lundi 31 octobre 2016

L’EXPRESSION JUSQU’AU MEURTRE ‘’T’HANE MO’’, N’EST-ELLE UNE FANTAISIE DE L’INVENTION VERBALE DE CERTAINS PROVOCATEURS MANIPULATEURS MACHIAVÉLIQUES ?

L’AFFAIRE ‘’T’HANE MO !’’ A AL HOCEIMA AU MAROC QUI AURAIT MENÉ AU MEURTRE EFFROYABLE DE LA VICTIME MOHSINE FIKRI, N’EST-ELLE DEVENUE PLANÉTAIRE PARCE QUE DES PROFESSIONNELS A TORT OU A RAISON EN FONT LA COMPARAISON RAPPELANT LES ANNÉES DE PLOMB ?

       Les marocains sont blessés au plus profond d’eux de l'autre séisme d'Al Hoceima par la mort atroce du jeune poissonnier Mohssine Fikri écrasé dans une benne à ordures. Et aussi aigris du comportement de certains responsables dans cette affaire voire tourmentés par la tournure incroyablement dangereuse qu’elle prend au vu de la distillation de sournoiseries non fondées ni avérées. En effet, qu’elle ait été dite ou pas, personne ne peut nier que l’expression ‘’T’HAN DINE D’AMMOU’’ fait malheureusement partie du langage en réaction violente irréfléchie au quotidien de certains décideurs marocains. Encore heureux qu’ils ne soient pas nombreux nationalement ni localement, qu’au demeurant le cas de ce crime odieux du jeune poissonnier d’Al Hoceima s'il est vrai que c'en est un, ils n’auraient fait qu’exalter comme à l’accoutumée leur vraie nature par l’usage d’abus de pouvoir face aux démunis des conjonctures et/où des circonstances. De fait, n’est-ce pas dans l’affirmative il ne faudrait pas s’étonner qu’à l’impunité dont ils jouissent administrativement, ils aient opposé leur sport préféré de la profusion de ce genre de langage indécent qui fait partie du vocable des voyous ? C’est d’ailleurs de cela, face à la résistance légitime des administrés depuis le référendum du 01 Juillet 2011, que malheureusement ce vocabulaire ne désigne que l’abondance et le renouvellement incessant des mots et phrases de l’irresponsabilité jusqu’à la perpétration des actes inimaginables telle la Hogra d’autrui. Ce qui montre, qu’ils n’ont toujours pas compris qu’il y eut changement en la demeure Maroc, surtout du point de vue de l’in acceptabilité de tels comportements vis-à-vis des citoyens voire des administrés. D’autant qu’en plus le discours royal à l’ouverture de la première session de la première année de la nouvelle législature, en a fait allusion presque prémonitoire sur l’abus de pouvoir.

       Maintenant, après l’inhumation de la victime Mohsine Fikri n’est-il venu le moment des choses sérieuses dont le Roi Mohamed VI a montré qu’il en suit les étapes presque à la minute avec grand intérêt. D’autant plus étant infligé et choqué lui aussi par les photos de la victime, tellement qu’il est bien déterminé dans ses instructions au ministre de l’Intérieur sur la sanction à appliquer aux impliqués quel qu’il soit leur rang. Laquelle, elle doit être exemplaire et, qui de surcroit soit issue d’investigations et enquêtes très poussées dans la transparence pour établir les responsabilités morales administratives et mêmes politiques. Et ce, loin de ce qui est relaté par les souffleurs sur les braises dans le Net et réseaux sociaux, voulant machiavéliquement faire croire que le Maroc vit encore et toujours dans les années de plomb. A ce titre, n’est-ce la qualité des investigations judiciaires qui pourrait sceller la résolution de cette hécatombe, dont la grande conséquence n’est évidemment que ce passage à l’état de manifestations certes légitimes mêmes étant fortuites non encadrées ?

       Toutefois la question qu’on est en droit de se poser, pourquoi ces atomiseurs attisant de brasier en veulent-ils à ce point à leur pays de par leurs positionnements les uns les autres sur l’ouverture d’enquête par les autorités compétentes ? Et, dont ils n'en cessent de cultiver partout les soupçons sur ceux cités ici et là par médisance ou par vengeance sans preuve, à même jusqu’à en faire un chantier de supputations sur soi-disant le non respect des droits de l’homme au Maroc. Notamment dans ce cas précis que l’on pourrait s’il s’avère incontestable, appeler A.O.I ‘’Assassinat sur Ordre Immoral’’, alors que la saisie de la charge des poissons prohibés aurait pu être envisagé autrement dans le respect de la réglementation. Par exemple, en s’efforçant calmement d’estimer le prix d’achat des grossistes à la criée et essayer d’un commun accord de l’encaisser en tant que recette accidentelle avec évitement de la Hogra de ce jeune. Et, donc de ne pas donner l’impression de confusion de deux poids deux mesures et d’usage d’abus de pouvoir en transbordant toute la charge dans la benne du camion des éboueurs appelés en urgence sans  respect de procédure ni conformité à la loi.

       A cet égard, n’est-ce pas avec la réglementation en vigueur, cette situation dramatique était prévisible, vu que la pêche artisanale même codifiée dans le cadre du programme Maroc-bleu, n’est toujours pas exonérée comme il le faudrait dans le but de résoudre la contrainte du prix élevé sur les marchés d’un pays qui a plus de 2500 km de cotes poissonneuses. Sorte de conséquence résultant des circonstances qu’entraîne le placement des marchés de poissons presque en position de monopole partout sur les ports de pêche. D’où l’on peut supposer que les petits concurrents informels n’ont de choix que de se concentrer sur la marchandise en poissons à forte valeur ajoutée n’intéressant que la niche de clients aisés. A cet égard, donc, le futur gouvernement pour compenser cette injustice envers les petits exploitants pêcheurs, ne doit-il revenir sur quelques décisions pour faire bénéficier les consommateurs nationaux conformément à l’accord Maroc-UE de la détaxation en matière de pêche dans les eaux territoriales marocaines ? D’ailleurs, comprendra qui voudra, n’en vit-on à ce jour la même injustice sur le prix du carburant, comme l’a évoqué dernièrement le Wali de Bank Al Maghrib alors que le baril de pétrole ne dépasse guère 50 dollars ? A bon entendeur, salut !

samedi 29 octobre 2016

QU’ADVIENDRA-T-IL DU RECENSEMENT FACILITANT L’AGENDA ÉMOTIONNEL DU RETOUR ET RETROUVAILLES DES MAROCAINS SAHRAOUIS SÉQUESTRÉS EN TERRITOIRE ALGÉRIEN ?

L’INSISTANCE DU MAROC POUR LE RECENSEMENT DES KIDNAPPÉS-SÉQUESTRÉS-RÉFUGIÉS (KSR) JUSQU’À LA CONDAMNATION DE L’ALGÉRIE, NE COMMENCE-T-ELLE DÉJÀ A AVOIR BONNE RÉPUTATION AVEC L’ARRIVÉE DU NOUVEAU SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE L’ONU ?

       Par le mot recensement c’est d’abord la dénonciation de l’opération de kidnapping et séquestration des marocains sahraouis des années 70 du siècle dernier dont il s’agit. C’est également, une demande de correction de cet état de fait stupéfiant voire effroyable pour la conscience universelle, notamment, pour faciliter la création de ressource des retrouvailles de ces KSR avec les leurs chez-eux au Maroc. Parce que, quand on fait la tournée des conflits dans le monde, on en voit une attraction à la relation diplomatique que préconise le Maroc avec les pays africains qui presque tous appellent au recensement sans condition. Au point qu'ils s'insurgent en martelant, n’est-ce là un grave accident de répétition de l’histoire des souffrances des gens dans ce cas précis, et/où ils sont devenus malgré-eux des réfugiés obligés et oubliés dans les célébrissimes camps de Tindouf Rabouni et ailleurs sur le territoire algérien ?

       Néanmoins, n’en pourrait-on y voir une fin de projection garantie sur ce point clé du processus dans le temps présent de contextualité des conséquences émaillées du terrorisme grondant, qu'au demeurant est lié aux stratégies d’infiltration des algériens partout pour continuer à torpiller les bonnes initiatives ? Et aussi une envie de ne laisser perpétuer le trafic pléthorique enflammant les câbles, parfois-même par de fausses alertes pour tester la vigilance proéminente du Maroc dans cette région. Dont, heureusement, lui, il en a courageusement tiré la leçon pour ne plus se faire berner par Ban Ki Moon, s’ajoutant à sa véhémence vigoureuse de montrer du doigt communément la charge historique lourde et la référence permanente inimaginable de l’ONU. Non seulement du fait de la mauvaise voie d’encouragement de l’impuissance face à la déferlante des escroqueries de l’Algérie en violation de la charte onusienne. Mais, aussi de l’image de spéculation sur le désintéressement de ce dernier en tricherie flagrante l’ayant rendue si moins inspiré à ce propos alors qu’il était à la tête de cette organisation. Parce qu’en plus, évidemment, lui, en rapport de la gestion du temps onusien, il n’a jamais voulu se transporter dans la prévision de cette situation chaotique, et donc conséquemment de ses résultats assez renversants de non trouvaille de solution politique pour épargner à la région d’autres mésaventures.

