vendredi 23 septembre 2016

QUE SAIT-ON SUR LES REGISTRES DE LA LUTTE ANTI TERRORISTE DANS LES DIFFÉRENTES RÉGIONS DU MAROC ?

COMMUNIQUER, SENSIBILISER, ANTICIPER ET PRÉVENIR PAR LA SURVEILLANCE DES CELLULES DORMANTES OU ACTIVES ET PAR L’ÉPIAGE DE LEURS FOYERS NOURRICIERS, TELS SONT LES OBJECTIFS PRIMORDIAUX DU BCIJ EN ACTION CONTINUE AU MAROC.

        Autant l’affirmer d’avance sans détour, seule la liberté d’expression responsable et honnête aide à ne se justifier des obligations de dire les choses et encore moins de se résigner à renoncer à briser les tabous. Ainsi, à ce propos, s’il est vrai que les services sécuritaires commencent à disposer de registres dans différentes régions du Maroc sur la diffusion de l’esprit daechiste, les informations et indications qui s’y attachent sont alarmantes et seront malheureusement encore revues à la hausse. A cet effet, seule l’évaluation de la connaissance des marocains de ce mal qui ronge toutes les couches sociales et au vu du nombre croissant des démantèlements des groupes et cellules par les services compétents, peut livrer une mine d’infos sur leur perception sur la qualité des éléments impliqués. A ce propos, c’est à la région Tanger Tetouan Al Hoceima que revient le triste record, avec un taux d’incidence parmi les plus élevés de toutes les expressions de ce mal depuis l’hécatombe du 16 Mai 2003 à Casablanca. De surcroît ayant représenté un véritable défi sécuritaire pour chasser la mollesse de réaction, d’où l’intérêt porté au Maroc de comprendre où se trouve le vrai danger pour le contrer activement. Comprendra qui voudra !

       Néanmoins, n’est-ce ce triomphe sécuritaire marocain anti terrorisme avec pour seule arme la détermination d’un Roi et d’un peuple qui a généré chemin faisant une reconnaissance appréciable de la communauté internationale de la méthodologie suivie de simultanéité des traitements sectoriels multidimensionnels. D’une part, à sa détection au stade de formation des cellules dormantes et de leurs protubérances d’activation des plans de terreur meme dans les contrées enclavées, et ce sans répit ni la moindre hésitation mais seulement dans la mobilisation via le respect du cadre de la loi. Et, d’autre part, outre le fait de diminuer la prévalence dans les interstices de l’Etat de survie des foyers nourriciers porteurs des idées jihadistes, c’est de la sensibilisation l’anticipation et la surveillance qui sont les armes de la résistance à ce fléau. S’ajoutant à la vigilance sans s’abstenir de la moindre information dans cette lutte quand cela serve pour la levée du pot aux roses du zèle exprimé ici et là faisant l’apologie du daechisme à même le martyr et l’auto-anéantissement.

       A cet effet, en toute franchise, la propagation de ce mal n’est-il le facteur principal de mise sous surveillance en mode silencieux de toutes les douze régions ? Même si , la diffusion sourde de ce mal se complique parfois par l’existence de nombreux courants d’inspiration obscurantiste tendant à se dissimuler dans des pratiques infra détectables par les radars des services sécuritaires. Dont il est fortement recommandé en cette veille électorale que les marocains fassent leur examen de conscience, avant qu’il ne soit trop tard notamment vis-à-vis de cette réalité subie. Et donc d’éviter la mise en avant de l’instrumentalisation de la surenchère à la ‘’Abou Taymima’’ dans les institutions, qu’au demeurant n’a mené sous des cieux pas lointains qu’à la débandade étatique non envieuse. Parce que, quand la nonchalance de l’Etat dans ses ripostes devient visible, il serait difficile pour les petites gens sous-outillés politiquement de ne pas en confondre où se trouve le vrai du faux en ce qui concerne les propagandes politiciennes à connotations de religiosités borderline dangereuses. D’ailleurs, que ceux qui empruntent cette voie pour créer au Maroc le mythe du personnage conscient de son rôle sociétal obscurantiste rétrograde, doivent savoir qu’ils s’en écartent de l’événementiel politique réel marocain inspirant les analyses et les commentaires avec la patience et la précision d’un artisan.

       Néanmoins, quand les chefs d’Etats et gouvernements du haut du pupitre onusien reconnaissent qu’à ce jour le traitement du terrorisme notamment daechiste reste superficiel pour l’avoir subi chez-eux sous forme de loups solitaires autoproclamés et auto radicalisés, on voit bien qu’on ne peut pas ignorer la reconnaissance mondiale du travail effectué des sécuritaires marocains auréolés de la haute estime royale et considération de tout un peuple qui est derrière eux. Aussi, à ce propos prétendre pouvoir éradiquer ce mal sous toutes ses expressions sans l’entraide de la communauté internationale relève du comportement de l’autruche quand elle se cache parce qu’il y a danger. D’ailleurs, n’est-ce parce que sachant cela, que l’expertise marocaine dans ce domaine de par sa position technicienne et l’excellence de son usage technologique, elle ne cesse de porter des coups d’arrêts à la nébuleuse daechiste grâce à la conjonction de ses atouts de surveillance des niches terroristes sur tout le territoire national ?

       Mais, pourquoi certains ne veulent partager l’inquiétude derrière le contrat USA-Russie sur la Syrie, dont les intentions vers l’embellie de l’atmosphère ont permis de mettre en évidence un manque réel d’information et de sensibilisation sur ce mal terrifiant ? D’autant qu’il n’existe pas un terrorisme mais des terrorismes où chacun possède des caractéristiques qui lui sont propres et qu’il convient d’identifier afin d’en évaluer le potentiel d’agressivité et dangerosité. Qu’en effet, sans vouloir faire dans la polémique tendancieuse, chez beaucoup de pays dans la majorité des cas, les terroristes ne sont ni détectés à temps ni épiés alors qu’ils sont fichés et donc présentent un risque élevé de passage à l’acte. Là encore comme l’ont martelé tous les intervenants en la 71-ième session plénière de l’ONU, il importe que la riposte ne puisse être prise en charge que dans le cadre de coopération multidisciplinaire intersectorielle par le partage du renseignement. Ce qui corrobore la méthodologie du Maroc via le travail sécurisé voire crypté du BCIJ toujours en action, le développement du champ socio-économique, la promotion du volet culturel et la dynamisation de l’approche cultuelle selon le rite sunnite d’obédience malékite tolérant et ouvert à l’exercice de toutes les religions. Evidemment, dans le cas des terrorismes Etats-dépendants par ce qu’il y en a, l’ONU n’a de choix que de lever le ton sans concession afin de stopper la couverture de basse besogne malsaine d’autres Etats et traîner devant le TPI les décideurs voyous ne voulant se soumettre à la démocratie.


      Finalement, en résumé, il serait fastidieux de ne savoir qu’au Maroc plus qu’ailleurs, dans l’illustration par l’analyse et l’apport d’éclairages surtout dans la jungle de l’information et de l’intox sur le terrorisme, la réappropriation des idées d’autrui reste le sport préféré des professionnels politiques de la contrefaçon. Au sens que vraiment on n’est jamais prophète chez-soi, et qu’en plus le fait de reculer signifierait l’impossibilité de pouvoir se confronter à ce dilemme et de ne continuer son bonhomme de chemin. D’autant plus, qu’importe le style cernant sans relâche la justesse de défendre les intérêts de son pays, que des experts subalternes siégeant dans les pourtours décisionnels n’arrivent même pas à le faire correctement malgré l’assistance organisationnelle dont ils jouissent, et dont il est gênant de ne pas le rappeler. A bon entendeur, salut !   

mercredi 21 septembre 2016

CE N’EST PAS IMPOSSIBLE POUR L’ONU DE S’ADAPTER AU PUZZLE POLITIQUE QUI S’ANNONCE, RÉVÉLANT L’ASPECT INSOUPÇONNÉ DU PASSÉ DU MAROC AU MAGHREB ET EN AFRIQUE !

MAIS, AU VU D’AUTRES ILLUSTRATIONS ANTI MAROC DOMICILIÉES EN ESPAGNE QUI BIZARREMENT ÉMERGENT, PRENONS GARDE DE REVIVRE LES MÊMES COUPS BAS ET MESURES D’ACCOMPAGNEMENT POUR LE SOUTIEN DE L’ALGÉRIE ET SON AVORTON–POLISARIO COMME CE QU’ON A VÉCU AVEC BAN KI MOON ET L’ADMINISTRATION OBAMA !

       Alors, c’est quoi ces aveux de Ban Ki Moon et Obama pour retournement de veste du lendemain émaillés d’indications de faiblesse de leur part, lors de la soixante onzième session plénière de l’ONU sur leur bilan ? Ainsi c'est surprenant d'entendre tout ça, sauf que le Maroc ne doit-il en voir une occasion d’entrée dans la phase du nouveau puzzle politique onusien qui se dessine à l'horizon ? Et ce, pour peser davantage dans le contenu du processus avec le ou la futur(e) Secrétaire Général(e) à cause de la levée de bouclier des ennemis inconditionnels qui squattent les locaux onusiens, dont on en décèle une domiciliation de cette rage anti Maroc en Espagne. Et donc, pour la diplomatie marocaine de se mettre au devant tout en continuant à dénoncer leurs malveillances et perfidies d’autrefois, n’ayant rien arrangé en matière d’appel et conseil venant de partout de ne plus repousser la solution de l’offre marocaine de l’autonomie 2007 aux calendes grecques. D’ailleurs ne peut-on prendre le bruit foisonnant actuellement dans les couloirs onusiens à ce propos pour les dénoncer, comme résultat immédiat du mea-culpa de différents niveaux de Ban Ki Moon Obama et d’autres, selon leur implication effective ou figurative dans le fil directeur consacrant le statu-quo au Sahara marocain ?

