samedi 30 avril 2016

JAMAIS LE MAROC SANS SON SAHARA ET, DONC STOP AUX DISCRIMINATIONS INFONDÉES ET INJUSTES DANS LES RÉSOLUTIONS.

LA RÉSOLUTION 2285 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU, SERAIT-ELLE LE SOLEIL DANS LES COULISSES DES TRACTATIONS SUR L’OFFRE MAROCAINE D’AUTONOMIE ?

       Il n’a jamais existé sous aucun Secrétaire Général de l’ONU d’exemple où les changements d’attitude aient été aussi brusques même en fin de mandat. Aussi, ces données n’ont-elles conditionné toute la vie onusienne, particulièrement entre le Secrétariat Général et le Maroc depuis le début de sa lutte diplomatique de recouvrement de ses souverainetés comme en 1971-1975. D’où l’on peut dire aujourd’hui au Maroc, la vigilance fonctionne bien ! Ayant pour objectif de traquer les serviteurs des pays faux amis petits et grands économiquement et non politiquement parlant, qui sont éparpillés dans les paradis des instances internationales. Ce qui a demandé de l’Etat-Maroc, la présence d’une véritable action diplomatique pour montrer sa réactivité dans toutes les situations cherchant à le discriminer. Sachant bien que l'effort diplomatique et tactique se poursuive également dans d'autres voies, le Maroc en s'aidant de ses courants des lignes sociétales civiles il doit passer à la vitesse supérieure pour tenir en respect ses ennemis. Même si, autant le dire avec franchise, il ne peut se permettre d’élever une autre génération de diplomates dont certains parmi eux ne pourraient être sélectionnés nulle part ailleurs pour ce job, parce que non formatés voire inadaptés à la guerre diplomatique du temps présent.

       Néanmoins, quand on scrute les explications officielles des votes des membres du Conseil de Sécurité, on comprend que l’attitude de Ban Ki Moon n’est pas fortuite ni accidentelle. Mais, qu’elle est télécommandée par les USA, sur initiative de Christopher Ross et les tireurs de ficelles au Secrétariat du Conseil de Sécurité américain au Pentagone et au Département d'Etat. Dont le but, sans doute, de l’application du processus permettant de rentrer dans un cycle fort complexe d’annihilation du rayonnement du Maroc qui dérange parce que atypique. C’en quoi, quand de plus on soumet les membres du Conseil de Sécurité de l'ONU à des pressions, pour avoir des positionnements non interactifs sur un projet de résolution maladroit, et, donc, par conséquent sans effets sur la paix mais seulement destructifs d’alliance historique et stratégique avec le Maroc, la situation devient presque inextricable alors que ce dernier ne cesse de rappeler à qui veut l’entendre ‘’jamais sans son Sahara’’. De ce fait, peut-on en conclure que c’est l’observance de cette instrumentalisation imbécile sinon idiote lors des tractations sur le projet de résolution américain dans ses premières moutures, qui en a révélé l’existence chez d’autres membres une volonté permettant de reconvertir la tension entre le Maroc et Ban Ki Moon, en sérénité par prise de responsabilité dans le respect de la charte onusienne ?

       Ceci constaté, il est vrai que le Maroc a connu en 2013 des rapports tendus avec les USA par suite de leur essai d’élargir les prérogatives de la Minurso pour la surveillance des droits de l’homme dans les provinces du Sahara marocain. Lui laissant voir ce qu’il n’a jamais prévu et pensé de leur part, dont la révélation de la vérité de ce montage honteux est devenue maintenant visible à tout un chacun. Comme quoi, pour le Maroc les contraintes de son leadership régional ne lui apportent pas que des éloges et considérations d’accomplissement, mais aussi jalousie et animosité même des grands pays avec lesquels pourtant il a de bons liens. N’est-ce là où on voit que c’est un tournant majeur à l’encontre des USA concernant leur positionnement décevant dans l’affaire du Sahara marocain, ayant permis aux observateurs nationaux avertis d’ouvrir la boite de pandore sur les vérités à propos des personnes impliquées  dans cette ‘’complotite’’ abjecte ? Parce que, personne ne comprendrait que le couvercle soit levé sur Ban Ki Moon, ses sbires et pas sur les corruptibles incorrigibles antis Maroc au sein du cercle restreint fermé de l’administration Obama. C’est en ce sens, que la logique veut qu’on aille plus loin côté marocain dans la médiatisation du déroulé des négociations après cette épreuve-catharsis avec les USA Angola Uruguay et Venezuela. D’ailleurs, à cet égard, tant qu’on ne sait toujours pas pourquoi les USA sont allés jusqu’à vouloir poignarder dans le dos le Maroc, il n’en serait pas opportun d’instaurer un nouveau contact-contrat de confiance qui ne constituerait aucune expression de leur crédibilité sur le dossier du Sahara marocain.

       Voilà, ceci étant dit, le plus important dans la communication onusienne après l’adoption de la résolution 2285 est sans doute le fait que le représentant de la France, ait confirmé qu’un pas certain vient d’être fait vers la solution politique acceptable sur la base du principe d’autonomie. Une information importante, comme un soleil qui révèle que des discussions tendues entre les cinq membres permanents ont clairement convergé sur l’essentiel de la thèse marocaine. Surtout, pour ne plus rafraîchir certains détails du projet de résolution américain, que comportaient les moutures des premières intentions. Même si, la Russie s’en est abstenue de soutenir la formulation finale, en plus, sans pour autant incriminer la position des uns et des autres mais seulement rappelant que le Maroc doit faire davantage en faveur de l’autre partie. En provoquant l’incompréhension chez certains observateurs marocains en herbe voire des experts novices naïfs, comprendra qui voudra ! D’autant qu’elle l’ait fait omettant ses engagements avec le Maroc d’il n’y a même pas un mois, tout simplement car aspirant à l’accélération du processus d'autonomie sous des garanties...!!! Et ce, au vu d’autres raisons géopolitiques et économiques substantielles avec à la clé, un premier contrat juteux de nucléarisation de l’Algérie, que l’on pourrait le qualifier comme paravent du risque terrifiant de sa ‘’syrianisation’’ dans un proche avenir. Mon Dieu le pire pour la région est devant, et pour cause, le débarquement à Moscou de Sellal le gaffeur premier ministre algérien chez son homologue et frère Medvedev deux jours avant le vote, toujours pour plus d'armement à même l'outrance.

       Quant à la chine en fin de présidence tournante de ce mois d’avril 2016, son objectif non dit officiellement, c’est de lever toutes les zones d’ombre sur le rapport Ban Ki Moon injustement partial et sur l’avant projet de résolution concocté avec arrière pensée par les USA. Par ailleurs, dans le même cadre le Japon n’en a-t-il pris en compte, ce que représente le Maroc comme valeur sûre de lutte antiterrorisme, qu’est plus est, le faisant dans le respect des droits sans aventurisme ni calcul ? Contrairement à l’Algérie l’ayant blessé au plus profond de sa chair par la gestion de l’hécatombe d’In Amenas par les sécuritaires algériens, voulant nettoyer les soupçons de leur interdépendance avec la nébuleuse Aqmi. Sauf que, pour être complet, n’est-ce pas la France et l’Espagne, qui ont vraiment épluché le projet de résolution américain ? En désamorçant ses intonations virulentes anti-Maroc, et aussi faisant disparaître ses connotations dont le Sénégal l’Egypte et la Malaisie en ont vu à raison une sorte de convocation-truanderie intolérable à l’encontre du Maroc. Finalement, encore un laps de temps de quatre vingt dix jours avec ses aléas et dangers, pour s’en convaincre mutuellement entre le secrétaire général de l’ONU Ban Ki Moon et le Maroc. Notamment, sur les modalités acceptables à prendre qui permettront de diminuer les conséquences de l’épreuve de force pour le retour de la composante civile de la Minurso, dans la sérénité sous des conditions claires et précises sans passe-passe ni tracas ni fracas dans le temps et l’espace. A bon lecteur bon décryptage !       

jeudi 28 avril 2016

APRES LA RÉSOLUTION…DU CONSEIL DE SÉCURITÉ FIN AVRIL 2016, CE QUI COMPTE C’EST L’ETAT D’ESPRIT DES MAROCAINS.

COMMENT A LA LUMIÈRE DE CETTE CRISE DONT SE DÉGAGE LE SOUCI DU PROFIT AU DÉTRIMENT DE L’ALLIANCE HISTORIQUE, CARACTÉRISER LA TRAÎTRISE DES USA ?

