dimanche 21 décembre 2014

APRES LE SEISME DU MONDIALITO, EST-CE QUE L’EXECUTIF MAROCAIN SOUS BENKIRANE SAURA DANS LE FUTUR ETRE A LA HAUTEUR DE L’AMBITION DU PEUPLE ?

HALTE AU DÉPOUILLEMENT DE LA VALEUR MAROCAINE METTANT NOS DIPLOMATES DANS L'EMBARRAS !

       Après les hautes instructions de suspendre l’activité du ministre Ouzzine en ce qui concerne Attadahora Al Aalamia le Mondialito dont le club Real Madrid en est le vainqueur, l’enquête ouverte concernant le fiasco du complexe Moulay Abdallah de Rabat s’annonce prometteuse voire fructueuse. D’abord sur le défi auquel le gouvernement est confronté pour que l’état d’esprit qui sévit dans ses rouages puisse changer. Ensuite sur les impératifs du maintien de la HIBA de l’ETAT à mettre en place des investigations dans l’impartialité totale, notamment sur ce que tout le monde appelle désormais à tort où à raison l’affaire Ouzzine. Evidemment la montée au créneau des partis de l’opposition n’est pas fortuite, même s’aventurant sur un terrain aussi mouvant concernant les gestions gouvernementales, dès lors qu’il y a des casseroles qui traînent encore ici et là d’un passé pas lointain.

       En cela le peuple marocain toujours en supra-symbiose avec son Roi, est certainement aux anges pour connaitre enfin les soubassements et rebondissements dans cette affaire incroyable. Néanmoins, et c’est vrai, au conseil du gouvernement du jeudi 18/12/2014 qui a lieu sans recours au thème décisionnel à propos de la responsabilité politique du ministre Ouzzine, tout le monde a eu une impression d’essai d’évitement du scandale ? De par la mésestimation de la teneur des entrechoquements provoqués au sein de toutes les couches sociales marocaines en l’occurrence, dont le chef du gouvernement s’en trouve aujourd’hui en mauvaise posture.

       A l’évidence, si on se réfère d’un coté à quelques messages-liens sur les réseaux sociaux au demeurant inondés de règlement de compte et contrevérités bottant en touche, on comprendrait la demande de la tête d’Ouzzine par les faiseurs de la chronique antigouvernementale. Contrairement de l’autre, concernant les sorties médiatiques figées par la prétention et le snobisme ridicule notamment de la part de quelques personnes du sillage proche du ministre, on en verrait une recherche à s’introduire dans la brèche à cause de la certitude de Benkirane que ce n’est nullement un drame national. Cependant, quelle mouche l’a piqué pour parler de la sorte au nom du peuple dans ce cas très sensible, alors qu’il n’ait eu que 18% des suffrages exprimés dans les urnes le vendredi 25 Novembre 2011 ? Mais que les choses soient claires, pourquoi alors cette continuité d’irruption des dénis des réalités de la part de Benkirane face à la dramaturgie provoquée ? N’est-ce pas le cas est tellement gravissime ayant égratigné la valeur morale du pays à l’international touchant en plein cœur Al Karama du peuple marocain ? Dont, finalement, tout l’Exécutif ne pourrait par une résistance quelconque réinventer d’esquive en donnant l’image de marché aux puces où tout est permis.

       N’est-ce là où le chef du gouvernement a failli, ne sachant pas que ses propos seraient incompris par la majorité des marocains, d’autant plus oubliant que l’Etat est le garant de la dignité du peuple. Une faute caractérisée presque impardonnable du chef du gouvernement, l’ayant aggravé par son attentisme inexpliqué. Ce qui rappelle le cas de la colère des populations de Guelmim Sidi Ifni Tiznit Inzgan Tafraout Ouarzazate Zagora Sraghna Chichaoua et azilal, après celle des cieux sous les déchainements d’une pluviométrie inhabituelle sachant que la météo nationale en avait parlé avec insistance et professionnalisme. Qu’heureusement, comme à l’accoutumée les directives royales l’ont rattrapé restituant dans l’urgence un peu de dignité aux sinistrés, comme aussi aujourd’hui dans les traitements des priorités d’Al Fassad dans toute sa structuralité et ses prolongements dans l’affaire du complexe Moulay Abdallah.

       D’ailleurs pourquoi Benkirane s’est-il engouffré dans ce dédale ahurissant, comme stratégie de sa riposte qualifiant l’affaire de non catastrophe nationale, alors même que le ministre est pratiquement jeté en pâture ? Ce qui se traduit déjà par une recomposition et reconsidération des propos de quelques défenseurs, qui se croyaient inébranlables dans leur conception d’appréhender les mécontentements au sein du bureau politique d’Al Haraka Achaabia. A cet égard, pourquoi Benkirane en préambule de questionnement de ce conseil de gouvernement a-t-il en plus essayé de montrer à mots feutrés, qu’il ne veuille anticiper les conclusions de la commission d’enquête ? Semant le trouble chez les analystes politiques, à même de ne pas s’offrir sa légitimité constitutionnelle d’examiner les manquements à la participation positive au grand chantier de la probité surtout dans ce cas précis, et, dont son parti en avait fait son leitmotiv électoral. Sauf qu’en tardant de le faire, ne se souciant du fait de l’encombrement de maltraitance des consciences des marocains, mais seulement essayant de sauvegarder la cohésion de sa coalition pour continuer à gouverner à sa guise, n’a-t-il de fait enfreint la ligne de démarcation excitatrice de la conscience collective marocaine ? Dont certains n’en comprenant ses tergiversations, s’en sont risqués de le faire passer pour celui qui concrétise le bras de fer politicien dans les méandres idéologiques diversifiés dans sa coalition et au sein de l’Etat.

       En ce sens, objectivement au demeurant, même certains des ministres marchent encore à contre-modèle de la bonne gouvernance, qu’en effet est dépendante de leur fiabilité et surtout le non solidité de leurs actions sur le terrain. N’est-ce pas qu’il a fallu plus de cinq jours pour que son gouvernement sorte de sa tétanisation, s’étant resté hagard sous les menaces du malheur qui frappait les provinces du Sud et Sud-Est ? On dirait, malheureusement que sa façon de gouverner  pèse tellement sur ses recettes de gouvernance pour s’attaquer aux aléas par la réalisation des  priorités. En plus et de l’avis de tous les scrutateurs politiques, il montre une faiblesse d’intégration rapide des choses, ne s’attelant même pas aux luttes contre les dépravations. Telle la corruption endémique dont le Roi Mohamed VI ne cesse d’en appeler dans tous ces discours à l’arrêt de cette marchandisation de ce contre-modèle. A ce titre, au cas où on l’aurait oublié, ça a atteint une amplitude et redondance insupportables dans la marche gouvernementale. En effet, n’est-il temps pour tout le monde de sortir de ce genre de domestication de fourberies corruptrices qui rongent le Maroc ? Tout simplement en usant d’un NTM (Nouveau Tempérament de Modélisation) au déterminisme politiquement fondé sur la vraie prise en considération de la responsabilité politique pour éradiquer ce fléau ? Et ce, non sans s’éloigner des embastionnassions emphatiques de lutte contre la corruption autour de personnes enorgueillies ici et là, lesquelles, profitant de surcroît du contexte difficile de l’évolution des mentalités à ce propos.

       Justement, après la mort tragique du ministre d’Etat Baha, une chose est sûre, Benkirane se sent de plus en plus coupé du SVP (Service de Validation Politique) en intra-muros du PJD, au point de se voir déjà condamné à durer ce que durent les cultures maraîchères trop arrosées. D’abord par suite du fait du fil d’actualités des affaires nombreuses et du réveil sociétal marocain en simultanéité de réactions comme aujourd’hui à ses dires incompris en tant que chef du gouvernement dans l'affaire Ouzzine. Et, aussi à ses incartades de méchanceté gratuite, parfois dans un Tcharmil linguistique même dans des lieux de souveraineté comme à l'hémicycle. Puis en perspective par rapport à l’effectivité de la levée de l’impunité des responsables politiques où autres en fonctions étatiques, dans toutes les circonstances en relation de tout manquement au devoir et au serment devant le Roi. Et ce, pour se mettre à hauteur des ambitions de la constitution du 01 Juillet 2011 de grande plus-value de démocratisation dans tous les domaines. Par conséquent de ce point de vue, quand est-ce que Benkirane cessera-t-il de farder sa pensée concernant la véritable nature de la gouvernance dans certains ministères devenus nids de crabes aux palmarès aucunement reluisants? Et ce, afin de restituer son rôle à l'Etat, parce que sinon on en souffrirait encore de la gouvernance-gabegie version 2015 Benkirane-dépendante... A dire vrai, cela donne des insomnies à d’autres dans la coalition gouvernementale, se démarquant de ces scénarios de dépannage par l’incompétence au niveau des cabinets et antichambres ministérielles. 


