dimanche 27 mars 2016

LE MONDE DE LA DIPLOMATIE EN ÉMOI, DANS L’ATTENTE DE REQUALIFICATION DE LA FONCTIONNALITÉ DU SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU ?

LE CDD (CONTRAT A DURÉE DÉTERMINÉE) DE BAN KI MOON EN PHASE TERMINALE, NE POUVANT PLUS ETRE CONÇU A L’AVENIR HORS RESPECT STRICT DE LA FONCTIONNALITÉ ONUSIENNE !

       Les marocains vont bien voire à merveille, mais Mister Ban Ki Moon le sait-il ? A-t-il encore quelque chose à déclarer ? Parce que maintenant tout le monde est au courant, il y a du gaz et du pétrole au Secrétariat Général de l’ONU sous sa direction. Et/où les subsides financiers transvasés par le système Boutaflika dans les poches des souteneurs du Polisario, font aujourd’hui couler beaucoup d’encre en Algérie. D’ailleurs pour être plus clair, qu’espérait-il Lakhdar Ibrahimi l’envoyé spécieux officieux du pouvoir d’Alger pour tâter la possibilité de le sortir du boudoir international dans lequel il s’y est fait volontairement isoler, à cause de ses soutiens aux pactes d’ouverture d’enfer avec Aqmi et pas seulement dans la région ? A cet égard, cet émissaire-négociateur lent, n’a-t-il appris à ses dépens les sorties médiatiques tonitruantes injustes partiales et non neutres de soutien de Ban Ki Moon au Polisario, lors de sa dernière visite dans les camps de la honte et en Algérie ? Au sens où, aujourd’hui la question qui se pose, n’est-elle ni plus ni moins de savoir si l’offre maximale marocaine d’autogestion de 2007 dans la régionalisation élargie, peut être avalisée lors de la délibération du Conseil de Sécurité de l’ONU fin Avril 2016 comme solution constructive positive ? Voilà pourquoi, ceux des rares marocains en fin de vie politique, qui marchent dans leur exoplanète de par leur essai de mobilisation pour faire revenir le Maroc en arrière, ils doivent affiner encore plus spécifiquement la recherche des traces de leur égarement lointain dans le raisonnement de Ban Ki Moon sous emprise du pouvoir algérien.

       D’ailleurs, après les deux dernières réunions du Conseil de Sécurité de l’ONU pour comprendre le tollé marocain et en même temps étudier le SOS de Ban Ki Moon, le climat est en effet plutôt serein presque favorable à la promotion de l’offre marocaine d’autogestion. De plus les USA Russie France Chine Inde Espagne Allemagne Italie Belgique Portugal Grèce Hongrie Bosnie Tchéquie Roumanie Canada CCG Turquie Japon UK s’ajoutant aux pays arabo musulmans et africains en plus des pays de l’Amérique Centrale et du Sud des Caraïbes et l’Océanie et Asie du Sud-Est, ont tous vanté cette forme moderne de solutionner définitivement le problème du Sahara marocain. D’où la décision importante, pour la première fois du Conseil de Sécurité multipliant ses appels à une autre requalification des contacts de l’ONU avec les vrais protagonistes en l'occurrence le couple Algérie-Maroc. Dont on en voit les prémices par la programmation de la venue de John Kerry le secrétaire d’Etat au Foreign Office des USA à Alger, certainement pour obtenir l’engagement des services de renseignement militaire algérien de n’attiser le grondement terroriste dans la région par des contacts condamnables, que ça soit avec Aqmi ou autres. De plus, Serguei Labrov le ministre des affaires étrangères de Fédération de Russie pour arrêter l’imprévisibilité s’inscrivant dans un accroissement de mésentente du Maroc avec Ban Ki Moon, serait lui aussi attendu dans la région après son premier passage pour pousser à l’apaisement ayant pour effet de promouvoir durablement la position du Maroc. Ce qui fait précipiter la France à recourir à la même argumentation en faisant un débarquement sans précédent de son gouvernement à Alger, parce qu’il y va de ses intérêts stratégiques avec le Maroc. Et, en sollicitant de l’Algérie de faire utilement le choix du développement contre la fumisterie de l’épaulement d’une entité fantoche qui n’a plus de raison d’exister par les temps qui courent. Notamment, avec les risques et dérapages perceptibles en cas de variations in pondérées de production de la violence par l’augmentation de la charge tensionnelle aux frontières qu’elle avait elle-même sournoisement fabriqué.

      Cependant, ce qu’il faudrait savoir c’est pourquoi le Conseil de Sécurité n’a pas encore condamné les pratiques qui s’étaient développées entre factions du renseignement algérien dans leur recherche d’intermédiaires terroristes pour déstabiliser le Maroc ? Sachant d’emblée que ce type de contrat connu de tous les marocains, n’en ferait qu’attiser plus d’inimités vis-à-vis de l’Algérie dans le monde, particulièrement dans le bassin euro-méditerranéen et la bande sahélo-subsaharienne-africaine. N’est-ce là un rappel à la raison à faire explicitement sans détour au pouvoir Boutaflika, parce que dorénavant, on ne peut plus dire ‘’on ne savait pas’’ pour minimiser sinon justifier implicitement le recours algérien à la nébuleuse terroriste ? Autrement, ça serait à l’encontre du Maroc, une décision dramatique et incompréhensible même on n’y renonçant pas d’attaquer Ban Ki Moon en justice, parce qu’il a utilisé son rôle de facilitateur à des fins internationalement illégales et donc condamnables s’agissant de leur dangerosité de déstabilisation de toute la région. Même si, il y a déjà l’utilisation de matelas diplomatiques des pays amis pour jouer les intermédiaires dans la prise de responsabilité historique par le Maroc, en guise de souplesse pour ne pas trop charger Ban Ki Moon.

       En tout cas, n’est-ce un camouflet cuisant pour les attiseurs au Secrétariat Général de l’ONU, qui utilisent abusivement l’emphase creuse voulant banaliser les propos de leur patron à Bir Lahlou en zone de séparation et au siège du ministère des affaires étrangères à Alger ? D’autant qu’il se trouve que l’application du droit international, n’exonère pas le Secrétaire Général et ses sbires filipendules tous rangs confondus du respect des articles du texte qui régit le fonctionnement et la fonctionnalité des Nations Unies. C’est vrai, il peut y avoir comme dans beaucoup de cas sous Ban Ki Moon d’interminables tractations, mais cela ne l’autorise aucunement de s’obliger à faire ce qu’il a fait outrepassant ses prérogatives et en même temps outrageant et méprisant les marocains. Pire encore, maltraitant le ministre de tutelle d’un pays souverain qu’est le Royaume du Maroc, pour des motifs extra-onusiens puissent-ils être à minima de servitude pour ne pas dire loyalisme au pouvoir algérien.


       Evidemment, une évocation honnête sans percer d’autres mystères Ban Ki Mooniens, son contrat de travail temporaire à durée déterminée (CDD) même renouvelable en tant que Secrétaire Général de l’ONU, ne peut avoir ni pour but de déstabiliser toute une région, ni pour objectif de pouvoir clouer au pilori l’offre marocaine d’autogestion. Qu’au demeurant, elle est politiquement liée à la confirmation du jugement historique de la cour de Justice de La Haye 1975 en faveur du Maroc. Contrairement à l’interaction entre, l’illustration manifeste et publique de la panne du pouvoir algérien face au désir populaire d’en finir avec le Polisario et la crise actuelle du traitement de la demande d’autodétermination de la Kabylie dont déjà beaucoup de pays s’y préparent pour la soutenir. Comme ça, on ne peut pas dire que le risque devient de plus en plus grand, de voir dans le futur proche le pouvoir algérien redoubler d’effort pour montrer pate blanche sur son alignement à l’offre marocaine maximale d’autogestion. Et, donc conséquemment de retrouver la confiance de ses citoyens jusque là perplexes quant à leur avenir sans le Maroc, lequel est très en avance dans la programmation de son développement pléthorique avec ses propres moyens, en plus de la mise en effectivité de la régionalisation avancée. A bon suiveur bonne lecture !

vendredi 25 mars 2016

BOUTAFLIKA BAN KI MOON ET BEL MOKHTAR DANS L’ŒILLETON DES MAGHRÉBINS ET PAS SEULEMENT.

C’EST QUOI CETTE TRIVALENCE B3, D'IRRESPONSABILITÉ DE BOUTAFLIKA ET BAN KI MOON CONJUGUÉE DE MENACES DE BEL MOKHTAR A L’ENCONTRE DE LA SOUVERAINETÉ ET STABILITÉ DU MAROC ?

       Ban Ki Moon Boutaflika et Bel Mokhtar, continueront-ils dans leurs liaisons métastables dangereuses à distiller leur haine du Maroc? Sachant, rien que pour ça ils sont spécialement honnis des maghrébins des sahéliens et subsahariens-africains cherchant à vivre dans la paix et la quiétude comme du bon vieux temps. En tout cas, la prise de responsabilité dans la transparence, tel est l’intitulé que l’on peut donner aux diverses ripostes marocaines diplomatiques et autres à l’encontre du Secrétariat Général et non contre le Conseil de Sécurité de l’ONU, par suite de cette trivalence du mal. D’abord pour faire face à la fuite en avant de Ban Ki Moon sur sa partialité et non neutralité exprimées par ses liaisons dangereuses propolisariennes. Ensuite pour montrer que ce n’est nullement une approche fictionnelle de la part du Maroc, sur la gouvernance étatique militariste misérablement terroriste-dépendante de Boutaflika. Et, enfin pour exprimer sa détermination à anticiper sur les menaces terroristes de Bel Mokhtar Mokhtar alias Belaouer (Le Borgne), sortant qu’on ne le veuille ou pas des grottes du gruyère proche du souterrain du Hoggar jadis poste de commandement des essais nucléaires français dans le sud algérien. Bien sûr sans omettre celles du Polisario lancées en subliminal, et dont dorénavant automatiquement le Maroc en serait contraint d'user de son droit de poursuite le cas échéant même en terre algérienne.