       Aujourd’hui, tout le monde aura vu que c’est une sorte de représentation de l’échec cuisant de leur part, sur beaucoup de dossiers notamment la Syrie concernant le volet qui fait implicitement référence au traitement de ce qui n’a que trop traîné à l’ONU, comme aussi à l’évidence celui du Sahara marocain. Dont le Roi d’Espagne, en prenant la parole en a fait sortir un autre rôle expressif définissant ses ambitions rêvées sur Gibraltar, faisant suite aux conséquences du Brexit à travers la synthèse paradoxale sur le dos des souverainetés marocaines. Toutefois, avec toutes les considération de cette problématique, il ne faudrait s'emballer même si c'est dit de la sorte sans garde fou ni précaution de bon voisinage ! Donnant l'impression que ce n'est nullemet improvisé et qu'effectivement ça pousse à y réfléchir consciencieusement pour ne pas dire que ça donne de la chaire de poule. C’est ainsi, l’on peut affirmer, les marocains ont accueilli avec réserve mesurée cette vielle demande espagnole pour reprendre le rocher, mais cette fois-ci par le déploiement d’exposition d'un nouvel ordre politique malgré qu’il n’ait jamais été programmé officiellement auparavant. En plus, force est de constater que cette perspective calculée voulant faire du Maroc un spectateur et non un acteur est une grossière maladresse d'instrumentalisation, même si, apparemment, elle est destinée à enchanter les foules en catalogne au pays basque et en Andalousie pour raison interne à l’Espagne facile à deviner au vu du fil d’actualités. Alors qu'en effet tous les ingrédients d’une concertation paisible et responsable avec le Maroc sont réunis, et pouvaient être mis à contribution préparatoire pour les conditions idéales d’entamer les discussions sur le cas de Sebta Melilia et autres rochers sans froisser l’honneur des marocains sur leur Sahara en invoquant sans raison l'autodétermination en reléguant à l'oubliette la même attitude pour les habitants de Gibraltar.

       A ce titre, établir un bilan précoce de ce que peut apporter à l’Espagne qui n’a toujours pas de gouvernement, cette sortie du Roi Flippe VI à l’ONU n’est pas chose facile. Mais par la fusion totale des atouts innombrables qu’à en main le Maroc, le cas de Gibraltar pour lui ne se scinde en aucune façon des présides encore spoliés par l’Espagne. En cela, c’est d’abord une affaire régionale sur les thèmes pouvant naître de la profondeur des négociations bilatérales allant dans le même sens de la coopération multidirectionnelle exemplaire déjà existante. Surtout par rapport aux rythmes de rencontres des officiels sécuritaires avec leurs homologues espagnols, s’ajoutant aux passions diplomatiques marocaines en alerte pour aller de l’avant dans l’information et les propositions à faire sur le processus de recouvrement de toutes ses souverainetés. De fait, on ne peut pas dire qu’il n’userait d’une synergie politico-sociétale populaire de base si cela s’avère nécessaire, et s’attaquer de front au cumul des handicaps du bon voisinage épuisé sans avoir soldé le passif selon un calendrier raisonnable. Néanmoins, pourquoi n’en parle-t-on pas assez du trafic d’influence que s’octroi l’Espagne pour assurer la pratique de dominance et du joug administratif à l’égard des habitants frontaliers quant aux conditions de leur travail et traversées au quotidien ?

       En effet au-delà de ces explications certes alambiquées, reste le seul fait d’importance qui mérite plus d’intérêt, en l’occurrence la persistance de l’entente hispano-marocaine avec ses basculements va-et-vient vers le développement concret de création de partenariats gagnants-gagnants et donc d’emplois, d’exigence de flexibilité administrative sur les demandes de visas et regroupement familial, de production des richesses des biens et services dans le pragmatisme politique et le réalisme économique loin des tentatives de corruption qui gangrène des deux coté du détroit. D’ailleurs, la pertinence de cette donnée, c’est quand on met en évidence le retard pris au sein de l’ONU dans le dossier de recouvrement par le Maroc de ses souverainetés à cause des tergiversations de Ban Ki Moon et ses manutentionnaires. A cet égard, on devine que cette latence est aussi due aux diverses étapes de grippages que connait l’ONU par suite d’instabilité des pays par des intrusions parfois violentes dont les civils surtout les enfants et femmes en paient les frais, des turbulences terroristes gravissimes de par le monde ayant provoqué la phobie aux migrants et de l’émergence d’autres équilibres géopolitiques et horizons géostratégiques engendrant d’autres alternatives de mobilisation dont le Maroc y a fait son gros assemblage-partenariat politique et économique. S’additionnant qu'on ne le veuille ou pas à l’incompétence criarde du Secrétaire Général de surcroît non partial et non neutre, ayant laissé la confusion par les imprévus néfastes l’emporter sur la conformité et l'adaptation des solutions. Malheureusement loin de tout souci de transparence onusienne, en ne réagissant conséquemment aux événements que dans le cours terme voire l'immédiateté à courte vue.

       Ainsi, l’on peut avancer que Ban Ki Moon a paradoxalement mesuré avec retard la gravité de la menace terroriste dans l’espace Sahel subsaharien africain, s’étant empêtré dans les mensonges de Christopher Ross en raison de ses sous-notifications déclaratives dans le conflit du Sahara marocain. Mais pourquoi ne s’est-il attelé dans sa fonction à éviter la surenchère algérienne pour ne pas rater son rendez-vous avec l’Histoire, et donc de ne laisser les conspirateurs au Conseil de Sécurité continuer dans leur mutisme opportuniste pernicieux dont on comprend une décision d’acceptabilité du statu-quo ? Même si, hier 21 Septembre, après son discours presque d’adieu en cette session plénière 2016 avec des indications fournies ici et là, que toute la communauté internationale en exprime dans la sérénité son soutien à propos de la mise sur le marché onusien du sérieux de l’offre marocaine d’autonomie dans la régionalisation avancée. A cet effet, l’engagement du Maroc à maintenir sa stratégie payante et ses actions opérationnelles fixées mûrement réfléchies, sera le principal atout pour la COP 22 à Marrakech 06-18 Novembre 2016 par un service sécuritaire fiable de haut niveau et un suivi technique en fluidité de programmation des ateliers sous l’égide de l’ONU en plus d’une logistique à tout point de vue de qualité. D’autant plus, il faut le noter avec assurance, que pour les observateurs avertis l’espoir suscité à la COP 21 à Paris sera concrétisé à Marrakech car on s’attend à une participation record de chefs d’Etats et de gouvernements dans ce sens. A bon entendeur, salut !      

dimanche 18 septembre 2016

INFO OU INTOX, LE REGARD CONNECTÉ D’HILARY CLINTON PAR RAPPORT A CELUI QUALIFIÉ DÉCONNECTÉ DE DONALD TRUMP VIS-A-VIS DU MAROC ?

ET BIEN TENEZ-LE POUR DIT, NI DONALD TRUMP QUI N’EST PAS UN HOMME SOUPLE NI HILARY CLINTON DONT LA SINCÉRITÉ EST MISE A ÉPREUVE, NE PENSERONT QU’UN JOUR L’ETAT MAROC UNIQUE ET UNITAIRE NE SERAIT UN GAGE INCONTESTABLE DE SÉCURITÉ POUR LA RÉGION !

       Il est vrai qu’en ce temps présent, on comprendra mal le Maroc si l’on ne se reporte pas aux discours royaux depuis celui mémorable du 09 Mars 2011 à ce jour. Et d’où, conséquemment, il s’y est particulièrement attaché au développement accéléré sur le plan socio économique culturel écologique cultuel comme sur celui de la démocratie dans la stabilité et la sécurité. Et ce, malgré les péripéties de ces derniers temps passant par le chantage de Benkirane chef du gouvernement et les gesticulations de Benabdallah ministre de l'habitat jusqu’à la sortie médiatique via Tweeter non bien pensée de Mustapha Ramid ministre de la justice et des libertés et que normalement il doit en payer les frais même si lui il l'aurait fait dans ce but, par un débarquement immédiat car il est sensé être neutre et donner l’exemple de son droit de réserve. Tellement, dans l’état actuel de la course des deux candidats à la présidence des USA, démocrate et républicain en l’occurrence Hillary Clinton dont la sincérité pour certains américains apparaît douteuse et Donald Trump qui n’est pas un homme souple donnant dans le panneau du populisme provocateur, ils savent mieux le rôle que joue le Maroc dans la région MENA-Maghreb-Sahel subsaharienne africaine.