       A ce titre, ces nouveaux serviteurs ne font-ils vraiment du n’importe quoi, en rabaissant de facto la montée en puissance de l’action gouvernementale, parce qu’ils y participent au dépouillement direct et indirect de la valeur de l’effort consenti par l’Etat. Voilà pourquoi il faudrait sévir, partant de ce constat de base se résumant hélas comme leur conceptualisation atemporelle de leur mobilité relationnelle partisane où consanguine. Dont en fait, ils s’en sont aidés pour en faire des prouesses administratives de tricheries voire même des leurres, en s’accaparant de l’expansion des prérogatives de leurs ministres ne semblant aucunement préoccuper même sachant la vérité. Pour cela, ne faudrait-il pour Benkirane d’éviter l’effet tunnel d’aspiration du contre-modèle de cette affaire honteuse du terrain Moulay Abdallah ? A BON SUIVEUR BONNE LECTURE !

mercredi 19 novembre 2014

LA NOUVELLE PRODUCTION RATIONNELLE MONDIALISEE DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE, EST-ELLE VRAIMENT EN MARCHE ?

N’est-ce le moment pour le Maroc de faire émerger son nouveau label diplomatique à bonne résonance mondiale ?

       Mais pourquoi après trente neuf ans, le pouvoir algérien continue-t-il à fabriquer les rendez-vous de ses lamentations ? Evidemment, tout le monde aura remarqué que certains de ses dirigeants et leurs portes-flingues journalistes, continuent de faire dans la polémique outrancière voire outrageante vis-à-vis du Maroc. N’est-ce pas qu’il y’en a de toutes les violences et diatribes à l’égard de la conscience des marocains dans tous les médias algériens, notamment après le discours royal de la Massira 2014 ? D’abord, ceux de par leurs lamentations ils ne font qu’à leurs têtes allant jusqu’à honnir le ficelage le ton et le contenu de ce discours de vérité tranquille et responsable. Essayant de faire porter à d’autres algériens le chapeau de leur déconfiture, en tant que tenants et aboutissants du pouvoir ne tolérant la constance du Maroc à rejoindre les pays émergents. Laquelle n’est-elle confirmée par la tenue de la cinquième édition du GES (Global Entrepreneurship Summit) le 19-20-21 Novembre 2014 à Marrakech en présence du vice-président américain ? Puis ceux ne l’entendant même pas de la bonne oreille, se mettant d’emblée en contrebalancement, entre mépris de tout ce qu’entreprend le Maroc et dénonciation sans fondement de son schéma directeur tracé pour la renaissance de sa diplomatie toujours sur le qui-vive.

       Vraiment les procédés d’ensemencement du doute pernicieux et de la suspicion malintentionnée entre algériens semblent extravagants, qu’au demeurant puisant leurs méfaits dans l’immoralité de la désinformation. Et ce, entre mythe de l’Algérie longtemps tentaculaire dans les arcanes des pouvoirs du tiers-monde apathique, et, conte de son interventionnisme-surréalisme diplomatique désinvolte d’un temps révolu. En effet, désormais, ne peut-on dire sans se tromper que nos dgedistes savent que derrière chacun des rendez-vous des lamentations algériennes, se cache la rancune s’alternant entre délires verbaux et commandement d’actes de violence rien qu’à l’égard du Maroc? Par conséquent aujourd’hui, toute la communauté internationale le sait, que cette caution algérienne marquant ses agissements sans valeur morale de bon voisinage avec le Maroc ne plait à personne, même pas aux passionnés ici et là de la terre brûlée. D’ailleurs c’eut été vain pour les observateurs internationaux qui ont tout particulièrement suivi ce qui se passait depuis trente neuf ans, de ne pas s’en rendre compte de la transmutation intelligente réfléchie de la diplomatie marocaine, s’agissant de ses anticipations à propos de ces lamentations algériennes. Tellement les marocains ne s’y sont jamais pris au jeu des complications relationnelles de la rancœur, montrant même un gage de sagesse et de garantie pour continuer à vivre en paix avec l’Algérie. Mais attention pas à n’importe quel prix, au vu que certaines lamentations ça fait plusieurs années qu’assurément elles sont restées au travers leurs gorges dûment irritées.

       De ce point de vue, pour rester en phase avec cette prédisposition marocaine à dépasser les notifications des effets indésirables des diplomates algériens, n’est-ce désormais le moment ou les nôtres doivent jeter les ponts directs avec leurs frères séquestrés dans la Hmada à Tindouf, via l’initiation et la promotion des lobbyings surs et efficaces ? Par des interventions à cadences soutenues dans la toile de la chancellerie mondialisée, surtout dans les capitales plateformes des décisions hautement sensibles. Parce qu’aujourd’hui plus qu’hier, tous les marocains se rappellent avec douleur les conditions dans lesquelles leurs frères et sœurs étaient abusivement enlevés et déportés vers le pire qui les attendait. Dès lors que, construire une nouvelle stratégie diplomatique en sortant de la vision maroco-marocaine, c’est d’abord réguler les dominations des mobilités des diplomates en tant qu’opportunités pour les initiatives diplomatiques de haut niveau.  A cet égard, n'est-ce ainsi, qu'inéluctablement il y’aura de nouveaux acteurs accélérateurs d’incubations de nouvelles idées, usant de connexions avec celles du CESE CNDH Cour des Comptes INDH requalifiée et autres, pour rester à la page? Et deçà, démontrer le machiavélisme historique de la tromperie du conglomérat Algérie-Libye et aussi montrer du doigt le silence de la communauté internationale à ce propos.

       En conséquence de quoi, n’est-il arrivé le temps propice de décrier ce déracinement forcé et honteux de toutes ces familles marocaines sahraouies, auparavant longtemps laissées pour compte du colonialisme espagnol ? A cet effet, n'est-il vrai que ces séquestrés malgré la bienveillance et le courage des forces armées royales à arrêter l’hémorragie, ne furent-ils les premières victimes de l’essai d’endoctrinement anti marocain ? S’étant vus dès les premiers jours au premier rang d’acclimatation forcée inadaptée, vivant dans des conditions atroces surtout hors les temps modernes. D’autant plus se voyant imposer, malheureusement un jeu pervers de communautarisme ethnique de distanciation des liens de sang avec leurs frères marocains.

       C’est vrai tout cela n’a provoqué que ferveur d’intéressement chez ces séquestrés à la thèse de la mère-patrie, car entrevoyant la revalorisation de l’identité multiculturelle marocaine dans le respect de tous les droits humains. Dont Ban Ki Moon et le Conseil de Sécurité doivent impérativement en prendre acte, pour leur recensement en les protégeant des mauvais traitements que leur font subir leurs geôliers algériens. Qu’en plus la salve des derniers discours du Roi du Maroc en a fait la part des choses en démontrant l’implication directe de l’Algérie, entre contraintes du respect du bon voisinage et essais rigoureux fédérateurs et conciliateurs dans l’esprit de la construction du Grand Maghreb. Evidemment, la panoplie des bonnes intentions marocaines révèle la dextérité de la vision royale concernant l’autogestion du Sahara marocain intrinsèquement liée à la régionalisation avancée. Laquelle est déjà en effectivité de marche, dont le pouvoir algérien avec ses enragés sbires ne parviennent à en gober ce renouveau stratégique diplomatique marocain. Particulièrement à l’heure du presque chaos polisarien, même s’efforçant d’en dissimuler le corollaire de dissidence désormais enclenchée avec détermination en plein jour dans les camps de la honte. De par la correspondance et arrivage d’informations avérées et établies avec une sensation du début de sortie du joug algéro-polisarien, caractérisant les prémices d’un proche retour en masse vers Al Wattan le miséricordieux en l’occurrence le Maroc.  
       A l’évidence, c’est ce qui renforce le fait de parler coté marocain de fébrilité du pouvoir algérien, signant la psychose voire la panique dans les rangs des propolisariens résiduels de l’intérieur. D’ailleurs que leur reste-t-il, et qu’attendent-ils pour se rattraper et se faire prévaloir aux yeux de leurs frères ? N’est-ce pas qu’ils n’ont de choix judicieux que celui là ? Lequel, est temporellement en phase avec l’air des variantes sociales économiques culturelles écologiques et surtout politiques que connait le Sahara marocain. En cela ne peut-on dire que l’ère de la diplomatie marocaine connectée tout azimut n’est-elle arrivée ? Rien qu’en se laissant tenter par une autre dimension de suivi des intérêts géostratégiques vitaux du Maroc, avec assiduité et abnégation partout à l’étranger. En somme, faire émerger un vrai réseau mondial de diplomates se prévalant des nouveaux paris diplomatiques marocains offensifs dans tous les domaines. Et ce, en restant dans la ligne tracée par la nouvelle génération des discours du Roi Mohamed VI, apposant un label marocain à résonance mondiale, qu’au demeurant ne faudrait-il dare-dare et impérativement le mettre en évidence. Bien évidemment, sans sortir sous la coupole de quelques diplomates chevronnés ayant montré une volonté de dépassement des rétropédalages diplomatiques d’antan. A BON ENTENDEUR SALUT !

mercredi 12 novembre 2014

SOUVENIRS DE JEUNESSE POLITIQUEMENT ARDENTS A PROPOS DE TRAÎTRISES AVÉRÉES !