       Après le positionnement anti Maroc des USA malgré quelques annonces rassurantes ici et là, et les préoccupations marocaines strictement d’ordre politique qui s’en sont suivies, est maintenant arrivé le temps des comptes évoquant le thème central de l’alliance stratégique Maroc-USA. Parce qu’au sein de l’administration Obama, le Maroc est considéré comme à demi oublié derrière, dont, Ban Ki Moon en a joué le premier lanceur de torpilles contre lui, devant beaucoup sur ce point, à la pensée de Christopher Ross. Qui a, au demeurant, reconnu d’ailleurs, dans l’une de ses déclarations sa tache grandiose de former le nouveau espace sahraoui. Comptant le mettre à la disposition des aspirations de l’administration américaine qu’elle soit républicaine ou démocrate, pour pouvoir articuler-désarticuler la région comme bon lui semble en fonction de la temporalité et la conjoncture.

       A cet effet, au-delà la résolution du Conseil de Sécurité en cette fin Avril 2016 concernant le Sahara marocain, personne ne peut nier que le Maroc a de l’amertume vis-à-vis des USA qu’il considérait un pays ami. Au sens qu’à l’avenir il n’a de choix que de repenser ses affinités relationnelles historiques avec ce pays, en s’en défendant non systématiquement mais avec rigueur diplomatique actualisée sans l’abaisser potentiellement. D’autant plus, le dessin actuel sur la future résolution du Conseil de Sécurité de l’ONU reflète fort mal les positionnements des pros et antis Maroc, puisque l’espace est envahi par la bataille des USA contre la France l’Espagne le Royaume Uni et la Russie sur le devenir de la composante civile de la Minurso. Ce qui développe une atmosphère bizarre autour des USA, d’un coté de courtisanerie si ce n’est de soumission à l'exemple du Venezuela Angola Uruguay et Nouvelle Zélande, et de l’autre, de résistance sinon rébellion comme le cas du Sénégal Egypte Malaisie et autres réduisant la volonté d’imposer au Maroc des sanctions voire mesures coercitives dans le temps et l’espace.

       Dorénavant, le Maroc dans ses stratégies montrées au Sommet de Riyad pour contrecarrer toute manipulation quelle qu’elle soit, elles doivent être axées sur l’amélioration de ses diversifications relationnelles basées sur la confiance en ses propres capacités de dépasser les incidents et provocations. Même si, quelques analyses et explications de certains experts et observateurs marocains, se montrent par mégarde presque rassurantes à ce propos vis-à-vis des USA, n’en n’ayant retenu aucune leçon de cette tension délibérément induite pour affaiblir le Maroc et sauver hypocritement momentanément l’Algérie des sables mouvants dont elle s'y est longtemps empêtrée. Et oui, maintenant n’est-ce clair comme l’eau de roche que la pratique diplomatique au Foreign Office américain sous Obama-Kerry-Reis dans l’affaire du Sahara marocain, est plus axée sur les modes opératoires d’inhibition de la vigilance et/où de la résistance marocaine ? Corroborant, ce qu’ils ont fait en 2011 pour qu’on puisse faciliter l’accès des islamistes à l’Exécutif comme partout dans le monde arabe au moment du soi-disant printemps, les ayant sponsorisés en les inscrivant à leur insu dans l’agenda de leur machiavélisme d’édification des étapes du démembrement de toute la région. Tout cela, dans l’espoir de voir naître par exemple au Maroc, l’affrontement direct entre civili-laïcs gauchisants et islamistes modérés-immodérés, même sachant que la propriété essentielle de sauvegarde de son unité stabilité et pérennité, est orientée sur l’efficacité. Laquelle, de surcroît, est majorée de gouvernance adéquate préventive des risques de turbulences qui sont souvent l’apanage d’intervenants externes. Sauf que cinq ans après, ils réitèrent leur action préméditée, pour déstructurer la programmation accélérée de mise en marche de l’autonomie dans la régionalisation avancée au Sahara marocain. Et ce, en passant le témoin à Ban Ki Moon,  pour l’exécution de leur plan usant du subterfuge-protocole d’actualisation de préceptes onusiens d’avant 2004. D’ailleurs n’est-ce à cause de ça, que le Roi du Maroc a insinué dans son discours mémorable de Riyad, que leur démarche-complot est tributaire de leur désir de démembrer notamment le Maroc puis l’Algérie et donc de provoquer le tremblement de la région Euro-méditerranée-Maghreb et bande sahélo subsaharienne-africaine  ?

       Cependant, si les choses n’évoluent pas au pire, les marocains doivent normalement profiter de la résolution…du Conseil de Sécurité d’Avril 2016, pour annoncer que le prochain défi c’est comment faciliter et accélérer le retour des séquestrés des camps de Lahmada ? N’est-ce dans ce sens, en collaboration avec les pays CCG, en plus d’autres ONG internationales probes et honnêtes ils se démèneraient ensemble à leur assurer intégration digne pour avoir confiance en l’avenir parmi les leurs ? Même si, c’est vrai, de telles préoccupations peuvent apparaître comme celles d’un pays qui cherche à assurer son développement, seulement dans cette perspective politique. D’où certes il n’est plus utile, alors, de refuser toute référence au recensement dont rêva subitement Ban Ki Moon en fin de mandat onusien, ne sachant qu’il est bel et bien enterré par suite des tergiversations de l’Algérie. En revanche, si recensement ne signifie pas seulement noyer le poisson dans l’esprit de Ban Ki Moon et ses manutentionnaires, il est évident qu’ils n’en regretteraient aucunement les formulations allant de pair avec l’étatisation préconçue au niveau de sa planification et exploitation sur le terrain.

      Ainsi, l’ont peut dire y a-t-il plus révélateur de nostalgie de retour parmi les siens, que lorsque on entend un enfant dans les camps de la honte se poser des questions sur les opportunités de retour vers la mère-patrie ? Qu’au demeurant, elles forment une véritable profession de foi de marocanité profonde, consacrant l’orientation définitive vers ce chemin pour ne plus rester à la merci des petites aides reçues de l’extérieur. C'est-à-dire de pouvoir récolter les fruits de la marocanisation des esprits chez les séquestrés malgré-eux et la réappropriation collective des grandes avancées sociales économiques culturelles spirituelles et sécuritaires que connaissent les provinces du Sud dans la régionalisation avancée. Par rapport aux discours mensongers de lutte soi-disant anti impérialiste d’un temps révolu, n’ayant provoqué qu’enrichissement invraisemblable des uns toujours les mêmes au détriment des autres très nombreux, dans des conditions d’exploitation désastreuse sans respect ni de la dignité humaine ni des droits fondamentaux de l’homme.

       Voilà pourquoi, nombreux sont les polisariens de haut rang qui voient les choses évoluer en faveur du Maroc, que les USA semblent ne pas accepter ni tolérer. Espérant par là, plus de complications dans le traitement de cette affaire pour que personne n’ait l’occasion de recourir à la facilitation de retour au Maroc. N’est-ce là où les autres amis du Sahara au Conseil de Sécurité de l’ONU en ont décelé l’amorce de la boucle de fermeture par les USA, du droit inaliénable du désir de retour volontaire sans contraintes pour ne pas ébranler les calculs de son agenda de déstabilisation préconçue ?  Et ce, sous prétexte fallacieux de recommandations d’utiliser des couloirs officiels protecteurs, alors qu’il s’agisse vraiment d’hémorragie conditionnée vu les spécificités de chacune des voies utilisées pour rejoindre la mère-patrie déjà en pleine effectivité de l’offre d’autonomie dans la régionalisation avancée. A bon suiveur bonne lecture !

mardi 26 avril 2016

LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ NE SERAIT EN AUCUNE FAÇON UN SARCOPHAGE DE L’OFFRE D’AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN !

N’EST-CE LA OU LE SOMMET MAROC-CCG ET LES VISITES ROYALES OFFICIELLES A CES PAYS  ONT MONTRÉ  LEUR EFFICACITÉ POUR INFORMER LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE DES DANGERS QUE FONT COURIR A LA RÉGION BAN KI MOON ET SES PROTUBÉRANCES INTER ET EXTRA ONUSIENNES ALGER-DÉPENDANTES ?