       D’ailleurs ce positionnement ferme du Maroc, n’est-il accrocheur plein de solennité en ce moment, car réaliste et épuré des non-dits mettant du baume au cœur de l’impatience des marocains d'en finir une fois pour toutes ? Aussi, n’en déplaise à Ban Ki Moon que les ripostes marocaines, montrent en plus aux grisonnants de ses supporters au Secrétariat Général de l’ONU, de surcroît vendeurs de leurs âmes au pouvoir algérien, qu’ils se trompent. Et que ça ne servirait à rien de continuer leur rafistolage de leurs tergiversations un coup ceci un coup cela contre le droit international, ne pouvant que réveiller les souvenirs endiablés de leur prise de position au Liban Soudan Congo Egypte et autres. Voilà ce que ce positionnement marocain significatif dans sa mission de direction des consciences, établit comme vérité à la suite du sautillement accéléré de Ban Ki Moon d’abord en terre algérienne puis à l’ONU contre le Maroc. Dont, tous les marocains avertis s’en sont accordés avec lucidité en matière d’analyse politique du fil conducteur de ces événements, pour décrypter les ruses et dispositifs que ce dernier veut leur imposer en tant que plan B encore plus mafieux. N’est-ce là où les intellos et politiques marocains doivent faire connaitre leur utilité, dans l’explication de ce que c’est une solution constructive et positive si ce n’est l’offre marocaine d’autogestion 2007 dans la régionalisation avancée ?

       Désormais on peut le dire maintenant, que fera-t-il Ban Ki Moon l’imprévisible, face aux informations qui ne sont plus classées secret défense à l’encontre de ce qu’honteusement Boutaflika et ses généraux nababs préférés appellent ces dangereux criminels marocains ? Continuera-t-il à vouloir tancer la riposte du Maroc avec l’aide du Conseil de Sécurité, sans qu’il n’en voie que c’est son échec personnel dans son rôle de facilitateur qu’il a omis de mettre en œuvre ? Qu’en plus, on peut en voir un sadisme à portée profondément troublante et/où son machiavélisme ne fera que détruire une fois pour toutes le rêve de la construction du Grand Maghreb. A cet égard, aujourd’hui Boutaflika faisant le comateux qui s’éveille de temps en temps, se montrera-t-il à son corps défendant raisonnable et à la hauteur de la responsabilité qu’incombe la charge d’un chef d’Etat et éviter de continuer de manipuler à la fois Ban Ki Moon et Bel Mokhtar ? D’autant, c’est vrai qu’il bénéficie ouvertement du feu vert de son pré carré à Ksar Lamradia et d’une fraction de l’armée, pour mettre la région à feu et à sang par désir de vengeance sur sa propre histoire ?

       Et oui, on ne peut ne pas dire, que ce natif d’Oujda n’ait dûment donné à ses cauchemars de n’être recruté dans la police marocaine, une véritable dimension de rancune-rancœur à l’égard de tout ce qui est marocain. Néanmoins, après, son inexorable ascension de son errance à son positionnement du coté des putschistes avec Boumedienne contre Ben Bella et ses accompagnants érudits, n’ait été faite que grâce à son origine marocaine par le sol. Dont, bizarrement il n’en a jamais tenu compte à même d’être incompris de ses proches restés au Maroc, qu’au demeurant eux se montrent sensibles aux liaisons du sang de l’amour et de la fraternité des deux peuples. Malheureusement, c’est plus encore dans ses angoisses que surgit son insolence dans ses apparitions brèves, et dans ses commandements à distance comme dans le cas du discours d’Abouja plein de jalousie qui fut mêlé à sa rancœur chère à ses généraux, que Ban Ki Moon a pris comme argent comptant. N’est-ce cela, qui risquerait de pousser ce président-légume dans le tourbillon des tranchées, croyant dans sa semi-somnolence se distinguer par cette soi-disant bravoure sans véritable soutien ni mobilisation des algériens si ce n’est qu’ils veuillent aller à Tindouf pour chasser le Polisario ? Parce qu’après, pour s’en sortir de ce guet-apens tendu non exclusivement par son entourage civil-militaro-terroriste, il n’en aurait aucunement de place dans l’échiquier des dates politiques du futur algérien, mais seulement dans les pressoirs de l’Histoire en le faisant partie du rab des damnés avec ses néo-faucons en présence du manitou manipulateur attitré Christopher Ross au nom de Ban Ki Moon.


       Evidemment, c’est incontestablement la riposte la plus déterminante dans ses dimensions politiques, jamais entreprise par le Maroc pour contrer les manipulations au Secrétariat Général dans le dossier de son Sahara. Et, dont il faudrait s’en féliciter de la résurgence patriotique des marocains du pays et du monde, à l’égard de l’image que voulait renvoyer d’eux Ban Ki Moon en les montrant de vulgaires occupants d’autrui. De sorte qu’ils ont refusé en bloc, hommes et femmes, jeunes et moins jeunes, ce surinvestissement navrant dans le déni des réalités de sa part en tant que Secrétaire Général de l’ONU. Notamment, de par son illustration de la fausseté qui donne l’illusion d’être une approche à travers soi-disant sa nouvelle perception des choses dans le dossier du Sahara marocain. Foutaise qu’est ce raisonnement de non neutralité évidente dans sa fonction, de partialité flagrante dans ses positionnements et de traîtrise déconcertante à la charte de l'ONU de sa part ! Tendant aujourd'hui dans son intarissable rôle de bouffon égocentrique vers l’obscurité des tractations dans les couloirs onusiens, pour ne pas éveiller les soupçons et échapper à d’autres modes d’expressions dans la continuité lucide des marocains pour le recouvrement total de toutes leurs souverainetés territoriales. A bon entendeur salut !

mercredi 23 mars 2016

TACT POLITIQUE MAROCAIN, FACE AU PACTE ALGÉRIEN AVEC AQMI ET ACTE DÉCEVANT BAN KI MOONIEN A L’ONU !

QUEL PEUT ETRE L’IMPACT DE L’ APPORT INFORMATIONNEL DE WIKILEAKS, SUR LES COULOIRS MORBIDES DU RENSEIGNEMENT ALGÉRIEN ?

       Aujourd’hui le pouvoir Boutaflikien, n’est-il face aux conséquences incalculables de ses mystères irrationnels émanant du rêve chimérique de son armée de mettre le Maroc à genoux ? Alors, que peut-on dire à cet égard ? Sinon, dur moment pour le pouvoir algérien peu habitué à être vilipendé de partout à l’international, car ne se rendant compte du désordre provoqué dans l’armée algérienne elle-même par suite d'attaques à In Amenas et In Salah. N’est-elle par ailleurs aux abois, sans pouvoir nier le niveau de son implication par son pacte-accord avec Aqmi de Mokhtar Belmokhtar alias Belaouer ? Non seulement dans un but de maintenir la pression terroriste sur les pays du Maghreb notamment le Maroc, mais aussi sur toute la bande subsaharienne-sahélo-africaine en faisant trembler l’occident sur ses intérêts. Sauf que, c’en est nullement une surprise surtout pour les connaisseurs avertis des histoires à la Dracula de ce pouvoir, qui maltraite son peuple ne réussissant que création d’inimités devenues ouvertement contentieusement africanisées.

       Avec ce pouvoir, n'est-ce pas que tout semble atemporellement intempestif et dangereux. Tellement qu’il ne faudrait pour le Maroc tomber dans le piège, particulièrement, en ne se faisant pousser dans la réactualisation des anciennes blessures de la guerre des sables 1963. C’a quoi l’équipe Boutaflika même étant pris à parti par la communauté internationale dans un contexte de traumatisme terroriste hautement généralisé de par le monde, elle ne veuille rien savoir. Ce qui permet qui plus est, de douter du script du silence trompeur de ce pouvoir, alors qu’il y a péril en la demeure au titre de son calendrier de construction des contacts prouvant des négociations parallèles avec la nébuleuse terroriste. Dont Wikileaks en a démontré que le processus de recrutement et sélection est d’autant plus crucial que le contact de sous-traitance, et qu’en effet Midi1TV courageusement professionnellement en a ouvert le bal en ON pour expliquer par la preuve l’ouverture de ce marché terroriste dans le Sud algérien et chez les polisariens.

       Aussi, pour signifier sa colère à ce propos, pourquoi le gouvernement marocain n’a-t-il adressé de communiqué cinglant à l’équipe Sallal. D’un coté pour montrer qu’il ne transige pas avec les complicités des supports béniouiouistes de l’intérieur pro Boutaflika, de surcroît sont incapables de résister aux ors de ses offres corruptrices. Puis de l’autre pour crier son refus catégorique à cette transhumance terroriste subsaharienne-africaine sous bénédiction des services de renseignements algériens. A ce titre, il est maintenant clair que les néo-faucons civils et militaires à Ksar Lamradia à Alger s’activent pour ouvrir un front guerrier direct contre le Maroc. Et qu’en plus les dislocations sociétales dans les wilayas servent d’effet d’aubaine pour leur mise en effectivité de leur stratégie diabolique, dont tout semble indiquer que l’agitation de Ban Ki Moon à l’ONU n’en est qu’un balisage préparatif répétitif terrible. Comme ça, l’on peut affirmer que cet engagement vers l’inconnu s’inscrit à la fois, dans la pensée sadique Boumediennienne et dans celle snobinarde Boutaflikienne qui refuse la proéminence du Maroc. Malheureusement ayant pour objectif en ce temps présent, de polariser le jeu d’alliances autour de la tendance certifiée du Maroc vers l’émergence réelle et non fictive dans tous les domaines. N’est-ce là où on voit qu’elle est inspirée par l’esprit hégémonique centralisateur du pouvoir algérien actuel, dont on peut y voir sa folle envie de sa passion de mise en scène de tragédie terroriste morbide. Qu’au demeurant méprise le droit international, par l’entendement avec ces fractions terroristes et/où chacune l’interprétera de façon radicale sinon diabolique, dès lors que ça dérangerait et blesserait les âmes des voisins dans un but de briser leurs espoirs et prétentions légitimes de vivre sereinement.

