mardi 31 janvier 2017

QUAND LE ROI MOHAMED VI ANNONCE EN SUBLIMINAL DANS SON DISCOURS A L'UNION AFRICAINE, ENCORE ET TOUJOURS PLUS D'EFFORTS A FAIRE APRES LA RÉINTÉGRATION DU MAROC !

LA DATE DU 31 JANVIER 2017 AU SOMMET D'ADDIS-ABEBA DE L'UA RESTERA DANS L'HISTOIRE CELLE DU DISCOURS DE LA VÉRITÉ DE L’HUMILITÉ ET L’ÉMOTION A MÊME LES LARMES DU ROI DU MAROC, ANNONÇANT LE DÉBUT DE LA NORMALITÉ AUGMENTÉE POUR LA GOUVERNANCE PROACTIVE MAÎTRISÉE ET LA MORALITÉ ÉLEVÉE DANS L'ENGAGEMENT PRODUCTIF, LOIN DES RÉFÉRENCES AU TIERS-MONDIALISME AUJOURD'HUI CADUC.

          Maintenant après le retour triomphant du Maroc à l'UA le 30 Janvier 2017 au Sommet d'Addis-Abeba, n'est-ce le début de la normalité augmentée dans l'action et la moralité élevée dans l'engagement au sein de cette organisation ? Ce qu'évidemment, le discours royal de la vérité l'humilité et l'émotion en séance plénière de clôture du 31 Janvier met en relief par sa teneur hautement politique, montrant une valorisation de fabrication vérifiée par les actes et non la parlotte de l'Histoire qu'elle est la seule dont l'UA doit s'atteler à maîtriser. Et ce, pour ne plus continuer à collectionner des entités fantoches sous forme de pendentifs accessoires inutiles, œuvres de tant de perfidies effacées heureusement en un jour le 30 Janvier 2017. Parce que, depuis presque 33 ans, le Maroc a subi non seulement une injustice de représentation théâtrale à l'origine de la fondation Alger-Pretoria de la haine la rancœur et la jalousie à son vis-à-vis, mais aussi les effets controversés de sa politique de la chaise vide à l'UA. Et, donc, conséquemment la métamorphose cyclique de la production des contrevérités via masses médias pratiquant le journalisme stalactite-stalagmite le concernant. A même, jusqu'à être devenu après sa victoire écrasante de ce temps présent, la cible préférée des lobbys atteints du Syndrome de Vacuité par la Peur (SVP), autrement dit celui du refus de le voir rafler la mise par sa détermination légendaire à relever les défis. Sauf que, le Maroc a la conscience tranquille, ne voulant qu'assurer et rassurer l'Afrique sans aucune provocation ni recherche de division comme le prétendent certains, toujours les mêmes. 

       Chose, bien évidemment qui place de grands espoirs dans sa diplomatie de par ses valeurs ajoutées pour la bonne gouvernance, pour que demain l'UA soit dans de meilleurs auspices au-delà de ses blessures longtemps non cicatrisées et leurs stigmates aujourd'hui dépassés. A l'évidence, heureusement, les fabricants de cette marque diplomatique salutaire marocaine ne s'en éloignant jamais du credo-thème basé sur des lignes-illustrations de la volonté royale à faire face aux divers scepticismes endogènes et exogènes. Lesquels, ces sceptiques, ne sachant comment contrôler leur déconfiture ils usent de compagne insidieuse pour diminuer l'impact du retour du Maroc parmi les siens, dont, les causes à effets du recul de la régulation que préconise l'axe Alger-Pretoria depuis le Sommet de l'UA à Kigali à celui d'Addis-Abeba six mois après, ne sont plus mystérieuses. D'autant plus, n'est-ce depuis le clash de 2013 avec les USA sous Obama, le Maroc a fait viré sa cuti en mettant en exergue un processus de fixation de ses priorités par la présentation de sa diplomatie offensive et ses applications économiques culturelles écologiques politiques et cultuelles-sécuritaires sur le terrain africain ? Parce qu'il sait, cependant en plus, en se basant sur une stratégie de communication ciblée, certes à ce jour pas encore très élaborée, que ni l'Algérie ni l'Afrique du Sud et ses satellites gravitant autour de la ''marquise'' Nkosazana Dlamini ne peuvent le concurrencer dans cette logique de relever ces défis.


    Et oui, néanmoins, à ce propos en 
oubliant l'épisode de la ''Othmania-Pjdia-Accadémia'', le Maroc il y a 3 ans n'a-t-il monté une cellule de réflexion secrète comme fabrique de diplomatie prospective pour préparer ce retour, même surfant sur la vague des résultats de la couverture médiatique informationnelle des visites royales en Afrique et partout ailleurs ? Parce que, sachant que la qualité du silence induit souvent celle de la vivacité d'analyse de cette entité impactée des services muets discrets presque diaphanes, mais compétents pour l'accompagnement de sa stratégie de retour à l'UA. Dont, il faut le dire avec simplicité, tout un chacun était loin d'imaginer le succès rapide, notamment, au vu de ce qu'a rencontré la marque ''Maroc diplomatique'' comme résistance des ennemis et subi comme pression dans les montages politiques économiques et sécuritaires sur le terrain lors de ses nouvelles conquêtes en Afrique de l'Est et Ouest. A cause de déclarations-gesticulations malheureuses non bien calculées par certains, ayant failli mettre le temps de cette victoire géopolitique et stratégique sur le grill de Nkosazana Dlamini. Pourtant, n'en peut-on dire que l'histoire de ce processus intégré de cette victoire, n'a-t-elle commencé à prendre forme de ce grand défi que depuis l'amorçage de la production d'une vision géopolitique africaine de décloisonnement des sous-régions ( Nord-Est-Ouest-Centre-Sud ) et un travail de ciblage pragmatique géostratégique avec le CCG la Russie l'Inde et la Chine ? 

       Certes, déjà, des améliorations significatives ont été observées dans la façon de la nouvelle présidence de l'UA  du Président guinéen Alpha Condé, ayant fait preuve d'un engagement résolu à faire respecter la démocratie au niveau le plus élevé. Ce qui montre une parfaite harmonie avec l'envie générale de réduction des activités malsaines trop politiciennes, entre autres des perturbations de fonctionnement de la Commission de l'UA. Car, résultant d'appauvrissement de la condition d'autosatisfaction subjective, qu'au demeurant, à son tour, exacerbe la fameuse régulation FLN-ANC la mettant même en pleine panique. C'à quoi, n'est-ce l'une des causes indirectes du mutisme officiel de Ramtane Laamamra se voyant sûrement en survivance face à cette situation inattendue, qu'effectivement, de surcroît favorisant voire déclenchant son stress après l'annonce solennelle du retour sans ambages du Maroc au sein de l'UA ? Donc, grâce à cet apport massif au soutien du retour du Maroc, le Roi Mohamed VI a pris l'engagement de mise en chantier d'une contribution-rubrique de solidarité et de mobilisation de l'idéal confortant le choix du retour. Qu'effectivement, tout le monde considère comme un travail élaboré en commun, visant à prospecter et à évaluer régulièrement les différentes offres du co-développement structurel dans l'espace africain. 


