qui se respecte, de ne pas se motiver face à la donne politique incertaine algérienne, sur fond de terrorisme islamiste menaçant. Dont le vendredi noir du 26 Juin 2015 en Tunisie France Koweït et Somalie, en est la preuve dans cet environnement malsain, particulièrement au grand Maghreb. Ce qui n’incite plus à rester les bras croisés en le voyant se déliter de plus en plus, alors que le fossé de non collaboration continue de s’élargir entre les services de renseignements marocains et algériens.

       A cet effet, pourquoi le Maroc de la croissance, novateur et performant, est-il dans le collimateur de l’Algérie au retour manqué sur la scène internationale ? S'ajoutant à sa gestion politique chaotique constituant un pas dans la dégradation des rapports entre Rabat et Alger, dont on pensait avoir tout vu tout lu et tout entendu. Car comme le démontre le site Wikileaks d’Assange brossant un tableau des plus déconcertants laissant tout le monde coi, à propos d'une rude et probable altercation en perspective entre le Maroc et l’Algérie. Dont, apparemment, l’ordre du jour ne serait que le droit de poursuite légitime du Maroc, pour la maintenance de son Sahara dans la régionalisation avancée. Contre la notion d’ingérence de l’Algérie dans ce conflit préfabriqué par ses soins, ayant mis le feu dans tout l’espace Maghreb provoquant aujourd'hui divers échanges d’inimitiés de notoriétés internationales.

       En réalité, l’œil extérieur de wikileaks ne commence-t-il déjà à transformer les relations de tous les pays entre eux, surtout avec les USA à propos de ses milliers de câbles diplomatiques échangés ? D'ailleurs de ce point de vue, en scrutant les quelques exploitations-synthèses déjà livrées touchant de près ou de loin l’affaire du Sahara marocain, on en déduit que l’Algérie officielle hargneuse et rancunière n’obtempérerait jamais. Et pour cause, les interrogations échangées dans des câbles diplomatiques de pays comme l’Arabie Saoudite révélant ce dilemme algérien, par ailleurs longtemps connu des marocains. S’additionnant bien sur à ceux rageurs échangés par les diplomates algériens eux-mêmes, chaque fois qu’ils en croient avoir l’opportunité pour faire du mal au voisin de l’Est en l’occurrence le Maroc. Allant du dénigrement mesquin, voire maladroit, du modèle politique marocain jusqu’aux critiques infondées de sa production immatérielle cultuelle singulière dont tout le monde en parle. Tellement qu’ils y voient même, invraisemblablement, leur soi-disant salut-intérêt de continuer d’exister et d’en faire leur cabale politique sans merci contre le Maroc. Oubliant que ce dernier avec son calme sa sérénité et maîtrise, et c’est le moins que l’on puisse dire, montre qu’il est toujours préparé à contrer ces vagues de dénigrement. Usant seulement de ses propres moyens de riposte foudroyante et passe d’armes diplomatique virulente à l’ONU et partout ailleurs, envers l’Algérie et ses rares manutentionnaires pro-polisariens restants.

       Mais là ou l’arrogance du pouvoir algérien frise le ridicule, c’est lorsqu’il s’attaque à la réalité des échanges de co-localité-partenariat économique gagnant-gagnant que le Maroc a contracté avec les pays africains l’Espagne la France (cas de Peugeot-Citroën) et autres. Ne sachant qu’avec le temps, cette Algérie désœuvrée en a oublié de s’élever au rang de pays digne responsable probe et respectable. Car n’arrivant de s’évader du climat réactionnel cherchant par folie à provoquer zizanie, suite à quoi par sa paraisse notifiée et son déclin passif flagrant, elle en paye aujourd’hui les frais et de quelle manière. S’étant notoirement, conséquemment, fait larguer par le Maroc, et ce dans tous les domaines socio-économique financier culturel cultuel sécuritaire et politique. Vraiment, honte à ce pouvoir diffuseur de mensonges, au lieu de se tenir à l’écart et/où caché, il continue de solliciter certains directeurs de publication encore à sa botte, de bien vouloir taper sur le Maroc même en double aveugle. Alors de grâce, que Bouteflika pour une fois se ressaisisse et se retienne, parce que sinon sa mémoire risquerait de disparaître dans l’embrouillamini déjà en place pour sa succession.