       Le brouhaha au Maghreb aujourd’hui n’est pas fait que de simples escarmouches entre factions, il annonce une véritable tragédie sur fond de propagande guerrière si rien n’est fait pour le contenir. Voilà pourquoi le Maroc confiant dans sa détermination à recouvrer toutes ses souverainetés territoriales, il veut ne devoir ses victoires diplomatiques qu’à sa propre feuille de route sans manipulation ni marchandage. A même d’imposer la réécriture de l’histoire de son Sahara, la revisitant au sein des instances onusiennes ou autres pour la vider des mensonges et contrevérités de Ban Ki Moon de l’Algérie et les manutentionnaires propolisariens. En effet, il est à relever que l’Algérie durant les quatre décennies écoulées, n’a jamais eu le courage de poser le problème du Sahara marocain ni dans ses programmes gouvernementaux ni même dans les plateformes des partis politiques. Au point que maintenant, le scandale remonte en paroxysme sur ses visées d’utilisation des fonctions militaro-terroristes à des fins de déstabilisation du Maroc. D’autant, c’est vrai, par suite d’analyse des câbles diplomatiques échangés sur l’Algérie par Wikileaks, il est évident qu’au Conseil de Sécurité de l’ONU on ne cherchera aucunement à la protéger tout en se concentrant sur sa survie menacée de l’intérieur.


       Seulement, à toute fin utile, cette obsession du pouvoir algérien s’alignant derrière ses objectifs désormais non tus voire ouvertement affichés, s’en trouverait devant le profilage du nouveau Maroc trop puissant d’une portée insoupçonnable. En cela, le Polisario, au lieu de continuer de pousser vers cette glissade s'aidant de notes tendancieuses de Christopher Ross, sans pouvoir se dégager des contraintes de l’issue de l’affrontement si par hasard il a lieu, il vaudrait mieux pour lui de ne surdéterminer ses atouts tout en mésestimant voire occultant la puissance du Maroc. Le voilà donc ce Christopher Ross avertis, même envoyant emails et photos à ses amis pour manipuler encore une fois de plus les membres du Conseil de Sécurité ! Sachant que Ban Ki Moon est plus qu’en colère car désespéré ayant voulu dans ses manipulations en catimini pouvoir aboutir à cogérer le dossier de mise à niveau du Sahara marocain par son plan machiavélique de reconversion hypothéquant l’avenir. Mais c’était sans compter sur la vigilance des marocains, d’autant plus que sa déroute s’est accentuée quand, le Conseil de Sécurité lui a presque retiré sa confiance sans raison officielle. Dès lors qu’il est rentré dans un bras de fer avec le Maroc à quelques mois de son départ sans garanties ni aval, au point qu’à l’ONU aujourd’hui on compte bien l’obliger à s’excuser et à prendre ses responsabilités face à l’Algérie qui n’en finit de décevoir. A bon suiveur bonne lecture ! 

dimanche 20 mars 2016

DONC, BAN KI MOON EST UNE TAUPE AU SERVICE DES FAUSSAIRES ET RECELEURS DE L’HISTOIRE DU MAROC.

TOUTES LES TAUPES SONT PIÈGEABLES, BAN KI MOON EST PIÈGEABLE, IL EST DONC UNE TAUPE DE SURCROÎT FACILEMENT IDENTIFIABLE CAR NON MAÎTRE DE SA DESTINÉE !

       Ce qui est navrant c’est après presque dix ans à la tête de l’ONU, pourquoi Ban Ki Moon à l'aune de la préparation de son adieu veut-il démontrer par son ignorance du dossier du Sahara marocain, la différence entre ses conclusions intimes dictées par gorge profonde et les arguments vrais et valables qu’avance le Maroc. C’est ainsi qu’à partir de ces données, il est possible d’évaluer la fausseté de ses propos tenus lors de sa visite en Mauritanie aux camps de la séquestration honteuse des marocains et en Algérie. Mais comment le prouver sans se contenter de noter l’étonnement de le voir considérer comme vrais ses propres dires et gestes par suite de ce qu’il appelle auto-émotion, sans tenir compte de la situation régionale au bord du précipice terroriste ? Dans la mesure où son implication d’après lui, n’exprime pas la relation directe à la conséquence de l’outrage-insulte senti par le peuple marocain. Et bien, il ne lui fallut rien que ça pour prendre les marocains pour des bleus ! Et dire que ce qui compte aujourd’hui en diplomatie, c’est comment penser juste et comment conduire sa raison sans avoir recours à des digressions ni manipulations ? 

       Pour comprendre les aspects de son implication en tant que taupe au service des faussaires de l’histoire du Maroc, il suffit de remémorer le fil d’actualités pour sa venue dans la région. Etant donné que tout un chacun la comprend, une sorte d’exécution-jeu de rôle expansif onusien essentiellement volontaire, en choisissant le calendrier qui l’arrange pour torpiller l’offre marocaine maximale d’autogestion de 2007. Aussi, c’était facile sur la base d’analyse et quantification des ses propos et sautillements, de détecter son calcul prémédité montrant la fausseté complexe visant à dénaturer la vérité sur le terrain et, donc conséquemment tromper la communauté internationale. C’est-à-dire, par son usage de tromperie en substituant au langage onusien naturel une autre conception, il crut pouvoir écarter les certitudes marocaines qui vont de pair avec ses incertitudes à lui. Mais pourquoi ce mélange d’inculture contradictoire de sa part, n’ayant provoqué que secousses onusiennes caractéristiques en réponse à ses montages de contrevérités à l’égard du Maroc ? N’est-ce parce qu’il porte dans son intime conviction soudoyée, le symbole de la négation qu’illustre son opposition catégorique sous contrôle de Christopher Ross à l’offre marocaine dans le cadre de la régionalisation avancée ? Au point qu’à cette fin symbolisée de négativité de sa part montrant sa disjonction mentale, il fallait pour le Maroc en connaitre, au préalable, les particularismes de ses connexions onusiennes anti Maroc. Et, d’en établir la table de vérité entre le faux-vrai et le super-faux de leurs surenchères diplomatiques dans toutes les instances internationales, afin d’anticiper les mesures pour les contrer.

       C’est vrai, en élargissant cette réflexion par rapport à la disjonction avérée de Ban Ki Moon car c’en est une, on ne peut ne pas dire qu’il ne veuille proposer son parti pris dans le rapport qu’il s’apprête à établir pour le Conseil de Sécurité de l’ONU en fin du mois d’Avril 2016 sur le Sahara marocain. Au point, si l’on anticipe l’interprétation sur les possibilités que Ban Ki Moon se serait imaginé dans son approche, on ne peut distinguer raisonnablement que deux cas : Ou bien le Conseil de Sécurité ne changera rien à ce que le Secrétaire Général sous l’emprise proposerait comme solution généralement dictée, et dont il obtiendrait gain de cause pour ses recruteurs, ce qui est inconcevable; ou bien l’on supposerait de ne rien changer à la résolution 2218 avec affinité de degré du possible dans l’encouragement de l’offre marocaine de 2007, et alors il est naturel d’admettre que c’est le camouflet généralisé pour toutes les taupes onusiennes. D’autant plus, l’expression de Ban Ki Moon lors de ce voyage du calcul diplomatique n’a montré clairement, que comment et/où il est passé à cette idée malheureuse d’illogique probabilitaire de n’être entendu par le Conseil de Sécurité. Ce qui se caractérise désormais par le débat sur la nécessité ou la contingence des événements onusiens à venir, dont le Maroc fut amené d’en anticiper proposant ses ripostes fermes selon la temporalité des opportunités diplomatiques sans calcul et sans hésitation.

       Evidemment, dans ce cas précis dont l’ONU n’ait jamais connu auparavant une telle turbulence provoquée par le Secrétaire Général, il s’avère que la proposition marocaine demeure la plus plausible. Parce que, juste fiable viable et facilement réalisable en plus elle est déjà en phase d’exécution coté marocain. S’ajoutant au soutien sans ambages de toute la communauté internationale à l’exemple des USA Russie France Espagne UE Turquie CCG Amérique Latine Caraïbes Inde Chine Brésil et autres. C’est-à-dire qu’elle est porteuse de valeur de sécurité et de développement, par la fidélité à la forme de sérénité dans la mobilisation que tous les Sahraouis hommes et femmes jeunes et moins jeunes, en ont fait preuve lors de la marche de Laayoune 15 Mars 2016. Et/où le Sahara marocain assurera la validité du raisonnement de l’offre d’autogestion dans la régionalisation avancée, en se distinguant des variables individuelles et conceptuelles reliant la fausseté polisarienne à la ‘’Ban Ki Moon-connexion’’ onusienne.


