dimanche 22 octobre 2017

ENFIN MESSAHEL A MONTRÉ QU'IL RESTE SUR LE MODELE EXCLUSIVEMENT MENSONGER CREE PAR ABDELAZIZ BOUTAFLIKA DES 1966 ?

AU MAROC, A L’ÉVIDENCE, IL EST TEMPS DE NE PLUS PRATIQUER L'APPROCHE DIPLOMATIQUE AUSTÈRE ET FROIDE FACE AUX MALVEILLANCES DU POUVOIR ALGÉRIEN ET SES SATELLITES.

       Au-delà de toute autre considération, il est évident que la riposte diplomatique marocaine aux délires du ministre des affaires étrangères algérien Abdelkader Messahel est dans les tuyaux. D'ailleurs, que le pouvoir Boutaflika ne le veuille ou pas, elle sera l'expression qualitative utile à la réalisation de l'autonomie dans le cadre plus prometteur qu'est la régionalisation avancée durable incontournable. Particulièrement en rapport à la certitude sur l'épanouissement que veulent les marocains, sans idéologie de religiosité ni désordre de progressisme et encore moins de non croyance en les droits humains. En plus, loin du gouffre des ténèbres dont vit aujourd'hui l'Algérie, d'abord en s'armant de pragmatisme. Puis, en donnant plus de transparence dans l'autogestion pour se débarrasser des freinages perfides ici et là qui font blocus à cette alternative de production de stabilité de développement et de sérénité dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Ce qui, de fait, aidera à la mise au point d'une gouvernance appropriée de maintien parfait de l'équilibre socioéconomique écologique culturel et cultuel au Sahara marocain. Afin que le résultat sécuritaire s'y afférant ne soit moins satisfaisant, et ce, en utilisant les dispositifs d'alarmes conçus dans le cadre institutionnel où, à défaut, après le temps de sa mise en effectivité aux impératifs de rester vigilant. Parce qu'avec des gens comme Messahel, de par sa pratique de la diplomatie de dérobade tordue et fuite en avant, il faut s'attendre au pire au vu de son choix délibéré de défier et trainer par terre la dignité des marocains.

        Et oui, les gens du pouvoir chez nos voisins de l'Est ont tout au long des 18 dernières années, désiré et construit à forces de turpitudes, le mur d'incompréhension Rabat-Alger, tout en se projetant dans leur chimérique rêve d'avoir sous leur domination et contrôle toute la sous-région. Mais, pourquoi sont-ils si naïfs d’être restés sur cette idée pendant tout ce temps ? Ne voyant qu'au Maroc, on est déjà au stade d'en rigoler voir d'en rire un bon coup de leurs vieux réflexes d'un temps révolu. Autrement dit, pourquoi est-ce que le gouvernement Ouyahia a-t-il un déficit d'écoute et d'attention vis-à-vis des voisins ? Étant donné, quand on scrute le comportement de certains de ses membres, on voit qu'ils s'agitent nerveusement en masquant leur peur qui se jette sur eux comme une douche froide les mettant dans une torpeur. On a même l'impression, qu'ils ne savent pas que l'heure est grave en Algérie se sentant désormais seule que riche, à même d’être devenue complexée attendant que sa situation s'améliore toute seule. Vraiment, elle est dans une situation non envieuse de par sa panne multidimensionnelle institutionnelle économique et diplomatique, tellement elle ne sait pas où elle en est. N'est-ce parce que, ses dirigeants sont braqués sur ce que fait le Maroc en Afrique et dans le monde, et dont le peuple algérien en souffre les voyant passer souvent d'une activité sournoise à une autre sans résultat probant. Aussi, le déficit d'attention chez-eux car vivant dans la hantise de l'exclusion du concert international, n'est-il devenu excessif à même l'obsession jusqu'à culpabiliser en parlant avec excès pour ne rien dire ?

       A ce propos, s'il est vrai que le besoin de rendre coup pour coup s'avère nécessaire après les vociférations de Messahel, son absence serait source de profonde déception. D'ailleurs, eu égard à sa course diplomatique controversée dépourvue de bon sens et porteuse de chocs et tensions dommageables pour le bon voisinage au Maghreb, cela ne lui procure aucun respect. Ni d'ancrage ni de création d'une autre dimension de lui, au vu de sa méchanceté et de son effet de portance négative sur l'image de l'Algérie à l'international surtout en Afrique. Néanmoins, il faut le répéter, la seule forme qui saura apaiser les ardeurs des marocains est celle d'un changement total du paradigme d'organisation et de réactivation diplomatique vis-à-vis du pouvoir Boutaflika. Pour le contrecarrer énergiquement dans toutes les chancelleries du monde, même sachant que d'une façon générale, la diplomatie permet de corriger les déformations structurelles des raisonnements qui ne tiennent pas la route.  Ce qui est le cas de la pratique diplomatique à Messahel et ses relais, qu'en effet, cela nécessite qu'ils subissent un recyclage intensif de calme et sérénité pour ne plus rester dans les envolées mensongères, par ailleurs contrindiquées aux personnes qui ont fait un AVC (Accident vasculaire Cérébral). S'ajoutant à ce qu'il puisse se faire révéler la signification de la hauteur de vue des diplomates marocains responsables, loin du comportement de ses enragés disciples qui ne proposent aucune explication. Mais, seulement essayent d'imposer la rythmique de la manipulation, sans y arriver à théoriser leur manque d'amabilité des marocains, n'usant que de bavardage ennuyeux comme base confusionnelle marquant leur propre histoire en restant dans le déni .   

       En cela, il est temps d'en finir avec la grisaille au gouvernement Othmani qui passe son temps à courir derrière les événements en l'occurrence, ceux en interne d'ordre sécuritaire touchant à l'intégrité territoriale ? Et, d'en tirer les conséquences par l'usage de la carte maitresse de la constitution, celle dont l'annonce est imminente de surcroit le Conseil Suprême de Sécurité  CSS (Article 54). Comme ça, l'on peut dire, l'effort de se préparer de s'engager de cette future Institution Constitutionnelle à toutes les éventualités, deviendra pratique accessible et adaptable aux situations, conformément à la loi et à la ligne tracé par le discours royal du 13 Octobre 2017 devant les parlementaires. Il est même opportun, primo de bouger rapidement dans ce sens avec abnégation pour maitriser les enjeux liés à cette disposition, et secundo de dynamiser l'approche avec lucidité en s'équipant de panoplie de mesures concrètes pour anticiper et siphonner les malveillances en interne à la racine. Non seulement dans le but, d'assurer une résonance de gouvernance sans interférences et sans enchères, mais aussi sans implications qui ne peuvent être suffisamment raisonnables et argumentées. Dès lors que les dangers, sont les mensonges relayés par les ennemis usant d'essais de s'édifier sur le dos du Maroc et se justifier en demeurant rigides si ce n'est autistes à ce que veut le Conseil de Sécurité de l'ONU par sa Résolution 2351 fin Avril 2017. A bon suiveur, bon décryptage !

lundi 16 octobre 2017

TANT PIS POUR ALGER, RABAT EN TERMES DE CE QUI EST SA CONSTANCE NE S’EMPÊCHERA D'APPLIQUER L'AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN.