       Pourtant à travers ce dilemme, on ne peut pas ne pas dire que le Maroc ne réitère à chaque occasion son approche d’offre d’optimisation de ses relations avec l’Algérie. En s’appuyant sur ses principes fondamentaux inaliénables et en anticipant sur les lectures de l’algorithme politique séquentiel des ennemis quels qu’ils soient, par la prévention la dynamisation de la politique étrangère et la protection des sites et données stratégiques de toutes origines. Tout ceci bien sûr, dans le but de la sauvegarde de l’intégrité territoriale, laquelle déjà bien profilée dans la régionalisation avancée s’adaptant aux changements  des données de cyber sécurisation. Puis l’optimisation du projet de progrès en tenant compte à la fois de l’environnement de modernité sans aventurisme, et aussi du souffle de l’authenticité sans dormir sur les lauriers, vigilance oblige. Et enfin, la rationalisation par la recherche d’équilibre institutionnel dans l’exercice de la démocratie évolutive responsable, intégrant sans ambages la limitation des risques des dérapages par le respect fondamental des droits humains.

       C’est vrai, Wikileaks se caractérise par ses publications, fruit des synthèses-investigations des câbles informatifs de grande sensibilité, notamment par la NSA américaine dans le segment du marché du renseignement. Dont la vielle Europe en voit aujourd’hui son fil d’actualité se dérouler sous-forme de festival d’informations que l’on pourrait intituler ‘’Parfum d’écoutes’’, lequel parrainé par Big Brother en l’occurrence les USA. Aussi, au-delà du style et la méthode, ce qui importe c’est le foisonnement la teneur la puissance et la diversification des informations livrées avec minutie sur l’Algérie agonisante. De sorte, pour lever la grande confusion sur les enjeux futurs en Afrique, le Maroc parait à travers ce décryptage mieux armé structurellement, eu égard à la manière de son implication humble dans l’aide aux pays africains pauvres et dans l’offre de son expertise multiple reconnue. Et, aussi géo-politiquement prenant solidement pied en Afrique en tant que futur émergeant à coté de la Chine la Turquie et l’Inde. Qu’en plus il est dorloté sinon dragué par l’Europe les USA et la Russie, en tant qu’hub d’activité d’entrée au marché africain. Contrairement à la fantaisie algérienne fictionnelle, composée d’une volonté de déconstruction de l’avenir de l’Afrique, parce que se basant sur les folies des fabulateurs et autres usurpateurs.

       Néanmoins, est-ce que le désenchantement actuel algérien par la rupture ne devient-il le signal du temps de ses coquilles diplomatiques vides ?  Visant à cacher voire à masquer les dérives délictueuses au sein des camps de Tindouf et ailleurs, et ce, entre manipulation des traîtres loueurs de leurs âmes et fraîcheur émotionnelle des néophytes. Aussi, force est de constater que le temps du baume parfumé des subsides gaziers et pétroliers dont l’Algérie se targuait, est fini. D’ailleurs ne commence-t-il à se gélifier voire se rétrécir dangereusement, la ramenant à sa vraie proportion dans l’échelle des cotations onusiennes ? Au point qu’elle ne peut plus s’ériger comme il n’y a pas longtemps en faiseuse des décideurs politiques africains, en leur racontant des bobards à propos du Maroc. À même de se permettre d’oser en termes à peine voilés de les malmener et menacer, comme ce qu’elle a fait dernièrement dans le cas de la Mauritanie, sous prétexte qu’elle détient des secrets pouvant la faire basculer dans le mal-être institutionnel. Ce faisant, pourquoi ce pouvoir algérien ne sait-il pas encore que la demi-vie du renseignement ciblé s’il n’est pas exploité à temps, elle se raccourcit de plus en plus ne servant qu’à faire perdurer les tensions et glaciations inutilement ?


       En résumé ce qu’il faut savoir, le Maroc n’est plus inquiet n’ayant de mal à démentir par des faits et actes avérés, les allégations colportées ici et là sur sa culture des droits de l’homme et aussi à faire valoir la résonance de ses atouts et réussites. Qu’au demeurant, il est en droit de s’interroger sur l’absence de l’Etat de droit en Algérie des détournements confirmés, s’obstinant toujours à ne pas aborder les vrais problèmes du grand Maghreb. A ce propos, dans ces conditions, n'est-ce pas d'emblée les marocains s’inquiètent pour les algériens qui se voient malheureusement déjà en commencement de transbordement dans le marasme de l’insécurité doublée de l’insolence des privilégiés des cercles du pouvoir ? A bon suiveur bonne lecture !         

samedi 20 juin 2015

LA CAUSERIE RAMDANIENNE INAUGURALE 2015, UN HYMNE DE VALORISATION DE L’EXCEPTION MAROCAINE !

Pourquoi et comment les causeries ramdaniennes augmentent-elles la valeur spirituelle-cultuelle du Roi du Maroc ?