       Finalement à la validité reconnue du raisonnement marocain, pourquoi donc pousser le symbolisme de son ossature diplomatique jusqu’à cet extrême ? N‘est-ce, pour pouvoir dépouiller le contenu de celui que voudrait proposer Ban Ki Moon en Avril 2016 ? Lequel, certainement n’assurera aucune cohérence, ni temporelle ni physique pour vraiment maîtriser tous les éléments constitutifs n’en augurant bien sûr de solution acceptable ? Aussi, la conclusion qu’il souhaiterait n’aurait pas de place aux yeux des organes des Nations Unies, non seulement parce qu’il a cessé d’être soutenu de par le constat flagrant de sa non neutralité et partialité. Mais aussi, du fait même de ses formulations ne désignant qu’il est devenu une variable indéterminée au sein du Conseil de Sécurité. Dont les membres, en ont vu qu’il a fait preuve d’incompétence et en ont compris même tardivement qu’il est une taupe au service des lobbys anti Maroc sans plus ni moins. Comme ça le choix du futur Secrétaire Général, sera sans doute plus soumis au contrôle de compétence de probité et de stature, tellement, pour être élu le lauréat doit se détacher sur le fond d’observation draconienne pour la meilleure gouvernance des dossiers à l’ONU. A bon suiveur bon décryptage !     

vendredi 18 mars 2016

C’EST QUOI CE TEXTO BAN KI MOONIEN ANTI MAROCAIN, EN TANT QUE S.O.S A L'INTENTION DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU ?

BAN KI MOONGATE, UNE AFFAIRE DE TROMPERIE DÉSORMAIS AVÉRÉE AU MONDE !

       Le Conseil de Sécurité de l’ONU par sa prise en urgence du SOS de Ban Ki Moon n’a-t-il fait qu’apaiser la maltraitance du Maroc par ce dernier et ses fournisseurs manipulateurs ? Alors que tout le monde le sait maintenant, la réactivation du satanisme du pouvoir algérien conjugué de machiavélisme Ban Ki Moonien et du saprophytisme polisarien, n’est pas un choix de prudence. Qu’au contraire c’est une tromperie perpétuellement ressuscitée, dont le Conseil de Sécurité sous présidence angolaise en conçoit aujourd’hui la difficulté du conselling de Ban Ki Moon par suite de renchérissement de ses caprices archivés. D’autant que l’une des principales difficultés en diplomatie onusienne sous sa direction, est l’existence d’un large éventail de maladresses aussi déconcertantes que décevantes les unes les autres. Montrant qu’elles sont d’ordre de ses faiblesses à diagnostiquer l’homogénéité évolutive sereine pour plus de rayonnement et développement du Sahara Marocain dans la sécurité, par rapport à l’hétérogénéité dans l’expressivité variable d’un temps révolu de par la fonctionnalité de la temporalité réactionnelle de l’Algérie.

       Du coup, n’est-ce là un comportement irresponsable et omni pesant de la part de Ban Ki Moon, tractant ce mélange détonnant en ne tenant aucunement compte de la tension Rabat-Alger ? Et ce, presque à redondance sur les étapes d’épuration du conflit du Sahara marocain, en plus ne sachant que ça pourrait à tout moment basculer vers la complexification du destin de toute une région. D’ailleurs,  sa communication présentée après avoir mal reçu Mezouar, n’était-elle un SOS en direction du Conseil de Sécurité pour le sauver de l’impasse ? Sauf qu’il a reproduit encore plus de confusion sur le débat concernant le lien entre sa conception de la responsabilité personnelle et le risque de jeter l’opprobre sur le fonctionnement dans la neutralité et l’impartialité du Secrétariat Général de l’ONU. Ainsi, l’on peut dire que ses tergiversations font donc partie de son déterminisme préconçu en terre algérienne, exclusivement par le recensement des priorités orientant ses soi-disant efforts de manière ciblée. Dont certains sont aujourd’hui connus par ce qu’élucidés par les observateurs avertis en tant que syndrome anti Maroc renfermant de véritables curiosités diplomatiques.  

       Bien entendu cette réactivation de leur mal à Ban Ki Moon et ses sbires au Secrétariat Général à l’encontre du Maroc, ne se limite pas uniquement à leurs manipulations diversifiées du pré carré lobbying anti Maroc. Mais aussi à leurs mesures de résections par le chantage risquant de rajouter à l’ONU un autre foyer cauchemardesque de haute dangerosité, dont elle n’a nullement besoin. D’autant plus, la particularité de cette réactivation n’est que les vrais manipulateurs reposent sur des techniques de pression à sens unique ne recourant à aucune objectivité conventionnelle. Notamment celle privilégiant l’interrogation sur l’histoire du conflit pouvant diminuer les mauvaises postures et les pensées négatives sur l’incidence du réchauffement de la tension. Mais, que faire pour sortir Ban Ki Moon de cette logique de tendance vers la création des enfers, alors qu’il a déclaré à qui veut l’entendre que ce qui l’a étonné c’est l’effacement des clivages sociétaux au Maroc dans le cas du Sahara marocain ? N’est-ce là où on voit qu’il vit avec le cercle fermé du pouvoir algérien civil et militaire, un surmoi trop fort, ayant donné leur consensus découvrant à tendance tacticienne manipulatrice ? Aussi, et de l’avis d’experts et sommités reconnues à l’international, le Maroc a devant lui le pire des secrétaires généraux que l’ONU n’est connu. Faisant à la fois le lièvre et cavalier seul pour essayer de se rattraper aux yeux de ses commanditaires, sans avoir la certitude qu’il puisse arriver à orienter le Conseil de Sécurité vers un référentiel algéro-dépendant.

       Si aujourd’hui les diplomates marocains en savent beaucoup sur les manipulations de Ban Ki Moon, désormais répertoriées dans les services du cercle fermé au Secrétariat Général, certains à l’international même accrédités auprès de l’ONU n’en ont aucune idée ni sur le nombre ni sur la fréquence de ces expressions nuisibles au Maroc. Vu qu’elles ne sont pas à déclaration obligatoire en ON, qu’en cela sont souvent méconnues par les praticiens diplomates dans les chancelleries dans le monde. Ce qui constitue une honte et un déshonneur pour Ban Ki Moon, aimant travailler en noir pour cacher cette tare onusienne à caractère de favoritisme sans neutralité ni impartialité dans le traitement des dossiers. Et dont certaines de ces transcriptions peuvent être graves soit du fait de l’existence d’outrage informationnel vis-à-vis du Maroc, soit du fait du risque de dégénérescence gravissime sur le terrain algérien en plein barbotage n’augurant rien de bon, soit encore du fait de la psychose qu’elles engendrent chez les tenanciers de la nébuleuse terroriste au sein des services de renseignement algérien et leurs aides dans les camps de la séquestration honteuse chez les polisariens.

       C’est vrai, le cœur de cette crise avec Ban Ki Moon, c’est son changement de rapport avec le Maroc, ne sachant que c’est une affaire existentielle de tout un peuple. Tellement que son angoisse avec ses technocrates proches du Secrétariat Général, a grossit devenant prégnante de ne pas être compris dans leur gestion dans la discontinuité du dossier du Sahara marocain. D’autant plus, force est de constater, que les marocains estiment qu’ils étaient depuis toujours pénalisés par l’ONU, ne les ayant à aucun moment aidé à recouvrir leurs différentes souverainetés. Dont, aujourd’hui par leurs ripostes bien ciblées et montées intelligemment que tout un chacun connait, ils en protègent leurs arrières surtout après l’épisode UE déjà en mémoire et le feuilleton Ban Ki Moon qui s’en est suivi voulant laisser le Maroc sur le carreau par ses enfumages. Et ce, malgré l’extension des garanties du Maroc pour son rendez-vous avec l’histoire de son offre maximale d’autogestion de 2007, évitant ainsi de tomber dans des accords qui puissent ressembler à un grand marchandage.


       Finalement, n’est-il arrivé le temps de dire à haute voix, d’une part qu’il n’est plus possible pour le Maroc de continuer à se montrer comme une entité sans techniques communicationnelles de standardisation de ses faits et gestes ? Et d’autres part, de ne plus accepter de se retrouver impuissant quand à la prise en charge des turbulences en interne dans de pareilles circonstances. Notamment, en mettant en exergue devant le pays de Tanger à Laguouira leur irresponsabilité honteuse alors que certains de leurs supports ne sont pas exempts de soupçons. A bon suiveur bon décryptage !

dimanche 13 mars 2016

LA RIPOSTE DU MAROC CONTRE LA CHIMÉRIQUE-TACTIQUE PROTECTORAT DE BAN KI MOON, NE DOIT-ELLE ETRE RECONNUE PAR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L’ONU ?

POUR LE MOMENT LE MOINS QUE L’ON PUISSE DIRE A BAN KI MOON LE MANIPULÉ  C’EST DE SE TAIRE, CAR SON ESSAI CHIMÉRIQUE-TACTIQUE PROTECTORAT MÉRITE LA RÉPONSE ÉCLAIR PAR LA PRÉSENCE PHYSIQUE DES MAROCAINS AU DELÀ DU MUR DE SOI-DISANT DE SÉPARATION.