A CE PROPOS, L'AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN EST AUSSI LE POSTULAT DE CONSERVATION DE L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE POLITIQUEMENT VIABLE ET ÉCONOMIQUEMENT DURABLE.

       Le monde entier sait que de Feu Houari Boumedienne au président absent Abdelaziz Boutaflika, la machine politique du pouvoir pour contrarier le voisin de l'Ouest est restée essentiellement la même. Notamment dans les prises de position comme dans l'attitude par manque de clairvoyance et d'intuition, dont l'élément invariant c'est la haine du Maroc. D'ailleurs, dès 1964 la certitude en était acquise, et chaque nouveau événement au Maghreb et en Afrique en apportait la confirmation. Pire encore, ce pouvoir n'a eu de cesse à ce jour que d'essayer de rendre cette invraisemblable invariance, réplicative à l'UA à la LA et à l'ONU. Sans y parvenir heureusement, au point que c'est lui qui vit aujourd'hui dans le désarroi n'arrivant toujours pas à sonder les pensées du Maroc ni à le faire changer d'avis. Comme ça, l'on peut dire, sa capacité de nuisance et à répandre les mensonges et contrevérités autour de tout ce que fait le Maroc dans son Sahara, a lamentablement échoué. Toutefois, n'est-ce là l'une des forces du message en subliminal du discours royal du 13 Octobre 2017 devant les parlementaires, assurant et démontrant avec élégance diplomatique comme quoi le Maroc créera un ministère des affaires africaines ? D'où, concrètement sur le terrain à l'UA, se dégage déjà sa volonté à passer à l'effectivité rapide de la régionalisation avancée politiquement viable et économiquement durable.

       Oui, aujourd'hui, toute l'Afrique voit en cette assurance inébranlable de créer ce ministère, une réorganisation diplomatique exécutive sous-forme de commando en bon ordre pour dépasser les frustrations du passé. Une façon pour le Maroc de maitriser le temps de réactivité par des dispositifs d'alertes et de continuer à atteindre ses objectifs de codéveloppement par les partenariats stratégiques gagnants-gagnants Sud-Sud. En ce sens, il faut le rappeler sans ambages, c'est un souhait d’engrangement d'une mécanique diplomatique allant jusqu'au freinage des turpitudes du pouvoir Boutaflika. Et donc, de ne plus se soumettre à ses invectives dénuées de sens, dans ce qu'il considérait son territoire et son empire, tellement, il s'en était convaincu ne jamais se voir s'en déloger. Le retour triomphal du Maroc à l'UA fin Janvier 2017 au Sommet d'Addis-Abeba, faisant foi. De fait, que ce pouvoir ne s'étonne point que le Maroc-diplomatique ne le laissera embobiner les africains en se prétendant l’État humble et sur, pour l'avenir du continent. Alors même que c'est la peste qui se cache derrière ses machinations, n'augurant rien de bon en matière de mise au pas de l'UA par ses comportements totalitaires d'un temps révolu. Voilà pourquoi, le Maroc de par son expérience cumulée à l'ONU veut mettre fin à cette problématique par une fournée de diplomates à poigne femmes et hommes, qu'en effet sont le produit de la symbiose évolutive dans la battisse chellaéenne à Rabat. A l'évidence, n'est-ce là, où l'on apprécie l'approche différentielle que porte le dernier discours du Roi du Maroc Mohamed VI, par laquelle, on l'espère, s'exprimera la réalité du génie marocain dans les futures actions séquentielles à orientations ciblées pour contrecarrer à tout moment les digressions des ennemis.

        Il est de notoriété publique que l’État algérien est surnommé à l'international le pouvoir roublard. Car, il ne s'illustre pas par sa présence en ON dans les Sommets symposiums et rencontres dont en souffrent ses supporteurs lobbyistes, mais seulement  en OFF par son jargon diplomatique dépassé par les événements. Autant le dire avec clarté, bientôt le Maroc s'en sortira de la balance de la jalousie algérienne en passant à l'application de son offre d'autonomie. Même si, c'est vrai, il faut s'attendre à d'autres machinations de roublardises pour maitrise médiatique, qu’éventuellement annonceraient d'autres invariances tues jusqu'à présent. Parce que, rentrant dans la stratégie du pourrissement via utilisation de mystérieux boucliers dans le cadre du plan perfide mijoté par Christopher Ross avant son départ à l'exemple du fédéralisme repoussant les frontières. Mais, là où le bât blesse, pourquoi ce pouvoir ne sait-il pas que cette voie ne serait une adaptation fonctionnelle à l'offre d'autonomie au Sahara marocain ? N'est-ce pas, dans ce contexte très particulier elle serait une modification du processus adopté par le Conseil de Sécurité de l'ONU dans ses Résolutions, en l'occurrence celle 2351 fin Avril 2017. En conséquence de quoi, pour ne plus prolonger ce genre de confusion et tendre encore la tension avec le pouvoir algérien jusqu'à la limite, il est demandé à nos diplomates de rester sur la mobilisation en multipliant les interventions et explications de la portée du vote de la 4-ème Commission en faveur du renforcement de l'offre marocaine dans la régionalisation avancée. Au sens où cela fut l'un des thèmes centraux des débats au sein de cette Commission, confirmant qu'aujourd'hui le fonctionnement des décideurs Ouyahya-Messahel-Laamamra-Cherqui et Gaid Salah et leurs relais, a fait psitt. En plus, rendant compte de leur incapacité d'anéantir la normalité du leadership marocain à l'ONU, qu'au demeurant tous les intervenants en ont appelé et justifié à la fois la réalisation et la technostructure de la thèse marocaine.

