jeudi 26 mars 2020

LE SERRAGE DE VIS POUR LE RESPECT DE L'ÉTAT D'URGENCE SANITAIRE, NE VAUT-IL AUSSI POUR LES ASSOCIATIONS D'OBÉDIENCE PARTISANE ?

LE MAROC EST-IL EXEMPLAIRE DANS SA GUERRE CONTRE LE COVID19 ?

       À présent, tout indique que le Roi du Maroc Mohamed VI a, très tôt pris garde à la vague pandémique du Covid19. Cela veut dire, Il a voué toute son attention sur les rapports syndromiques de l'OMS pour anticiper le risque de contagion rapide et sévère de cette pandémie inédite. Laquelle, avait déjà fait des dégâts terrifiants en vies humaines en Chine. Sans oublier les destructurations des économies et marchés financiers de beaucoup de pays. Une hécatombe qu'ensuite a commencé à déférler sur le monde à partir des régions de l'Asie les plus touchées. Avec, notamment, une tension plus forte sur l'Europe le moyen-orient l'Amérique du nord et l'Afrique. Ainsi, le Roi Mohamed VI, conséquamment, a pris des mesures sociales et économiques extrêmement courageuses. En parallèle de celles sécuritaires rigoureuses pour palier à toute menace aux intérêts vitaux du pays. Autant le dire, Il fait partie des premiers chefs d'États qui ont ouvert la ligne de front de lutte anti-covid19. Dont,  l'on peut noter, aujourd'hui, que l'engagement des FAR (Forces Armées Royales) pour l'aide et l'assistance sur ordre royal au ministère de la Santé est très apprécié des marocains.

       En effet, au-delà de ces mesures prises, ce sont les contributions dans un élan de solidarité nationale, venant de toutes parts, au fonds spécial crée par le Roi et dédié à la gestion de cette pandémie inédite, que les historiens et les anthropologues de la santé de par le monde, retiendront. Une fois de plus, la catastrophe annoncée du fait du paradoxe de non préparation de notre système de santé, peut être jugulée, si les obscurantistes et autres inconscients ne laissent plus entendre au pays tout entier qu'ils sont en position de combattre la pandémie par les "Douaas" les "Fatwas" et les attroupements hors la loi. Évidemment, c'est une façon de montrer leur hostilité maquillée au confinement, et donc à l'État d'urgence sanitaire decrété jusqu'au 20 Avril 2020. Mais, pourquoi sont-ils dans l'affrontement, sans savoir qu'en outrepassant la légalité constitutionnelle de l'État d'urgence, ils s'exposent à la foudre de la justice ? Par ailleurs, n'est-ce, comme ça que les marocains sont rassurés de la possibilité d'aller plus loin dans leur civisme patriotique via le positivisme comportemental vis-à-vis du confinement ? Et, donc, pour faire éviter au pays la diffusion de l'inconscience des uns et l'indulgences des autres vis-à-vis des mesures de confinement. Dont, le coup de serrage vaut aussi pour les associations d'obédience partisane, islamiste ou autre pour ne plus entendre leurs bruits menaçants.

       C'est vrai, le confinement n'est pas suffisant pour des raisons faciles à deviner. Mais, le challenge à relever c'est aussi d'assurer la disponobilité du matériel médical adéquat comme les respirateurs dans les réanimations, avec l'augmentation significative du nombre  de lits munis de la panoplie des solutions hydroalcooliques. Et en même temps, augmenter l'approvisionnement en kits de blouses sarrauts  pantalons chaussures gants et masques FFP2 voire FFP3 et chirugicaux. Biensûr, c'est comme ça, dans  une résilience et détermination du personnel que la multiplication des tests ciblés ayant pour but de prendre le contrôle de la situation sans beaucoup de risques de contamination, peut réussir. Voilà pourquoi le Roi du Maroc Mohamed VI, sans omettre la surveillance renforcée des cas diagnostiqués dans les rangs du personnel de santé, a ordonné la mise en marche d'un pont aérien d'avions Cargo ininterompu Maroc-Chine-Maroc pour que les hopitaux soient dotés de tout ce matériel. C'est une marque d'ampathie de soutien et de reconnaissance à l'abnégation et dévouement de la première digue, celle du personnel soignant dans ces moments difficiles. À dire vrai, les marocains ont démontré, tout l'intérêt qu'ils portent en présence de cet inconnu virus Covid19, au traitement-cocktail qui fait encore beaucoup de bruit. En l'occurrence, celui à base de l'hydroxychloroquine-azithromycine en association avec d'autres antiviraux. En effet, dans ces conditions le branle-bas-de combat aux ministères de la Santé de l'Intérieur de l'Agriculture de l'Éducation Nationale de l'Économie des Affaires islamiques et Habouss et des Affaires Étrangères de la coopération et des marocains du monde, n'a-t-il été le plus sûr moyen de montrer l'éclatante image du Maroc à l'international. À bon entendeur, salut !