       Le voilà donc avertis Mister Ban Ki Moon ! Il doit écouter les diplomates à travers le monde qui l'accablent et, aussi les marocains de Tanger à Lagouira et ceux du monde qui le grondent le lui faisant savoir par leur marche multi-millionienne (3500000) de Rabat. Dont Mezouar aurait du en anticiper et lui répondre du tac au tac par : ‘’Ça suffit taisez-vous maintenant, vous faites preuve d’incompétence tellement que vous êtes bon pour la camisole pour éviter à la région d’autres blessures à cause de votre mauvais rôle’’. Parce que ça fait presque trois ans depuis le clash USAEEN-ONUSIEN 2013 voulant élargir les prérogatives de la Minurso pour le contrôle des droits de l'homme au Sahara marocain, que les menaces des lobbys anti Maroc à l’ONU se précisaient de plus en plus. Devenant aujourd’hui identifiables et donc mesurables, par comparaison à celles faites à l’égard d’autres conflits où le rush médiatique s’apaisait entre flux et reflux selon les moments des tensions sur le terrain. Ce qui montre vraiment que le Sahara marocain exprimant aujourd’hui son développement sans précédent, par le rayonnement des femmes et hommes sahraouis à travers la culture l’économie l’écologie et la sécurité dans la région, est en passe de devenir l’un des grands enjeux géostratégiques des débats politiques onusiens. Malheureusement, relevant encore de la démarche de Ban Ki Moon affichant sa volonté d’utiliser l’arme du chantage par son essai chimérique-tactique protectorat fourré de coups bas au service des ennemis du Maroc. Une non neutralité avérée aux yeux du monde, poussant à se poser la question, est-ce que vraiment il va bien ?

       Longtemps considéré comme nuage diplomatique passager, en ce temps présent l’essai de Ban Ki Moon ne tend-t-il à devenir gravissime parce qu’invraisemblable ? Il est évident que la réponse à cette situation inédite, est de ne plus rester dans la tendance de confinement des questions stratégiques existentielles à de simples débats entre marocains. Mais, de les mettre dans l'agenda du Maroc diplomatique pléthorique en état de veille continue, en s’avançant par l’offensive sur les positionnements des séparatistes pour contrôler leurs passerelles des régulations de leurs nuisances dans toutes les instances internationales. Encore faut-il pour y arriver, mettre un programme d’envergure de formation de commandos diplomatiques ayant du courage politique fusionnel spécifié multifactoriel cohérent lisible et visible pour assurer dans la durée cette dynamique d’assauts et de reconquêtes. Parce qu’à scruter l’interface communicationnelle que voulait imposer l’état de fait de Ban Ki Moon dans les locaux du ministère des affaires étrangères algérien, il est de l’intérêt du Maroc de sa cohésion sociétale de son développement socio-économique et de sa stabilité sécurisée de se mettre au niveau du tollé provoqué dans les chancelleries du monde. D’ailleurs pour être plus clair, cette charge abjecte ne fut-elle initiée par des diplomates du cercle fermé du Secrétariat Général de l’ONU, sous le contrôle politique strict de l’équipe rodée à cette besogne de Ramtan Laamamra ? Visant en même temps la déstructuration des relations avec le Maroc et le renforcement du relationnel intimiste entre Ban Ki Moon et la cohorte du pouvoir algérien. Avec mission de provoquer d'abord la confusion et déstabiliser dans le futur proche les objectifs rationnels et logiques du Maroc dans son approche de régionalisation avancée. Puis de pouvoir remettre en scelle le Polisario en lui garantissant pérennité à marche planifiée, en usant de stratagèmes pernicieux de rivalités tribales pour diminuer la charge politique de l'offre d'autogestion 2007.

       Forcement, face à ça, les marocains ne pouvaient laisser passer leur émoi après l’effroi jeté par ban Ki Moon. Et ce, sans lui envoyer et à ses commanditaires la signification de la vraie formulation de l’identité marocaine par la vague humaine à perte de vue du 13 Mars 2016 à Rabat. Bien sûr en tant que primo-réaction, faisant partie d’un plan d’action adopté à l’unanimité entre société civile partis politiques syndicats corporatismes professionnels oulémas intellectuels médias et d’autres. Dont l’objectif c’est de partager dans l'avenir l’approche sur le concept de la ‘’confiance préventive’’ avec le Conseil de Sécurité de l’ONU via le CSS marocain (Conseil Suprême de Sécurité selon l’article 54 de la constitution). Afin de rétablir la bonne application des prérogatives du Secrétaire Général dans la neutralité et l'impartialité, ayant pour but le règlement politique définitif du conflit sur la base de cette offre maximale d’autogestion 2007. En cela, dans l’intérêt des marocains, voila pourquoi la marche de Rabat d’aujourd’hui qu’au demeurant est teintée d’émotion, de nostalgie du 06 Novembre 1975 ayant marqué le parcours des participants et d’ambition constructive dans l'avenir, elle s’inscrit dans le cadre de lutte contre l’essai chimérique-tactique protectorat que porte la feuille de route de Ban Ki Moon sur fond de recommandations itératives vicieuses des manipulateurs onusiens. Formulons le vœu qu'après cette marche à l'honneur de la patrie, le Conseil de Sécurité de l'ONU puisse en tenir compte et se sortir lui même de ses balbutiements hésitations voire imperfections, à travers d'indéniables corrections du cour de l'histoire que voulait lui imposer Ban Ki Moon !

       Maintenant, on peut dire les anciens de la Massira (Marche Verte) 1975 peuvent dormir tranquilles. La relève est là aux aguets. Montrant, que personne n’en a le droit d’interpréter à tort la bonté du Maroc comme un témoin de non veille, où même de nonchalance voire d’inadvertance au vu que la question du Sahara marocain est placée au cœur de la trilogie SDS (Sécurité-Développement-Souveraineté). C’est dire que la psychologie du fonctionnement de l'Etat-Maroc est maintenant au point faisant intervenir de nombreuses structures, tant sécuritaires civiles et/où militaires que d’effort d’indépendance énergétique pour le développement tout à azimut. Et oui c’est ça le nouveau Maroc sous Sa Majesté le Roi Mohamed VI, qui n’est lié à aucune hyperexcitation politique exogène par perte involontaire de sa détermination voire besoin urgent de quelque sorte que ce soit. D’ailleurs, n’ouvre-t-il les portes du pays par son aura et sa détermination inégalable dans la région, à l’investissement de pointe à grande valeur technicienne stratégique. Couronnant de la sorte son élan visionnaire de sa politique pionnière d’accompagnement structurant, en particulier dans les 03 régions du Sahara marocain (Guelmim-Laayoune-Dakhla) ? Dont le Forum Crans Montana à Dakhla pour la réflexion et le développement dans sa deuxième nouvelle mouture, en fera le thème essentiel sur les perspectives des échanges multidirectionnels avec l'Afrique et leur réglementation au niveau international. A bon suiveur bonne lecture !  

vendredi 11 mars 2016

QU'EST-IL DEVENU BAN KI MOON DANS L'AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN, SI CE N’EST L’UNE DES PETITES MAINS DES CHANTAGES ET MANIPULATIONS AU SEIN DU MACHIN ONUSIEN ?

C’EST QUOI CE NOUVEAU CADRAGE MANIPULATEUR IRRESPONSABLE ET IRRESPECTUEUX DE LA RÉSOLUTION 2218 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ PAR BAN KI MOON ?

       Est-ce la déconvenue subite du secrétariat général de l’ONU sous Ban Ki Moon le frustré, ne sachant qu’il est juste l'une des petites mains en faveur des maîtres chanteurs-manipulateurs attitrés ? Parce qu’en transigeant avec la neutralité et l’impartialité en totale opposition avec tous ses prédécesseurs, il a fait subir l'atroce mort aux diplomates du cercle fermé au Secrétariat Général de l’ONU. Au sens où, il a bafoué le cadrage du Conseil de Sécurité en outrepassant les lignes directrices affichées dans la résolution 2218. A cet égard, qu’en est-il aujourd’hui de l’essai de réanimation diplomatique onusien, pour dépasser cet affront inadmissible fait aux marocains par le Secrétaire Général en terre algérienne ? Parce qu’attention de ne pas savoir, pourquoi soudain ses mots sont devenus pour lui une ligne programmatique de levée de sa frustration de n’avoir pas assez communiqué sur son aventure intériorisée anti Maroc ? Et aussi, pourquoi cette dimension intempestivement dangereuse pour toute la région, sans savoir que même avec son air de chérubin il ne passe pas pour l’homme ré-inventeur du silence diplomatique ? N'ayant même pas activé les thématiques sur le recensement des séquestrés malgré-eux, sur les détournements des aides internationales aux réfugiés par les nouveaux riches mercenaires-trafiquants et surtout sur les peurs compilées chez les pays riverains par suite au grondement terroriste menaçant. En somme, rien ne rappelle en lui qu'il est l’homme à l’esprit souverain qui n’aime pas conduire d’actions diplomatiques négatives. 

       C'est vrai, qu'avec cette posture, il n'aura jamais l'aura des grands hommes par sa légèreté de soutien des milieux de la paranoïa, même ayant après fait marche arrière face au tollé d’incompréhension provoqué. Dont sûrement il en gardera un souvenir maculé de doute sur ses capacités de fervent défenseur des mensonges et contrevérités de son envoyé spécial Christopher Ross. Effectivement, dans un semblant désir de son renouvellement en fin de mandat, Ban Ki Moon a tenté de modifier les lignes politiques de sa devanture afin de n'apparaître blessé au fond de lui par suite de ses échecs successifs criards. Peut-être, a-t-il rêvé être devenu le Raspoutine du temps présent, pouvant guérir la région du terrorisme en prenant pour caution le soi-disant prestige de l’amitié des usurpateurs de Ksar Lamradia à Alger. Un non sens géostratégique des cultures des mensonges par Ban Ki Moon aux yeux du monde, notamment les experts en matière de lutte anti terroriste qui connaissent le gout pour la manipulation des gens du pouvoir algérien actuel.

