mardi 30 mai 2017

C'EST QUOI CETTE TENTATIVE DE BRAQUAGE DE L'ETAT-MAROC JUSQU'AUX INFILTRATIONS SELECTIVES EN LIEN AVEC LE TERRORISME INTERNATIONAL ?

ET SI TU TE RÉVEILLES PEUPLE DU MAROC, CAR LES AGITATEURS DE TES CONSCIENCES ET LEURS ÉQUIPEMENTIERS-FINANCIERS SONT DEVENUS FOUS, CHERCHANT TON ÉCLATEMENT ?

       Au début du déclenchement du ''Hirak'' d'Al Hoceima, les habitants étaient en bien meilleure disposition, en l'occurrence sereins et ordonnés dans leurs revendications légitimes. Dont, effectivement, on savait à qui ils s'adressaient avant que l'embrouillamini encombré d'empressement ne s'installe causant des erreurs d'appréciation des uns et des autres. Ce qui a fait émerger un pseudo soi-disant héros sans témoin ni gloire, si ce n'est qu'il serait un produit de chasse des ennemis du Maroc dans la pépinière du chiisme sur le terrain du Rif prolongement de leurs bases arrières en Belgique Hollande et Allemagne. Mais, cette fois-ci, appelant à un mode opératoire tendancieux allant vers le paroxysme proactif de la tension sociétale, en cherchant à faire éclater le pays en commençant par cette région par le caillassage et jets de pierres ou autres projectiles contondants sur les forces de l'ordre. D'où le plus souvent on en trouve assis voire positionnés derrière dans l'attente du passage au plus corsé, des malfaiteurs patentés de l'interprétation de la revendication sociale. Usant de méthodes d'un univers que l'on croyait faisant partie du passé d'avant le discours de soudaineté réactive mémorable du 09 Mars 2011, dont le Roi Mohamed VI en a posé les jalons du Maroc nouveau. Sauf qu'au vu de l'évolution de la situation, n'est-ce pas que ça ne s'avère aucunement un cycle de circonstance arrivé à point nommé pour les lobbys anti Maroc pour attiser le feu, mais une réactivation en sourdine d'une tempête non lointaine à vision internationaliste terroriste. Et ce, par suite de tant de déceptions voire déconvenues qu'ils aient successivement subies par la vigilance des services de sécurité de l'Etat, depuis le cas de l'affaire Beleirj synonyme de passé de regret et de tristesse pour les chiites d'Europe ? D'autant plus qu'il y a beaucoup à dire sur ce mouvement d'Al Hoceima, en matière de sa surveillance si ce n'est de son minage par les pratiques des filiales de renseignement de certains de ces pays occidentaux, en plus de l'Algérie, d'Israël, des USA et d'autres.

       Voilà pourquoi, tout indique qu'il s'agisse d'une tentative de braquage de l'Etat-Maroc par les agitateurs des consciences du peuple marocain. Lesquels, jouent sur l'émotion via truquage des réalités et présentation de perspective illusionniste qui semble difficile à comprendre par le marocain lambda. A même de voir en cette situation que Dieu préserve le Maroc, le présent odieux en dehors du temps d'où les observateurs bien au fait de ce qui se trame contre lui, sans doute, ils en perçoivent que certains parmi les protagonistes transpirent trop l'odeur de l'argent de l'Extérieur dont ils auraient, malheureusement, appris la révérence aux ennemis de leur propre pays. Et pourtant,  on ne peut pas dire que quand la délégation ministérielle fut envoyée à Al Hoceima, dont quelques membres en sont originaires, rien n'a été tenté pour calmer le jeu. Au contraire, c'est cette cohorte de manipulateurs qui s'était arrangée pour tout faire capoter afin de ne laisser aucune place à la moindre récitation de compliments en ce sens par les habitants, et donc en plus pour qu'ils montrent leur indifférence dans le but d'application de l'agenda de déstabilisation. D'ailleurs, pour l'Etat-Maroc, c'est là où il s'est cambré à propos de cette attitude négativiste sans raison valable de leur part, comprenant sa dangerosité et que c'est l'occasion de ne plus tergiverser avec ces flambeurs usurpateurs et passer à l'essentiel de la protection de l'identité marocaine. En mettant par obligation de vigilance et combat pertinent par le renseignement, un éclairage sur ce jeu interdit de la compromission de la saleté et de la honte que maintiennent et colportent malgré les efforts faits, les recrus plus ou moins conscients de leur acte comme aussi des inconscients piégés par des services étrangers. 

       A ce titre, ne faudrait-il d'abord en être écœuré de cette fourberie de vassalisation de petites gens pour la réaffirmation du risque terroriste ? Jusqu'à même les faire passer par ce nouveau moulage comme des vendeurs de leur âme moyennant soudoiement en nature et/où en avantage de vie tentante de lubricité maquillée. De ce fait, conséquemment, seront-ils un jour moins ridicules en se rachetant auprès des marocains qui, probablement ils leur pardonneraient leurs incartades, mais, seulement, une fois que la justice ait établie la vérité ? Surtout s'il s'avère qu'ils aient joué aux petites mains de la manipulation anti Maroc, pour qu'ils déclarent aisément, ensuite, en vue d'une réconciliation de coopération et de service à rendre pour le pays, ne plus se complaire dans la nostalgie des ennemis déclarés et connus à l'UA à l'UE et à l'ONU. N'est-ce d'ailleurs là ou l'on voit, que les cinq années de benkiranisme n'ont pas fait gagné des galons à l'Etat-Maroc en interne, au contraire c'est un fiasco social total jusqu'aux pleurs des syndicats des partis politiques et des forces vives de la société civile du pays malgré les efforts colossaux de l'institution royale. Et donc, hormis sur le comptoir de la diplomatie royale offensive à l'international, au vu des résultats de son rayonnement géopolitique africain et géostratégique avec les USA Inde Russie CCG Chine France et Espagne, d'où se sont alignées des réussites successives grandioses après 2013, il n'y a eu de la part du gouvernement sortant qu'un balisage de la route vers ce que vit comme Hirak à l'intérieur le Maroc aujourd'hui. Au point que l'on remarque la défaillance communicationnelle où l'on devine la souffrance du gouvernement Othmani à se faire entendre sur ce terrain, passant lui aussi avec les partis politiques majorité et opposition pour des quantités négligeables, du fait que quelque chose de mal jaillit de leurs échanges contradictoires n'apportant rien de palpable sur le terrain, pas seulement sur le mouvement d'Al Hoceima et région.  

       C'est ainsi, l'on peut confirmer comme si, toutes ces déconvenues précitées ne suffisaient pas, le mouvement d'Al Hoceima continue à offrir aux habitants du Rif déconcerté, une attraction supplémentaire avec l'arrestation du pasticheur transformé en porte étendard de la contestation. Sans avertissement ni sur la remontée de ses réseaux, ni sur ce qui se cache derrière la faille du suivi de la communauté marocaine par les pays européens dans le sens de l’intérêt général, sous prétexte qu'il n'y eut aucun échange d'informations avec le Maroc. N'est-ce là où réside la bizarrerie du mystère à travers ses envolées discutables dans ses rassemblements, dont il n'est jamais question de s'attabler pour discuter tranquillement, sereinement, des revendications légitimes scioéconomiques culturelles sportives et éducationnelles avec les représentants du gouvernement ? A ce propos, n'est-ce encore une preuve qu'à Al Hoceima ça danse avec les loups-garous venant du froid, montrant en plus qu'ils changent d'avis et de posture tout en continuant à pousser à trop manifester pour exercer plus de pression, car ne trouvant leur consolation que dans leur rêverie et fantasme pour narguer l'Etat. Alors que, potentiellement, ces pays d'où sont venus ces loups savent ce qui se passe, non seulement par la capacité du renseignement technique que leur dispatche la NSA à travers les décryptages et analyses de ses écoutes sous contrôle du bon vouloir de la CIA et dont ils profitent clairement. Mais aussi via essais d'infiltrations sélectives de leur part des groupuscules maintenant connus porteurs du projet séparatiste dans le Rif marocain. Et ce, en usant d'une série d'implications de visions et de dispositions, surtout quand il y a prosélytisme de recrutement programmatique récurrent en lien avec les groupes terroristes. Alors le Roi va-t-il comme au soir du 09 Mars 2011, faire entendre à tous, de nouveau, la voix de la raison et dénouer ce serpent de mer dont la morsure risque d’être coûteuse si par malheur les marocains trébuchent et tombent dans le piège qui leur est tendu ? A bon suiveur, bon décryptage ! 

dimanche 28 mai 2017

LE RÔLE DES OULÉMAS MAROCAINS DANS LA PROTECTION DE L’IDENTITÉ NATIONALE, EST-IL VRAIMENT INÉBRANLABLE ?