       Evidemment, qu’ils sont tous deux convaincus Clinton plus que Trump que le Maroc est l’élément essentiel à une Afrique, qu’ils voient déjà s’esquisser dans le futur sous son impact qui ne trompe pas non plus, et dont les exemples d’apaisement au Mali Libye Gabon Niger Centre-Afrique Nigéria Cote d’Ivoire et autres comme en Algérie faisant foi. D’autant plus, il faut être lucide et en acquiescer que les USA qui ont toujours quatre coups d’avance sur leurs concurrents en matière de renseignement civil et militaire via les espions les drones et les écoutes sous bannière de la NSA, nourrissent au sujet du Maroc des projets quelque peu incompréhensibles. Voulant, eux, de leur coté, mener la danse selon leurs propres priorités et faire du Maghreb une base de tamponnades et entrechoquements avec les intérêts de ce qu'ils appellent la vielle Europe qui est à 14 km. Et ce n’est pas leur seul plan rappelant même la façon de faire la politique des Rois de France, celle du ‘’pré carré’’ parce que c’est de ça en plus d’autres meurs dont-il s’agit et de ce qu’ils rêvent réaliser. Or, ni Donald Trump qui n’a pas oublié la défaite du Vietnam ni Hillary Clinton qui n’a jamais cessé de rappeler à l’administration Obama le principe de non ingérence dans les affaires intérieures des pays vraiment amis à quelques exceptions près, ne veulent que celui qui sera élu ne soit placé devant le fait accompli entre l’enclume DEA (Département d’Etat Américain) et le marteau Pentagone. A l'exemple aujourd’hui après l’entente ‘’Coca-Vodka’’ et non ‘’Pitza-Vodka’’ comme le colportent certains médias, des USA avec la Russie pour qui Assad représente la légitimité. Et dont les américains craignent la révélation des détails de cet accord sur la Syrie, ne voulant qu’il soit présenté aux membres du Conseil de Sécurité permanents ou pas pour raison géopolitique voire géostratégique de partage d'hypocrisie avec les russes. Au point d’y avoir anticiper la guéguerre DEA-Pentagone en bombardant les positions du régime à Dir Ezour, et donc d’éviter que Joubhat Annousra ne jette l’éponge. Ce qui nous fait penser à la volteface d'Obama à quelques heures de la fin du fatidique ultimatum lancé à Bachar en 2013, ayant laissé la France face à une décision qu'elle ne pouvait prendre toute seule. Et oui, c'est ça le drame des USA, ne cherchant qu'à se la jouer solo avec les contradictions les avantages et les inconvénients que seuls eux savent gérer même dans la durée! 

       Aussi, de par ce constat entre excitation et inhibition des volontés, D. Trump et H. Clinton ne peuvent-ils se regarder en face dans n’importe quelle circonstance concernant le Sahara marocain, dès lors qu’ils en montrent l’un et l’autre le même désir politique d’en finir avec les malveillances à la Ban Ki Moon ? Et d’où ressortait un échange de mise en scène cynique intolérable du coté DEA et hypocrite invraisemblable du Pentagone dans ce jeu d’échec au plus inique d’entre ces Institutions sans transiger ni donner de vraies raisons à leurs intentions dans le futur. Une sorte d’insouciance sur la souffrance de toute une région en matière de terrorisme qui la menace depuis le triangle du chanvre indien (Afganistan-Pakistan-Iran) passant par le Sinaï la Libye le Sahel-subsaharien africain jusqu’au Golf de Guinée, s’ajoutant à la vulnérabilité du sud de l’Algérie dans cette galaxie in sécuritaire comprenant les camps de Tindouf et toute la bande de séparation sur fonds de contrebande de manipulation et d’intox. Voilà en quoi, le Maroc vit le grand tournant par les départs simultanés de Ban Ki Moon du perchoir onusien et de John Kerry du DEA, quel qu’il soit le résultat sachant qu’il y a une et une seule place à prendre à la présidence des USA. Parce qu’avec les moyens de nuisance qu’ils avaient mis en activation contre le Maroc notamment depuis 2013, on ne peut ne pas dire qu’il est dans son droit de s'essouffler un peu sans faire la moindre concession, voyant les jours pour sa victoire finale s’approcher de par l’obstination même égoïste quelque part de Mr Trump et Mme Clinton.

       Néanmoins, ne faut-il rappeler que vouloir croiser le fer avec le Maroc de la part de l’Algérie est maintenant considéré une grave erreur, si l’on s’en tient rien qu’aux rapports échangés par les USA France Russie Chine Japon CCG Turquie et beaucoup de pays africains. En plus c’est parce qu’il y a une volonté du peuple marocain d’en finir une fois pour toute avec la polémique à propos de la problématique ‘’Polisario’’. A cet effet après le 08 Novembre 2016, le Maroc saura lequel des deux va s’atteler à poser sur les rails de l’Histoire en marche et rejoindre les autres membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU et pas seulement, en faisant écarter la mise en scène démagogique de l’affaire du Sahara marocain qui n’a que trop duré. Par contre d’ici là, chacun avance cherchant le saut qualitatif pour la qualification finale en sautant les derniers obstacles réels parfois significatifs car armés de conviction des américains de ne donner les clés qu’au plus méritant. A savoir en matière de perspective géopolitique et géostratégique dans la cohérence la capacité et la complémentarité avec l’OTAN sans faux semblants, de diriger le pays sans folie ni frayeur et encore moins d’accointances avec les ennemis du passé comme du jour présent.

       Finalement, n’en pourrait-on remarquer que le balancement du début et le changement actuel de positionnement de Trump par manque d’expérience peuvent lui jouer un mauvais tour pour sa chute ci-près du but malgré ses tirades et mises en gardes à sa rivale sur les armes en ce temps de résurgence terroriste sur le territoire américain. Par opposition à Mme Clinton très expérimentée loin de toute fausse évidence qu’effectivement l’amènerait vraisemblablement vers la qualification dans son projet de rallier les jeunes les minorités et les femmes. En tout cas ce n’est pas bon ou mal dire, que le Maroc est entre regard connecté d’Hilary Clinton et celui que beaucoup de marocains qualifient déconnecté de Donald Trump. Et c’est absolument dans ce contexte que le Maroc ayant montré sa virtuosité dans la diplomatie, prépare sereinement à la fois la COP 22 pour 06-18 Novembre 2016 à Marrakech qui sera celle de l’action-proposition et les élections législatives du 07 Octobre prochain dont on espère un déroulement sans accrocs vu les événements de ces derniers temps. A bon entendeur, salut !

samedi 17 septembre 2016

LES SÉCURITÉS DIPLOMATIQUES, VAUT MIEUX S’EN INQUIÉTER ET LES ACQUÉRIR QUE D’EN SOUFFRIR !

N’EST-CE A CE PROPOS LES DIPLOMATES CHEVRONNÉS ET PAS SEULEMENT POURRAIENT JOUER LEUR RÔLE PRÉPONDÉRANT POUR APPORTER ECLAIRAGE ET AUSSI CONSOLIDER LE DÉJÀ ACQUIS EN LA MATIÈRE ?

       Aujourd’hui, les marocains conscients des différentes facettes de la problématique que posent les sécurités en diplomatie, surtout pour la mise en œuvre de nouveaux outils par le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération. Aussi, comme ça ils en espèrent une perspective de ré enchantement dans l’élaboration de la division de la communication, à travers la sensibilisation sur l’importance des dangers liés à une telle carence-omission que de l’ignorer au risque d’en souffrir. Au sens où la prise en main de ce volet sensible doit s’inscrire dans le cadre d’un plan d’action visant, entre autre, l’amélioration de la sécurité des contacts et échanges voire transfèrements des données à travers ses câbles. Et dont il faut savoir que l’incubation et la rétention de l’information axée sur les sécurités institutionnelles diplomatiques sont déjà sous coupole seulement de la DGED. Parce que, outre le fait de le faire savoir ça marquerait la fin des interrogations encore en suspend sur la pratique diplomatique à l’ancienne, qui est une garantie de plus pour la réussite de la nouvelle géostratégie.

       Effectivement, c’est vraiment très grave ce qui circule ici et là sur le Net, à propos d’une éventuelle affaire d’escroquerie sous couverture diplomatique qui ne fait que partager la plateforme de l’angoisse chez les initiés. Confirmant ainsi l’opportunité de cette insertion mettant l’accent sur la prévention vu l’enjeu géopolitique régional de taille, dont les diplomates chevronnés les médias honnêtes et pas seulement pourraient apporter éclairage de consolidation des acquis en la matière. En référence à la légèreté et insouciance individuelle et collective de certains députés et consultants en stratégie dans quelques ministères et partis politiques marocains, qui auraient été manipulés par des faux diplomates étrangers et autres faux présidents d’ONG fictives. Ainsi, eu égard à la gravité et dangerosité de ces faits si c’est vrai, cela n’augure rien de bon au vu qu’ils occupent des postes avancés et places honorables dans les institutions. D’ailleurs, n’est-ce là ou le bât blesse du fait qu’ils auraient fait preuve d’incompétence et désinvolture n’en sachant qu’il y a une guerre sécuritaire et d’intelligence entre pays sur fond de lutte contre le terrorisme et non le romantisme de par le monde. Dont l’Etat-Maroc n’en est pas exempt du fait de son rôle leader dans la région, ce qu’au demeurant ne lui apporte que jalousie et velléités de ses ennemis en toute circonstance sur tous les thèmes même face à son implication déterminée contre la menace terroriste.

       Toutefois, nul n’ignore que ce genre de manipulation n’est pas simplement un faisceau de forces malveillantes pour soutirer l’argent à ces bleus-novices, mais pourrait être l’acte de déstabilisation si ce n’est l’atteinte à l’intégrité territoriale et au recouvrement des souverainetés. Tellement, il faut le dire sans hésitation, les marocains n’accepteraient qu’une chose pareille puisse arriver, sinon à quoi ça sert de se mettre devant les pupitres sur le perron des ministères mis en cause par cette mésaventure in sécuritaire pour communiquer et commenter de temps en temps le déroulé du fil d’actualités en géopolitique et géostratégie sans assurer les arrières. Voilà pourquoi, être un bon diplomate vif tatillon dans ses fonctionnalités diversifiées loin de la paranoïa, ça se travaille et ça s’aiguise par la culture générale et la connaissance de l’historicité événementielle des dessous des cartes en géopolitique. D’autant que la vie diplomatique fastidieuse à l’ancienne n’apporte plus rien à la justesse de la cause nationale en l’occurrence le Sahara marocain, et, par conséquent, ne peut que faire jaser sur la dilapidation de fonds publics sans résultats palpables ni réussite sur le terrain et encore moins répercussion positive garantie.

