mardi 29 octobre 2019

LES PREMIERS ENSEIGNEMENTS DU GESTE ODIEUX DE PIÉTINEMENT ET BRÛLAGE DU DRAPEAU NATIONAL À PARIS.

APRÈS L'ACTE  IRRÉPARABLE DE LA CRIMINELLE HALIMA ZINE, LES MAROCAINS DURCISSENT LEUR CAMPAGNE COMMUNICATIONNELLE ANTI SÉPARATISME.

     Après le geste criminnel immonde de Mme Zine Halima lors de la manifestation à Paris en soutien au Hirak cessessioniste du Rif, on pense que dorénavant elle végétera comme une péstiférée quelque part dans Montpelier. Et ce n'est pas son statut de marocaine du monde qui lui épargnera les déboires judiciaires qui pointent à l'horizon. Cela se voit, sinon se perçoit à travers le tollé provoqué sur la toile du Net. Autrement dit, l'avenir ne lui sera d'aucun secours parce qu'elle a piétiné et brûlé le drapeau de son propre pays tout en brandissant l'étendard de la république éphémère du Rif de 1920 sous Abdelkrim Khattabi face aux espagnols. De fait, jamais elle ne sera une icone célèbre aux yeux des marocains, et ne lui reste donc que de s'enfermer pour expier sa faute. Déjà, l'on peut affirmer que ses journées comme ses nuits lui seraient de plus en plus longues et donc dures à supporter. Parce que, pour le peuple marocain, ce nouveau fait conspirationniste accompli à Paris en brûlant le drapeau national constitue une bassesse de violation de la souveraineté et l'intégrité territoriale. Aussi, de la répitition de ce genre d'actes puériles et odieux, d'abord en déchirant les passeports puis en brûlant l'emblème et symbole marocain qu'est le drapeau, ces sauvageons montrent leur dernière ambition de déstabiliser les marocains. 

       Maintenant c'est sûr qu'ils ont peur sans dire de quoi après le geste inqualifiable de Halima Zine. Peut-être du risque d'expulsion qui les poursuit désormais comme leurs ombres. En tous cas, telle est à peu près l'idée qu'ils exposent sur les réseaux sociaux, d'où ils tentent de vider de toute substance l'unicité l'indivisibilité et la cohésion du Maroc. D'ailleurs, la sinistrose qui les envahit montre qu'ils n'ont pu se douter que l'Etat-Maroc n'accorde aucun crédit à leurs motifs d'irritation de la conscience du peuple. D'autant plus, tout le monde sait qu'ils se sont trouvés contredits même au sein de leurs familles de l'intérieur et de l'extérieur du Maroc. Voilà pourquoi une condamnation unanime d'ordre moral et politique est portée sur leur procédé, et/où se joignent les appréhensions quant à leur avenir. De toute façon, que ceux qui au nom des droits humains deux poids deux mesures qu'ils affectionnent parce que de mèche avec ces idiots, doivent savoir qu'ils seront décontenancés et montrés du doigt. Pour preuve, les critiques qui ne cessent de monter contre leurs arguties. D'où l'amertume la plus extrême, dont, tout un chacun sait la puissance de ce mot dans la bouche des marocains. Ceci dit, à quoi bon continuer à projeter outrageusement ici et là des actions ne consacrant en rien les droits de l'homme. N'est-ce pour cela le Maroc a renforcé sa vigilance sur ce qui se trame comme effet provocateur contre ses institutions ? Oui, il faut l'affirmer avec assurance, le défi du Maroc c'est aussi combattre ces énergumènes là ou ils se trouvent. C'est pour cette raison les marocains n'ont jamais cessé d'élever leurs objections à l'endroit des séparatistes quels qu'ils soient. Comme aujourd'hui durcissant leur campagne communicationnelle contre les conspirationnistes rifains et autres. À bon lecteur, bon décryptage !

samedi 26 octobre 2019

SOMMET RUSSIE-AFRIQUE DE SOTCHI 23-24 OCTOBRE 2019, UN BILAN PLUS QUE PROMETTEUR POUR LE MAROC.

L'AFRIQUE SORTIE DE L'ATTENTISME EST DÉSORMAIS BOUSCULÉE PAR POUTINE QUI VEUT DOUBLER SES ÉCHANGES  MULTIFORMES AVEC ELLE EN TROIS ANS.

       La délégation étoffée marocaine mobilisée pour le premier Sommet Russie-Afrique a sûrement aimé le sprint de rattrapage géostratégique dans tous les domaines annoncé par Vladimir Poutine. En cela, il faut le marteler sans gêne, le Maroc en est l'une des pierres angulaires africaines reconnues et justifiées par rapport à la relation de la Chine l'Europe et les USA. N'est-ce pas il est le deuxième partenaire commercial africain en Russie, pour ne se laisser distancer dans cette course des partenariats géostratégiques gagnants-gagnants ? Évidemment, la délégation marocaine conduite par le chef du gouvernement n'est pas venue à Sotchi les mains vides, ne voulant pas être une participante fantôme. Et donc, certainement elle avait des monographies sur  les potentialités des douze régions à faire connaître, des infographies d'évolution de l'économie du pays à mettre en valeur, des statistiques sur le climat des affaires avec label hautement sécurisé à faire prévaloir. Tout cela s'inscrivant dans la ligne visionnaire du Roi Mohamed VI pour la sécurité la stabilité et le développement de l'Afrique dans le respect des souverainetés territoriales des États. Bref, un arsenal techno-informationnel et juridique portant un message subliminal fort à l'adresse des ennemis de l'intérieur et de l'extérieur du Maroc. Pour preuve, l'accord signé en marge du forum autour de coopérations bilatérales concrètes induites depuis la visite d’État du Souverain en 2016, pour la construction d'un complexe géant pétrochimique garantissant un raffinage de haute valeur ajoutée. 

       Aujourd’hui, tout un chacun sait que le monde vit des changements structurels dans les gouvernances pour un nouvel ordre sociétal équitable multiforme. Dont, au Maroc qu'on ne le veuille ou pas, ça prend l'allure d'un engouement qui est en phase avec son attractivité pour les investissements. N'est-ce, cela qui a mis le président algérien intérimaire Ben Salah en dérision sur les réseaux sociaux face à Poutine le pragmatique ? Car, en niant les réalités politiques et économiques de l'Algérie régentée par Gaid Salah, il a révélé son inutilité et celle du gouvernement Bedoui. Aussi, dans cette situation algérienne inédite, après trente six vendredi de mobilisation du peuple, ni l'Afrique du Sud ni même le Polisario chassé par Poutine ne sont à l'aise face aux objections nécessaires russes. C'est dire que pour la Russie, le pouvoir résiduel boutaflikien restant, ne fait pas le poids face au dynamisme diplomatique marocain. Sachant que la horde boutaflikienne, entre pessimisme et déni, n'a fait depuis vingt ans que subir des défaites cuisantes à tous les niveaux et dans tous les secteurs. En somme, de par l'incomparable aura et leadership du Roi Mohamed VI, le Maroc n'a jamais été aussi convoité par les investisseurs étrangers en tant qu'hub et plateforme d'entrée en Afrique que depuis l'avènement du nouveau règne en Juillet 1999. En effet, ne peut-on d'ores et déjà dire, ce qui  est ressorti du forum de Sotchi sera au bénéfice de la garantie conjointe russo-marocaine pour une solution onusienne du conflit du Sahara marocain dans le cadre de l'offre d'autonomie 2007 ?

       En revanche, est-ce que la riposte opposée par le gouvernement algérien à la déclaration d'Amar Saadani ex-patron du FLN sur la marocanité du Sahara, ne marque-t-elle une duplicité de langage révoltante de ce pouvoir ? D'autant plus qu'elle a, à beaucoup d'égards, plus l'apparence d'un diktat militaire à ce gouvernement illégitime, qu'un constat de résurgence politique de ce qui reste de la bande haineuse et rancunière FLNiste. Mais pourquoi cette bande continue-t-elle de ne pas s'assimiler au Hirak et à la rébellion du peuple algérien frère qui n'admet plus le déni des réalités historiques à propos du Sahara marocain ? N'est-ce là, où l'on comprend sans naïveté, que le FLN aveuglé ne s’était soudé des années durant que par son admiration pour les maroquins et les postes de la rente pétrole-gazière. La SONATRACH en est encore l'illustration vivante, comme vache à traire sans rendre des comptes, dont, les algériens trouvent aujourd’hui que ce jeu sordide a trop duré. Autrement dit, si aujourd'hui l'ennemi juré du Maroc en l'occurrence Gaid Salah, parait avoir perdu toute retenue, peut-être la retrouvera-t-il après le Sommet Russie-Afrique de Sotchi au bilan plus que prometteur pour le Maroc. Parce que sinon, c'est d'une attitude musclée en interne de l'Armée algérienne dont il aura à faire face. Ce qui, sans aucun doute produira un orage précurseur de sa mise á l'écart, pour ne pas dire de sa démission forcée. Étant donné que les langues commencent à se délier, montrant que la relation Maroc-Algérie est plus grande que la continuité de ce Général octogénaire, en tant que courroie d'officialisation de la position anti tout ce qu’entreprend le voisin de l'ouest. À bon entendeur, salut !

dimanche 13 octobre 2019

HUIT ANS D'HYPNOSE POLITIQUE POUR NE PAS DIRE DE "ROQUIA" ET CA CONTINUE!

TOUS LES COMMENTAIRES MONTRENT QUE CE TRAIN DE L'HYPNOSE EST ENTRAIN DE DÉPASSER LES NOTIONS DE LA REPRÉSENTATIVITÉ LÉGITIME JUSQU’À DEVENIR TROP RADIOACTIF POUR LES COALISÉS .