       La résolution du 28 avril 2016, sans aucun doute, confirmerait le positionnement-tendance des membres du Conseil de Sécurité vers la levée des doutes d’avant. En particulier via l’effectivité de l’offre maximale marocaine d’autonomie et ses perspectives du dépassement du pire demain. Parce qu’aujourd’hui dans l’affaire du Sahara marocain, les marqueurs de la maîtrise diplomatique neutre et impartiale au Conseil de Sécurité de l’ONU semblent l’emporter sur ceux de la traîtrise qu’elle soit acquise ou induite. Ce qui, ouvre de nouvelles perspectives dans la prise en charge de ce dossier, même si le pouvoir algérien en pleine déconfiture en verrait à tort comme à l’accoutumée, une anticipation du Conseil de Sécurité à une action de solidarité discrète avec le Maroc.

       Aussi, lors de la délibération sur l’adoption de la résolution du 28 Avril 2016 à propos du Sahara marocain, le Conseil de Sécurité n’aurait qu’à confirmer l’engagement du Maroc dans l’élaboration de son offre d’autonomie datant depuis 2007. Et qu’en plus, malgré les réticences de certains, il en soulignerait l’importance sachant que tous ses membres aient été mis auparavant au courant d’un projet de résolution, qui incluait des dispositions pour l’appel au retour de la composante civile de la Minurso. Et dont les ambassadeurs des pays du CCG à l’ONU et d’autres, s’y en sont opposés avec énergie en exprimant leur appui à la souveraineté du Maroc sur son Sahara. Non seulement en connaissance de cause de la collecte d’informations et données inhérentes au décryptage du discours méthodiquement structuré géopolitiquement précis et stratégiquement concis du Roi du Maroc à Riyad lors du Sommet Maroc-CCG. Mais aussi aux chiffrages des programmes de développement adoptés à cet effet, par comparaison à la réalité sur les prévalences des troubles d’avant et à l’évolution sécuritaire maîtrisée d’aujourd’hui dans la stabilité et la sérénité.

       Maintenant il faut le dire sans détours, ni Ban Ki Moon ni le pouvoir algérien et encore moins les Etats hypocrites tantôt avec le Maroc tantôt se dérobant derrières des positionnements mitigés, ne pourraient jamais être liquidateurs du rayonnement du Maroc en Afrique en Asie en Océanie aux Caraïbes et en Amérique Centrale et du Sud. D’autant plus, quoi qu’ils fassent ils ne seraient aucunement à la hauteur des enjeux de l’effort géopolitique des pays CCG et leur mobilisation stratégique dans leur soutien exemplaire au Maroc. Et vis-versa dans la résistance à la houle chiite qui avance, parce qu'encourager par ces mêmes pays dans un but de déstructurer les Royautés du Golf arabe. Notamment en réaction à la somme des réponses, d’abord de Ban Ki Moon et le pouvoir algérien dans leurs chantages sournoisement sataniques, voulant saper les compétences marocaines dans une optique d’instaurer un sarcophage étouffoir onusien anti offre d’autonomie dans la régionalisation avancée. Puis des pays influents, malheureusement, paraissant magnétisés dans leur désir de mise en place de doute dans les différentes thématiques discutées au Conseil de Sécurité qui ont trait à l’investissement politique en faveur de la thèse des pays du CCG à l'encontre de l'Iran. Au point où l’on peut dans la cadre de la mobilisation contre les thèses séparatistes, dire bravo à tous ceux qui contribuent de près ou de loin aux succès d’autres actions de sensibilisation pro Maroc qui sont menées ici et là de par le monde.

       Evidemment, dans le domaine du respect des droits humains, n’est-ce ainsi que le Maroc montre qu’il est en évolution et non en ébullition comme le prétendent certains, surtout dans la praticabilité des modes opératoires qui lui garantissent son homologation prometteuse dans la quiétude et la responsabilité ? En tant que pays respectant ses engagements, et ce, au travers ses conventions signées à l’international usant de sa rigueur soutenant son ouverture référencée à la charte universelle des droits de l'homme. Afin d’accompagner sa progression notamment dans les dispositions à prendre pour la prévention de la récurrence de Ban Ki Moon dans ses tromperies et tricheries au sein du circuit onusien. Sachant qu’en définitive, ce loueur de son âme se soumet au désir guerrier du pouvoir algérien du Polisario et des tireurs des ficelles, dont leur objectif n’est autre que de stopper net l’élan du Maroc. Car, ne veulent ni recherche de compromis de consolidation de ses liens avec les pays du CCG, ni ses échanges géopolitiques de maintenance de la paix régionale avec le Conseil de Sécurité.

       En effet, c'est en s’appuyant sur une pédagogie diplomatique offensive et interactive structurante, que la nouvelle entité-alliance Maroc-CCG, elle, ne vise prioritairement qu’à stimuler la vigilance commune pour les contrer dans leurs besognes abjectes. Et, donner parallèlement des garanties de prédisposition à développer des projets communs au Maroc de Tanger à Laguouira avec tous les pays qui le désirent sans exception. Une façon d’anticiper sur les dérapages de Ban Ki Moon et ses sbires, sans en faire à proprement parler une fixation pour éviter que son rapport n’aboutisse sur une catastrophe ingérable, dès lors qu’il y a la détermination du peuple marocain à recouvrer toutes ses souverainetés quels en soient les prix à même les martyrs. C’est en cela, pour les marocains, les débats politiques pour contribuer au grand défi de lutte contre les risques de démembrement du pays, sont un facteur de protection. S’ajoutant d’une part, à la surveillance minute étatique contre les malveillances toutes origines confondues, mêmes celles qui se placent dans le volet préventif hautement sensible d’informer les marocains de ce qui se trame contre eux. Et, de l’autre, à la mobilisation tous azimuts pour éviter l’apathie réactionnelle pouvant entrainer lassitude et donc compliquer davantage la situation sur le terrain. A bon entendeur salut !   

vendredi 22 avril 2016

AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU, N’EST-CE DÉJÀ LA MISE EN AVANT DES VERTUS DU CHOIX DE L'EFFECTIVITÉ DE L’AUTONOMIE APRES LE SOMMET MAROC-CCG?

A CET EFFET, N’EST-CE LE TOURNANT DE VALIDATION DES INFORMATIONS INTERDÉPENDANTES DU DISCOURS DU ROI DU MAROC A RIYAD ?

       Le Maroc conscient de l’importance de la résolution du Conseil de Sécurité, en a anticipé à faire le point sur les sournoiseries et lacunes du rapport Ban Ki Moon. Chose qui s’avère primordiale, en matière de prévention ne s’arrêtant pas seulement à l’applicabilité de ses stratégies nationales en mesure d’identifier la typologie des envenimations distillées. Mais aussi à l’analyse critique du  rapport en question, dont dépend le savoir-lire entre les lignes pour mieux répliquer sur l’évaluation de sa validité de son impact et de sa pertinence dans les relations diplomatiques onusiennes. Parce que, c’est la première évidence qui saute aux yeux dans la façon satanique même déstructurée du rapport pondu par Ban Ki Moon, qui n’est que l’émanation de la pensée des lobbyings pro pouvoir algérien et anti peuple marocain. Sauf que la question, n’est-ce comment faire pour aider le Conseil de Sécurité à exceller dans son rôle complexe de coordination intégrant la maîtrise et connaissance du dossier du Sahara marocain. Afin de pouvoir traduire sa volonté désormais perceptible de prise en compte de l’offre novatrice d’autonomie sur le terrain, malgré quelques rares repositionnements non tranchés incompréhensibles s’opérant hypocritement sans cesse selon les opportunités temporelles et conjoncturelles ?

       Toutefois, il est vrai que le Conseil de Sécurité de l’ONU ne pourrait occulter le meilleur prix de la fidélité décerné aux Rois et Princes du CCG dans l’affaire du Sahara marocain, dont les journalistes accrédités aux Nations Unies et pas seulement, en ont fait grand écho à travers les mass médias du monde. Entre d’une part le soutien courageux sans ambages au Maroc de ces pays du Golf arabe, et d’autre part l’illusion de Ban Ki Moon, son gourou Christopher Ross et leurs portes-flingues au Secrétariat Général qu’en effet tous sont hors du monde du réel. Au sens que dans tous les cas, le Conseil de Sécurité dans sa future résolution à ce propos, il interpréterait positivement la polygraphie des informations interdépendantes hautement stratégiques que contient l'audace la structuralité le tempos la teneur et le ton du discours du Roi Mohamed VI à Ryad lors du Sommet Maroc-CCG. D’abord sur l’intérêt de ce qu’engendrerait la mise en application de l’offre maximale marocaine, pour que la contribution onusienne soit positive et adaptée à l’acceptation de l’avancée socio économique culturelle écologique et politique sur le terrain. Puis, sur les signes prédictifs du grondement guerrier du Polisario ne sachant qu’avec ses agitations tartuferies il est devenu seulement risible à l'international ni moins ni plus.