       A noter que ce sujet qui fut encore tabou il n’y a pas si longtemps, aujourd’hui il impacte au plus fin détail les analyses des observateurs assidus de l’actualité liée au Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération. Néanmoins, sachant le Maroc diplomatique fera certainement peau neuve en cette rentrée 2016-2017 au parfum électoral, ne s’agit-il d’un moment propice pour améliorer la pratique qui recèle bien des vertus de prise en main par les services de renseignement intérieur et extérieur civil et militaire. Lesquels, heureusement, n’ont jamais cessé de montrer une efficacité de vigilance redoutable dans ce domaine en affrontant les événements et les crises avec calme sérénité et clairvoyance. Et ce, dans le respect des règles de base de réapprovisionnement automatique en nouvelles données et informations suffisamment vérifiées et contrôlées pour mettre le corps diplomatique au courant. De surcroît en l’aidant raisonnablement à surmonter toute manipulation-infiltration et donc à accomplir pleinement son rôle de sensibilisation des chancelleries de par le monde à propos du recouvrement de toutes les souverainetés. Dès lors que les filières diplomatiques marocaines en ont un besoin spécifiquement pour la production de plus de répondant et d’énergie non seulement en négociations-tractations mais aussi en riposte aux allégations mensongères, par la présence et prestance comme ce que fait l’équipe d’Omar Hilal à l’ONU et partout ailleurs à l'exemple du Sommet des non alignés au Venezuela. Afin, tout simplement, de donner un nouveau souffle via des équivalences-compétences dans l’exercice du métier avec abnégation sérieux et responsabilité après nomination dans les circuits officiels ou accréditation à l’Etranger, surtout en Afrique ou la bataille diplomatique économique commerciale culturelle cultuelle et sécuritaire marquée par le retour du Maroc à l'UA a déjà commencé.


       A l’évidence, en cette étape cruciale de la nouvelle coopération marocaine qui s’annonce avec le nouveau Secrétariat Général de l’ONU, sera-t-elle d’indication encourageante après les 10 ans lamentables de BKM ? Pour éviter tout risque de manipulation notamment sur les informations provenant des rapports qui seront rédigés par la nouvelle équipe du futur(e) prétendant(e), dont on espère le changement du ton antithèse marocaine et le style mafieux de Christopher Ross voire même la teneur pernicieuse à la façon du DEA (Département d’Etat Américain). D’autant qu’aujourd’hui le Maroc reste ciblé par les traitres de l’intérieur, même quand les conditions de sa coopération sont comblées et vivement acceptées par la communauté internationale. Or, pour être plus concis et précis, n’est-ce là la plaie qu’il va falloir vite cautériser car ces vendus essayent de faire naitre les incertitudes au sujet de sa diplomatie par la manipulation à n’importe quel prix, pour provoquer d’autres couacs sinon zizanie et atteindre leur objectif minable comme symbole de division ? A ce titre, on peut d’ores et déjà dire, qu’il s’agisse là de la théorie d’envenimation des relations Maroc-ONU à coup de slogans anti Maroc d’un temps révolu, dont les manipulateurs tireurs des ficelles ont consacré leur temps à projeter leurs manigances. Autant de raisons pour que les diplomates marocains ne se relâchent pas sous aucun prétexte, en usant de communication rapide fiable et durable pour contrer ces renégats qui s’en inspirent des méthodes des faux diplomates et autres énergumènes. A bon suiveur, bon décryptage !

mercredi 14 septembre 2016

AFFAIRE NABIL BENABDALLAH LE CHEF DU PPS, VA-T-IL SE RÉDUIRE A NÉANT PAR SUITE DU COMMUNIQUÉ DU CABINET ROYAL ?

BENABDALLAH ET LE DÉSESPOIR N’AYANT PLUS RIEN A QUOI SE RACCROCHER, CAR SON IDENTITÉ ALLANT S’EFFACER DANS LE MONDE POLITIQUE GRISONNANT !

       Maintenant, les marocains ont compris que les rôles sont distribués entre Benkirane et Benabdallah pour détenir la franchise des lignes électorales sans le RNI ni le MP, vu qu’ils donnaient l’impression d’avoir eu la haute main dans l’exercice du gouvernement sortant. Sauf que, ce qu’ils ont omis dans cette manipulation après qu’ils n’aient eu le feu vert de leurs coalisés pour présenter leur bilan remanié édulcoré bref trafiqué en leur faveur, c’est ‘’Li F'Rass Ejmel, F'Rass Ejemmalas’’ c’est-à-dire, au Souk de bétail, ce qui trotte dans la tête du chameau si tenté qu’il le fasse, est pré-pensé par les négociants en camélidés. Autrement dit, ce qui tourmente Benabdallah et Benkirane, est consciemment continuellement pris en compte par Mezouar et Laanser sans le montrer. Et ce, afin d'entamer un autre travail dans l'espoir de s'inventer un avenir où s'entretiendraient des rapports des procédés et des styles de l'unicité volontariste de langage sans naïveté sachant que c'est périlleux pour tout le monde. D’autant plus, déjà la fronde au sein des partis, en effet, se fonde sur la prétention des marocains de faire le nettoyage électoralement de la caste des privilégiés par le sang le copinage le voisinage voire même le chantage.

       Il est à noter, que quand on porte en politique la double casquette à la fois en tant qu’Ex communiste patron d’un parti progressiste légendaire, en plus pro programme-vision obscurantiste d’Abou Tamim que porte le chef du gouvernement, c’est qu’avec le temps qui courent c’est garanti que la mort politique serait au rendez-vous. Donc, par suite à la désinvolture de Benabdallah pour ce qui est de son attaque réitérée non réfléchie et non mesurée à l’encontre de l’institution royale, il ne lui resterait à présent que chagrin, qui plus tard, sûrement se muerait en démission comme revanche du temps politique. Comme ça, ses soi-disant subtilités, ses ruses, dont il se targue face aux sous-outillés politiquement ne lui seraient d’aucun secours, sachant qu’il ne rentrerait plus au palais. N’est-ce là où, par son snobisme hautain et sa langue de bois noyant toute vérité, il a, en cinq ans crée la marche politique paradoxale au sein du PPS ? Dans la mesure où sa façon d’orienter les discussions vers des échanges de sortie de route toujours dans le même sens sur le même refrain qu’il ait lui-même utilisé en 2009. Et qu’aujourd’hui, pour ne pas laisser de trace sur ses échecs cuisants en matière de gouvernance ministérielle, voire même de ses recombinaisons politiciennes pro PJD, il en réitère la même phraséologie déconcertante.

       En effet, pour subvenir à ses besoins pas seulement politiques, comprendra qui voudra, il a en plus contraint les notables parce qu'y en a aussi au PPS comme dans tous les partis en plus des novices adhérents à son parti, à se faire travailler leur mentalité comme les caciques Ex bolcheviques-staliniens pour se mettre sur la ligne islamiste d’Abou Tamim pour raison le concernant lui particulièrement. Une conversion qu’il leur a imposée à tous et qui ressemble à une fouille de leur subconscient pour les déstabiliser et donc par ailleurs découvrir leur limite d’acquiescement de ses élucubrations et de ses dérives. Feu Ali Yata, si l’on se reporte à son époque ne l’aurait jamais accepté, car donnant l’image d’un héritage aussi brouillé par ce suicidaire à la moustache fantasmée qui fait penser à Staline. Vraiment, sa pratique de la politique de l’extravagance politicienne au sein du PPS ressemblait à un jeu avec le feu, qu’à tout moment il peut détruire tout ce qu’il y a autour jusqu’à ce que les foyers des étincelles consument le Parti. D’ailleurs après l’affaire ‘’Jouj Francs’’, c’est avec l’aide du PJD qu’il ait pu sauver la jeune ministre d’un naufrage certain, ayant supplié à genoux les uns et les autres de l’aider à mener l’opération de sauvetage de sorte à la sortir du brasier et qu’elle renaisse de ses cendres.

       A cet effet, si on l’évalue sur la base de ses moments passés à faire l’éloge du chef de gouvernement, on en verrait une sorte de mélange de plusieurs variantes d’attaques contre l’Etat-Maroc dont il en est quand même un ministre. Ce qui montre en cette veille d’élections législatives du 07 Octobre 2016, qu’on lui a intimé l’ordre de coller sur le paravent de l’institution royale pour provoquer zizanie de conjoncture et induire un phénomène de panique. Qu’effectivement, cette méthodologie d’accélération du processus du dénigrement de personnalités du sérail royal, est désormais considérée par les observateurs aguerris une sous-production de la faiblesse d’affronter le peuple par des programmes solides viables réalisables sans emphases ni surenchères sur leurs chiffrages et leurs montages. Aussi, en conséquence à cette spirale mensongère de sa part, seul le temps dira si en tant que chef du PPS il avalerait sans maugréer la dérobade de beaucoup de ses proches amis au parti, après l’affront du communiqué du cabinet royal jusqu'a démissionner. D’autant qu’il est, qu’on ne le veuille ou pas, le politique sans virtuosité diplomatique ni clairvoyance gestionnaire ministérielle, car seulement porté sur la fanfaronnade de salon et les intrigues pour disqualifier ses concurrents. Malgré, ce qu’en pensent de lui les réfugiés sans conscience au sein de certains partis politiques le soutenant par espièglerie politique pour affaire les concernant. Ainsi c'est une autre réécriture de la réalité qu'ils essayent de livrer, et/où les aspects les plus contradictoires de l'infinitude réelle de leurs désirs respectifs de voir l'Etat-Maroc vaciller entre leurs différents raisonnements de création d'affrontements sociétaux. 


