samedi 26 décembre 2015

COMPTE A REBOURS FINAL EN SAUVE-QUI-PEUT DU POUVOIR VACANT ALGÉRIEN !

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N’EST-CE LA OU ON COMPREND QUE DANS SA FUITE DÉSORDONNÉE CE QUI EN RESTE DU POUVOIR ALGÉRIEN  N’A QUE FAIRE DU PEUPLE ?

       Aujourd’hui en cette fin 2015 et début d’année 2016, c’est un sauve-qui-peut qui commence sous-forme de séquestration-déposition du président Bouteflika, après avoir effectué son isolement par la bande à pression interférentielle agissant dans le cadre de l’illégalité constitutionnelle à Ksar Lamradia. Dont la thèse en est une opération commanditée politiquement, ayant pour cible de tailler un rôle clé à Said le frère bienheureux comme seule alternative dans le désordre et l’irrationnel. Et qui, se serait déplacé à plusieurs reprises en Suisse à bord de jet privé affrété par un banquier ami sud-africain, pour des rendez-vous contre-natures dans le but de s’approprier le butin de l’Etat algérien et en transférer une bonne partie ailleurs à toute fin utile. Dans ce sens il est vrai, que ce dernier était en contact avec plusieurs financiers cadreurs spécialisés dans ce genre d’escroquerie des Etats en fin de vie. Sauf que, du coté des Alpes suisses il n’y a aucune mention à ces virées clandestines, d’autant qu’il n’y a à ce jour aucune plainte de faite si ce n’est des déclarations évasives sur le sujet jetant plus de trouble sur cette affaire dont le futur en dira certainement plus.  

       Aussi, face à cette débandade du reliquat résiduel du pouvoir algérien à plusieurs niveaux, il ne reste à la communauté onusienne qu’à rendre ouvertement hommage au Maroc. Le seul pays maghrébin stable sécurisé et illustrateur en vrai de la lutte anti terroriste sur le terrain. Car jour après jour selon ses propres moyens, il concourt par son combat social économique cultuel écologique culturel à l’examen de situation politique-sécuritaire ayant pour objectif l’éradication des facteurs inducteurs de ce fléau. Et, ce n’est nullement sarcastique envers quiconque que de le rappeler avec insistance en ce moment où la négation des libertés fondamentales s’y intègre dans le comportement des Etats partout dans le monde, en portant confusion dans leur empressement politicien de vouloir à tout prix gagner aux élections face à la xénophobie et le racisme. N’est-ce là où on constate qu’au Maroc sa façon intelligemment mordante et audacieuse s’est montrée efficace dans sa lutte antiterroriste, obéissant à des règles d’investigations et méthodologies d’interventions précises dans le temps et l’espace par tous les services sécuritaires en interne et en externe ?

       Effectivement face à cette réalité marocaine au Maghreb, pour plusieurs observateurs la montée en puissance de Mohamed Mediène alias Général Taoufiq (1990-2015) aura été le pêché capital du DRS. Au vu de son jeu dangereux portant des zones d’ombre malheureusement toujours persistantes, et d’où  de fameux documents en ont révélé la base nodale de ses transactions avec la nébuleuse Aqmi Boco Haram et Daech via les groupes jihadistes dans la bande sahélo-saharienne-africaine. Avec qui le DRS, encore heureux sans résultats probants, aspirait à leurs incursions-infiltrations en territoire marocain pour refaire le coup d’Atlas-Asni à Marrakech. En effet, le Maroc via le BCIJ en a démantelé plus d’une cellule dormante dont des documents saisis, rapportent l’implication du DRS algérien ne le crédibilisant guère dans ses théories anti Maroc à l’échelle onusienne. Ni même dans ses rapprochements avec les pasdarans iraniens, jouant le jeu des escrocs si l’on en croit les informations distillées par les services de pays comme l’Arabie Saoudite pour ne citer qu’elle. 

       Néanmoins, il faut le dire, pourquoi les pays du Machrek Arabie Saoudite comprise considèrent le Maroc leur atout absolu sur le plan géostratégique que ce soit en état de guerre ou de paix ? Dont, apparemment même le Qatar s’étant empressé de consolider des liens spécifiques de co-localité-partenariat avec lui sans défrayer la chronique, en commençant par le lancement de sa succursale de banque islamique. N’est-ce là aussi une conséquence, que les CERG (Centres d’Etudes et Recherches Géostratégiques) propageant leur conception de matérialisation des réussites fictives du DRS moyennant corruption, en ont crée le vide en Algérie notamment dans la lutte anti terroriste ? Tellement qu’aujourd’hui avec Tartag, ce département est remis à une place où il est contraint de faire ses investigations selon le bon vouloir de Said le bienheureux ne voulant plus revivre l’exemple d’In Anemas.

       Ce n’est pas la première fois que la volonté de Tartag même en tant que second, se rencontre avec le machiavélisme de ce bienheureux de continuer ensemble à harceler le Maroc sans aller plus loin. Sauf que même vu de cet angle, l’ardoise morale immatérielle du DRS algérien vis-à-vis de la DST marocaine n’en sera pas effacée pour autant. D’autant plus, ce prétendant à la fonction suprême, n’est-il toujours dans le même ton d’hostilité voire d’animosité grandissante que son frère de président absent envers le Maroc ? Pire encore, il continue d’augmenter sa transgression du bon voisinage avec le Maroc en se mettant derrière les gesticulations-tartuferies pseudo-guerrières du Polisario. Espérant en effet démontrer dans la foulée que ses lobbys propolisariens ne respecteraient jamais l’intégrité territoriale marocaine. Mais, là encore, l’ambition de ces lobbys de s’allier à leurs gouvernements respectifs a fait psitt, du fait que le Congrès Américain n’en veut rien savoir de leur manigance anti Maroc. Car la politique d’Obama cautionnée par les démocrates et partagée sans ambages par les républicains, s’avère pleine d’attrait pour l’investissement au Maroc dans tous ses territoires notamment dans les trois régions du Sud (Dakhla-Laayoune-Guelmim).