       Et maintenant par ailleurs, la solution n’est-elle que le Maroc puisse continuer à relever le challenge de développement multidisciplinaire dans la régionalisation avancée dans un espace sans conflit ni menace guerrière ? Plus particulièrement, via la valorisation multidimensionnelle de son alliance stratégique avec les six pays du CCG, qu’évidemment ne lui veulent que du bien dans la sérénité la stabilité et la sécurité à eux aussi ? D’autant plus, sachant que Ban Ki Moon et ses gourous essayent de compliquer l’affaire du Sahara marocain par leur programmation préméditée de reconversion de la résolution 2218 d’Avril 2015 au profit du statu-quo d’avant 2007. Sans tenir compte ni du nouveau concept onusien de prévention des prestations d’envenimations relationnelles et diplomatiques en risquant de mettre inutilement toute la région à feu et à sang. Ni de la garantie de prise en charge globale du Conseil de Sécurité se basant exclusivement sur l’action d’homogénéisation des pratiques de neutralité et impartialité. Voilà ce qui est dit sans détours ni dilutions à propos de l’atmosphère du vécu au sein du Secrétariat Général de l’ONU sous le tendancieux Ban Ki Moon, qu’au demeurant n’a en plus fait engendrer que dépenses paradoxalement inutiles lourdes et injustifiées voire souvent falsifiées par les observateurs  de la Minurso eux-mêmes. Une pratique qui va de pair avec leur corruption par le pouvoir algérien via le gonflement de leurs comptes à l'Etranger, jouant par conséquent un rôle fondamental dans leur partialité et non neutralité.

       Aussi, et c’est essentiel, les divers décryptages analytiques riches en enseignements politiques du discours royal du 20 Avril 2016 au sommet Maroc-CCG à Riyad, dévoilent le rôle du Maroc de plus en plus prononcé dans la géosphère sécuritaire du Machrek du Maghreb de l’Europe de la Russie de l’Asie de la bande sahélo subsaharienne-africaine des Amériques et autres. Plus particulièrement, envers cette ‘’nouvelle-ancienne’’ identité commune Maroc-CCG prometteuse à beaucoup d’égards, par la prévention des malveillances de déstabilisation en interne comme en externe qu’elles soient sociétales économiques culturelles cultuelles et écologiques. D’ailleurs, n’est-ce là où l’attention du Maroc a mis en avant la fabrication du caractère coopératif civil et militaire indispensable à cette alliance sensiblement stratégique, pour combattre le mal être survenu depuis le début du soi-disant printemps arabe ? Et, qui malheureusement, continue de se solubiliser dans la terreur sanguinolente sous les cieux non envieux à même chez les pays en convalescence voire à débandade réduite. Ce qui demande à cette entité une vigilance accrue en régulant toutes sortes d’effets, comme l’échange du renseignement sensible, non seulement pour lutter contre la menace et grondement terroriste, mais aussi contre le chantage communicationnel de la média-génie anti Royautés arabes dont les supports sont désormais connus et identifiés.

       Néanmoins, que les choses soient claires, n’en croyez que c’est un rapport anxiogène pour le peuple marocain ! Au contraire, il conforte à la fois le Maroc dans son dépistage précoce du machiavélisme obstructif de Ban Ki Moon, et le Conseil de Sécurité à propos de la mise en application de l’offre d’autonomie dans la régionalisation avancée sous souveraineté du Royaume du Maroc. Qu’en plus le champ d’application est immense, allant de la garantie de l’Etat-Maroc dans l’apport de l’apprentissage de la démocratie participative sur le plan pratique en faisant participer tous les résidents, au rattrapage socio-économique culturel et écologique en passant par  la dissection des priorités ? D’ailleurs, c'est dans ce sens depuis 2011 que les ateliers pratiques communs entre le Maroc et les pays du CCG, quant à eux, ils étaient axés sur cette modélisation constructive garantie d’un Maroc nouveau sur tous ses territoires de Tanger à Lagouira. Avec bien sûr, la caractéristique de la concomitance en double sens des échanges mutuels informationnels d’intérêts géostratégiques de coexistence et de subsistance. Comme dans les grands chantiers des énergies renouvelables, des infrastructures de dernières générations, de l’industrie agroalimentaire, des nouvelles technologies de fibres optiques pour l’aéronautique et télécommunications, du fret et transport aérien et maritime à destination de l’Europe l’Afrique et les Amériques, de l’excellence de l’enseignement et recherche de pointe internationalisée et autres projets de dessalement des eaux des mers.


       A l’évidence, en résumé, il n’y a pas longtemps on aurait cru Ban Ki Moon ensorcelé, par ce qu’il s’imagine être la victime des voix qu’il entend dans sa paranoïa et fixation anti Maroc, même en reconnaissant qu’il ne maîtrise pas le dossier du Sahara marocain. Mais aujourd’hui, n’est-ce pas qu’il est temps de sévir à son encontre, dès lors que le monde entier assiste au nombre surprenant de ses dérives par suite de gestuels inappropriés, de dires déconcertants et de rapports préétablis biaisés et tronchés parce que basés sur la tromperie et la tricherie ? En plus prétendant même vouloir rendre à l’Algérie son rôle et aura perdus dans les instances internationales, et ce au mépris du Conseil de Sécurité et à l'intelligence de ses membres. Rien que pour ça, ne faudrait-il ne pas occulter cet intérêt de Ban Ki Moon à l’irrationnel initiatique fallacieux du pouvoir algérien en pleine agonie, en le blâmant, lui, pour qu’il puisse s’en rappeler pour le restant de sa vie ? Et, surtout en lui répondant au sein du Conseil de Sécurité par la seule résolution qui vaille, celle menant au succès incontournable de la thèse marocaine d’autonomie ne pouvant laisser de place à l’hystérie collective de la haine infondée et gratuite au sein du Secrétariat Général de l'ONU à l’égard du peuple marocain. A bon suiveur bonne lecture !  

dimanche 17 avril 2016

MAROC-ONU, DÉJÀ DANS LA PERSPECTIVE CIBLAGE-PROFILAGE ET MONTAGE DE LA SOLUTION LA PLUS ADAPTÉE A L’OFFRE D’AUTONOMIE !

LA TOUCHE RÉFÉRENCE DES NÉGOCIATIONS DU MAROC AVEC L’ONU, N’AURAIT-ELLE IDENTIFIÉ SES CAPACITÉS D’ADAPTATION A L’EMPLOYABILITÉ DIPLOMATIQUE PRAGMATIQUE ?

       Le Maroc au vu de sa disponibilité politique qualifiée honnête, a entamé avec l’ONU un cycle de négociations sans grand risque spécifique à court moyen et long terme. Dont apparemment il s’en serait bien sorti au demeurant, car en pratique cela se traduirait par des résultats appropriés à la confiance que lui témoignent les membres du Conseil de Sécurité. Sauf que, pourquoi alors au Secrétariat Général certains prêtes-mains algéro-dépendants continuent-ils dans l’incorrection encore à palabrer futilement lors des points de presse ? Entre l’idée dépassée du référendum qu’en effet est attesté par le Conseil de Sécurité chose irréalisable et la réalité du mémorandum d’entente que presque tous ses membres préconisent en se basant sur l’offre maximale marocaine d’autonomie 2007 ? N’est-ce dans cette approche synergique permettant de faire des choix judicieux, que le Maroc aurait négocié dextrement la diminution du nombre des observateurs civils de la Minurso ? Et aurait réussi à réduire leurs actions vis-à-vis des devoirs de l’Etat ciblant le profil d’adaptation à la régionalisation avancée et limitant leurs objectifs non contrôlés de manière significative dans l’espace et le temps. Comprendra qui voudra ! Notamment, parce qu’il y va de la prévention en termes de contribution à l’amélioration de l’accompagnement normatif du Maroc sur le terrain, pour le maintien de sa capacité de dénoncer par la preuve tout essai de non neutralité absolue dans leurs comptes rendus.