Mais qu’est-ce que c’est cette tendance-guidance politicarde absurde vers la manipulation du cycle des tentatives d’assassinat du Roi Hassan II, fonctionnant sur le modèle de la réappropriation de l’histoire ayant pour objectif de venir en aide à la mémoire des comploteurs ?

       Actuellement au Maroc,  on assiste à la parution d’articles d’individus, s’orientant pour les uns vers la réappropriation de l’historicité ponctuée des événements politiques marocains, mais enjambant par des modalités d’expressions douteuses quelques détails à valeurs historiques significatives. Parallèlement à d’autres, allant vers l’imagination délirante semi-calibrée rien qu’à leurs thèses par pure fidélité à leur formatage sociétal-familial. Provoquant ainsi la décomposition de la vérité historique dans les consciences marocaines, que ce soit, par rapport à l’idéologie centraliste et bureaucratique du mouvement national que l’on veut effacer, que sur la tendance à s’enorgueillir en subliminaire des tentatives de coups d’Etats contre Hassan II. Néanmoins, bizarrement ils se proclament tous, les nouveaux portes-oriflammes de lutte contre les faussaires de l’histoire. Qu’heureusement la marée montante par suite d’initiatives plus documentées et sans partie pris, en dénonce leurs objectifs de par ce désordre établi. Notamment, en ce qui concerne les traîtrises avérées des comploteurs d’hier contre Hassan II, et aussi à l’égard des vendeurs de leur âme dans l’affaire du Sahara marocain aujouurd’hui.

       Ce faisant, pourquoi continue-t-on dans ce genre de lignes de l'irrégularité où l'on voit une production de tissu de mensonges, alors que les péripéties de la traîtrise sont connues. C'est vrai, l’année 1971 a été marquée par la tentative de putch militaire mené par le général Madbouh et le colonel Aababou chacun selon ses affinités et aspirations. Sauf qu’après, non sans raison une fois de plus, les projecteurs d’analystes politiques ont été braqués sur Oufkir, sur son rôle bidimensionnel dans cette tuerie érigée en hécatombe nationale. Si bien qu’un célébrissime journaliste français aurait dit en OFF à ce propos «si vous voulez comprendre ce qu’est un carnage inhumain de massacre d’humains, de surcroît suivi et arbitré à la fois de près et de loin posez-en la question à Oufkir, il vous en dira assez sur ce jour du 09 Juillet 1971 à Skhirat près de Rabat». Ce journaliste qui avait ses entrées et sorties au Maroc en parlant de la sorte, admettait que le montage de ce massacre faisait partie d’un accord préétabli sordidement. Sorte de reconstitution canalisée en tuerie barbare sans merci par les putschistes, aussi bien contre les civils de la nomenclature de l’époque que les militaires hauts gradés qui n’étaient pas au parfum. 

       Rappelons-nous par ailleurs après la conférence de presse d’Hassan II, il n’eut eu aucune réaction de ceux qui n’étaient pas en faveur de la méthode utilisée pour le contrôle du pouvoir. Parce qu’ils étaient choqués, même étant putschistes au fond d’eux dont les marocains en ont eu la preuve trente ans après. A cet égard, pendant longtemps certains de leurs inconditionnels portes-plumes, soutenaient le fait qu’il suffit de jeter un coup d’œil sur le chiffre effrayant des morts civils et militaires surtout leur qualité, pour démonter l’absurdité de cette affirmation. Mais ceci explique cela, ne réapparut-il dans le Maroc une accointance opportuniste de quelques meneurs des fractions paupérisées, avec ce soi-disant champion sorti par hasard indemne du partage de la passion de la violence de Skhirat ? En l’occurrence celui qui avait en catimini ouvert ses bras et, fait accolades à ses ennemis d’hier pour leur montrer ses prouesses, surtout de quoi il était capable après avoir anéantis ses compagnons-compétiteurs-challengers dans la traîtrise. D’autant plus, quand on se réfère aux attributions et fonctions de ses militaires de haut rang, sachant leurs relations personnalisées non moins objectives avec le Roi Hassan II, rien n’incitait à faire vite sans procès pour les passer sous les armes. Et ce, s’il n’y avait pas anguilles sous-roches, en particulier pour stopper nettement les dérivations notamment dans les rouages administratifs des provinces d’Oujda Meknès Er-Rachidia Rabat Kenitra Marrakech Fès et Casablanca. Dès lors qu’il s’agissait d’un maillage d’une armée qui se professionnalisait de plus en plus, et qu’il fallait calmer. Même étant scindée à l’époque en en deux grandes catégories de structuralités différentes mais complémentaires les unes les autres. Dont la première trop militarisée tentaculaire à l’Est depuis le col de Taza et aussi au centre à Dhar-Elmahraz Elhajeb Tadla, tandis qu’au Sud-Est à Er-rachidia où on avait découvert une sorte de marmite-militaire ignorée, qu’en plus continuait à bouillonner avec Ouarzazate après les péripéties de la guerre des sables de 1963. La seconde où se concentraient les armées en perpétuels mouvements de construction-restructuration tels les centres Benslimane Ain Borja et aussi les bases aériennes Sidi Slimane Kenitra Ben Guerir en plus beaucoup d’autres casernes et bases navales.

       Cependant, au lendemain de l’exécution des douze généraux et leurs aides de camps, personne n’imaginait la sensation non moins bizarre puisant une origine commune sans distinction dans les territoires du Rif Zayan Bni-Mtir et dans l’oriental. Il eut même arrivé des scènes de transes collectives sous forme de "Mnadbas"construites autour des méandres relationnels de sang des tribus concernées, procédant d’une exploration dépeignant un monde à part dans un style sans précédent. Aussi, l’hystérie vécue dans ces familles avait pris des fins chaotiques, se décrivant au moyen de métaphores de chansons entre refrains implicites d’éventuelle vengeance et litanies de désespérances réelles face à l’exécution des leurs. N’est-ce d’ailleurs ce qu’avaient fait quelques Zayans sur Akechmir à Khénifra, allant jusqu’à la lacération des visages enduits de suie, voire l’automutilation à la chiite pour certains d’entre-eux pour signer le commencement d’un très long deuil ? Alors qu’au jour noir où il pleuvait des balles au palais de Skhirat à l’Etat-Major et à la RTM, certains d’entre eux très en vue auraient été vu parader en tenues militaires même étant des civils, s’octroyant le luxe de le faire aussi en jeeps neuves portant des antennes des transmissions. En quelque sorte, ils auraient eu l’illusion que ce qu’ils entreprenaient recevait l’approbation de tous les territoires Zayans comme une valeur positive. Ne sachant pas que ça les amenait en sens opposé, de ce que les khénifriens en général savaient, autorités comprises, sur leurs comportements voire débordements. Mais la question que l’on est en droit de poser, pourquoi cette réalité fut-elle escamotée d’une manière troublante, à même d’aller à ce qu’elle soit subtilement chassée des mémoires par la routine de la complaisance et la compromission?

       Finalement, pendant toute cette période avec la bénédiction des USA pour les militaires et de l’URSS via l’Algérie pour les civils seulement de la pensée socialiste, la politique de confrontation était à son apogée leur servant d’exutoire laissant de nombreuses victimes marocaines des deux cotés. Cela englobait aussi bien les tromperies des uns et les fausses attitudes des autres, s'intensifiant aux périodes des fêtes nationales, et où en effet, les familles et tribus excitées par les comportements des leurs au sein des rouages de l’Etat, usaient elles aussi d’actions mal calculées parce qu’affectées du syndrome de supériorité. Pensant que c’est un privilège que leur confère soi-disant la patente des postes de responsabilité des leurs, chose que la constitution ne tolérait même pas. Mais, malheureusement l’historicité des événements la faisait parfois transformer dans leurs territoires en droit du sol par la  compromission pour ne pas dire faiblesse des représentants de l’Etat.