       Néanmoins, est-ce que la société algérienne myope qui a enlevé ses  lunettes pour mieux apprécier le flou que provoque ce sauve-qui-peut politique du pouvoir vacant Bouteflika, ne sent-elle qu’il y a péril en la demeure ? N’est-ce là une manière inélégante de se laisser mourir avec et pour ce pouvoir qui l’a tant méprisée voire broyée de tous les cotés de sa rupture avec elle sous les yeux de l’ONU ? Par ailleurs, même si aujourd’hui, la communauté internationale s’en éloigne pour d’autres affaires plus urgentes en détournant les yeux, elle est tétanisée et préoccupée du cas algérien sachant pertinemment que le déclin de l’Algérie a démarré longtemps bien avant la chute du prix du pétrole et dérivés. Dont le DRS qui fut le vrai détenteur de la décision marchande et non la primature ni les ministères affiliés, n’y peut rien aujourd’hui. Dès lors que son pilotage impliquerait des restructurations des mentalités afin de pouvoir arriver à des conditions inespérées pour que l’Algérie s’en sorte.


       Mais en attendant, est-ce que les algériens qui croient toujours aux potentialités de leur pays, ne se demandent-ils si la cohorte qui les dirige n’est plus légitime ? Et que seul le réalisme de reconnaître que cette bande d’escrocs est leur pire ennemi dont ses scandales nombreux si rien n’est tenté pour les chasser du pouvoir, pourraient être un préambule à des cycles de tension populaire à venir. Voilà pourquoi il est temps pour le peuple algérien de s’organiser en partition de vivacité sociétale populaire entre ses angoisses et aspirations face à ce pouvoir. En confirmant son titre n’aimant pas la Hogra ni l’avilissement, d’abord en premier lieu d’organiser une Massira à Tindouf pour chasser le Polisario. Et, ensuite conséquemment donc de mettre le paquet et oser se confronter à cette de la présidence dans une bataille électorale sans merci, dont sûrement la débâcle à Ksar Lamradia ne s’arrêtera pas là. D’ailleurs le sauve-qui-peut rocambolesque de ce pouvoir n’en est qu’à ses débuts, comme le confirme la campagne enragée mise en fil des actualités par les groupes de pression pour rassurer ce qui en reste de ce pouvoir. Et ce, en contrepartie financière substantielle qu’ils touchent en tant que dû de leurs lobbyings douteux aux relations impérieuses les liant en plus aux opposants connus du Maroc. A bon entendeur salut !

jeudi 24 décembre 2015

AFFAIRE DEUX SOUS ‘’JOUJ FRANCS’’, ENTRE CRYPTAGE ET DÉCRYPTAGE !

A QUAND L’ARRÊT DE LA DÉMAGOGIE POPULISTE NE PROVOQUANT QU’AVERSION A L’ÉGARD DE TOUS LES POLITIQUES DANS CE PAYS ARABO-AMAZIGH QUI N’EST PAS COMME LES AUTRES ?

       Aujourd’hui au Maroc, on peut penser que les ministres et les parlementaires hommes et femmes, seront par la force du constat populaire les premières victimes de l’éclatement de l’affaire ‘’Deux sous’’ (Jouj Francs). Qu’en effet, elle s’est internationalisée les mettant sous les feux médiatiques, ne pouvant plus continuer à cacher la vérité pour légitimer leur fonction de gardiennage de leurs seuls intérêts. Ceci étant dit, certains penseront que c’est court comme chemin de négation de leur utilité, alors que le sentimentalisme crypté populiste jaillit de tous les bords au fur et à mesure de la construction de la démocratie dans ce pays arabo-amazigh qui n’est pas comme les autres. Sauf qu’à valeur du décryptage d’aujourd’hui, on ne voit de leur part que production d’autosatisfaction illustrée d’éloges fabriquées par leurs soutiens inconditionnels.

       C’est vrai, au vu de la teneur des tons utilisés sur Youtube et sur les réseaux sociaux, ils ne pourront tenir face à la lame de fond des critiques et protestations et qui s’agrandit jour après jour, portant des messages très forts voire chantages sur la participation aux élections futures dans huit mois. Et/où l’on trouve aussi à tort ou à raison il faut le dire, l’exploitation des citoyens angoissés pour dénoncer l’inégalité systématique de répartition des charges que propose le gouvernement à propos de la réforme des caisses de retraites. D’ailleurs à ce rythme si rien n’est tenté, tout montre que ça pourrait péter dangereusement entre les mains du chef de gouvernement. Même si, lui et le président de la chambre des députés ainsi que d’autres parlementaires considèrent que cette aversion est purement démagogique.

       Avant Galilée, les gens pensaient que les objets lourds tombaient plus vite que ceux légers. Maintenant avec le gouvernement Benkirane, on peut dire que certains de ses ministres de par leur légèreté, tombent plus vite dans les panneaux médiatiques. Ce qui montre qu’il leur faut des stages de professionnalisation par coaching en communication et aussi dans la formation politique continue. Afin qu’ils puissent avoir l’œil et les méninges aussi rapides que leur langue, en distinguant le double impact des questions pièges. Autrement, ils doivent savoir qu’il y a des journalistes très habiles, qui savent également à qui poser les questions pièges et à qui lâcher des approximations de sondage des réactivités de leurs invités. A cet égard, ne peut-on conclure qu'un politique de quelle tendance que ce soit, ne peut rien apprendre s'il fait abstraction de son équilibre de générosité intrinsèque notamment s'il l'efface de sa mémoire? 

       Cependant au cours de cette expérience malheureuse pour cette jeune ministre, on ne peut pas s’empêcher de dire que ses réponses rapides voire accélérées de gestuel l’approchant de la section la plus basse de son balancement, l’ont faite cueillir très facilement par ce journaliste goupil. S'étant montrée outrancièrement fière d'elle, elle a jugé ironiquement de venir au secours des parlementaires et à ses semblables ministres, ne sachant qu'elle faisait sa bêtise de trop. Peut-être qu’elle croyait être dans sa sphère ministérielle, ou probablement elle ne donne pas de distance aux remarques et suggestions de ses collaborateurs, découvrant après l’émission de télévision qu’il n’en va pas ainsi au dehors surtout face aux médias. On pourrait en relater énormément de cas de ministres trop benkiranisés souffrant des mêmes inconvénients dans leur assurance exagérée, dont il va falloir revoir l’amorçage déclinant en s’adaptant à la réalité des revendications du peuple et non à la démagogie. En fait, se regarder de temps en temps devant un miroir ne leur fera que du bien, notamment en les poussant de ne plus être nombrilistes, mais seulement de savoir que ce sont des commis transitaires dans l’Exécutif ne devant penser qu’en termes d’intérêt général et non celui sélectif. Stop et fin ! 

mardi 22 décembre 2015

COMMENT PEUT-ON MESURER LA FORCE DU MAROC FACE AUX DESSOUS GÉOPOLITIQUES DE L’EUROPE?