       À priori, le discours du Roi du 11 Octobre 2019 au parlement contient un ultime recadrage des banques et institutions financières, doublé d'une solennelle mise en garde à toute la classe politique. Et sortir de l'état d'hypnose duquel le PJD est devenu trop radioactif par ses ''discours-roquia'' concernant les coalisés. Comme ça, l'on peut dire, les parlementaires et tous les membres du nouveau gouvernement remanié sauront à quoi s'en tenir pour relever le défi de la nouvelle donne d'accompagnement du développement. En quelque sorte, ils se doivent, ne plus s'abuser sur le sens des discours royaux ni les résumer de manière désinvolte voire erronée. En effet, sans rentrer dans les détails du rôle efficient des banques dans l'économie du pays, ce qui importe aujourd'hui, c'est la facilité et la rapidité de mise à disposition des jeunes entrepreneurs de moyens de payement pour le bon fonctionnement et le meilleur suivi de leurs jeunes entreprises. 

       Avec cet état d'hypnose qui continue et après les clashs du PPS-MP et les secousses à l'USFP, le remaniement semble un sauvetage du PJD et en même temps un évitement du crash du RNI. N'est-elle là la défaite de Driss Jettou qui comme on l'a vu a, suite à son rapport cossu mais controversé, essayé d'abroger l’expansion du PJD et RNI dans la consciences des marocains et de l’État ? Il suffit de voir comment le PJD et le RNI, pendant trois ans, n'ont pas su capitaliser sur leurs postes ministériels stratégiques pour comprendre la mise des lignes rouges de Jettou sur la voie du remaniement. Ils n'ont pas pu systématiquement réussir à imposer une ligne pour le développement par des résultats forts nets clairs et porteurs d'avenir en matière d'entreprenariat des jeunes, notamment dans le secteur informel. N'est-ce, par ailleurs, ce manquement à la parole donnée qui interdit aux partis politiques marocains de resserrer leurs liens avec les populations dans toutes les circonscriptions électorales ? Pire encore, le remaniement a montré que tous les chefs des partis coalisés se sentent en perte de vitesse, ne pouvant plus mettre en exergue le moindre acquis des mobilisations dans les meetings régionaux. S'ajoutant à l'arrivée des cotataires rentiers de la politique aux postes du pouvoir, alors que tout le monde sait qu'ils ne répondent pas aux critères de compétence.

       Mais n'outrons pas, toutefois, l'optimisme que nourrissent les chefs des partis dans leurs stratégies, chacun selon son positionnement, de vouloir conquérir la chefferie du gouvernement en 2021. Étant donné que pour eux, l'option n'est plus entre le pessimisme et la résignation, mais entre la victoire probable et le ras-de-marée qu'ils se font miroiter, Évidemment, y en a marre de revoir les mêmes entreprises politiques s'agiter sans résultat à chaque remaniement, alors qu'au sein du peuple marocain on n'est pas enclin au même optimisme à propos du gouvernement Othmani II. Bien sur, on n'irait pas jusqu'à dire que ça les rend plus hostiles à cette mouture remaniée de la sorte, parce qu'au contraire ils demandent à ne plus voir la traduction de l'absurdité politique. Malheureusement, Othmani continue d'en faire fi par ses insinuations loin de la vérité de l'histoire politique du pays, d'où, il y a toujours une manipulation machiavélique derrière de sa part. Ce qu'au demeurant pourrait annoncer le crépuscule de son gouvernement, ne sachant que les couteaux qui étaient remisés après la formation de son gouvernement ressortent, aujourd'hui, pour des raisons facile à deviner. Finalement, au Maroc, tout est à reconstruire pour se réinventer et repenser une ligne politique pour éviter les risques d'un boycott des élections en 2021. A bon entendeur, salut !        

lundi 7 octobre 2019

PJD ET RNI, QUI VA DUPER L'AUTRE AU REMANIEMENT MINISTÉRIEL ?

TOUT JEU DE MOTS MIS A PART, UN GOUVERNEMENT REMANIÉ DE LA SORTE N'ASSURERA POLITIQUEMENT PARLANT, QUE LE JUDICIEUX USAGE DES AFFAIRES COURANTES, JUSQU'AUX ÉLECTIONS 2021 .

       Dans la conjoncture politique actuelle, à la veille de l'annonce de la formation du gouvernement Othmani II, l'attitude de l'ex-chef du gouvernement Benkirane et ses acolytes telle qu'elle se présente, pose un vrai problème. D'ailleurs, les coalisés ne sont pas satisfaits, somme toute, de l'évolution de leurs relations chacun selon son positionnement avec le chef du gouvernement. Tellement, l'on peut dire, l'hostilité manifestée par les PJDistes zélés à leur égard, avant et après l'éviction du PPS, ne fera que refroidir davantage leurs contacts avec lui. Évidemment, on ne manquera pas dans le proche avenir, d'exemples pour illustrer ce constat d'état d'angoisse ne pouvant engendrer qu'impuissance et désillusion pour ne réussir une meilleure gouvernance. En revanche, par politesse politique, l'on peut d'ores et déjà pronostiquer le pire des spectacles scénarisés lors des épreuves avenir au sein du gouvernement. Autrement dit, ce sera la continuité de la tragédie du ''politique marocain'', n'ambitionnant de procéder à sa transformation par son incapacité à réduire l'écart entre ses propres idéaux et le réel socioéconomique alarmant dont vit le pays. 

       Peu importe, cette nouvelle aventure des coalisés après le remaniement, de fait, la déception sera inéluctablement au rendez-vous. Ce qui montrera, une distorsion entre l’espoir né après les discours royaux du 30Juillet-20Aout 2019 et l'attente enthousiaste d'un changement de braquet dans tous les secteurs avec de nouvelles personnes intègres. Effectivement, la défaillance terrible des chefs politiques formant une sorte d'aristocratie des chauvins, s'avèrera illustrative de leurs choix des postulants à la ''ministérialité partisane''. Dont le peuple en est, aujourd'hui, lucide de leur invraisemblable mascarade de traduction de la démocratie sur les décombres des laissés pour compte au sein de l'Exécutif. Parce que, d'abord Othmani vient de découvrir à quoi servent l'interrupteur ''Ngassa''et le robinet ''bazbouz'', s'ajoutant à la bourde communicative d'Akhnouch ayant montré être l'enfant de sa mère décédée au tremblement d'Agadir avant qu'il ne soit né. Puis, un Benabdellah du PPS s'emportant à la première averse verbale à son encontre, au point d'user de mots ''kaoued Aliya'' comme baroud à minimiser son rôle dans cette non maintenance politique au gouvernement.

       D'ailleurs, aux réserves qu’émettent, déjà, beaucoup d'analystes politiques avertis non inféodés à aucune partie prenante, concernant l'impossibilité de l'exosquelette qui sera greffé à ce gouvernement, en l'occurrence les technocrates de l'aider à s'en sortir indemne d'ici 2021 au moment des élections. N'est-ce là, le substrat de cette tournure des évènements soulevant au moins deux questions ? Primo, entre Othmani et Akhnouch qui va duper l'autre au remaniement ministériel, alors que la grande partie des solutions sociales et économiques viendront de la Commission Spéciale qui verra, elle aussi, le jour prochainement ? Secundo, ce gouvernement hybride, probablement avec la part du lion aux technocrates, sauvera-t-il le PJD de sa descente aux enfers ou carrément mettra-t-il le RNI en affrontement direct avec le PI qui aiguise ses longs couteaux pour le trophée électoral 2021 ? Et ce, étant donné que le PAM et l'USFP n'arrivent toujours pas à se remettre en scelle pour raison interne d'Egos et autres. En effet, comment ne pas être profondément déboussolés, alors qu'on s'attendait sortir des tartufferies des conservateurs hypocrites et des sottises des réformateurs naïfs, pour donner à la politique ses lettres de noblesse ? N'est-ce pas qui vivra verra que trop d'artifices politiques nuisent à l'essentiel ? A bon entendeur, salut !

vendredi 27 septembre 2019

LES COMPÉTENCES EN POLITIQUE, TOUT LE MONDE EN PARLE AUJOURD'HUI !

EST-IL DE L'INTÉRÊT DU MAROC D'IMPOSER AU PROCHAIN GOUVERNEMENT DES COMPÉTENCES EN DEHORS DES PARTIS POLITIQUES ?

       C'est le sprint final pour l'annonce du gouvernement remanié, version qui repose sur un nouveau cycle consolidé par l'acte II du pacte social et économique viable. Verrait-on donc, pour de bon, atterrir des compétences à ce gouvernement hors partis coalisés ? En tous les cas, si Othmani ne peut relever ce défi qui lui a été signifié à l'audience royale, une autre alternative s'imposera d'elle-même. Ainsi, pourrait-on dire, d'autres consultations démarreront, sans se laisser déborder par les sous-mariniers de la partisanerie stérile. Et ce, afin de rendre parfaitement clairs les messages que portent les discours royaux du 30 Juillet et 20 Aout 2019. À cet effet, la question qui s'impose c'est comment le Maroc peut-il souscrire à cette démarche à laquelle il estimerait être de son intérêt d'imposer des compétences venant des circuits publics et privés ? N'est-ce, du fait que la coalition gouvernementale bat déjà de l'aile, reconnaissant implicitement, dans ces conditions, la légitimité de cette option créée par les tartufferies de quelques ministres dont les Pjdistes ?