       Dans l’ensemble, le traître Oufkir que les américains voyaient d’un bon œil, était celui qui avait établi des règles de collaboration sournoises lentes et très variées. Que ce soit avec les civils, dont la police sous ses ordres intervenait pour tous les surveiller au moindre détail, où avec les militaires de son rang que par ailleurs certainement les archives en compteraient plus de pages noires. A prime abord, cela n’a pas du tout été toléré par la suite, après sa tentative du 16 Aout 1972 et les évènements du soir du 02 Mars 1973 à Casa Oujda Assoul Figuig Moulay Bouazza et Khénifra, dont la machine des contre-enquêtes policières s’est déballée emportant tout le monde. Pour preuve, au lendemain du 03 Mars 1973, lorsque Feu Mohamed Benhima ministre de l’intérieur et Mahjoubi Aherdane présentaient le colonel Arzaz sur la place d’Azlou rebaptisée d’Al Massira Al Khadra, en tant que gouverneur militaire de tous les territoires zayans, les tribus surtout les Ait Khouya ne savaient pas ce qui les attendait. En effet, beaucoup de souffrances dans leurs biens et leur chair dont l’IER (Instance  Equité et Réconciliation) en avait eu des années après d’amples détails. Même si, les contrevenants au code moral de l’authenticité de ces évènements s’amusent aujourd’hui à distiller d’autres thèses extravagantes émanant d’historiettes, dont subsistent plus où moins la tradition conservatrice d’instauration des liens dominants-dominés. N’est-ce malheureux de voir encore en 2014, leur hypocrisie suprême se transformer en défense d’un esprit désuet, seulement dans un souci de sauvegarde de cette bulle des mensonges et sornettes ? Au lieu d’exprimer l’attitude d’honnêteté intellectuelle surtout journalistique, où il est facile d’opérer des distinctions très précises démêlant le vrai du faux. A SUIVRE DANS MON PROCHAIN LIVRE RASOIR !  

dimanche 9 novembre 2014

Y’EN A MARRE DES DIGRESSIONS POLISARIENNES ET, SURTOUT DES PARASITAGES ALGÉRIENS SOUS CONTRÔLE SOUS-ADJACENT USAEN-ONUSIEN !

NE S’AGIT-IL DU DISCOURS ROYAL DE L’OFFRE DE LA DERNIÈRE CHANCE POUR L’ALGÉRIE DE SE RACHETER ?

       Désormais au Maroc, il n’y a plus de place aux traîtres comme aux opportunistes bi-intentionnés dans l’affaire du Sahara marocain. Dès lors que ces derniers temps, s’étendait l’immense inquiétude chez les marocains, surtout les diplomates et autres fins analystes politiques à propos d’un stratagème qui se trame dans les coulisses onusiennes pour piéger le Maroc dans son Sahara. Dont le Roi Mohamed VI en a esquissé précisément les relents dans son discours du 06 Novembre 2014 au trente neuvième anniversaire de la Massira. C’est d’ailleurs le sens et le fond de l’accélération marocaine pour anticiper ces agissements malintentionnés, d’où la structuralité sans ambages de ce discours royal.

       Evidemment, c’est ce que confirme sa HRP (Haute Résonance Politique) à l’international, sur l’intérêt de ce sursaut de prévenir cette tendance échangeuse de mensonges et contrevérités. C’est vrai, le ton y était poignant avec sérénité qui n’a d’égal que sa valeur souveraine dans les temps qui courent. S’appropriant d’abord dans le style, la clarté dans les propos face à l’Algérie, s’ajoutant à la communication-messagerie directe de l’intransigeance dans le positionnement vis-à-vis de toute traîtrise. Puis dans l’intonation, l’utilisation pour la première fois d’un NON expressif fort et sans équivoque, s’adressant aux nationaux comme aux étrangers usurpateurs usant de tromperie syndrome des fausses béquilles de fausse rectitude. Parce qu’il s’agit d’opportunisme purement malveillant de leur part, dont le Roi est venu dresser le bilan des trente neuf années d’utilisation de leur schizophrénie comparative, voire mutualisée parfois par ricochet entre eux du point de vue de la structure de la haine qu’ils portent sans raison valable au Maroc.

       Ce faisant à l’évidence, c’est ce qui a d’emblée boosté les marocains humbles et honnêtes, hommes et femmes petits et grands à se concentrer davantage, en raison du climat de confiance que suscita la spécificité de la teneur de ce discours d’ontologie. En l’occurrence, du coup, se voyant mémorablement porter par l’ivresse-liesse de reconnaissance à la détermination royale exprimée par un talent politique clairvoyant, ayant souligné un point essentiel dans l’offensive marocaine qui n’est autre que l’obligation de rester dans la vigilance absolue. Notamment, vis-à-vis des manipulateurs-analystes géopolitiques soufflant des vents d’idées, dont tout un chacun connait désormais les bas-rebonds pernicieux. Car, il faut le dire, y’en a marre de ces exacerbations aiguës importées d’un temps l’autre pour narguer le Maroc, qu’en plus apportées dans différentes recommandations algériennes en ce qui concerne la prise en charge de la MINURSO du volet des droits de l’homme dans le Sahara marocain. Notons que ce n’est pas la première fois, qu’en effet auparavant ils avaient déjà essayé de franchir de la sorte l’étroite bande de confiance de la représentativité que normalement l’ONU doit objectivement montrer. N’est-ce là, dans ce discours précisément,  le Roi du Maroc a dévoilé la nécessité d’un bon usage de la sagesse (Hikma) du Conseil de Sécurité de l’ONU par les faits et non les paroles, en accordant plus d’attention à l’offre maxima marocaine d’autogestion équitable et viable dans le cadre de la régionalisation avancée, quoiqu’en disent les maquilleurs des faits historiques?  

       Mais, est-ce qu’aujourd’hui trente neuf ans après, on ne peut pas dire que le capital mémoire de la Massira, fait partie de la richesse de l’histoire immatérielle du pays ? En tout cas, on n’a pas besoin de creuser ni sociologiquement ni psychologiquement et encore moins politiquement pour s’en convaincre. Car, d'autant plus ça saute aux yeux de voir l'effort colossal de développement matérialisé à coup de gros budgets sur le terrain et consenti par les marocains, même entre les réussites et les déceptions par rapport aux gouvernances successives qu’a connues le Sahara marocain depuis. En ce sens, est-ce ce que les jeunes marocains sahraouis d’aujourd’hui et demain, sauront-ils scruter le déterminant immatériel de cet épisode et en exploiter positivement les leçons politiques ? Bien sûr que Oui, surtout en s’appropriant les moyens institutionnels et constitutionnels avec responsabilité et abnégation, dès lors que l’accélération du processus de la régionalisation avancée est annoncée par le souverain. Tout simplement en révisant de fond en comble le mode de gouvernance par eux-mêmes, loin des essais de manipulation de l’essentiel et surtout sans repousser aux calendes grecques les délais de concrétisation de la démocratie participative.

       Et oui, ce discours royal de la fermeté, de la détermination et du recadrage de maximalisation des initiatives et attributions de la souveraineté marocaine, est un tournant décisif dans l’histoire de ce conflit préfabriqué. Mettant la communauté internationale devant ses responsabilités, l’exhortant de sortir du jeu irrationnel petro-dinar-dépendant décevant, allant à contresens de la vérité historique. A cet égard, le Maroc n’a-t-il de tout temps montré sa disponibilité et son souci de collaborer avec l’ONU sur bien de sujets tout aussi sensibles, qu’en plus il est le seul pays de la région se trouvant sur les rails de la démocratie évolutive sans surchauffe ni tension ethno-tribale ? Contrairement à l’Algérie tanguant dangereusement, parce que nourrissant la chronique d’une historicité événementielle gouvernementale pathétique. Tellement, progressivement, partout on a énormément glosé sur ses virages de mauvaise perspective dans le choix démocratique de sa gouvernance, dont malheureusement le slogan politique c’est « rester en transe anti Maroc coûte que coûte ». A même d’en soudoyer encore plus les traîtres sous-mariniers enragés qui sont restés sous sa coupole, et aussi les politiques étrangers bi-intentionnés de surcroît amphotères dans leurs positionnements selon les opportunités.

       Finalement, en étant plus clair, que le pouvoir algérien soit tranquille ! Jamais le Maroc tel qu’il est bâti depuis des siècles, ne se laisserait dépasser par les chimères et les mirages des séparatistes et leurs portes attachés-cases. Sa stabilité passe avant tout, usant de son expertise dont personne n’en nie l’efficacité, et/où n’en peut l’attaquer sur quel plan que ce soit. C’est même devenu un art de gouvernance sécuritaire labellisé reconnu, recherchant continuellement les moyens pour faire face aux dangers endogènes et exogènes sous contrôle du parquet spécialisé. D’autant plus, au niveau du respect des droits de l’homme, le Maroc devance haut la main l’Algérie et de quelle manière, de sorte que tout un chacun le sait, elle est le dernier pays qui peut parler de ce volet. Voilà, c’est là encore un point fort du discours, ayant levé le voile sur les attouchements des ONG corrompues avec le pouvoir algérien, au demeurant longtemps leur agence-billetterie préférée, malheureusement au détriment du mieux vivre du peuple frère algérien.

       A dire vrai, toutes ces ONG petro-dinar-dépendantes ne pourront jamais trouver leur marque, du fait de leur servilité connue à un pouvoir rancunier portant sa rancœur à son cash-flow plus de cinquante ans. Dont ses médias n’en démordent pas en ce moment, s’étant rentrés dans une phase rageuse coléreuse vis-à-vis du Maroc par suite aux répercussions internationales du discours du souverain marocain. A bons suiveurs bonne lecture !           

lundi 3 novembre 2014

A QUAND DES RECOMMANDATIONS D’ANTICIPATION CONTRE LE FLÉAU CHÔMAGE, S’INSCRIVANT DANS LA VEINE DU DISPOSITIF HADAR DE LUTTE ANTI TERRORISME ?