       C’est dommage pour lui d’en arriver à ça, d’où, derrière son visage de faux-chérubin apparaît celui qui veut s’agripper au pouvoir sans en avoir ni la popularité ni la carrure du politique juste non roublard. D’ailleurs, sans parler de son non virtuosité diplomatique en Italie, sa gestion actuelle du département de l’habitat est un désastre criard, même si dans ses locutions il se couvre de gloire étant le seul à le faire et à y croire. Tellement qu’on en voit une fantaisie rappelant son passage à la communication, à même de se déclarer en fin de législature prêt à parapher d’autres honteuses clauses sur les maisons qui tombent à chaque averse par l’absence d’un réel suivi responsable de sa part. On pourrait même dire qu’il aurait représenté sans le savoir les mafias locales partout, comme à Chefchaouen et ailleurs en violation de la transparence et la probité dans la distribution des lots de terrains qu’aux proches inconditionnels et pjdistes conditionnés. A bon entendeur, salut !

mardi 13 septembre 2016

VIVEMENT LA FIN DU GROTESQUE A LA BAN KI MOON ET DU TRAGIQUE A LA BOUTEFLIKA DANS L’AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN !

CES DEUX LA, AVEC L’EMPREINTE DE LEURS MEURS POLITIQUES A LA SICILIENNE DANS LE CONFLIT DU SAHARA MAROCAIN, CONTINUERONT-ILS A VIVRE POUR L’UN LE GROTESQUE DANS SES SIMULATIONS ET POUR L’AUTRE LA TRAGÉDIE DES SIMULACRES DE SON AGE AVANCE ?

       Il est vrai que la question qui taraude à plus d’un titre, n’est-ce pourquoi alors sont-ils bien semblables à des décideurs disloqués dans leurs décisions chacun dans son rayon d’action ? De surcroît incapables de se recomposer l’idée d’avoir tenté à changer l’identité du Sahara marocain qu’ils appellent occidental, faisant dans l’anecdote ‘’l’éléphant ça trompe énormément’’. Pourtant les faits historiques à reconnaître pour de vrai la marocanité du Sahara sont là, pour qu’ils ne s’abandonnent totalement à l’euphorie des influences d’un temps révolu. Dont actuellement l’empreinte des meurs politiques à la sicilienne est si forte que Bouteflika fut tout naturellement choisi à prendre la suite en 1998, alors qu’on pressentait déjà la fragilité sociétale de l’Algérie consentante à ce genre de liens de convenance et de tromperie. Tellement, malheureusement aujourd’hui, Ban Ki Moon et le DEA (Département d’Etat Américain) et autres lobbys aux USA UK et pays scandinaves via Christopher Ross, sont l’un des plus incompréhensibles soutiens en sous-cave onusienne.

       Néanmoins, pourquoi le font-ils tous même la sachant errer comme une ombre dans le sable, avec au fur et à mesure l'installation d'un pessimisme suicidaire sans couloir caravanier de sortie ? Voyant son espoir de construire une soufrière se volatiliser face à un Maroc solide bien ancré dans ses désirs de recouvrement de toutes ses souverainetés. Et donc pour que puisse se réaliser l’intégrité territoriale totale avec des sacrifices non par les mots mais par l’adhésion physique diplomatique voire militaire, loin de la caricature du Polisario à la fois fantôme et prisonnier dans ses gesticulations ubuesques. Qu’en effet, malheureusement, le grotesque à la Ban Ki Moon le pousse à l’improvisation n’en sachant qu’il est pris au jeu illusoire des lamentations de façon presque exécrable, car incapable de saisir l’occasion de l'offre du Maroc de l’autogestion de 2007 dans la régionalisation avancée. Au sens qu'il s'en rende compte de l'opportunité de pouvoir prendre part à la gloire de la mère patrie et s’imposer une ligne de conduite responsable pour accompagner le développement, la démocratie et au plus intimement caractéristique le nouveau positionnement géopolitique marocain véritable poste de pilotage stratégique dans toute l’Afrique. Cette fois-ci, conséquemment à ce ratage onusien, il faut le rappeler sans hésitation qu’il ne reste plus à Ban Ki Moon qu’à disparaître vraiment du perchoir onusien, et chercher à s’accrocher au comment devenir une autre personne alors que le réel de son entourage est microscopique, au vu de l’ensemble de ses couacs ne lui permettant de s’enraciner profondément auprès des ONG et autres institutions légalistes.

       Quant à Bouteflika, régi par le code d’immoralité source du tragique chez les polisariens jouant leur partition de crise existenielle, voire d’angoisse pour toute la région MENA-Maghreb-Sahel subsaharienne africaine et/où la pression terrible des manutentionnaires-mercenaires est perceptible, il lui faudrait sortir de ses querelles avec sa psychologie contractée depuis son bas âge à Oujda. S’étant fabriqué une sorte de mémoire-gouttière ou les racines du mal en ont trouvé le gène de sa transition vers l’anti Maroc, ne laissant place à aucune expression ni de compréhension ni même d’indulgence envers ses compatriotes qui puisent la sagesse du coté marocain. Cependant, vraiment, dans cette analyse aussi diverse que concise et précise, il ne faudrait en oublier l’autre volet de Boutaflika en tant que conservateur en politique qui réagirait au gré du courant des contrebandiers et supporteurs des terroristes qui le côtoient. Dont il en a montré plus tard via le secret de son propre bonheur une hardiesse révisionniste de son passé, montrant donc qu’il n’a rien à voir avec le socialisme allant jusqu’à le considérant comme une histoire honteuse. Alors qu’avec Boumedienne et les caporaux généraux ils en ont fait le mirage la tromperie voire le hold-up des richesses du pays dans la liesse populiste entre le tragique et le grotesque. Ce qui pousse aujourd’hui les médias les syndicats les intellectuels et certains partis politiques algériens de demander le départ du Polisario, pour passer à une nouvelle vitesse de production de l’amitié Maroc-Algérie comme dans l'ancien temps de la lutte commune contre la colonisation ne pouvant qu’assurer stabilité et essor du Grand Maghreb.

       Cependant, de par l’actualité foisonnante il n’y a aucun doute sur la volonté de l'Etat-Maroc de ne plus s’autocensurer dans sa communication et de ne plus céder sur aucun terrain fut-il sur les signes annonciateurs de zizanie politicienne en interne, que ceux d’une crise sans précédent avec les USA ciblant et diffamant les pays amis de longues date, l’UE si à tout hasard il y a entrave sur le chemin de son succès en vue d'une meilleure collaboration et avec à la triplette Algérie-Mauritanie-Polisario à propos de sa circulation aisée en Afrique en raison d'un manque de lucidité politique de leur part. A cet égard, son argument est en béton dès lors qu’en interne il respecte à mot la constitution restant toujours neutre et à même distance surtout des partis politiques et des institutions, et que vis-à-vis de l’extérieur il est d’une fidélité sans faille à ses amis pour le meilleur et pour le pire. Même sachant qu’il vit parmi les ingrats pour qui seules comptent les opportunités scabreuses et non les qualités de ténacité que requiert en interne comme en externe l'initiation politique pour affronter les séquelles de mauvaise gestion de la mondialisation. Aussi, dans l’attente dans deux mois de l’annulation de la Cour de Justice de l’Union Européenne, de l’arrêt du 10 Décembre 2015 et de rejeter le recours du Polisario comme irrecevable, il va falloir combler le trou béant de l’accord commercial de 2012 sur les produits agricoles partant de ce qu’avait constaté le Tribunal manipulé par les lobbys pro algériens. Ce qui avait suscité à l’époque l’ire du Maroc jusqu’annoncer la rupture de ses relations diplomatiques avec l’UE l’ayant poussé au pourvoi en cassation. Dont aujourd’hui même le procureur général de cette Cour dans son rapport livré ce jour-même à la presse, montre qu’il est résolument hostile aux manigances lobbyistes autour de ce dossier qui pourtant d’après lui est clair en faveur sur beaucoup de points au Maroc. Et ce n’est nullement faire dans l’euphorie patriotique de rappeler qu’en plus il y a la visite du président du parlement africain Mr N'Kodo qui a fait présenter avec brio sa première intention d’accueillir très favorablement la venue du Maroc après qu'il ait été convaincu par la thèse marocaine.

       C’est clair maintenant que l’approche marocaine multisectorielle rénove potentiellement la logique politique de l’ONU l’UA l’UE et toutes les Instances qui se battent pour la paix. Tellement, le voyant désormais ne pas renoncer à ses activités pacifistes au sein de l'ONU malgré la parenthèse d’exclusion-expulsion des agents civils de la Minurso d'avant l'étape annuelle du mois d'Avril 2016 au Conseil de Sécurité. A même de les voir eux aussi faire sans complexe son éloge de sa lutte exemplaire anti terrorisme dans l’affaire Gurguarate qui de surcroît fait déjà des émules partout. Et c’est pourquoi il va falloir faire très attention à la collaboration du Maroc avec le Secrétariat Général de l’ONU encore sous Ban Ki Moon en fin de mandat sans gloire. Car son secrétariat particulier sous contrôle et domination de Christopher Ross fonctionne mal, se cantonnant dans l’affaire du Sahara marocain dans un rôle partial de non neutralité irresponsable jusqu’à essayer d’exercer une influence saugrenue et viciée, tant sur les voisins du Maroc que sur l’assemblée générale et le Conseil de Sécurité de l’ONU. Ne sachant que chemin faisant le Maroc fut doté d’une défense diplomatique hors flambée idéologique, sous l’égide du Roi Mohamed VI dont tout le monde en parle, salve des derniers discours faisant foi. Et qu’en plus sa créativité faisant le buzz est favorable pour le développement socio-économique culturel écologique cultuel sécuritaire et politique du pays, ayant provoqué dans son voisinage en l’occurrence Algérie-Mauritanie que l’atmosphère frustrante et le désenchantement du pouvoir. A bon entendeur, salut !

dimanche 11 septembre 2016

ZOOM SUR LES NOUVEAUX RATAGES DIPLOMATIQUES ALGER-DÉPENDANTS ANTI MAROC, A L’ONU L’UA L’UE L’ASEAN ET CHEZ LES PAYS NON ALIGNES.