       De fait, on peut certes se demander si tout ce temps, toutes les invariances à plusieurs composantes qui constituent la trame du discours de l'équipe Boutaflika par rapport au Sahara marocain ne sont-elles que des fictions ? D'autant plus, qui se substituent à la réalité pour en donner une image par la tromperie rhétorique et mesquine spécifiant une relation qui alimente l'invariance dans son positionnement anti Maroc. Parfois, allant jusqu'à penser par compromission avec le Polisario, qu'il existe une soi-disant identité sahraouie extrêmement mythique incompatible avec l'idée de la marocanité opérationnelle dans l'offre d'autonomie 2007 dans la situation géographique du Maghreb. Tellement, l'on en perçoit que ce pouvoir haineux s'y trouve encore mal à l'aise, face à la raison incompressible et à la détermination irrépressible de l’État-Maroc qui continue de prendre de plus en plus d'étoffe politique à l'international. Et bien que les choses soient claires, et tant pis pour Alger, l'exemple le plus frappant dans ce genre d'avance perfide c'est la Kabylie, où il est facile de voir la formulation de l'indépendance avec ou sans dédifférenciation politique et socioculturelle. Sans oublier que ce cas, vient d’être mentionné et revendiqué officiellement par Mr Mehanni à l'ONU, notant que son statut a été profondément biaisé par les totalitaires dictateurs du FLN au moment de la proclamation de l'indépendance de l'Algérie en 1962 après les accords d’Évian qui ont mis fin à la guerre. Comme ça, tout un chacun, saura que ce pouvoir n'y pourra rien changer à la vision du Maroc unique unitaire et indivisible, dans son principe usant de la matrice constitutionnelle comme l'ont prouvés les processus électoraux à chaque occasion. A bon suiveur, bonne lecture !

mardi 10 octobre 2017

A L'ONU A LA 4-EME COMMISSION, DÉSORMAIS C'EST LA TENDANCE A ÉLARGIR LA DIMENSION POLITIQUE DU MAROC PAR LE SOUTIEN A SON OFFRE D'AUTONOMIE.

AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU ON SE PRÉPARE AUSSI A SUPPRIMER LES MULTIPLES FREINS A LA RÉALISATION DE L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE.

       Aujourd'hui, beaucoup de sommités politiques à l'UA l'UE et à la 4-eme commission de l'assemblée générale de l'ONU n'acceptent plus que l'Algérie continue d'alimenter le bruit de fond de l'idéologie du temps de la conférence de Bandung. Et même ne comprennent qu'elle ait pu, à elle seule, entretenir l'embrouillamini onusienne sur le Sahara marocain, dès lors qu'à présent elle ne peut plus opérer dans ce domaine d'exigence sécuritaire rigoureuse, dont ni la manipulation ni le hasard n'ont de place. De fait, une fois encore, ne faut-il qu'elle renonce à cette posture et ne plus s'appuyer sur ses rêves chimériques basés sur le délire par indécence ? Comme quoi, le seul espoir pour elle, c'est l’abandon de cette confusion en ne restant plus dans la mécanique boutaflikienne de l’ingérence sans avenir. Mais la question qu'il faut se poser, pourquoi pendant tout ce temps l'ONU a-t-elle discriminé le cas du Sahara marocain en laissant cette tromperie de synthèse des ennemis du Maroc prendre de telles proportions ? Néanmoins, faut-il le rappeler, le Sahara marocain ne ressemble en rien le cas du Zimbabwe Namibie et même l'Algérie qui, elle, cherche à avoir sa jetée sur l'Atlantique. Encore moins les exemples de Macao Hong Kong Catalogne Lombardie Kabylie Québec et autres atolls iles au Pacifique Somali-land et territoires qui étaient avant la Révolution des œillets contre Salazar, sous tutelle portugaise. 

       D'autant plus, cette discrimination parait être faite entre les autonomies élaborées et soutenues par le Conseil de Sécurité de l'ONU dans d'autres cas moins évidents. En quelque sorte c'est une illustration frappante de l'animosité des lobbys anti Maroc qui furent longtemps influents au sein du DEA particulièrement avec John Kerry sous l'administration Obama. N'est-ce, en premier lieu, on trouve là l'explication du fait, que le dossier du Sahara marocain ne soit toujours pas réglé dans la sphère onusienne ? Mais en second lieu, c'est qu'il y a une confusion qui date de la 25-eme session 1971 des Nations-Unies sur laquelle les ennemis se basent encore sans tenir compte du jugement historique de la C I J à La Haye 1975. D'ailleurs, la notion de ''relation'' rendant compte de l'attache du Sahara marocain à l'activité souveraine des Sultans du Royaume Chérifien est d'une importance capitale dans ce jugement prononcé alors que le Caudillo était en agonie à l’hôpital à Madrid. En effet, c'est une opportunité juridique ouverte par la raison et la profondeur de la réflexion de Feu Hassan II, et qui a donné lieu à ce que le monde entier ait vu en direct, en l'occurrence la Marche verte ''Massira'' de 350000 marocains dont 10% de femmes le Coran en main le 06 Novembre 1975 bravant l'armée de l'air espagnole venue les intimider. A cet égard,  32 ans plus-tard après 8 du règne du Roi Mohamed VI en 2007, ne s'agit-il là de la puissance de son offre d'autonomie dans la régionalisation avancée pour le Sahara marocain ? De surcroit, est toujours d'actualité une décennie après par ce choix délibéré et conscient pour le bien du Maroc et de toute la sous-région Maghreb-Sahel subsaharienne africaine. Sachant, qu'elle constitue encore une véritable assiette de proposition pour le Conseil de Sécurité de l'ONU, pour arrêter définitivement la discrimination tendancieuse exercée par les ennemis irréductibles en leur clouant le bec ? Comme ce que font désormais, nos ambassadeurs dans leur offensive notamment envers ceux des récalcitrants à la thèse marocaine, qu'en effet n'en savent rien de l'Histoire de la région mais mijotent tout de même des soi-disant solutions en s'aventurant dans des élucubrations insensées. 

       Évidemment, le Conseil de Sécurité de l'ONU par ses Résolutions a montré qu'il a fait croix sur ces cogitations, car les considérant extrêmement contreproductives voire dangereuses. Les unes portant sur l'autonomie hybride tantôt dans l'association tantôt dans la régulation pour une hypothétique émancipation. Les autres dans le fédéralisme fourretout par renforcement scissionniste programmé dans le temps pour l’autodétermination. Par rapport à la hauteur des ambitions du Maroc non pour s'en servir de son offre inédite, mais seulement pour la servir de tous ses atouts indiscutables en ces temps des séparatismes à tout vent et qu'au demeurant sont avortés et décriés avec véhémence ici et là. N'est-ce cela, par ailleurs, qui donne au Maroc par ses réussites géopolitiques successives actuelles et ses orientations diplomatiques ascendantes, l'image de son épanouissement géostratégique ordonné que lui envie le pouvoir Boutaflika ? Dont, il est maintenant facile de savoir que le prophétisme à Ksar Lamradia de voir un jour le Maroc sans son Sahara, est lourd de conséquence pour la survie de ce pouvoir, ainsi que de son avorton le Polisario. Parce que c'est lui, désormais, qui se trouve au fond de ses puits pétroliers et gaziers et donc par conséquent carrément aux abois sans alternative de secours ni pour lui ni pour la RASD au sein de l'UA. Même pas, par la planche à billet qu'il veut lancer et que lui refuse la BM et le FMI, et d'où il cherche à faire taire la gronde en interne pour ne pas sombrer. Alors même, tout indique que les algériens veulent tourner la page du président absent et instaurer un nouveau système dans ce qui pourrait redevenir la nouvelle Algérie démocratique. Déjà les partis d'opposition les intellectuels la société civile et une partie des officiers libres, demandent la destitution de ce président légume sénile. Et ce, pour manquement à ses responsabilités par incapacité d'exercer la fonction présidentielle, ce qui rappelle le cas Bourguiba en Tunisie. S'ajoutant, en plus que les années Boutaflika ont été très mauvais pour l'Afrique, qui en a souffert des manipulations et des intrigues l'ayant laissées à la traine dans beaucoup de domaines.