N’est-ce là, une nouvelle posture dans la prise en charge de la sécurité des marocains ?

       Ne pas avoir peur ni hésiter de confronter le terrorisme, tel est l’objectif principal sous l’autorité morale de bonne gouvernance anti résurgence des insécurités de l’Etat marocain ! Parce que selon l’ONU et pas seulement, la résurgence mondiale des insécurités dans les domaines écolo-socio-économiques alimentaires culturels sanitaires cultuels et politiques, est estimée aujourd’hui paroxystique. Cela se sent au travers la lecture des rapports émanant de toutes ses annexes chacune dans son terrain de prédilection comme OMS UNICEF FAO UNESCO CS CPI, en plus des autres institutions instances fondations et ONG qui collaborent avec elle. Parce qu’elle a considérablement augmenté lors des vingt dernières années à cause des dysfonctionnements de la gouvernance mondialisée inéquitable et non solidaire. Au point que la réponse-conséquence à cet état de fait, est arrivée du populisme diversifié, foyer de la perversité politicienne pernicieuse n’ayant engendré que prévalence d’incertitudes sur les identités ethniques culturelles et cultuelles. Et ce, au vu du nouveau souffle intégriste religieux notamment le salafisme toutes sortes confondues, avec une tendance très élevée pour le jihad évidemment tout aussi dangereux. S’ajoutant aux allégeances ici là à l’EIIL (Etat islamique d’Irak et levant) connu DAECH en arabe, d’autres catégories pléthoriques affiliées à Al Qaida en Syrie au Maghreb au Pakistan et partout en Afrique.

       Mais pour ce qui est du terrorisme surtout, est-ce que cette résurgence in-sécuritaire qui a aussi gangrené le monde occidental ne correspond-elle au dérèglement du système de surveillance et contrôle des activités de tous les groupuscules à travers la toile Net ? C’est pour cela, au Maroc, depuis les attentats terroristes du 16 Mai 2003 à Casablanca, que d’efficacité prouvée de lutte anti terroriste par plus de dix ans de données recueillies sur le terrain par les services de sécurité surtout DST. Qu’en plus, le traumatisme contrecoup du café Argana à Jamaa Elfna à Marrakech en 2011, avait requinqué l’Etat pour le dépistage des foyers et supports du terrorisme qualifiés silencieux ou traitres. D’abord dans une première étape consistant à ne rester dans l’euphorie des faux rapports n’ayant assuré que désillusion non nuancée. Puis à en identifier l’armure extérieure des membres et leur rapport à la propagande terroriste incisive, pour enfin les pister les stopper les interroger et les déférer à la justice sous l’autorité du parquet spécialisé sans dérapage ni abus. Puis, en exploiter après, toutes les données obtenues avec leurs particularismes spécifiquement connus, surtout, des spécialistes scrutant analytiquement les motivations de leurs agissements et non du grand public. Qu’encore aujourd’hui, cette exploitation vise essentiellement à en comparer les paramètres d’activité qui s’alignent sur les dernières avancées d’échanges informatifs dans le cadre G5+5 traitant les différentes expressions jihadistes.

       Si aujourd’hui les services de sécurité étrangers ont axé leur intérêt de lutte anti-terrorisme jihadiste, il n’en demeure pas moins que beaucoup en préféreraient l’algorithme de l’action marocaine ayant montré ses preuves de prévoyance et d’anticipation. Dont le dispositif Hadar montre l’engagement marocain qui constitue le fond de cette approche maximalisée de vigilance sur le plan de sa matérialisation visible sur le terrain. Sauf que, c’est vraiment navrant de voir fuser des critiques sur les réseaux et médias sociaux avec un zèle déconcertant à propos de ce dispositif. Alors que la logique c’est de bien en comprendre la raison fondamentale, non seulement par la connaissance des risques terroristes guettant le pays pour en faire un enjeu guerrier et en même temps message pour l’étranger. Mais aussi, un thème qui concerne les alternatives socio-économique d’adhésion et d’incitation des marocains vers la concrétisation de la démocratie participative dans l’Etat de droit. Autrement dit, pour ne pas continuer à se tromper sur l’objectif véritable du traitement des dysfonctionnements de la gouvernance socio-économique, en usant du grand Erasmus de l’apprentissage de la formation professionnelle par des chemins parallèles avec une différence d’un ministère à l’autre  dans la conjoncture actuelle. Et aussi par la relance de plan cohérent de croissance pour le plein emploi, s’ajoutant aux réformes éducationnelles sans zapping et aussi loin de l’impuissance inadmissible par rapport à la volonté royale d’aller plus vite vers.

       A cet égard, ne faut-il rectifier la confusion de l’administration n’usant que de bureaucratie ankylosante dont souffre le Maroc, entre validité des priorités et propositions de déblocages des situations d’investissements ? En quelque sorte, pour être plus clair, il faut sortir l’administration marocaine de ses raisonnements qui handicapent la simplification conçue pour instruire les dossiers d’investissements. Surtout en se mettant au pragmatisme sur le rapport au réel de l’entreprise, pouvant devenir une vraie logistique de diminution du chômage, et donc de la précarité inductrice des rêves chimériques potentiellement dangereux. En marge de quoi, ne faut-il pour le gouvernement d’organiser le symposium de répartition au mieux des richesses dans la régionalisation avancée proposée, en arrêtant de se raconter des histoires de rapports gonflés pour soutenir sa parole politique imprécise ? Ne faut-il pour de bon repenser les réflexes économiques et sortir de l’idée après moi le déluge en se faisant prendre au jeu des pichenettes des chiffres et contre chiffres ? Surtout à propos des déficits publics de l’Etat et communes, de la contraction des crédits hypothéquant l’avenir, de la croissance et de la balance commerciale ? Voilà pourquoi, pour être à la hauteur des exigences du dispositif Hadar assurant la maîtrise réelle de tous les éléments constitutifs de l’approche socio-économique globalisée solide et résistante à tous les dangers, il faut sortir de la ligne de l’émotion conductrice à des fautes d’appréciation et d’évaluation de la montée du chômage.


       C’est vrai, cette approche sécuritaire englobe aussi d’autres recherches de partage d’expertise marocaine avec les pays qui le désirent. Surtout ceux limitrophes des turbulences s’articulant autour de l’activité inquiétante de DECH, plus particulièrement les pays du CCG à l’exemple de l’EAU (Emirats Arabes Unis). C’est ainsi que l’on voit en ce moment une symbiose parfaite livrée à la formalisation d’accords de lutte antiterroriste commune, grâce à des arguments vrais marquant le changement évolutif en matière de communication des responsables des deux Etats, en l’occurrence le Maroc et l’EAU.

vendredi 31 octobre 2014

SOUVENIRS D’ENFANCE DE LA GUERRE DES SABLES EN 1963 :

Ceci est juste un résumé d’un volet de mon livre traitant de souvenirs politiques 1960-1975, qui paraîtra le moment opportun. (il s’agit de souvenirs d’un enfant qui aurait vu Oufkir et ses sbires boire du mercurochrome). Croyez-moi ça va décaper !

       Le monde de l’enfance est une source intarissable de souvenirs, que parfois ils sont revisités même longtemps après, notamment les moments oubliés. C’est pourquoi, par ailleurs, moi cet enfant ayant baigné dans une atmosphère trop politique, je redonne à mes souvenirs la fraîcheur dans ce récit actualisé sans paraître seulement en quête de nostalgie de mon enfance à Ifrane. Notamment à propos de la confrontation armée où les algériens et marocains s’y étaient glissés en 1963, livrés à la pesanteur de la propagande d’un coté et au rétablissement d’un droit inaliénable de l’autre. Tout compte fait, il s’agissait de l’échec diplomatique anormal, dans cette malheureuse affaire entre pays frères, à propos du tracé des frontières. Evidemment un peu décalé, par rapport à la réalité par vengeance préconçue de la France, n’arrivant à gober sa défaite au Maroc Tunisie et Algérie. En ce sens, c’est vrai que je n’aime pas fuir vers des exo planètes du rêve, ce qui m’intéresse c’est surtout décortiquer les révélations de l’ancien temps et les mettre en soupesée informative du temps présent au-delà de toute manipulation. Même si je suis certain que les éléments de réponse que je rapporte, ne conviennent pas à tout le monde, j’essaye de rester toujours proche de la réalité par l’expression écrite réelle neutralisant les risques d’affabulations.