       En cela, il est vrai maintenant que l’observation et l’analyse des signaux des habitants sahraouis séquestrés voulant coûte que coûte réintégrer la mère-patrie en l’occurrence le Maroc, montrent qu’au contraire Christopher Ross n’a fait que développer sa haine anti Maroc, l’amour dans l’âme pour l’Algérie et son protoplasme le Polisario. Car, en effet, en fonction de ses échecs répétitifs flagrants au-delà de la structure géographique pour tous ceux qui vivent l’information-minute dans cette affaire, Ban Ki Moon se base avec ses petites manigances inimitables rien qu'aux actes et pactes que prépare son envoyé pour attiser davantage le conflit. D’abord par sa partialité et non neutralité pour acculer le Maroc, puis à anticiper à le plonger dans des incertitudes et décrochages afin que le désir des marocains de développement ne soit assouvi par suite d’extraction méthodique des chimères et rêves de la Mauritanie et de l’Algérie. A cet égard, n’est-ce pas que tous les marocains n’ont eu de cesse de lancer appel après l’autre, pour que le recensement modèle soit l’objet d’une prise en charge déterminée et sérieuse par Antonio Gutterres et qu’il en fasse sa priorité onusienne absolue dans le traitement de ce dossier qui n’a que trop duré ? D’ailleurs, n’y aurait-il là une incitation pour la tranquillité de la région, car rien ne vaut cette initiative pour éclaircir les conditions de séquestration d’hommes de femmes et d’enfants dans l’inconfort l’humiliation et la servitude ? Aussi, à ce propos, la question qui taraude les observateurs et les humanitaires c’est comment stopper cette mascarade d’humiliation des séquestrés, et surtout que faire pour les réhabiliter et leur descendance, de 41 ans de maltraitance dans ces camps de la honte ?  

       Mais, cet objectif sera-t-il atteint dans le futur proche pour mettre fin à ce scandale humanitaire, après l’élection unanime d’Antonio Gutteres à la tête du Secrétariat Général de l’ONU ? Dès lors que, pour les diplomates marocains c’est une chance de dépasser le stress du recadrage permanent dont ils en parlaient et continuent à le faire à chaque occasion, pour pousser au  changement de cette situation détonante à bien de compromissions. D’autant plus, ils en sont convaincus de sa dangerosité, qu’en effet à l’ONU à Washington à Paris à Madrid et à Genève ils ne cessent de dévoiler les tactiques et brutalités faites aux KSR, sans pour autant donner les sources d’investigation et d’information de ce qui se passe presque sous contrôle de l’armée algérienne à l’insu de la communauté internationale. En réalité, tant qu’un séquestré dans ces camps algériens demeure sans être recensé et sans secours à son mal à sa peine et à son abandon entre les mains de criminels, l’ONU sera pour lui une coquille vide. D’ailleurs, aujourd’hui l’Algérie est mise au défi par le Maroc de ne pouvoir recenser plus de 35000 séquestrés-réfugiés dès lors que le HCR crée à cette fin est disponible à le faire pour le confirmer. Car auparavant, malheureusement, c’est resté une belle profession de foi même sous Antonio Gutterres et donc un vœu pieux dont il est moralement obligé de le réaliser maintenant sans attendre.

       Aujourd’hui, cet imbroglio est certes une véritable incompréhension du nouveau millénaire, dont le Roi Mohamed VI en a fait écho lors du discours de Laayoune du 06 Novembre 2015, ayant montré l’incapacité de l’Algérie à construire 40000 logements décents pour pallier aux souffrances de ces gens. En gros, l’attitude du Maroc, n’est-ce une offre de service diplomatique d’archivage évidemment fiable pour sonder la motivation du pouvoir algérien dans l’affaire du Sahara marocain ? Voire même, les intentions et la réactivité de l’équipe sortante au Secrétariat Général, augurant d’un véritable bras de fer avec celle entrante d’Antoine Gutterres de façon générale. Et ce, pour autant que ce soit, via une guerre de mobilité des pays portes-flingues sous Ban Ki Moon à l'UA et l'UE de leurs services d’intelligence en tant que souteneurs du Polisario dans le but de diffuser leur toxicité à New York et à Addis-Abeba en Ethiopie contre tout ce qu’entreprend le Maroc. En premier, au travers de spéculations imprudentes des algériens et leurs résiduels souteneurs sur le calendrier d’actions du Roi du Maroc d’accompagnement de co-développement assuré avec l’Afrique orientale. Ensuite, de par la conversion de liberté d’engagement en prodigalité politique sans réserve du Rwanda et Tanzanie, ni retenue particulièrement de l’Ethiopie qu’apparemment Obama ne l’aurait guère aimée pendant ses huit ans de présidence des USA pour raison de mémoire cicatricielle originelle, malgré son intérêt porté pour cette sous-région.

       Un constat déconcertant, et/où aujourd’hui le problème est tout autre et risque de devenir dangereusement préoccupant au vu que l’on constate une augmentation de l’agitation qui tient aux multiples complications de l’Algérie à l’idée du recensement dans les coulisses à Addis-Abeba. Mais, est-ce que ces données n’expliquent-elles la nécessité des pays africains de s’impliquer avec le Maroc dans la mise en place d’une stratégie de recensement au sein de l’UA en soutien au HCR ? Tout simplement, parce que depuis l’annonce de son retour lors du Sommet de Kigali, il a été élaboré le consensus sur la prise en charge adéquate de cette donnée hautement stratégique pour la sécurité et la stabilité collective africaine. Comme une inclusion d’alternative faisant par ailleurs du chemin, en termes de révision des positionnements de beaucoup de pays africains pour clore ce dossier via la conceptualisation de l’octroi d’autonomie selon l’offre marocaine de 2007. Bref, un emballement mûrement réfléchi pour le soutien du mode d’autogestion dans la régionalisation avancée, avec le joug politique marocain à bien des égards qui demeurera la meilleure arme de sécurité pour l’unité et l’intégrité du Maroc. A bon suiveur, bonne lecture !

mardi 25 octobre 2016

AINSI SE TERMINE L’APRES-BAN KI MOON LE DIABOLIQUE, PAR HARO CONTRE BOUTAFLIKA SES GÉNÉRAUX ET LE POUVOIR MAURITANIEN QUI TOUS S’INGÉNIENT A FREINER L’ASCENSION DU MAROC !


DÉSORMAIS, N’EST-CE A ADDIS-ABEBA QUE LE MAROC INSTALLERA SON ATELIER D’ACCOMPAGNEMENT DES CHANGEMENTS AU SEIN DE L’UA (UNION AFRICAINE), ET DONC CONSÉQUEMMENT, OUVRIRA SES IMAGINATIONS-OPPORTUNITÉS DE CO-DÉVELOPPEMENT PROSPECTIF MULTI POTENTIEL GAGNANT-GAGNANT ?

       La principale réussite de la tournée royale en Afrique orientale réside dans l’authenticité avec laquelle elle aborde la réalité de ces pays au quotidien à travers les mutations sociétales et les transformations structurelles économiques en voie d’édification. Ainsi, l’on peut affirmer, de tous les discours et visites du Roi Mohamed VI à l’Etranger, naît en ce moment une puissante synergie de certitudes sur sa volonté comme étant l’homme contribuant à la paix et à l’entraide des peuples dans la sécurité. Et ce, dans l’entente pour le retour du Maroc à l’UA par la construction collaborative passionnée fédérant les pensées de solidarité dont, conséquemment, l’on peut percevoir son influence relançant sa notoriété à l’échelle de l’ONU. En effet le retour du Maroc est un acquis pour l’UA et une leçon pour les pouvoirs algérien et mauritanien dont les marocains en ont une vision juste n’en craignant plus leurs dérapages et dérives, car ils ont appris à les appréhender quel que soit le lieu en anéantissant leurs effets de nuisance géopolitique. D’autant qu’aujourd’hui après 32 ans d’absence du Maroc, une évaluation faite par les IAC (Instituts d’Analyse et de Conjoncture) se basant sur les indiscrétions de Wikileaks, confirme les appréhensions de presque tous les pays africains sur la mauvaise gestion du dossier du Sahara marocain, en concluant à l’échec de l’UA dans son fonctionnement et ses modalités sous dominance idéologique d’un temps révolu.