POURQUOI LE MAROC DOIT-IL ACCÉLÉRER LE RENFORCEMENT DES FRONTIÈRES ET DE SES NORMES DE SÉCURITÉ APPLICABLES SUR TOUT LE TERRITOIRE ?

       Désormais l’on peut affirmer avec assurance en ce jour de l'Aid Al Adha 12 Septembre 2016, que l’Algérie est en perte de vitesse dans le traitement du dossier du Sahara marocain à l’ONU UA UE et partout dans les Instances Internationales comme à Asean et chez les pays non alignés. C’est pour cela ni ses encouragements aux manigances de Ban Ki Moon et ses manutentionnaires en cale du paquebot ONU, ni ses turpitudes propolisariennes à Boumerdès, ni les comptages et transferts de son arsenal d’armes par la mafia des Généraux de Maghnia et Sidi Belabbas en partance à Bir Lahlou via Tindouf ne la sortiront de son marasme nettement perceptible. Au point il faut le dire sans détour, son rayon d’action diplomatique se rétrécit tant par la proportion et la catégorie des pays qu’elle approche que par la délocalisation de son champ d’intervention de zone en une autre sans résultats probants. Dont Christopher Ross en a saisi le message, voulant ne pas laisser effacer ses traces et empreintes par sa demande d'entamer une visite au Maroc à la veille des élections législatives cruciales. Sauf que les décideurs marocains sûrement après analyse en voient une autre manipulation de sa part, lui intimant de surseoir à sa demande et donc d'éviter qu'il puisse structurer ses velléités en une offensive préparatrice du terrain pour l'Algérie en souffrance de renaître de ses cendres.

       D’ailleurs, qui l’eut cru qu’elle soit atteinte par l’incidence directe de son passé africain qui défrayât la chronique des années durant, l’ayant actuellement mise face à la fatalité de sa régression en matière d’influence loin de toute transcendance. C’à quoi, aujourd’hui elle cherche à augmenter ses coordinations avec les réseaux du mal en l’occurrence contrebandiers et terroristes au Sahel subsaharien à Agadès en porte de Libye, en les orientant vers la zone de séparation-tampon pour faire reculer le Maroc dans sa détermination de recouvrir toutes ses souverainetés territoriales. Mais ce qui est intriguant, pourquoi le fait-elle même sachant qu’en pratique sur le terrain, sa manipulation est surveillée de près par les services de renseignements américains russes japonais israéliens égyptiens et européens (français-espagnols-italiens-allemands) qui pullulent dans la bande sahélo subsaharienne africaine ? Et ce, en toutes les étapes, depuis l’induction de l’idée d’affaiblir le Maroc dont les tentatives sont effrayantes et en constante évolution, passant par le financement des cellules en dormance jusqu’au contrôle tactique et technique de la coordination du passage aux actes de déstabilisation. Bien évidemment qu’elle fait tout cela dans un but dont elle en espère qu’il ne manquera pas de contribuer à la maîtrise du calendrier diplomatique onusien en cette fin de mandat de Ban Ki Moon, pour mettre le ou la futur(e) Secrétaire Général(e) de manière plus ciblée devant le fait accompli d’une guerre même éphémère. Dont, malheureusement les répercussions ne peuvent qu’être fatalement dangereuses pour le Grand Maghreb l’Europe le Moyen-Orient et l’Afrique, du fait de la situation détonante relativement à l’incidence des actes terroristes et leurs destructions connexes des canaux diplomatiques.  

       Voilà pourquoi, à ce titre, nous y sommes déjà dans la transpiration pré-guerrière sur toute la zone de séparation au Sahara marocain ! Avec les tentations de réchauffements des esprits selon la prévalence de révision du cessez-le feu 1991 et l’apparition si ce n’est l’aggravation comportementale par imprudence insouciance voire extravagance du Polisario. D’où la riposte anticipative diplomatique-sécuritaire du Maroc pour assainir Guerguarate dans l’espace que tout le monde l’appelle Kandahar en référence à la sous-région de la ville qui porte ce nom en Afghanistan. Ce qui donne l’occasion pour les observateurs internationaux d’analyser les conséquences directes et indirectes sur le scénario de levée de bouclier définitif qui risque de s’établir, à savoir le droit du Maroc d’entamer la résolution définitive de ce problème par l’intransigeance. Même si, il est vrai qu’à valeur d’aujourd’hui à travers quelques indications, la stratégie de l’Etat-Maroc c’est de ne se laisser influencer ni se faire berner par aucune tendance ou modélisation vers la surenchère. D’autant plus restant serein, maître de lui-même, car il n’a pas dans son logiciel de sauvegarde de ses souverainetés la moindre idée d’attaquer en premier ses ennemis qui n’ont par ailleurs jamais cessé de l’harceler pour un oui ou pour un non.  Aussi la vague d’Intox à l’encontre de ses intentions ne pousse-t-elle à de graves complications, au vu qu’elle ne soit pas rassurante tout au moins non susceptible d’entraîner l’apaisement ?

       Néanmoins, l’information et la sensibilisation pour la mobilisation des marocains, ne doivent-elles se pencher sur les efforts déployés par le Maroc dans sa lutte exemplaire anti terrorisme ? Afin de contrer cette problématique que posent l’Algérie et la Mauritanie via leur fidélité sournoise au Polisario, s’additionnant à leurs agitations diplomatiques pernicieuses partout ou ils ont l’occasion pour essayer de circonscrire l’aura marocaine. En l’occurrence l’approche royale écolo-socio-économique via INDH, culturelle par la promotion du rayonnement du pays dans ce registre, cultuelle montrant un ensemble de normes de religiosité apaisée selon le rite sunnite d’obédience malékite et enfin sécuritaire de prévention des complications sur tout le territoire national. Effectivement, il s’agit de la stratégie nationale recommandée par l’engagement du Roi Mohamed VI de lutter contre les dérives dans toutes leurs composantes, par la mise en place d’un maillage socioéconomique cultuel sécuritaire permettant l’évaluation continue de l’information même standardisée. A cet égard, et ce n’est pas faire dans la surenchère de rappeler que le Maroc ne s’en cache de montrer sa stabilité, reflétant ainsi sa confiance et sa maîtrise du stress environnemental régional malsain, particulièrement via la fructification de l’investissement structurant qui arrive de toutes parts. D’ailleurs, le rôle des ONG n’est pas moins important, de par leurs initiatives qui enregistrent une nette augmentation pour une revitalisation du contrôle civil des aides humanitaires au Polisario. Et donc, conséquemment de mettre le mal algérien combiné dernièrement au mauritanien sous la loupe des instances judiciaires internationales, pour ne laisser la transpiration pré-guerrière du temps présent gâcher leurs intentions humanitaires. A bon suiveur, bon décryptage !

jeudi 8 septembre 2016

PLUS D’AUTRE CHOIX POUR LE MAROC DIPLOMATIQUE, QUE DE CONTRER TOUS LES DISCOURS IDÉOLOGIQUES QUI BRISENT VOIRE ASSERVISSENT L’HUMANITÉ !

COMMENT EN CETTE RENTRÉE 2016-2017 LE MAROC DIPLOMATIQUE DOIT-IL RÉAGIR, VOYANT S’ÉRIGER EN ON LE DISCOURS DAECHISTE MANIPULATEUR MÊME DES MÉDIAS ?

       Qu’on ne le veuille ou pas, la tolérance de ces logorrhées dis courantes à pensées ‘’Abou Tamim’’ n’a pas droit de citer nulle part. Tellement le Maroc diplomatique se doit les contrer en façonnant ses objectifs anti terrorisme dans la forge des consciences à l’ONU et partout ailleurs. A cet effet, n’est-ce durant 17 ans le Souverain marocain n’a cessé de faire savoir progressivement sa conception de gouvernance virtuose cultuelle culturelle écologique diplomatique et sécuritaire, comme profession de foi s’inscrivant dans cette ligne du pragmatisme visionnaire. Lequel, s’étant par la suite infusé et diffusé voire déployé dans les esprits transcendés de presque tous les marocains. Telle une volonté objective de fermeté en vue de soumission rien qu'à la bonne gouvernance multidirectionnelle pour remporter victoire l’une après l’autre. Et ce, loin des scepticismes et solutions brutales qu’entretiennent en subliminaire en cette veille des élections législatives du 07 Octobre 2016, les porteurs des desseins et conceptions d’Abou Tamim faisant un pas de plus sur le chemin de l’inconnu avec dangerosité.

       N’en pensez aucunement que la communication subliminaire de vengeance à ciblage simultanée de Com, faite par le chef du gouvernement lors de sa rencontre avec la jeunesse du PJD à Agadir fin Juillet 2016, est seulement d’accéder à plus de reconnaissance du peuple marocain. Non, au contraire, il s'agit d'un chantage saugrenu lancé et/où c’est malheureusement l’une des perspectives de mettre en difficulté la conception royale organisée autour de la mobilité du dispositif de lutte anti terroriste, véritable choix stratégique programmé dans le temps pour contrôler le flux populiste usant de la raison de récupération et d’orientation des consciences des petites gens. Dont le ministre de l’Intérieur marocain Mr Hassad au parlement européen en a montré devant un parterre de personnalités à l’UE, la force majeure de l’Etat-Maroc dans ses contrôles  sans relâche des espaces physiques et circuits des pratiques terroristes. D’ailleurs, tout un chacun peut s’en rendre compte en voyant s’ébranler le rêve du pouvoir algérien au sens qu’il y a partout rejet de la chimérique RASD dont l’aménagement du ton menaçant n’est plus à démontrer. Qu’au demeurant, maintenant, la communauté internationale sait qu’il y eut un travail colossal fait par les services marocains, opération-assainissement à Guerguarat faisant foi pour neutraliser les groupes supports de la menace interne et aussi externe dans les camps de Tindouf voire en longueur et largeur dans toute la bande de séparation.