       Voilà donc une lueur d’espoir que prouvent les témoignages inhérents à la légitimité marocaine ! Au sens où le conseil de sécurité a attiré l’attention de Ban Ki Moon sur les risques encourus suite à son utilisation non rationnelle de gestuels et dires interdits. De surcroît, en se les autorisant sans l’aval d’une résolution explicite pour le lancement de tels mensonges lors de sa fameuse visite aux camps de la séquestration et en Algérie, dont il crut tout en se faisant plaisir pouvoir atteindre son objectif d’amputation du Maroc de son Sahara. Ce à quoi, maintenant tout un chacun sait que le positionnement de non neutralité de Ban Ki Moon est confirmé, s’additionnant aux échos enregistrés par suite de constatations objectives mentionnées dans tous les rapports des chancelleries du monde. D’autant plus, à en croire les quelques déclarations de diplomates onusiens de hauts rangs, l’extension du contrôle des agissements du futur Secrétaire Général sera appliquée beaucoup plus qu’auparavant. Donc, par conséquent encore huit mois d’attente pour que les marocains puissent en bénéficier totalement, du fait qu'il n'auront aucune confiance à Ban Ki Moon leur garantissant son impartialité dans ses initiatives futures onusiennes. N’est-ce là par ailleurs où la garantie référencée du Conseil de Sécurité revêtirait une importance capitale, pour ne laisser de place à l’instauration de faits susceptibles de porter préjudice à la notoriété de l’ONU ?

        Aussi, en raison de cette partialité politique infondée au Secrétariat Général de l’ONU, s’étant en plus avérée dommageable sur le plan interventionnel que consultatif dans l’affaire du Sahara marocain, le Maroc n’avait de choix que de faire monter la mayonnaise pour montrer qu’il n’est plus dans l’état d’esprit d’avant. Tellement, aujourd’hui il ne peut rester ni dans la posture d’observateur médusé ni dans l’inadvertance non contributive à la maîtrise du fil d’actualités diplomatiques au Secrétariat Général onusien. Sachant, dorénavant, il n’hésitera guère de faire montre d’inflexibilité qu’il s’agisse d’appui de ses mesures de rétorsion et/ou de sanctions draconiennes à prendre à chaque fois que sa stabilité sa sécurité et son existence soient menacées. Comme ce qu’il a mis en exergue en ayant choisi souverainement de passer à la prévenance d’urgence efficace contre la fraction civile de la Minurso, et ce, à la lumière des suspicions de malveillances au demeurant facilement décelables sur l’évaluation de la situation voulue par Ban Ki Moon via la dictée de Christopher Roos. Et oui, outre l'engagement du Maroc dans ses obligations vis-à-vis de l'ONU, il n'en demeure pas moins que sa riposte est aussi un ensemble de tests de validation de sa vigilance bien évaluée en matière d'anticipation sur d’éventuelles complications. Tout simplement, pour éviter qu’il n’en soit dépassé par les événements, sachant d’emblée que la mobilisation consciente unanime du peuple marocain à propos de son Sahara, passe aussi par le respect de tous les droits redonnant confiance sur la qualité et non la quantité de pratique de la démocratie. Contrairement à l'Algérie aux abois car au bord de l'éclatement modulable, qu'en plus se fait à partir des positionnements ethnoculturels voulant instaurer des changements sélectifs accélérés et profonds.


       En somme, le Maroc se réapproprie le plein recadrage de ses tolérances d'antan en s’imprégnant objectivement des derniers discours royaux, notamment en se basant sur les jugements opportuns d’usage de dispositifs diplomatiques offensifs réalistes. S’ajoutant, d'abord à la mise en place d’un suivi spécifique en lien avec la diplomatie officielle de veille, car on peut dire qu'il a maintenant appris comment gérer les situations d'urgences. Et, ensuite au développement des formulations-recommandations destinées à optimiser ce suivi-vigilance et non de le torpiller par des emphases de légèreté communicative politicienne irresponsable. D’ailleurs, n’est-ce vrai, l’excellence dans ce domaine est une contribution au grand effort national, et dont les membres du gouvernement à même le chef forment un maillon indispensable dans la chaîne de l’image de marque du pays ? Se devant normalement, en matière des perspectives politiques et économiques avec l’Etranger, être vigilants en s’adaptant objectivement par pragmatisme aux différents contextes et exigences du fil d’actualités. Sans en diminuer le rôle important des diplomates comme vecteur d’échange informationnel intégré multidimensionnel avec les pays de leurs accréditations respectives, et ce sans précipitation malencontreuse ni hésitation incompréhensible. A bon suiveur bon décryptage !

samedi 9 avril 2016

A L’ÉVIDENCE LE RAPPORT DE BAN KI MOON DU 28 AVRIL 2016, NE PEUT ETRE ANXIOGÈNE POUR LES MAROCAINS.

ENFIN UNE BONNE NOUVELLE, LES OBSERVATEURS A L’ONU EN SONT CONVAINCUS QUE L’ESSAI-RISQUEUR DU RAPPORT BAN KI MOON SERA REJETÉ AU CONSEIL DE SÉCURITÉ !

       Désormais le suivi diplomatique par le Maroc heure par heure du dossier de son Sahara, montre à quel point la vigilance est précieuse. Tellement, il est même devenu une occasion inespérée de fustiger en plein jour Ban Ki Moon et une chance de réactualisation des données des ripostes élaborées conjointement par la diplomatie officielle et celles parallèles pléthoriques. Puisque, toutes, recommandent une surveillance exclusive de main-de-maître de l’évolution du dossier du Sahara marocain en temps réel, dans la globalité d’analyse de la stratégie du Conseil de Sécurité sous la présidence chinoise. Avec en plus lecture spéciale complémentaire d’adaptation, primo à la compréhension de l’action de minimisation des risques de récurrence des dérapages du Secrétaire Général actuel, que le Venezuela n’accepte toujours pas n’en voulant même pas entendre parler de cette action. Et, secundo à la volonté palpable d’accompagnement promotionnel de l’offre maximale marocaine d’autonomie depuis 2007 dans la régionalisation avancée, par la plupart des membres du Conseil de Sécurité eux-mêmes afin d’assurer la continuité de la stabilité régionale.

       En cela évidemment, pour ceux à l’extérieur comme à l’intérieur, qui pensent que les marocains sont des idiots utiles qui soutiennent soi-disant une propagande sans qu’ils n’en soient eux-mêmes convaincus, ils doivent savoir qu’ils se trompent lourdement. Pour preuve, les démonstrations indéniables de ce même peuple dans toutes ses composantes travers le temps, et ce depuis 1956 pour le recouvrement méthodique de toutes ses souverainetés. Comme aussi actuellement, par leur épreuve de force pour démonter la PMA (Provocation Minablement Ajustée) de Ban Ki Moon ayant usé d’un faux zoom-événement pour tromper la communauté internationale. D’ailleurs n’est-ce là où cet épisode du Mois d’Avril prend toute sa dimension politique, normalement devant être informationnel sur les thématiques permettant de confronter les évolutions des propositions ? Dès lors que le peuple marocain s’en est rendu compte qu’au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon on cherche à le pousser à l’enfer qu’incarnent le pouvoir algérien et ses manutentionnaires protopolisariens. Au point qu’en deux réunions successives en hui clos après le SOS bankimoonien au Conseil de Sécurité, sans faire d’angélisme c’est la confiance au Maroc qui fut de mise pour continuer leur collaboration exemplaire déterminante. D'ailleurs, n'est-ce ce qui se fait aujourd’hui avec l'ONU officieusement en présence d'intervenants experts dotés d'une grande expérience pour préparer le format des évolutions futures d'accompagnement défensif ? Parce que c’en est une nécessité à s’aider seulement d’observateurs de la fraction militaire de la Minurso, qu’en effet, les thématiques non politiques font partie de ses compétences sous l’égide exclusive du Conseil de Sécurité. Notamment, en usant de moyens techniques visant à réduire la probabilité de relances d’escarmouches dans la zone de séparation et d’exposition aux ondes de la guerre comme ce fut le cas avant 1991.

       À l’évidence, maintenant, l’on peut dire que les pays qui depuis longtemps s’exprimaient à l’encontre des positionnements du Maroc par des malveillances co-localisées, ne seraient plus écoutés à l’échelle diplomatique onusienne. Parce qu’on commence à les voir se transformer en entités dangereuses, d’une part, de par leurs compromissions délirantes avec le terreau terroriste et, d’autre part, de par leurs sournoiseries délocalisées dans leurs dénis des réalités sur le terrain. Aussi, dorénavant, ils seraient vus comme des inhibiteurs du cycle des concordances des bonnes volontés, par leurs recherches de pistes de résistance aux recommandations du CCG, des Eurodéputés, des Congres-mans américains, des membres du parlement de l’Amérique Centrale et autres groupements influents de par le monde. En plus, ce qui est dommageable ils le font sous l’influence de différents lobbyings notoirement anti Maroc, voulant ainsi envahir par leurs mensonges et contrevérités le Conseil de Sécurité pour le piéger dans ses résolutions. Sauf qu’ils ne savent que le diagnostic politique de leur dangerosité est devenu tellement évident, en raison de leurs récidives des plus préjudiciables de leur existence à l’ONU.