       Néanmoins, n’est-ce ce qui constitue et confirme en concomitance avec l’arrivée d’Antonio Gutteres à sa tête, l’immense aura du Maroc en tant que pays promoteur de cette nouvelle renaissance de l’UA (Union Africaine) à tous les niveaux ? D’abord, par le fait marquant d’un agenda des solutions de cooptation-coopération inédite par suite de ce consensus mettant en place de manière tangible le vécu commun au travers l’histoire loin des clichés d’antan. Puis, aussi par la force de ses imaginations en opportunités de certification de co-développement de proximité multi potentiel gagnant-gagnant sans limite. Dès lors que, comme ça l’Afrique qui produit la richesse locale, continuera à rétrécir ses retards en faisant émerger la coordination et la mise en place de ces projets d’avenir dans l’économie structurelle comme précurseur de sa stabilité politique et de sa sécurité collective. Ainsi, pareillement, même dans les circonstances et climats politiques polémiques ne répondant pas parfois aux idées du sursaut tant désiré des peuples africains, cela éviterait la désertification des compétences locales nationales et sous-régionales voire les délocalisations massives des cerveaux. D'ailleurs les décideurs politiques n'ont-ils déjà commencé à intégrer cette donnée stratégique dans leurs ateliers communicationnels, à même de la projeter sur les relations bilatérales et multilatérales entre pays africains. Reconnaissant de facto, que l'approche du Maroc peut avoir non seulement des effets directs de grande portée en préservant la matière grise pour le montage de partenariats gagnants-gagnants sur le terrain. Mais, aussi un impact favorable sur l'accessibilité interactive tenant compte des disponibilités financières spécifiques, avec pour but l'adaptation des programmes communs des cadres-associations basés sur les standards ''guidelines'' de l'INDH au Maroc. Dont la déclaration solennelle d'Abidjan du Roi Mohamed VI et ses discours de Bamako et de Riad, les enjoignent d'établir des mesures d'exonération des taxes pour promouvoir les échanges et partenariats à travers les GEP (Gouvernements Entreprises et Universités). 

       Toutefois, à ce titre, ce ne sera que justice rendue de se rabattre sur les solutions que préconise le Maroc, certes parce que plus efficientes et plus encourageantes pour la conjoncture économique de croissance presque insolente pour l’occident dont aspire toute l’Afrique. Ce que par ailleurs le président Paul Kagamé du Rwanda en tant que co-président de la session actuelle de Kigali de l’UA sous Idriss Deby, essaye d’insuffler pour répondre efficacement rapidement à ces situations d’urgence. Qu’effectivement, le parterre d’experts dignes de confiance dans les CESA (Centres d’Etudes Stratégiques Africains) qui l’assistent, l’ont montré que le Maroc en a déjà déclenché le processus de révision pour contrecarrer en toute circonstance le regard des manipulateurs surtout du DEA (Département d’Etat Américain) sous John Kerry. Dont, pour le Maroc l’enjeu c’est user de ses moyens, plus appropriés, car n’entendant pas se laisser forcer la main, de surcroît, afin d’anticiper les tentatives de freinage de son ascension que veulent lui imposer l’Algérie et ses soutiens-lobbys anti Maroc à l’exemple de la fondation Kerry Kennedy pour le compte du Polisario. N’est-ce d’ailleurs pour cela que les mésaventures d’invention de stratégie perfide de ces pays faux-amis accroissent sa mélancolie naturelle, allant parfois jusqu’à son dégoût à cette amitié de l’illusion de la dissimulation et de l’usurpation ? En ce sens, à ce propos, force est de constater qu'il n'y a plus de doute que les représentants des pays africains à l'UA à Addis-Abeba sont persuadés de l'apport du génie marocain au co-développement Sud-Sud et aussi d'aller de l'avant dans un climat de cordialité de volonté et de confiance.

       En résumé, c’est parce que le Maroc réaliste sait que tout ça, rentre évidemment dans le cadre géopolitique de sa déstabilisation à même que l'Algérie et la Mauritanie en soient devenus sans en mesurer la portée dangereuse, les incubateurs d’ingénierie d’idées saugrenues de leur propre souffrance. Notamment, en croyant via la convergence du réveil de leurs chimériques perspectives pouvoir avoir en commun pied à terre à Lagouira, en combinaison du piège vengeur de Ban Ki Moon de sa tentative d’installation en catimini du Polisario à Gurguarate. Voilà pourquoi, en préparation du Sommet de l’UA à Addis-Abeba en Janvier 2017, le Maroc est en pleine régulation de ses urgences  intra et extra nationales constituant une priorité majeure cultuelle-sécuritaire et une composante stratégique culturelle-économique-écologique du programme de la visite royale au Rwanda Tanzanie et Ethiopie. D’ailleurs, ne pourrait-on à l’état actuel des choses, dire que cette régulation connait une harmonisation sans précédent à la fois politique et diplomatique avec beaucoup de pays africains, ayant mis ces pouvoirs de l'inconstance par l’opprobre dans l'émoi sinon carrément l'effroi ? A cet égard, n'est-il intéressant de rappeler la cadence de leur interactivité en majorité à la thèse de l'offre d'autonomie du Maroc depuis 2007 dans la régionalisation avancée comme solution où il n'y aura ni vainqueur ni vaincu. De sorte, qu'en plus n’en voulant plus de cette mauvaise qualité de prise en charge de l’UA de leurs problèmes domestiques surtout dans ses orientations de recadrage-cartellisation ? Du fait, primo, de l’absence de coordination structurelle maîtrisée au dessus des soupçons voire d’étrangetés interventionnistes, et secundo, par le manque d’assistance organisationnelle probante sans manœuvres perfides ni couacs et/où faux-pas délibérés. A bon lecteur, bon décryptage !

vendredi 21 octobre 2016

A QUOI RESSEMBLERA L’UNION AFRICAINE APRES L’ARRIVÉE-RETOUR DU MAROC ?

AUJOURD’HUI POUR LES POLITOLOGUES A L’INTERNATIONAL, L’HEURE DE LA MÉMOIRE EST A L’INTÉRESSEMENT A LA NOUVELLE FORME DE DISTRIBUTION POLITIQUE A ADDIS-ABEBA APRES LA RÉSURGENCE DU MAROC.

       Comme cela a été déjà dit, le Maroc ne se laissera développer la force et l’agilité dans le raisonnement dans une perspective de préparations de guerre envers aucun pays, que s’il en sent qu’il en est contraint de le faire. Maintenant l’on peut affirmer, qu’il n’y ait eu auparavant de l’amour ou pas au Maroc de la part de certains pays africains, à présent l'heure du constat voyant de sa félicité est là, ayant atteint un haut degré de perfectionnement des conditions de partage et d’échange Sud-Sud en référence à la mémoire politique africaine. Ainsi, offensive moderniste et maîtrisée telle est la visite royale en Afrique orientale, à même d’avoir pu triturer sinon tétaniser les forces du mal outrageuses promotionnées par l’ignorance et le suivisme aveugle et dogmatique de certains leaders. De sorte que la charge d’historicité de cette reconquête marocaine de l’UA (Union Africaine) est aujourd’hui l’expression formellement politique sans doute d’intégration solidaire efficiente des perspectives pour sa nouvelle forme de distribution des rôles sur des bases plus saines. De surcroît, en boostant son exposition judicieusement géostratégique, dont elle n'eut fait que manquer l’effectivité des années durant par déficience d’audace raisonnable et de responsabilité autonome.

       Vraiment de par ce nouveau regard du Maroc à l’UA assurant l’évitement de sa déconstruction institutionnelle, tous les feux verts de la reprise de sa place sont allumés consacrant sa félicitation d’avancée assurée dans toutes les cinq sous-régions (Nord, Centre, Ouest, Est et Sud). Notamment celles jusqu’alors ne faisant que traîner les pieds dans des conditions politiques marécageuses, pour l’empêcher sans raison de recouvrir toutes ses souverainetés. Et ce, en dépassant aujourd’hui leur danse politique saugrenue d’un temps révolu, qu’en plus qu'elle fut presque de sacralité à la tricherie du pouvoir algérien faisant partie de son génome voire son code de formatage anti Maroc. Sauf que chemin faisant, bientôt la fin de vacance du siège du Maroc à l’UA, annonçant ‘’l’Hiver 2017’’ dont le tableau exprimera sans conteste la sensibilité de son imagination future, pour l'essentiel, économique cultuelle et sécuritaire au sein de toutes les institutions africaines. De ce point de vue alors, il reste un seul choix pour l’Algérie si elle ne veut pas s’effondrer, c’est d’arrêter de l’harceler voire de le vilipender sans raison valable, et donc, ne plus rester dans ses hypothèses hasardeuses de provoquer zizanie et discorde sans tenir compte de l’honneur des pays africains dans cette Instance qu’est l’UA. Qu’en effet en l’occurrence, deviendra par la force des choses le symbole de l’apparition des nouvelles conceptions de cooptation du co-développement par l'INDH comme l’entend l'élargir le Maroc au Rwanda à l'exemple du Sénégal Cote d'Ivoire Gabon Guinée Conakry Guinée Bissau Mali et Madagascar. En plus de la coopération qu'il pourra influencer en tant qu’Hub-plateforme de transfèrement de son savoir-faire par les actes et les partenariats, et ce même en triangulation gagnants-gagnants avec les pays BRICS USA France Espagne Turquie et autres.