       Mais pourquoi Othmani se cache-t-il derrière la logique de l'Article 47 de la Constitution, en disant à qui veut l'entendre que les compétences au sein du gouvernement ne peuvent venir que de l'intérieur des partis coalisés ? N'est-ce pare qu'il veut faire croire à tout le monde qu'il ne forme pas un corps expéditionnaire sous ses ordres mais un gouvernement ramassé costaud et cossu politiquement parlant. C'est-à-dire, pour que le Roi lui donne son accord, et donc ne pas perdre la face, car à son avis, la précipitation n'en vaut pas la chandelle. D'où, son mutisme calculé de ne montrer qu'il n'ait pas pris garde des messages sociaux menaçants qui se forment au dessus du Maroc. Dont, des institutions de surcroît constitutionnelles pilotées par des gens sérieux, tels le HCP la Cour des Comptes le CNES-E et Bank Almaghrib, en ont relayé leurs mécontentements par rapport à la gouvernance du moment au sein de l’Exécutif. D'ailleurs, n'est-ce là où le bât blesse, de voir que cette évidence n'apparait pas comme telle chez les protagonistes au parlement marocain avec ses deux chambres ? De par leur affrontement continu qui a seulement valeur symbolique dans leur jeu de démocratie directe n’augurant rien de bon. Même sachant que les compétences sont une clé indispensable à la bonne gouvernance par la capacité à s'organiser, à s'adapter, à être autonome dans la prise des décisions et/où à travailler en équipe.

       Alors, dans l'attente de la vraie intégration du concept de "COMPÉTENCES" par la majorité et l'opposition, il est difficile pour elles de contester la pertinence de ces remarques-objections sous-entendues. Autrement dit, si rien n'est récupéré rapidement, ça devrait précipiter les périls non seulement du gouvernement Othmani, mais aussi des aspirations de tous les politiques cherchant à s'octroyer une autre démarche parce qu'ils se croient au dessus de tout soupçon. En particulier ceux qui émettent l'opinion qu'il eût été plus judicieux de dynamiser les compétences qu'ils ont sous la main. N'est-ce là où l'on voit, que le chef du gouvernement se trouve en présence d'un redoutable complexe de difficultés interférant les uns aux autres ? Qu'évidemment ne lui permettent de solutionner la situation dont se trouve le pays en matière d'autorité sans compétence et vis-versa. En cela, pour être plus clair, n'est-ce la compétence en politique c'est le pouvoir d'agir pour le développement du pays et pour l’intérêt du peuple, de réussir la gouvernance et de faire progresser l'économie et le social en même temps avec des réformes porteuses d'espoir dans la mesure du possible ? Tout simplement en respectant la parole donnée au moment des élections, par la réalisation adéquate des programmes liés à la ligne directrice du gouvernement. A bon lecteur, bon décryptage !

dimanche 22 septembre 2019

LE RETOUR IMMINENT DU TECHNOCRATE PRODIGE BENMOUSSA CHAKIB.

BENMOUSSA CHAKIB, UN TECHNOCRATE DEVENU POLITIQUE NE S’APPUYANT QUE SUR LES CHIFFRES ET LES COMPARAISONS. 
      Est-il vrai qu'il n'aime pas les rythmes politiques où l'on ruse, l'on biaise et l'on triche, ne faisant que ralentir la cadence du changement ? N'est-ce, avec la médiocrité tactique gouvernementale actuelle qui consiste à noyer le poisson par des argumentations spécieuses, le chaos sociétal ne tardera guerre ? Voilà pourquoi, avec Chakib Benmoussa, à la tête de la Commission spéciale dans l'acte II du nouveau pacte social pour le développement préconisé par le Roi Mohamed VI, l'accompagnement sera positif. D'ailleurs pourquoi pas à la chefferie du gouvernement s'il advient que l'actuel chef Ottmani ne puisse en constituer un gouvernement aux normes dictées par le souverain pour que la volonté des marocains de l'intérieur et de l'extérieur s'interpose. Comme ça, le volontarisme de ce technocrate-prodige politiquement doué, ne se perdra même en continuant à communiquer par les chiffres et les comparaisons. Franchement on peut le dire, n'a-t-il depuis toujours professé un respect des opinions d'autrui, et conjuré ses semblables de faire de même. Et ce n'est nullement un manque d'autorité, parce que son incroyable parcours providentiel l'ayant projeté au ministère de l'intérieur n'était pas dû à sa proximité mais sa perspicacité de par sa haute formation polytechnicienne ? 
       Évidemment, tout le monde le sentait au ministère de l'Intérieur toujours soucieux de faire bonne figure et surtout meilleure besogne, ne se plaçant dans aucune bascule où l'automatisme de gouvernance peut engendrer des torts à l’État. De sorte qu'en plein éclatement de l'imbroglio des puzzles de l'affaire "Bellierj", il l'annonçait cette péripétie comme série fictionnelle illustrant la pure vérité. Dont, les marocains se souviennent encore qu'ils étaient médusés en ayant les yeux rivés sur la télévision lors de sa sortie médiatique d'un ton juste sans expressions rébarbatives. En revanche, pourquoi personne ne peut nier que les marocains sentant leurs cheveux se dresser sur leurs têtes, avaient pris l'affaire la leur ? Allant jusqu'à s'en moquer du courant légaliste comme aussi des propagateurs de controverses qui tiraient dans tous les sens sur lui. A cet effet, avec le temps il s'était fait remplacer puis l'amnistie des politiques inculpés fut proclamée. Tellement, dans son court passage à vide, certains pensaient que ses retrouvailles avec l'humble l'avaient rassuré, découvrant qu'en politique rien n'est simple. Du moins, pour lui c'est clair maintenant, car affirmer une vérité ce n'est pas ébaucher des soupçons sur le déroulement des faits, où énoncer des certitudes en accord avec une quelconque conviction. Étant donné que ça ne peut engendrer que des batailles juridictionnelles interminables, surtout dans un pays qui cherche à ordonner le moulage de sa démocratie naissante. Assurément, loin de se laisser décourager par cela, il a renoué avec les désirs sous-jacents qui l'animaient pour se refaire une santé, et ne pas sombrer dans l'oubli où s'opposent les comparaisons attendrissantes suggérées par la compassion ou la manipulation. 
       Oui, il fut récompensé par le poste d'Ambassadeur du Maroc en France Andores et Monaco, et ce, après son passage à la tête du CCSE devenu par la suite CNES-E en tant qu'épandeur de bonne gouvernance économique sociale et environnementale dans les consciences des nantis et décideurs en faveur des laissés pour compte. Aussi, aujourd'hui tout le monde comprendra qu'il s'agit d'une nomination à la tête de la Commission spéciale pour l'appropriation du concept intégrant les nouvelles bases sociales économiques culturelles écologiques et politiques de la régionalisation avancée. Et non de recyclage circulaire dans des postes stratégiques dans un Maroc ambitieux sécurisé indivisible et solidaire. Et tout compté-pesé, le Maroc en bénéficiera de son expertise d'accompagner sans faiblesse la dynamique enclenchée par le souverain, surtout après les discours mémorables du 30 Juillet-20 Aout 2019. D'autant plus, n'y avait-il déjà pris acte en veille de l'adoption de la Constitution du 31 Juillet 2011, en annonçant qu'il faille que les politiques sortent du manichéisme à tout vent et bannir leurs réjouissances étalées tambours battants ici et là ? C'est ainsi l'on peut affirmer, que sa profonde réflexion sans opportunisme s'est forgée et/où l'avenir du pays n'est pas écrit à l'avance, mais se construit par des hommes et des femmes en connaissance réelle de l'évolution cartographique des disparités économiques-sociales-politiques et sécuritaires locales régionales et internationales. Finalement, n'est-ce, ce désir conscient que doit traduire la Commission spéciale par ses offres consultatives d'interactivité avec le prochain gouvernement quel qu'il soit ? Ce qu'effectivement poussera à en découdre avec les pratiques du passé, par la matérialisation sur le terrain de la nouvelle charte sociale ? A bon entendeur, salut !

vendredi 13 septembre 2019

LE RÉGIME ALGÉRIEN A TOUJOURS LA COLÈRE DU PEUPLE EN FACE ET AUSSI LE TEMPS SUR LE DOS À PROPOS DU SAHARA MAROCAIN.

N'EST-CE LÁ OÙ LE LIMOGEAGE DE JOHN BOLTON COMPLIQUE L'ATTITUDE DU RÉGENT AUTOPROCLAMÉ GAID SALAH VIS-À-VIS DU MAROC ?

       Gaid Salah est toujours en difficulté au trentième vendredi du "Hirak" même dans son petit jardin de prédilection. Déjà le déséquilibre immense  dans ses discours officiels pleins d'incohérences, le montre plus énervé à l'égard du voisin de l'Ouest le Maroc. Ne voulant en aucune façon se rendre à l'argumentation du Secrétaire Général de l'ONU de se fixer sur l'initiative viable et sérieuse qu'est l'offre marocaine 2007. Et comme un malheur ne vient jamais seul, le coup de Macron au G7 par la venue surprise de l'iranien Darif à Biaritz, n'eut-il comme conséquence immédiate le coup de Trump en limogeant John Bolton le faucon ? Encore que, sans être médisant, Trump a fait la politesse à son ex-conseiller à la sécurité de l'informer par un "tweet" comme à son habitude. Lui rappelant, par la suite dans une note, que seul le Président peut envisager les transactions en matière des programmes de dénucléarisation ou de déstabilisation des régions en connivence avec la CIA et le Pentagone. Surtout, quand il y a des risques de dérapages par choix stratégiques de la terreur des crachats de missiles. Comprendront ceux qui pourront, notamment par rapport à l'Iran la Syrie l’Afghanistan l'Ukraine et la Corée du Nord avec derrière la Russie et la chine   ! Et, de fait, cet évènement au sein de la Maison Blanche a mécontenté le pouvoir algérien, laissant déprimé le régent autoproclamé Gaid Salah qui, tels les polisariens a été mis en présence du fait accompli. Même si, ce limogeage était prévisible, au vu de la place prépondérante prise dans le sillage du Président Trump par son gendre le jeune kushner. 