       En résumé, voilà un discours porté avec clairvoyance et méthode sans dérobade sur les dessous des cartes africaines. Autrement dit, fort de signaux clairs pour le rééquilibrage et le ré-étalonnage harmonieux dans l'activité de la Commission et ses annexes avec le tchadien Moussa Fquih Mohamad et non l'accaparement du leadership par qui que ce soit comme ce que fut fait. Tout simplement, pour ne plus vivre à l'UA l'indignité qui fut fatale pendant 33 ans à son bonheur par l'absence du Maroc dans ses rangs. Alors, par suite de ce constat, n'est-il temps pour le pouvoir algérien de faire amende honorable, au lieu de continuer à faire payer au Grand Maghreb la note politique aux conséquences économiques et humaines gravissimes d'une désinvolture si ce n'est mésaventure qui n'a que trop durée ? Parce que, qu'on se le dise très franchement, tôt ou tard le Polisario, que l'on peut qualifier du ''protégé de la marquise'' sera invité à prendre le café en dehors de l'UA, pour ne plus le voir passer pour l'Etoile du spectacle de la triche du non droit et de l'illégitimité. N'est-ce ainsi, l'on percevrait que le Maroc apportera sa valeur ajoutée Sud-Sud en se basant sur les nouveaux processus de la bonne pratique de gouvernance dynamique et mobile et non sur les concepts figés de l'ancien temps ? A bon suiveur, bonne lecture !

dimanche 29 janvier 2017

CA Y EST, MAROC-UNION AFRICAINE TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN !

AU VU QUE LA SURENCHÈRE ALGER-PRETORIA A MONTRÉ SES LIMITES AU SOMMET D'ADDIS-ABEBA 30-31 JANVIER 2017, VOILA POURQUOI L'ON PEUT DIRE DÉSORMAIS LES ACTES DE L'UA S'INSCRIVENT DANS L'ARGUMENTAIRE DU MAROC.

       Alors, maintenant avant l'élection imminente du remplaçant de Nkosazana Dlamini à la tête de la Commission de l'UA, qu'est-ce qui reste de celle-ci si ce n'est l'incompréhension de la violence de ses allégations anti Maroc ? En plus du foutoir provoqué dans les couloirs du siège à Addis-Abeba, par l'application de la politique de faire plaisir à des perturbateurs politiciens pendant cinq ans. Notamment par des diversions, en ce qui concerne l'attirance à l'épreuve des défis des pays longtemps restés réticents au droit et à la légitimité, voulant aujourd'hui entrer dans un plan complet de réforme de gouvernance à l'UA préconisé par le rapport des sages autour du Président rwandais Paul Kagamé. Qu'effectivement, il va dans le sens d'éviter le risque du chaos par la surenchère et les mensonges de l'Algérie et ses soutiens concernant l'affaire du Sahara marocain, dont on a la certitude de n'aboutir par la garantie de la nouvelle UA qu'à la revanche du Maroc qui surgit de la marche de l'Histoire. Aussi, visiblement, à l'UA la sortie de cette tension ne s'est faite que contre demande n'ayant pas dispensé le Roi du Maroc d'un passage en Ethiopie pour intervenir à ce Sommet d'Addis-Abeba. 

       A cet égard, cette situation ne doit-elle mener à un dédoublement des efforts de la future Commission pour apporter des réponses à des questions qui restent encore sans réponses, par suite du manque de considération de la présidente sortante au Maroc n'en sachant que la Commission n'est nullement sa propriété. Par exemple, quels sont les remèdes qui la feront fonctionner le mieux et comment peut-elle les valider savamment avec dignité sans ambiguïté au niveau des autres instances de l'UA ? Quels méthodes du savoir-faire et outils de préparations relatives à la bonne gouvernance faut-il utiliser sans aucune uniformisation ni standardisation des approches ? Comment favoriser la collaboration et le respect des délégués-collaborateurs du futur (e) élu (e) entre les sortants et les entrants, pour identifier les retards, répertorier leurs causes et documenter les solutions qui seront prises ? Bien sûr, à  l'issu de quoi, le marché d'avenir avec le Maroc qui s'est arrêté il y a plus de 32 ans ne pourrait que se réactiver davantage, sachant que des liens anciens l'ont inlassablement entretenu pour le retour en force aujourd'hui face à tous les scepticismes. D'ailleurs, n'est-ce pour cela que les peuples d'Afrique surtout la société civile sont en colère contre l'Afrique du Sud qui a raté, du moins en partie, comment régler l'injustice faite au Maroc à Nairobi 1984 ? 

    En fait, en vérité c'est la Commission qui doit contrôler l'Afrique du Sud et non le contraire à propos de sa philosophie de ne provoquer que zizanie et mésentente au sein de l'UA. Parce que, le Maroc n'a fait que suivre le profil de son histoire en guise de son retour à l'UA avec détermination, pour gain de sa cause au-delà des essais d'intensification des efforts de beaucoup de pays comme le Nigéria la Tanzanie l'Ethiopie et d'autres pour une meilleure Afrique. Néanmoins, suivant les recommandations pour le moins décriées de l'Algérie en ballottage informationnel, dont ce qui frappe à l'esprit c'est ses propositions de promouvoir le déséquilibre sur des égoïsmes idéologiques d'un autre temps pour relancer le doute sur cet avenir africain. Un non compliment de sa part vis-à-vis de l'UA qui n'en vaut pas un autre de ses étalages de contrevérités par correspondance via l'Afrique du Sud usant de la contre offensive de ses supports médiatiques. Parce que, vu de par le monde, elle passe pour un pays xénophobe menant une politique de manipulation et de rupture avec l'un des fondateurs de l'OUA, en l'occurrence le Maroc, en usant de mesures politiciennes in-discriminées de fermeture des portes de l'UA à son égard.

       Oui, maintenant l'on peut confirmer c'est la lune de miel qui s'annonce entre Maroc-UA, vu que désormais l'argumentaire d'un coté s'inscrit dans les actes de l'autre. Et, aussi parce qu'au cours de la séance plénière du Sommet, tous les chefs d'Etats africains auront à constater une vision commune dans la gestion des intérêts et objectifs de l'avenir de l'Afrique de la part du Roi Mohamed VI. D'autant plus, la synthèse à partir des données fournies par les délégués permanents de plus de 40 pays africains 28-29 Janvier en faveur du retour du Maroc, montre qu'il y eut des débats informatifs très poussés en matière du savoir-faire du Maroc. Par ailleurs, la plupart des analyses des observateurs avertis sont centrées sur les travaux des chefs d'Etats qui vont porter sur l’élection du futur(e) président(e) de la Commission, sur la problématique sécuritaire du Soudan du Sud, sur les financements et modalités de fonctionnement des forces d'intervention et maintien de paix sous la coupe de l'UA et sur l'indispensable et nécessaire retour du Maroc. Aussi, l'exercice illégal de la méticulosité décourageante de Madame Nkosazana Dlamini pour servir la propagande anti Maroc, n'est-elle une usurpation presque délictuelle au moins sur un point, celui de ne préserver l'évolution de gouvernance de prendre racine ? Du fait du non respect de la charte de l'UA, d'où la sanction morale décidée par le Président du Sommet le tchadien Idriss Déby Etno qui la frappe au vu de son manquement au devoir de réserve. Lequel, par ailleurs, n'a-t-il lancé une invitation au Roi du Maroc, car n'acceptant plus de la laisser continuer dans son jeu trop politicien méchant et cruel anti Maroc, au demeurant hors du cadre la légitimité temporelle et de la légalité effective ? A bon entendeur, salut !

vendredi 27 janvier 2017

LE ROI DU MAROC AU SOMMET DE L'UA A ADDIS-ABEBA 30-31 JANVIER 2017, N'EST-CE L'HISTOIRE EN MARCHE ?

VOILA, N'EST-CE CE QUI FAIT DE LA RESPONSABILITÉ DE L’ALGÉRIE VIS-A-VIS DE L'ACTE DE BON VOISINAGE AVEC LE MAROC QU'ELLE NE PUISSE ETRE DÉLÉGUÉE POUR PERSONNE ?