       Aussi, l'on peut maintenant affirmer, la conformation de l'offre marocaine d'autonomie dans la régionalisation avancée est consolidée et stabilisée par le développement tous azimuts que connait la Sahara marocain. Surtout, après les sauts probants en chantiers structurants et aussi en mécanisme institutionnel juridique-administratif-sécuritaire qu'apporte la constitution du 01 Juillet 2011 en tant que Maroc unique unitaire et indivisible. En l'occurrence constitués par une séquence maitrisée topologiquement ascendante, tellement qu'à l'International personne n'en nie l'efficacité ni l'aspiration du Maroc de rentrer parmi le club restreint des pays moyens en voie d'émergence. N'est-ce d'ailleurs ce qui détermine le vent nouveau qui souffle en sa faveur dans les instances onusiennes, y compris dans leurs aires d'associations avec lui au vu de la reconnaissance qu'elles lui portent comme la FAO l'OMS l'UNICEF l'UNESCO et le HCR ? Qu'en définitive, on peut y voir la somme de la coopération d'un grand nombre de pays cherchant à s'inspirer de son modèle structurel de fonctionnalité. N'est-ce aussi, pour cela on parle aujourd'hui, de plus en plus de ''spécificité marocaine'' qui s'appuie sur un cadre institutionnel solide et un État de droit, que même le malintentionné Secrétaire d’État belge n'y peut rien pour perturber le tournant spectaculaire de la prise de conscience de l'Europe à propos de la stabilité du Maroc dans la paix la liberté et le respect des droits humains. Sans omettre les demandes pressantes d'échanges économiques et d'investissements, lesquelles sont encadrées de partage du renseignement qui améliore le niveau de sécurité dans la région MENA toute entière et pas seulement. A bon entendeur, salut !

dimanche 8 octobre 2017

UN VENT NOUVEAU A L'ONU PAR LA PASSION LA VOLONTE ET LE POUVOIR DU MAROC DE GAGNER.

APRÈS TANT D’ANNÉES DE MANŒUVRES DU POUVOIR ALGÉRIEN, N'EST-CE LE MOMENT PROPICE POUR L'ONU DE PASSER A LA RÉALISATION DE L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE ?

       Tancée savonnée presque humiliée, l'Algérie sait que désormais le vent tourne en faveur du Maroc qui est resté fidèle à sa manière de susciter l'espoir constructif pour la réalisation de son offre d'autonomie 2007 en vue de la stabilité et la sécurité de la région. Contrairement à elle, toujours dans sa logique de sape des efforts de l'engagement du Conseil de Sécurité de l'ONU par ses Résolutions sur le Sahara marocain, qu'effectivement, chemin faisant, la Communauté Internationale est devenue accro à la vision marocaine de gagner tous les défis pour toute l'Afrique. En tout cas, c'est ce qui ressort en filigrane des débats à la 4-eme commission de l'Assemblée Générale de l'ONU des droits de l'Homme la concernant, se trouvant par ailleurs dans ses retranchements acculée dos au mur. Comme ça, à propos de ses manœuvres diplomatiques louches diaboliques voire belliqueuses vis-à-vis du Maroc, elle n'est plus un modèle de gain de confiance dans une ONU en pleine mutation, surtout dans les conditions d'écoulement de l'information plus fluide. Désormais, tous les pays voient en la posture qui n'a que trop duré de cette Algérie ankylosée xénophobe, qu'une immense souffrance qu'elle endure n'écoutant pas leurs conseils de s'y résoudre à la réalité. Tous, aujourd'hui se posent la question, qu'y a-t-il vraiment sous le flou de son positionnement pour ne pas dire le voile de sa sédition en continu contre le Maroc ? A cet égard, il est exact qu'au sein de l'UA, plus de 44 pays africains s'opposent à la fois à cette façon de faire par ses gesticulations à haut risque dans le dossier du Sahara marocain et aux aboiements de son avorton enragé le Polisario. 

       Pourtant, au Conseil de Sécurité de l'ONU, à ce jour il n'est de véritable offre qu'une seule, celle d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée qui porte l'espoir de la politique de la transformation que vivent les 03 régions (Dakhla Oued Eddahab-Laayoune Saqui Al Hamra- Guelmim Oued Noon). En revanche, pour le Maroc, il s'agit de tout entreprendre pour assurer une meilleure assimilation de son offre par le nouveau envoyé spécial l'allemand Horst Kohler, et rendre, toutefois sa faisabilité aisée. D'ailleurs, c'est à cette seule condition que ce dernier avec l'aval du Secrétaire Général Antonio Guterres, pourrait jouer le rôle qui est le sien dans l'aménagement politique de cette donnée que le monde entier qualifie sérieuse courageuse viable et facilement exécutable sans encombres. Évidemment, cette préoccupation ne saurait se réaliser sans la poursuite du programme ambitieux en infrastructures relatif à la vision royale pour le développement tous azimuts de ces 03 régions. En l'occurrence, la mise en effectivité de la déconcentration-décentralisation et la prise des mesures attractives et incitatives par l'aménagement des territoires dans la sécurité absolue. Et ce, en ports et aéroports, axes routiers et autoroute, unités de dessalement d'eau de mer et adduction d'eau potable, électrification et domestication des énergies renouvelables, Hôpitaux Universités Grandes Écoles et promotion de la formation professionnelle qualifiante adéquate pour améliorer l'accès au travail, etc...