       À l'évidence, n'est-ce cela qui corrobore le fait qu'on a donné satisfaction et une compensation à ce gendre, faisant part d'une intime conviction qu'à l'heure actuelle il fallait se débarrasser de John Bolton. Comme ça Gaid Salah pourra comprendre que kushner, en tant  que Conseiller politique de son beau-père le Président, n'a que foutre du Polisario. En effet, aux premières nouvelles du coup de massue de Trump sur la tête de Bolton comme quoi il n'a plus besoin de ses services, la question pour le pouvoir algérien c'est d'essayer de rétablir à la Maison Blanche d'autres relais pour faire luire son soi-disant prestige par les offrandes pétrole-gazières-dépendantes et autres cadeaux onéreux. C'est dire que Gaid Salah pleurant à chaudes larmes est assailli par le doute suite à la colère des algériens, il ne veut lâcher le morceau et continue à en faire trop dans son ingérence dans le dossier du Sahara marocain. Tout simplement, parce qu'il redoute qu'en contre-coup de ce limogeage expéditif, le Polisario se sachant cloué au pilori, ne tienne plus à l'autodétermination mais à l'autogestion dans la régionalisation avancée sous l'égide du Maroc. En cela, déjà des prémices au sein de l'ONU de recommander une solution totale et finale dans le cadre de l'offre marocaine 2007 est sérieusement envisagée. Alors même que les sbires du pouvoir algérien au Secrétariat Général et dans les instances internationales atténuent, toutefois, la rigueur de cette possibilité. Allant jusqu'à ajouter que c'est une tentative pour faire accepter à la junte militaire algérienne le Nom du successeur d'Horst Kohler le démissionnaire.

       Maintenant, l'on peut dire, ce qui reste du pouvoir algérien sait que la carte du Maroc restera intouchable. Et que ça ne servirait à rien que Google continue à la traficoter à mauvais escient. Tantôt par des pointillés tantôt par contraste de coloration sur le Sahara marocain. Puisque, tôt ou tard, la solution finale sera avec le peuple algérien en colère sur ses dirigeants actuels à propos de leur position erronée et sans fondement légal vis-à-vis de l'Histoire du Maroc et son intégrité territoriale. Effectivement, ce n'est pas un hasard dans l'agenda de Trump provoquant ce coup de tonnerre par le limogeage de John Bolton, s'ajoutant à la nomination d'une diplomate chevronnée aux Nations-Unies. Mais qu'en pensent nos analystes attitrés en Études Stratégiques à ce propos ? Ne s'agit-il, en partie dans la région MENA-Sahel subsaharienne, de la complicité active du DEA sous Pompéo pour exercer la pression sur Gaid Salah ? D'ailleurs, qu'on se le dise une fois pour toutes, le Maroc voit d'un mauvais œil l’ingérence sans fin du pouvoir algérien, d'où Bolton avait construit son choix de chantage du Maroc sans guerre. N'est-ce, ce qu'à maintes reprises a poussé le Maroc à adresser des missives d'un ton  aussi calme que décidé au Secrétaire Général de l'ONU. Non seulement sur les atermoiements de l'Algérie, mais surtout les gesticulations du Polisario en Zone Tampon à l'exemple de Guergaratte Mjik Tifirati et autres ? À bon suiveur, bonne lecture ?

mardi 10 septembre 2019

FINI LE CYNISME AVEC LEQUEL LES GOUVERNEMENTS ONT VIOLÉ LEUR PAROLE !


C'EST DONC, UN AUTRE DISPOSITIF SOUVERAIN MAROCAIN EN ÉCONOMIE SOCIALE QUI S'INSTALLERA ET S'ALLONGERA PAR L'ACTE 2 DU NOUVEAU PACTE SOCIAL.

      Aujourd'hui, le Maroc est-il vraiment devenu un Hub pour les investisseurs étrangers de tous les horizons ? Il faut croire que oui, parce qu'articulant depuis l'avènement du nouveau règne une stratégie de développement tourné vers l'effort de construction d'un État moderne et fort. Même si, au moment où il a commencé à libérer les énergies du pays par les privatisations, beaucoup d'économistes doutaient de sa capacité à se moderniser, à cause de son administration ankylosée et de sa classe politique structurellement perfide ne semblant pas au niveau des projections attendues du changement. Bien sûr, ceci n'était pas sans revers sur les institutions pour raison de non réalisation des réformes audacieuses sans l'utilisation d'artifices de substitution au schèmas voulu. Sauf que, les choses se sont précipitées par le caractère urgentissime de l'adoption de l'INDH en 2005 avec des bons et mauvais points en matière d'éxécution des programmes sur le terrain. Dont, il faut le dire sans gêne, il y eut des ratages en gouvernance si ce n'est carrément projection seulement de mirages dans certains secteurs. Tellement, aujourd'hui, après les critiques lancinantes de tous les bords, il est aujourd'hui question d'obligation de rattrapage en gouvernance centrale et locale. Pour mettre fin à la défiance des dilapideurs des deniers publics de l'INDH à tous les niveaux. D'où, l'on peut affirmer que c'est là la garantie conjointe des deux derniers discours du Roi (30 juillet-20 Aout) 2019, pour éviter l'abus des pouvoirs, l'affaiblissement du politique, le développement de la servitude volontaire et la disparition de la vertu civique.  Car ce qui importe c'est la marche souveraine des intitutions, se situant entre le Peuple le Législatif l'Éxécutif et de ce qui ressortira des réflexions de la Commission sur le nouveau pacte social préconisé par le Roi Mohamed VI.

       En effet, c'est une coopération effective exceptionnelle qui s'annonce pour une assistance consultative au futur gouvernement. D'ailleurs pour ne pas l'anesthésier et ne pas ruiner l'esprit de la constitution, elle ne peut s'exercer pratiquement qu'à travers les canaux institunnels fixés par la Constitution que les marocains avaient plébiscité au référendum du 31 Juillet 2011. Sachant même que l'Article 47 n'a pas facilité la transparence dans les nominations aux postes stratégiques, surtout dans la gestion des dossiers sensibles. Ni même donné plus d'espace dans l'application du programme gouvernemental, à cause des mésententes de tous genres entre les partis coalisés de la majorité. Qu'au demeurant il va être difficile de lever en consultation de formation d'un gouvernemrnt des compétences, pour des raisons faciles à deviner. À cet égard, pour être tout à fait plus clair, n'est-ce le développement de l'économie sociale pour des pays comme le Maroc est très lié au rôle surtout de ses institutions ? Par le bon vouloir développeur de l'État  qui, par ailleurs, s'inscrit aujourd'hui dans les débats academiques et intellectuels à propos de cette problématique. Comme ça, afin de mettre en évidence les conséquences immédiates de la mise en place d'un gouvernement de compétences en pleine deuxième phase du modèle de développement typiquement marocain, ne faut-il voir précisément comment s'incarnera l'implication de cette Commission dans l'analyse de la situation. Sans omettre les mécanismes de budgétisation s'y afférant pour diminuer les précarités, améliorer la santé et relever le niveau du modèle de l'Education ? Comment se traduira le choix politique du prochain gouvernement dans l'application des programmes face aux propositions et shémas retenus pour produire et distribuer équitablement les richesses ? Quels seront les effets des nouvelles nominations, par suite au tsunami annoncé au sein de toute l'administration pour l'accompagnement de ce grand chantier plein de défis à relever ? 

       Évidemment, personne ne peut nier que le Maroc a essayé, malgré tout, de se mettre en dynamique politique porteuse du processus de transformation de la société marocaine pour intégrer facilement les choix normatifs de l'acte 2 du contrat social encadrant le développement souverain du Maroc. Ce qu'èvidemment va influencer le cours des choses, dont il faut espérer que la mauvaise gouvernance enregistrée des années durant ici et là, en plus sans réditions des comptes ni poursuites judiciaires jusqu'à présent, ne soit plus extensive et dévastatrice des espoirs. Cela, en effet, suppose que la Commission qui verra bientôt le jour, puisse établir des plans lisibles et monter des shèmas techniciens de développement facilement assimilables. Qu'au demeurant, tiendront compte des contrastes socioéconomiques culturels et géographiques des territoires dans le cadre de la régionalisation avancée. Et, par conséquent, soient réalisables selon un agenda précis dans des délais impartis corrects, sans présenter de difficultés insolubles sur le rapport d'implication public/privé. De fait, maintenant, tout le monde sait que le Roi Mohamed VI veut accélérer l'engagement du pays dans le sillage des pays africains asiatiques et latino-américains à la trajectoire tendant vers l'emergence. En cela, à bien des égards, l'image que le Maroc donne à présent à l'étranger de son développement est assez bonne. A ce titre, ne peut-on dire, il compte déjà après tant d'efforts, parmi les pays africains à croissance enviable ? N'est-il devenu la première place financière en Afrique, parce qu'il présente des potentialités d'investissements très rémunérateurs ? On peut même dire, les opportunités se sont améliorées convenablement de pair avec la requalification macro économique du pays ? Et ce, malgré les huit ans de gouvernance à coloration pjdiste au sein de l'Exécutif sans valeur ajoutée ni politique ni socio-économique. Presque à contresens du développement hétérogène de l'économie sociale, ayant  commencé à faire perdre au Maroc sa classe moyenne. Ce qui présente un sérieux doute sur la capacité d'intégration du gouvernement à sa tête le PJD, de ce que c'est le développement au sens vrai du terme. Notamment, s'il ne change pas son code d'hégémonisme politique stérile et puérile, risquant de menacer la paix sociétale en comparaison avec les pays du bassin méditérrannéen. A bon suiveur, bon décryptage !

dimanche 25 août 2019

GAID SALAH SUGGERE TOUJOURS SES MENSONGES AUX ALGÉRIENS CIVILS ET MILITAIRES.

POUR GAID SALAH, IL Y A ENCORE L'OPPORTUNITÉ À DRESSER LE HIRAK SUR LA VOIE DU COMPROMIS POUR LA SURVIVANCE DE CE QUI RESTE DE L'ANCIENNE BANDE.