CONTRE VENTS ET MARÉES LE MAROC ADOPTE UNE POSITION FERME DE NON DÉCROCHAGE FACE AUX MALVEILLANCES !

       Si, à travers les essais de distribution des rôles de déstabilisation par l’intox et les manipulations des pays européens, le Maroc continue de suivre sa trajectoire tracée, c’est parce qu’il est fort de la justesse de sa cause pour ne pas décrocher. Certes qu'il a toujours l’idée de se servir de son poids relationnel avec chaque pays pour réfuter ces manœuvres de mesure de sa force. Alors même qu’il semble ne pas être aidé ouvertement d’appui clair et audible, comme celui offert aux bourreaux de la démocratie et droits de l’homme en Algérie et chez le Polisario corrompu. Mais le Maroc ayant résisté jusqu’à présent parce que fort de ses initiatives aux résultats encourageants, qu’attend-il pour passer à la contre-offensive aux effets immédiats sur les lobbys et groupes de pression pour qu’ils tombent plus vite ? Sachant que si sa relation spécifique reste à la même distance diplomatique vis-à-vis de certains des pays européens, leur balancement dans la fourberie durera autant que le désir de ces lobbys d’impacter la relation globale Maroc-UE.

       D’ailleurs autant l’annoncer sans détour, la seule manière de protéger ses intérêts c'est aller vers l'établissement des règles liées à son existence par toutes ses forces multilatérales. Meme, sachant qu'il y’a quelque part une volonté intra-européenne d’épandage de sable dans les rouages de l’UE vis-à-vis de l’attractivité sectorielle multi potentille marocaine. Il faut dire qu'il n'a aucunement d'autres choix ! De par la démonstration en analogie d’attaques faites par certains pays anglo-saxons surtout les nordiques s'ajoutant à celles du tribunal européen et le parlement à Strasbourg, pour les ensabler et donc les déstructurer. En plus, c’est fait en termes presque méprisants, pensant que le Maroc n’a ni gloire ni histoire et encore moins une opinion publique pour chasser les traîtres en interne, qui cherchent à le marginaliser en externe car usant de consolation d’appartenir à l’élite de je ne sais quoi, si ce n’est l’intellectualité de la mondanité des weekends. Sauf que chose encore incompréhensible, pourquoi le Maroc occulte sciemment cet aspect, même ne s’attendant de quiconque de lui confisquer son histoire dont il puise sa véritable grandeur ? Néanmoins, ceux-là qui ont pris le parti anti Maroc, ne sont-ils dans l’incapacité de convaincre leurs gouvernements respectifs de l’intérêt qu’à l’Europe à renoncer à ses relations géostratégiques privilégiées avec lui ? Ne savent-ils que leurs tergiversations et menaces traduites parfois en chantages internes aux coalitions gouvernementales, se restreindront d’elles-mêmes pour que leurs privilèges soient mieux protégés ? D’ailleurs, en ce temps présent ne se fondent-ils déjà le doigt dans le baba, parce que le Maroc refuse le débat avec eux les considérant comme des provocateurs-manipulateurs et receleurs-falsificateurs de l’histoire de toute une région ? D’autant plus, allant jusqu’à la diffamation rappelant étrangement les méthodes qu’utilisent les mauvais perdants les rancuniers et les malhonnêtes. A cet égard, on comprend mieux maintenant leur alliance subjective avec les forces du mal dans le Maghreb, du fait qu’ils aient reçu des subventions-corruptions dans un passé pas lointain de leur souteneur objectif en l’occurrence le pouvoir algérien.

       Aussi on ne le répétera pas assez, il n’y aura pas de la part de tous les  marocains qui se respectent, de manière pour disculper l’ingérence politicienne de la Cour Européenne dans les affaires du Maroc. Et, encore moins d’excuse sur le positionnement idéologique du Parlement Européen, même s’imaginant que son attitude est désintéressée pour défendre bec et ongle l’élargissement des prérogatives de la Minurso pour les droits de l'homme au Sahara marocain. Rien que cette édulcoration abstraite, doit nous mettre tous tour à tour à contribuer à la vigilance face à leur hypocrisie nostalgique, pour leur monter que leur confiance en leur capacité est ridicule du fait de la stabilité et la sécurité du pays ! Seulement et c’est là ou il y a un os, en pratique juridico-diplomatique internationale cela s’appelle l’opacité d’usage de diatribes où l’on mélange ruses intentionnées et diversions démesurées. En quelque sorte le flou total, dont s’inspirent aujourd’hui le pouvoir algérien et son protopolisario, occultant leur autoritarisme effréné dans les camps de la séquestration honteuse de marocains dans le Sud algérien. Au sens où, évidement les vrais victimes sont ces prisonniers de l’arbitraire malgré-eux, alors que les dindons de cette farce politique sont les lobbys inquisiteurs moralistes européens. Car, faisant fonction de gardien des intérêts et biens mal acquis des Généraux algériens et leurs acolytes civils pro-polisariens, en contrepartie de corruption active dont tout le monde en parle. Ainsi leur source d’inspiration transverse la région MENA donnant le départ à la temporalité du cafouillage dans un but de provoquer plus d’invisibilité. N’est-ce là où on voit une compétitivité sécuritaire Maroc-Turquie, ne pouvant aboutir qu’à l’écartement de la pensée islamiste des couloirs décisionnels ? Au vu que la grande masse PKK en Turquie exerce une attraction gravitationnelle sur certains partis et groupements associatifs non affranchis qui ne pourraient qu’aggraver la situation de la région MENA. Parce que si l’on s’en tient à quelques analyses dans ce sens, le vrai problème du Maroc avec les nouveaux lobbys européens, c’est son gouvernement attaché géo-politiquement à l’extrémité de la ficelle des frères musulmans. Dès lors que leur sort semble celé en Egypte, en voie de règlement définitif en Tunisie et en cours en Libye ayant exigé la poigne diplomatique du Maroc, tellement que l’Algérie n’avait de choix que d’encourager.