       La causerie ramdanienne inaugurale du 18 Juin 2015 n’est-elle une première dans sa conception résistante à l’usure du temps ? En quelque sorte, ne s’agit-il aujourd'hui de l’aboutissement de la fabrication de la légitimité de la percée du modèle social-cultuel solidaire marocain?  Et/où s’insère la conviction aux conventions signées dans ce volet avec beaucoup de pays surtout africains. En ce sens, il faut savoir que lors de cette causerie ramdanienne, le ministre des affaires islamiques et Habouss a fait augmenter le débit de connexion à cette image cultuelle universaliste du Maroc. Tellement, l’explication de la connaissance du passé semble fondée s’additionnant à la subtilité des mots utilisés de façon à pousser à libérer les consciences de l’impact des contraintes que veulent imposer aujourd'ui les extrémistes islamistes et autres équipementiers de l’Islam politique. Certes qu’il l’ait fait et annoncé dans une locution profondément structurée logiquement construite se basant sur l'apport iconoclaste en religiosité d'un saint marocain en l'occurrence Bel Abbas Sebti (1130-1205), mais distillée en plus sans omettre de rappeler que ce fut sur commande du Souverain par le choix pertinent et intelligent du sujet.

       Vraiment, de l’aveu implicite du ministre lui-même Ahmed Taoufiq, il s’agit de la meilleure des résolutions d’introduction de nouvelle visibilité politique basée sur la régularité de l’action du Souverain en tant que commandeur des croyants. Ainsi, la nuance est de taille pour comprendre la revalorisation de la crédibilité du pays et de ses institutions de régulation du champ cultuel loin des scènes de cafouillage comme sous d’autres cieux non envieux. Non seulement comme objectif d’accélérer le rythme de l’offre de la formation des Oulémas Imams et autres prédicateurs hommes et femmes, selon rite sunnite d’obédience malékite. Mais, aussi pour continuer à rester vigilant dans l’application des cahiers des charges de la nouvelle organisation et dans l’accomplissement de ce chantier grandiose de tolérance. D’autant plus qu’il faut noter le regain d’intérêt d’autres pays lointains, pour la consommation de ce modèle de production de richesse immatérielle spirituelle. D'ailleurs, ne l’en voient-ils pouvant mettre fin à l’animosité qui empoisonnent les fédérations et ‘’rabitats’’ islamiques de par le monde? Et ce, pour ne continuer à y laisser des plumes par l’incohérence des appréciations de l’unicité d’Al Oumma.

       En effet, c’est extraordinaire cette appréciation-comparaison de l’évolution historique des rivalités constructives dont le Maroc fut le champ de prise en compte et de mise en œuvre. De fait, de ce point de vue pour le lancement de nouvelles lignes sans heurts ni contraintes, le Ministre Ahmed Taoufiq n’a-t-il objectivement lancé à qui veut l’entendre en interne comme en externe, des messages de noblesse et non de faiblesse, pour l’appréciation culturelle cultuelle spirituelle philosophique et même politique marocaine du temps présent ? Parce qu’en faisant passer en revue par segment l’évolution de conscience du penseur Sebti Belabbass à propos de sa doctrine en matière de solidarité et unicité, il a suscité des interrogations entre la valeur d’introduction de la nouvelle visibilité solidaire cultuelle et politique du Roi du Maroc et les enjeux colossaux socio-économiques culturels écologiques et sécuritaires que vit le monde aujourd’hui.

       Certes, ce fut un grand moment de dissertation-réflexion comparative claire d'Ahmed Taoufiq sur la perception de l'idéal-ascétisme ''Azzouhd'' de cet homme exceptionnel, l'ayant fait devant le Roi et un parterre de sommités d’oulémas et diplomates. Notamment au travers ses appréciations par rapport au déroulé de la vie de Belabbass dans le contexte de soufisme et bouillon de culture de l’époque. En somme, il en a disséqué les facettes multiples et expliqué en long et en large l’évolution de la notion de solidarité dont les résultats pèsent encore jusqu’à nos jours. Voilà pourquoi, il est désormais aisé de savoir que le Maroc n’en a de leçon à ne recevoir de personne. Au contraire, par ce genre de débat il impose son approche visionnaire, s’étant vu faire lui-même sa mue socio-économique cultuelle culturelle et sécuritaire. Néanmoins, pour asseoir davantage sa légitimité en tant que leader dans ce segment concurrentiel, il table sur l’augmentation des investissements étrangers montrant qu’il est le pays le plus serein et le plus sûr de tout le grand Maghreb ayant subi les affres du printemps arabo-amazigh 2011.