       Les pays africains ne sont plus en crise de cohésion à propos de ce qu'ils ont amplement débattu ces derniers temps en se préparant au retour en force du Maroc à l'UA, en l'occurrence ''La RASD est-elle un membre légal ou une entité fantoche illégitime ?'' Au sens où, déjà, les postulants à la présidence de la Commission tentent d'y répondre en filigrane comme quoi l'UA ne doit éternellement chercher à concilier deux logiques radicalement opposables. Entre, celle de l'exercice de ses prérogatives axées sur le respect de la charte onusienne, et celle de la gestion d'un fonds de commerce hérité d'un imbroglio préfabriqué par la Libye de Kadhafi et l'Algérie de Boumedienne pour la vente de chimères d'une époque révolue. En cela, aujourd'hui, la responsabilité de Boutaflika même étant absent du Sommet, ne doit-elle de se mettre du coté du Roi du Maroc pour relever l'acte de bon voisinage en lui donnant une lisibilité politique, un organigramme de réactivation de l'entente et une relance de la mémoire puisque tous les déterminants sont établis et consignés ? Sauf qu'à cet effet, il ne faut pas se leurrer, l'Armée de Gaid Salah ne l'entend pas de la bonne oreille dans son exercice du voisinage avec le Maroc, car elle ne fait que dans la surenchère se situant dans le management de la déstabilisation de la région MENA-Sahel subsaharienne. S'en balançant de ce que pensent les Etats de cette région surtout son voisin le Maroc, ce qui la pousse même à généraliser jusqu'à couvrir par la sous-traitance et la délégation toute l'Afrique de son activité malsaine.   

       Aussi, pour être plus précis et concis, pourquoi l'Algérie longtemps exploitante de ce fonds de commerce, continue-t-elle en cette veille de ce Sommet de vendre des lignes politiques destinées à l'entretien de la discorde au sein de l'UA ? Et, aussi à l'application du non droit voire de l'illégalité qui ne peuvent être dispensés dans aucune des organisations ou groupements de par le monde. A même qu'elle s'est prévalue du titre de détentrice des clés de l'avenir de l'UA, en arborant son soutien à la RASD qui n'est pas inscrite à l'ordre des pays légitimes de l'ONU. Cependant, combien même dans un temps pas lointain l'on trouvait des pays dans l'UA, certes pas nombreux, ils donnent encore l'impression de rester politiquement la propriété de l'Algérie via l'Afrique du Sud. Croyant, en revanche, pouvoir continuer à profiter de l'achalandage de la SONATRACH de tous ses réseaux de formation des barbouzes-sbires-mercenaires-taupes et du maillage de ses services financiers donateurs-corrupteurs dilapidateurs de la manne gazière-pétrolière dans le monde au détriment de la pauvreté du peuple algérien. Alors ce Sommet d'Addis-Abeba n'est-il l'épilogue de la recherche sans triche d'un deal moral de vertu pour consolidation de la cohésion entre pays africains, loin des secousses de l’intolérance ni soubresauts ethniques et encore moins l'affectation de frontières d'entités non reconnues ?

       Néanmoins, quand des personnalités du gotha économique financier et politique sud africain loin des officiels, qualifient ce retour une chance pour repenser l'Afrique, cela ne veut-il dire que c'est la relance de la marche de l'Histoire par la présence effective du Roi Mohamed VI en Ethiopie ? L'occasion, bien sûr de montrer que c'est un appel à ne pas rater ce rendez-vous, pour sortir l'UA du carcan politique lourd de l'axe Alger-Pretoria fortement protesté par les industriels les investisseurs et même les diplomates qui sont au courant de ce qui se passe. Un exemple suivi au Nigéria Soudan Comores Tanzanie Ethiopie et partout ailleurs comme au Kenya dont Amina Mohamed, elle, a bien entendu, fait le point sur les diverses questions qui grèvent son soi-disant talent de négociatrice en tant que ministre des Affaires Etrangères suggérant sans détours le respect de la charte et donc l'actassions du retour du Maroc par la 28-ième Assemblée des Chefs d'Etats et de gouvernement du 30-31 Janvier 2017 à Addis-Abeba en Ethiopie. 

      Par ailleurs, n'est-ce cela qui mettra la réalité du développement du terrain africain en face de la relance par la délivrance, via primo l'argumentation du Maroc sans polémique, secundo la diminution du risque de se montrer moins réticents à l'application de la charte de l'UA et tertio la maîtrise de l'influence géopolitique du temps présent après l'arrivée de l'américain Donald Trump ? En se projetant aussi, dans la perspective pleine résonance de la stratégie en méditerranée du russe Vladimir Poutine, dans la contre-offensive promotionnelle du libre échange du chinois Xi Jinping depuis Davos et dans la réactivité ''hard'' des ''brexiteurs'' anglais par rapport à une Europe en désarroi. C'à quoi, dans un but de réalisme vigilant de par sa clairvoyance-anticipation, le Maroc a pris parallèlement à sa politique de retour à l'UA depuis le Sommet de Kigali 2016 des mesures de clarifications compensatrices en faveur des pays africains. Telle que l'adoption par les deux chambres du parlement de l'acte constitutif de l'UA dont un but de valoriser sa demande et d'encourager à plus d'appuis sans ambages. Parce que, conscient, qu'à l'évidence, suite à ce constat, aucun pays sensé n'en peut engranger d'hostilités anti son retour à l'UA ni même engager de stratégie guerrière contre lui, sans tenir compte de la fixation de la marge de ses soutiens avec la nouvelle réalité géopolitique.

       Mais, que les choses soient claires, cette adoption n'est-elle à juste titre basée sur les exigences de conformité qui constitue en fait, une récolte de données géopolitiques et sécuritaires stratégiques ni plus ni moins ? Qu'au demeurant dans la situation actuelle du cas posé de l’intégrité territoriale du Maroc dans le cadre de toutes ses souverainetés, seul le Conseil de Sécurité de l'ONU est en droit de sortir des résolutions sur la base de la solution politique. Et dont l'offre de l'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie pour conclure cette affaire par une paix durable, justifierait de contrecarrer l'indexation politique de surenchère que suit l'Algérie. Sauf que, malheureusement, toutes ses données ne sont pas appréciées à leur juste valeur politique, par l'Afrique du Sud et ses substituts, à cause de ce que l'on pourrait appeler le devoir erroné de recherche à sanctionner le retour du Maroc à l'UA. Dès lors qu'ils sont incapables à percevoir la valeur ajoutée apportée par lui et à admettre la portée qui en découle, n'en sachant que leur démarche est aujourd'hui de plus en plus qualifiée dérisoire du fait qu'elle soit suivie par une traçabilité à l'ONU et l'UE montrant la prédominance de l'ignorance des équilibres géopolitiques économiques et sécuritaires. A bon suiveur, bon décryptage !

mercredi 25 janvier 2017

FINI LE CRYPTAGE DE L'AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN A L'UA, PAR LA GIROUETTE NCOSAZANA DLAMINI FORMATEE AUX INTRIGUES ET DIVERSIONS A L'OBAMA !

N'EST-CE LA OU L'ON VOIT QU'ELLE EST TERRIFIÉE DE L'ISOLEMENT PAR SUITE DE LA COURSE OUVERTE A LA PRÉSIDENCE DE LA COMMISSION POUR LA REMPLACER MÊME S'IL YA DES POSTULANTS DE SA TREMPE ?