       En revanche à cet égard, la vague du Maroc monte en Afrique et pas seulement, on commence à la voir vu les enjeux colossaux pour les grands groupes d’investissement accueillis ces derniers temps sur ses terres, à l’exemple de Nissan Renault Bombardier Boeing et beaucoup d’autres tels les chinois russes indiens turcs pakistanais espagnols allemands suédois italiens et pays du CCG. Oui, maintenant l’on peut dire que les marocains ont compris la mécanique infernale algérienne, tellement qu’ils ne la laissent plus perturber l'aura du Roi Mohamed VI d'attirance de l'investissement à l’international, et dont le futur gouvernement ne doit aucunement omettre la mise en place des comités d’experts chargés d’étudier les stratégies nationales d’accompagnement et de suivi. Néanmoins, d'une position l'autre de cette Algérie qui rejette les raisons objectives de l’émergence du Maroc, pourquoi pour autant elle n’accepterait jamais en ON le résultat du débat de sa réintégration à l’UA ? Au point de risquer plus d’isolement, alors que les marocains sont sortis du dédale diplomatique de l’improvisation et ne sont plus dans la réaction comme d’antan. Car, d'autant plus s’étant sortis de l’ambiguïté de l’auto-enthousiasme à l’offensive pragmatique et réaliste d’explication interprétative pour lever les doutes comme à l'ONU. Parfois même, avec colère justifiée dont le but premier c’est de faire prendre conscience les africains du deal contresens du pouvoir algérien sur le dos du Maroc, sur beaucoup d’interrogations avec les forces du mal de la manipulation et de la conspiration dont il est facile d’en deviner les origines au Secrétariat Général sous Ban Ki Moon avec son envoyé Christopher Ross.

       Ce faisant, concrètement, il ne s’agit certes pas d’une recherche d’entrée hard ou soft du Maroc à l’UA, c’est surtout pour montrer à la communauté internationale l’échec politique d’un modèle de gouvernance héritée à la façon Kadhafi bâtie sur l’usurpation et la triche en fonction des petits arrangements et règlements de comptes. Au sens où, ce questionnement reste encore légitime pour évaluer le désastre qui n’est pas dépourvu toute raison gardée de politique spectacle d’asservissement, selon la satisfaction de l’individu qui l’ait subi qu’il soit chef d’Etat ou décideur politique voire économique de haut rang. Tellement, qu’aujourd’hui on ne comprend pas pourquoi Al-Sissi se promet d’engager un nouveau braquet diplomatique contre le Maroc, croyant ainsi pouvoir gérer efficacement le temps qui joue contre lui. Dont, bizarrement il l’aurait fait en réponse à ses interrogations que soulève le rapprochement diplomatique marocain avec l’Afrique orientale. Notamment l’Ethiopie cet ancien empire jamais colonisé, assurément géant émergent dans l’avenir du fait que son autorité régionale se concrétise par ses grands chantiers infrastructurels à l’exemple du grand barrage sur le Nil, conjugué à son leadership économique incontestable frôlant 10% de croissance soutenue et continue sur plus de dix ans dans la sous-région. Et bien, suite à ce constat qu’Al-Sissi ne le veuille ou pas, n’est-ce là un signe d’énervement gratuit de par sa gesticulation qui risquera d’aboutir à l’accélération de sa destitution ? Vu que même les deux institutions militaire et parlementaire seraient souteneures des récurrentes contestations des rues et à l’internationale surtout au sein de l’UA pour qui l’Egypte ce grand pays a perdu son aura.

        Voilà c’en quoi c’est là ou l’on voit qu’il en ressort déjà des distillations-allocutions diplomatiques de la Tanzanie, un commencement de changement de positionnement sur l’intégrité territoriale en faveur du Sahara marocain. Sachant que le dialogue constructif prospectif qu’entreprend le Maroc aujourd’hui, est sensé répondre à toutes les questions restées en suspens par sa longue absence irrationnelle des institutions africaines sous tutelle de l'UA. S’ajoutant aussi à des recadrages à tant d’autres points déductifs des dérapages algériens n’ayant provoqué que déperdition relationnelle, même si pour le Maroc tout semblait être une gestion du temps. Dans l’espoir que ces pays intègrent toute sa souplesse de se faciliter la tache et faire vite évoluer leur positionnement en sortant des vielles bases d’hégémonisme structurel, sorte de piège dont encore certains pays, très peu nombreux, n’en arrivent pas à s’en libérer et en sortir. Aussi, la dynamique politique et diplomatique que connait l’UA par suite de la visite royale en Afrique orientale aurait été pour quelque chose dans la création des conditions favorables et d’aller plus vite de l’avant sans repli généralisé sur soi. Toujours est-il, est-ce que le rapprochement du Maroc avec ces pays avant le Sommet de l’UA à Addis-Abeba en Janvier 2017, n'est-il révélateur de la confiance de leur soutien à son retour avec grande humilité ? En cela, c’est vrai chose dite-chose faite, n’est-ce là une première tendance pour redonner un autre régime de roulement institutionnel à l’UA, après l’installation du Maroc sur son siège dans cette capitale qui prospère de toutes ses richesses matérielles et immatérielles ? En rassemblant ses amis, d’abord pour l’élection de l’ex ministre des affaires étrangères sénégalais à la tête de la commission africaine en remplacement de l’ex Mme Zouma, puis de ne plus laisser jouer l'Algérie la diversion d’où peuvent sortir des positionnements à la ronde par des danses diplomatiques de blocages non rassurants sur le maintien de la RASD et/où sur le traitement de sujets d'actualités. A bon lecteur, bon décryptage ! 

mardi 18 octobre 2016

L’HEURE DES CHOIX POTENTIELS INEDITS ET ACCORDS POLITIQUES STRATÉGIQUES, N’EST-ELLE LE SOCLE DE LA VISITE ROYALE AU RWANDA TANZANIE ET ETHIOPIE ?

L’ETUDE GÉOPHYSIQUE DES CARTES DE L’AFRIQUE ORIENTALE CONCERNANT LA CONSTRUCTION DES BARRAGES, LE MONTAGE DES CIMENTERIES DERNIÈRE GÉNÉRATION, LA FOURNITURE D’ENGRAIS ET FERTILISANTS POUR L’AGRICULTURE, LA FACILITATION DU TRANSPORT ET LA LOGISTIQUE, L’ACCÈS AUX TÉLÉCOMMUNICATIONS VOIRE L’ENCOURAGEMENT DES SOLUTIONS D’ENERGIES RENOUVELABLES, N’EST-ELLE PORTEUSE DES FONDAMENTAUX RIGOUREUX DE CETTE  VISITE ROYALE ?

       Désormais, l’on peut avancer qu’assurément les neuf pays de l’Afrique orientale en l'occurrence Érythrée Ethiopie Djibouti Somalie Kenya Tanzanie Burundi Rwanda et Ouganda, seraient enchantés de marquer du grand sceau de l'entente leurs relations respectives avec le modèle voire le mythe du Maroc. Aussi, la visite royale aujourd’hui dans une première étape s’effectue inéluctablement sur la création de la confiance, la prospérité relationnelle diplomatique et l’intelligence dans la conduite des affaires d’égal à égal sans triche. Notamment des échanges commerciaux économiques voire domaine des assurances banques et gestions administratives territoriales dans le respect des souverainetés, en plus des infrastructures en barrages ports et aéroports unités de cimenteries électrification rurale transport réseau routier et cadastre. D’abord sur les terres des puissants complexes volcaniques du Rwanda, ensuite autour des lacs imposants de Tanzanie que surplombent les plateaux élevés de l’Ethiopie dont la légende en fait repenser à la reine de Saba.

       Que l’on ne s’étonne donc pas si ceux des pays qui s’opposent à la finalisation de la construction du Grand Maghreb, font aussi obstacle au retour du Maroc à l’UA (Union Africaine) pour ne plus la laisser fonctionner normalement. D'autant, n’en voyant même pas que ce qu’il y a de remarquable dans la vision révolutionnaire du Maroc aujourd’hui, ce ne sont pas seulement les témoignages sur sa façon d’appréhender le futur mais la richesse la vie et la puissance de son multipartisme et sa multiculturalité, et ce dans la tolérance et la sérénité en adéquation avec son périple constructif africain. A cet égard, en effet, quel est le but de leur posture à ces acteurs du mal et de la surenchère, sinon inciter l’Afrique orientale à ne pas céder au dynamisme diplomatique marocain et, donc à celui économique commercial culturel écologique géopolitique et sécuritaire cultuel géostratégique ? N’est-ce tout simplement, ils ne le font que pour essayer de mettre un terme à la volonté et à l’aspiration de ces pays voulant le soutenir dans le recouvrement de toutes ses souverainetés, voire même à les pousser à la déconstruction de l’idéal commun avec lui ? N'est-ce, parce qu'évidemment, lui, apporte plus de transparence dans ses choix diversifiés de coopération inter-africaine en disposant de normes et éthiques universelles utilisées et respectées à l’international ? Au sens où, maintenant, comme tout le monde le sait, dans cette sous-région africaine les partisans de l’adhésion à l’attitude visionnaire du Roi Mohamed VI l’emportent finalement haut la main, d'autant plus n’en ont jamais oublié que le Maroc fut le lieu très apprécié des personnalités africaines de légende tels Négus Hailé Sillasse, Nyerere et Kenyatta et d’autres ayant beaucoup fait pour l'unité de leurs pays respectifs et donné de leur temps au moment de la fondation de l’OUA.