CETTE FOIS, DU MOINS, ON N'OUBLIERA PAS GRACE A LA RÉCONCILIATION EN MARCHE ENTRE LE RIF ET L'ETAT, LE RÔLE PROTECTEUR DES OULÉMAS MAROCAINS DE L’IDENTITÉ NATIONALE AU VU DE LA VICTOIRE DE LA RAISON SUR LES MANIPULATIONS VENANT DE PARTOUT DE L’INTÉRIEUR COMME DE L’EXTÉRIEUR.

       Allons y marocains marocaines, tenez bon, courage, car ce sera suffisant de dépasser cette situation de désarroi à Al Hoceima ! Et ce, bien sûr sans appel à la décapitation des revendications légitimes, mais seulement s'écarter de la ligne déstabilisatrice des fondements de l'Etat que préconisent les anarchistes-nihilistes. Voilà, c'est tout ce que l'on peut en comprendre du message en ON sur le rôle des oulémas dans la protection de l'identité nationale, de par l’interprétation explicite claire et convaincante portée par Taoufiq dans sa causerie inaugurale ramadannéenne en ce jour du 28 Mai 2017 à ce propos. Dès lors que, selon le Hadith, il ne faut pas laisser le soin aux manipulateurs usurpateurs ignorants de porter cette érudition avec entrain et sans la moindre compétence, d'où de façon brutale qu'inattendu ils n'en provoquent qu'effondrement et/où sursis pour la ruine de l'identité nationale qu'on croyait inébranlable. D'autant plus, ce n'est pas nouveau que dans la ligne inaugurale des causeries religieuses ramadanéennes, le ministre des Affaires Islamiques et du Habous commence par user des mots clairs et forts faisant découvrir la désapprobation du peuple marocain à propos et sur la rumeur publique. Notamment, celle qui crée la polémique par stratégie préconçue confusionnelle émanant de ces usurpateurs, sur des sujets sensibles pour effacer leur allégeance en tant que pions tournés vers les ennemis de leur propre pays. A cet effet, est-ce que les Oulémas marocains n'ont-ils assez de force en eux pour faire surgir de leur érudition théologique et politique sereine venant du passé lointain, la détermination neuve pour souffler une existence apaisée dans le tissu sociétal marocain en s'adaptant au monde tumultueux d'aujourd'hui ? 

       Aussi, dans le cas des événements d'Al Hoceima, n'est-ce pas que c'est flagrant de voir ainsi, certains pseudo intellos se comporter comme des flambeurs entrain de s'en gargariser les gosiers rien que pour laisser les habitants dans une sorte de bulle de rêverie. Sans avertissement de la dangerosité de leurs propos, qu'effectivement s'y greffent comme des parasites de l'érudition en excluant les atouts du rôle des Oulémas marocains de se faire entendre. Parce que, c'est de ça dont il s'agit sans jeu de mots dans cette causerie du courage du ministre Taoufiq, du fait que pour ces malfaiteurs de l’interprétation en toute mauvaise foi en direction des ignorants, ce serait continuer à faire circuler leurs allégations propagandistes au fait de leur rouerie. En plus, en créant, sans scrupule, l'amalgame en terme de religiosité border-line mettant vraiment tout, dans le même montage de leur aspiration recelant de petits calculs politiques pour fragiliser eux aussi la place des Oulémas dans le tissu sociétal pour raison facile à deviner. Et bien qu'ils sachent tous, une fois pour toutes, ils ne peuvent jamais tromper le peuple marocain pour prendre la place qu'ils ne méritent pas. Surtout, ceux qui ont profité ou profitent encore des largesses de l'Etat-Maroc tout en jetant aujourd'hui leur dévolu sur lui, parce que n'arrivent pas à se frayer chemin ni en intra-muros ni hors muraille du sérail pour s'imposer dans les arcanes du pouvoir. Cet endroit de guerre larvée, où certains se sentent le mieux même avec leurs insomnies parfois affreuses les touchant, tandis que les autres se laissent tomber leurs têtes sur leurs épaules en se répétant hypocritement qu'ils aiment autant, réciproquement, tous ceux qui sont autour d'eux. 

       A cet effet, ne peut-on voir une fois de plus en scrutant les dessous non dits de la causerie d'aujourd'hui du ministre du Habous, qu'ils entendent mener leurs perfidies en imposant le tempo et la rythmique de leurs allégations ? Même sachant, qu'ils sont en terrain politique mouvant, mais allant en connaissance de cause jusqu'à même d'avancer en OFF que la mort du jeune poissonnier d'Al Hoceima est un don de Dieu et aussi un appel sur le plan divin à la punition de l'Etat-Maroc. Plus machiavélique que ça, il faut remonter loin dans l'histoire de la manipulation des petites gens, pour en trouver une réponse fourbe pareille ! Voilà ce qui montre, n'est-ce comme ça l'on comprend, les marocains avertis en ont vu juste d'avoir déploré à temps, unanimement, la mort atroce de ce jeune Fikri ? Et aussi aujourd'hui, très justement condamné l'indigne conduite dans une mosquée au moment de la prière du vendredi 26 Mai 2017 à Al Hoceima du petit manœuvrier anarchiste bête et méchant Nasser Zafzafi dont normalement le nom ne mérite même pas d’être citéA l'évidence, ce barbare furieux n'a-il montré en chiffonnant la solennité du prêche, qu'il doute qu'un jour il leur soit possible avec ses compagnons de supporter l'affrontement de la mécanique judiciaire mise en marche ? Pour répondre de leurs actes commis dans l’échelle de ce que l'on peut appeler la griserie du commandement usurpé, ce qu’effectivement ne leur permet de retrouver auprès des habitants qu'humiliation conséquence de l’obéissance aveugle. Dont on perçoit aujourd'hui l’apparition de l'ultra-opportunisme à travers le verbiage de quelques uns des inconditionnels en mal de reconnaissance dans la la famille des vrais défenseurs des droits, pour demander aux marocains de ne plus parler du passé depuis son agitation de malade mental

       Néanmoins, sans aucun jugement, n'est-ce pas comme ça, il paraîtra ainsi pour la conscience des musulmans un non dévergondé mais seulement un pauvre homme victime d'hallucinations ? D'où, non et toujours non, il faut qu'il paye de son aide coordinatrice-accordéoniste en tant que géo localisateur de l'anarchie et désordre (Fitna) dans le Rif pour le compte de l'Etranger, même si, déjà, des relations apaisées correctes se sont établies entre les habitants avec les forces de l'ordre. Donnant le vrai visage des rifains, duquel, ce n'est que l'illustration de leur identité marocaine voulue et assumée s'insérant dans la tradition en toute quiétude dans le Maroc contemporain audacieux. Comprenant énormément de variables de la multiculturalité, dont, tout un chacun le sait maintenant, ces harceleurs de l'Etat ne pourront plus reconquérir l'estime et la sympathie même pas d'une minorité des hoceimis, parce que tous incarnent l'Islam apaisé et tolérant contre celui que portent les jihadistes s’étant discrètement invités sur la place. D'ailleurs, n'est-ce là où le ministre Taoufiq a raison d’être avec beaucoup d'humilité l'instrument gouvernemental en se référant à l'historicité des intrigues politiques depuis l’avènement de l'Islam, pour contrer leur plan de déstabilisation finement mis au point de ces ''Khawarij'' des temps modernes. Et, donc, essayer, pourquoi pas, de mobiliser réellement les consciences pour les désapprouver par une réponse rapide à double dynamique de haute performance. D'abord un secouement des cocotiers au sein des arcanes de l'administration en matière des postes stratégiques, puis un réglage au mieux des bonnes idées par rapport à l'épreuve de la patience du peuple marocain dans le temps et l'espace pour leur application sur le terrain en matière de bonne gouvernance.