       C’est pourquoi nos diplomates et nos relais de soutien partout ou ils se trouvent, sont priés d’être plus vigilants à même de devenir belliqueux par la force de leur contre-offensive sur le terrain. Parce que quand l’incompétence de certains de nos diplomates se fait dévoiler aux citoyens lambda par ce qu’ils voient et entendent dans cette crise avec l’Europe, on ne peut que se poser des questions pour ne pas dire s’indigner. Mais, objectivement, sans faire abstraction des dessous des cartes géopolitiques qu’au demeurant montrent que le Maroc est une pièce maîtresse vivante que les européens cherchent à maîtriser. D’autant il est vrai que certains pays européens dans leur logique impersonnelle des échanges commerciaux économiques culturels et sécuritaires du temps présent, a crée une focalisation sur le Maroc. Laquelle est considérée par d’autres, évidement omniprésente ne répondant à leur façon de faire et ne faisant suite aux recommandations des récalcitrants lobbys et groupes de pression qu’ils dorlotent pour diverses raisons.

       Désormais, la seule politique à suivre contre l’Europe des égos, c’est celle qui anticipe sur les coups bas, notamment ceux éventuellement se trouvant déjà dans les tuyaux de lancement. Mais comment le Maroc peut-il faire pour ne jamais décrocher face à cette redondance de ballons d’essais lancée à son encontre, pour mesurer sa réactivité ? N’est-ce ce qui compte pour lui, c’est de toujours montrer sa surabondance en idées, dont le substrat ne pourrait que consterner les tireurs des ficelles de l’autre coté de la rive méditerranée? Comme ça ils sauront qu’il y a une cinquième colonne au Maroc, détentrice de la connaissance profonde des temples-lobbys dont baignent leurs idéologues-démons et autres technocrates serviles qui travaillent simplement entre eux d’un pays l’autre. A bon entendeur salut !  

samedi 19 décembre 2015

POURQUOI LE PARLEMENT EUROPÉEN RESTE-T-IL DANS SON COMPLEXE-HÉGÉMONIE VIS-A-VIS DU MAROC ?

N’EST-CE POUR CELA QU’IL CHERCHE ET FOUILLE CHAQUE RECOIN DES RELATIONS MAROC-EUROPE DANS L’ESPOIR DE LES DÉSTRUCTURER ET LEUR PORTER LE COUP DE GRACE ?       

       Aujourd’hui le Roi Mohamed VI fait la grandeur du Maroc sans oublier les marocains ! N’est-ce là ou on voit qu’il passe à la grande vitesse aux activités sociales humaines économiques culturelles cultuelles politiques-sécuritaires et diplomatiques marquantes ? Ayant des conséquences directes sur la construction d’un avenir marocain serein dans la responsabilité et convivialité de vivre ensemble autour des valeurs universalistes. Et ce, sans immoralité ni déshonneur dans le côtoiement entre citoyens, contrairement à ce qui se passe chez certains pays européens s’identifiant à leur vraie nature via des lobbys voyant la terre se refermer devant eux. Tellement qu’on les aperçoit souffrir de maux sociétaux dus à leur manigance économique sociale sécuritaire et même politique, n’acquiesçant pas la réussite de l'impulsion royale directe dans le dossier libyen à Skhirat au Maroc sous l’égide de l’ONU. Toutefois, n’est-ce comme ça qu’ils se dirigent par cette pratique du déni des réalités, vers ce que l’on peut qualifier la foi rétrograde en leur futur s’interdisant tout espoir pour qu’ils soient aimés de tous les marocains ? Dès lors que leur comportement anti Maroc par principe de lui faire du mal, ne triompherait aucunement sur sa détermination et/où la victoire finale lui reviendrait.

     Et oui, en entourant ses moindres activités au quotidien de simplicité comportementale et d’efficacité en gouvernance, le Roi du Maroc s’élève plus dans les yeux des grands dirigeants du monde et pas seulement. N’y a-t-il crée ainsi un style de proximité avec eux avec prestance digne et hauteur de respectabilité mutuelle sous forme de poursuite d’efforts de compréhension sans relâche qui, de plus booste le moral et l’honneur du peuple marocain dans toutes ses composantes sociales ? Dont l’objectif principal est de mettre le pays dans la trajectoire des nations respectées, en s’aidant de l’habileté du peuple à intégrer ses rapprochements autant que ses directives portant des propositions d’y établir partout dans les 12 régions du Royaume, justice équité développement sécurité et respect de tous les droits dans le cadre de la constitution. Ce à quoi cependant, ne peut-on relever dans l’évolution du Maroc depuis l’avènement du règne Mohamed VI, les mesures ayant conçu le miracle marocain d’aujourd’hui ? Passant par la constitution de l’IER, CNDH, INDH, Discours du 09 Mars 2011, Référendum constitutionnel, Elections anticipées du 25 Novembre 2011, Offensives diplomatiques-économiques multiples en Afrique, Refondation du champ cultuel-sécuritaire et Effectivité de la régionalisation avancée etc… Qu’en effet, les rancuniers-jaloux européens n’arrivent à accepter ni à assimiler de par leur complexe hégémonique datant d'un temps révolu, par lequel ils cherchent à tout prix de déstructurer les relations Maroc-Europe. En cela, n’est-ce pas que l’amélioration de l’explication de l’offre marocaine de l’autogestion datant de 2007, devrait passer par la mise en place d’une culture diplomatique de réévaluation de la prévention des ratages et des méthodes d’anticipation sur les manipulations malveillantes ?   

       Néanmoins le dualisme qui oppose, le bien marocain connu à l'international au principe du mal du pouvoir algérien étonnamment ressemblant à celui de ces mêmes lobbys, n'a-t-il d'ailleurs été largement exploité dans plusieurs affaires ? Par suite à quoi l’Algérie continue d'occuper la situation peu enviable largement privée de libre arbitre, parce que soumise à ces diverses puissances en interne et en externe. C’est pourquoi, malheureusement à voir comment par sa myopie politicienne, elle continue avec ses résiduels souteneurs en UA (Union Africaine) et lobbys anti Maroc dans certains pays européens de chercher à le déranger dans sa ligne directrice. Au point de n’avoir jamais cessé de faire du sur place, par une gymnastique politicienne fondée sur les assauts de la fourberie la corruption voire le chantage dont on parle aujourd'hui ouvertement à l'ONU. N'est-ce là où on voit l'existence du diable qui la pousse à contrecarrer les projets d'entente avec le Maroc ? Croyant ainsi avec ses manutentionnaires européens, pouvoir s’immiscer dans sa feuille de route par leurs coups-bas médiatisés empreints de procès d’intention, sans savoir qu’ils font des ravages chez-eux dans leurs pays. N’est-ce là une façon insupportable, que les gouvernements européens doivent honnir en assumant leur responsabilité dont ils ne pourraient s’imaginer que ça ne les concerne pas ?