       Voilà, pourquoi au nom de quoi la puissance du Maroc sous Mohamed VI de par la stratégie de communication et d’exposition de l’accompagnement de sécurité, elle s’explique aisément. Tellement que tous ces pays veulent s’engager avec lui, par des partenariats de développement gagnants-gagnants non pas en dépassant les panels de la concurrence existante mais de bénéficier de l’accès aux marchés ouverts aux challenges. D’autant que cette sous-région dispose de ressources minières envieuses que l’expertise marocaine pourrait la rendre compétitive en la matière,  de quelques grands ports concentrant l’essentiel de l’activité commerciale comme à Djibouti escale importante sur la route de Suez, d’un tourisme de Safaris encore freiné par une infrastructure hôtelière insuffisante dont tous cherchent à la dynamiser à l’instar de l’expérience marocaine, d’un réseau de télécommunication en voie d’accessibilité mais toujours lente, de constructions routières peu attrayantes laissant à l’écart des zones entières malgré les efforts des chinois. S’ajoutant à une sécheresse récurrentes et aux particularismes nationaux même avec des déclarations de bonnes intentions de ne plus y céder, afin d’éviter de revivre les génocides ou autres guerres civiles et déportations des populations malgré la présence du siège de l’UA à Addis-Abeba.

       Néanmoins, il ne faudrait jamais l’oublier, car assurément, il y en a cinq Afriques sur le plan physique (Centrale, du Nord, de l'Ouest, de l'Est et du grand Sud), au-delà de l’incroyable variété des paysages des formes et du climat d’où transparaissent aujourd’hui les contradictions structurelles aux multiples facettes. Mais, sur le plan politique, est-ce que le contraste existant actuellement de par les oppositions politiques ici et là, ne montre-t-il une dégradation dangereuse au carrefour de toutes les influences et manipulations venant de l’extérieur ? D'ailleurs c'est là le point qui sert comme cheval de trois aux multinationales d'usurper les indépendances des pays surtout africains par la désinformation en vue de convoitise de leurs diverses ressources. Dans le fond, clairement, le choix du Maroc de la voie des énergies renouvelables ne répond-il avec précision à l’établissement de son équilibre énergétique et donc à son indépendance des pouvoirs financiers maîtres de la bourse d’octroi de l’énergie fossile et même nucléaire mondiale ? Par conséquent, de ce fait, est-ce conciliable avec la temporalité d’anticipation politique africaine, qui plus est fait l’objet d’attirance et intéressement de partout de toutes parts ? Alors, n'est-ce du fait de la croissance frôlant 8 à 10% la réponse est oui, d’autant qu’il faut noter la sensibilisation croissante sur ce sujet de tous les pays africains notamment aux problèmes de l’équilibre écologique et du défi de sauvegarde environnementale ? Néanmoins pour l’heure, l’on est en droit de dire que la COP 22 à Marrakech le 07-18 Novembre 2016 construira et consolidera le socle premier de cette envolée africaine vers la tendance à l’énergie renouvelable, dont l'ambition permettra à l’homme et à la femme en Afrique l’exploitation sans problème.

       A cet effet, c’est vrai maintenant, il est incontestable que le Maroc s’engage en Afrique orientale usant de son fonds d’historicité d’ouverture légendaire, en plus qu'en ce temps présent il fait appel à son action experte labellisée sécurisée sur la chaîne des échanges pléthoriques au long terme. D’abord en accourant à la consolidation de la complémentarité géostratégique avec l’Inde le CCG et surtout la Chine qui a plusieurs longueurs d’avance dans cette sous-région, que d’ores et déjà il n’en fait pas un complexe mais voulant acquérir une position envieuse contrairement à l’Algérie envoyeuse que de mauvais signaux et velléités déconcertantes à son égard partout ou il est. N’est-ce par ailleurs pour cela, que la tournée royale se présente comme bloc-package, sorte d’offre très cohérente en tant que tête de pont de pénétration effective par les choix vitaux et stratégiques de l’économie en Afrique orientale ? Soit directement pour combler les lacunes diplomatiques relationnelles ayant souffert pendant 32 ans de l’agitation algérienne, soit par l’énorme effet collecteur marocain des échanges-partenariats labellisés gagnants-gagnants et donc modélisés de rigueur et éthique morale comme pour l’Afrique de l’Ouest. A bon suiveur, bonne lecture !

samedi 15 octobre 2016

DANS L’ATTENTE DE LA VISITE DU ROI DU MAROC EN AFRIQUE ORIENTALE, BOUTAFLIKA ET AL-SISSI NE S’ÉVADENT-ILS JUSQU'A SE REJOINDRE DANS LEURS GRANDES ANGOISSES ?

POURQUOI L’ALGÉRIE ET BIZARREMENT L’EGYPTE NE SUPPORTENT PLUS LE SERVICE INCLUSIF DU RÉALISME DIPLOMATIQUE MAROCAIN AU CCG EN AFRIQUE ET AILLEURS ?

       A l’évidence en 17 ans de règne depuis 1999, c’est un hymne à la paix dans tous ses discours que le Roi du Maroc en a conservé le rythme si particulier auquel la communauté internationale s’y est maintenant habituée. Et, dont il en a impacté le CCG et toute l’Afrique par son influence son souffle et son style, en plus n’en s’en ventant nullement mais seulement essayant de décalquer fidèlement les événements d’aujourd’hui sur ceux des grands bâtisseurs de l’OUA. Malgré que le pouvoir algérien rancunier et celui égyptien putschiste dans leur sens de mise en scène désinvolte, ne s’en lassent de combiner leurs perfidies et malveillances sur le devenir de la situation au Sahara marocain. En cela, voilà pourquoi l’on peut dire que le souverain marocain visionnaire est toujours à l’écoute des changements géostratégiques dans la région MENA-Sahel subsaharien africain, jusque-là étaient construits sur des affinités extrinsèques. En les suivant voire les scrutant et analysant de très près car devenues en ce temps présent basées sur des intrigues intrinsèques au Grand Maghreb, particulièrement au vu de la réalité qui défraye la chronique de par l’atmosphère terroriste transcendante pour le compte de l’entreprise de déstabilisation de toute la région.

       Bien que spécifiquement depuis longtemps algériennes, ces turpitudes n’ont-elles poussé le Roi du Maroc à montrer une mécanique d’anticipation qui marque sa détermination de continuer de se lancer hardiment dans le retour parmi ses pairs en Afrique ? Qu’en effet, qu’on ne le veuille ou pas, tous sans exception y compris Boutaflika et Al-Sissi eux-mêmes, le définissent véritable force de l’intelligence dont le thème et le déroulement sont très proches. De surcroît prodiguant, sans arrogance, la grandeur africaine dans la paix et la sécurité en prenant en compte la mise en œuvre de sa réactivité face au terrorisme. S’ajoutant à sa vivacité d’esprit d’installation de la démocratie qu’il puise dans les références du fil d’actualités de la ‘’révolution du Roi  et du peuple’’ depuis 1953 à ce jour, que par ailleurs ne supporte guère le Général putschiste Al-Sissi. Aussi, l’on confirme de par la solidarité maghrébine, cette volonté royale par le réalisme et l’ambition s’explique non par l’essoufflement de l’Algérie engoncée dans ses dogmatismes contradictoires, mais par souci coté marocain de lui faire éviter le déclin ou même l’agonie. Car le cauchemar de la décennie noire qui la hante est encore dans toutes les mémoires, que malheureusement la junte des Généraux grabataires fidèles à leur déterminisme du temps de la guerre des sables en fait fi. Ne se faisant reconstituer par leurs élucubrations conspiratrices voire leurs palabres de bas de gamme avec la nébuleuse terroriste, que chimères et rêves sans en avoir ni les moyens financiers comme d’antan et encore moins le soutien populaire. D’autant plus, n’en sachant que comme ça ils ne continuent qu’à recréer une vie difficile au quotidien pour le peuple algérien dans les mêmes conditions des séquestrés des camps de la honte à Tindouf à Rabouni et ailleurs.