       Parallèlement, il faut, rappelons le, faire en sorte que Ramtane Laamamra et ses amis au soi-disant comité de médiation auprès du Secrétaire Général de l'ONU, ne puissent continuer leurs perfidies de tirer le dossier du Sahara marocain vers ce que l'on pourrait appeler la ''privatisation'' pour le compte de Shissano et ses sbires au sein de l'UA. En effet, heureusement qu'à ce niveau, la diplomatie marocaine et la société civile ont la charge de l'explication partout dans les chancelleries les forums les symposiums et toutes autres plateformes, la portée historique juridique et politique de l'offre d'autonomie 2007. Tant du point de vue de son organisation structurée bien ficelée dans le cadre de la régionalisation avancée, dont les grands axes de production de l'équité socioéconomique sont l'application de la transparence dans la gestion territoriale l'encouragement de l'investissement et la clarification de la garantie de l'Etat-Maroc. Non seulement pour sa promotion renforcée porteuse d'avenir de prospérité et de quiétude pour toute la population, mais aussi pour sa régulation institutionnelle sereine sécurisée. Cependant, une fois tout ceci fait, est-ce que l'État-Maroc ne fera-t-il fonctionner ses volontés géopolitiques ici et là dans le sens géostratégique qu'il souhaite. Déjà qu'il veille à l’entretien des rapports fronts sans faiblesse ni tremblement avec l'envoyé spécial du Secrétaire Général de l'ONU, Horst Kohler. S'ajoutant en plus à l'animation courtoise mais ferme, des voies de communications et de partage informationnel avec la Minurso dans ses composantes civile et militaire pour la restauration de la confiance.

       D'autant plus, le cas de Guargarate est toujours fumant, sachant même que le Maroc en maitrise tous les paramètres des surenchères. Et c'est ça qui préoccupe surtout de la part de la Mauritanie, qu'apparemment n'a pas envie de perdre la bienveillance marocaine, alors que sa stratégie est dictée par le pouvoir militariste algérien. Car il ne suffit pas qu'elle soit alléchée par le fait d'avoir un autre poste frontière avec l'Algérie sur l'axe de la terreur Tindouf-Zouirat, pour s'imaginer pouvoir jouer une posture d'équilibre pour ne pas dire de nuisance. Il n'en sera jamais ainsi, en plus sans avoir de vrais atouts en main pour assurer sa propre stabilité en ce temps de grondements en interne et des jeux de la géostratégie politique qui se manifestent ici et là sur toute la bande Sahel subsaharienne africaine. Comme quoi, le Maroc stable entreprenant et performant reste l'un des recours sur, pour assurer les objectifs de l'essor de la région en consolidant la traditionnelle chaine des échanges avec l'Afrique noire, surtout avec la CEDEAO. A l'évidence, ceci dérange le pouvoir algérien cloué au pilori à l'ONU, tellement, il a réalisé même tardivement que son rêve chimérique d'avoir un comptoir sur l'Atlantique est hors portée. S'étant en plus convaincu, que le Maroc est en passe de faire de son Sahara une plateforme de transport maritime et aérien via le port et l'aéroport de Dakhla. Un point d'entrée et sortie de fret transcontinental Nord-Sud, dont déjà il y a des intentions de s'y engager de la part de l'Europe la Russie la Chine l'Arabie Saoudite le Qatar les Émirats Arabes Unis et l'Amérique Centrale et du Sud. Voilà, pourquoi, aujourd'hui il y a un vent nouveau à l'ONU par la passion du Maroc de lutter contre le terrorisme et de transformer le pays tout entier de Tanger à Lagouira en hub d'investissements dans tous les domaines. A bon lecteur, bon décryptage !

vendredi 6 octobre 2017

AU MAROC, LE PIRE NE SERA JAMAIS L'AVENIR ET DONC, VIVE LE CONSENSUS !

EN EFFET, C'EST POUR CELA LES DOSSIERS DE L'AVENIR SERONT TRAITÉS PRIORITAIREMENT A LA FOIS POLITIQUEMENT ET TECHNIQUEMENT.

       Le Maroc qui bouge, montrera-t-il le 13 Octobre en cette rentrée politique 2017, l'autre perspective consciente de son fonctionnement ? Celle, de la mise en place méthodique d'un programme vis-à-vis de la réforme de l’État pour l'avancée et la régularité de la bonne gouvernance. En tout cas, il ne faut pas s'en cacher, tout le monde s'y attend parce que c'est le grand débat en ce moment de tensions initiées par les ennemis de l'intérieur pour le compte de ceux de l'extérieur. D'ailleurs, n'est-ce en cela que les marocains soucieux de l'avenir du pays, ne doivent être indifférents aux attaques de ces ennemis à l'UA à l'UE et à l'ONU, et qui ne sont pas de nature à décrisper l'atmosphère ? Même sachant que la diplomatie comme les services de sécurité intérieurs et extérieurs jouent leur rôle en veillant avec vigilance dans les instances internationales, car exerçant une pression sur eux dans le cadre du Droit d'initiative ? Après tout, comme à l'accoutumée, le discours royal à cette occasion, certainement, donnera le cap du changement à prendre, pour s'en saisir des grands dossiers dont le traitement ne pourra attendre longtemps. D'où, la vie publique au Maroc, on l'espère, changera au vu de la campagne d'assainissement qui s'annonce éminente, et dont l'effet sera transposable dans toutes les institutions et administrations

       C'est vrai, à des questions de cet ordre, les marocains dans leur majorité répondent avec la prudence qui les caractérise, ne voulant pas faire du bruit, sans être sur que le pays avance à bon rythme sur la base de sa situation économique sociale et politique. Évidemment, l'on peut ajouter, tant qu'il n'en sera pas tenu compte dans le futur de la volonté de passer à la vitesse supérieure de dépasser la problématique du népotisme ambiant dans les structures de l’État et des partis politiques et leurs filiales syndicales et associatives, les interrogations persisteront. Dont, les observateurs reconnaissent que les difficultés que vit le Maroc, en partie, sont liées à la manière dont quelques ressources humaines compétentes disponibles sont gérées. Autant crever l'abcès, tous les ténors politiques se targuent que leurs partis sont les seuls légitimes alors qu'ils sont truffés d'incompétences. Pour les uns car ceux de l’intelligentsia qui a assumé des rôles historiques, ayant d'après eux contribué à donner sens et crédibilité aux processus électoraux. Contrairement aux autres qui prétendent être les sauveurs du pays, et ce à différentes étapes de son Histoire contemporaine. Mais, chose qu'ils omettent d'en parler tous, pourquoi en 18 ans du nouveau règne c'est toujours la vision de l’État-Maroc fort et consciencieux qui prévaut dans toutes les situations extrêmes ? N'est-ce pas, c'est parce que la vision royale pour le développement tous azimuts renforçant la place de l’État-Maroc pour l'émergence, sert aussi d'amortisseur de chocs socioéconomiques ? Sorte de matelas politique jouant son rôle en évitant dans la mesure du possible les pannes par l'application stricte de la Constitution ? 