    Normalement, c’est ce que devrait scruter minutieusement et suivre assidûment non seulement tous les diplomates de hauts ou petits rangs, en se donnant le temps d’y faire face à ces positionnements anti Maroc, qu'en l’occurrence sont devenus des rites pour l’empêcher de remonter dans la cour des émergents. Mais aussi tous les membres du gouvernement sans relâchement, avec plus d’exigence dans la poursuite du cap de la vie politique économique et sociale avantageant les ressortissants RME et le pays vis-à-vis de l’Etranger. Dès lors que, ça ne fera que consacrer le pavillon marocain à l’intérieur autour de son modèle constitutionnel et aussi à l’extérieur dans sa recherche de consécration idéale. Notamment, en diminuant les dépendances aux institutions bancaires et financières et en s'attelant à la réduction du chômage, dont l’Institut Mackenzie le FMI et autres en ont déjà tiré la sonnette d’alarme. Parce que sinon, ce serait une injure à la conscience marocaine de ne pas aller scruter la magnificence de la vision royale de protéger le Maroc de toutes les turbulences et malveillances quelles qu’elles soient. Et, par la force des choses partager la façon royale de s’approcher des doléances du peuple par les actes revivifiant et non les rafistolages bonifiant. Même si c’est vrai, les implications potentielles du Maroc sont énormes, par rapport à ses capacités financières par delà ses perspectives immenses de lutte anti terroriste dont il est maintenant acclamé en tant que l'un des meilleurs et proclamé seul certificateur agrée par l’ONU qu'on ne le veuille ou pas.

       Néanmoins, pourquoi ces derniers temps on entend ici et là cette question qui interpelle plus d'un observateur : ‘’Messieurs les diplomates marocains de haut rang, avez-vous fait preuve d’incompétence ou pas ?’’ Au point que les diseurs de ses sottises n'en sachant rien des coulisses des chancelleries, en rajoutent une autre couche : ‘’Poussez-vous donc, pour que d’autres apparemment plus au point que vous s’y mettent’’. Sauf que, sauront-ils user de plaidoyer convaincant de communication ciblée et de mobilisation sans courbure d’échine à l’international ? Comme ce que font sans conteste certains chevronnés assez nombreux, faisant face aux manipulateurs dans les couloirs du parlement européens et dans les cales du paquebot onusien. Par conséquent, si vraiment ces complications existent, pourquoi la diplomatie officielle ne se dote-t-elle d’un bulletin d’information de périodicité déterminée, sur les thèmes de ces difficultés dans son action réelle sur le terrain ? Par ailleurs, ce bulletin s’il s’avère nécessaire, ne doit-il être fait en phase avec l’évaluation de la prise de position de la société civile marocaine contre les manipulations malintentionnées en défaveur du Maroc qu’essayent d’imposer les lobbys et groupes de pression ?

    Aussi, outre la sensibilisation des ambassades consulats et autres annexes à des fins préventives de ces soi-disant ratages, n’est-ce l’espoir pour le Maroc c’est d’avoir découvert par ses propres moyens le vrai passage vers l’émergence réelle tenant compte de toutes ses potentialités humaines et ressources sur mer en terre et en l’air ? N’attire-t-il tout naturellement les investisseurs vers lui, car usant de ses atouts d’encouragement dans la sécurité et la stabilité ? Marquant de la sorte les étapes importantes dans le cours de la mondialisation, dont le Congrès Américain en encourage les sociétés américaines d’investir dans le Sud marocain. De ce fait, les dispositifs mis en place depuis l’avènement de l’alternance sous Youssefi, méritent d’être davantage renforcés en matière d’information et de sensibilisation dans ce sens. Déjà que le Maroc s’apprête à inaugurer la plus grande centrale d’énergie solaire au monde, confirmant la volonté royale de marquer l'étape capitale de l’histoire de la lutte contre le réchauffement climatique de la COP 21 à Paris 2015 en préparation de la COP 22 à Marrakech en Novembre 2016. En effet, c’est dans ce sens que la ruée à l’occupation des sites au sein des pôles d’investissement surtout du littoral par des sociétés de renommées internationales, constitue le tremplin vers l’exploration des opportunités au Maroc ? Ce qui montre, que l’absence jusqu’aujourd’hui des logistiques accompagnatrices dans le transport marchant maritime aérien et routier, qui représentait l’obstacle longtemps resté infranchissable sur la voie directe menant au développement rapide surtout de l’Afrique dans tous les domaines ? S’ajoutant à la carence en stimulines-partenariats des pays ex-colonisateurs et aussi des BRICS, ayant fait s’évanouir les rêves de beaucoup de PME-PMI africaines locales les transformant en insuccès cuisants sinon cauchemardesques. A bon suiveur bonne lecture !  

mardi 15 décembre 2015

LE MAROC VOIT ROUGE CONTRE LES DÉMONS DAECHIENS, MAIS RESTE SEREINEMENT SUR LE QUI-VIVE FACE AUX MALVEILLANTS PROPOLISARIENS !

LE MAROC NE TRÉBUCHERA JAMAIS AU COURS DE SES CONTRE-OFFENSIVES SUR LES PAS DES DAECHIENS ET INVISIBLES MALVEILLANTS PROPOLISARIENS.

       Le lion de l'Atlas n'exprime jamais de lassitude ni de faiblesse, tellement il est patient inspirant la crainte car il est maître de ses lieux ! A cet égard, ne peut-on dire autant du Maroc de par l’effet de la puissance ingénieuse de ses services de renseignement déstructurant la malveillance des arcs propolisariens et stoppant la nuisance des ténébreux daechiens sur le terrain ? Au sens qu’aujourd’hui tous les services sécuritaires de par le monde, imaginent l’avenir à court et moyen terme comme un champ de bataille anti terrorisme notamment envers la machine infernale Daech. Dont Obama, en a enfin montré sa disponibilité purement politique de contrer ce danger planétaire que cette nébuleuse représente. Déclarant en ON que les USA feraient le tout en tant que chef d’opérations pour l’anéantir en terre en l’air et dans les mers, certainement par prise de conscience de ne pas laisser Poutine le stratège froid s'emparer seul du trophée et donc d'enraciner davantage Bachar Alassad. Mais la question qui taraude plus d’un, c’est quel serait le rôle du Maroc dans cette lutte effrénée ou continuera à s’exercer la puissance du renseignement pour contrer les ténèbres et malveillances ? D’autant que depuis qu’il se préoccupe sans relâche de ce volet sécuritaire anti groupuscules terroristes-daechistes porteurs de calamités, c’est même plutôt à lui que l’Etat Islamique (EI) s’intéresse voulant lui porter des coups. Tout simplement parce qu’il a montré sans conteste, de l’avis des observateurs nationaux et étrangers, que sa sécurité multidisciplinaire est une réussite tant au plan organisationnel en interne que professionnel missionnaire en externe.