       Avec la fin du bail à la tête de la Commission de l'UA, la marge de manœuvre de Madame Ncosazana Dlamini n'est plus. D'autant qu'elle n'a même pas la possibilité de se mettre en convention dans le cadre de la future Commission, d’être partie prenante de la réforme que préconise le Comité des sages et experts autour du Président rwandais Paul Kagamé. Toujours est-il, n'est-ce pas interessant de voir ces spécialistes mettre à la disposition du Sommet 30-31 Janvier 2017 à Addis-Abeba, un nouveau code-mode de gouvernance au sein de l'UA ? Dont on espère qu'il aura un impact positif sur la gestion du dossier du Sahara marocain après l'actassions solennelle officielle du retour du Maroc serein et déterminé ? Parce que, rien ne dit qu'ils n'aient pas fait germer l'idée de réappropriation de l'offre marocaine d'autonomie faite au Conseil de Sécurité de l'ONU en 2007, et donc pousser l'UA à avancer en parallèle dans la plateforme de l'esprit de la régionalisation élargie. D'ailleurs, c'est par simple déduction à partir de ces données que l'état actuel des choses en Algérie et chez les polisariens ne peut faire jouer la concurrence de la thèse de la rancune séparatiste aventurière et immature. Essentiellement, du fait que sa marge décroit au fur et à mesure que l'influence du réalisme politique de l'UA augmente avec la percée du Maroc qui est de plus en plus sollicité dans un tel contexte africain. 

       A l'évidence, qu'on ne le veuille ou non, cette rancune qui les malmène est essentiellement d'ordre de mesquinerie politique car faisant piteusement preuve d'irréalisme ''bon cœur'' contre ''bonne fortune''. Et qu'en plus, à l'UA personne n'en ignore les différents pays et leurs relais derrière lesquels se cache une jalousie de voir le Maroc réussir sa marche africaine, de manière raisonnablement équitable vis-à-vis de tous les pays africains. S'additionnant à celle raisonnée à l'égard de la subsistance équilibrée des démunis marocains et des migrants via l'INDH les fondations Mohamed V et VI, chacune dans son champs d'action tenant compte de l'économie solidaire équitable à effet direct sur la problématique de la précarité la pauvreté et la marginalisation. Alors, pour ceux qui demandent un moratoire doutant des moyens du Maroc de sa politique africaine, ils verront leur déception se concrétiser devant leurs yeux, s'accompagnant d'un effet coupe-rêve indirect de leurs projections dont il y a derrière des options politiques de semer le doute. Donc, non au moratoire piège sur l'arret de l'engagement du Maroc parce qu'après son retour à l'UA, ce sera l’avènement de la relance des programmes de mobilisation de toutes ses lignes directrices avec des perspectives ciblées plus étayées facilement actualisables. Auquel cas, ses prospections diplomatiques d'où il y participera à régler ses bonnes pratiques de façon non standardisée en direction de chacune des cinq sous-régions de l'Afrique (Nord-Est-Ouest-Centre-Sud), seraient revivifiantes des relations économiques politiques et sécuritaires. 

       Et oui, n'est-ce là où l'on s’aperçoit que Ncosazana Dlamini est vraiment tétanisée par son isolement, résultat de la création par le Maroc de certitude juridique fondée sur pratique démocratique par l'obtention de majorité largement au-delà de simple quorum au Sommet d'Addis-Abeba pour son retour à l'UA ? En cela, c'est un coup dur qui s'annonce pour l'Algérie et l'Afrique du Sud et une occasion en Or de rabattre les cartes de de la Commission pour Rabat afin ne plus les laisser imaginer d'autres perfidies de provoquer la zizanie à l'UA par l'absence de recours. Fini donc le temps de Ncosazana Dlamini à la présidence de la Commission même étant longtemps supportée par ces deux pays perturbateurs de la cohésion africaine, dont leurs sournoiseries de basse besogne représentaient la part du lion en matière de charge haineuse anti Maroc. Décidément, sans aucune misogynie, il n'y a que ses coiffeurs qui la comprennent car la connaissant via son bas niveau du genre cervelle de moineau de faire la part des choses. Et pour cause, pour elle, le Maroc c'est juste une image mentale sans présence effective ni objective par ses choix politiques économiques culturels écologiques cultuels et sécuritaires. Excusez du peu de sérénité qu'elle montre par cette pensée de la procréation du vide autour d'elle au sein de l'UA ! Du coup, à ce genre de dénigrement que d'autres postulants (es) de sa trempe à la présidence de la nouvelle Commission prendraient comme argent comptant, n'en pourrait-on leur répondre d'avance ils n'ont qu'à prendre leur responsabilité face au risque de manque de performance politique via le management flou des dominations entre pays africains ? A bon suiveur, bon décryptage !    

dimanche 22 janvier 2017

LE SOMMET DE L'UA FIN JANVIER 2017 A ADDIS-ABEBA, QUEL SECOUEMENT DE L’ALGÉRIE ET SON CLAN RÉSIDUEL ANTI RETOUR DU MAROC ?

EST-CE QUE LES RECOMMANDATIONS DU RAPPORT DES SAGES AUTOUR DE PAUL KAGAMÉ POUR LE SOMMET D'ADDIS-ABEBA FIN JANVIER 2017, PRÉCONISENT-ELLES QU'IL NE RESTE PLUS A LA NOUVELLE COMMISSION DE L'UA QU'A FAIRE UN GRAND NETTOYAGE ?

       Depuis toujours, le Maroc a compris qu'il ne doit se laisser ballotter dans sa ligne d'acceptabilité des règles du bon voisinage par l'Algérie, qui, elle, veut coûte que coûte détruire ce que les africains veulent construire avec lui. Et, en conséquence faire de leur continent un grand relais géopolitique et géostratégique commun du fait de leur confiance réciproque régnante, contrecarrant les manipulations presque chirurgicales depuis 2013 pendant l'époque du DEA sous Obama. A cet égard, c'est parce que longtemps restée vouée aux turpitudes politiciennes de l'Algérie, l'ayant attardée dans son fonctionnement par manque de volonté, l'UA aujourd'hui après le commencement des préparatifs à l’échelle des délégués permanents au Sommet d'Addis-Abeba en Ethiopie a trouvé la voie du salut en le retour annoncé acté du Maroc. Enfin, ne va-t-il participer de toute la vision futuriste du Roi à la codification du destin de l'Afrique sur la base de ses formidables outils d'épanouissement et co-développement maintenant connus de tous ? Qu'en effet, apparemment, du point de vue de la méthode de la teneur et la qualité préconisent aussi avec insistance les recommandations des sages autour du Président rwandais Paul Kagamé, dont la surprise plus inclusive et plus durable fera secouer les quelques positionnements restant anti Maroc. D'ailleurs, n'est-ce pas tout cela fait partie de leur rhétorique des années durant, montrant qu'à présent leurs gesticulations unilatérales ne sont plus que des artefacts diplomatiques ? Les ayant mis en virtualité aussi inefficace qu'irréalisable à l'encontre du Maroc, qui, lui, maîtrise le calendrier de son retour dont ils crurent pouvoir l'adapter à leur sentiment de désagrément.