       

mardi 17 mars 2020

LE MAROC EST LUI AUSSI EN GUERRE CONTRE LE COVID19, EN DÉPIT DE L'INCAPACITÉ MATÉRIELLE ACTUELLE EN RÉSPIRATEURS DE RÉANIMATION.

CORONAVIRUS (COVID19): LE MAROC REAGIT EN FAISANT REDESCENDRE LE PESSIMISME AMBIANT.

       Il n' y a pas à douter, le Roi du Maroc Mohamed VI prépare le pays à l'usage de l'Article 74 de la Constitution dans le calme et la sérénité. Parce qu'il a pris des mesures fortes et massives en dépit de l'incapacité matérielle actuelle du système de santé à relever ce défi, en concomitance des préconisations des gestes-barrières. Oui, à ce jour, il y a juste 1600 lits d'urgence dont 250 seulement pour les cas du Covid19. En cela, aujourd'hui, il ne faut plus aussi continuer à bluffer vis-à-vis du manque criard en nombre et en qualification du personnel en soins intensifs pour affronter cette épidémie inédide. D'ailleurs, pour pouvoir faire redescendre le pessimisme ambiant, seule l'annonce dans l'urgence des mesures de confinement strictes, serait à même d'aider d'éviter la propagation pour ne pas vivre la catastrophe epidémique à l'italienne espagnole ou même française. Bien sûr, sans oublier l'engagement de tout un chacun à respecter les consignes du confinement dans le calme et résponsabilité individuelle et collective. 

       En revanche, la question qui taraude c'est pourquoi les partis politiques semblent dans l'expectative, presque en dehors du temps ? Est-ce parce qu'ils sont démunis au sens de la contribution réelle à l'effort demandé à tous ? Où, sont-ils dépassés par les événements en relation avec l'insuffisance matérielle actuelle du système de santé marocain ?À ce titre,  autant le dire sans détours, le peuple marocain est aussi préoccupé par le manque criard en nombre de laboratoires pouvant pratiquer les examens les dépistages et le suivi du Covid19. Comme ça la detresse vis-à-vis du manque hallucinant en qualification du personnel de santé en soins intensifs et en réanimation-infectiologie, est visible. C'est une vérité qui fait mal stipulant qu'en plus la carence en infrastructures vu les impératifs du moment, est structurelle et non conjoncturelle. Ne s'agit-il là des conséquences de l'insouciance, résultat des politiques suivies ces dernières années par le PJD et ses coalisés des gouvernements Benkirane I et II et Othmani I et II. D'ailleurs, Benkirane ne l'avait-il montré sans gêne, portant l'intêret à la privatisation de la santé et de l'Education. S'ajoutant à la fuite des cerveaux, medecins et infirmiers (es) en Europe surtout l'Allemagne et au Canada par défaut de répondre à leurs sollicitations sociales et pécunières. 