       C’est vrai, l’approche sécuritaire au Maroc sous toutes ses formes est assez rodée autour d’un programme précis concis et varié, au vu de la fréquence des démantèlements des cellules terroristes. Et ce, entre ce qu’il a appris de faire des années durant et ce qu’il fait aujourd’hui via le recrutement et la formation dans les académies et écoles de police. Notamment, par son évaluation continue des pratiques du renseignement, auxquelles la lutte antiterrorisme-nihilisme demeure la priorité absolue permettant à ses différents services décentralisés d’être toujours aux aguets. Mais, au-delà de ces choix sécuritaires au demeurant non fortuits, ne fait-il souvent des mises à jour sur les thématiques de vigilance et de mobilisations simulées pour parer à tous les dangers ? N’est-ce là le but ou l’Arabie Saoudite veut en venir sous impulsion des USA, s’y engageant avec le Maroc la Turquie le Sénégal et d’autres dans le montage d’une coalition de 34 pays musulmans malheureusement sans l’Algérie. Et ce, pour créer un axe régional stratégique de lutte anti terroriste, avec garde-fous et rétrocontrôles probants en matière du respect des souverainetés ? Comme ce que fait le Maroc prioritairement dans le développement de son concept innovant, par la preuve diplomatique de croyance à la justesse de sa cause et la pratique impitoyable presque guerrière anti Daech. Contrairement au pouvoir algérien s’étant recroquevillé dans une forme rare dans l’échelle onusienne, mais néanmoins très grave vu qu’elle est porteuse de malveillance. Car, se manifestant par les signes de la schizophrénie du surmoi, que l’on pourrait appeler hyperexcitation due au déficit du réalisme du danger daechiste. Dont la cause sous-jacente, n’est autre que sa prédisposition FLNiste à l’excès de confiance sans commune mesure, se conjuguant au défaut d’épuration des idées d’un temps révolu.

       Néanmoins en l’occurrence, pourquoi ce pouvoir ne sait-il que ce n’est plus vrai aujourd’hui avec l’apparition de nouveaux facteurs ayant mis le peuple algérien sous-tension tributaire de la santé du président Bouteflika ? Favorisant de fait le soutien du daechisme via l’entretien du Polisario non toléré du peuple, la tension au sein de l’armée et DRS, les coups et contrecoups pour la course à la présidence, la souffrance économico sociale due à la baisse abyssale de la rente pétro-gazière et le grondement sociétal dans les contrées voire Wilayas. D’ailleurs, tel qu’annoncé par les différents Centres d’Etudes Stratégiques, l’année 2016 sera pour l’Algérie de tous les dangers consécutivement au constat d’instabilité et d’insécurité dont elle baigne désormais. Ainsi, si ce pouvoir algérien continue ses manipulations du Polisario de Christopher Ross et des lobbys résiduels en UA (Union Africaine) et UE (Union Européenne) à coups de milliards sans assurer prospérité tranquille et vie en sécurité des algériens, il risquerait lui-même de raccourcir la longévité d’Abdelaziz Bouteflika à la présidence. Ce à quoi face à cette éventualité, l’armée fidèle à sa devise opérerait une autre saga de mise sous tutelle du pays en l’engageant dans l’aléatoire et l’inconnu. N’est-ce donc fini le temps ou les algériens se croyaient protéger du risque de guerre civile par le pouvoir ?

       En ce sens, n’en parlons pas de la Tunisie apeurée qui doute, de la Libye  meurtrie au bord de l’abime et de la Mauritanie qui se cherche entre résistance et allégeance. De ce fait, conséquemment personne ne peut nier la mobilisation tout azimut du Maroc, l’une des plus documentées en matière du renseignement multisectoriel dans sa répartition géographique de Tanger à Lagouira. Pour preuve, depuis le secouement terrible du 16 Mai 2003 à Casablanca à ce jour, plus de 150 opérations ciblées ne manquant pas n’en plus d’originalité sont réalisées. S’ajoutant aux dispositifs pris de contrer les terreurs daechistes, lesquelles s’étant par ailleurs avérées des histoires de famille copains voisins et parfois mêmes de larbins. Alors même que cette réalité reste pour partie inexpliquée, il n’en demeure pas moins que son exploitation souligne que d’autres facteurs extrinsèques sont la cause déclenchant la constitution en série voire en dérivation de cellules dormantes.

       A cet égard, est-ce que le BCIJ (Bureau Central d’Investigations Judiciaires) quand il a commencé son large travail en matière de communication nécessaire pour une meilleure diffusion de ses activités contre les démons, n’a-t-il découvert des positionnements dans l’arc politique marocain destinés à minimiser l’importance des échanges de ces terreurs ? N’est-ce d’ailleurs le cas de quelques relais associatifs malfaisants, adoptant au grand jour des postures généralement vigoureuses sinon violentes envers leurs adversaires pour les transformer en esprit du mal sociétal ? Arrivant même parfois, qu’elles soient victorieuses en finissant par se retrouver auréoler sous l’aile dominante du protecteur du moment. Et oui, de la vie du BCIJ, déjà huit mois se sont écoulés avec un bilan primordial de lutte sans merci contre les terroristes notamment les jihadistes. Une stratégie d’anticipation sur l’offre morbide daechiste ici et là, dont le constat émerveille pas seulement les services sécuritaires à travers le monde mais aussi les marocains sur tout le territoire national. A bon entendeur salut !

vendredi 11 décembre 2015

LE MAROC COMPTE-T-IL SES ATOUTS POUR RENDRE SES COUPS, MÊME EN PERSPECTIVE DE L'IMPROBABLE CLASH AVEC L’UNION EUROPÉENNE (UE) ?

N’est-ce vrai que le Maroc face à la complexité juridictionnelle dont se trouve l’UE, il doit repenser couramment ses choix avec plus de garanties sur ses souverainetés ?