       Ainsi, en se rendant en Mauritanie aux camps de la honte et en Algérie, il a fait connaitre au monde entier son penchant à la navigation en double aveugle dans les marais du mercenariat structurel sous influence des grands manipulateurs. Voire aussi son don de falsificateur fou de l’histoire du Grand Maghreb arabo-amazigh, ne sachant même pas que l’Algérie n’a jamais existé. Contrairement à la Libye la Tunisie et le Maroc, dont les gens du pouvoir militaire et civil algérien s’y refusent aujourd’hui d’avoir une pensée tournée vers le passé pour masquer leur réalité d’existence disloquée. Comme ça, pareille stupidité d’analyse de la part de Ban Ki Moon de traiter les marocains comme des colonisateurs d’autrui, n’en peut transposer qu’atmosphère de latence sans espoir et suspicion de maintenance du statu quo devenu vestige des pratiques de ce pouvoir algérien en fin de vie. C’est en ce sens, que Ban Ki Moon une fois hors circuit onusien s’en ira musarder dans les couloirs des congrès privés et autres symposiums secrets. Non seulement pour parfaire ses connaissances historiques géopolitiques afin d’espérer se voir un jour intimement faire amende honorable vis-à-vis de sa conscience. Mais aussi pour pouvoir faire son mea-culpa et négocier une bonne place dans la corbeille des oubliés et éclipsés de la vraie ‘’Histoire’’ de l’ONU.

       Ce faisant, n'est-ce à vouloir se transcender par ses écarts non bien calculés, n’est-t-il devenu sans le savoir le pestiféré du ‘’machin’’ périmé ? Justement, alors qu’il trônait à la tête de l’ONU, il n’en a acquis nullement d’ossature politique même s’aidant des comportements d’énergumènes, en forme chèvres (délateurs) et taupes (espions) pour le compte des lobbys onusiens anti Maroc. Pour preuve toutes leurs déconvenues en série et en parallèle partout où ils intervenaient, certifiant son inaptitude à discerner le vrai du faux dans tous les cas qu’il eut en main. N’ayant provoqué que désolation en forme de partialités déconcertantes eu égard à d’autres expériences avant lui, qu’au préalable il en aurait dû consciencieusement tenir compte sans se laisser faire manipuler. Et donc éviter d’infliger à l’application du droit international, les pires traitements par ses surpassements de non neutralité. Aussi, il est loin le temps lorsqu'il se considérait penseur chevronné même quand il usait d’inexactitude dans ses expressions, parfois non sans ton sarcastique à l’égard de ses interlocuteurs.

       Et oui, normalement un Secrétaire Général diplomatiquement préventif et donc digne de ce nom, fait passer son comportement et langage par la case vigilance. A cet égard pourquoi, lui, ne s’est-il doté d’impartialité et efficacité pour l’anticipation sur les remous de son clash lors de sa visite dans la région ? N’est-ce aussi là où on voit, son implication recommandée à travers la mise en place de protocole de contrôle des gens qui pouvaient l’approcher, n'ayant laissé nulle place à la dissidence forte présente dans les camps ? En définitive, ne doit-on considérer cela, le premier signal déclencheur de la mort diplomatique subite que connait le Secrétariat Général de l’ONU aujourd’hui sous Ban Ki Moon ? D’autant, on est tenté de répondre qu’un certain nombre de gestes de sa part restent intrigants, comme le ‘’V’’ de la victoire qu’il a levé aux camps de Rabouni dans un circuit parfaitement fermé. Ne peut-on dire à ce propos, qu’il se préparait psychologiquement à enfreindre le magistère onusien une fois arrivé à Alger et, conséquemment mettre le monde diplomatique en émoi ? Ce à quoi, il est indispensable pour les marocains dans leur coordination de mettre en évidence leur désapprobation totale de ses faits et gestes, connaissant parfaitement les taches et attributions du Secrétaire Général de l’ONU.


       Ne s’agit-il là d’une obligation pour eux, puisqu’au Maroc les institutions excepté le ministère de tutelle ne sont tenues de se contrôler pour dénoncer les propos les oscillations les sautillements et inaptitudes de Ban Ki Moon. Même si, le Maroc officiel est dans une recherche des fondements diplomatiques saints, pour une nouvelle coopération avec le Secrétariat Général de l’ONU dans l’attente du départ de Ban Ki Moon. Aussi pour sauver le peu qui lui reste sans donner l’impression que rien ne le tourmente, ne doit-il tenir compte des voix s’élevant dans les chancelleries du monde pour compenser le malaise profond ayant touché les marocains dans leur dignité? Dont, apparemment Christopher Ross en a mesuré la portée significative, tellement, qu'il en voit la seule et unique solution de complémentarité de rattrapage pour lui pour pouvoir recouvrir son identité onusienne auprès du peuple marocain, et ce, via l'acceptation de l'offre maximale marocaine d'autogestion dans le cadre de la régionalisation avancée déjà en marche. Néanmoins, il n’en demeure que c’est une manière de faire savoir aux technocrates onusiens, qu’ils ne peuvent plus paraître ce qu’ils ne sont pas face au Maroc nouveau d’aujourd’hui. En tout état de cause, cet épisode pourrait sans doute constituer une excellente introduction à la gestion rationnelle diplomatiquement parlant, du dossier du Sahara marocain par son successeur. A bon suiveur bon décryptage !

mercredi 9 mars 2016

LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’ONU BAN KI MOON, A-T-IL FRANCHI LE RUBICON ?

BAN KI MOON DANS SES DÉRAPAGES INSULTANTS ET OUTRAGEANTS DES MAROCAINS, NE S’Y EST-IL VOLONTAIREMENT PRIS LES PIEDS DANS LE SABLE MOUVANT ?

       Encore la bonté du Maroc est mise à mal. Il semble pour Ban Ki Moon, que pour être lui aussi dans la niaiserie du même état d’esprit que l’UE, il fallait s’aligner sur l’Algérie et répondre Oui à ses tactiques de déstabilisation du Maroc. Une fois de plus, le secrétaire général de l’ONU dans sa pseudo-neutralité borderline a franchi le Rubicon ! En effet, alors qu’on s’attendait à ce qu’il montre une neutralité irréprochable, le voilà mettre en situation paradoxale non envieuse, la noble institution du Secrétariat Général de l’ONU. D’abord par son idolâtrie de l’Algérie sur le conflit du Sahara marocain, qu’au demeurant se précise de plus en plus entre construction/déconstruction de la ligne de démarcation. Puis, par sa préconisation sous-entendue de son désir d’instauration de protectorat au Sahara marocain, excusez-le du peu. Franchissant ainsi les lignes rouges, entre sa vérité molle imprécise et son faux-semblant changeant repoussant n'ayant même pas parlé du recensement des séquestrés malgré-eux.  

       Ce à quoi, aux yeux de tous les marocains au lendemain de cette visite en Mauritanie aux camps de la honte à Rabouni et en Algérie, est venu le moment de la riposte vigoureuse sans hésitation et énergique sans complaisance ni état d’âme. Bien sûr en tenant compte des résultats de l’évaluation intrinsèque et extrinsèque de ce ballon d’essai volontairement pernicieux émanant de lui en tant que Secrétaire Général de l’ONU, car voulant introduire le doute par transmission d’une illégalité et non droit dans la conscience communautaire internationale. A ce titre, n’est-ce même arrivé le temps de renforcer la nouvelle donne géopolitique marocaine d’autogestion dans la régionalisation avancée, par la déstructuration effective sur le terrain de l’envie et désir de Ban Ki Moon en fin de mandat ? Et ce, dans un but stratégique réel non virtuel, sans trop tarder dans l’explication ni justifier la contre-offensive à l’encontre de cette tentative de vœux cachés de mise sous-protectorat du Sahara marocain.

       Aussi, pour le Maroc diplomatique qu’en effet est exempt de toute responsabilité face à cette situation inédite, le principe essentiel du positionnement collectif marocain c’est la réappropriation de l’initiative par l’utilisation de ses affinités à l’international. En l’occurrence, celles consistant à faire télescoper les combinaisons sournoises contradictoires de Ban Ki Moon et son envoyé personnel Christopher Ross à l’échelle de l’ONU. N’est-ce ce qu’on voit déjà se produire à New York et dans les capitales influentes, en concomitance de la réaction populaire et de la charge du gouvernement qui n’a pas cette fois-ci tarder à réagir vigoureusement. Ce qui normalement doit le pousser dans le futur à mettre en ligne de mire l’anticipation, avec rigueur sur ses mésentendements politiques internes d’une part et idéologiques d’autre part. Parce que Ban Ki Moon le pouvoir algérien et leurs portes flingues dans la sphère médiatique, savent l’existence du continuum dévastateur de la confiance au gouvernement du fait de la juxtaposition des turbulences qu’il connait. En l’occurrence, pouvant faire souffrir par suite à ce délabrement relationnel de ses composantes, les programmes de développement structurant dans leur mise en effectivité.

       Néanmoins, notamment pour contrer cet état de fait Ban Ki Moonien d’insultes des marocains, ne faudra-t-il prendre le taureau par les cornes en usant de tous les moyens diplomatiques juridiques et pourquoi pas militaires à la façon Roi Salmane d’Arabie Saoudite ? Comprendra qui voudra ! Car dans ce paradoxe onusien algéro-dépendant, il n’est plus tolérable pour le gouvernement marocain de perdre les repères référentiels existentiels qui se posent désormais en force caractérielle ennemie devant lui. Au sens où c’est en anéantissant une fois pour toutes, les secrets onusiens de Ban Ki Moon nourrissant les haines et les malentendus vis-à-vis du Maroc, que le peuple accomplira sa marche dans la sérénité. N’est-ce comme ça peut-être, lui et ses relais manutentionnaires en cales onusiennes, ne chercheront qu’à se dégager de la planification de leur volonté de balisage pour contrôler la feuille de route sociale économique sécuritaire marocaine ? Laquelle, dans le cadre de la régionalisation avancée usant d’efforts colossaux structurants, n’est-elle déjà mise en marche soutenue particulièrement au Sahara marocain ?