        Souvent, quand à chaque vendredi les manifestants passent devant la poste d'Alger et aussi dans les places emblématiques des Wilayas, Gaid Salah ne peut le supporter. Même si, de temps en temps, il se donne l'illusion d'avoir trouvé la clé du Hirak pour sa survivance avec ce qui reste de l'ancien système. Pourtant, s'il y a une chose qui importe pour lui, c'est seulement de sauver sa peau et celles des siens. D'autant plus, il utilise la justice pour régler ses comptes avec ses anciens copains surtout ses supérieurs d'antan sur le dos des aspirations du peuple. Par conséquent, ce n'est sans doute pas à son avantage de continuer dans cette posture en essayant en plus de convaincre les occidentaux, notamment les français et les américains de l'aider.  Oui, après 27 vendredi de manifestations compactes impactant les consciences, il n'a plus rien à en tirer sinon de quoi se faire exiler de son propre gré aux E.A.U (Émirats Arabes Unis). Là où, il avait l'habitude de faire des détours pour stocker ses détournements de fonds et rétrocommissions d'achats d'armement pour l'Armée algérienne. S'en fichant de son honneur, alors que tout le monde sait qu'il entretenait une abondante correspondance multi sectorielle avec ses amis du Machrek de Russie et de l'Ex- Yougoslavie (Bosnie-Serbie-Croatie-Montenegro). Un double jeu dans ses échanges avec eux, et qui occupait une place importante dans sa carrière d'inculte et de goujat.

       En effet, est-ce que la situation de non guerre avec le Maroc et la coupure de la conscience en deux du FLN sur l'état des comptes de l'Algérie, n'ont-elles interrompues ses plans machiavéliques ? Aujourd'hui, le déshonorant après le réveil certes pacifique et sans risque de retournement des algériens. Lui, qu'auparavant a fui au temps de la bataille d'Amgala (Janvier-Février 1976) en abandonnant ses troupes, voyant la tornade des FAR (Forces Armées Royales) se déferler sous commandement de militaires aguerris. Dont, il porte une cicatrice morale de sa défaite cuisante et humiliante qui, par ailleurs, nourrit toujours sa haine et sa rancœur envers le Maroc. Même, étant maintenant, intimement convaincu qu'il n'y a plus d'inconnues dans la pérennisation du conflit avec le Maroc. Parce que le peuple veut prendre sa destinée entre ses mains, et ne plus rester enfermer dans le serment du tandem Boukharrouba-Boutaflika au lendemain de leur coup d'État contre les vrais chefs de la lutte de libération. Et qu'aujourd'hui, ça sert à rien que ce Général de pacotille continue à vivre en dehors du temps sociétal et politique de l'Algérie actuelle. Notamment, en suggérant ses mensonges aux algériens civils et militaires, tout en espérant en tirer des bénéfices politiques en prenant appui sur  la valeur temps. C'est vrai, on peut l'affirmer que, diverses contingences lui interdisent désormais le luxe de ce jeu de combinaison au goût des pessimistes redoutant soi-disant la trop brutale rentrée en démocratie.

       Mais pourquoi, après tout ce temps, Gaid Salah ne sort-il au contact du peuple algérien, puisqu'il se prétend l'homme fort du pays ? Il ne se déplace qu'en hélicoptère entre les régions militaires qui sont encore ses propriétés les plus mieux gardées. Peut-être, parce qu'après le limogeage du Général Mediene alias Taoufiq et l'arrivée de Tartag, sous son commandement en tant que vice-chef suprême d'état-major, elles donnaient l'impression d’être inoccupées et donc préservées par le sommeil des chefs des États-majors régionaux. N'est-ce là une forme de lâcher prise, le montrant nu et indisposé devant eux ? A cet égard, il s'agit invraisemblablement d'un réalignement sans brancher, ce qui montre la fragilité de la fidélité à ce chef suprême après le débarquement d'Abdelaziz Boutaflika. Évidemment, un jour ou l'autre, les murs de ce qu'il croit son jardin secret pourraient être rasés, car les cadets des académies militaires qui le supportent encore seront prêts à devenir les sauveurs du Hirak. Et donc, à endurer un ordre tout à fait différent, celui de rendre le pouvoir au peuple algérien en acceptant avec vigilance le rôle des civils de tenir les rennes par la voie d'élections libres et pour pratiquer la vraie démocratie. A bon suiveur, bonne lecture !     

mercredi 21 août 2019

AU MAROC ON N'A PAS FINI D'INNOVER INVENTER ET PENSER UN NOUVEAU MODĖLE DE DÉVELOPPEMENT PAR RAPPORT AUX CAPACITÉS DE TOUS SES TERRITOIRES.

AU MAROC IL N'Y AURA PLUS DE GAGES POUR LE DÉVELOPPEMENT PAR DES RÉCITS QUI N'ONT SOUVENT FAIT QUE DECEVOIR.

       Les marocains ont applaudi chaudement les deux derniers discours du Roi Mohamed VI (30 Juillet-20 Août 2019). Ils savent, pertinament, de par la tonalité utilisée et la force de la promesse du Souverain de toujours mettre le citoyen au coeur du développement, que l'heure de l'arrêt de la mauvaise gouvernance est venue. Autrement dit, le bilan de l'extravagance gestionnaire par incompétence est décrié, tellement on ne jouera plus à qui veut gagner des millions par détournement des deniers publics. Aussi, ça va de soi qu'il faille bien sortir le Maroc de cette image douloureuse pour donner une autre plus embellie et promtteuse d'avenir sociétal serein. Car pour l'essentiel, il n'y a plus d'espoir possible qu'un jour tout s'arrange selon les désirs et rêves des marocains, sans sévir et sans punir les voleurs et pilleurs des deniers publics.  Voilà pourquoi, maintenant, ceux qui se sont accaparés des postes décisionnels des années durant en viennent aux rumeurs et aux fausses confidences sur le tsunami qui s'annonce. Eprouvant un sentiment de tristesse et d'où certains parmi-eux gardent encore le souci de pouvoir montrer pattes blanches. C'est sûr, ça doit être assez terrible pour eux, voyant leur influence perdue dans un Maroc qu'ils croyaient construire à leur guise à leur goût et à leur rythme. Désormais, c'est maintenant avéré qu'il s'agisse d'un besoin urgent de prendre le développement à bras le corp parce qu'il y a défaut de compétence au gouvernement. 

       D'ailleurs, pour les marocains les plus optimistes, il n'y aura plus de gages pour l'avenir par des récits de Com ici et là et, aussi par soi-disant bons sentiments de certains ministres qui ont souvent fait décevoir. Ça ne vaut plus la peine de les défendre devant leurs détracteurs à cause de leur façon de procéder et se comporter. Et, c'est précisément ce constat lancinant qui a poussé le Roi à annoncer l'installation prochaine de la Commission spéciale séparée du gouvernement, avec une charge à caractère consultatif pour arrêter le bal masqué dans bien des secteurs qui se déroule depuis le 25 Novemre 2011. C'est vrai, il y a les contraintes constitutionnelles pour qu'elle prenne ses résponsabilités en mettant le paquet en interne des institutions. En clair, c'est une nécéssité pour en tirer un retour d'expérimentation normative du nouveau modėle de développement. Face aux réalités économiques sociales et environnementales du pays, et ce, pour réduire les risques des dérapages à néant. Donc, pour éviter aussi les retards dans l'expression des aspects du developpement au quotidien. Concrètement, cela veut dire que cette nouvelle version est une façon de s'organiser en prenant compte les impératifs d'élaboration d'un contrat social typiquement marocain. En bonne et due forme bien sûr, avec des dispositifs de mise en oeuvre selon un plan concis et calendrier précis, tenant compte de la spécificité et la diversité des espaces géographiques dans le cadre de la régionalisation avancée et la déconcentration des pouvoirs dans l'administration marocaine.

       C'est vrai, depuis le lancement de l'INDH en 2005, le terme de développement a fini par se répandre dans les bouches des marocains. Aujourd'hui, la prise de conscience citoyenne et patriote de ce concept contribue à mettre l'accent sur d'autres questions. À l'exemple de la répartiton des richesses, la justice sociale, l'équité fiscale, pour un avenir plus positif par la réduction de la fracture territoriale. Ce qu'évidemment demandera plus d'efforts aidant à érradiquer la pauvreté, à améliorer l'accès à la santé, à l'éducation de qualité, à l'eau potable et à l'assainissement digne. Au fur et à mesure de l'avancée régulée du développement dans le respect des fondamentaux du pays. En quelque sorte, il s'agit pour la Commission de prioriser les enjeux colossaux du modèle de développement que préconise le Roi, les analyser et les étudier avec minutie. Tout en  essayant d'innover inventer et penser des programmes de réévaluation en se donnant les moyens de trouver des solutions et des aménagements pour construire ce nouveau modèle. Sans compromettre l'empreinte écologique que le Maroc veuille faire durer, sachant que cela demande la mobilisation des ressources humaines et d'acteurs du développement. En l'occurrence les collectivitès territoriales les ONG les groupements socioprofessionnels les femmes et la jeunesse, en plus des communautés soulalyates pour faire avancer le Maroc vers le progrés. A bon entendeur, salut !

dimanche 4 août 2019

LE MAROC DANS L'URGENCE POUR LA BONNE GOUVERNANCE COURANTE

AU MAROC ARRIVERA-T-ON À AMÉLIORER LA GOUVERNANCE COURANTE AU SEIN DE L'ÉXECUTIF ET L'ADMINISTRATION SUR TOUS LES TERRITOIRES ?