       Et, donc, qu'on ne le veuille ou pas, n'est-ce ce qui facilitera l'installation du Maroc dans un futur africain trop bien vu à l'international ? Car lui-même, s'étant fait construire sans naiveté sur la sécurité ni discrimination dans les exécutions de tous ses programmes qui sont à tous égards pour la croissance et l'émergence numérisée dans toute l'Afrique. Sauf que, du coté interne du Maroc, avec toute sa volonté n'en doutant pas de ses capacités, il y a des planifications sourdes de la part des renégats sans se montrer, de surcroît se croyant dépositaires de la conscience marocaine pour ne laisser le peuple savourer l'instant présent de la première victoire à l'UA. En cela, il faut le rappeler, oui, le retour du Maroc est une Offre Politique Amicale, c'à quoi c'est même un bon constat dont toute l'Afrique s'y est préparée en ayant en ce temps présent l'impression d’être remise à neuf. Alors, face à cette contribution objective du Maroc, est-ce qu'il n'y a pas là le vrai malaise de la RASD réalisant sa défaite préprogrammée de fait, après qu'elle crut pouvoir se pérenniser à l'UA en se connectant par la pensée sur l'Algérie et l'Afrique du Sud ? D'ailleurs, cela n'a rien de surprenant, déjà ces pays avaient évalué le rapport B/R (Bénéfices/Risques) de cette connexion mentale des polisariens en faveur du Maroc après son retour à l'UA. Autrement dit, ils sont intrigués sans l'avouer de la projection de continuité de la montée du Maroc sans contrainte dans le futur proche de la nouvelle commission de l'UA. Parce que, de par son expression politique et ses choix géopolitiques et stratégiques trouvant en lui le rôle clé d'appui bien calé, et ce sur la meilleure façon d'appréhender l'avenir dans cette mondialisation des tumultes idéologiques et populistes. 

       Tant pis pour l'Algérie, le retour du Maroc à l'UA est désormais une émotion sans fantasme et un sentiment de fierté sans que l'esprit des marocains ne soit parasité. D'où d'ores et déjà, l'on peut affirmer qu'il se présente à la veille de ce Sommet à Addis-Abeba, un interlocuteur de choix pour les pays africains qui ont tarder à cautionner son retour mais désirant d’arrêter leur aveuglement. Car, d'autant plus, maintenant ils savent qu'il joue un rôle incontournable dans l'information et la sensibilisation de la population africaine jusqu'à aller à lui donner envie d'aspirer au changement dans la gouvernance de la nouvelle Commission de l'UA, en se basant sur le souci à propos de l'état des lieux laissés par la sortante Ncosazana Dlamini. Ce qui reflète bien non seulement sa détermination dans la recherche d'un rendement théorique de la machine à régler le travail de la Commission et ses annexes, mais aussi la prise en considération de la façon d'anticiper les malveillances machiavéliques et les dangers du terrorisme pléthorique. Avec et par des actions positives plus claires et plus importantes à l'international notamment à l'ONU, même s'il est possible que l'Algérie l'Afrique du Sud et l'Egypte à l'instar des sculpteurs qui manquent d'idées et de spontanéité continueront, consciemment, de lui faire entendre d'autres signaux qu’éventuellement pourraient déranger l'UA. D'ailleurs, en dépit de ce que lui concocte l'Afrique du Sud, n'est-ce pas en menant à bien ses partenariats Sud-Sud gagnants-gagnants d'égal à égal avec beaucoup de pays africains il anticipera les choses et devenir plus actif dans le destin commun Maroc-Afrique ? 

       Aussi, de ce point de vue, ce retour du Maroc à l'UA sera puissant pour sortir l'Algérie de son rêve chimérique de vouloir se projeter sur l'Atlantique sans légitimité. Seulement, en perçant d’évents d'aération pour représentativité élargie aux compétences marocaines sur mesure au sein de la future Commission, afin que la RASD s'efface pour de bon sans rester dans l'effet de survie que l'Algérie et l'Afrique du Sud ont longtemps imposé à l'UA. Néanmoins, les brillants résultats attendus après cette réintégration désirée par plus de 40 pays africains, ne sauraient faire oublier à l'UA certaines faiblesses. Telles, les crises cycliques de transfèrement des pouvoirs, l'inertie d'une ruralité restée à l'écart du développement et du mieux-être au vu de l'emprise de la centralisation décisionnelle politico-économique et enfin la dépendance énergétique qui pourrait se résorber avec le temps en s'alignant sur les choix récents du Maroc dans l'Energie verte via le renouvelable solaire hydroélectrique éolien et maritime avec respect de l'écologie et l'environnement. Voilà pourquoi, le futur gouvernement doit tenir compte de la politique de regroupement des partis qui fait disparaître peu à peu la pensée ''cavalier seul'' incompatible avec la perspective normative de la gouvernance moderne, dont l'évolution va encore s’accélérer et/où toutes les activités seront scrutées de par le monde. A bon entendeur, salut ! 

lundi 16 janvier 2017

AUJOURD'HUI A L'UA, N'EST-CE FINI LE GRAND BLUFF DE L’ALGÉRIE MANIPULATRICE DE LA COMMISSION ?

C'EST  MÊME CERTAIN, AU-DELÀ DES RAPPORTS D’INCOMPRÉHENSION DANTAN DE L'UA PAR SUITE A LA POLITIQUE MAROCAINE DE LA CHAISE VIDE, C'EST MAINTENANT LA DISSUASION CONTRE LE MÉSUSAGE DE LA DONNE D'UN FAUTEUIL POUR DEUX APRES LE RETOUR DU MAROC.

       Les périodes politiques idéales sont celles où un pays détecte une baisse de tension dans le fonctionnement de ses institutions. Comme ce que vit le Maroc par suite à l’élection aujourd'hui du président de la première chambre après 4 mois de tergiversations suivies de cycles d'échanges source de surchauffe relationnelle entre partis politiques. Ce qui a mis les tractations sur la formation du gouvernement dans un ''état métastable'', à même de représenter un déséquilibre institutionnel n'ayant occasionné que refus par arrogance chez les uns et refoulement par inadvertance chez d'autres. Alors que tous, ils n'ont pas le droit à la négligence du fonctionnement des institutions ni le droit de ne s'en soucier de l'image du Maroc, surtout qu'il est en phase de vivre un événement sans pareil par son retour désormais acté à l'UA. En conséquence de quoi, cela ne veut-il dire que nos partis politiques ont besoin de se requinquer, et le faire sans tarder, comme signal de dépassement des dysfonctionnements auquel il faut avoir du répondant patriotique, sans recherche de privilèges ni de critères de reprogrammation des calendriers ?

       C'est maintenant évident, avec Sa Majesté le Roi Mohamed VI au Sommet d'Addis-Abeba fin Janvier 2017 muni du document de l'adoption par le parlement de l'acte constitutif de l'UA, les rapports de celle-ci vis-à-vis de la RASD et l'Algérie vont changer. Néanmoins, du fait du succès incontestable du retour du Maroc, ne peut-on confirmer, le nouveau testament de consolidation du leadership du Maroc est d'ores et déjà établi par plus de 40 pays africains ? D'où s'en suivra un feuilleton politico-coopératif inédit avec lui, sur comment ne pas accepter la présence de la RASD qui est non désirée dans les instances surtout avec ce que les ennemis du Maroc appellent la nouvelle donne de deux fauteuils pour deux pays ? S'ajoutant à comment doit-elle faire la future Commission de l'UA, pour jouer un rôle de dissuasion contre le mésusage de déconditionnement d'une telle perspective chimérique et reconnaître sans équivoque un et un seul fauteuil pour le Maroc ? D'autant plus, déjà, il fascine et suscite mille questions dont tout le monde en parle à l'international de la fin du grand bluff du pouvoir algérien dans l'affaire du Sahara marocain. Mais pour être plus concis, les sages de l'UA n'ont-ils déjà prévu de revoir le texte presque dinosaure qui reconnait à la RASD de siéger sans qu'elle n'ait le conditionnement adapté à la nouvelle situation par le retour du Maroc. Parce que, tant qu'elle n'est pas exclue même étant entité fantoche, cela suppose plus de vigilance procédurale non seulement du Maroc, mais aussi des 28 pays signataires de la demande de son évincement du temps du 27 -ième Sommet de Kigali au Rwanda 17-18 Juillet 2016.