       Maintenant que c'est dit, certes de façon rudement alambiquée, n'est-ce le moment pour les chefs des partis de rompre avec leur nombrilisme-égocentrisme pour pouvoir dissiper les malentendus en interne et aussi vis-à-vis de leurs homologues du panel politique marocain ? Surtout de ne continuer à s'engager dans un jeu dont ils connaissent parfaitement leurs limites, et se mettre urgemment d'accord sur un programme minimal même avec la part de subjectivité sur la représentativité à la première chambre au parlement. C'est vrai qu'à ce propos, Saad Eddine Othmani pour l'instant fait le dos rond, tout en essayant, de zigzags en dérobades de maintenir son gouvernement en état de survie. Même sachant qu'il n'est pas sur qu'il puisse tenir face aux bavardages dans les rangs de sa majorité et dans l'espace médiatique tous les supports confondus. D'autant qu'il y a en plus, quelques uns de ses ministres et pas les moindres qui sont sur la sellette, car apparemment, ne disposeraient plus de la confiance du Roi ni de celle du peuple. Et, que Driss Jettou Président de la Cour des Comptes, en cèlera prochainement le sort, même n'étant pas à l'origine de la procédure d'investigation engagée à propos du dossier brulant ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassit''. D'ailleurs, ça ne sert à rien que Monsieur Othmani continue de fédérer par des sorties médiatiques, cocktail de non-dits et de langue de bois, en s'efforçant de maintenir un semblant d'équilibre politique au sein du gouvernement. N'est-ce pas, comme disent certains de son camp, les uns par populisme les autres par bondieuserie, qu'effectivement les carottes sont cuites pour cette formation qui, à force de séquencer son action elle en a perdu le bout du fil ?

       En effet, actuellement, avant le discours royal du 13 Octobre à l'ouverture de la première session de la première année de la onzième législature, tout montre qu'au Maroc le pire ne sera jamais l'avenir. Notamment, par la transformation du capital de la Constitution du 01 Juillet 2011 en adhésion pour le consensus, qu'avant il semblait absent de la scène politique. Mais, comment faire pour la chefferie du gouvernement, alors que les chances des différents postulants ne sont pas égales ? N'est-ce en tirant de cette condition la conséquence de rester sur Othmani, serait constitutionnellement acceptable, mais cette fois-ci avec refondation de la structure gouvernementale selon l'esprit du discours de Dakar ? Comme ça, il y aura, de fait, un dépassement de l'état psychologique en interne des partis politiques qui buttent sur certains problèmes que pourraient faciliter à résoudre les nouveaux arrivants. En usant d'engagement par des méthodes de réorganisation de la gouvernance de l'Exécutif, sans perdre de vue, naturellement, la fortification de défense de la première cause nationale, le Sahara marocain. Car, l'important aujourd'hui, c'est de sortir de l'ankylose gestionnaire, en s'efforçant de trouver les meilleures conditions de travail. D'où, il sera possible de mettre en place des solutions administratives dynamiques pour ramener la gouvernance à sa juste valeur, en cassant les codes de la manipulation par les petites phrases, envers la jeunesse et les petites gens. A bon suiveur, bonne lecture !

mercredi 4 octobre 2017

LE MAROC N'AURA PAS A S'EN PLAINDRE DE LA TENSION AVEC L'ALGERIE SI A TERME ELLE N'A PLUS D'INFLUENCE DANS LE MONDE.

PAR SUITE AUX BRUITS DE BOTTES LONGEANT SES FRONTIÈRES TERRESTRES, LE MAROC N'EST-IL DÉJÀ LE GRAND GAGNANT DE L'ERRANCE DE L’ALGÉRIE À L'UA, À L'UE ET À L'ONU ?

       Tout ce qu'a fait Boutaflika depuis 1961 vis-à-vis du Maroc, n'est le fruit ni du hasard ni de la nécessité de remplir sa vie. C'est plutôt pour occuper une place aux extrêmes et non au centre de l'échiquier politique maghrébin par le retour d’échos de bruits de bottes aux frontières, croyant ainsi pouvoir dépasser ses complexes en créant des problèmes au Maroc. S'ajoutant à il y a quelques années, une partie de l'occident louait l'action de l'Algérie qui s'étendait à l'UA, profitant de sa manne gazière-pétrolière qu'elle distribuait sans compter. Et ce, pour en régler et contrôler de façon perfide et pernicieuse la mécanique de division de l'Afrique, parce que le Maroc y en était absent depuis le clash 1984 à Nairobi jusqu'à son retour triomphal fin Janvier 2017 à Addis-Abeba. Alors qu'actuellement, tout se passe sans elle. Même avec l'évocation ici là de sa prédisposition de former avec son pré-carré des pays ennemis inconditionnels du Maroc, le statut spécial du Polisario. Rien que pour faire aboutir le processus onusien au référendum sur l’autodétermination dans ce lourd dossier du Sahara marocain ! Du coup, n'est-ce sans aucun doute, cela qui traduit le désarroi de l'incorrigible Shissano et les sous-commissionnaires à l'UA encore sous son emprise ? Pour essayer de faire face au poids de l'influence pléthorique marocaine dans tous les domaines dont, personne ne peut nier qu'elle marque la fin de ses prétentions. Particulièrement, les préférences de ses prises de contact pour l'application de son rêve, dénoncé partout et qui reste tout aussi chimérique car loin du bon sens. 

       Mieux encore, c'est dans le cadre des valeurs et de justice que les grandes capitales, en l'occurrence Washington Paris Madrid Ankara Londres Ottawa Brasília Berlin Riyad Pékin Moscou et New Delhi, reconnaissent à Rabat une sorte de leadership dans le codéveloppement sur le continent africain. Face au danger terroriste dans le sud algérien carrefour des destinations et étape cruciale dans le périple des groupes terroristes, que l'usure du temps en a identifié la compromission de l'Armée par l'implication personnelle de Boutaflika lorsque son état de santé le lui permettait. D'autant plus, ce schéma dangereux n'avait-il été discuté dans les antichambres de la Commission de l'UA à l'époque de Nkosazana Dlamini au moment de l'attaque d'In Amenas ? Et même, avant chaque conclave avec les sociétés occidentales exploiteuses des champs du gaz et pétrole, sur ce soutien algérien à double aveugle à Aqmi de Mokhtar Belmokhtar, en usant des largesses de la Sonatrach alors que le peuple algérien souffre de ses misères. Aussi, pourquoi placer et fixer ces jours-ci les algériens dans les émotions les colères et les horreurs des années 90, sachant que Boutaflika est arrivé au sommet de l’État en 1999après son exil choisi en Suisse et aux E.A.U ? En tout cas, cela montre que ce pouvoir veut raconter l'Histoire de cette décennie noire au présent, pour redorer et transformer la destinée du président absent en légende, pensant booster ainsi ses chances de se faire attribuer le Prix Nobel de la paix. Même Dame de fer Dame de cœur, Angela Merkel qui le mérite amplement, n'en a pas fait autant avec le million de migrants intégrés dignement dans la société allemande. Comme ça, parler aujourd'hui de cette éventualité pour ce président sénile grabataire, presque un légume, c'est ne tenir compte des craintes confirmées de la Communauté Internationale à ce propos. Surtout que la nouvelle génération de 38 chefs d’États d'Afrique ont lâché cette Algérie qui fait la chasse aux migrants de façon indigne, allant, jusqu'à ne lui épargner leur embarras de ne désirer continuer à accueillir la Rasd à l'UA. Lui disant, encore poliment, de s'en débarrasser non seulement pour sa propre sécurité, mais aussi pour éviter son errance qui s'annonce difficile à l'ONU.