       Voilà pourquoi c'est la raison pour laquelle le Roi dans une transparence normale tient à couper les pont de toutes les déterminations désespérées. En encourageant le gouvernement et le comité de vigilance sanitaire à relever le défi, sans tenir le peuple dans l'ignorance des directives et remarques de l'OMS. D'autant plus, des études chinoises taiwanaises et sud coréennes qui commencent à appataitre, mais que ne connaissent que les épidémiologistes, infectiologues et les réanimateurs, sont en faveur du confinement total. À même d'en faire fi, provisoirement, des libertés indivifuelles et collectives, pour l'intêret du pays en mobilisant l'ensemble des services de sécurité et pourquoi pas l'Armée. Oui, c'est une question de temps, d'oū il va falloir s'attendre sur ordre du Roi au déploiement des hopitaux militaires de campagne avec des respirateurs et matériels de réanimation pour alléger les structures hospitalières de santé en pleine préparation pour affronter le Covid19. Sachant que les services de santé des FAR en ont la technicité reconnue, de par les unités déployées ici et là en Afrique et dans le monde. À bon entendeur, salut !

vendredi 13 mars 2020

MOHAMED OULD GHAZOUANI NE S'EST-IL DÉNONCÉ LUI-MÊME, EN ACCROCHANT SON PAYS AU VAGON DU TRAIN DE L'AVENTURISME EMIRATI-ALGÉRIEN ANTI-MAROC ?

C'EST POURQUOI, LE MAROC A DÉJÀ CESSÉ DE COMPLAIRE AU VOISINNAGE BELLIQUEUX ET PAS SEULEMENT.

       Maintenant c'est clair, l'hostilité de certains politiques mauritaniens dont le président fraichement élu Mohamed Ould Ghazouani envers le Maroc, n'est plus cachée. Désormais, ils la pratiquent, tous, selon un programme de ciblage sur commande. D'où, ils croient pouvoir affirmer la volonté d'inconsidération de leurs bailleurs de fonds au Maroc souverain dans ses décisions. Et ce, dans un but d'imposer leur soi-disant tempo politique, pour ne pas dire opposition tue à la marocanité du Sahara. Autrement dit, c'est un plan d'attaque étrangement semblable au pas de fennec qui prévoit dans un futur plus ou moins proche l'entrée en escalade guerrière le long de la frontière de Saidia à Nouadhibou. N'est-ce, ce que le vaniteux surexcité et baratineur-menteur Ould Ghazouani s'en presse de mettre en perspective pour avoir en plus le cautionnement des Généraux vert-kaki algériens ? En leur expliquant au pas de danses des scorpions émiratis qu'il faille tenir pour inévitable une guerre avec le Maroc. Bien sûr, sans toutefois parvenir à dissimuler, lui et son conglomérat d'ingrats leurs réelles défaillances par rapport à l'approche du Conseil de Sécurité de l'ONU. 

       Étranges passions qu'ont ces voisins du Sud d'en vouloir tant au Maroc ! Eu égard de la valeur politique de l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la combinaison stratégique de lutte anti-terroriste dans le Sahel, le rapprochement Maroc-USA aidant. En tout cas, on ne peut que juger l'attitude de Ould Ghazouani de secouement dans sa tête et une simulation quand il a reçu Nasser Bourita. Ainsi, nul besoin de dire que cette hostilité, au vu de sa derniėre sortie médiatique, laisse entendre que le Maroc est jalousé pour sa conception souveraine d'organisation de ses ripostes structurelles sociales économiques et diplomatiques dans ses provinces du Sud. À cet égard, déjà l'on peut confirmer que le Sahara marocain, notamment la Wilaya de Saquia Al hamra, est devenue une plateforme du panafricanisme socioéconomique serein et bien réfléchi de surcroît engagé contre les manoeuvres dilatoires algériennes et les attaques des ennemis résiduels au sein de l'UA qu'ils soient déclarés ou pas. D'où, au demeurant, leurs dirigeants cherchent à refroidir les bonnes dispositions des peuples africains à aller de l'avant pour rester au commandes. 