       Donc, dans l'attente du limogeage de la RASD, il n'y a pas lieu de s'alarmer sur la position de tel ou tel pays, pas plus de 10, en tant que soutiens du pouvoir algérien militariste en pleine dérive faisant voir de toutes les couleurs à son peuple. D'ailleurs, Abdelmalek Sellal sur la position de l'Etat-Algérie qu'il représente se contentant parfois de déclarations ambiguës même si c'est compliqué à le croire, n'a-t-il rassuré clairement à Bamako pendant le Sommet Afrique-France 13-14 Janvier 2017 à propos du retour du Maroc à l'UA ? Seulement, pour le président Boutaflika, n'est-ce juste une préoccupation tout à fait déprimante pour-lui, avant d'envoyer le télégramme de félicitation au Roi et au peuple marocain de cet événement grandiose ? Ainsi, tout le monde sait que s'il le fait, ce n'est nullement pour se faire pardonner, lui, l'algérien marocain du sol, mais seulement par peur qu'il ne soit jamais apprécié dans un environnement africain désormais Maroc-dépendant. En cela, son hypocrisie, conséquence politique de l'encombrement des canaux diplomatiques au Grand Maghreb du fait qu'il n'ait su analyser et intégrer à temps la percée du Maroc organisé concret et cohérent, ayant généré un mode d'emploi de décryptage efficace. Qu'évidemment, les observateurs à propos de l'évolution de l'affaire de son Sahara le ramènent aux succès des visites royales en Afrique, dont les sites d'images et commentaires n'ont jamais eu autant d’adeptes sur la toile. 

       Aussi, savoir qu'aujourd'hui ce qui reste de l'axe Alger-Pretoria est cassé, car il est traversé par la stratégie royale de la proximité relationnelle porteuse d'espoir sans triche ni manipulation, de surcroît usant de partenariats réels et intelligents gagnants-gagnants Maroc-Afrique dans un style chaque fois renouvelé et actualisé selon les pays. Dont on est convaincu que ses lignes directrices ont révolutionné la stratégie de l'influence de maximisation du temps africain pour lutter contre la pauvreté la précarité et la marginalisation. Surtout en prenant conscience qu'il est possible d’évoluer ensemble en donnant un coup de fouet à la production des richesses locales dans tous les secteurs, sans accorder plus d’intérêts aux tracas que l'Algérie et ses manutentionnaires font subir à l'UA. A l'évidence, tout cela marque un nouveau départ de la marque de fabrique du Maroc se référant aux discours successifs du Roi Mohamed VI à Bamako Abidjan ONU Riad et Dakar, de faire réfléchir et partager la réalité brute de toute l'Afrique sans verbiage de convenance ni langue de bois sur sa vulnérabilité ses travers et ses impuissances. A bon lecteur, bon décryptage !

jeudi 12 janvier 2017

LES PARTIS POLITIQUES MAROCAINS REVIENNENT IN EXTREMIS SANS DÉDOUBLEMENT, DANS L'HISTOIRE APPROPRIÉE DU RETOUR DU MAROC AU SEIN DE L'UA.

C'EST SIMPLE EN APPARENCE MAIS RICHE DE CONSÉQUENCES, LES PARTIS POLITIQUES MAROCAINS ENTERRENT-ILS LEUR HACHE DE GUERRE A LA CHAMBRE DES DÉPUTÉS ET DONC N'IRONT JAMAIS JUSQU'A FORMER UNE PLATEFORME DE SABORDAGE DU RETOUR DU MAROC A L'UA ?

       Comment les ennemis du Maroc à l'UA parleraient de lui au Sommet d'Addis-Abeba de fin Janvier 2017, s'il parait dérangé à propos de l’expérience encore vacillante de former un gouvernement et surtout de mettre sur pied l'élection du président de l'Assemblée Nationale et son Bureau ? Afin de passer rapidement à l'adoption par le parlement de la loi relative à l'acte constitutif de l'adhésion à l'UA de Lomé 2000 et aussi les protocoles additionnels. Donc, aujourd'hui, songer à continuer de bloquer l'élection des instances de la première chambre du parlement marocain parce qu'il n'y a pas de majorité gouvernementale, ne permet plus de ne laisser de place aux valeurs essentielles du retour du Maroc à l'UA. Dès lors que, c'est même une nécessité de garantir à temps la caution juridique et morale du cadre de ce retour qui est à plein régime. Parce que, Sa Majesté le Roi a chargé le Chef désigné à former le gouvernement et le député-doyen le plus âgé en représentativité, à s'y atteler ensemble pour trouver l'oiseau rare via consensus entre partis pour occuper la présidence. Une occasion donc pour le parlement de se mettre par l'expression d'un vote dont on espère qu'il soit à l'unanimité en phase avec les dispositions prises au Conseil du Gouvernement et au Conseil des ministres. A cet égard, ne pourrait-on dire les nouvelles stratégies décisionnelles et/où recommandations du Maroc en anticipation de son retour, ne mettent-elles l'accent sur la prise en charge globale de l'adaptation fonctionnelle juridique, en adéquation avec la gouvernance du fait qu'elle fait intervenir l'évaluation des partenariats gagnants-gagnants signés d'égal à égal avec tous les pays ? S'ajoutant au respect des engagements économiques diplomatiques politiques cultuels écologiques culturels et sécuritaires pris en ce sens, car il est inadmissible de les mettre en péril au gré des contrastes sur les positionnements politiques tantôt d'un coté tantôt de l'autre. 

      En fait, de toutes ces réflexions, il n'y a pas un jour où le thème de son retour parmi les siens n'eut pas affecté sa démarche multivalente positive multidirectionnelle pour préserver l'avenir en commun avec aujourd'hui plus de quarante pays africains. Même si, les marocains ont vécu plus de trois mois tiraillés dans leur conscience politique, entre sentiments contradictoires sur l'épisode de la formation du gouvernement après les résultats des élections législatives du 07 Octobre 2016. Avec une vérité normative certaine devant tenir compte du recadrage du discours royal de Dakar par rapport à la réalité secrète des partis politiques les uns vis-à-vis des autres pour avoir le meilleur positionnement. Autrement dit, si les moyens d'y parvenir à une solution tardent à s'incruster dans l'esprit de certains, vraisemblablement, ils réaliseront de fait, qu'ils sont peu de chose à l’échelle de l’historicité événementielle de ce retour tant attendu par le peuple marocain. Tellement, maintenant pour Benkirane son choix n'est pas à s'interroger sur sa propre existence à travers cette réflexion, mais sur les clés de sortie de l'engrenage dont n'est-ce pour former son gouvernement le blocage peut se résoudre aussi sans avoir la majorité à la première chambre au parlement ? Ce qui exige des uns et des autres, le déclin des pratiques sournoises comme sorte d'examen de conscience pour l'apaisement dans l’intérêt du pays reflétant que tout le monde revient bien plus tôt dans l'Histoire pour retrouver la sérénité de la pratique de la politique. 