       La dernière note présentative-informative de Christopher Ross du 07 Décembre 2015 au Conseil de Sécurité de l’ONU ne révèle-t-elle qu’il est lui-même le facteur limitant, l’ayant conduit vers son échec cuisant dans l’affaire du Sahara marocain ? N’a-t-il ainsi reconnu de son libre arbitre qu’il ne peut plus entamer incessamment des virées dans la région ? Attribuant cela presque à demi-mots, aux nombreuses opérations de soutien à la valeur-offre marocaine de l’autogestion dans la régionalisation élargie. Comme ça, il en est désormais convaincu que son positionnement ficelé dans sa tête en s’attaquant à l’amélioration de l’installation de l’investissement public et privé, continuera à se heurter à la résistance objective marocaine. Seulement, voici que le Tribunal Européen voulant faire les yeux doux à l’Algérie et à son protopolisario, a redéfini sa vision l’ayant rendue compatible à celle de Christopher Ross. N'est-ce d'ailleurs dans cette rétroversion purement politique loin du droit, que cette honorable institution s'en est trouvée embarquer montrant hélas une faiblesse d’appréciation et donc de jugement ? 

       Néanmoins, n’est-ce en jouant cette partition de non justice portant sur la plateforme des négociations multisectorielles Maroc-UE, que ce tribunal semble jouer avec le feu du terrorisme grondant, de surcroît axé sur le bon plaisir des récalcitrants à la thèse marocaine surtout parmi les pays nordiques. Effectivement, c’est ainsi au-delà des apparences, conséquemment il a émis cette réserve inélégante par son arrêt inique sur les accords opérationnels de libéralisation des échanges réciproques agricoles contractés avec le Maroc. Les estimant engagés au détriment d’un traitement à la carte au cas par cas, sans en distiller que c’est une affaire européenne en référence à la construction-partenariat par des mesures appropriées de longues dates. Et bien, que les choses soient claires, jamais le Maroc ne se laissera faire, comprendra qui voudra ! Parce que, ce soi-disant nouvel ordre juridictionnel que ce tribunal propose en filigrane quelle que soit l’étendue de ses ambitions, n’aura qu’une et une seule réponse celle intégrative du Niet. Un refus catégorique par le Maroc dans sa recherche de la performance  économique et commerciale, pour dépasser largement la mauvaise foi de cette Cour. Et/où il n’y aura de sa part légitime ni ingratitude ni simplicité, mais seulement plus de vigilance dans son suivi de ses offres multiples mêmes limitées dans le temps. N’est-ce d’ailleurs ce qu’a déclaré Frederica Mogherini, n’acceptant ni surenchère ni élucubrations douteuses à propos du Maroc comme le seul partenaire sûr en matière de bon voisinage sud-méditerranéen ? Au point que d’après elle et beaucoup d’autres chancelleries, déjà les instances européennes étudient  avec sérieux et détermination la ligne à prendre pour le pourvoi en cassation de ce jugement le qualifiant sans détour trop politique.

       C’est vrai que quand l’accord coopération Maroc-UE est à ce prix, la moindre des choses c’est que ça ne doit pas continuer. En effet, le protocole d’accord d’agriculture-pêche 2012 avec l’UE apporte aujourd’hui après l’arrêt rendu de la Cour Européenne, une autre dimension sans aucune marge sur ses formats variés. Cependant par ailleurs, n’est-il arrivé le moment pour le Maroc de commencer à repenser son choix et de ne plus courir derrière l’UE sans garantie de respectabilité de toutes ses souverainetés ? D’autant que ça lui donnerait encore plus de charisme dans ses ambitions, et aussi plus d’énergie dans la profondeur des intensités de ses tractations futures. Par rapport à la complexité de ses choix où, la spécificité des objectifs à atteindre ne dépend pas que du bon vouloir des décideurs. Ceci étant dit, voilà pourquoi l’Etat-Maroc, doit réviser sa latence concernant la vacance et parfois carence des postes sensibles. En gage d’optimisation des ses orientations stratégiques, parce que y'en a mare de ces redondances à tire larigot des institutions européennes envers le Maroc. 

      Ce faisant, encore aujourd’hui face à l’UE, ne faut-il n’œuvrer qu’au sein des lignes spécialisées dans le marché de la mobilisation tout azimut que vit le pays pour sa sécurité sa pérennité et son essor ? En ce sens, et c'est le moins que l'on puisse dire, pourquoi se priver de cet engagement au vu des acquis déjà enregistrés dans tous les domaines dont, les négociateurs sont la valeur la plus sûre cernant les différents besoins par la proposition de solutions d’accompagnement très efficaces parfois originales ? Pourquoi ne pas dénoncer vigoureusement les manœuvres politiciennes par suite de cet arrêt-jugement invraisemblable, rien qu’en usant d’animation diplomatique avec communication sans partage d’émotions ni étonnements ? N’est-ce pas que le Maroc dans la très large gamme de ses offres productives de grandes qualités dans plusieurs domaines, a forcément la riposte adéquate ou l’all-in-one soit l’illustration minimum pour donner plus d’impact à l’interface des principaux outils de sa détermination dans tous ses futurs accords ? N’est-ce seulement de cette façon que le Maroc puisse naviguer à son rythme face à l’inédit de cette histoire non transparente, dont le développement pourrait contribuer à la mise en péril des accords Maroc-UE. A bon suiveur bon décryptage !   

lundi 7 décembre 2015

Y AURAIT-IL DU RIFIFI EN L’AIR A L’ONU A CAUSE DES INQUIÉTUDES EN ALGÉRIE ?

L’ALGÉRIE PEUT-ELLE BRÛLER SOUS LES YEUX DE L'ONU COMME LA SYRIE, PAR SUITE DES MAUX DU POUVOIR BOUTEFLIKA !

       La sécurité en Algérie est-elle mise sous la loupe onusienne par des recommandations préventives ? Il faut dire qu’on s’y emploie tant bien que mal à cette sensibilisation, tandis que c’est toujours RDS (Rengaine Dissimulation Syndrome) en gouvernance sécuritaire coté pouvoir algérien.  Par opposition au RPS (Renfort Patriot Système) marocain, avec grande volonté de rester fidèle à sa ligne de fidélité à l'Afrique. Au sens où beaucoup de diplomates onusiens notamment africains ne sont plus comme auparavant animés par le remplissage du panier des contrevérités à son égard. Pour cela ne peut-on dire d’emblée, qu’ils s’y sont auto restaurés en s’instaurant une nouvelle conduite dans un autre maillage de rencontres onusiennes d’intérêt pour lui ? Car ils sont convaincus que le pouvoir boutaflikien n’a réussi à faire apparaître que chimères sans lendemain dans les relations entre pays africains. S'additionnant aux douleurs dans les camps des séquestrations à Tindouf à Rabouni et ailleurs, de par son jeu conflictuel de diplomatie sournoise induisant la communauté internationale surtout africaine dans l’erreur.