       Il est vrai que la guerre froide avait assuré la longévité à la diplomatie des réseaux de nuisance de l'Algérie véhiculant des discours plus que confus, parfois pleins de haine vis-à-vis du Maroc. D'ailleurs, il s'agissait pour le pouvoir algérien, entouré de ses inconditionnels États ennemis déclarés du Maroc qui attendent le miracle, d'allumer des contre-feus pour réduire autant que possible l'offensive diplomatique marocaine qui, aujourd'hui, heureusement, elle prévaut partout dans le monde. Comme ça, l'usage de l'interventionnisme de ce pouvoir parait n'a plus de sens aujourd'hui, contrairement à l'époque où il détenait l'alpha et l’oméga par sa diplomatie usant du soutien discriminatoire des tireurs des ficelles. Dès lors qu'il fut basé sur des débaptisations des procédures onusiennes, par des moyens de mise en normes de mesures creuses non argumentées pour brouiller la fiabilité de l'offre marocaine d'autonomie dans la régionalisation avancée. Au point qu'en ce temps présent, l'approche positive du Conseil de Sécurité de l'ONU dans sa composition actuelle, c'est de faire respecter ses Résolutions surtout la 2351 fin Avril 2017 pour une solution politique viable. En quelque sorte pour qu'elle soit objectivement cadrée sur l'offre marocaine d'autonomie 2007, avec peut-être quelques aménagements dans ce sens.  Une façon d'indiquer une fin de non recevoir à la fois au Polisario à l'Algérie et à leurs soutiens, d'abord sur les débats creux qu'ils mettent souvent sur la table montrant qu'ils n'évoluent nullement. Puis, surtout pour qu'ils ne restent plus dans cette obsession qui coute à l'ONU et de surcroit ne leur rapporte rien, ni diplomatiquement sans le soutien stricto sensu de Kohler ni militairement même avec une hypothétique et inconcevable solidarité de la Minurso.

       Maintenant, l'on peut dire, Rabat aura certainement d'autres influences au-delà de celles que lui accorderont ses partenariats gagnants-gagnants avec les pays africains. Même si, les ennemis résiduels à l'UA sont incapables de mesurer leurs conséquences positives pour la paix et la sécurité dans la région MENA Sahel subsaharienne africaine. D'ailleurs, les discours du Roi du Maroc à propos de l'Afrique, ne sont-ils une réponse complète aux défis sur les transitions économiques écologiques politiques et sécuritaires réussies de beaucoup de pays africains sans être les obligés de l'Algérie. Autrement dit, n'est-ce pas les entreprises africaines se normalisent pour leur grand bien, à l'influence du savoir-faire marocain via l'expertise reconnue à l'international dans le codéveloppement. En ce sens, il n'est pas étonnant que le rejet du modèle algérien qui va dans le mur, soit aussi venu des pays anglophones constituant une nouvelle force africaine. De surcroit, n'est-ce ce qui facilitera la prise en main triangulaire de cette transition de l’émergence africaine, via la coopération Maroc-UE-Afrique ? Aussi, faut-il le rappeler, il n'en est pas moins vrai que l'Algérie l'Afrique du Sud le Mozambique le Zimbabwe et la Namibie n'ont rien vu venir, pour s'adapter aux nouvelles réalités dans l'UA, au demeurant concrétisées via l'axe Rabat-Abuja-Kigali-Lusaka-Dar Essalam-Addis Abeba. Tellement, ils donnent l'impression comme s'il s'agit d'une volonté extra-africaine mettant en marche leur déconfiture prévisible, pour qu'à terme ils n'aient tous, sans exception, aucune influence dans le monde. A bon suiveur, bon décryptage !

lundi 2 octobre 2017

A QUAND LA FIN DE LA FOLIE DURABLE DE L’ÉQUIPE BOUTAFLIKA PAR LA RÉINTERPRÉTATION DE SOI-DISANT COUP DE GUEULE ?

CA SUFFIT, Y'EN A MARRE DE CETTE FOLIE DU RUISSÈLEMENT DU MÉPRIS DURABLE DES FAUCONS CIVILS ET MILITAIRES DU POUVOIR ALGÉRIEN A L’ÉGARD DU MAROC !

       Il ne faut pas se leurrer, le mépris de l'équipe Boutaflika envers la Tunisie et surtout le Maroc, a émergé dans les réunions passe-temps de certains dirigeants militaristes du FLN estampillés de panarabisme violent. On dit même, que Feu Boumedienne y est pris des notes pour ses rêveries de l'emmerdeur solitaire prédestiné à la notoriété par coup-d’État, parce qu'il se voyait déjà porteur de leur espoir de mettre le Maroc sous ses bottes. Et dont, ses successeurs n'ont jamais cessé de les consulter pour ne point le laisser tranquille dans ses recouvrements de toutes ses souverainetés territoriales. Tellement, au début des guerres d'indépendance au Maghreb, ils qualifiaient de moins noble origine les élites francophiles, jusqu'à les taxer de mauvaise réputation pour en faire un effet d'entrainement pour régler leurs comptes en interne dans les maquis. Pourtant, personne ne peut nier que ces élites travaillaient avec intelligence, elles-aussi, pour l’indépendance à leur rythme et à leur façon n'en comprenant qu'elles soient considérées un creuset d'aristocrates dans les termes les plus inadmissibles. En l'occurrence ''deuxième-francesses'', et ce, dans une ambiance d'échange de gros sous qu'au début arrivaient du Machreq pour cette propagande-bluff. Dont les panarabismes via leurs alliances de façade de l'époque, en ont fait leur langage courant pour les salir, ainsi que les récalcitrants à cette option de calomnies pures et dures que les historiens commencent à en livrer les dessous des jeux injustifiés de chats et souris. 