       Pendant longtemps le Maroc a donné l'impression de compter ses faiblesses de gouvernance centrales et périphériques sans réagir. Mais le voilà, par le discours royal d'il y a une semaine il a arrêté cette  soi-disant comptabilité par le silence. Reprenant haleine en cherchant les points de repères pour donner la mesure de l'efficacité de ses efforts par les grands chantiers structurants qui ont changé son visage tels les : (Ports, TGV, Autoroutes, Gares, Aéroports, Barrages, Requalification des villes, Lutte anti cancer, Universités et poles d'exellence, Hopitaux, Megapoles pour l'investissement Aéronautique-Automobile, Energie solaire Nour 1-2-3... etc). Parce qu'il sait que cette structuration est un évènement en soi, mais pas seulement au vu de ce qui en découle comme rayonnement. Et d'où il fait trembler ses adversaires pour ne pas dire ses ennemis et autres pays faux-amis. D'ailleurs, c'est la raison primordial de ne pas continuer d'être aveugle sur la gouvernance courante par rapport à la visibilité du champ politique pour les échéances de 2021. Autrement dit, il faut une réelle contribution d'affirmation en matière de bonne gouvernance, dont il est facile d'en comprendre le point nodal qui a fait éteindre, dans bien des cas, les espoirs les plus exaltants. Au sens où, il est temps de mettre fin aux gouvernances aux zones d'ombres basées sur la nostalgie conservatoire de l'avenir du pays. En effet la temporalité la tonalité et la teneur montrent que c'est un discours royal en vue de mettre de l'ordre, non seulement dans la gouvernance courante mais ausi de stopper les caricatures des déclinologues de l'intérieur et de l'extérieur sur ce qu'entrerend le Maroc. A tel point, qu'en ce temps présent, alors que le pays a profondément muté, ils considèrent á tort cet appel une sorte de dédoublement dans le raisonnement entre les cicatrices des échecs de l'INDH et les lassitudes des usures dans la gouvernance en général. N'est-ce, une raison valable pour leur lancer des critiques acerbes et des piques pour leur signifier leur insincerité ? N'est-ce d'ailleurs lá où l'on voit que leurs idées sius-jacentes sont celles de l'illusion et la tromperie politique ? Ce qui provoque le doute chez les sous-outillés politiquement parlant, et, induit une perception erronnée de la réalité du pays.

       Et maintenant, après le discours royal du 30 Juillet 2019, la question c'est comment s'effectura la recherche le choix et l'implication des compétences ? En plus, dans quel état d'esprit la Commission consultative qui sera installée pourra éviter de s'enfermer  dans l'incertitude et la difficulté d'avoir une cohésion gouvernementale ? Pour relever les défis sociaux économiques politiques et sécuritaires, notamment, dans le vent-tumultueux de la compétition pour l'émergence. Parce que, rien n'est plus irresponsable que de semer le doute sur les capacités des compétences marocaines non partisanes d'intégrer cette programmation du renouveau du Maroc.  Dont, il faut le dire, les observateurs avertis voient déjá les chefs de partis politiques se débattre dans le piège de l'Article 47 de la Constitution. A même d'en vouloir en finir avec ce mythe du premier parti qui doit conduire le gouvernement. Mais seulement, dans le but de ne plus s'empêtrer dans les contradictions des nominations aux postes des résponsabilités à tous les niveaux et dans tous les secteurs, plus par la gouvernance courante assidue bien réfléchie et ordonnée porteuse d'avenir. Désormais, on peut l'affirmer avec assurance et confiance, les marocains ne veulent aucunement que cette perspective relève encore des mêmes imperfections dans le choix des profils et pédigrées des postulants. D'autant que des compétences l'ont déjà démontrées, fiérement, à travers l'Histoire du pays quand il y avait menace sur son devenir, alors qu'il était secoué par des évènements donnant l'impression d'irréalité ?

       Oui, pour cela, ne faut-il aussi que les partis politiques les structures socio-professionnelles intermediaires et les instances nationales, ne restent des niches pour incompétents pantouflards et autres usurpateurs de CV. Sans omettre, que certains ministères continuent d'être des ruches pour les copins-copines et autres squateurs privilégiés pour affaires de lubricités maquillées faciles à deviner. Avec, donc, leurs contresens de surmoi pour se prouver qu'ils sont là, presque aux manettes décisionnelles sans en avoir la légitimité ni du suffrage ni de l'echelle administrative. A l'évidence, voilà pourquoi les lignes directrices de ce discours à l'occasion des vingt ans de régne du Roi Mohamed VI, annoncent un chamboulement massif et fort dans la nouvelle marche de l'État-Maroc. Et ce, pour arrêter la pratique d'actes politiques gouvernementaux dérisoires, parfois se conjuguant aux actions administratives déconcertantes et déconvenantes pour la place stratégique du Maroc. Comme, par ailleurs, ce que les marocains ont vécu et constaté depuis une huitaine d'années, ne se résumant qu'aux gestions extravagantes mal initiées mal préparées mal placées et souvent mal orientées. A ce titre, il est vrai, que certains membres du gouvernement se sont offerts le luxe de s'endormir sur leurs lauriers, prenant une posture de n'écouter ni les doléances des déclassés dont le Roi en a exprimè ses peines. Ni le grondement sociétal le considérant abstrait et inoffensif  pour le pays et pour eux. A bon lecteur, bon décryptage !

     

  

lundi 17 juin 2019

LA JUSTICE ALGÉRIENNE SE RACHETE-T-ELLE DEVANT LES FAUX-FUYANTS DE GAID SALAH ?

N'EST-CE CE QUI PERMET AUX JUGES DE S'ENVELOPPER DE RESPECTABILITÉ QU'ILS AVAIENT PERDUE DURANT L'ÈRE BOUTAFLIKA ?

       C'est sûr, la justice algérienne devenue soi-disant subitement indépendante fait le ménage. Mais la question qui taraude, s'agit-il de réglement de compte en hui-clos étant sous surveillance de l'Armée où d'opération mains-propres pour se racheter de sa production du silence  durant les vingt années Boutaflika ? En tout cas, tout le monde voit que chaque jour elle se métamorphose pour prendre place honorable dans le train du hirak. S'empressant à essayer de mettre tout sur la table, allant jusqu'à vider le Club des Pins et Moretti de ses squateurs rentiers,  pour présenter certains d'entre-eux aux différents parquets. Parfois, allant les chercher dans les campagnes et lieux de villégiature de hauts standings pour qu'ils rendent compte de leurs gestions des deniers publics et de la mane petro-gaziėre. Tellement, les petites gens du hirak, ce mouvement hors norme, sont devenues pour les procureurs des divinités á ne pas decevoir. Contrairement aux malfrats de la bande Boutaflika qu'ils qualifient de caste dont la vie publique est un roman peu net, de surcroît traînant beaucoup de casseroles. N'est-ce là où Gaid Salah ne sait plus comment refuser à la justice de lui déplaire ? C'est la grande leçon du temps présent en Algérie, d'où la menace plane sur la plupart des serviles zélés des "Boutaflika" civils et militaires. 

       Néanmoins, avec cet emballement judiciaire inédit et incontrôlable sur le respect des droits et de la démocratie dont aspirent les algériens, n'est-ce pas à la fin, Gaid Salah pourrait se trouver, lui-aussi, entre les serres de l'étau de la révolution du sourire ? Car, à l'évidence, malgré qu'il a de son libre arbitre abrogé la présidence Boutaflika, il n'a pas mis le pays dans le droit chemin des articles 6-7 de la constitution. Tout au contraire, dans ses discours dans les régions militaires et dans ses mises en garde à la bande mafieuse déchue Said-Taoufiq-Béchir, il s'est gardé de ne pas rompre les ponts avec le président poupée Bensalah et le corrompu notoire Bedoui le falcificateur des élections. N'est-ce, ce qui lui interdit, aujourd'hui, de passer pour le serviteur du hirak algérien ? Mais n'outrons pas, toutefois, l'optimisme qu'il a nourri dans l'esprit des algériens, et qui lui vaut reconnaissance de ne pas avoir cedé à l'ingérance de l'État des Émirats Arabes Unis d'user de la force comme au Soudan.

       Aujourd'hui, l'on peut affirmer, que le passé de Gaid Salah ne lui serait d'un quelconque secours pour affronter le hirak et le durcissement de la justice. Autant le dire clairement, il n'est qu'un problème de plus pour la sortie de cette situation. Ne doit-il se ranger dans la case des retraités pour alléger le fardeau sur le commandement militaire qui subit de plus en plus de critiques acerbes ? Et, dont la justice, comprenant les avantages qui en découleraient concernant la paix la cohésion et l'unité de l'Algérie, pourrait activer la judiciarisation d'un tel manquement. C'est ainsi, les faux-fuyants de Gaid Salah offrent une opportunité à la justice d'appréhender les fondamentaux de la constitution algérienne, comme quoi le pouvoir revient au peuple. Autrement dit, les journées vécues depuis 17 semaines ne seront comptabilisées pour l'Histoire qu'en tant que profits pour le hirak. Car, il y eut incompatibilité entre la garantie de la justice et celle de l'État-Major des Armées. A bon suiveur, bon décryptage !


jeudi 23 mai 2019

DÉGAGISME ET DÉMISSION D'HORST KOHLER : CES PHOBIES DU RESTANT DE L'ÉTAT ALGÉRIEN BOUTAFLIKIEN.

FINI DONC L'ESSAI D'INSTAURATION D'HIÉRARCHISATION DES DÉCISIONS A PRENDRE PAR HORST KOHLER.

      D'ores et déjà l'on peut dire, le Maroc n'est nullement résponsable de la démission d'Horst Kôhler. Et après tout, pourquoi cet inconcevable geste de sa part, malgré l'affirmation  du Secrétariat Général de l'ONU que c'est pour des raisons de santé ? Evidemment, le Maroc est conscient que pendant longtemps cet envoyé spécial d'Antonio Gutterres a joué sur la gamme des perspectives d'évènements ou se joignaient mensonges du pouvoir algérien et gesticulations polisariennes. Qu'en définitive l'ont dépassés et fait paniquer après le départ forcé de Boutaflika. Sans omettre l'impact de la purge et les placements en géoles dans  les prisons de beaucoup de membres de sa bande. Dont Gaid Salah humilié et ridiculisé par la mobilisation, montre lui-aussi sa phobie des conséquences de cette démission subite. Aussi, de cette situation paradoxale, n'est-ce pas les algériens commencent à s'appliquer à la version "hard" de leur révolution du sourire en l'appelant à s'éffacer de leur chemin. Et ce, grâce au potentiel cumulé de leur vigilance durant quatorze semaines en faisant barage aux manoeuvres pro Polisario dans les camps de la honte à Lahmada-Tindouf ? D'oû, peu à peu ils s'aperçoivent que c'est une nécéssité pour ne laisser les lobbies anti Maroc modifier la cadence et l'intensité de leurs marches revendicatives chaque vendredi. 