       Ce faisant, je sus fort bien depuis mon bas âge de par le milieu familial, que le titre de pays indépendant répondant aux critères d’historicité caractérisée authentique non préfabriquée, est la récompense suprême qu’un peuple puisse espérer. A cet égard, aujourd’hui, ne puis-je dire que j’appartiens à la lignée de ceux qui s’y déploient seulement sur les faits avérés et sur des données tout à fait réalistes dans leur analyse ? D’autant plus, quand je dis, que pendant plus de cent trente ans et même longtemps avant, les algériens toutes composantes ethno-sociales confondues essayaient d’équilibrer leurs différentes qualités en fonction de l’esprit de fusion, ne dévoile-je sine die leur désir élevé de se voir un jour indépendants dans l’unité et la cohésion ? Mais sans oublier d’ajouter, et c’est vrai, la période fut longue à même d’être devenue le carrefour d’une identité brodée entre joug ottoman et colonisation française. Qu’au demeurant est devenu au file du temps la boite à chagrins des pieds noirs comme disait De Gaulle, et aussi la demeure dont les tombes se sont succédées sur sa terre dixit Albert Camus. Contrairement à nous autres marocains qui savons d’où nous venons  et où se dirige-t-on en donnant du sens à l’esprit de fraternité et d’unité loin des arbitraires.

       En effet, pourquoi cette animosité du pouvoir algérien s’étant restée dans la délation à la renverse, au détriment de l’entendement entre les deux peuples ? De surcroît, ne voulant obtempérer même sachant que ce voisin de l’Ouest est séculaire de par le déroulé de l’historicité de sa durabilité, n’ayant jamais souffert d’aucun joug à travers les siècles. D’une façon générale, et jusqu’à la confluence des arabo-musulmans des amazighs Kabyles et autres pour la même cause, quelques érudits algériens bien décidés à relever le défi pour l’indépendance étaient partagés sur le chemin à suivre. Parce qu’ils avaient peur qu’on leur vole le sens noble de l’indépendance, lequel est basé sur l’ébauche amazigho-arabe pré-maquettée auparavant à Tanger. Ne voulant devenir les pestiférés de l’histoire, ni les bernés par l’esprit enragé du panarabisme au Machrek, dont on voit les conséquences aujourd’hui. Pourtant il n’y avait pas de mystère dans cet univers de tendance à l’indépendance, seule l’acceptation de la lutte armée pouvait les en dissuader de continuer dans la méditation, et, donc par conséquent passer à l’allumage des foyers de résistance mêmes disproportionnés. A l’exemple de la Toussaint rouge en référence à la nuit du 31 Octobre-01 Novembre 1954, où le FLN pour la première fois commettant des opérations insurrectionnelles en 31 endroits sur tout le territoire algérien.

       De ce point de vue, chose dont je fus précocement vraiment convaincu qu’on ne le veuille où pas, la disparition de la colonisation en 1961 en Algérie est aussi partiellement due au concours des voisins tunisiens et marocains. Néanmoins, il n’en demeurait pas pour moi de savoir face à cette réalité, que certains dirigeants du FLN avaient pris cela comme danger pour eux. Au point d’avoir estimé que c’était là une des meilleures occasions du genre propagande morale du million de martyrs qui s’offrait à l’Algérie indépendante. Mais, si et seulement si, ils s’appuient sur les idées de théorisation de la lutte armée pour la décolonisation afin de continuer à faire événement. Sauf que, n’en déplaise aux crieurs supporteurs des dirigeants-loups actuels à propos de ce stratagème qui a tant duré, offrant à la chronique onusienne d’autres volets d’occupation des instances même sans fondements. Surtout, si on affine encore plus cette analyse politique, n’est-ce pas cela voulait sans doute dire pour d’autres raisons, que les valeurs et les priorités de construction du Grand Maghreb ont mal été placées d’après-eux ? Et, par conséquent de ce fait, bizarrement, les couronnes de cet espoir ont été remplacées coté algérien par celles de la mésentente et la haine vis-à-vis du Maroc. Aussi, ne ressent-on une étrange sensation, quand, comparant le rêve fantastique de la construction du Grand Maghreb à la réalité d’aujourd’hui au bord de rupture des relations diplomatiques si ce n’est carrément risque de déclenchement d’un autre affrontement direct non moins absurde. N’est-ce même devenu une sensation insupportable du fait de redondance d’attaques armées vis-à-vis des marocains aux postes frontières et dans les champs limitrophes, en plus de l’inondation du Maroc de médicaments psychotropes ? Dont les tenants et aboutissants de Ksar Lamradia s’en réjouissent, car sapant l’imagination moderne de l’espace maghrébin que désire le peuple algérien au coté de ses frères marocains.

       Voilà ce qui est dit sans détour ni faux fuyants, le climat politique particulièrement pénible qui rongeait les relations algéro-marocaines en 1963 incitait à la surenchère. Et ce, malgré la dénonciation coté marocain de l’exploitation scandaleuse qui est faite par le pouvoir de Ben Bella, dont la conception de par son amateurisme a donné naissance depuis à une dualité schizophrène comportementale des dirigeants algériens. Laquelle, relève de méthodologie de filouterie politique ayant tout de suite commencé à insulter l’avenir, en plus ouvrant les portes de la guerre des sables en 1963 qui fut déconcertante et dé-constructrice pour l’envolée maghrébine tant souhaitée. C’est vrai il y avait une vraie mobilisation marocaine derrière au sens large de ce que ça représentait comme symbole, et que l’OUA à l’époque se situait dans le devoir d’aider à l’apaisement dans l’attente du règlement de ce différend frontalier. Ce qui avait crée de la valeur à l’armée marocaine, étant donné que l’Algérie a fait appel à des initiatives-plaidoyers de marocains voguant entre fantaisie et rêve pour dénigrer leur pays. Au contraire, leurs réquisitoires violents anti Maroc, avaient conditionné les marocains pour ne pas faire impasse sur le partage de l’amour qu’ils portent à leur pays.


       Et oui, cet événement était le reflet de l’état d’âme de la logique nationaliste des marocains, allant jusqu’au succès plus efficace et égal de la « Mouwatana Al Haqqa » dans toute les générations d’après. D’ailleurs, n’est-ce depuis ce moment précis que naquit la rancune voire la rancœur des dirigeants algériens à l’égard de tout ce qu’entreprend le Maroc ? Car ne se sont jamais remis de la défaite-éclair subie, tellement qu’aujourd’hui en plus des contre-offensives diplomatiques haineuses dans l’affaire du Sahara marocain, ils utilisent le langage non codé presque direct d’une menace de représailles guerrières ouvertes sans merci. Mais, pourquoi continuent-ils dans cette voie, ne savent-ils encore que le Maroc n’avait aucunement accoutumé ses citoyens à encaisser sans réagir ? Parce que, s’il arrivait que l’Algérie des généraux nababs continue à narguer son voisin de l’Ouest en se targuant de son arsenal militaire, elle risquerait un jour à connaitre l’exacte mesure de la détermination marocaine. D’ailleurs, que les choses soient claires, cette réponse n’est pas une trivialité-menace vis-à-vis des algériens, mais juste un signal non officiel tout aussi non diplomatique au troisième personnage de l’Etat en l’occurrence le président du parlement. Qu’en effet, il se la ramène à profusion emphatique de langage irresponsable vis-à-vis du Maroc, chaque fois qu’il a l’occasion de voir des micros tendus devant lui. A bons suiveurs bonne lecture!

vendredi 10 octobre 2014

LE DISCOURS ROYAL DU 10 OCTOBRE 2014 AU PARLEMENT, N’EST-IL DE CERTITUDE RÉFÉRENCÉE AVERTISSEMENT NUANCÉ ET ENCOURAGEMENT PRONONCÉ ?

S'AGIT-IL DU DISCOURS DE RÉORIENTATION CIBLÉE ?

       Depuis le discours royal du 09 Mars 2011, on n’en pensait pas moins que la lutte contre la sinistrose en politique figurerait parmi les priorités de l’Etat. Dont on espérait par ailleurs, que l’effet de la nouvelle constitution du 01 Juillet 2011 et les conditions de déroulement des élections législatives anticipées du 25 Novembre de la même année, allaient pousser les partis politiques à en profiter afin de sensibiliser davantage les marocains surtout les jeunes à s’embarquer en politique. Malheureusement, ça n’a pas pris complètement l’orientation escomptée, dans ce pays qui fut reconnu pour et par sa grande élite politique d’avant et après l’Istiqlal. Même si, sous le règne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, beaucoup d’avancées sont enregistrées dans tous les domaines donnant de grands espoirs quant à leur attirance à la politique ? N’est-ce pas dans ce discours, il a encouragé les marocains avec la garantie et détermination forte, de s’enorgueillir de leur marocanité ? Laquelle, n'est-elle assurément profondément ancrée dans l’histoire séculaire de leur pays, qu’au demeurant elle ne se troque en aucune façon et pour une quelconque raison ?

        S’ajoutant en plus de la confiance en leurs potentialités, pour ne plus passer à coté de la prévalence de l’action royale dans le monde, se caractérisant à soutenir l’éveil des jeunes à prendre la destinée de leurs pays respectifs en main sans se laisser berner par personne. N’est-ce cela, que tout un chacun aura constaté dans les tournures et relances directes du discours du Roi devant le parlement le 10 Octobre 2014, à l’ouverture de la première session de la quatrième année de la neuvième législature ? Incitant le gouvernement les parlementaires la société civile et les décideurs dans les institutions et instances à se mobiliser pour accompagner dans la responsabilité, l’effectivité des lois de la mise en conformité de la constitution que nous envient tant de pays. Tout simplement parce qu’il s’agit d’une course contre la montre qui s’annonce, dans l'espoir qu'elle se concrétise selon une vision claire et porteuse pour la consolidation des acquis sociaux économiques culturels cultuels et politiques. En plus de tout donner pour mettre en valeur le patrimoine immatériel marocain très riche et pléthorique, pour le faire fructifier dans tous les secteurs à l’exemple de la formation professionnelle l’enseignement et la culture.