       Evidemment, avec cet engagement ministériel, le Maroc montre qu'il ne badine pas avec les tumultes quels qu'ils soient. Notamment, ceux prémédités préconçus à consonance de non interdiction du vol de la paix et de non établissement de la stabilité par rapport aux risques encourus. Du fait, du piège tendu à l'exemple des événements à Al Hoceima, conséquence flagrante de cette tendance faite dans la discrétion des tireurs de ficelles de l'étranger qui sont derrière. En cela, n'est-ce pas que cette vigilance de l'Etat-Maroc est encourageante, primo, pour que les acteurs publiques n'en soient eux aussi fragilisés par manque de soutien, secundo, pour que les Imams les morchidines et morchidates accrédités dans les mosquées ne se sentent frappés d’impitoyablement non sincère ? Et donc, de ce fait, c'est ce qui remettra les pendules à l'heure afin que l'attitude de ceux qui s'annoncent de leur propre chef protecteurs des droits de la conscience deux poids deux mesures, puissent trouver le chaînon qui leur manque et qui leur permettra d'aborder ce sujet, non avec parcimonie qui les arrange. A bon entendeur, salut ! 

vendredi 26 mai 2017

N'EST-CE UN CONTRE POPULAIRE PUISSANT QU'IL FAUT A AL HOCEIOMA ET AILLEURS, POUR STOPPER L'ACTION PERFIDE MULTIFORME DES ENNEMIS SE CACHANT DERRIÈRE ?

ET SI LE MAROC SORT SES BOUCLIERS CONSERVATOIRES DE SON UNITÉ ET UNICITÉ, FACE AUX INSTALLATIONS ICI ET LA DE MOUVEMENTS PLUS AGRESSIFS POUR LE MOINS NON CLAIRS ET NON GÉNIAUX ?

       Au Maroc, malgré la retenue des forces de l'ordre à ce jour dans un strict respect de la constitution, les manifestations plus agressives commencent à s'installer à Al Hoceima et peut-être ailleurs. Malheureusement, avec une charge de dangerosité que personne ne peut nier, ce qui limite les rattachements des capacités de discussion de tirer vers une solution durable honorable et réalisable à court et moyen terme. En plus, qui soit solidaire des lancements des travaux structurants, sur la base des revendications légitimes à caractère social éducationnel sportif culturel administratif et surtout économique. A cet effet, n'est-ce un contre puissant en l'occurrence qu'il faut à l'action multiforme des ennemis en interne, pour les pousser à renoncer à l'illusoire certitude de leurs idées préconçues ? Parce que sinon, n'est-ce pas qu'il y a risque de subir leur stratégie de déstabilisation, que par ailleurs consiste par exemple à montrer tous les ''hoceimis'' comme rifocritiques-rifoseptiques qui veulent seulement continuer à influencer les règles absolues des mauvaises tendances vers le chaos. Un non sens jamais vu jusqu'à présent au Maroc, et d'où il n'y a plus lieu de rester dans le relatif silence conjugué à la non réactivité créatrice de climat d'entente dans la responsabilité du gouvernement. Lequel, n'est-ce à ce jour il parait invraisemblablement désordonné voire intrigué sans l'admettre, car ne s'étant pas porté à temps vers le tournant d'où allait surgir toute cette panique sociétale ? S'ajoutant à ce que quelques unes de ses investigations faites jusqu'à présent, désolé de le marteler, ne vont pas dans le sens de secouement de sa léthargie médiatique et de sa maîtrise de l'espace communicationnel. D'autant plus, et il le sait, qu'il est confronté à un mode opérationnel par les méthodes et moyens de contrôler les citoyens hoceimis sur la frontière de la religiosité, dès lors qu'aujourd'hui-même le meneur principal a enfreint tous les jalons du droit par ses petits calculs à vouloir mettre la ville à feu et à sang. En entravant l'accomplissement de la prière du vendredi dans une mosquée à Al Hoceima avec des insultes proférées à l'égard de l'Imam, tellement il est bête non alerte car commotionné par son dédoublement à tire larigot. Un comportement qui montre, qui est -il au juste ce gus là, un irresponsable ? Mais là où le bât blesse, c'est qu'il ait fait encore son zèle à la sortie devant la mosquée  avec les salutations cérémonieuses truffées de remerciements de louange et de vœux de bonheur que lui prêtaient ses compagnons. Comprendra qui voudra, que ce n'est plus tolérable de le voir se sentir soulagé du renouvellement de soutien à ses délires ! 

       Hélas ! la crédulité de la majorité des hoceimis porte à équivoque, même s'ils font des gestes pour changer leur vécu et leur condition. De fait, conséquemment à ça, voilà que d'autres des plus obtus veulent les contraindre à être plus fascinés par les sous-produits de la manipulation en les poussant au séparatisme déguisé non avoué. Parce que c'est de ça dont il s'agit, et que ça sert à rien qu'ils continuent à vouloir berner tout le monde en faisant la gymnastique des mots creux cachant leurs intentions. A ce titre, en effet, c'est incroyable, de voir leur schizophrénie prendre des proportions inquiétantes, d'où retentissent des voix en subliminaire du daechisme grondant, que malheureusement, on dirait que les hoceimis libres et conscients continuent de gémir de la dangerosité de ce protocole d'action. Restant presque prostrés, notamment, en semblant indifférents à cette agitation, via une plateformisation de leurs choix dans leurs échanges de dissuasion avec les tenants et aboutissants de cette nécrose provoquée dans leur tissu social et sociétal. N'est-ce là où il faut une réparation urgente de leur part, rien qu'en usant de la priorisation exploratoire portative d'espoir pour contrer les allégations insoutenables de ces monteurs de haine et discorde de surcroît ovationnés par les obscurantistes ? N'est-ce là, un autre problème qui pointe à propos des incompétences désormais flagrantes dans le face à face très critiqué que tout un chacun ait vu sur Youtube, qui nuit à la balance d'apaisement sans échanges constructifs ni recherche d'un modèle de discussion qui convainc et en même temps convient ? Car, en effet, tout le monde le sait ce n'est pas un problème d'argent, mais seulement de vision stratégique économique portant valeur de confiance en projets porteurs pour participer à la croissance et à la cohésion sociale loin des relents tragédiens des effets de mauvaise gouvernance. Tout simplement, en acceptant, des deux côté de la barrière de dé-confiance existante, de relancer l'effet d'entrainement de rattrapage dans la sérénité la responsabilité et non des conseils qui ne servent à rien, si ce n'est donner plus de temps au temps alors qu'il y a péril en la demeure. 