       Voilà pourquoi, l'on peut dire, Ould Ghazouani se trompe lourdement en rejoignant Tebbounne dans cette aventure anti-Maroc. À dire vrai, il y a une incompatibilité entre son comportement d'avant les élections présidentielles et celui d'aujourd'hui. Tellement, depuis son élection il a voué son energie à piquer le Maroc, n'en tenant compte des craintes du peuple mauritanien frère que l'entente par les liens du sang et l'histoire avec les marocains ne  se convertisse en cauchemard de mobilité au-delà des conséquences de la pandémie de coronavirus. D'ailleurs il ne faut pas se leurrer, des divergences politiques existent à ce propos, au sein de la classe politique, de l'Armée et des services de sécurité de l'État mauritanien. Déjà le chassé croisé en OFF, entre eux le montre ! Tous ne partagent pas le sentiment d'autosatisfaction du président Ould Ghazouani. Car sont convaincus que ça ne pourrait entrainer avec le temps que moins d'avantages et plus d'inconveinients pour la prospérité et la stabilité du pays. À bon lecteur, bon décryptage !



       

mardi 3 mars 2020

TEBBOUNE CHENGRIHA ET BOUKADDOUM N'ENVISAGENT D'HOSTILITÉ QU'AVEC LE MAROC.

IL Y A DU RIFIFI EN L'AIR ENTRE RABAT ET ALGER.

       Ça va de mal en pis entre Rabat et Alger. En effet, comme on le voit, Tebboune et ses acolytes à ksar Almouradia se trouvent face à de redoutables difficultés en interne et complications interférant les unes avec les autres à l'international sur la Libye. S'ajoutant aux rejets de leur posture sur le Sahara marocain, lui et son ministre des Affaires étrangėres Boukaddoum. Ce qui les pousse à viser, imprudemment, le Maroc par des propos mensongers et haineux, et ce, dans un but de complaire aux Généraux vert-kaki. Sans leur montrer que ça les empêche de prendre conscience de la vulnérabilité du régime. Jusqu'à ne pas taire leur malaise envers les succès diplomatiques du Maroc, en passant tout leur temps à verser leur rancœur assez déplaisante sur lui. Par des efforts budgétaires dispendieux pour lui imposer leur soi-disant superiorité. Dont, aujourd'hui les marocains n'en peuvent encore supporter cette déraison dans les bassesses et le déni.

       Voilà pourquoi Nasser Bourita nanti de nouveaux soutiens, a pris l'initiative de dénnoncer avec doigté  diplomatique, les ingérences répétitives du pouvoir algérien ? Fondant son opiniatreté, non seulement sur la mobilisation des marocains, mais aussi sur l'appui de l'UA pour le Conseil de Sécurité de l'ONU. Afin de faire fructifier sans tarder l'offre marocaine d'autonomie 2007. D'ailleurs, on reconnaîtra, qu'on ne le veuille ou pas, à l'offensive du ministre Bourita le mérite d'avoir secouer Tebboune et sa clique. Autrement dit, qu'est-ce à répondre à ces entrebailleurs des portes de la rancune datant de la guerre des sables 1963 ? Si ce n'est de les claquer à leur nez pour qu'ils ne se voient plus les vecteurs de la stratégie de la haine du Maroc après la disparition de Gaid Salah. Et donc, de les contraindre à renoncer, définitivement, à se prévaloir d'une garantie hypothétique de l'UA sans avoir son aval. 

       À cet égard, est-ce que l'on peut s'attendre à ce qu'Alger troque ses malveillances contre des obligations claires instituées par les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU ? Rien n'est moins sûr, parce que tout indique que les propos tenus à l'endroit du Maroc au sujet de son Sahara autorisent tous les soupçons. D'ailleurs, ne peut-on avancer que le pouvoir algérien s'en tient à son programme de violation quantitative de ses engagements pour piétiner les Résolutions de l'ONU ? Oui, avec ce régime qui continue dans son aveuglement, l'on peut dire "il y a du rififi en l'air entre Rabat et Alger" qui pourrait se transposer en escalade. Et ce, au-delà des gesticulations itératives polisariennes en Zone Tampon, dès lors que les maîtres d'Algérie se bornent toujours à attiser la tension sous des pretextes sans les nommer. Comme le fait que Rabat eut usé de tous ses droits d'actualisation des tracés de ses frontières maritimes en vue de prévenir toutes modifications par la force du statu quo existant. Et pas Alger qui se montre plus offusqué parce que Madrid lui oppose son refus catégorique. A bon entendeur, salut !