       N’est-ce là où l’on perçoit que le Roi du Maroc enchante plus les peuples africains par sa vision diplomatique structurante avec succès appréciable sur le terrain de développement de proximité et création de richesses locales ? D’abord, parce que ses impressions de recadrage volontariste comme feuilleton de construction de l’idéal commun dans le respect de la démocratie avec l’Afrique leur paraissent dignes de foi et de confiance. Puis, portant plus d’intérêt au cap de ses voyages répétés en Afrique, ils le considèrent pour autant le chef d’Etat le plus actif au cœur de la mêlée géopolitique africaine. Car, ils sont convaincus qu’il s’est engagé librement sans retenue dans la géostratégie de lutte contre le terrorisme qui est basé sur la nostalgie de l’islamisme intégriste et aussi sur le sens populiste sournois et pernicieux diabolisant l’ethno culturalité. En cela pour la promotion de la nouvelle touche diplomatique visionnaire du Roi Mohamed VI, les diplomates récemment accrédités ne doivent-ils accentuer leur contact et couverture des événements en se basant sur une stratégie de communication très élaborée mais ciblée au dessus de tout soupçon. D’ailleurs, n’en parle-t-on déjà dans les chancelleries à travers le monde de cette reconfiguration diplomatique comme nouvelle ligne de conduite annonçant rigueur vigueur et obligation de bonne pratique relationnelle de stabilisation des tensions ici et là, dont Omar Hilal n'en cesse de donner à l'ONU le tempo ?

       Désormais, grâce à ce redéploiement diplomatique le Maroc se montre offensif pour encore reprendre plus de terrain dans le marché onusien des influences afin de contrer efficacement les orientations des réseaux et mafia de la contrebande et les ventes d’armes dans la zone de séparation et même au-delà. A cet effet, tout le monde sait que Tartag le Général patron du renseignement militaire algérien est devenu le guide du terrorisme illustrant par ses manigances comme du temps de Taoufiq, l’exaltation des jeunes aventuriers propolisaiens perdus et pour qui Daech Aqmi Boco Haram et autres pourraient effacer le droit inaliénable du Maroc sur ses territoires. Tout simplement, parce que, l’attitude du pouvoir algérien depuis 1963 quel que soit le président comporte toujours des composantes d’animosité anti Maroc, à savoir, le FLN par ses mises en scènes tantôt avec tantôt contre le Polisario et l’Armée par ses agissements hors respect du droit international via son service de renseignement. S’additionnant au comportement de la Presse sous dominance, et ce par ses révélations narratives d’un temps révolu même avec des titres qui ne sont pas toujours crashs contre le Maroc mais distillent des analyses racoleuses tendancieuses.

       Quant à Al-Sissi l’égyptien perdu dans le Sinaï face aux frères musulmans, ne met-il son pays en plein désordre inspiré de son mauvais rôle et de sa piteuse interprétation contre le droit du Maroc sur son Sahara ? Tellement, malheureusement, ce positionnement cruellement conçu de par la récente parade de réception officielle de la délégation polisarienne à Charam Cheikh en marge de l'assemblée du parlement arabe africain, mettant l’Egypte dans la situation d’Etat condamné à danser pour ne pas dire à se prostituer comme une vulgaire entité sans foi ni loi pour avoir les faveurs de l’Algérie et de l’Iran. N’est-ce là aussi de par cette incroyable bougeotte diplomatique Donquichottesque reprochant au Maroc son aura chez les pays du CCG et pas seulement, il passe aux yeux des observateurs avertis une sorte de pasticheur ridicule ? De surcroît contenant tout le mystère sous-entendant ses rêves, dont invraisemblablement il en espère qu’avec le temps et l’oubli il se couvrira de gloire des soi-disant vainqueurs par la conspiration, jusqu’à ne plus s’en soucier du boulet qu’il traîne depuis son complot contre ‘’Achar’ya’’ la légitimité démocratique. Néanmoins, même si l'Ambassadeur égyptien à Rabat en minimise les conséquences de ce contre temps, la question qui taraude c’est pourquoi la diplomatie du Caire s'est-elle engagée dans cette ligne de création de rapports complexes avec le Maroc en faisant la victime innocente et en même temps empruntant le chemin pro algérien ? A bon entendeur, salut !

mardi 11 octobre 2016

L’ŒUVRE POLITIQUE ET DIPLOMATIQUE MAROCAINE, N’EST-ELLE LE FAIT DE FAIRE LE DROIT DE LE RAPPELER ET DE LE RESPECTER A L’ONU ?

LE PLUS GRAND MÉRITE DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE N’EST-CE D’AVOIR PROFONDÉMENT RÉNOVÉ L’APPROCHE DE FAIRE DE RAPPELER ET RESPECTER LE DROIT, TOUT EN LUI DONNANT UNE FORME LISIBLE DE PAR L’ORCHESTRATION DE LA DÉMARCHE ROYALE EN AFRIQUE EN EUROPE EN ASIE AU GOLF AUX AMÉRIQUES ET AU MAGHREB ?

       Maintenant, il est clair et net que la marche diplomatique marocaine à l’ONU, a démontré sous l’effet de la vision royale que le maintien de ce dossier au sein de la quatrième commission de l’assemblée générale de l’ONU n’est qu’un basculement vers le viol de la charte par recherche des remodelages et rafistolages. Aussi, n’en pourrait-on confirmer que la reconfiguration structurelle en ressources humaines qui s’installera incessamment prochainement, coïncide avec le tassement des surexcitations perfides sournoises et malveillantes du noyau résiduel anti Maroc au sein de cette assemblée ? Dont, heureusement les échanges avec le DEA (Département d’Etat Américain) les pays nordiques européens et l’Algérie en ont été circonscrits méthodiquement, par suite de la vigilance et des acquis diplomatiques marocains depuis l’avènement du règne Mohamed VI. D’autant plus qu’au marché politique perfide aujourd’hui, montrant une très vive tension surtout entre le Maroc et l'Algérie au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon ayant montré aussi l’agitation des supporteurs de second plan dos au mur, c’est le tarissement des idées pour concurrencer l’offre marocaine d’autonomie 2007 et donc la marche formelle circonstanciée des institutions contribuant à la stabilisation à tous les niveaux.

       Néanmoins, et c’est là où il faut davantage creuser les méninges, n’est-ce l’arrivée d’Antonio Gutteres ne provoquerait-elle une forte tension comme baroud d’honneur de ces pays voyant l’évolution du conflit du Sahara marocain leur échapper ? Tellement que devant la quatrième commission de l’assemblée générale de l’ONU, le représentant de l’Algérie n’a fait qu’interrompre les intervenants leur déniant le droit d'interpeller son pays sur son implication à propos de la longévité inadmissible de ce dossier. Et dont il faudrait faire très attention à la réactivation militaro-terroriste du serment de l’Algérie sous Feu Boumediene de ne jamais laisser le Maroc tranquille. Dès lors, qu’en ce temps présent les prémices de son auto proclamation à l’ONU car s’étant octroyée un abus de droit en tant que  soi-disant gardienne de la normalité onusienne à propos du devenir du Sahara marocain. Autrement dit, n’est-ce pas cette manœuvre politique algérienne en plein remue-ménage onusien au vu du départ prochain de Ban Ki Moon, dénote un déni des réalités particulier sur le terrain ? D’abord, pour essayer de faire fuir les investisseurs qui drainent des soumissions faites sur la maturité de la situation géopolitique  sociale et sécuritaire  au moyen et au long terme. Puis sur le contexte géostratégique international tendu en Syrie et Ukraine, d’où l’on entend ici et là son attisassions du conflit du Sahara marocain en faisant dans la surenchère face à l’adjudication des marchés lancés par le Maroc dans son Sahara. Qu’heureusement il en eut déjà prévu la programmation diplomatique conforme aux attentes des investisseurs dans le respect du droit, pour ne laisser l’Algérie et ses manutentionnaires continuer à berner la communauté internationale.

       En effet, la tension USA-Russie à propos de la Syrie du fait qu’il n’y a point de certitude pour que l’ONU encore sous Ban Ki Moon réussisse dans ses bons offices, n’arrange que les agitateurs au Maghreb par leur rêve de résurrection et la trahison de leur parole donnée. En l’occurrence, les généraux algériens qui ne veulent se libérer de l’esprit du mal pour lequel ils fondent leur supervision des terroristes avec en ligne de mire l’augmentation du risque de déflagration de la guerre par procuration dans cette région. Sauf que chose qu’ils ne veuillent accepter, c’est que tout le monde sait que la stratégie du Royaume du Maroc renforce sa diplomatie multi directionnelle qui vise l’intégration de son économie dans les pays émergents en se basant sur un pilier majeur, à savoir, l’investissement. En plus de l’accréditation de son aura politique à l’international, contrairement à l’Algérie dans le creux de la vague des pays en souffrance si ce n’est carrément en agonie. D’ailleurs, le dernier exemple de l’installation de Boeing au Maroc illustre bien qui sont les entités appelées à se développer pour accompagner cet écosystème d’investissement et faire face aux défis du fléau du chômage. Dès lors que le devenir du tissu économique, surtout celui occupé par les PME-PMI qui sont les véritables moteurs de croissance spécifique en interne, est l’expression de l’Etat-Maroc unique et unitaire sans pleurs ni impression indicible de son vrai don politique diplomatique pour l’appel à plus d’investisseurs.