       Pour cela on ne peut pas dire que le peuple  marocain bien éduqué, en soit exempt de cette recherche des échanges socio économiques et politiques de grande portée identitaire. Etant donné que le Roi a finement montré que la société marocaine dans toute sa composition, est devenue l’interface des sensibilisations, débats, formations et informations contre toutes les sortes de dépravations. Au même titre que les autres actions, pour en faire une priorité de gouvernance par l’égalité des chances et pour la paix, et aussi contre les extrémismes religieux et autres tendances xénophobes. C’est vrai, que le Souverain a aussi distillé qu’y en a des hommes politiques qui agissent malheureusement en méconnaissance du terrain mouvant qu’est la société marocaine aujourd’hui. De surcroît, le faisant, loin de toute codification anti-dérapage ne s’en souciant de leur conduite insolite provoquant brouhaha d’in considération à leur égard. Car, allant jusqu’à préconiser des actions politiciennes d’opportunisme et affairisme non équilibrés et non réfléchis. Voire sans hauteur de vue, pas seulement de par l’interprétation qu’en font les observateurs et analystes politiques, mais aussi de l’image négative qu’ils donnent d’eux-mêmes portant préjudice à leur famille politique.

      En ce sens, pourquoi ne savent-ils que le marché de la politique prend de l’extension et de la hauteur ? Et, que la ligne de démarcation est visible à tout un chacun pour l'arrivée au pouvoir Exécutif, sans mésentente déplacée ni dé-confiance outrageante des uns par rapport autres ? Autrement dit, que pensent-ils aujourd’hui ces politiques de cette période qualifiée de cruciale non sans raison, et dont aucun essai de concordance digne de ce nom ne semble à ce jour être mis en oeuvre entre eux, dans l’intérêt du pays pour corriger leurs flottements politiciens ? C’est vrai, il n’est pas facile d’apporter une conclusion rigoureuse sur ce sujet, même s’il y a des tentatives d’analyse politique plus où moins objective, au niveau non seulement de l’observation des faits mais aussi de leur explication. Ainsi, dans le cadre d’une présentation de tout dilemme d’incompréhension à propos d’un fait et/où événement de ce genre, la vérité ne serait-elle celle du réalisme ? Surtout quand on voit le succès foisonnant des racontars, faisant renaître la paranoïa des uns jusqu’à l’autosatisfaction du désir. En plus de l’irrationnel voire le déploiement du rêve des autres, leur permettant souvent la fuite devant la réalité politique.

       En revanche, que les jaloux se mordent les doigts dans leur mépris, où, continuent à se tordre d’angoisse dans leur déni, le Maroc n’en bougera pas d’un iota de sa ligne de conduite politique sereine et responsable à propos de sa marche vers le progrès socio économique dans la sécurité et la stabilité de son Sahara. Sa propre feuille de route vers la démocratie et le respect des instituions étatiques, est ainsi normalement tracée par son propre effort. Voire aussi son abnégation lui permettant de rejoindre les rangs des pays ascendants classés au tout devant de l’échelle de reconnaissance, parce que s’étant vu auréolé de la confiance de la communauté internationale. Et ce n’est pas parce que ces jaloux rentrent dans le domaine des supputations en politique sans morale, que le Maroc cédera à leur manipulation des petites consciences. Il ne leur laissera point de terrains ni leur fera de cadeaux, à même d’aller jusqu’à démontrer à leur soi-disant audience sa matérialisation de la vérité de par son expertise diplomatique reconnue. N’est-ce pas, beaucoup d’exemples offensifs parlementaires associatifs et syndicaux, par ailleurs constatés au fil de leur historicité ces derniers temps,  caractérisent ce forcing diplomatique marocain ?

       Déjà, derrière les trente quatre partis politiques existants (33+1) à ce jour, les principales productions sont les élections communales socioprofessionnelles et parlementaires. Sauf que dans le nombre croissant de leurs mésententes, les électeurs n'en peuvent plus d'éviter de tous les sanctionner. Sans omettre la confiance du peuple à la certitude référencée de l’Etat, par chance, plus grande encore depuis l’avènement du règne du Roi Mohamed VI, à aller de l’avant méthodiquement sûrement pour assurer une installation solide et porteuse d’avenir à travers les institutions et instances constitutionnalisées. N'est-ce ce que montre le montage de ce discours royal dans ses intonations structuralistes en idées de ciblage, témoignant de la volonté de promouvoir le développement de la démocratie de l’intérieur sans truquage ni volonté de report d’échéances? D’ailleurs, pour sa part, l’Etat-Maroc, lequel est normalement situé à distances égales des partis politiques, n’émerge-t-il majestueusement de ce foisonnement toujours en recherche d’amélioration ? Et ce, malgré la description très pale faite par des nonistes via leurs positionnements contrebalancés, s'intensifiant en fonction des variations de la pratique politique gouvernementale quelque part brouillonne. A cet égard, la majorité et l’opposition sont restées à mi-chemin entre l’effectivité de la constitution et leurs prévoyances pré électoralistes frôlant l’extravagance et la mesquinerie politique, que l’on est en droit de qualifier d’hallucinatoires par dé-chance.

       Néanmoins vérité oblige, aujourd’hui, qu’ont-ils préparé ces politiques pour la régionalisation avancée qui arrive, si ce n'est provoquer cafouillage délibérément ne visant qu'à essayer de garantir leur protection de la sanction électorale? Dont les observateurs du champ d’action des partis politiques sont désappointés par ce vide sidéral en propositions bien élaborées et mûrement réfléchies. Au vu de leurs chamailleries d’intérêts politiciens étroits sans valeur ajouté, conséquence de cette légèreté décevante à beaucoup d'égards. Peut-être se trompaient-ils sans le savoir ces observateurs, parce qu’ils supposaient que les chefs avaient de la suite dans les idées, pour accompagner ces changements hautement stratégiques pour la pérennité et la stabilité du pays. Pensant même, que leurs motivations séparées leur donnaient une maîtrise les uns sur les autres à propos de ce chantier grandiose et sur bon nombre d’autres sujets. Mais, là ou il faut faire une pause de réflexion, c’est qu’il n’en est pas de même, du coté de certaines associations valeureuses par la force de leurs propositions positives honnêtes et citoyennes allant dans le sens de la décentralisation mesurée et prometteuse. Contrairement à d’autres encore émettrices d’idéologies d’un passé révolu inutile et sans intérêt pour les sympathisants, faisant établir à leur guise un genre de lien à contre courant du temps présent pour asseoir leurs idées préconçues de ce que devrait être leur pensée à propos de la régionalisation. Notamment quand elles s’adressent à la société civile toute entière, sans être en mesure de l’en convaincre à propos d’un tel ou tel découpage administratif territorial.

       Il est désormais nécessaire de s’atteler à un véritable pacte de bonne conduite, comme l’a faite distiller Sa Majesté dans ce discours, une sorte de gentleman agreement de responsabilisation des acteurs politiques. Afin de ne plus revivre les situations à la renverse et la controverse par l’usage d’un nouveau genre politique à tomber sur la tête. Ne visant qu'amalgamer les positionnement, que ça soit en ON, par exemple dans le semblable-antipathie en mode d’expression politique devant les micros et caméras vis-à-vis du camp adverse à chaque fois que l’occasion se présente. Où, en usant savamment en OFF du semblable-sympathie en liens de connivence politique sur le terrain pour raisons électoralistes. De toute évidence, surement les politiques depuis ce discours, ils ne s’estimeront plus dans l’obligation de faire valoir leurs agissements rien que de la sorte notamment en provoquant brouhaha. Parfois, l’utilisant en tant que manœuvre de soi-disant renseignement sur l’état des futures élections et enseignement politique sur d’hypothétiques dépassements ou neutralité passive de l’administration. Que Dieu préserve le Maroc de ces tricheurs patentés, n’est-ce pas d'ailleurs pour cela, seul le choix de la démocratie à forte participation des électeurs, assurera et réservera la bonne résolution à cette péréquation du processus électoral futur ?  

lundi 29 septembre 2014

EN QUOI CONSISTE L’OSSATURE POLITIQUE DU DISCOURS ROYAL LU PAR LE CHEF DU GOUVERNEMENT AUX NATIONS UNIES (SESSION SEPTEMBRE 2014) ?

S’AGIT-IL DU DISCOURS DE LA RÉDEMPTION POLITIQUE MAROCAINE AU SEIN DE L’ONU ?