       Pour faire court, le rafistolage politique de Gaid Salah n'est pas fondamentalement différent de celui classique de Boutaflika dans sa dérive de l'exercice du pouvoir. Considérant, bizarrement, que les plaidoyers du Maroc pour son Sahara dans les instances internationales, ne sont pas construits dans des argumentations claires et solides. Un déni manifeste des réalités, duquel, Gaid Salah continue d'espérer en attendre une cristallisation différenciée de la mobilisation de la jeunesse algérienne qui ne supporte plus la fermeture des frontières terrestres avec le Maroc. Mais cette stratégie du pire, n'a-t-elle montré Horst Kôhler inquiet fébrile et désorienté ? Ne pouvant plus faire appel à son ami Laamamra pour le conseiller et le soutenir, comme au firmament de la crise de Gargaratte. Voilà pourquoi le Maroc a réagi avec discernement et doigté diplomatique à cette démission. Non seulement en isolant toute contribution perfide pouvant rendre inopérantes les garanties du Conseil de Sécurité de l'ONU. Mais, aussi pour ne laisser les pays ennemis et autres faux-amis tenter d'endiguer la dynamique de soutien à la thèse de recouvrement de l'intégrité territoriale marocaine au sein de l'Assemblée Générale de l'ONU. A cet égard, il faut le marteler sans gêne, la Résolution 2468 de fin Avril 2019 en a estampillé l'alignement du Conseil de Sécurité sur l'offre marocaine d'autonomie 2007.

       C'est vrai, à ce propos, le Maroc a durci sa glaciation diplomatique avec les Emirats Arabes Unis et le Vénézuella, tout en maintenant les canaux ouverts avec l'Afrique du Sud l'Algérie et l'Arabie Saoudite. Autant par interêt géopoltique que par compensation de sa détermination à réajuster sa diplomatie connaissant leur talon d'Achille. Cela ne signifie-t-il qu'ils ne puissent jamais transpercer la détermination du Maroc ni de l'intérieur ni de l'extérieur. Chose dont est convaincu Horst Kôhler, sachant que  les services marocains en ont été prompts à comprendre les dessous de cartes. Comme ça, vouloir mettre le Maroc à genou, il n'y a que de débiles dirigeants pour rêver réussir ce coup de force. N'est-ce, ce qui révèle une curieuse incidence diplomatique avec laquelle ils entretiennent leurs relations dans le dossier du Sahara marocain ? A dire vrai, de cette situation irrationnelle, que peut-on prévoir pour l'Algérie sans les services d'Horst Kôhler ? Autrement dit, est-ce que la prolongation du statuquo ni guerre ni paix, ne se fait-elle pour cacher les mensonges grossiers colportés des années durant pour dénigrer le Maroc ? A coup sûr, pour Gaid Salah, il s'agit de préserver le déroulé d'actes retraçant une attitude hostile au Maroc pour faire plaisir à l'État des Emirats Arabes Unis. En tous les cas, qui vivra verra ! A bon entendeur, salut !

vendredi 26 avril 2019

LA RÉSOLUTION FIN AVRIL 2019 SERAIT-ELLE DANS LE SILLAGE DE CELLE 2440 DE 2O18 ?

L'APRÈS-RÉSOLUTION 2440 DE FIN AVRIL 2018 A-T-IL DÉJÀ COMMENCÉ ?   

      S'achemine-t-on au Conseil de Sécurité de l'ONU vers une Résolution tendance offre marocaine d'autonomie 2007 ? En tous les cas, il est permis de le croire. Aussi, quelle que soit la lecture politique que l'on pourrait en faire, n'y a-t-il là matière à tirer des rounds des tables rondes de Genève ? Et ce, en référence à la photographie globale de l'implication diplomatique économique et sécuritaire du Maroc dans son Sahara. En cela, attendre la nouvelle Résolution par tous les protagonistes, ne peut plus rester une habitude sans lendemain. D'autant plus, dans l'esprit et la vision du Secrétaire Général Antonio Gutterres, repartir sur la base de la Résolution 2440 c'est ce qui permettra dans un proche avenir de mettre fin aux tartufferies polisariennes. Dont, il appartient à la nouvelle Algérie, une fois débarrassée totalement des résidus du pouvoir Boutaflika, d'appuyer l'initiative politique de l'autonomie. Et donc, de faire en sorte que l'idéal du "hirak" qu'elle vit se traduise par des comportememts volontaristes capables de jeter le legs "Polisario" aux oubliettes de l'Histoire du Maghreb. 

       En revanche, et c'est là où le bât blesse, pourquoi de petits serfs onusiens inféodés au système Boutaflika essayent toujours de mettre en cause la qualité de l'offre marocaine ? Allant jusqu'à vouloir imposer une autre rythmique pour pouvoir en contrôler la pédagogie et la méthodologie par des enfumages et aussi de fixer de nouvelles normes handicapantes de l'exécution programmatique de l'autonomie sous la souveraineté marocaine. Sauf que, chose qu'ils n'ont pas anticipé, c'est qu'ils se trouvent face à l'enthoussiasme du Conseil de Sécurité pour l'offre marocaine. Comme ça, on peut l'affirmer sans gêne, leur projection de manipuler les idéaux des peuples maghrébins sans la cooptation de l'initiative marocaine est infonfée. De fait, dans l'attente de cette Résolution du 29 Avril 2019, pas d'inquiétude du côté Maroc. Même si, principe de précaution oblige, on déconseille l'euphorie et la désinvolture. Au sens où, le Conseil de Sécurité de l'ONU ne se trouvera nullement freiné dans son soutien à l'offre d'autonomie 2007 par ces considérations qui n'ont pas de rapport avec son objectif. Bien sûr, sans omettre les parasitages des interventionnismes sournois, ne paliant aux dangers de l'instabilité réccurrente de ces derniers temps dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Comprendront ceux qui voudront !

      Effectivement, quand on fait la grande prospective des Résolutions depuis l'arrivée au pouvoir algérien d'Abdelaziz Boutaflika, l'on constate que les soutiens à la thèse marocaine n'ont fait que croitre à l'UA à l'UE et à l'ONU. Sans oublier les pays de l'Amérique latine qui, peu à peu, avec l'avènement de l'ère du Roi Mohamed VI, sont devenus scéptiques au mouvement séparatiste chappeauté par cette Algerie haineuse rancunière et corruptrice. Autrement dit, c'est la rentabilité diplomatique royale qui s'est mise à entasser un maximum de victoires dans un minimum de temps après l'offre 2007. Dont, les plus célèbres en presque vingt années sont sans conteste les partenariats stratégiques avec les USA et l'UE, les coopérations intelligentes gagnant-gagnant avec l'Inde la Chine le Japon la Russie, le retour triomphal à l'UA et l'excellence désormais reconnue dans l'affrontement direct des perfidies et manoeuvres des pays faux-amis et sutres enmemis connus. S'ajoutant à l'aisance notablement appréciée de la communauté internationale concernant l'effectivité des partenariats de codéveloppement Maroc-Afrique dans tous les domaines sans exclusive. De tels constats n'ont-ils permis, aujourd'hui, à Horst Kohler aprés avoir viré sa cuti vers la neutralité, d'aller au fond des choses en discutant des questions délicates voire les plus ardues aux tables rondes de Genéve, d'une façon impartiale ? En cela, n'en peut-on y voir la vraie raison de l'expression d'une rage sans égale chez les ex-rentiers politiques de l'appareil civil-militaire par la perte de confiance en eux par les temps qui courrent? A bon entendeur, salut !

vendredi 19 avril 2019

QUAND LA FRATERNITE DES PEUPLES MAROCAIN ET ALGERIEN ENTRE EN SCENE.

N'EST-CE LA OÙ L'ON S'APERÇOIT QUE GAID SALAH N'EST PAS L'HOMME DE LA SITUATION, PARCE QUE SA HAINE DU MAROC DÉPASSE L'ENTENDEMENT ?

       Ça arrive, qu'on ne le veuille ou pas, en Algérie ! La révolution du sourire dans le combat du peuple contre le système Boutaflika bat son plein. Aussi, à l'issue de ce neuvième vendredi des manifestations, de toute évidence la décision est prise de continuer de faire du dégagisme la première ligne de réplique défensive  contre la bande à Said le péstiferé. Dont, à valeur d'aujourd'hui rien n'a filtré sur le deal avec Gaid Salah, longtemps bien aimé de lui et de son frėre l'ex-président. De fait, il faut le repeter sans gêne, l'utilisation de la carte "Gaid Salah" en tant que "joker", ne verra jamais son aboutissement. Évidemmemt, devant les risques de revirement et de renversement  de situation, les algériens de tous les bords ne se privent pas de monter au front de la contestation des rumeurs des manipulations et menaces proferées ici et là par les caciques sataniques de ce systeme corrompu. D'ailleurs, si l'on s'en tient à l'ambiance qui règne aujourd'hui au neuvième vendredi, n'est-ce le mauvais sort semble les poursuivre ainsi que leurs portes-flingues journaleux et hommes de l'ombre. Et ce, même si, Gaid Salah pur et dur produit du Boutaflikisme avec ses retournements de veste, veut se montrer ne faisant pas partie de cette horde sauvage. Mais pourquoi se montre-t-il hésitant à s'engager pour de bon du côté du peuple ? N'est-ce pas dans son essai de mettre sur pied un mouvement de soutien à sa personne, en tant, soi-disant garant indéfectible du respect de la constitution, est non accepté de tout un chacun. 