       Mais pourquoi ces diplomates l'ont-ils fait maintenant ? N’est-ce parce qu’ils savent que le Maroc a acquis une importance particulière dans le contexte mondialisé marqué par sa recherche du sérieux via son offre d’autogestion depuis 2007 dans la sécurité et le respect de tous les droits ? Et qu’évidemment pendant plus de dix sept ans, ce pouvoir algérien n’a pu rien améliorer en matière des modèles prédictifs pour l’embrouille Rabat-Alger suite aux événements tragiques d'Atlas-Asni à Marrakech 1995. N’ayant pas pris en compte, ni la capacité du Maroc à pouvoir vivre sereinement fièrement sans l’ouverture des frontières, ni même ses appels à l’évitement de l’exposition du Maghreb aux risques associés à l’obturation des canaux de coopérations sécuritaires objectives. Néanmoins, ledit sérieux n'est-il labellisé du sceau Maroc s’accompagnant de la thématique de vigilance bien illustrée sur le terrain en interne et en externe ? Ne se voit-il déjà dans la mise en place d’une véritable politique de prise en charge prioritaire de chantiers divers, à l'exemple du New deal de développement structurant au Sahara marocain ? Contrairement à l’Algérie qui traverse une phase d’inquiétude aiguë voire dangereuse, sans aucune vision optimiste sur l'avenir. Dont dépend évidemment aussi la levée de barrières psychologiques, en marge de la campagne internationale onusienne de sensibilisation au danger terrorisme-nihilisme. Autrement, c’est en quelque sorte d’une révision structurelle institutionnelle dont l'Algérie a besoin, afin de pouvoir prendre au sérieux les recommandations onusiennes ayant pour objectif de remédier à ses maux pléthoriques. Et ce, d'abord pour qu’elle puisse s’en sortir en évaluant leurs impacts et répercussions sur son image, puis pour ne plus s’engouffrer dans les méandres des lobbyings de pression à propos des enjeux géostratégiques liés aux particularismes politiques régionaux. 

       C’est vrai, aujourd’hui plus qu’hier, l’Algérie est otage de ce pouvoir qui cherche à dissimuler les repères de sa descente aux enfers au vu du concentré d'informations non dénuées de complexité. Non seulement par des délires incroyables comme leurres, s’ajoutant aux expressions des haines en interne entre gens qui lui gravitent autour. Mais aussi par les rancunes surréalistes montrées en externe et montées en rengaine vis-à-vis des voisins surtout le Maroc. Par conséquent, un travail sérieux visant à améliorer les états socio économiques financiers culturels sécuritaires et politiques de l’Algérie, serait soutenu de tout le peuple marocain. Notamment s’il n’y a derrière ni entrave d’accès à la démocratie participative, ni dilapidation des richesses gazières et pétrolières en faveur du Polisario et encore moins d’insouciance sur les acquis et perspectives de la vraie construction du Grand Maghreb stable sécurisé et rayonnant. Une sorte de clarification des positionnements des hommes et femmes politiques en Algérie, particulièrement vis-à-vis du Maroc par l'évaluation du fil des événements passés et actuels en tant que support pour la vision politique d'un avenir serein. 

       Et oui, en ces temps de grands chantiers onusiens sur la sécurité de par le monde, c’est ça l’Algérie d’aujourd’hui où tout un chacun peut voir que le torchon brûle entre la Présidence l'Armée et les Moukhabarats ! Ce qui augure d’instabilité d’après tous les observateurs et aussi des personnalités et non des moindres, tels Mouloud Hamrouch le labellisé Liamine Zeroual-dépendant, Mohamed Mediène alias Taoufiq ex patron du DRS l’anti Said le bienheureux frère du président-légume et Khaled Nezzar ex Chef d’État-major des armées devenu conventionnement sans conteste anti Boutaflika. Parce qu’au vu du ton dans leurs sorties médiatiques, séparément chacun dans son coin en outrepassant le droit de réserve, ils n’ont fait que distiller leur dissidence light avec ou sans controverse. Sauf que ce fut fait dans un tumulte journalistique relayé de moquerie sur leurs propos, du fait que le postulant de demain à la présidence de l’Algérie n’a que faire de leurs bulles, qui d'après son entourage elles rappellent seulement à faire des enrobages juridictionnels dans l’affaire du Général Hassan. Dès lors que dénoncer le fait de tailler des costumes d’incompétence pour règlement de compte, ne faisait partie de leur ligne-besogne à eux aussi. Ne l'avaient-ils pratiqué séances tenantes, surtout pour jeter en pâture voire dans les oubliettes des geôles les résistants à leurs harcèlements indignes quand ils étaient aux affaires ?  


       En ce sens, est-ce que cet élu bienheureux à Ksar Lamradia ne cherche-t-il ainsi à marquer son terrain et à les déranger eux aussi, en plus des réticents du moment dans l’Armée et les frondeurs au sein du DRS (Département du Renseignement Sécuritaire) ? Pour lui, n’est-ce pas que tout doit rester nickel pour la suite de sa besogne, qui serait certainement peinte à la fois d’allégations à la Boumediene et de rêves de toujours dans les tons boutaflikiens anti Maroc ? En tout état de cause, et c’est le moins que l’on puisse imaginer, peut-être verrons-nous d’autres tours encore plus graves dosés de controverses diplomatiques par les nostalgiques du statu quo. Tout simplement pour contrarier d’éventuelles attitudes ajustées d’équilibrisme et non jonglage, par les réalistes qui savent pertinemment que le Maroc est bien décidé à maintenir tous ses avantages. Et que ça ne sert à rien de continuer à le provoquer, même sur des chaines de télévisions étrangères en exposant des théories-compromissions mettant en cause ses services. Comme ce qui fut honteusement fait en Tunisie la blessée, n’ayant ajouté que flou et brouillage dans l’enquête sur les dysfonctionnements sécuritaires, par suite à l’attaque terroriste du bus de transport de la garde présidentielle à presque deux pas du ministère de l’Intérieur. N’est-ce même très grave d’en arriver à cette bassesse de maltraitance du Maroc,  ne contribuant aucunement à l’amélioration du climat politique au Maghreb ? A bon suiveur bonne lecture !