       Partant de ce constat, personne ne peut nier que c’est une situation paradoxale de préparation repensée sans l’aval du Conseil de Sécurité pour y glisser une réglementation administrative tendance protectorat. De surcroît, avec calcul portant rancune et vengeance de faire entrer le Sahara marocain avec ses 03 régions, dans une période d’encouragement à la création et instauration de souveraineté fantoche via accessibilité à l’ONU. Mon Dieu, rien que ça ! Ce qui prouve que Ban Ki Moon ne sait pas qu’il est manipulé dans sa traversée du temps mort de sa présence à la tête de l’ONU, jusqu’à paraître le dindon de la farce aux yeux de tous les membres. Car s’étant laissé instrumentaliser dans son bon plaisir de les secouer voire irriter, en plus ne sachant que ça aboutirait à la révulsion de toute une région en engendrant le risque de provoquer une horreur de plus. Mais que faire face à cette disjonction de Ban Ki Moon confondant ordre et désordre ? Parce que c’en est une, si ce n’est l’aider à se libérer de son aliénation dont il en montre aujourd’hui en ON à tous, sa dépossession de sa raison et donc de son libre arbitre.


       Voilà pourquoi l’apothéose pour les marocains, c’est quand lui et ses souteneurs seraient cloués au pilori par le triomphe de la raison du Conseil de Sécurité. Même si, lui, il en aimerait échapper au qualificatif d’homme tartufe bloqué individualiste, qui n’a rien réussi dans cette virée pour éviter les conséquences du veto pour la bonne application et respect du droit international. Pauvre Ban Ki Moon ! Pourquoi ne sait-il d’ores et déjà qu’il est en position de faiblesse, même minimisant avec agressivité conjuguée de non rationalité, les efforts des marocains à la résistance à ses tactiques et leurres ? Ne peut-on dire qu’il a trahi la communauté internationale toute entière, qu’aujourd’hui elle travail d’arrache pied avec le Maroc sauveur du sens donné à l’épreuve de lutte anti terroriste que connait le bassin euro-méditerranéen maghrébin et sahélo-subsaharien-africain ? Pourquoi n’y arriva-t-il à intégrer les annonces émanant d’intellectuels des journalistes et d’analystes politiques des années durant, consistant à briser les désirs d’indépendance sans fondement historique ? S’ajoutant, à son reniement inconscient envers la projection d’union de groupuscules diffus dans la région, dont le Mali la Libye la Tunisie la Mauritanie et l’Algérie en commencent à payer les frais. N’est-ce pas ceci montre, que c’est seulement la connaissance et la maîtrise en pratique diplomatique d’apaisement des foyers de tensions, que le monde évitera la semence de données et idées de discorde pour la fabrication de nouveaux espaces qui seraient utiles et dévoués au terrorisme pléthorique. A l’évidence, Ban Ki Moon et ses sbires se doivent impérativement à changer leurs fusils d’épaules, pour le retournement des réseaux et lobbys anti Maroc. Seulement dans le but primordial de respect de la légitimité marocaine, et aussi pour maintien de la paix dans cette région. A bon entendeur salut !

dimanche 6 mars 2016

BAN KI MOON SAURA-T-IL NE PAS LAISSER L’ALGÉRIE ET SON PROTOPOLISARIO JOUER AVEC LE FEU ?

LE PEUPLE MAROCAIN N’A PAS DÉMÉRITÉMÊME APRES AVOIR CONSTATÉ LE REPRÉSENTANT SPÉCIAL CHRISTOPHER ROSS NE PAS PARFAIRE SA NEUTRALITÉ !

       D’abord que les choses soient claires, de l’estime des observateurs nationaux sensés et internationaux avertis, Ban Ki Moon n’est nullement persona non grata au Maroc. Sinon, cela voudrait dire que le peuple marocain est incontrôlable, notamment sur les garanties politiques sociales culturelles cultuelles et sécuritaires qu’offre l’Etat-Maroc officiel sur la régionalisation avancée. Sachant, pour se débarrasser définitivement des mensonges de l’Algérie et son avorton Polisario, les marocains n'en veulent créer le chaos qui plongerait leurs voisins et frères de l'Est dans une souffrance de guerre civile contre les tenants de la politique du pire à Ksar Lamradia. D’autant que le Maroc n’a pas de problème avec la personne de Mr Ban Ki Moon sur sa visite dans la région en tant que Secrétaire Général de l’ONU, mais reste tout de même gêné par l’accompagnement-logorrhée jusqu’à la rage médiatique algérienne mal placée et injuste. Alors qu’au contraire, il fait montre aujourd’hui d’excellents rapports avec toutes les instances onusiennes notamment le Conseil de Sécurité UNESCO FAO UNECEF et autres, parce qu’il n’a pas dérogé à sa vielle habitude de coopérer courtoisement mais fermement.

       Cependant, après 40 ans, les marocains ayant fait leurs comptes, ils se voient envahi d’une amertume réelle à propos de la gestion Christopher Ross du dossier du Sahara marocain. Presque une déception, car voyant leur pays devenir acteur incontournable dans l’échiquier politico-socio-économico-sécuritaire, sans que cet envoyé spécial n’ait pu parfaire sa neutralité. Et ce, de l’aveu même de ses proches collaborateurs, dont leur verdict annonce dans une indifférence presque coupable le rendez-vous nul de leur patron Ban Ki Moon avec l’histoire après cette visite. Et pourtant les marocains n’ont pas démérité même s’étant vus par le passé, forcés d’adopter profil bas pour raison de temporalité conjoncturelle et non de faiblesse confusionnelle comme le prétend le bloc des nonistes de l’intérieur ne ratant aucune occasion pour continuer dans leurs spéculations. Ce qui n’est plus le cas aujourd’hui, au vu de la réappropriation du Maroc libre d’une politique d’évolution dans l’approche de son positionnement progressif, ayant aboutit à l’offre maximale d’autogestion dans la régionalisation avancée de 2007. Contrairement au Polisario resté figé dans l’illusion et la chimère d’un temps révolu, n’acceptant que le deal fait avec les généraux nababs algériens et ce depuis l’ère de Feu Boumediene et son ministre des affaires étrangères d’alors Bouteflika.  

       Certes, ladite déception des marocains n’est pas si surprenante que cela, surtout si l’on s’en tient à leur détermination d’achever le recouvrement total de leurs territoires par la preuve de leur patience. D’autant, c’est vrai qu’aujourd’hui, ils en espèrent plus de reconnaissance au vu de l’aide du Maroc à la stabilité de tout le voisinage euro-méditerranéen si ce n’est du monde par sa lutte sans merci contre toutes les expressions terroristes. Particulièrement, par rapport au malaise diffus mais bien réel comme motif de désenchantement de tous les pays du Grand Maghreb et de la bande sahélo-subsaharienne-africaine face à AQMI Daech Boco Haram et autres composantes de mercenaires et trafiquants. Dont le Maroc fait exception, car depuis presque 17 ans s’étant engagé dans un pari de démocratie évolutive dans la transparence l’unité et l’unicité sans relâchement ni désinvolture. Qu’au demeurant, n’a rien à voir avec les faux semblants sous des cieux non envieux pas si lointains, du fait qu’ils se sont appropriés l’usage des simulacres de communication non objective, et sans avancées démocratiques réelles ni essais de réconciliation sociétale. Au point que pour Ban Ki Moon, sa visite ne doit bien évidemment rester sans lendemain, surtout lorsqu’il voit certains analystes de renommée internationale le lui rappeler évoquant ouvertement l’avancée sociale économique politique et culturelle et sécuritaire à marche forcée intelligente, que connaissent les 03 régions du Sud marocain en l’occurrence Guelmim Laayoune et Dakhla. Néanmoins, n’est-ce peut-être cela qui explique sa curiosité sans expressément l’avouer, d’aller visiter dans le prolongement de son déplacement africain d’abord la Mauritanie qui semble dans l’œil du cyclone terroriste si elle ne prend pas garde. Puis le camp des séquestrés marocains et autres à Rabouni, dont il en aurait lancé en subliminaire son souhait de les voir réintégrer la mère patrie au plus vite pour monter dans le train du développement. Et enfin, l’Algérie en plein grondement sociétal annonçant le tumulte si rien n’est tenté pour la sauver et la sortir de ses actions chimériques qui ont trop duré. Mais y arrivera-t-il d’affirmer haut et fort les plans onusiens pré préparés sur la base de la résolution 2218, dès lors que les experts militaires à l’ONU ont tous justifié une telle virée même en fin de mandat sans qu'il prenne position d'affrontement ?