       A première vue, est-ce que ces incrustés dans le maillage de l’Etat secondant le chef du gouvernement dans sa prédisposition subconsciente jihadiste à la façon Abou Tamim, ne cherchent-ils à faire de la résistance de composition dans ce que l’on peut qualifier de ‘’création de champ de bataille à connotation salafiste’’ par la violence de leurs mots et passions ? Dont ils n’en espèrent par ailleurs que mettre à lourde épreuve, les constantes de la résilience de l’Etat-Maroc qui est une forme de résistance de sa machine sécuritaire-diplomatique proactive. Et donc, de ce point de vue, il ne faudrait attendre une catastrophe pour mettre à l’arrêt cette  attitude revancharde allant même jusqu’à s’élever à braver les interdits érigés par la constitution du 01 Juillet 2011. Et d’où émane cette même machine étatique, qu’en effet, elle est aujourd’hui si brillamment cautionnée de par le monde car positionnée sur la voie de consécration. Excluant de fait, toute tendance vers la dramatisation qui dessert les causes nationales, notamment en essayant de briser la cohésion sociétale par des positionnements de religiosité dont le discours du 20 Août 2016 plein de signaux en référence à la situation de dé-confiance, en a fait la part des choses essentiellement concernant le libre choix des marocains.

       Néanmoins, quand on regarde de près les relents médiatiques déconcertants de ces derniers temps, on s’aperçoit que les données sur lesquelles ces concepteurs du ‘’Tamimisme’’ se basent, sont remaniées voire mêlées à leur fiction. Absolument, spécifiquement, pour contrarier la raison d’Etat afin de satisfaire leur soif de domination qui, hélas, se projette en perspective politique tragédienne. A cet égard, tout système d’évaluation de ce genre de comportement borderline meme venant de la part de contractuels bigarrés et profiteurs, ne doit-être exempt de sanctions, fussent-elles populaires électorales. Comprendra qui voudra à ce propos ! Car, le degré de compétence et de performance dans la machine étatique, ne demande-t-il une révision de l’évaluation de la stabilité du pays dans sa globalité sans en rétablir une quelconque approche policière politique. Mais seulement en tenant compte de l’encadrement qui en assure le suivi, évidemment connu et reconnu de tous. Bien entendu sans flancher ni hésiter à stopper à tout moment les dérives tendancieuses de quelle origine que ce soit, et qu’après, que la judiciarisassions prenne son chemin normal. C’à quoi elle donnerait la possibilité des recours à tout un chacun se voyant floué dans ses droits d’établir la conduite à tenir et de ne se soumettre qu’à elle. Ainsi, Oui à l’Etat des libertés d’expressions mais dans le respect de l’idéal de la loi, même dans les antagonismes du bien et du mal que l’on voit aujourd’hui se manifester à tous les niveaux. Dont, malheureusement certains veulent s’en réapproprier en tant qu’outils de supériorité dans le cadre des opportunités de communication offertes à eux, de par leur fonction institutionnelle.


        Voilà pourquoi, c’est dans ce sens qu’en diplomatie, les questionnements faits par les observateurs relatifs aux modalités d’évaluation et le choix des diplomates pour faire face à ce fonctionnalisme fictionnel interpellent à plus d’un titre. D’autant plus que le débat sur ce sujet oscille entre, d’une part, ce que l’on pourrait appeler cooptation d’office de privilégiés seulement par la consanguinité et/où favoritisme de convoitise hermétique pour raisons faciles à deviner. Et d’autre part, insistance sur la valeur et la compétence tout au long du cycle de la formation, dont doit faire preuve chaque candidat avant de se voir accréditer dans le circuit des chancelleries. Ce qui revient à dire qu’il va falloir se garder de l’élitisme stérile qu’il soit partisan ou autre, du fait qu’il y a risque de mélanger l’incompétence avec la bonne compétence dans l’occupation des postes stratégiques au moment de la bataille qui s’annonce à Addis-Abeba. D’autant qu’en plus, on ne doit se départir d’une rigueur dans le traitement de l’information pour s’assurer de la bonne exégèse du fil des actualités, en rappelant aux futurs diplomates l’obligation de se mettre suffisamment à niveau dans l’accomplissement de leurs responsabilités. Vraiment, dans ce traitement du discours à connotation daechiste du chef de gouvernement, ne faut-il le réaffirmer sans complaisance que pour la diplomatie il doit être un sujet de préoccupation à part entière des diplomates ? Et ce, pour qu’ils puissent l’évaluer rigoureusement avec ou sans leur aura, s’ajoutant à l’appréciation évolutive des phases d’accompagnement de l’emballement si à tout hasard il a lieu. A bon entendeur salut !

samedi 3 septembre 2016

LA MINURSO FACE A LA VÉRITÉ DIPLOMATICO-SÉCURITAIRE MAROCAINE AYANT MIS FIN A LA CACOPHONIE AU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU !

COMMENT L’OPÉRATION-ASSAINISSEMENT DANS LE MONDE DE LA CONTREBANDE A GUERGUARATE EN ZONE DE SÉPARATION AVEC MAURITANIE, EST-ELLE DEVENUE LE RÉVÉLATEUR DES RANDONNÉES INSOLITES DES POLISARIENS SEMANT L’EFFROI CHEZ LES CAMIONNEURS-TRANSPORTEURS ET AUTRES ?

       Les marocains et pas seulement, ont appris avec un vif plaisir le montage responsable de l’opération-assainissement à Guerguarate par leurs services de police et douane loin de toute excitation. Depuis, la conclusion qu’ils en livrent grâce aux faits sur le terrain à propos de cette mobilisation encadrée militairement est à beaucoup d’égard envieuse, parce que ciblée-géo localisée dans l’espace et maîtrisée dans le temps pour éviter les désordres obstructifs pouvant se manifester. Et, dont il n’est plus possible pour les trafiquants de faire transiter les voitures d’occasion en provenance des pays européens avec de fausses immatriculations, vu que les informations sur la méthode utilisée sont maintenant connues parfois disponibles sur le Net. Enfin, avec la situation actuelle, tout le monde sait qu’il n’y aura plus de ruée vers le trafic de drogues armes alcools devises faux-papiers faux-médicaments et autres produits prohibés, en zones de séparation de contrebandiers et d’apprentis-terroristes des camps de  la honte et du non droit à Tinfouf. D’autant que le Conseil de Sécurité n’a aucunement ordonné l’examen de la plainte du Polisario, d’où l’on peut deviner qu’il ait décelé l’absurdité qui côtoie la fatalité irrémédiable. En plus rejetant les arguments, qui, pour lui, symbolisent l’extravagance à même qu’on est en droit d’en comprendre une jurisprudence de droit de suite du Maroc en zone de séparation voire au-delà même pour assurer ses arrières et sécurité territoriale.

       Aussi, en réponse on est tenté de dire, les infiltrations comme les échanges commerciaux douteux à travers les postes frontières sont presque impossibles par les temps d’accentuation de vigilance qui courent. Par ailleurs, les difficultés grandissantes et les exigences primordiales du libre échange avec la Mauritanie étant ce qu’elles sont, les trafiquants et autres négociants de produits illicites commencent à tourner les pousses en attendant des jours meilleurs. En quelque sorte vivant dans une ambiance n’assurant pas leur indépendance ni leur gaieté mais plutôt ennui et solitude, d’où se déclinerait leur inculpation éventuelle par la communauté internationale à propos de leurs détournements d’aides humanitaires aux séquestrés des camps. Ce qu'évidemment inhiberait leur perversité, s’ajoutant à une décroissance notable du racket des usagers de ses postes frontières via la construction et goudronnage des 7 km de route qui séparent le Maroc de la Mauritanie. Ce qui permettrait automatiquement aux transporteurs honnêtes de ne plus avoir peur des occupants des pistes, qu'en effet ne se consacrent rien qu’au vol et larcin. C’est dire l’âge d’or du non droit dans cette bande de blanchiment selon les données des Observatoires dignes de foi, sur la base d’échange de sommes colossales en tant que plateforme internationale de transfèrements de capitaux. A ce titre, ne pourrait-on dire que dorénavant tout ce commerce illicite traversera les années de dèche si ce n’est de plomb, mais seulement après la mobilisation de la communauté internationale pour le contrer ? D’ailleurs la Minurso n’a pas hésité à qualifier les turpitudes du Polisario de non étonnantes, en référence à la mobilisation sus-indiquée encourageant la construction de portions routières dans un but d'apaisement. Pour faciliter la communication concernant les différents aspects de l'impact diplomatique et surtout commercial, que c’est un enrichissement progressif vers la paix dans la région nécessitant ces mesures techniques sécuritaires urgentes.

       Sur ce sujet, il faut l'affirmer naturellement calmement que la spéculation de Ban Ki Moon et son gourou Christopher Ross sur les risques de dérapages vers le non respect du cessez-le feu de 1991, n’est pas fondée. Bien au contraire, la communauté internationale estime que via cette prise en main marocaine on assiste à la préparation du début de dé ghettoïsation des camps de Tindouf de Rabouni et autres en territoire algérien mitoyen. Dont le pouvoir algérien lui-même n’en supporte plus cette étanchéité d’apartheid et/où la ségrégation entre Noirs et Blancs a dépassé la cote d’alerte, le montrant seul responsable de cet état de fait inadmissible et intolérable. Du moment que, des années durant (40 ans) il n’a aucunement essayé d’inverser cette tendance, rien qu’en s’engageant à détruire ces cloisons par la facilitation du recensement. C’est en ce sens qu’il est aujourd’hui en pré écriture de sa nécrologie presque Kafkaïenne, montrant ainsi l’angoisse dont il se trouve comme si la honte devait le poursuivre. Voilà en quoi les derniers discours du Roi du Maroc, d’une part remplissent les objectifs à atteindre par l’ONU pour la sécurité régionale dans le cadre de l'offre d'autonomie 2007 et d’autre part consacrent l’avènement de véritables solutions symboles de prospérité dans la régionalisation avancée. Néanmoins, sans vouloir provoquer ni zizanie ni peur sur les enjeux géopolitiques et stratégiques, si l’expansion de groupuscules terroristes se poursuit au rythme actuel, la région MENA et bande Sahel subsaharienne-africaine vivront inéluctablement de temps en temps sous des concentrations de smog neurotoxique si ce n’est les nuages nucléaires ponctuels. Comprendra qui voudra !