       Aussi, à ce jour il n’y a ni premier jet du rapport de Ban Ki Moon ni même tendance vers une quelconque précipitation pour le présenter sans en y extraire le poisson d’avril. A cet égard, autant le répéter, le Secrétaire Général est maintenant pris pour le dindon de la farce de son propre jeu de ses stratégies oscillatoires, qui visaient une mise précoce du Sahara marocain sous tutelle onusienne. Tout simplement, pour saper l’offre marocaine d’autonomie et donc ralentir la dynamique lancée au quarantième anniversaire de la Massira (Marche Verte) 06 Novembre 1975. De ce fait, c’est maintenant clair qu’elles n’ont pas porté leurs fruits et, qu’effectivement il s’en rend compte par la preuve que ses objectifs fixés pour le 28 Avril 2016 ne seraient jamais atteints. Ce qui permet au peuple marocain de ne se focaliser plus que sur l’actualité du Conseil de Sécurité, mais aussi d’échanger dans des débats constructifs à l’international autour des recommandations et bonnes pratiques relatives à la meilleure prise en charge du Sahara marocain.

       Et oui, voilà ce qui nous ramène automatiquement au fond des choses en ce qui concerne la place remarquable du Maroc à beaucoup d’égards dans la carte géostratégique et politique du Grand Maghreb. Et dont, l’Algérie et ses courtiers au Secrétariat Général de l’ONU, comme Ban Ki Moon et son gourou Christopher Ross, n’en y peuvent rien faire par leurs manipulations hasardeuses non biens calculées. S’ajoutant à l’épaulement du Maroc désormais direct de la France de l’Espagne et des USA, en plus des offres collaboratives diversifiées qu’elles soient voyantes ou pas avec lui étant le seul pays sécurisé et stable de la région, surtout de la part de la Fédération de Russie de l’Inde du Pakistan du Japon de la Chine de la Turquie du Canada et de l’UK.


       Néanmoins, dorénavant, plus que jamais les pays du CCG sont amenés à jouer à leur tour un rôle majeur en ON dans la solution préconisée par l’autonomie dans la régionalisation avancée. De par leur stratégie à moyen terme qui repose sur au moins trois priorités incontournables, qu’aux Nations Unies on les encouragerait au détriment de ce que peuvent en penser les récalcitrants du cercle restreint au Secrétariat Général de l’ONU. Dont, effectivement la première, c’est le développement de nouvelles applications technico-structurelles civiles et militaires pour le traitement commun du terrorisme, en usant particulièrement de circulation permanente du renseignement spécifique et de l’information sécuritaire stratégique. La deuxième, s’agissant du lancement de projets concertés en vue de la production des richesses locales, n’est autre que l’accélération de la croissance dans les secteurs innovants de grande valeur ajoutée. Alors que la troisième hautement stratégique, c’est l’encouragement au financement des idées multi spatiales sur les énergies renouvelables d’où la créativité serait conçue sur le modèle de zones de travail au Maroc de Tanger à Laguouira entre les chercheurs du monde et pas seulement du Machrek et Maghreb. Notamment, en palliant le déficit communicationnel d’avant en réalisations grandioses dans le respect total de l’environnement et ses écosystèmes au-delà de la préparation de la COP22 à Marrakech Novembre 2016. A bon entendeur salut ! 

vendredi 8 avril 2016

MAIS C’EST QUOI CE RELOOKING GOUVERNEMENTAL A INTÉRÊTS-DÉSINTÉRÊTS VARIABLES, DANS L’AFFAIRE DES PROFESSEURS STAGIAIRES ?

NE S’AGIT-IL D’UN CONTINUUM DE GOUVERNANCE CONFLICTUELLE, ENTRE MAL ETRE PJDISTE CONFIRMÉ AVÉRÉ ET ALTERNATIVE PONCTUÉE RNISTE POLITIQUEMENT INSPIRÉE ?

       Pour les marocains, y a-t-il une attitude plus visible révélatrice d’incompréhension que lorsque leur gouvernement semble un coup impassible et un coup irascible voire grognon en fonction des sujets sociétaux ? Dès lors que selon Idrissi Azami ministre délégué au budget, le gouvernement a déjà finalisé un accord avec les professeurs stagiaires grévistes. Mais, si cet accord existe vraiment, pourquoi le gouvernement a-t-il gaspillé plus de cinq mois de bras de fer pour enfin revenir sur ses postions car ça ne peut être que ça ? Partant de ce constat, n’est-ce là encore une affaire à deux bourdes consécutives à la configuration conjoncturelle abstraite de l’état de gouvernance actuelle ? Dont la première benkiranéenne, s’étant manifestée après les deux décrets  du ministre de l’Education Nationale Rachid Bel Mokhtar montrant des actes deux poids deux mesures face aux doléances légitimes des professeurs stagiaires. Alors que la seconde bousaidienne au nom du ministre de l’économie des finances et du budget Mohamed Bousaid, sentant la connivence car décriant maladroitement les pactes gouvernementaux contradictoires.

       Aussi, en portant l’exacerbation à son paroxysme via la prolifération d’aveu de soi-disant rétablissement de justice en faveur de cette frange sociétale populaire, ne faut-il y voir une tare de la coalition PJD-RNI-MP-PPS, transmissible pourvoyeuse de complications relationnelles entre composantes de la majorité et aussi vis-à-vis de l’opposition ? Alors même que normalement le gouvernement doit parfois accepter au cœur de ses responsabilités, de recourir à des arbitrages mêmes exogènes pour éviter de subir le diktat des recommandations de la rue. Sauf que, il en ressort après ces cinq mois que seules les négociations liées à l’intérêt de la promesse sociale construite dans la philosophie de la constitution, y sont éligibles. Bien sûr à  condition de disposer d’une approche stratégique sur les leviers de la promotion de la classe moyenne en matière de consommation et de croissance. C’est ainsi qu’au Maroc, gouverner en tant que chef de l’Exécutif c’est être préventif des contrecoups stressant voire polluant la cohésion entre coalisés au gouvernement. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’aujourd’hui les ténors coalisés malgré les apparences, se veulent preneur du seul sauvetage sereinement conçu, surtout que leur mal être est de plus en plus préoccupant n’épargnant aucun secteur. Et que ça sert à rien de continuer d’occulter les souffrances intrinsèques et extrinsèques qui en découlent, n’échappant de fait ni aux observateurs du champ politique marocain ni aux citoyens eux-mêmes dans leur diversité. Qu’en plus, ce n’en est pas moins un dis-fonctionnement de gouvernance s’il n’était pas accompagné de faits réels révélateurs de fragilité composite confiance-dé confiance entre coalisés. D’autant il n’affecte pas seulement la production qualitative socio-économique culturelle et écologique, mais aussi l’image et le rayonnement diplomatique au point que des couacs par incompétence venant de responsables gouvernementaux font souvent la Une des réseaux sociaux.

       En revanche, c’est parce que cette tare de ce continuum entre coalisés est aujourd’hui mal supportée par les inconditionnels des uns et/où des autres, qu’il faille y mettre fin. Mais comment faire, si ce n’est user de la solution de référence constitutionnelle pour juguler la pyrexie relationnelle entre Pjdistes et Rnistes ne tenant compte ni des Mpeistes ni des Ppséistes qui font figure de légumes d’ornement sur la semoule comme on dit au Maroc ? Dont, au demeurant, le capital-risque n’est autre que la nécessité de toilettage de l’Exécutif par des élections anticipées permettant d’abord de prévenir la contamination, et ensuite dissiper les malentendus dans la majorité et l’opposition en les faisant basculer dans l’arène électorale. Même si, d’autres solutions sans effets probants dans la conjoncture politique marocaine actuelle à l’international, peuvent être aussi suggérées dans leurs actions limitées dans le temps notamment celle du gouvernement minoritaire pour compléter et finir le chantier de l’effectivité de la constitution. N’est-ce là où le rôle de l’Etat garant peut être justifié dans cette hypothèse du fait du déficit de programmation de ce chantier indispensable à la mise à niveau structurelle au titre de la législature 2011-2016 ?