       Les souffrances et les retards causés en développement socio-économique par la colonisation en Afrique, surpassent-ils tout ce que les peuples avaient enduré de par la mauvaise gouvernance depuis leur accès aux indépendances ? A voir ça de cet angle, logiquement une question vient immédiatement à l’esprit à l’heure actuelle en Afrique, surtout après lecture du discours du Roi du Maroc aux Nations Unies. Pourquoi, ces derniers temps en Afrique, on commençait à s’orienter de plus en plus, vers l’emploi d’éléments de gouvernance juste équitable et démocratique? N'est-ce pour réduire les facteurs promoteurs de mauvaise gestion hérités des colons, ayant conduit l'Afrique à beaucoup de désastres sociaux économiques et humains voire génocidaires ? A cet égard au Maroc, n’a-t-on pu dans ce sens, grâce à sa stabilité singulière dans la région, et l’apport de son expertise dans plusieurs domaines, pousser l’Afrique à essayer de prendre sérieusement son destin néanmoins entre ses mains. Parce qu’avec l’Occident même longtemps après la décolonisation, et c'est avéré sur bien de points toujours en suspend, il ne s’est constitué surtout avec l’Afrique jusqu’à présent, qu’une approche palliative dans le traitement du sous-développement à quelques exceptions près.  C’est sans doute le drame de l'Afrique et aussi le coté désolant des dirigeants en Occident, voulant se montrer fermes vis-à-vis des dirigeants africains à propos de leurs politiques suivies. Sans en montrer le bon exemple chez-eux face aux diverses crises qu'ils vivent à même d’être gangrenés par des grondements fascistes. Et, en plus sans en être d’aucune aide aux populations africaines dans les terroirs les plus reculés.

       Ainsi, sans pour autant nier que, la coopération internationale est l’un des aspects d’allègement des souffrances humaines, elle est aussi le moteur de tout développement durable qui se respecte. Normalement, quand c’est fait dans le but de construire un espace meilleur paisible et sécurisé, eu égard des impératifs du progrès et protection de l'environnement. En cela, en séance plénière, la soixante neuvième de l'assemblée générale des Nations Unies, n’est-ce pas que l’on s’est rendu compte grâce au discours pertinent du Roi du Maroc, que la colonisation avait des suites bien trop graves sur l’Afrique ? Pour que l’on abandonne à des organismes de par leurs ingérences secrètes et aux instances financières dans leurs pourparlers feutrés avec les décideurs, le rôle de continuer seuls à montrer le chemin à suivre pour avoir un bon IDH (Indice de Développement Humain) d’après eux. Aussi, lors de cette session-édition dans des circonstances conjoncturelles mondiales particulières peu favorables, l’intervention marocaine a enrichi le renouvellement des pensées par la démonstration assortie d’exemples concrets en co-développement durable, et de surcroît adaptés aux partenariats de co-localité gagnant-gagnant.

       Le Roi du Maroc dont le discours fut lu par le chef du gouvernement, a finalement crevé l’abcès du suivisme aveugle qu’impose l’Occident à  l’Afrique sans prendre en considération les spécificités sociales économiques et politiques de chaque pays. Alors, sans vouloir en en blesser personne, ayant distillé une autre façon d’aborder les évaluations de classement dans l’échelle du développement humain et réévaluations des politiques suivies apportant des résultats probants sur le terrain. Tout simplement en tenant compte du patrimoine immatériel des pays, aux relents économiques déterminants pour certains et aux valeurs civilisationnelles reconnues pour d'autres. D’autant plus ne s’agit-il d’une véritable richesse longtemps dilapidée par les pays colonisateurs, les ayant mis à marche forcée du développement socio économique ? Dont aujourd’hui, ils reprochent aux très jeunes pays africains leur retard de faire comme eux en gouvernance et en démocratie. N’est-ce pas là une foutaise, si ce n’est un défaut d’appréciation de leur part, les favorisant toujours à imposer leur hégémonie dans ce cadre africain désormais non propice à leur façon de faire ? Car, leurs dirigeants ne sont pas préparés à abandonner le lestage de l’histoire de la colonisation excepté l'Italie. Sachant en plus, au vu de leur conceptualisation du développement, qu’en cédant sur ce terrain d’accélération de la reconnaissance de leur tort, le résultat en serait implacablement désorientant pour eux. De ce fait, ils pourraient se faire engloutir, et, donc se voir dépasser dans la compétition économique farouche face aux pays BRICS et autres. 

       Voilà une vérité qu’à fait glisser en subliminal le discours de la rédemption marocaine au sein de l'ONU, qu’en fait le Roi en avait déjà posé les fondations au Forum Economique Cote d’Ivoire-Maroc à Abidjan 2014. En conséquence de quoi, des négociations en commissions de l'assemblée générale, furent engagées pour expliquer le fond de l’idée marocaine par des gens compétents en  l’occurrence. Afin de mettre sur pied la plate-forme de cette réflexion, après que de nombreux pays y ont adhéré séance tenante, la trouvant extraordinaire voire révolutionnaire dans l’ordre des discussions au sein de l’ONU. D’ailleurs, il n’a pas été fait jusqu’à présent d’efforts considérables pour promouvoir le concept de la richesse immatérielle parmi les paramètres décisifs d’obtention d’un IDH honorable. Comme ce que l’équipe marocaine très étoffée, coiffée par Youssef Amrani l’œil du palais et le ministre de tutelle Salaheddine Mezouar, s’est efforcée de pousser à mettre en évidence et en chantier de ce volet du patrimoine immatériel dans ces classements.

       A l’évidence, cependant, ne peut-on dire que le Format par le ton et le contenu du discours royal, s’est également adapté aux circonstances économiques et aux conjonctures politiques de par le monde ? D’abord dans ses utilisations indifférenciées multi-paramétriques des réussites marocaines sur le terrain africain, à l'exemple des énergies renouvelables et les finances. Puis dans ses non-dits pour faute de temps, mais qu’il a succinctement esquissé évoqué ou effleuré, de par leur utilité pour le bien-être des africains et pour la paix dans le monde en général. Tout cela, afin de permettre à l’audience de l'assemblée générale de procéder à une analyse, et/où, une comparaison plus aisée de l’approche marocaine multi-potentielle avec et par rapport à d’autres pays. Notamment, à propos du traitement des trois niveaux fondamentaux des difficultés que connait l’Afrique, en l’occurrence, la gouvernance encore titubante le terrorisme naissant  voire existant et grondant et le développement socio-économico-culturel-cultuel non équitable et moins solidaire.

       Finalement, le Maroc a une longueur d’avance à cet égard! C’est-à-dire, il donne la possibilité aux pays africains de se réaliser eux-mêmes, avec son aide évidement dans le cadre de l'économie par l'épaulement solidaire. D'ailleurs, en cette direction, n’a-t-il déjà proposé des réponses qui s’articulent autour d’éléments d’informations fournis par la trajectoire des visites royales en Afrique ? Dans le transport connectivité logistique agriculture tourisme mines santé formation professionnelle pêche administration collectivités territoriales et d'autres par ailleurs tels le champ cultuel et lutte contre le terrorisme. Contrairement à l’Algérie qui use de ses fonds colossaux, pour essayer de s’imposer dans l’interprétation positive que font les populations africaines de l’approche marocaine richement diversifiées. N’est-ce pas que le ministre Ramtane Laamamra, en a eu pour ses frais pendant son allocution devant une salle quasiment vide ? Le malheureux n’a fait qu’attaquer de front le Maroc en réitérant le soutien de l’Algérie au polisario, comme si c’était une découverte à annoncer.

       A toute fin utile, son explication, n’est-ce là que l’ossature politique du discours simple structuré concis et sans danger pour quiconque, a fourni des informations hautement stratégiques pour la stabilité de l’Afrique. Qu’aucun autre examen de situation sans arrière pensée de la part des intervenants, ne s’y est attelé d’exposer précisément tranquillement. Certes, la cuvée des interventions est contrastée cette année. D’une part les spectacles ici bas ici hauts de certains, d’autre part les présentations lyriques très sombres face au danger Daech et Khorassan pour d’autres convaincus que c’est un devoir d’y faire face par tous les moyens. Tandis que pour le reste, parlant un langage de non convergence, passant de l’insipide et le fade à redondance creuse vers le tonique et l’offensif carrément à charge comme ce qu'ont fait Madame la présidente d'Argentine Christina Kreichner et le  président iranien  Hassan Rouhani.

       C’est en ce sens que l’interprétation de l’Etat-Maroc, du tracé du mal africain, a montré sans équivoque la corrélation de cause à effet liée à l’histoire de la colonisation. Pour le Maroc se basant sur ses connaissances et son expertise, traiter localement spécifiquement le développement durable en Afrique, c’est prévenir à la fois les dépravations en gouvernances les pollutions des mentalités et l’installation du terrorisme. Désormais, son slogan est, « une cooptation maîtrisée des partenariats gagnant-gagnant, pour une grande efficacité de coopération ». A bons suiveurs bonne lecture !