       A cet égard, pour être plus complet, comment peut-on organiser la COP 22 à Marrakech du 07-18 Novembre 2016, alors que le mal à mobiliser des ressources des Etats insulaires persiste par suite des conséquences du dérèglement climatique à l’exemple des dégâts de l’Ouragan Mathiew. Aussi, l’effet de mise à niveau de la diplomatie marocaine serait sans importance, voire même dénué de raison d’être s’il n’intervient pas pour aider, comme ce qu’a fait Sa Majesté le Roi Mohamed VI s’étant engagé à prendre en charge les frais de déplacement aller-retour et séjours des chefs d’Etats et gouvernements de ces pays. Pis encore, sur ce grand axe de solidarité Sud-Sud, outre la recherche collaborative de lutte anti terrorisme certains pays riches ne s’en soucient pas des opportunités de création des richesses locales via entrepreneuriats gagnants-gagnants à l’exemple de ce qu’entreprend le Maroc en Afrique. Ce qu’évidemment oriente le choix de la stratégie diplomatique marocaine, faisant trembler l’Algérie reléguée dans la nouvelle classification de l’ONU. Et ce de par l’altération de sa capacité réactionnelle qu’elle soit intermittente ou persistante dans la compétition internationale, au sens où c’est là où l’on voit l’illustration cadrée de la diplomatie marocaine s’imposant par la spontanéité et la sincérité du Roi. Qu’effectivement, c’est par son intuition sa détermination et son influence qu’il est le chef d’Etat par excellence paraissant aux yeux des observateurs le seul porteur d’idées de solidarité concrète, discours d’Abidjan et Bamako faisant foi. A bon suiveur, bon décryptage ! 

jeudi 6 octobre 2016

AVEC ANTONIO GUTTERES A LA TETE DE L’ONU, EST-CE FINI L’ACTIVISME DOCTRINAL ANTI-MAROC ?

L’ELECTION D’ANTONIO GUTERRES N’EST-ELLE EN GÉNÉRAL A LA FOIS BIEN ACCUEILLIE PAR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ ET OBSÉDANTE VOIRE NON SÉDUISANTE POUR L’ALGÉRIE CHRISTOPHER ROSS ET LE POLISARIO ?

       Quand les montagnes russes ne seraient plus dans l’agenda politique au Secrétariat Général de l’ONU conséquence des reniements de l’Histoire dans l’affaire du Sahara marocain, alors il se produira une véritable solution fondée sur le maintien de l’équilibre de la paix et de la sécurité de la région MENA et de la bande Sahel subsaharienne africaine. Pour le coup, c’est ainsi en ce sens que l’élection à l’unanimité de l’ex premier ministre portugais Antonio Gutteres est recueillie avec bienveillance fervente du coté des membres permanents du Conseil de Sécurité de l’ONU en dehors de celle quelque peu mitigée de la Russie, pour raison de géostratégie et géopolitique plus ou moins rongée d'exaspération de l’appétit de faire vaciller les vertus politiques. Alors que, sûrement, elle est obsédante voire non séduisante pour l’Algérie et ses portes-flingues à l’international, même si, lui, n'est pas responsable de la situation. Aussi, dans le même temps les pays lusophones à l’exemple du Mozambique et de l’Angola qui sont toujours en effervescence anti Maroc, ils s’apprêtent à poursuivre leur prétention calquée sur l'Algérie par archaïsme. Et/où se déroule une usurpation par effraction des consciences de par leur hostilité et leur appui à l’établissement d’un Etat fantoche au Sahara marocain, dont comment ne pas y voir une perspective d'incubation en ON de la violence de la contrebande et du terrorisme.

       Néanmoins, n’est-ce là la posture des portes paroles des mécontents, dont on pourrait dire qu’elle serait dans la diffusion de leurs idées partiales et non neutres pour le perturber dans l’informel de son action autour de sujets politiques et idéologiques d’un temps révolu. Parce que, contrairement aux apparences, le Polisario s’en rappelle de sa visite en 2007 aux camps de la honte, d’où il avait dénoncé l’orgie frénétique qui s’organise autour des détournements des aides humanitaires à même jusqu’à avoir appelé à haute voix au recensement que Ban Ki Moon n’en a nullement tenu compte. Comme ça presque dix ans après une carrière à la tête du HCR, dès sa prise de fonction le premier Janvier 2017 saura-t-il gagner ce pari grâce à sa technique communicative polyglotte illustrative et son génie combatif inspiré de son propre pas politique constructif sans égal avec ses prédécesseurs ? De surcroît, s’incorporant aux suggestions de ses visions carrées d’une manière singulièrement plus normale moins affectée de sournoiseries ni préjugés. Autrement dit, qu’elle soit reposée et résolue pour constituer à la fois la bonne amorce pour un bilan non décalé mais seulement penchant vers l’apothéose de l’offre d’autonomie 2007 dans la régionalisation avancée.

       D’ailleurs, pour cette façon de voir le conflit du Sahara marocain, cela suppose des gestes typiques forts de sa part dès le départ en tant qu’originaire de la région du sud de l’Europe, en l’occurrence le Portugal mitoyen au Maroc et donc normalement bien au diapason du fil historico-politique du Maghreb. Déjà, sa générosité a permis de par sa formation d’ingénieur le montage de nouvelles structures au HCR, avec un rabotage de presque le tiers des employés au siège à Genève ayant pesé dans l’opérationnel par l’efficacité d’action dont on voit un bout d’espoir sur les résultats obtenus et à venir. Avec un cantonnement à l’aspect humanitaire par contribution assumée en cohérence et en stratégie politique sur les différents conflits en matière de prévention indiscriminée, de dispatching des aides sans retard ni hésitation et d’intervention brisant avec la tradition qui irrite beaucoup et inquiète la communauté internationale.

       A cet égard, maintenant qu’il est confirmé, avec son style plus accompli aux objectifs ambitieux il n’a de choix que d’œuvrer pour que l’ONU n’en reste à la constatation des ravages des conflits sans réactivité constructive. D’autant qu’il faudrait qu’il le fasse pour obtenir les plus grands succès dans lesquels figureraient des aires et des impacts diplomatiques sans vengeance ni inertie pathétique d’ivresse de la victoire d’un camp sur l’autre. En cela le Maroc en espère le soutenir dans l’ensemble de son credo politique dans chacune de ses composantes mêmes celles qui assureraient la partialité justifiée et la neutralité pondérée face à l’affichage du fatalisme d’implication des lobbys et membres influents au DEA sous Obama. Et ensuite, tiendraient avant tout de l’évitement du chassé-croisé qui relie l’expression des malveillances comme du temps de Ban Ki Moon à l’insupportable et non conventionnelle voire dramatique attitude du pouvoir algérien. N’en n’oublions pas à cet effet de rappeler que l’accord de Paris sur le climat qui est la continuité de quelques rares succès des Nations Unies sous Ban Ki Moon, ait amené au respect des engagements par l'accélération des ratifications du protocole par les 193 pays pour que puisse se réaliser la COP 22 à Marrakech sous bonnes auspices onusiennes dans la sécurité et la sérénité.

       Bien entendu, tout cela demande des réformes relatives au vocabulaire que doit s’approprier le prochain remplaçant de Christopher Ross, notamment dans son ballet diplomatique face à l’Algérie au Polisario et à la Mauritanie sans tomber dans le récitatif ni dans la pantomime. Parce que la reconduction de Christopher Ross n’arrangerait rien, dès lors qu’il va continuer à faire figure de vrai patron en usant de ses liens avec les militaires algériens qui sont maintenant notoirement connus en mèche avec les terroristes d’AQMI DAECH BOCO HARAM et d’autres. D’ailleurs ne ce sont pas là les seules accusations portées contre lui et ces militaires dans leur besogne commune? Car cherchant à déstabiliser l’Etat-Maroc par une pression des plus injustes voire complexes dans l’énormité au bénéfice des tireurs des ficelles. Avec précision cependant que les conspirateurs de l’intérieur, dans leur rêve de prendre tout le pouvoir sans unanimité derrière seraient inconsciemment en phase avec eux. Et ce, de par qu’ils se confèrent l’auréole du martyr comme les terroristes de Daech, avec en plus une inquiétante constance réitérative surtout en cette veille du deuxième scrutin législatif d’après le Oui référendaire sur la Constitution du 01 Juillet 2011. En ce sens, et c’est là ou il faut faire attention, il est d’autant plus nécessaire pour l’Etat-Maroc de ne rester dans l’expectative alors qu’il y a des protestations de la part de la société civile des élites des corporatismes socioprofessionnelle qui ont l’impression qu’on ne les écoute pas outre mesure. A bon entendeur, salut !  

samedi 1 octobre 2016

L’APPROCHE DIPLOMATIQUE MAROCAINE, UN OUTIL DE MESURAGE EN GÉOPOLITIQUE DE LA PERFORMANCE CONSTRUCTIVE !