       Cependant, avec l'arrivée d'une délégation ministérielle pourquoi après presque six mois de vacance, l'administration territoriale relevant en l'occurrence du ministère de l'Intérieur s'est-elle trouvée toute seule devant les hauts fourneaux de la contestation d'expression légitime des débuts ? Mais chose que personne ne comprend, pourquoi rien n'a marché alors que tout indique qu'elle s'y est investie assumant une diffusion avec toute la rigueur du respect de la loi, en plus dans le contact direct avec les habitants ? D'autant plus, mettant le paquet dans le but d'assainir la situation devenue explosive, sauf qu'une série de mauvaises coordinations, autant le dire avec véhémence amère, par la voie des communiqués contradictoires émanant de ci là ont empoisonné le climat. Alors que, normalement, n'est-ce là d'où l'on aurait dû percevoir seulement une compétition décisionnelle des bonnes idées, particulièrement, en réactivité sur l'intelligence informationnelle qui s'y est établie sur les activités et comportements des tireurs de ficelles ? Pour ne pas donner l'impression de pratiquer seulement une surveillance même convenable de leurs dépassements inadmissibles aux conséquences d'intox gravissime. Parce que, les marocains ne veulent en aucun cas se voir basculer dans l'inconnu à cause d'une vision d'agitateurs incontrôlés qui se projettent droit, sans gènes, dans le défi caractérisé violent par rapport à l'Etat et toutes ses institutions sans exception.

     Tout compte fait, il est maintenant évident, de se poser la question qui n'a rien à voir avec telle ou telle dérive sécuritaire dont certains filipendules de longue date n'en attendent que cette occasion pour crier avec les loups. D'où de fait, donc, l'on peut espérer : ''Et si l'Etat-Maroc parce que toujours en parfaite symbiose avec toute sa population, ne se laisse plus se faire perturber dans sa marche forcée en sortant ses boucliers conservatoires de son unité et unicité'' ? N'est-ce comme ça, l'on verrait les meneurs de ces mouvements de contestations prendre leurs places inconfortables s'ils continuent dans leurs dérives non bien calculées ? Ne sachant, qu'ils sont montrés des doigts par les fins analystes les qualifiant comme des guides ayant du mal à lire la boussole et donc à décrypter la marche vers l'avenir de leur pays, dès lors qu'en même temps, tout un chacun le sait, ils ne pourraient rien faire. Même pas, ce que leur imposeraient les ennemis de l'extérieur, qui sont aussi connus par leur calendrier de perfidies et malveillances de soutien du séparatisme polisarien dans le cas du Sahara marocain. Néanmoins, c'est là où, il ne faut pas avoir peur ni sentir la moindre gène, pour dire les hoceimis comme tous les marocains après tout ce temps de tension sociétale, déjà, déplorent cet engrenage parce qu'ils commencent à y voir plus clair sur ce qui se trame. Notamment, sur la conspiration ourdie contre la stabilité du Maroc dans l'espoir de prendre le contrôle politique de cette région, en se basant sur des historiettes d'un temps révolu. En plus via le populisme conjugué de religiosité fermée, sans réflexion positiviste sur l'avenir de la régionalisation avancée, du fait que ces harceleurs n'en n'ayant retenu aucune leçon de ce qui se passe presque en direct sous des cieux non envieux pas lointains. A bon entendeur, salut !

mardi 23 mai 2017

NON, AVEC LA CONSCIENCE D'UN ETAT FIER LE MAROC NE SE PLAIT GUÈRE SANS RAISON A SE RÉPÉTER DANS SA RÉSISTANCE A LA CONFORMITÉ ?

N'EST-CE LA, UNE NOUVELLE FORME D’INDÉPENDANCE QUE MÊME SES ENNEMIS LUI ENVIENT, TELLEMENT, IL LEUR PARAIT AUJOURD'HUI FAIRE DE LA RÉSISTANCE POSITIVE N'ACCEPTANT LES VOIX DE COMMÈRES QUI CHANGENT D'UN ÉVÉNEMENT A L'AUTRE ?

       Tout un chacun, a vu les objectifs des caméras se tournoyer dans l'espace sous les dômes des salles du palais de Congrès à Riyad en guettant les expressions de joie ou d'inquiétude, surtout des chefs d'Etats présents lors du Sommet USA-Monde arabo-musulman. Dont, certains tournant leurs regards de gauche à droite, de haut en bas, n'en ont cessé de sourire car découvrant la splendeur des lieux somptueusement parés, qu'évidemment Donald Trump n'a pas manqué d'annoncer qu'il est lui aussi charmé de l'éblouissement imprimé sur sa mémoire. S'ajoutant à l'hospitalité légendaire qu'il ait eu à constater, comme si l’énorme intérêt qui lui est porté n'est qu'un signe précurseur d'une nouvelle ère où les curseurs des partenariats géopolitiques seraient relevés à des niveaux sans ombre sur les devants des relations géostratégiques des USA dans cette région seulement par rapport à l'Iran. N'est-ce là, véritablement, où le Maroc continue son bonhomme de chemin, jusqu'à oser par ses capacités intransitives des opportunités avec des allusions transparentes qu'indique son comportement avec la conscience d'un Etat fier loin de tout raidissement ? Même si, certains observateurs sous-outillés ou peut-être malintentionnés veulent en faire de cette attitude assumée et raisonnée du Maroc, une leçon de sidération et de fougue anti Trump par l'absence remarquée du Roi Mohamed VI, alors que, réellement, normalement, c'est tout à fait le contraire dont il s'agit stratégiquement parlant. Et ce, même en s'alanguissant des résonances qu'il réveille autour de quelques cercles connus aux USA par retentissement dans la symbolique de résistance à la conformité de la temporalité d'un événement à l'autre. Comprendra qui voudra ! 
       
       C'est vrai, à Riyad le 21 Mai 2017 devant plus 37 chefs d'Etats, de gouvernements et autres représentants officiels de pays arabo-musulmans, Donald Trump paraissait en maître absolu de la cérémonie. Une première étape parmi les six programmées de son premier périple de 09 jours à l'étranger comme président des USA, commençant par l'Arabie Saoudite puis Israël Palestine Vatican Bruxelles et Sicile. Et d'où, il s'est montré via des éléments de langage formaté à la fois moins rude et fier n'évitant même pas les regards anxieux de son audience, en leur disant qu'il a réfléchi à leur place pour la création d'un Centre de Justesse en matière de lutte contre les extrémismes n'osant plus parler de terrorisme islamique. Une évolution notable dans sa façon d'extrapoler explorer et exploiter les dégâts récurrents du terrorisme sans faire d’amalgame, d'où il n'y a pas longtemps il y avait quelque chose d'un peu guindé incompréhensible et non supportable venant de lui. Mais, comment ne pourrait-il l’être, quand pour 350 Milliards de dollars il enregistre un succès sans tiquer ni rougir, allant dans le sens de celui à qui on lui octroie une faveur-gain de prestige trop chèrement payé pour ses incartades désormais considérées fautes bénignes. Encore un coup de manœuvre politique de circonstance habile de sa part, au demeurant l'auréolant au rang du meilleur guérisseur démoniaque pour recouvrir la plaie qu'il a lui même ouverte avec le monde musulman. Comme quoi, l'on ne peut pas dire qu'il n'ait pas su se faire entendre d'eux avec finesse et fermeté, alors qu'il les a rudement secoué et malmené sur les divers thèmes de pessimisme de dramatisation de peine et de brouille, et ce avant et même après son arrivée à la maison blanche. Ainsi, le constat, c'est que le monde arabo-musulman a peur des pensées tournées vers la refonte et la clarification de la contrariété dont il a fait l'objet par suite de violences toutes aussi destructrices les unes les autres de ses espoirs dans l'action de l'espiègle et caméléon Obama.