       Par conséquent, la transition renouvelée du régime qu'il souhaite installer n'est-elle caduque et non avenue ? Non seulememt parce que l'intelligensia algérien monte au créneau en faisant barrage aux ralliements de dernière heure à ce subterfuge machiavelique. Mais aussi, au vu que quelques réspondables administratifs, seconds couteaux du systeme, veulent encore tirer profit du fort sentimemt éthnoculturel et régionalisme que certains aventuriers brandissent. Tout simplement, pour braquer les authentiques familles des moujahidines, habituellememt discrètes sur la chose politique publique, les unes contre les autres. A cet effet, que retenir de tout cela, si ce n'est Gaid Salah fut l'un des inconditionnels zélés qui ont rejoint la machine Boutaflika. Faisant allegeance sans sourciller, assurant fidelité et de surcroit montrant obéissance sans égale aux  machinations du régime bien avant l'éviction du Général Taoufiq alias Mediene.  Ce à quoi, Feu Général Ammari son ex-patron dans l'archi-arcane militaire d'Alger, doit se retourner dans sa tombe. Oui, on peut le dire, Gaid Salah profite de la situation pour imposer, publiquememt, sa vision de redistribution des pouvoirs en Algerie. Alors que la majorité de la population ne veut ni de lui ni de quiconque autre des deux B restant encore aggripés a leurs fauteils réspectifs. Pour s'en convaincre, il suffit de voir la densité des marches dans toutes les Wilayas les appelant a déguerpir dare-dare. Et d'ou, mêmes les notables de l'ère boutaflikienne, eux-aussi, prennent fait et cause pour le dégagisme total contre ceux-là qui se targaient il n'y a pas longtemps, ne craindre même pas Dieu. C'est vrai, il y a peu, il était impossible de parler de ces notables sans en relater qu'ils étaient la courroie de transmissiom de ces faucons du régime. Parfois,  même en les citant dans leurs zèles, d'abord d'indifference spécifique à l'endroit du Maroc. Puis, dans leurs positions-clés au sein du dispositif institutionnel civil-militaire pour leur proximité douteuse avec l'entité fantoche le Polisario. 

       Voilå pourquoi, dans le contexte actuel que vit l'Algérie, et avec le souci de préserver sa cohésion et son unité, le Maroc s'est permis d'officialiser devant la communauté internationale sa non ingérance dans les affaires internes du voisin de l'Est. Autrement dit, gloire au peuple algérien frère, parce qu'effectivement, loin d'être un cas isolé, l'accroc qui a trop duré autour du Sahara marocain traduit un malaise qui se vit au quotidien par lui. D'autant plus, voyant le pays doté de richesses naturelles dont il n'en voit toujours pas les effets directs sur le developpement de son bien-être. N'est-ce là, la legitimité de ce diagnostic ayant inspiré le peuple dans toutes ses composantes, à en découdre définitivement avec ce système rancunier haineux et pourri ? D'ailleurs son malheur c'est d'être resté aveugle autiste et arrogant même étant dans les choux et aux abois. Notamment, aprės l'interview du président mauritanien qui, n'a pas fait dans la dentelle, en montrant l'objectif et la tendance des USA et l'UE à ne pas laisser la création d'un quelconque État entre le Maroc et son pays la Mauritanie. Donc, s'il y a un sujet qui fâche, déchaine et suscite les contreverses les plus vives entre les ex-soutiens de Gaid salah c'est bien les appels à son départ, parce qu'il est le problème et non la solution dans le cadre de l'ONU du conflit du Sahara marocain. D'ailleurs les magistrats les avocats les étudiants et pratiquement tous les corps socioprofessionnels n'y vont pas avec le dos de la cuillère contre l'interventionnisme de l'État algérien dans les affaires des pays limitrophes. S'ajoutant au continuum gestionnaire à tire larigot du pays par la horde au pouvoir à Ksar Lamouradia même vide aujourd'hui de l'ex-skwater. Un mal dont a souffert l'Algérie des années durant, et d'où, il s'en est découlé la mauvaise gouvernance entrainant la "hogra" par l'inégalité l'injustice et la paupérisation des populations dans toutes les Wilayas. A bon suiveur, bon décryptage !

dimanche 3 février 2019

C'EST QUOI CETTE DIPLOMATIE DE L’HUMEUR ET LE CHANTAGE DE MBS VIS-A-VIS DU MAROC ?

C'EST INCROYABLE CETTE TRANSFORMATION DES RELATIONS VERTICALES ET HORIZONTALES DE L'ARABIE SAOUDITE ENVERS LE MAROC !

       Avec les pays du Golf, en ce temps présent, la question primordiale c'est de savoir si le Maroc est considéré par eux, comme allié stratégique possédant sa souveraineté totale interne et externe. Parce que, aujourd'hui, d'une façon espiègle l'Arabie Saoudite insinue à travers sa chaine Al Arabya par des interprétations-approximations non fondées voire irréalistes sur le Sahara marocain, qu'elle s’apprête à changer sa stratégie si ce n'est son positionnement. En somme, est-ce que cela ne conduit plus loin sur l’ambiguïté de son ''Amitié'' avec le Maroc ? C'est vrai, avec les casseroles qu'elle traine derrière elle après l'affaire Jamal Khashoggi, elle n'a pas avalé l'intervention du ministre des affaires étrangères marocain Nasser Bourita sur Al Jajeera. Dont, l’interprétation de ses mots et propos utilisés défilent encore sur les téléscripteurs de ses services secrets en dédoublement répété, la montrant perdante sur le plan international. N'est-ce de là, par ailleurs, que l'on s'aperçoit de la transformation de sa combinaison de ses relations verticales et transversales avec le Maroc ? En tous les cas, c'est ce qui semble sortir de l'analyse politique de l'attaque intense d'Al Arabya sur la légitimité souveraine du Maroc sur son Sahara, bien plus que sur l'entente séculaire entre les deux Royaumes. Autrement dit, est-ce que la ligne politico-diplomatique du Maroc n'est pas soigneusement mesurée vis-à-vis de l'imbroglio du Golf, pour que Mohamed Ben Salmane (MBS) lâche ses diables de journalistes d'Al Arabya pour tourmenter les marocains ? Un dépassement des lignes rouges dont le peuple marocain tout entier en est quelque peu offusqué, pour ne pas dire vexé de cette employabilité non intelligente du conflit du Maroc avec l'Algérie et son rejeton le Polisario.  

       A cet égard, c'est maintenant acté que l'Arabie Saoudite perd ses repères. Mais,  chose incomprehensible, pourquoi est-elle tombée si bas dans sa dichotomie entre vrais pays amis et les guetteurs d'opportunités qui ne seraient ni stables ni productives de solution de non guerre dans la région ? D'ailleurs, les renseignements obtenus en ce sens sont connus de tout un chacun à l'international, surtout au Qatar aux Emirats-Arabes-Unis (EAU) au Sultanat d'Oman au Bahreïn au Koweït au Liban au Yémen et en Jordanie. Néanmoins, sur le plan purement diplomatique, peut-on en faire fi de l'analyse de la coopération oscillatoire avec ce genre de coups bas envers un allié loin de la respectabilité réciproque des uns les autres ? Ne faut-il en voir un triomphe de l'attitude diplomatique marocaine, même n'en n'ignorant pas les risques de nuisance , par le fait de dire un non catégorique à la visite non préparée du prince héritier Mohamed Ben Salmane ? C'est-à-dire par l'affirmation sans réserve de l’alignement du Maroc dans le camp des pays qui conçoivent les droits humains comme un tout, indivisible et indissociable. En effet, par cette vision du Maroc dont l'usage politique de sa ligne sincère ne souffre d'aucun complexe, n'est pas d'indiquer qu'elle est dans un dilemme relationnel avec lui. En clair, est-ce que les officiels marocains ne doivent-ils s'en garder de l'usage rhétorique diplomatique sur le concept de l'alliance stratégique subjective avec tous les pays du Golf ? Qu'évidemment, aujourd'hui, tout montre que c'est un leurre pour consacrer l'asymétrie sur les intérêts géopolitiques des uns par rapports à ceux géostratégiques des autres.

       A l'évidence, n'est-ce pas que le Maroc n'accepte plus être la cible de quoi que ce soit, pour soi-disant cacher un complexe de soumission aux diktats des pays du Golf ? D'autant plus, ça fait longtemps qu'il montre son indépendance, pour ne pas sembler l'otage des pressions conséquentes à la guerre fratricide entre le Qatar d'une part et l'Arabie Saoudite-EAU d'autre part. A ce propos, le bras de fer entre eux, comme le stipulent beaucoup de rapports des Centres d’Études Stratégiques sur l'évaluation du leadership au Moyent-Orient, n'est que le cheminement vers un faux-nouvel ordre à coups de programmes télévisuels sur l'avenir de la région, pour raison facile à comprendre. Dont, Al Arabya et Al Jazeera, en ont conceptualisé cette diplomatie de l'humeur et le chantage, chacune selon les intérêts et les circonstances pour le maniement guidé de l'information spéculative. Comme dans ce cas, où Al Arabya n'a donné dans sa programmation segment par segment, aucune attention à l'utilité relationnelle saine Maroc-Arabie Saoudite. Et ce, comme instrument de proposition et de production sur les interets spécifiques  de chacun sous tous les angles géopolitiques économiques culturels et géostratégiques sécuritaires à divers degrés. En cela, l'avenir montrera que la chaine Al Arabya, avec le temps, elle réaménagera ses fonctionnalités d'offenses illégitimes et condamnables envers le Maroc. Et, qu'elle se mettra comme Al Jazeera auparavant, à laisser place à l'analyse honnête des événements a propos du Sahara marocain. A bon suiveur, bonne lecture !