       Il est vrai que les services de police et de douane marocains ont engagé une véritable course contre la montre pour relever le défi de lutte anti-contrebande dont on sait qu’elle est cyber-assistée. D’ailleurs, les sous-traitants polisariens, pendant longtemps en ont trouvé à Guergarate le terrain idéale pour commettre leurs attaques en tout anonymat et/où les preuves sont difficiles à démontrer. Sauf que, selon les résultats obtenus à ce jour, ce monde de crime organisé n’existe plus après l'intervention des services marocains qui en ont détruit les connexions à une vitesse phénoménale. Et c’est même le jackpot avec l’arrestation d’une cellule active de quatre trafiquants notoires dont le fils d’un ministre de la fantomatique entité polisarienne, qu’en effet le BCIJ en décrocherait directement quelques réponses à beaucoup de questions. Même pour les plus ciblées après exploitation des données informatiques des cellulaires qu’apparemment auraient été saisis, et ce sur les transferts de fonds et autres implications de personnalités étrangères dans ces trafics. N'est-ce pour cela qu'on entend déjà ici et là des sommités diplomates et intellectuels à travers le monde, demander à l'ONU de lever le secret de ses tergiversations à chasser le Polisario de ses élucubrations politiciennes sans lendemain. Evidemment, les résultats de l’enquête ne sont pas destinés à être publiés, au moins dans un premier temps mais peuvent en outre indiquer les tendances dans l’impartialité la plus totale, ce qui corroborera la demande sus-mentionnée. D'autant qu'aujourd'hui, tous les services de renseignement de par le monde savent par la preuve que le Polisario est impliqué dans la cybercriminalité, à savoir la traite des femmes l'immigration clandestine les réseaux pédophiles le vol d'identité la fraude le blanchiment d'argent le chantage informatique, en plus de l'incitation à la haine le racisme et le terrorisme sous ses différentes expressions. A bon suiveur bon décryptage !


vendredi 2 septembre 2016

LE SECRET APRES COMPROMIS DE RÉVISION DES NORMES D’INVESTITURE PAR CERTAINS PARTIS POLITIQUES, EST ENFIN DÉCOUVERT !

MAIS, CE SECRET DANS LES DIVERS CHOIX DE CANDIDATURES NE SERAIT-IL PEUT-ETRE TOMBÉ DU CIEL AMÉRICAIN ?

       Autant le dire sans détour, bas les masques chez certains partis politiques marocains après leur compromission avec gratifications de l’Etranger ! D’ailleurs, qu’on se le dise franchement, que cherchent-ils ces partis politiques à faire des élections législatives du 07 octobre 2016 avec dans leurs rangs les Salafistes les Transhumants reformatés et les Tyrans partisans mal transformés. Dont on découvre la face cachée en tant qu’usurpateurs, parce que les partis qui les cautionnent tentent d’hypnotiser si ce n’est anesthésier leurs adhérents et électeurs potentiels en leur faveur. Sans savoir que ce cautionnement sans précaution des gens à l’origine de controverses sociétales n’est pas accepté en les intégrant, alors qu’ils viennent d’horizons où ils auraient causé malédiction et division. D’ailleurs plus la présence de forces obscurantistes sera importante au parlement, plus le Maroc trouvera des difficultés à maîtriser les incartades par rapport aux initiatives PLS (Prospérité-Liberté et Sécurité) pour un meilleur champ politique dans le futur. S’additionnant à l’insouciance voire légèreté des perturbateurs attitrés obturant l’ordre fonctionnel normal des partis politiques en rapport avec le sur-dimensionnement de leur surmoi qu’à l’évidence est en perpétuel reformatage selon les opportunités.

       A cet égard, certains politiques arrogants instables dans leur psychologie de traitement des affaires pactes et actes qui défrayent la chronique jusqu’à basculer dans la pathologie de rééchelonnement de couacs gestionnaires, n’ont fait produire que ras-le-bol sociétal. Ce qui donne l'impression que ce n'est un souci pour leurs partis respectif d'aller à la pêche aux salafistes et autres politiques qui se déploient dans le renversement de leur veste à toute fin utile. Aussi, la forme de la relation observée entre indicateurs de cette ruée vers le Salafisme et facteurs de pollution de conscience longtemps restés cachés par ces politiques-caméléons, n’est-elle devenue linéaire jusqu’à l’irrationalité sans seuil ? D’où en ce qui concerne les mesures de sélectivité adoptées, la nécessité de les évaluer selon l’impact qu’elles ont sur le déroulé du processus technico-électoral en raison de la place importante du terrorisme parmi les facteurs de risques. Alors que, jamais auparavant un Chef d’Etat n’a été plus actif et incisif pour la création d’occasions afin de lutter contre ce fléau que ce que fait le Roi du Maroc commandeur des croyants. D’une part, pour le bien de la sécurité à la hauteur du moment gravissime que connait le monde en contrôlant voire éradiquant sans triches le daechisme. Et d’autre part, aussi pour le bien des valeurs humanitaires communes en encourageant les interrelations de coexistence normale et paisible pour préserver l’entente entre religions.

        D’autant plus aujourd’hui au Maroc après 5 ans de PJDisme, toutes les indications montrent que d’autres partis politiques sont eux aussi envahis par l’exposition chronique salafiste, la transhumance revancharde polluante du champ politique et l’excitation partisane acquise rancunière à contre courant du bon sens. Malheureusement c’est comme une continuité d’un système de fausseté des choix des électeurs de leurs représentants, en les orientant vers des partis où apparemment la défaite électorale ne serait pas envisageable. Mais pourquoi le PJD PI MDS et les autres petits partis qui se sont impliqués dans ce raisonnement, ne savent-ils que cela ne signifie pas qu’ils l’éviteront forcément ? N’est-ce par ailleurs là l’intérêt de l’avertissement royal du 20 Août 2016, où il semble que derrière si rien n’est rattrapé c’est le trou sans fin qui attend les institutions surtout le gouvernement et la chambre des députés à cause du risque de naissance en leur sein de club de surf sur les sens de l'islamité... ? Dont des documents estampillés secrets n’ont nullement tari d’éloges pour la position du Roi du Maroc afin de faire face à cette menace qui pèse sur la stratégie globalisante anti genèse du terreau terroriste qu’il eut préconisé après l’hécatombe du 16 Mai 2003 à Casablanca.   

       Effectivement, pour ne risquer de sombrer dans le chaos, ne faut-il comprendre pourquoi ces partis cherchent-ils à s’affirmer électoralement ainsi ? Après leur compromis avec l’Ambassade des USA à Rabat de cautionner les salafistes, jusqu’à vouloir forcer l’Etat-Maroc de clarifier impérativement cette question restée en suspend. Spécialement concernant leur intégration sans hésitation dans le processus électoral, avant la date fatidique du dépôt de candidatures en l’occurrence 14 Septembre 2016. Sauf que la question qui taraude à plus d’un titre, que pensent-ils les autres partis politiques qui ne se fixent pas dans cette ligne TNPS (Trajectoire de Non Prolifération Salafiste) qu’au demeurant exige de leur part vigilance sur les suppositions interventionnistes des autres pays tiers ? Ne pourraient-ils appeler à un vote révocatoire au parlement contre les élus versant dans la psycho-stimulation des vertus slafistes-jihadistes? Du moment que des rapports américains sont faits en ce sens de viol de la conscience marocaine, même sachant que le peuple en majorité ne s’y prêtera jamais à ces jeux interdits de création de confusion.

       Néanmoins, n’est-ce cela qui montre cette pathétique intention américaine à propager l’esprit salafiste au Maroc sous-forme de défense électoraliste dépassée ? Même si, les voisins ennemis déclarés sont convaincus que cette vectorisation jihadiste du champ politique servirait leur animosité de longue date. Alors qu’il y eut pendant 5 ans depuis le 25 Novembre 2011 une stratification des traumatismes des électeurs, dont en effet Benkirane n’en veut toujours pas reconnaître les conséquences apocalyptiques. Surtout celles ayant laissé des traces à un moment où la coupe est pleine, avec le risque de faire perdre la tête à ceux qui plongeront dans ses mystères sans précautions préalables. Voilà pourquoi le Département d’Etat Américain est soupçonné de tenter de vendre ses chimères électoralistes secrètes à beaucoup de partis politiques marocains. Croyant qu’il pourrait les mettre en stationnement démocratique provisoire pour affaire le concernant lui, en plus sans différencier très clairement l’obligation de confiance des préparatifs à sa volonté d’entraver momentanément les progressions politiques socioéconomiques culturelles cultuelles écologiques et sécuritaires. A cet effet, les câbles échangés dans les chancelleries n’ont-ils pris le dernier message royal comme cote d’alerte au monde, de ne pas démissionner devant le péril daechiste pour quelle raison que ce soit ? Finalement, ce n’est un secret d’Etat d’y voir que tout cela rentre selon une première évaluation, dans la traduction des aspirations confidentielles pour le compte de l’entreprise de déstabilisation du Grand Maghreb. A bon entendeur salut !