       C'est incroyable mais vrai, Donald Trump a fait un effort remarquable d'élégance dans ses propos, au point d'avoir surpris de s’être empêché lui-même de twiter restant de marbre avant et après ce Sommet. Néanmoins, pourquoi ses détracteurs disent-ils qu'il s'agit d'un discours de convenance ne songeant qu'à la marche et le bon fonctionnement de ses usines plus qu'ils n'en avaient fait par habitude, la plupart de ses prédécesseurs dans ce genre de situation ? Peut-être, parce que, sans doute c'est fini le temps où on le comparait souvent à un torero furax dont les gestes manquent de précision et donc de grâce combative dans les normes porteuses et prometteuses. Comme ça, ne peut-on dire que devant le pupitre à Riyad, est-ce que Donald Trump ne fut-il en plus admirable dans sa partition à sensation pour montrer l'engagement de son pays dans la lutte contre tous les extrémismes ? Et ce, sans réticence vis-à-vis du renseignement que glane ici et là la CIA en plus s'aidant des recoupements de l'activité de la NSA dont, le Maroc il faut le dire tête haute, en est particulièrement, l'un des pays les plus courtisés dans ce sens. D'autant plus, il est le seul Etat africain considéré l'un des moteurs de lutte anti terrorisme via l'exemplarité de ses services sécuritaires internes et du renseignement externe en concomitance avec la feuille de route de sa diplomatie responsable mesurée et généreuse par une mobilité silencieuse sans déchaînement ni turbulence ? D'ailleurs, ce ne sont pas les exemples qui manquent, le montrant avoir de grands dons visionnaires par sa méthodologie pertinente adoptée dans cette lutte acharnée sans relâche, dont les ennemis résiduels à l'UA l'UE et l'ONU le combattent par mesquineries via diatribes car ne veulent qu'ils reste dans cette ligne directrice où il s'illustre de plus en plus encore plus fort. Bien sûr, autant le dire, le Maroc a montré au monde entier, son bon côté d'être toujours prêt à repousser les attaques des ennemis qui fricotent avec la nébuleuse terroriste dans la région au demeurant exposée aux agressions.

       Il est maintenant certain, en réactivité à l'offre de Donald Trump de créer un Centre International d'Etude des Stratégies de lutte contre le terrorisme à Riyad en Arabie Saoudite avec l'ensemble des pays de la coalition arabo-musulmane, que cela ne suffit pas pour qu'il soit pris en considération surtout de l'UE harcelée pendant des saisons de la poussée migratoire et des attaques saccadées par des intrus dans le système informatique. C'est pour cela, l'on peut déceler que la confiance à ce Centre, pour le moment à travers les chroniques écrites ici et là en Europe, craque déjà pour ne pas dire que son autorité risque de ne pas faire long feu. D'autant plus, parce que, le Pentagone la CIA le DEA bénéficient de la coordination des renseignements délivrés par les centres d’écoutes de la NSA, les mettant en très nette avance sur le reste du monde en la matière. Et, donc, n'ont pas besoin de cet artifice pour avoir plus de facilité à identifier les donneurs d'ordres aux terroristes avant qu'ils n'aient grâce à leurs équipementiers et financiers-prêteurs de logistique l'occasion de s’évanouir dans les grottes des déserts. N'en parlons pas des diverses manipulations par la guéguerre des Hackers affiliés à la nébuleuse terroriste, usant d'incidents et accidents délibérément provoqués mais sans rapport entre eux, grâce aux moyens humains illimités de haute technicité dont ils bénéficient pour achever leur oeuvre de destruction. A cet égard, cette construction d'un tel Centre n'est-ce l'aventure qui l'attend, car, apparemment, son destin n'est pas maîtrisé risquant d’être méprisé dans toutes les certitudes qu'a révélé Donald Trump ? Dont, à l'évidence, le Maroc peut, vraisemblablement jouer un rôle primordial de transformation de la peur du drame terroriste en épreuve initiatique de l'espérance de vaincre ce cancer, notamment en défiant tous ses ennemis par ses efforts par devoir de se protéger en jouant dans la cour des grands. A bon entendeur, salut !   

vendredi 19 mai 2017

A QUOI PEUT-ON MESURER LA NOUVELLE PERFIDIE DE L’ARMÉE ALGÉRIENNE DE DÉSTABILISER L'AFRIQUE ?

AUJOURD'HUI, EN 2017 OU NOUS SOMMES, CETTE MENACE ALGÉRIENNE EST-ELLE UNE FICTION DE SCÉNARISATION DE DÉSTABILISATION DE L'AFRIQUE OU UNE RÉALITÉ DE PERFIDIE SOUS SA FORME LA PLUS INTRIGANTE  ? 

       Ce n'est nullement une fiction de dire, l'Armée de Gaid Salah réveille ses vieux démons pour paralyser l'Afrique, qu'en effet qu'elle ne le veuille ou pas ne la grandissent pas outre mesure. D'autant plus, elle le fait, parce que ça lui déplaît de laisser filer d'entre ses mains l'UA sortant de son joug au sens temporel du terme. Chose, que comptablement elle commence à constater de visu sur le terrain africain et sud américain, après dilapidation de ses rentrées de la rente gazière et pétrolière qui s'est altérée peu à peu suite au soutien aveugle du Polisario. D'où, c'est évident avec les temps qui courent, elle-même, n'est-elle traquée actuellement de sa mauvaise gouvernance, d'abord par la folie de se surarmer jusqu'à hypothéquer l'avenir des algériens. Puis, par ce qui s'appelle la nécessité de continuer dans son arrogance en se mettant à préparer d'autres fourberies et filouteries à prix coûtant tout en affichant son mépris au Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutterres. D'ailleurs, au Maroc, on s'en rappellera que le 28 Avril 2017 fut un sombre jour pour l'Armée de Gaid Salah, le Polisario et leurs soutiens résiduels à l'UA UE et aux Nations-Unies. Tellement, en raison de la mise en garde qui leur était faite par la Résolution 2351 du Conseil de Sécurité, le pouvoir Boutaflika s'y est mis en rétropédalage de désagrément diplomatique dans le vide. Au point d'en arriver à ce qu'un de ses diplomates à la réunion de Sainte-Lucie aux Caraïbes, se voyant écrasé de honte car ne devant être fier de soutenir une cause perdue, agresse physiquement son homologue marocain. Ce qui confirme, que chez certains parmi ces inclassables diplomates, il y eut une déception qui ne s'apaise toujours pas et qu'au demeurant ne peut se justifier par cette sorte de vocation de contrariété jusqu'à la violence, dont sûrement ils n'y arriveront jamais de s'en remettre.  

      A cet égard, faut-il le rappeler, n'est-ce parce que l'Histoire est une grande source d'inspiration de tout essayer pour éviter la guerre, que le Maroc avance sereinement dans ses choix de configuration géopolitique après son retour triomphal à l'UA ? S'ajoutant à ceux géostratégiques élaborés d'un pas royal maîtrisé avec CCG USA Chine Russie France Espagne Inde Japon Turquie et Pakistan, sans se laisser prendre dans le jeu méprisable du pouvoir algérien. Lequel, n'est-ce pas depuis le début, il ne fait aucunement dans la dentelle pour s'y opposer allant jusqu'à monter une usine à mensonges et contrevérités qui n'a d'égal nul part ailleurs ? Et, dont, Gaid Salah en a accepté la place de contre-maître, bien sûr, en se prenant dans ses contradictions sans se poser les vraies questions car il les a enfouies si profond pour ne les extérioriser au moindre contre-coup. Croyant ainsi, pouvoir trouver une sorte de revanche dans sa médiocrité de contre-sens à l'Histoire, pour ne pas être le damné poussant des cris inaudibles en usant que de sa litanie anti Maroc. Alors même que les observateurs internationaux veulent savoir où trouve-t-il le recours pour se faire accepter parmi les maîtres-chanteurs d'ici là, après toutes leurs défaites communes successives qui, normalement, devraient leur ôter l'espoir jusqu'à leur faire accepter le doute et l'idée du désespoir ? Ne peut-on même confirmer sans aucun risque de se tromper, qu'aujourd'hui, le Pentagone la CIA et le DEA en plus des services de renseignements français espagnols égyptiens israéliens japonais chinois et russes, les considèrent tous comme un amas de maintien du Polisario en survie au milieu de protubérances terroristes ? Sorte de faillite encore plus grave, par le tirage de la carte-zéro de Gaid Salah qui, lui, porte une volonté de destruction malveillante de la marche du Maroc pour la mettre en tendance déclinante rien que pour s'en faire valoir après.   