   Néanmoins, n’est-ce pas qu’une bonne observance de l’ambiance gouvernementale à ce niveau, ne peut que refléter la gravité de la situation au plan politique ? Dont, malheureusement, l’urgence d’agir n’est jusqu’à présent perçue que par une poignée d’analystes appelant que des dispositions de sauvetage de la singularité du Maroc et non de sauvegarde d’une telle situation, soient mises en place rapidement. Sachant que l’intensification du stress du gouvernement à l’approche de la date du 07 Octobre 2016, encadre aujourd’hui ses attitudes en gouvernance parfois déplorable. Notamment en absence de volonté comme dans le cas des négociations avec les syndicats, des discussions avec les professeurs stagiaires, des échanges d’idées avec la société civile, des engagements envers les corporatismes socioprofessionnels et même les partis non représentés au parlement. Et/où, tous ces groupements s’en trouvent de moins en moins écoutés, par rapport aux sujets en suspens selon les priorités et circonstances.

       Cependant, de ce fait, est-ce que c’est cette non maîtrise en matière de gouvernance qui contribue de près ou de loin aux insuccès enregistrés par le gouvernement ? Alors qu’il eut été intéressant, d’une part de disposer de résultats précis par suite des négociations afin d’élaborer des plans stratégiques de réhabilitation de la démocratie participative. Et, d’autre part de pousser à la réduction du surmoi du PJD lié à l’entêtement rageur de Benkirane, qui par ailleurs n’est aucunement profitable à la création d’échange fructifiant entre les responsables politiques. Comme quoi, n’est-il primordial pour les marocains de tenir compte des risques de remake dans leurs choix politiques électoraux ? Parce que, sinon, même avec un seuil d’éligibilité à 3% ils s’en trouveraient face aux dilutions idéologiques contre nature, comme ce qui s’est fait au lendemain du 25 Novembre 2011 pour la première mouture gouvernementale et aussi la deuxième après le départ du PI et l’arrivée du RNI.


       Effectivement, dans ce cas précis, le Maroc n’a de choix que l’alternance par les urnes particulièrement quand elle prend tout son sens de guérison de l’insouciance contre tout processus d’inconfort dans l’exercice de l’Exécutif sous la constitution 01 Juillet 2011. Voilà pourquoi la recherche d’apaisement ne doit pas constituer un objectif en soi, pour ne pas conduire à des ententes systématiques subjectives et donc politiquement non viables faisant encore perdre au Maroc son temps précieux. Aussi, ne peut-on dire que le Maroc, ne serait rassuré sur sa bonne maniabilité d’utilisation d’outils constitutionnels qu’après dépassement à la fois du spectre de convulsion des coalisés gouvernementaux et de mésentente des fractions de l’opposition ? A bon suiveur, bonne lecture ! 

dimanche 3 avril 2016

LA CONFIANCE AU MAROC, SERAIT-ELLE EXCLUSIVEMENT LE MAILLON ESSENTIEL DE LA RÉSOLUTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ D’AVRIL 2016 ?

Ô ATTENTISME ONUSIEN SYNDROME D’ÉPUISEMENTASSURÉMENT TU SERAS BIENTÔT VAINCU PAR LES MISES A DISPOSITION DES BONNES OFFENSIVES DIPLOMATIQUES MAROCAINES !

       Prudence ou pas, il s’agit de bien scruter les ingrédients de la bataille Maroc-Ban Ki Moon à l’ONU ! Surtout en cette période de forte intox susceptible d’aggraver l’attentisme. Parce qu’aujourd’hui, si la volonté de lancer une offensive diplomatique est réelle, que savons-nous sur les raisons d’améliorer plus significativement le rapport de nos diplomates professionnels à leurs contributions longtemps restées discrètes et en deçà des espoirs ? Enfin, on peut dire qu’ils commencent à changer le cours du fil d’actualités dans les chancelleries du monde à l’avantage du pays, concernant la non neutralité et impartialité de Ban Ki Moon et ses sbires au Secrétariat Général de l’ONU dans l’affaire du Sahara marocain. D’autant que, les données stratégiques politiques actuelles sur ce conflit préfabriqué par le pouvoir algérien, reflètent selon les observateurs, une réelle incompréhension du comportement de Ban Ki Moon à l’égard du Maroc.

        A l’évidence, par conséquent, tout le peuple marocain de Tanger à Laguouira approuve l’approche principale de l’attaquer diplomatiquement de front. Et, qu’en plus en encourage la praticabilité méthodologique offensive en ON afin de promouvoir la justesse de l’offre marocaine de l’autonomie 2007 dans le cadre de la régionalisation avancée. Notamment, après la concertation avec les forces vives et finalisation des éléments diplomatiques sur le langage approprié à adopter permettant d’impacter les instances internationales à ce propos. Pour preuve, la leçon tirée chemin faisant de ne plus laisser traîner les choses dans l’action diplomatique au quotidien, dont il en convient au niveau de la tutelle ministérielle d’accorder les initiatives dans un but d’offrir plus de visibilité en communication ciblée à l’international. Et, pourquoi ne pas aller jusqu'à mobiliser dans les conférences et débats, les personnalités et sommités en matière du droit international pour rehausser plus l’image de marque du Maroc qui est semble-t-il encore en pré luminescence cultuelle sécuritaire et en pré séance de développement socio-économique culturel et écologique? D’abord en s’appuyant sur l’offre maximale 2007 du Maroc à l’ONU, particulièrement dans ses potentialités applicatives déjà en marche dans tous ces domaines. Puis en luttant contre toutes les formes de contamination de l’approche marocaine, et ce dans sa singularité usant de légitimité représentative participative de proximité avant toute autre considération.

       D’ailleurs, à ce titre, l’offensive du représentant permanent du Maroc à l’ONU n’est aucunement une simulation. Elle est de fait une mise en garde vive sans ambages, sur la fuite de la missive adressée au Roi Mohammed VI par Ban Ki Moon menée par son SGSP propolisarien (Consulting Group au Secrétariat Particulier). Comme quoi, communiquer sur cette non-conformité à la confidentialité des échanges avec le Maroc, aiderait automatiquement la communauté internationale à la compréhension de la marge de divergence de non neutralité et impartialité du Secrétaire Général actuel. Dès lors que pour lui et ses proches collaborateurs au Secrétariat Général de l’ONU, il suffit d’être séparatiste même par le poids de l’ignorance pour se faire entendre et être encouragé, encore plus bizarrement dans cette bêtise à contresens de l’histoire et du réel sur le terrain. C’est ainsi que l’arrêt de cette attitude s’est imposée au département des affaires étrangères marocain comme une réalité concrète, vu les dangers qu’elle présente et la déflagration régionale qu’elle risque d’entraîner. Mais comment faire pour à chaque fois s’adapter à ce genre de malveillance, si ce n’est de se donner les moyens de la contrer à coups de sensibilisation, d’information et d’engagement par l’action diplomatique préventive proactive intelligente et moderne ? A l'exemple de ce que fut fait immédiatement en tirant d’emblée la sonnette d’alarme quant à la problématique de stigmatisation des marocains par Ban Ki Moon, en tant qu’occupants sans scrupule d’autrui.

       Néanmoins, penser ce que vous voulez, pour le Maroc, afin d’éviter de tragiques conséquences avec l’Algérie entre ‘’Réalités politiques/Réalités territoriales’’ dans les wilayas de Tindouf et Bachar, il lui faudrait l’élaboration d’une production revendicative à l’ONU à la faveur de ce que les marocains patriotes considèrent recouvrement des souverainetés. Ce qu’évidemment le positionnerait en situation encore plus favorable dans la péréquation relationnelle avec le Secrétariat Général trop partial étant connu algéro-dépendant. Parce que, et c’est vrai, augmenter simplement son intérêt à ce Secrétariat Général sous Ban Ki Moon sans aucune valeur ajoutée, n’est pas la solution idéale pour une fin rapide équitable et viable à ce conflit qui a trop duré. D’ailleurs, comme on dit au Maroc ‘’Agrandir le paroxysme conflictuel avec ses ennemis en l'attisant, n’aboutit qu’à son amenuisement ’’. Où, autrement dit, concernant le pouvoir algérien et ses chiens polisariens de basse-cour ’’Dans un poulailler, mettre sa tête dans le Son botanique fruit de blutage après mouture des céréales, c’est s’exposer au picorement des poulets’’. A cet égard, peu importe comment crier son désaveu aux incartades du Secrétariat Général de l’ONU, pour contrecarrer les grignotages qu’on veut imposer à l’intégrité territoriale du Maroc. Ce qui prime avant tout, c’est la mobilisation tout azimut au demeurant propice à la transmission des vérités historiques territoriales et politiques ambitionnant de mettre en place l’unité l’unicité et la pérennité du pays.