       A l'évidence, pour le Maroc et pas seulement, les tenants du pouvoir à Ksar Lamradia en sont encore au même point du début de leur manipulation qui n'a que trop duré. Dans l'espoir de continuer la réinterprétation du soi-disant leur coup de gueule, mais cette fois, en usant en plus du jeu dangereux de recherche d'atouts pour le narguer, par des montages d'actes de scènes et de pactes politiques qui relèvent de leurs rêves de redistribution de la carte géographique de la région. A même de se voir déçus, car n'arrivant pas à le braquer dans ses conditions de sa réalisation en tant qu’État souverain, de surcroit fort stable et entreprenant selon ses propres moyens. Et, d'où, il s'essaye malgré tout, de se projeter avec le temps à l'international, comme pays de taille moyenne toujours à la recherche d'assurance sur le plan gouvernance. Loin de toute fragmentation, dont tout le monde a compris dès ses premières actions jour après jour et tout au long de son vécu depuis 1956, que sa volonté se régénère et se restructure pour retrouver et consolider durablement son capital politique tout en sauvegardant son authenticité. D'ailleurs, n'est-ce à cause de cela, chez les faucons de la trempe de Messahel-Laamamra-Cherqui qui s'accordent à l'influence des Généraux,  la manipulation ne souffre d'aucune limite pour contrarier le Maroc dans sa feuille de route ? Au point que, quand ils disent dans leur nouvelle folie chacun dans son rayon d'action, qu'ils sont à la recherche d'un terrain politique pour l’autodétermination et non de l'entente avec le Maroc sur son offre d'autonomie dans la régionalisation avancée, très franchement ne passent-ils pour des gens rêveurs non réalistes et non cohérents avec les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU ?

       Néanmoins, pour être plus complet à ce propos, n'est-ce là, où l'on voit que leur plan de sortie de leur bras de fer avec le Maroc pour le compte du Polisario, n'est autre qu'un levier de contrepoids réguliers qui rendent la visibilité encore plus confuse. Même si, l'illustration est rude, car il y a dedans, effectivement, toute une série de signes défavorables sur les questions de sécurité et lutte anti terroriste dans le Sud algérien notamment dans les camps de Tindouf Rabouni et autres...En quelque sorte, voilà pourquoi, l'on peut dès à présent annoncer au monde la raison pour laquelle, ces manipulateurs usurpateurs se montrent nerveux actuellement, n'aimant pas le cadre du travail des diplomates marocains. Qu'en effet, ils leurs ont fait subir sans tremblement ni faiblesse et de manière humiliante pour le pouvoir Boutaflika, tant de déconvenues et déconfitures dans tous les affrontements politiques et à tous les niveaux. Particulièrement, à New York au temple onusien où Messahel-Laamamra ont beau raconté leurs contes et aussi à Genève au Comité International des Droits de l'Homme où leurs représentants enragés jouent leurs rôles de vieux lascars perturbateurs de la sérénité des débats. S'additionnant aux consultations à Bruxelles chez leurs lobbys au sein des arcanes de l'UE, passant par leur façon de faire les yeux doux à la ligue arabe tout au moins ce qu'il en reste au Caire. Sans oublier à Addis-Abeba dans toutes les sous-commissions, dont faut-il le rappeler, quand l'incivil Smail Cherqui faisait le marchand de biens, se plaisant à soi-disant prêter l'argent aux délégués africains en difficulté pour continuer à avoir main-basse sur la commission de l'UA.

       D'ailleurs, aujourd'hui, à l'ONU, ils ne passent pas pour des gens honorables mais seulement des acteurs non sereins qui s'en mordent les doigts, et même à ce propos ne s’endorment plus, ayant honte de leur lâcheté au vu de l'argent gaspillé pour rien, étant donné le Maroc a rejoint triomphalement l'UA. Avec en plus cerise sur le gâteau, une perspective encourageante de faire sortir plutôt tôt la RASD de ses rangs et mettre fin à la nouvelle folie du ruissèlement durable du mépris de l'équipe Boutaflika à Ksar Lamradia vis-à-vis des pays africains. A cet égard, que les choses soient claires, ne peut-on jugé de l'importance de l'opportunité qui s'offre au Secrétaire Général de l'ONU de ne pas se faire berner à son comité de médiation ? Comprendront qui voudront ! Pour ne pas laisser Laamamra faire appel aux chercheurs onusiens des vulnérabilités épicritiques des pays africains, notamment, ceux qui contredisent ouvertement la thèse algérienne pro Polisario. D'autant plus, ne voudraient que ces vulnérabilités qui se traduisent déjà par une hausse de commandes coercitives dans d'autres domaines, pour les mettre au pas. Alors, n'est-ce le moment de crier, basta en ces jours de souffrance mondialisée par la rupture de dialogues constructifs et replis sur soi, ? Et d’arrêter ce jeu machiavélique, de vouloir permettre à l'Algérie de renforcer une décision ferme sans tenir compte du cas de la Kabylie, par le pari fou pour l’autodétermination au Sahara marocain. 

       Aujourd'hui, il faut le dire, même dans l'inquiétude justifiée au vu de beaucoup de flottement décisionnel en interne, ne peut-on confirmer que le Maroc ne laisse rien au hasard ? Contrairement, à ce que colportent les vendeurs de leur âme aux ennemis, et qui sont toujours dans le déni concernant ses avancées culturelles cultuelles écologiques et sécuritaires, qu'au demeurant, elles se répercutent sur sa position parmi le Top 5 des pays africains en matière de dynamisme socioéconomique. A cet égard, pourquoi vont-ils jusqu'à essayer s'interposer, malicieusement, par des analyses et exégèses lugubres sur les perspectives de son désir d'avenir ? N'est-ce, pour ne le laisser mettre à son profit le temps passé dans sa recherche de la bonne gouvernance, certes non sans difficultés pour l’Émergence légitime tant espérée ? Comme ça, si c'est ça le calcul du pouvoir Boutaflika de se venger de ce qu'il ait pu subir comme défaites diplomatiques, en jouant calamiteusement ses coups pour intimider voire contraindre le Maroc, il se fout le doigt dans l’œil. N'est-ce, aussi cela qu'en plus apporterait au Maroc un progrès décisif dans la véritable révolution sociale qu'il vit avec prudence et détermination, et/où le programme anti fatalité agit avec une extrême précision sur la restructuration étatique en voie d'élaboration ? Même si, c'est encore fait avec lenteur pour renverser pour de bon, les rapports de force avec les ennemis de l’intérieur comme de l'extérieur, que par ailleurs les marocains attendent. A bon entendeur, salut !