       Certes, c'est vrai ce questionnement parait dérangeant pour le PJD PI et PPS, vu qu'il est la base d'un exercice de développement du déblocage de la situation dont ils se sont eux-mêmes volontairement enfermés. Et, donc, ce qu'il y a de mieux pour eux, au présent urgent, c'est de ne plus relativiser le temps de la demi-vie de l'acte de retour du Maroc aux répercussions inattendues pour les ennemis. Par exemple, de par les explications données ici et là en des termes évoquant la raison la passion et le sens du futur qui attend la machine à gagner africaine avec le Maroc, pour réduire les effets du narcissisme de Ramtane Laamamra et  surtout la partante Ncosazana Dlamini. Qu'à l'évidence laissera ses protégés dans la commission, dont on peut prédire qu'ils continueront à livrer duel à mort avec les futurs défricheurs des recoins de la Commission qui vont incessamment débarquer en la plaçant hors pics d'angoisse de l'immense creuset des tensions. Ce qui advient à limiter par effet de leur exigence de leur probité et leur présence, les essais d'apprivoisement des idées de ces protégés d'une époque aveuglément pro-algérienne, n'ayant fait qu'essayer de retarder voire repousser plus loin le calendrier sur la réflexion du retour du Maroc au sein de l'UA. 

       Du coup en allant à l'essentiel, c'est maintenant évident, le retour du Maroc à l'UA entre raison et passion est retenu pour le Sommet d'Addis-Abeba en Janvier 2017. Dont, les marocains viennent d'en percevoir les prémices de de la faisabilité de lecture solennelle de l'acte d'adhésion en séance plénière. Et que c'est même drôle, qu'elle soit à l'origine de polémique créée par l'Algérie, comme quoi il va falloir demander au Maroc de surseoir à sa requête sur la base d'une procédure d’exception et de prévision adaptée à cette situation. En cela, voilà pourquoi l'UA s'est-elle préparée, sans équivoque à recommander l’intégration du Maroc, d'où l'on peut confirmer que pour lui, en raison de ses profondes mutations depuis 17 ans la raison eut fait durer l'espoir d'arriver à ses fins, la passion les ayant fait durablement vivre. Comme ça, dans les peu de jours qui vont suivre il va falloir que le parlement avec ses deux chambres (Députés et Conseillers), vote cette actassions en prenant aussi la seule décision qui vaille, celle de ne laisser personne, quel qu'il soit de saborder cette construction juridique de ce retour. A même de se vanter qu'il eut accepté de reconnaître son créneau urgentissime, rien que parce que ça donne l'occasion de faire une pause pour revenir après au blocage. A bon suiveur, bon décryptage ! 

samedi 7 janvier 2017

EST-CE QUE BENKIRANE SE TIENT-IL PRÊT A ENTENDRE LE CAS ÉCHÉANT, ''MERCI'' D'AVOIR PASSÉ CE LONG MOMENT AVEC LES MAROCAINS EN TANT QUE CHEF DE GOUVERNEMENT ?

N'EST-CE CELA QUI MONTRERA L'EXEMPLE DE LA MOBILITÉ ALTERNATIVE VIA LA PRISE DE RESPONSABILITÉ A TEMPS, FACE AUX PROBLÈMES DE L'INACTION DE L'INADVERTANCE VOIRE LA NÉGLIGENCE FAUTIVE ? 

      La vraie illustration de la victoire politique, c'est d'abord d'en faire sans fuir ses responsabilités. A l'exemple d'Abderrahman Youssefi, l'ayant assumée particulièrement dans la simplicité qui est une façon qui active la mémoire du cours de l'histoire de l'alternance et qui met les autres en subjuguassions autour. Pour qu'ensuite au bout, ça se développe avec netteté expressive pour rencontrer le vrai sens de prise de responsabilité d'un coté comme dans l'autre sans tristesse ni tergiversations et encore moins les filouteries. Dans le but de transformer en ce temps présent la deuxième expérience de Benkirane en tant que chef désigné pour former un gouvernement, en une gouvernance en s'attachant rien qu'aux compromis d'apaisement sans chercher l'affrontement. Sinon, la seule solution qui lui reste c'est se retirer honorablement et céder la place à autrui dans le respect de la Constitution, et ce, afin de marquer l'Histoire de la mobilité politique alternative face aux difficultés. Aussi, après le défoulement des uns et des autres au gré des situations et du hasard, à propos de la chronologie des tractations pour la formation d'une majorité gouvernementale n'ayant pas abouti jusqu'alors, n'en peut-on dire que Benkirane est prêt à sauter le pas d'entendre, ''Merci'' pour les loyaux services rendus au pays ? Même si, parfois ce fut fait avec fidélité discutable en tant que chef de gouvernement pendant cinq ans, et d'où l'on pourrait soupçonner l'influence de source de DEA américain de l'administration Obama.

       A cet égard, n'est-ce ainsi l'on peut confirmer que les rumeurs sur le Net et les réseaux sociaux à propos du déroulé des tractations, sont distillées et partagées par des sous-outillés zélés de par leur inculture politique flagrante ? Et, donc conséquemment sont en fait, des pièges pour le chef désigné à former un gouvernement via le marché des cotations des partis politiques désirant l'accompagner. Ce qui évoque qu'il y a, notamment, dans son entourage une doctrine inavouée de sa marginalisation non sur la base des résultats des élections législatives du 07 Octobre 2016 mais sur le futur port de l'héritage construit dans la mémoire commune PJD-PI alors que des catastrophes leur tombent dessus. Cependant, pour ceux qui ne le comprennent pas encore, le paradoxe de cette image de réduction de l'état des choses à la connotation référentielle de religiosité même maquillée, n'est-il là ? D'ailleurs quand on regarde dans la pratique des pjdistes et istiqlaliens outranciers de tous rangs, on les voit tester, chercher et avancer par bonds pour symboliser ce paradoxe de l'union sacrée entre-eux. Sauf que c'est là ou le bât  blesse, pourquoi Benkirane ne sait-il qu'on ne gagne pas une formation de gouvernement sans efforts d’engagement personnel envers tous ceux qui ont montré une prédisposition, vu qu'il est le seul désigné et non son parti le PJD ? Par conséquent, du moins, il aurait dûment ne pas laisser parasiter sa désignation par l'usage exagéré d'emphase par des mots via référence permanente à des territoires inconnus de ses préférés au sein de l'Etat-Maroc unique et unitaire. Même si, c'est vrai, ce n'est pas de tout repos pour lui pour se faire respecter par des vendeurs de leurs âmes à l'étranger au service d'agenda maintenant connu, n'en ayant la moindre crainte qu'à un moment ça puisse s’arrêter par la force de la loi. Comprendra qui voudra ! 

       Néanmoins, donc, n'est-ce pas dès lors qu'il montra qu’être chef désigné en respect de la Constitution n'est pas sa préoccupation majeure, sa continuité n'en vaut pas la peine ? Face à un politique de la trempe d'Akhnouche serein paisible et déterminé qui est resté ouvert à la discussion sur l'expression de révolte de ses partenaires à l'UC et USFP de n'avoir eu, eux aussi, leur chance dans la mécanique infernale de Benkirane. Lequel, a montré qu'il est véritablement figé dans une rigidité sans égal, car, pour lui, il s'agit d'obtenir une réponse qui permet de trouver les clés de la source d'interrogation et de vérifier si son désir de rester sur la majorité sortante est accepté. En cela, de par ce décryptage certes alambiqué au travers son sentiment-complexe, n'est-ce pas qu'il crut qu'il y a velléité contre lui de tous les cotés, faisant savoir à qui veut l'entendre qu'il est encore le seul maître de cérémonie ? Malheureusement pour de prétendues raisons inavouées de sa part, sous prétexte que l'UC et l'USFP ont besoin de rester dans l'autre recadrage politique non gouvernemental que ce qu'il préconise au PI et veut éviter au PPS. Bien sûr, certaines interprétations tirées par les cheveux de l'article 47 de la Constitution par des universitaires, eux-même en sevrage informationnel sur les effets de la longueur de cette gestion du temps, ne font qu'aggraver les déviations des zélés du PJD et PI. Comme ça, la question qui mérite d’être posée sur le profilage de ces effets néfastes, n'est-ce pas il est légitime de s'en inquiéter de cette souscription de capture dés-informationnelle de court terme de non valeur ajoutée pour l'image du pays ? 