       D'ailleurs, si l'on prend la peine de scruter son passé à ce Général viscéralement anti Maroc, on trouvera bien le moment où il a basculé par insensibilité à l'Histoire du Grand Maghreb et à la recomposition d'aujourd'hui que vit l'Afrique derrière et à côté du Maroc, dans la catégorie des hauts officiers militaires algériens un peu suspects par leur menace qu'ils font planer sur la Mauritanie le Mali le Niger la Tunisie la Libye la Gambie et la Côte d'Ivoire. Dont il ne faut pas être un expert en stratégie d'analyse communicationnelle, pour en déceler chaque jour leur tendance de provoquer complotisme via métamorphose suspecte venant des structures de leurs rangs. Même si, aujourd'hui l'UA en sent dans leurs propos que de la démagogie, ces quelques gradés algériens impliqués que l'on pourrait appeler chercheurs-promoteurs de ''mutins potentiels'' au-delà du sens de leurs airs d'insatisfaits pour un oui ou pour un non dans ces pays africains, ils seront honnis par les peuples et donc à l'évidence deviendront non respectables au sein du ''G5 Sahel'' si ce n'est aussi dans le G5+5. Sauf si, sans continuer comme des imbéciles, ces insatisfaits sortent de cette obsession de déstabiliser l'Afrique où les pousse le malade Gaid Salah portant ses lunettes pour souligner sa malice et son optimisme démesuré dans cette nouvelle perfidie. Parce que, avec le temps, contrairement à l'Algérie en pleine autodestruction le Maroc a accumulé plus d’expérience pour comprendre qu'il y a une inspiration de revanche de la part des militaires algériens sur les pays de la région en se cachant derrière la notion d'ancrage d'un nouvel ordre pour conduire le combat sans cap ni gloire ni fin en vue. Alors, quoi faire face à cette théorisation de la déstructuration de toute la région devenue inflammable, sinon la contrer par des actes forts de vigilance sécuritaire et s'en débarrasser par mutualisation des investigations du développement dans la transparence ? 

       Mais, pourquoi après 43 ans et demi, même étant aujourd'hui hospitalisé lui aussi à Ain Naaja, ce n'est bizarrement ni le fait de mourir qui le préoccupe ni le désastre irrémédiable qui s'annonce imminent en Algérie boutaflikienne qui le dérange ? Du fait que, lui, en tant que gardien pendant tout ce temps du secret de Boumedienne d'avoir à épouser la thèse du séparatisme qu'avait porté après El Ouali Essaid avec ses compagnons, une fois qu'ils aient été mal traités par Oufkir et ses successeurs. Dont, comme par hasard en ce temps présent à Al Hoceima dans le Rif marocain, certains ne veulent ni réparer ce qu'ils appellent à tort ou à raison l’irréparable outrage à la cohésion et à l'unité du pays, ni sortir du bras de fer qui n'augure rien de bon. En tout cas, n'est-ce là un levier pour discuter, parce que le thème de la régionalisation-décentralisation-déconcentration qu'ils ressassent ici et là, est trop sérieux pour qu'il reste sous-forme d'œuvre-jouet aux mains de quelques souffleurs sur les braises de la haine et discorde des deux côtés de la barrière psychologique désormais visible entre les composantes sociétales et l'administration territoriale ? Dont il faut l'avouer, c'est l'une des premières conséquences des tergiversations pendant six mois à former un gouvernement, car, le Maroc ne peut se permettre cette façon de faire. N'est-ce pour cela, et je regrette de le dire aussi crûment au vu du résultat obtenu de l'entente dans la mésentente pour la formation de son gouvernement, alors qu'à l'international il est considéré au cœur des transformations numériques énergétiques et géopolitiques, il faudrait pour lui changer vite de braquet pour qu'il ne paraisse plus restant encore dans le sous-développement philosophique de l'action publique ?

       Cependant, c'est vrai que les choses se compliquent pour Gaid Salah qu'effectivement il n'est pas porteur d'une solution ou d'un élan, mais seulement de l'isolement de l'Algérie. D'ailleurs, autant le marteler sans gènes, n'a-t-il de par ce constat cuisant tout raté, jusqu'à ne vouloir se poser au plus profond des circonvolutions des hémisphères de son cerveau en souffrance à quoi cela lui a-t-il servi ? Tellement, d'après quelques indiscrétions, aujourd'hui le Polisario s'interroge et se demande si, oui ou non, il n'est pas le dindon de cette farce. Laquelle, bien entendu, a commencé avec Boumedienne le goupil mais très vite prise en main par le trublion Kadhafi, qu'en effet tous deux avaient reconnu de leur vivant qu'ils avaient mal manœuvré ou plutôt qu'ils s'y aient été mépris sur le compte de Feu Hassan II. A ce propos, n'est-ce là où toute la perfidie du temps passé au Secrétariat Général de l'ONU avec Ban Ki Moon et son délégué Christopher Ross, prend tout son sens déstabilisateur de la région, qu'évidemment Rex Tillerson n'a pas omis de le rappeler à Ramtan Laamamra le 17 Mai 2017 au DEA, en lui traçant les lignes rouges à ne pas franchir ? D'où la région MENA-Sahel subsaharienne africaine ne doit s'en trouver exposée à de perceptibles grondements terroristes jihadistes de Daech Aqmi et Boco Haram, que le Polisario ridicule qu'il est, en a envie de continuer d'imiter sur ordre du manitou Gaid Salah en bénéficiant de la logistique de Bachir Tartag. Sauf que, là où c'est incompréhensible, pourquoi continuent-ils à vouloir berner tout le monde, en se faisant passer comme une communauté retranchée dans l'oisiveté et la déréliction. Ne sachant, qu'ils sont épiés et donc montrés du doigt car ne pouvant plus avoir d'entrées et sorties dans les sociétés des militaires dans beaucoup de pays africains pour raison facile à deviner. A bon suiveur, bon décryptage !

dimanche 14 mai 2017

LA PAGE DE LA HAINE DES ENNEMIS DU MAROC SE TOURNERA D'ELLE-MÊME BIENTÔT, GRACE A LA RÉINSTALLATION DESCENDANTE DES IDÉES POUR L'AUTONOMIE ?

POURQUOI L'AMPLEUR D'ANIMOSITÉ-FÂCHERIE-VACHERIE ALGER-NOUAKCHOTT-PRETORIA DÉPENDANTE NE S'ESTAMPE-T-ELLE TOUJOURS PAS, APRES LES 100 PREMIERS JOURS DU RETOUR DU MAROC A L'UA ET L'ADOPTION DE LA RÉSOLUTION 2351 FIN AVRIL 2017 PAR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU ?

       Au Maroc, après avoir longtemps donné l'impression de regarder ailleurs, le gouvernement est enfin, lui aussi, devenu concessionnaire de l'offensive communicationnelle. Evidemment, sans jeu de mots par une attitude plus poignante contre la promesse de rester un peu tempérant vis-à-vis des ennemis. Particulièrement, en bondissant à toutes leurs tentatives d'incursion territoriale, avec célérité et gravité portant les traits d'honneur et d'abnégation et aussi en réagissant à toutes leurs perfidies quelles qu'elles soient à même de se montrer sévère et redouté. Alors, n'est-ce comme ça, le constat après le conseil du gouvernement du 11 Mai 2017 montre qu'il n'est plus dans ses retranchements, mais plutôt investi à ne se laisser plus déchoir de sa responsabilité pour riposter, méthodiquement, vaille que vaille aux malveillances de l'Algérie de la Mauritanie et de l'Afrique du Sud ? Ainsi, l'on peut dire, le temps de réserve de l'Etat-Maroc même en s'acquittant par obligation des relations dans le monde d'où il parait le meilleur représentant de la marque diplomatique de retenue et sagesse, est fini. Comme si, il veut le signifier plus clairement à ceux des ennemis résiduels à l'UA à l'UE et au Secrétariat Général de l'ONU qui ne l'auraient pas encore compris. Ceux-là mêmes qui essayèrent avec Christopher Ross de détruire l'offre marocaine d'autonomie de 2007, via leurs bals masqués où leurs supercheries se cachaient derrière la visite de Ban Ki Moon dans la région en 2016. Sauf qu'aujourd'hui encore, avec leur mépris porté à la Résolution 2351 fin Avril 2017 du Conseil de Sécurité, il veulent anéantir le nouveau ordre consciencieusement édifié par Antonio Gutterres relevant de l'atmosphère de confiance unanime de tous les membres permanents ou non. 