      Encore heureux que le Conseil de Sécurité de l’ONU veille au grain formant dans sa recherche de formule réfléchie équitable et viable, le maillon essentiel de sa confiance au Maroc dans toutes ses résolutions futures. Une sorte de barrière morale et politique qui empêcherait les flux et reflux paroxystiques antis Maroc, notamment des groupes de pression de tout faire capoter. N’est-ce dans ce même registre que le Maroc a montré grâce à son offre dans la régionalisation avancée contenant multitude de mesures accompagnatrices innovantes, la validité du mode administratif décentralisé et déconcentré conçu pour résoudre les problèmes en suspens ? Notamment, la peur du retour des inconvénients de l’influence de l’administration territoriale, jadis responsable de la logistique de conservation des réflexes gestionnaires d’un autre temps. Désormais, pour bon nombres de membres du Conseil de Sécurité de l’ONU il est inconcevable aujourd’hui de ne pas encourager fondamentalement l’approche marocaine, pour prévenir et contrer les risques d’installation terroriste de toutes natures que ce soient dans le Sahara marocain. A bon suiveur bonne lecture !    

vendredi 1 avril 2016

OU EN EST LE MAROC, FACE AUX ESSAIS DE CONTAMINATIONS QU’INDUIT ET PROPAGE LE SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU ?

IMPARTIALITÉ ET NEUTRALITÉ, DEUX VALEURS POUR LE FUTUR D'UN POSITIONNEMENT MODÈLE DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU !

       Les désaccords des marocains avec le Secrétariat Général de l’ONU, ne s’arrêtent toujours pas après l’atteinte flagrante par Ban Ki Moon du code de neutralité et impartialité ? Ne peut-on dire qu’ils sont aggravés par les balbutiements interminables des portes paroles qui s’ingénient à saper les efforts marocains, par des non-dits suspects au travers manipulations et contrevérités ? D’ailleurs d’autres éléments viennent également alimenter ce sentiment de doute qui est basé sur la désinformation pour définir les critères et l’amplitude des dérapages-tromperies Ban Ki Mooniens à contresens, alors qu'auparavant il avait donner sa parole à Sa Majesté le Roi de rester neutre et impartial. Dont aujourd’hui la diplomatie marocaine regardante aux aguets en est préventive, visant à empêcher la contamination de l’état d’esprit marocain indispensable à la compréhension des contrôles onusiens. Au sens où la disponibilité de données stratégiques est le premier pas vers la meilleure prise en charge des encombrements des canaux d’échanges. Non seulement en matière d’élaboration des référentiels diplomatiques marocains pour contrer la mise en réseau onusien des mensonges. Mais aussi pour prévenir les coups bas envers la notoriété et l'image du Maroc, par des protocoles réguliers de décontamination et vaillance-vigilance.

       Aussi, en ce temps présent, seule l’option d’opérationnalisation du choix de la régionalisation comptera, et ce au-delà des tergiversations des portes paroles au sein du Secrétariat Général de l’ONU. Qu’au demeurant, elles sont suffisamment dépassées par la détermination de réhabilitation si ce n’est carrément rehaussement de la pensée marocaine au sein du Conseil de Sécurité. Notamment dans sa volonté avérée de recadrages et mise en œuvre de résolution d’Avril 2016 sur le même profilage de 2015 tendant vers la solution politique équitable et viable qu’est l’offre d’autonomie gestionnaire. N’est-ce là où, on en décèle la vision du Maroc de renforcer son offre responsable, ayant entamé un vaste chantier financier de la campagne énergique de mise à niveau des 03 régions du Sahara marocain (Dakhla-Laayoune-Guelmim) d’une enveloppe de 77 milliards de dirhams pour les cinq ans à venir ? Ce qui ne laisserait aux manutentionnaires onusiens soumis à la pire des exploitations de leurs âmes et consciences par les lobbyings anti Maroc, qu’un et un seul choix. Celui de la normalité de n’en sortir du cadre d’exigence de la proximité touchant d’abord à la part de participation des sahraouis hommes et femmes dans le processus électoral qu’est la régionalisation avancée. Puis au panier des applications de l’autogestion comme une avancée, qui permettrait de passer selon toute logique à sa mise en effectivité reposant sur le principe de solidarité entre  régions dans tous les domaines.

       Certes, pendant longtemps la diplomatie marocaine est restée l’une des moins offensives. Une vérité, que beaucoup de nos concitoyens ont définitivement oublié, sachant qu’il y a eu résurgence d’exposition experte après la rafale des derniers discours du Roi Mohamed VI. Ayant montré au monde qu’on en n’a aucun autre choix que de condamner à l’échec le projet concocté au secrétariat de l’ONU et, qui est en instance de présentation au Conseil de Sécurité, tant il n’est ni génial ni opportun. Toutefois, au regard de l’évolution des choses, pourquoi alors ces attouchements de Ban Ki Moon avec le Polisario concernant le Sahara marocain, ont-ils laissé la communauté internationale sceptique ? Au point qu’il est permis à tout un chacun de douter de l’emphase des portes paroles de Ban Ki Moon au Secrétariat Général, ne sachant pendant qu’ils parlent ils pervertissent la réalité par leur médiatisation tendancieuse et superflue. Même en mentionnant à mots compilés de ne vouloir en faire bénéficier ni au plus vite ni dans les meilleures conditions les protopolisariens et leurs soutiens inconditionnels, de leur lamentable comportement vis-à-vis du Maroc. S’agissant en principe de la recherche d’une solution politique devant susciter espoir, comme l’offre marocaine d’autogestion 2007 dans la régionalisation avancée. Et/où il est curieux en effet que le Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon ne daigne toujours pas croire à sa faisabilité et validité voire viabilité, contrairement aux USA Russie France Espagne CCG Turquie Chine Japon UK et d’autres.

       D’ailleurs pour bien comprendre les dessous de ses attouchements en tant que Secrétaire Général actuel et en saisir le paradoxe qu’il y a derrière, il ne serait pas vain de remémorer les étapes de sa dernière visite aux camps de la honte et à la zone de séparation de Bir Lhlou en préparation de son arrivée calamiteuse à Alger. Au sens où, à travers ses gestes et paroles on en comprend sa nouvelle trouvaille, sorte d’idée-redistribution de la recette qu’il s’apprêtait à présenter au Conseil de Sécurité pour le mois d’Avril 2016 comme plateforme de la tromperie et tricherie. Sauf que, il ne s’n’y attendait pas à la mobilisation de tout un peuple lui rappelant énergiquement sans hésitation, les critères de fixation des contours d’une solution politique, auxquels lui-même devait s’assujettir selon les textes d’application de la charte de l’ONU. D’autant plus, personne ne peut nier que le Sahara marocain est fédérateur à même de provoquer passions faisant partie de la richesse immatérielle et donc du patrimoine du Maroc.

       Tout le monde est maintenant convaincu que l’action diplomatique concertée entre les forces vives et les diplomates professionnels, est un outil très puissant pour persuader le Secrétaire Général de l’ONU de revoir sa copie. Dont apparemment il se réjouit de la perspective de pouvoir résoudre la problématique, sans tenir compte de l’autonomie gestionnaire proposée par le Maroc. Ne sachant que c’est un non-sens de l’histoire de la région, alors que le terrorisme grandissant gronde à ses portes pour la faire basculer dans l’abime. D’ailleurs, le fait que sa dernière missive envoyée à Sa Majesté le Roi du Maroc, qu’elle soit fuitée par ses services du secrétariat particulier n’arrangeant pas les choses, montre qu’il y a risque d’attaque invasive dans son prochain rapport au Conseil de Sécurité de l’ONU. Et, dont en plus le Maroc n’est pas dupe  de lui faire aveuglément confiance et d’accepter voire tolérer les pseudo-indications de ses regrets émis, non dans un but de diminuer les risques de déflagration régionale mais comme pansement emphatique sans tendre vers clôturassions  de ce dossier selon l’offre marocaine 2007.


       Finalement, avec les temps qui courent, quand on gagne une bataille diplomatique, ce qu’il faut c’est essayer de l’immortaliser par tous les moyens en la faisant reconnaître auprès des Nations Unies sans tomber dans l’émotionnel endormeur. N’est-ce ainsi, que tout le Maroc voit aujourd’hui se défiler sa première bataille avec la pléthore d’ennemis, s’apercevant que les événements ont retenti sur la structuralité fonctionnelle du Secrétariat Général ? A bon entendeur salut !