       Cependant, la question, y’aura-t-il réévaluation de la pensée islamiste en ON en interne, après cette introduction taoufiquienne à connotation spirituelle-cultuelle pour la nouvelle cotation internationale du Maroc dans l’échelle de la générosité solidaire participative ? C’est vrai, les réussites enregistrées diversifiées au Maroc et à l’Etranger, sous l’influence directe du Souverain dans divers domaines de lutte contre la précarité et la paupérisation, sont fortement appréciées partout dans le monde. N’empêche qu’il reste encore des options non tranchées sur le redéploiement des réseaux partisans égoïstes trop portés sur Al BOUKHL (avarice) à risque sociétal en interne. De surcroît traînant encore les pieds dans le partage par conviction, parce que n'ayant que faire des retombées puissent-elles être significatives. Ainsi, comme ça ils ne donnent correctement sa vraie valeur à l’héritage culturel marocain de la générosité axée sur les services solidaires. Et c’est bien là le drame, car ne pouvant intégrer la conception de Sebti Belabbass à propos de ses nombreuses qualités ressemblant à une sorte de charte comportementale. Dont il va falloir en élaborer vite les contours de façon à s’auto immuniser de toutes les dérives façon islamo-daechiste n’engendrant que mal-être surtout au sein des arcanes des institutions même celles constitutionnelles. Car le point noir qu’on ne le veuille où pas, est dans la neutralité de certains politiques, lesquels semblant même s’en accommoder facilement vis-à-vis de ces manquements et dérapages insolidaires. Malheureusement, conséquemment détournés au profit de quelques responsables toujours en état de phagocytose des positions pour plus d’enrichissement illicite. 

mercredi 17 juin 2015

DRAGUE ET HOSTILITÉ AU PARLEMENT MAROCAIN SUR LE CHAMBARDEMENT DES CIRCONSCRIPTIONS ÉLECTORALES !

Au-delà du fond des discordances à la façon modulable non sereine entre parlementaires marocains, pourquoi certains zélés parmi-eux oscillent désormais entre drague manifeste et hostilité en subliminale vis-à-vis du ministère de l’Intérieur ?

       Aujourd’hui, ce qui importe pour le citoyen marocain c’est connaitre la vraie raison de cette bifurcation dans la finalité de la démarche non unioniste des députés et conseillers au sein du parlement. De toute façon, il s’agit de la volonté montrée du chambardement des structures des circonscriptions électorales par le ministère de l'Intérieur, pour le renouvellement et/où préfabrication d’une autre génération d'élus pouvant intégrer le rapport performance/résistance. Et donc, de fait, pour l’aboutissement de la politique profitable au marché de la bonne gouvernance, dont le point fort n’est autre que la meilleure exploitation des transmutations socio-économiques et autres indications des transfèrements des données sociétales et urbanistiques du dernier recensement de Septembre 2014. D’abord pour le développement et la sécurité vraie, s’ajoutant aux opérations de restauration de la droiture et probité dans les services publics. Puis dans le but d'aider au bannissement de la rente quelle qu’elle soit, afin de garantir l’égalité d’entreprendre selon les mêmes normes pour tout un chacun.