        En effet, du fait que cela n'indique qu'une véritable optimisation de la stratégie de se maintenir avec une dépendance décisionnelle à des dictions de ses exaltations tout en négligeant d’être à l'écoute de tout le monde. A cet égard, évidemment, ne lui faut-il se résigner à abandonner cette façon des tractations toujours infructueuses pour éviter son remerciement jusqu'au passage pour une autre distribution des cartes politiques d'aide à la levée du blocage. Qu'au demeurant, son parti a manifestement délibérément maintenu à coups de communiqués atypiques dans leur substance politique structurellement proche de ceux émanant du PI après la bourde déconcertante de l'incorrigible Chabat ? Alors, de ce point de vue, son attitude d’entêtement à ce jour, ne pourrait-elle s'expliquer par sa représentation du futur gouvernement dont il imagine systématiquement qu'il serait noir sans lui ? Peut-être, justement, parce qu'on lui a fait croire que les idéaux du Maroc ne seraient atteints sans sa projection gouvernementale qu'il voulut, n'en sachant que le fait de se laisser ballotter au gré de cette soi-disant certitude il n'eut aucune prise sur les événements de sa propre existence en tant que personne désignée. D'autant plus, n'est-ce au travers même de sa provocation et aussi incompréhension à l'égard de l'UC et l'USFP, qu'il cherche la preuve de son existence en tant que vrai chef devant Akhnouche ? Mais, n'est-ce objectivement réellement déjà trop tard ? A bon suiveur, bon décryptage !       

mercredi 4 janvier 2017

DÉJÀ L'ON PEUT DIRE, LE RENDEZ-VOUS DU FUTUR GOUVERNEMENT DU MAROC AVEC L'AVENIR NE SERAIT PLUS AU PARFUM DES CHOIX VIA SCHÉMAS POLITIQUES ARCHAÏQUES.

S'IL Y A UNE CHOSE QUE REDOUTE L'ETAT-MAROC, N'EST-CE TOUT LE BROUHAHA PROVOQUÉ PAR LE PJD SUR LA CONSTITUTION DU GOUVERNEMENT DEPUIS LA DÉSIGNATION DE BENKIRANE, AYANT VOULU PRENDRE LA PARTICIPATION PERSONNELLE DE CHABAT COMME ACTE FONDATEUR D'UNE NOUVELLE ÈRE ?

       Enfin,  Hamid Chabat l'homme qui croyait régenter l'Histoire se trouve après ses déclarations non bien calculées dans la corbeille des damnés, en plus mettant le PI hors configuration gouvernementale Benkirane III. Tellement, c'est maintenant avéré, aussi curieux que cela puisse paraître, la parole donnée en politique elle-même peut être ce qui encombre ou même interdit la formation d'un gouvernement. Notamment, parce que le Chef désigné eut voulu remettre en scène des choix politiques avec schémas archaïques témoignant de l'état d'esprit d'interdependance que les leaders du PI et PPS ont pu établir avec lui, loin des fondements primo de la cohésion programmatique, secundo la sérénité comportementale et tertio la responsabilité dans l'engagement. D'ailleurs, n'est-ce là le gros défaut de cette approche de Benkirane qu'apparemment ne verra pas le jour, même étant convaincu que la politique est un formidable support de la guerre de communication dont on sait que le puissant mange le faible même s'il fut grand auparavant. Surtout, par rapport au sentiment de peur de l’abandon du PI dans un environnement politique d'ajouts de culpabilité sur la position du PJD qui pourrait être jugée malsaine. Comme ce qui vient d’être distillé à travers le communiqué de presse creux du PJD au soir du 03 Janvier 2017, en l'occurrence semeur de doute émotionnel jusqu'à l'intolérable. 

       Bien sûr, ce ne sont que quelques indications d'où c'est le comportement personnel des leaders des partis politiques qui peaufine enrichit voire interdit l'attractivité-complémentarité des uns vis-à-vis des autres pour la formation normale du gouvernement. Mais, sans naïveté, pourquoi alors cette attitude communicative du PJD d'où il montre que certes Chabat en tant que chef de parti le PI n'est pas un ennemi de son pays le Maroc, mais juste un producteur-distributeur d'infamies provoquant le trouble partout à l'intérieur comme à l'extérieur. Alors que normalement il est sensé donner un autre cap via une autre vision d'horloger non perturbée, qu’évidemment tout simplement aurait tourné sans conteste à la formation du gouvernement Benkirane III ou autre. Ce qui démantèlera ses nuisances-gesticulations inavouées et facilitera la suppression du blocage permettant la faisabilité des grandes idées en concomitance de la marche à vitesse de pointe insufflée par le Roi dans tous les domaines. Ainsi, l'on peut dire maintenant que le train PJD-express ait peiné à s'adapter aux nouvelles conditions de convoyage des partis RNI-UC MP, c'est la réponse tant attendue qui apparaît dans la position du chef désigné sans risquer d’être frustré par son rejet de l'USFP après qu'il s'était essayé exclusivement infructueusement à la pose de rails fixés sur le PI et PPS. C'à quoi, c'est au travers des connexions-communications tambour battant selon une chronologie très lente mais ininterrompue de la part du chef de gouvernement désigné, qu'il crut pouvoir tromper les observateurs qu'il serait une sorte de grosse locomotive New look capable de tout tracter sans encombres ni difficultés. Alors qu'on assiste à une mise en évidence de la manie à la Chabat, d'évoquer l'instauration d'une ère nouvelle sans garanties entre rage de convaincre et désespoir de s'accaparer encore plus des méandres de l'Etat. 

       Néanmoins, n'est-ce ainsi qu'on sent une fébrilité chez les politiques après la rencontre Benkirane-Akhnouche de ce jour 04 Janvier 2017 au vu du raisonnement populiste du PJD qui augmente sous le regard de ses préférés, n'ayant lésiné eux-aussi sur les moyens de communiquer pour continuer à tromper les petits esprits ? Et, c'est là où ce n'est nullement anodin, au vu des irrégularités expressives noyées de subjectivité de leur part pour battre en brèche, à la longue, la résistance d'Akhnouche à leur désir de s'accaparer des maroquins les plus sensibles de l'Exécutif. Dont, on voit qu'en effet cela a éveillé la curiosité des observateurs qui ont découvert le pot aux roses des tractations discrètes d'alors, et donc l'ingénieux manège de Benkirane d'avoir voulu imposer le PI à tout le monde. Ce qui montre que tout cela prend tout son sens sur l'abondance d'informations à propos de la méthodologie suivie, alors qu'en fait il s'agit de cruel souvenir de son orgueil aujourd'hui transformé en parade filipendule seulement entre PPS et le RNI-UC MP. D'autant qu'après la période de mal-être, presque 03 mois de vraies rafales d'incohérences ayant tout fait fragiliser, Benkirane s'est rendu à l'évidence comme quoi il y a risque d'avènement d'une autre projection gouvernementale. Notamment, si les préoccupations des Conseillers du Roi Messieurs Omar Kabbaj et Abdellatif Mennouni ne parviennent pas à trouver chez-lui la manière de s'y prendre pour les rendre une difficulté momentanée ? En cela, n'en pourrait-on penser, eu égard du bon sens, que c'est ce qui fit dire à d'autres analystes plus en phase avec la marche dynamique du Maroc, qu'il valait mieux arriver à faciliter cette formation par la substitution du chef désigné vu que la Constitution le permet ? A bon entendeur, salut !