       Non, ce n'est pas rien de voir jour après jour s’éteindre la dévotion de l'Algérie et l'Afrique du Sud de veiller sur le Polisario, au point de pâlir et se reprocher leurs perfidies sachant qu'elles n'ont pas la résistance du Maroc. Néanmoins, n'est-ce pas l'espoir c'est d'imposer le choix de légitimation de l'offre d'autonomie dans la régionalisation élargie, même si le Maroc fait partie des pays pour lesquels l'attente et le souvenir sont plus précieux que la précipitation et l'oubli ? D'où, en même temps, il guette les intentions de ses ennemis qui le haïssent sans raison, comme il salue à chaque fois les non reconnaissances de la RASD qui se multiplient venant de par le monde. Et, donc, conséquemment, il en attend avec fierté l'illustration via la Résolution 2351 sous forme de logiciel de protection et de sauvegarde de la paix de la région. D'abord par la dénonciation des dessous de leurs pratiques honteuses, puis, grâce à la libération des idées portées sur l'interactivité codifiée pour un bel essor socio-économique culturel et sécuritaire régional. Sans tribulations d'évolution radicale ni passivité de soumission au marketing statique sournois des tireurs de ficelles qui, eux, sont pour rançonner le Maroc sur son intégrité territoriale. D'ailleurs, sur toutes les images de leurs malveillances post-retour du Maroc à l'UA, ils n'ont cessé de mettre la Commission avec Mahamed Faki en mauvaise posture alors que, lui, c'est évident il ne les suit guerre dans leur façon d'ajouter en surimpression le flou comme auparavant à l'époque de Nkosazana Dlamini. De ce fait, c'est vrai, aujourd'hui plus de 45 pays africains ont oublié ce qu'ils s'étaient promis, en s'enlisant sans se poser de question, sans regrets et sans paraître souffrir entièrement occupés à supporter le Polisario et à le faire survivre. Ce qui renseigne sur leurs postures d'antan, primo trébuchant devant l'offensive royale, secundo essayant mille chemins méta sans issues parce que traînant l'immense lestage de leur traîtrise qui les faisait retomber et enfin tertio toujours être vaincus par la détermination du Maroc. 

       A cet effet, pourquoi l'Algérie la Mauritanie et l'Afrique du Sud ne veulent-elles que le Maroc soit inscrit seul dans l'agenda des choix géostratégiques de la Communauté Internationale ? D'autant plus, ne voulant se coucher mais seulement essayer d’interférer pour changer la vie des marocains afin de ne plus être hantées du mauvais sens qu'aurait pris leur attitude n'exprimant aucune positivité d'idées. N'est-ce parce qu'elles préfèrent taire des questions qu'elles auraient pu se poser sur leurs liaisons dangereuses avec les terroristes les marchands d'armes et les trafiquants de tous les genres et de tous les bords ? A ce propos, l'Algérie pour raffermir ce qu'elle appelle soi-disant son courage de faire face au Maroc, n'ajoute-t-elle plus de confusion si ce n'est de leurres par ses attaques en guise de règlement de compte avec tous ses voisins pour semer la peur et la terreur ? A l'exemple de Libye par la tournée très contestée du ministre Abdelkader Messahel s'étant vu par ailleurs écarté des pourparlers entre factions libyennes, de Tunisie car Ramtane Laamamra en la grondant presque directement il a montré aux tunisiens de quoi l'Algérie en est capable de ce qui pourrait leur sembler irréel, du Mali en le menaçant de le recaler dans tous ses efforts pour sa stabilité voire son unité et enfin du Niger par le renvoi des migrants subsahariens pour le mettre sous pression sans se soucier ni de leur dignité ni de de leurs droits et encore moins de leur avenir.  

       D'ailleurs, ceci n'indique-t-il qu'il y a de la part du Conseil de Sécurité de l'ONU l'invention et la fabrication de réflexion de réinstallation de façon descendante de l'offre marocaine d'autonomie pour stopper la déshérence du Polisario ? En poussant à la participation effective des pays du voisinage, dont il faut l'avouer, le Maroc face aux turpitudes de l'Algérie est obligé d'admettre l'improbabilité d'une discussion directe avec elle pour l'apport des premières pierres à cet édifice. Ce qui en dit long sur le temps perdu par elle par la Mauritanie, face à la passionnante recherche marocaine de solution politique viable facilement réalisable sous l'influence directe du nouveau Envoyé Spécial du Secrétaire Général de l'ONU. A même que le Maroc n'a plus envie de les entendre ni à voir dans quelle abjection ne devraient-elles pas être tombées, dont le monde entier découvre presque en direct où les a mené leur bassesse. Ne s'attardant plus sur leurs échecs cuisants à coté de l'Afrique du Sud, pour finir dans les pratiques harcèlements-escarmouches et les aventures méprisables d'incursions extraterritoriales et de piraterie de bateaux de pays souverains. C'est vraiment lamentable, de les voir ainsi dans leur complicité piteuse, allant dans le mur car sont restées prisonnières de l'ordre douillet de la corruption n'en sachant qu'elles ne font que provoquer la ruine du capital-estime de l'Histoire des mouvements de libération en Afrique. D'autant plus, c'est vrai que ces derniers temps, il y eut des anecdotes déconcertantes sur l'ANC avec Zouma ne manquant pas de le montrer commençant à s'auto-mutiler en ressemblant au FLN dans son dédoublement vers sa débâcle à court ou moyen terme. Dès lors que d'une part des voix lucides dressent un bilan catastrophe de leurs tergiversations en croyant ne jamais devoir rendre compte, et d'autre part des signaux les montrant se débattre pour éviter d'agoniser. A bon entendeur, salut !

samedi 6 mai 2017

L'IMMOBILISATION DU NAVIRE NEW-ZÉLANDAIS A PORT ELIZABETH EN AFRIQUE DU SUD, NE RESSEMBLE-T-ELLE A UN RÉSEAU DE FUMÉE ?

IL N'Y A AUCUN DOUTE, POUR LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU C'EN EST FINI A LA FOIS DE L'ACCEPTATION DES LEÇONS-RAGOTS D'ALGER ET  DE LA TOLÉRANCE DES ACTES MALVEILLANTS DE PRETORIA POUR LE COMPTE DU POLISARIO ! 