       Néanmoins, comment se fait-il que ces zélés n’ont pas de recul sur leur propre bilan au parlement et dans les communes? N'étaient-ils pour certains les serviteurs muets sur la base de l’opportunisme et/où l’incompétence, rapports successifs de la cour des comptes faisant foi ? Ainsi, le moins que l’on puisse dire, pourquoi le bras de fer est-il engagé entre le ministère de l’Intérieur et ces prétentieux zélés, à propos du découpage des circonscriptions électorales ? Parce qu’au vu de leurs sorties médiatiques calamiteuses s’accrochant à leur prétention, ils en rêveraient de déboulonner le contrôle des walis et gouverneurs. Même si cela ne plairait pas à quelques ténors au sein de leurs partis, car tenant compte de surcroît de la promesse administrative didactique d’accompagnement de tous les politiques en l’occurrence. Afin et pour compléter leur gouvernance pour le meilleur des usages de la régionalisation avancée par la force et le respect de la loi. Mais la vérité, c’est que ces zélés ayant démarré leurs hostilités signifiant à qui veut l’entendre que leurs rapports ne sont pas au beau fixe, n’en ont de stratégie tenant debout surtout pour ne pas se voir bloquer au premier clash avec l’administration territoriale de contrôle. Et c’est encore plus vrai pour les usurpateurs se lançant dans des exercices périlleux, croyant bon de mettre une institution telle Les FAR (Forces Armées Royales) en mauvaise posture. Qu’heureusement, grâce à Dieu l’Etat dans sa réactivité rapide de rattrapage de leur ‘’Maqr’’ tromperie préméditée, n’a pas lésiné à stopper net cette perspective visant l’affaiblir à l’avantage des ‘’Tandims’’ ennemis. En ce sens, ne peut-on d’ores et déjà dire, désormais les futurs présidents des collectivités territoriales dans la régionalisation avancée, seraient sur le gril de leur fascination et rejet des contrôles du ministère de l’Intérieur ? Et que, n'est-ce pas l’affaire Aftati en est le creuset de susciter leurs interrogations, au vu des preuves sur son acte gravissime dont il est pour le moment sermonné et écarté des structures de son parti le PJD dans l’attente d’y voir plus clair ? Aussi, n’a-t-il découvert que son immunité non positivement voire mal intégrée, l’a plongé dans l’escarcelle des indésirables pour ne pas dire "persona non grata" sur toutes les frontières et régions militaires voire même au delà ? De fait, ne se sent-il ainsi politiquement à poil, ne pouvant plus se débarrasser de sa transgression des lignes rouges pourtant facile à deviner, ayant mis en plus ses compagnons au parti dans la perplexité des indélicats non dignes du vrai nationalisme ? Pour peu, on aurait pu avancer qu’il aurait été fait étourdir dans les promesses des méandres de l’Exécutif de contrecarrer la vigilance de l’Etat. D’autant plus qu’il n’est pas à son premier essai, qu'en effet heureusement s’étant toujours fait ramassé des remontrances de la part des marocains avertis, ne voulant aucunement cautionner ses essais et sauts dans l’inconnu.

       C’est vrai, partout dans le monde le découpage administratif électoral fait partie des prérogatives administratives du ministère tutélaire en l’occurrence. A cet égard par ailleurs, c’est quoi donc ce mystère de transgression sous-forme d’orgueil vindicatif notoirement invraisemblable (OVNI) de ces propagandistes politiques, vilipendant la tutelle pour soi-disant se légitimer auprès des populations ? D’ailleurs, leurs atermoiements à la chaîne ne trouvent-ils leur explication dans leur réticence à ne se plier à la réalité convertie en nouvelles entités électorales sur le terrain ? N’est-ce là où voyant l’étau électoral se resserrer, ne pouvant savoir s’ils seraient où pas hors course, alors qu’ils avaient presque tous pratiqué Al Inzal (parachutage-rembourrage) dans les listes de leurs circonscriptions ? Et oui, outre l’outrage nouménal par le non-dit à ce propos entre l’islamiste bobard faussement porté sur "bayssar" (bissara), le politique de droite nanar fume-cigare et celui de gauche caviar au profil fêtard, ne s’agit-il en fait d’anticipation du résultat de vexation-jalousie entre eux, et ce avant de se mettre sur le circuit de la surenchère électorale ?

       Néanmoins, modestie incluse, il est indispensable de donner plus d’informations sur cette image même dans les décisions les plus élémentaires de la tutelle administrative concernant les lois électorales loin de toute filouterie politique. Mais seulement comme compile de questionnements sur les problématiques soulevées à ce propos de la part des observateurs-suiveurs de l’évolution du champ politique marocain. En effet, par conséquent, ne peut-on affirmer que c’est aussi la conséquence du rythme politique de l’Exécutif gouvernemental moins relevé presque ennuyeux, ayant trop tardé pour la mise en effectivité de ce chantier. S’ajoutant en plus à l’approche de l’opposition institutionnelle moins régulière, car se balançant de l’extravagance dans les propos vis-à-vis du gouvernement à la grossièreté de l’indifférence parfois par des silences montrant sa part de fausse volonté. Evidemment, dans la bouche des communicants des partis politiques à propos de la concertation et la confrontation avec le ministère de l’Intérieur, la version sur cette tension préélectorale change de virulence qu'ils soient d’un bord où l’autre. Dont les observateurs et analystes y voient déjà des démarches discrètement initiées pour l’apaisement seulement de façade et qui n’est un secret pour personne. Parce qu'effectivement, ces derniers savent que les politiques useraient tous, sciemment, du guide de promesses abracadabrantes pour se faire réélire, tout en gardant un œil les uns sur les autres. Cependant, il n’en demeure pas moins que la distinction dont ils se targuent les uns les autres, de contrer l’administration territoriale n’est que foutaise presque un leurre. Car ressemblant qu’on ne le veuille où pas à un fusible, qu'éventuellement il sauterait à la moindre surchauffe dans le positionnement de neutralité passive de la tutelle.