       Evidemment, si aujourd'hui dans l’absolu Ban Ki Moon n'a fait mieux dans sa tournée non fortuite en n'usant de neutralité pondérée voire mesurée, on peut dire il n'en a essayé de gommer le linkage diplomatique aux résultats contre-productifs laissés par son envoyé spécial. C’est d’ailleurs là où on voit que le sigle RASD souffre, à raison, du déficit de reconnaissance au vu de l’absence de traçabilité identitaire historique en dehors de la marocaine sûre et certaine, de surcroît reconnue par la cour de Lahey en 1975. A cet égard, ne peut-on en dire autant pour le Sahara oriental spolié par la France, et dont l’Algérie après l’indépendance en a bénéficié automatiquement au grand dam du Maroc malgré sa victoire éclair de la guerre des sables 1963. Justement, il est maintenant clair que les objectifs assignés à Christopher Ross, ne devront ressembler plus à des supputations mais à des recommandations pour qu’il ne puisse plus perdre le fil de sa mission. Et, ce ne sont plus ses redondances creuses à l'encontre du Maroc, selon lesquelles l’algérianisation des esprits engendre le sentiment séparatiste, qui pourraient influer le devenir du Sahara marocain par dépolitisation à contre courant des élections du 04 septembre 2015. D'ailleurs, le constat est là de plus en plus évident, tellement le pari fut gagné haut la main par le Maroc sur le plan tribal ethnique éthique social économique sécuritaire culturel et cultuel-politique. En effet, globalement, les enseignements politiques du passage de Ban Ki Moon dans la région sans le Maroc qui ne faisait pas partie de l’agenda, mettent en évidence l’autosatisfaction des tribus sahraouies pour recevoir les revenants des camps dans tous les cas. En ce sens du reste, n'y a-t-il déjà un pacte de responsabilité onusien en voie de préparation pour faciliter l’accueil même massif, de ceux qui ne veulent plus continuer à vivre la vie indigne des réfugiés-séquestrés malgré-eux ? Alors même que leur pays en l’occurrence le Maroc leur offre la vie digne, en plus ne leur demandant rien d’anormal si ce n’est de renoncer à vouloir asseoir une soi-disant suprématie contextuelle au niveau local régional et national.


       En effet, pour être plus complet, ne faut-il pour les pays de la région rajouter à ce constat positif de la tournée du Secrétaire Général, leur soutien sans condition au Maroc en tant seul pays africain capable d’organiser logistiquement dignement et professionnellement parlant la COP22 à Marrakech en Novembre 2016. Comme ce que font sans aucune résèreve, les USA les pays du CCG l'UE les BRIC la Turquie l'Amérique du Sud le Canada le Japon l'Océanie les Caraibes et même l’UA sous la pression des ONG très impliquées. Dont il se pourrait que Sa Majesté le Roi Mohamed VI si le calendrier des circonstances le permet, qu’il aille à New York pour co-présider avec Ban Ki Moon la ratification du protocole d’exécution des clauses de coopération avec l’ONU seul organe décisionnel compétent ayant fait pencher ses avis sur le Maroc. Et dont apparemment le scénario envisagé ne serait pas bien trop différent du profilage précédent à la COP21 à Paris en France, tout en respectant la touche marocaine par son leadership en Energie renouvelable potentielle diversifiée pour rester dans la continuité. A ce titre, il va de soi que les marocains seront plus motivés à accompagner cet événement planétaire de plus de 32000 personnes, de par les retombées politiques et économiques escomptées et, par conséquent, plus propice à l’enchantement qui naitra quant à la réalisation de ce défi grandiose. Voilà, pourquoi Ban Ki Moon dans sa tête, ne veut aucunement la moindre incartade de ce que la résolution 2218 du Conseil de Sécurité 2015 a prioritairement préétabli, pour éviter l’ire marocaine qui commence à faire bonne école, comprendra qui voudra. A bon suiveur bonne lecture ! 

mercredi 2 mars 2016

MAIS, POURQUOI CE RAPPORT DE FORCE UE-ALGÉRIE CONTRE LE MAROC ?

L’UE ET L’ALGÉRIE CONTINUELLEMENT COMMUNÉMENT DANS LEUR JEU DE RESSERRAGE DIPLOMATIQUE MENSONGER, NE SONT-ELLES AUJOURD'HUI DÉPASSÉES PAR LA CONVERGENCE DE LÉGITIMITÉ ET OFFRE DE STABILITÉ-DÉVELOPPEMENT DU MAROC ?

       Quand la bonté du Maroc est brutalisée par l'UE depuis Ashton jusqu'à Moghirini, voire truandée aussi en continue par l'Algérie, il ne lui reste qu’à mobiliser tout azimut pour y faire face. N’est-ce comme ça, la préconisation de combat diplomatique permettra de comprendre les raisons du rapport de force de l’UE sous dominance algérienne, face au pole d’intérêt économique et cultuel-sécuritaire qu’est le Maroc ? Surtout après qu’il eut cru avoir acquis un capital-confiance, de ne plus se retrouver dans l’incapacité de solder la position de nuisance du pouvoir algérien. En tout cas le suivi diplomatique est plus que jamais d’actualité, devant répondre à la règle d’or incontournable de contrôle et dépistage des signes de surenchère, qui peuvent causer plus de tension aux frontières dont tout le monde en parle aujourd'hui avec mégarde. D'autant, l’annonce officielle de son gel des contacts avec l’UE révèle qu’il n’essaye aucunement de courir après les événements, montrant sa vigueur en mettant à la disposition des observateurs qualifiés un panel de sujets-questionnements sur sa nouvelle vision de desserrage de l’étau diplomatique sur lui. Et qu'il redouble de vigilance dont aussi chaque décision  par jalousie à son encontre, ne fait que doper le potentiel intrinsèque de fierté nationale marocaine loin de tout acquiescement fataliste. Surtout pour faire face aux essais d’hypertrophie scandaleuse du couple UE-Algérie, de surcroît voulant atteindre la surcharge de performances politiques diplomatiques royales de grande résonance au-delà du supranational.

       Et oui, le Maroc n’acquiescera jamais, parce que l’ambition de l’UE pour y arriver reste dépendante de la bénédiction des lobbys anti Maroc, dont leurs agitations à eux sont tributaires de l’aval du pouvoir algérien. Mais à qui la faute dans cette surchauffe actuelle Maroc-UE et Maroc-Algérie, dont tout un chacun sait qui est le Bon, la Brute et le Truand ? Car, si l’on se réfère à l'hisoricité de la mise en disposition de l’UE pour l’alliance Nord-Sud, on s’en convainc qu’il y’a un déséquilibre flagrant aucunement du coté du Maroc. C’est d’ailleurs en ce sens que l’opinion publique marocaine avertie, est interpellée par les écarts de gestion-attirance trop déséquilibrés de l’UE. Entre extase ayant accompagné la période d’avant le ‘‘printemps arabe’’ dans le Sud du pourtour méditerranéen et désagrément lié aux modifications d’après, que vivent ces pays à l’exception du Maroc.

       C’est vrai le Maroc est secoué, mais ne peut être inquiété par cette UE elle-même au bord des affres des ‘’...exit’’. Même si, les problèmes de gestion au quotidien par Mezouar et ses protégés filipendules, sont devenus un secret de polichinelle au vu de sa dernière sortie médiatique tonitruante à l’encontre du ‘’tahhaqoum pjdiste’’. Ce qui démontre la confusion patente qu’il vit entre ses affaires partisanes et les fondements de poursuite d’une politique extérieure percutante. Comprendra qui voudra ! N’ayant pas réussi à mettre au point une méthodologie temporelle de secouement des hypocrisies, particulièrement celles venant de l’UE qui ne s’en cache de sa mise sous tutelle des contrevérités algériennes vis-à-vis du Maroc. Encore heureux, qu’en réponse à la vision royale qui dépasse et de loin la capacité normale du pouvoir algérien, le Maroc montre ou même démontre à qui veut que sa riposte induit qu’on ne le veuille ou pas, des charges diplomatiques de haute teneur de responsabilité historique, se conjuguant à son offre collaborative de renseignement sécuritaire donnant-donnant. Et qu’au demeurant il l’ait souverainement programmée, non seulement par la mise effective dans les canaux de sa chancellerie via ses échanges économiques et commerciaux. Mais aussi par la convergence de légitimité de ses diverses expertises reconnues, qui sont menées sans tremblement ni hésitation dont l'UE est mieux placée pour en apprécier la précision. Tout ça bien sûr, parce qu’il eut constaté le manque d’espace d’échanges diplomatiques honnêtes et corrects, à même de non reconnaissance à son égard, s’additionnant à la redondance d’iniquités de louvoiements et de fourberies pour le contrarier. C’est dire que l’ampleur de l’interventionnisme pro algérien de l’UE est néfaste, car se considérant concernée directement dans la solution du problème du Sahara marocain sans savoir qu’elle est la première cause de sa longévité.


       A cet égard, cette UE même dans ses petits calculs malveillants, pourquoi ne sait-elle qu’elle ne trouvera d’oreilles fines qu’auprès du Maroc faisant la part des choses en matière de sécurité en ce temps présent ? Seulement, pourra-t-elle intégré cela, pour rattraper son retard en investissement via la plateforme marocaine sur les pays du BRIC en plus de la Turquie en Afrique ? D’ailleurs, n’est-ce aussi en cela que le Maroc est en passe de normalisation de la chronologie de sa communication ciblée, pour qu’elle soit précise concise et surtout succincte sans emphases ni élucubrations ? Tellement qu’on est en droit de dire aujourd’hui, voilà pourquoi la Suède la France l’Espagne l’Allemagne la Belgique l’Italie la Hollande et autres, s’y sont mis en file indienne pour collaborer individuellement avec lui ? Sachant déjà qu’il est entré en phase de rehaussement des mécanismes de prévention des obstructions de ses canaux diplomatiques, pour ne plus vivre des moments comme dans le cas de la Suède la CJE etc… En effet, pauvre UE, qu’aujourd’hui ne réussi qu’à dilapider le capital de son rêve grandiose. Normalement but ultime d’éviter son entrée en décroissance sociale et économique, voire de minimiser les concoctions d’opérations fortement influencées par la haine et xénophobie jugées contraires à ses prétentions humanitaires. A bon entendeur salut !