       Désormais, le monde entier le sait, après ce que l'on peut appeler la réactivation de vieux marqueurs par des tractations malsaines entre l'Algérie de Boutaflika et l'Afrique du Sud de Zuma, elles ont décidé l'immobilisation du chargement des phosphates marocains du Navire new-zélandais à port Elizabeth dans la province du Cap oriental. En cela, n'est-ce là une piraterie actée comme du temps des corsaires, mais qui ne deviendra jamais casse-tête pour l'ONU, même si, soudain elle s'y est invitée dans son agenda ? Comme quoi le Maroc a raison, sans oublier pour autant que pour beaucoup d'observateurs avertis, cette attitude n'est nullement une surprise venant de la part de ces deux pays. D'autant plus ça ne les mènera à rien, car, elle les montre ouvrir une demi-porte n'assurant pas de visibilité mais seulement l'imprévisibilité sans marge de manœuvre diplomatique face au rejet catégorique de la Nouvelle-Zélande de leurs turpitudes. D'où, l'on voit qu'elles sont piégées par leur jeu des choix récurrents malveillants qu'elles établissent contre le Maroc, qu'au demeurant ressemblent à un réseau de fumée pour cacher leurs déconvenues. Allant jusqu'à donner l'impression de pousser le Polisario à jouer à la roulette russe pour provoquer le chaos, c'à quoi automatiquement, conséquemment, n'a fait qu'assurer son décrochage y compris même sa non existence dans le futur proche. Mais chose incompréhensible, pourquoi sans justificatif ni concept il fait la sourde oreille à sa propre démolition par des manipulations mensongères ? N'est-ce, tout simplement pour sauvegarder ses privilèges qui ont une forte odeur de biens mal acquis à Zouirate à Tindouf en Espagne et ailleurs dans les paradis fiscaux ? Tellement que la majorité des polisariens abasourdis, est entrée en ébullition pour amorcer les négociations directes avec le Maroc dans le cadre de l'offre d'autonomie pour rejoindre la mère-patrie, et donc ne laisser la bande à Ibrahim Ghali les manipuler par une consommation médiatique d'un temps révolu.

       Maintenant que les ponts sont en voie d’être coupés avec la Nouvelle-Zélande, à contre courant ne se disent-elles, surtout, qu'elles ne doivent perdre en plus les USA la Chine la Russie le Royaume Uni et la France ? Parce que, du fait de l'effet des chocs et émotions qui les ont agités après cet arraisonnement de ce bateau à Port Elisabeth, l'on peut confirmer que la Résolution 2351 du Conseil de Sécurité de l'ONU a anticipé ce genre d'agissement. Dévoilant à la fois la supercherie du pouvoir algérien et les tartuferies de l'Afrique du Sud au monde dans le dossier du Sahara marocain. D'où, n'est-ce pas pendant qu'elles essayent, bien maladroitement, de cacher leur déshonneur, elles ont constaté avec amertume que les USA passent à l'action par la loi de programmation budgétaire sans restriction d'utilisation de leur aide sur tout le territoire marocain ? Au point que ce qui dérange le Polisario ce n'est pas le fait d’être la marionnette de Gaid Salah, mais l'idée que l'offensive diplomatique imaginée dans le temps et structurée dans l'espace par le Maroc est entrain de s'accomplir. Tellement, il éprouve encore une appréhension, comme si un danger éminent le menace de l'intérieur, étant presque sûr que l'Algérie et l'Afrique du Sud même avec leurs allures démonstratives irréfléchies tirées par les cheveux à l'encontre du Maroc, ne sauront pas lui faire digérer son échec cuisant ni éponger ses malheurs. Comme aussi de l'extérieur dont la non reconnaissance par le Malawi de la RASD en est l'exemple encore fumant au sein de l'UA, s'ajoutant à la pensée que l'irréparable est commis par ses agissements à Guergarate vis-à-vis du Secrétaire Général et des membres permanents du Conseil de Sécurité de l'ONU. Qu'effectivement, à ce propos, tout un chacun peut en déceler que la vie de cette entité fantoche sera inéluctablement faite de tourments sur son existence, si ce n'est carrément de drames dans ses soi-disant rangs dans la zone de séparation qu'honteusement elle la qualifie de terre libérée. 

       Aussi, de ce fait, la bêtise officialisée de Pretoria et elle le sait, va devenir pour les séquestrés de Lahmada une source d'allusions fréquentes à ses mensonges jusqu'à en fournir une série d'anecdotes qui se répéteront pendant des années. Alors qu'elle est, elle-même, dans une crise destructrice de s’être laissée dans le trou d'appel de sa propre mort relevant de ses tracas de fabrication des ''Remake'', là où le Polisario croit-elle est son obligé en essayant bizarrement de le sauver lui. Car, n'arrivant à se remémorer l'époque où Nelson Mandela et ses compagnons de lutte venaient s’entraîner avec les combattants du FLN algérien sur les terres marocaines dans les fermes de l'oriental au Maroc et obtenir le financement pour l'achat des armes. Alors, ceux qui pensent qu'Alger et Pretoria y arriveront à imposer leur point de vue à l'UA à l'UE et à l'ONU, il est temps pour eux de restituer la vérité référencée à l'Histoire du Maroc. Sans continuer à faire de l'exportation de leurs mensonges et contrevérités une pratique normative, jusqu' à même de se donner en spectacle piteux dans les chancelleries avec l'espoir que leur délivrance, dans les deux sens du terme leur permet de revenir à la raison. Etant donné que le monde entier connait maintenant la vérité à propos de cet aveuglement, qui n'est qu'une manifestation de préservation du Polisario en tant que leur projet sans jamais en discuter les conditions de sa viabilisation. D'autant plus, croire infléchir ainsi l'offensive tous azimuts du Maroc, c'est ne pas comprendre les velléités de déception de 42 ans de déni de la part de l'Algérie et de mauvaises impressions du côté de l'Afrique du Sud après l'arrivée de Thabo Mbeki et de Zuma. Néanmoins, n'est-ce pour cela, il ne faut pas leur faire de concession idéologique, si ce n'est de continuer à les affronter avec fougue par l'argumentaire du réalisme de l'offre d'autonomie 2007 ? Car, croyant découvrir la vengeance secrète pour briser l'élan du Maroc, laquelle n'est en fait qu'une rancœur contre elles-mêmes qui les empêche de prendre en compte que la CJE (Cour de Justice Européenne) qu'elles ont mauvais caractère des mauvais perdants les mettant aussi au désespoir comme le Polisario. 

       A l'évidence, à cet égard par ailleurs, ce n'est nullement une surprise si le thème de la dés-intox entrepris par le Maroc dans les instances internationales est rentré sans fracas dans la structure la teneur et la tonalité de la Résolution 2351 de fin Avril 2017. Et, aussi sur ce que, elles-mêmes, n'ont pu apporter de concret et de probant pour ne pas laisser le dossier du Sahara marocain encore vieillir à l'ONU. Parce que, c'est de-ci de-là d'où l'on perçoit d'abord l’indécence de l'Algérie à ne vouloir discuter directement avec le Maroc, préférant avec sa réserve de mensonges rester dans les mêmes positions de replis datant de la guerre froide. Puis, à quel point l'Afrique du Sud via son comportement absolument sordide de tout faire pour contrer les conquêtes des nouveaux marchés par l'OCP (Office Chérifien des Phosphates) et donc perturber sa stratégie commerciale. Ce qui montre, que toutes les deux, elles vont très loin à même jusqu'à enfreindre le Droit international, non seulement dans son volet marine marchande mais aussi en se plantant au travers de tous les chemins de co-développement avec l'Afrique que préconise et réalise à marche forcée le Maroc. Comme ça, nul doute sur cette étrangeté constatée de leur rapport qu'elles cherchent à imposer au Maroc via sournoiseries opprobres et intrigues pour le faire tomber en faisant éclater le spectre de la guerre. C'est quand même chose terrible qui leur arrive de se débattre à la façon des damnés parmi les traîtres de l'idéal de l'UA que proposent les sages et experts africains autour de Paul Kagamé et Alpha Conté. Et ce, dans les dessous de redistribution des cartes géopolitiques et géostratégiques africaines, via une sorte de rédemption où tout un chacun peut en sentir déjà le poids de la vie nouvelle au Sahara marocain. En tout cas, n'est-ce venu le moment pour l'UA de trancher la continuité de la RASD dans ses rangs, pour ne plus se souvenir du temps encore récent où la Commission sous Nkosazana Dlamini ne faisait que dans la tricherie la manipulation et les perfidies ? A bon entendeur, salut !