RETOUR SUR LE VICE DE DROIT VOIRE DÉNI DE RÉALITÉ SUR LE TERRAIN, PAR LES PASTICHEURS N’EN SACHANT QU’ILS VIVENT DE PSEUDO-GLOIRES USURPÉES AU SEIN DE L’ONU ET AILLEURS !

       Toute la communauté internationale sait maintenant que Bouteflika et son ministre zélé des Affaires Etrangères Ramtan Laamamra, avec leurs ambitions croisées remplies d’échecs ne représentent que la médiocrité diplomatique. Ce qu’évidemment risque de les faire tomber incessamment sous peu dans le plus profond trou des oubliés au sein de l’ONU comme dans toutes les Instances internationales. A ce titre, ce n’est nullement une vindicte d’être contre eux, mais seulement le besoin d’apporter un éclaircissement sur leur projet de partition du Maroc dans le cadre de la bougeotte du DEA (Département d’Etat Américain) soufflé par le gourou Christopher Ross. Parce que, aujourd’hui, d’après ce qui circule ici et là sur les réseaux sociaux et sites d’intox pro algériens, corroborant les informations des lanceurs d’alerte concernant cette stratégie pernicieuse à l’encontre du Maroc, c’est la poursuite de l’ambigüité à la Ban Ki Moon dont il s’agit. Et, d’où ne provient que cynisme abus et subjectivité fervente sans foi ni loi contre tout ce que représente l’autorité souveraine publique de l’Etat-Maroc sur l’ensemble de ses territoires notamment dans son Sahara.

       Aussi, ne faut-il le rappeler que bien avant la guerre des sables 1963 pourtant, le pouvoir algérien affermit sa prétention de prendre le Maroc en otage sur la foi de prédictions du temps du rideau de fer? Annonçant presque en ON à l’époque, son projet basé sur les diatribes d’accompagnement de ses multiples harcèlements conceptuels de pratiques de déclenchement de ses passions remplies d’opprobres et de production de malveillances et cruautés. Au demeurant, n’ayant provoqué que sa bérezina historique jusqu’à ce jour encore brûlante pour sa conscience, dont, effectivement, il cherche à en refaire le match en termes d’envie de déstabiliser l’Etat-Maroc de l’intérieur comme de l’extérieur. Mais, sans avoir les moyens psychologiques consensuels de dépasser l’atemporalité de ses pseudo-gloires d’usurpation et recel diplomatique l’ayant amené étape après étape à la souffrance assurée qu’il connait aujourd’hui. A cet égard, qui sont-ils ces pasticheurs de l'intérieur qui vivent de gloire usurpée alors qu'ils ne sont ni défenseurs convaincus de l'Etat-Maroc, ni penseurs ne supportant la misère mais seulement adulant le confort, ni talentueux orateurs sans populisme et faux semblant mais seulement faisant dans la méchanceté verbale et/où physique à même de s'essayer à la promotion de la division voire de l’apocalypse ? Tellement, que cette fois il ne s'agit plus de simple médisance ou d'un tableau d'expression de meurs politico-sexuelles dont on a eu des échos jusqu'au raz-le-bol, mais d'une accusation aux profondes résonances politiques ouvertes sur la ''complotite'' sourdine émanant de déclaration de Cheikh Moutie le manitou attitré du temps de la Djamaa Islamia des années 70-80. Malheureusement, rentrant en l'occurrence dans l’algorithme de sape de la marche du Maroc, que le pouvoir algérien prend comme argent comptant pour s'adapter à cet environnement étroitement lié à sa propre finalité saugrenue. Dont on pourrait en rapporter trois informations de première importance, primo on sait qu'un courant fidélisé et inféodé à l'Etranger est devenu permanent, secundo il y a maintenant la certitude que sur les terres marocaines on aspire au développement pluripotentiel multisectoriel dans la paix et la sécurité, et tertio l'objectif primordial de l'Etat-Maroc unique et unitaire est la lutte contre toutes les formes de l'Islamité outrancière.

       En effet, dans un souci de clarification des attitudes du pouvoir algérien, les observateurs avertis en illustrent les entrées de cette tricherie et usurpation des consciences par de nombreux actes de sournoiseries et perfidies à l'encontre du Maroc. Tellement que cette façon d’appréhender l’affaire du Sahara marocain l’a isolé, d’abord dans son cercle fermé avec le Venezuela l’Uruguay le Zimbabwe le Mozambique et l’Angola, mais sans répondant de l’Afrique du Sud ni du Nigéria qui sont entrain de réviser l'ordre et l'engouement afin de les harmoniser avec la vision du Roi du Maroc dans leurs cartes géopolitiques africaines. Puis, dans celui du rêve de mobilisation sans fondement anti Maroc de Ban ki Moon, Kerry Kennedy, Susanne Reis et John Kerry, heureusement stoppé par la vigilance des diplomates marocains avec l’aide de pays vraiment amis au Conseil de Sécurité de l’ONU ne voulant la débandade ni dans la région MENA-Maghreb ni dans la bande sahel-subsaharienne africaine. Au sens où, conséquemment, pourquoi ce pouvoir algérien et ces portes drapeaux croient-ils qu’ils peuvent faire tonnerre et lancer leurs éclairs contre le Maroc, par l’usage du leitmotiv des folles idées de rêve insensé de l’Algérie d’espérer avoir un comptoir sur l’Atlantique à travers les dunes au Sahara marocain ? Alors même sachant, que cette dernière ne possède ni assurance géopolitique ni déterminants géostratégiques de perspective prometteuse de sécurité régionale et encore moins la conviction de le réaliser, et ce par manque de soutien populaire conjugué à la peur d’être laminée par la riposte marocaine.

       Sauf que, chose que ce pouvoir ne veut intérioriser de par son aveuglement de ne reconnaître la victoire de la diplomatie marocaine, que les règles d’entretien et/où de restauration des relations avec la communauté internationale en Europe Afrique Asie Amérique Centrale et du Sud et Océanie sont à l’avantage sans ambages au Maroc. D’autant qu’il est invariablement ferme sur ses positions, sûr de sa cohésion sociétale et de sa détermination de tout faire au sujet de son Sahara, ne montrant à aucun moment de faiblesse de subordination ni de compromission avec l’Etranger d’assurer son intégrité. Contrairement à ce pouvoir algérien mité par les structures terroristes risquant de le mettre à genou à tout moment, et dont il cherche à en enquiquiner la Tunisie blessée mais en bonne voie de requinquement, la Libye en fournaise se cherchant d’en sortir du brouhaha provoqué ici et là, le Mali aux abois sachant ses potentialités limitées pour faire face aux excitations et convoitises, le Niger déconcerté face à Boco Haram voulant imposer le chaos pour s’accaparer du pouvoir et la Mauritanie entre bonus-malus contrebandiers terroristes en tant que substrat nécessaire à l’installation des meilleures conditions pour la mettre à portée des canons de l’islamisme chiite.

       Oui, maintenant l’on peut dire, si certains récits consacrés à la performance de la diplomatie marocaine sont accessibles via le Net, il n’en demeure pas moins que d’autres se voulant critiques mais sans fondement, s’adressent aux équipementiers du Polisario sous l’emprise d’ONG répertoriées viscéralement anti Maroc. Afin qu’ils puissent continuer leur besogne sur les bases du déni de réalité sur le terrain et à fournir voire diffuser les mêmes recommandations validées par les Généraux algériens pour couvrir les gestes irresponsables de Ban Ki Moon et Christopher Ross. D’autant plus, tout cela fait partie de leur conspiration du reniement de la bande de Ksar Lamradia à Alger de l’implication sans contrainte du Polisario dans la nébuleuse terroriste d'Aqmi et Daech selon les opportunités, depuis Kandahar en Afghanistan jusqu’à Kandahar à Guerguarate. Ainsi, on peut affirmer sans hésitation ni tremblement, la stratégie visionnaire du Roi du Maroc, première en son genre qu’au demeurant commence à être copiée ici et là avec bien sûr des variantes, n’a-t-elle réussi à faire découvrir les interconnexions en termes des repositionnements géopolitiques de beaucoup de pays en faveur de l’offre d’autonomie de 2007 dans la régionalisation avancée? Sans toutefois perdre les repères qui permettent de les associer les uns des autres grâce à l’efficacité de la démarche royale contre le terrorisme, dont le discours du 20 Août 2016 destiné aussi bien aux spécialistes qu’aux néophytes de par le monde en est porteur de détails illustratifs en la matière ? A bon suiveur, bonne lecture !