LE MAROC S'OPPOSERA À CEUX QUI VEULENT LUI FORCER LA MAIN SUR SON SAHARA.

À WASHINGTON TELAVIV RYAD DUBAI ET LONDRES, ON EST RÉSOLU À SOUTENIR LE MAROC EN CAS D'AGRESSION DIRECTE DE L'ALLEMAGNE L'IRAN ET L'ALGÉRIE.

       La rupture diplomatique unilatérale d'Alger avec Rabat provoque une incompréhension unanime de la Ligue Arabe, de l'UA, du monde islamique et de la majorité de la Communnauté internationale. Malheureusement, il faut le dire avec force, Antonio GUTTERRES s'en émeut à même de s'en inquiéter pour son ami Ramtane LAAMAMRA. Alors qu'il n'a piper mot à la suite des propos menaçants irresponsables que CHENGRIHA l'incontinent Caporal soi-disant Général, tenait à l'égard du Maroc et ses Institutions. Le voilà donc montrer son vrai visage, parce qu'il sait que les choses se corsent sur le terrain diplomatique et militaire en défaveur de l'Algérie. De fait, la diplomatie marocaine est montée au créneau, en demeurant prête à réagir sous la forme la plus dure envers tout un chacun se permettant d'intervenir en faveur de l'Algérie en faillite. Déjà, Omar HILAL le représentant permanent du Maroc à l'ONU en a imposé le ton la chronologie et la virulence mettant le régime algérien aux abois. D'ailleurs, aujourd'hui, c'est sûr que le Maroc fort de l'entente tripartite avec USA et Israël en plus de ses nouvelles alliances stratégiques, n'admettra plus les turpitudes et les enquiquinements de ses ennemis sur son Sahara. Parce que, pour lui, ce dossier est bel et bien clos depuis 1976, et dont, par ailleurs, les FAR (Forces Armées Royales) en sont chaudement félicitées pour le travail fait avec professionalisme par les marocains de par le monde.

       Si l'État-Maroc ne fait aucune objection à l'offensive des ses diplomates contre Alger, n'est-ce parce qu'ils garantissent réciproquement l'appui inconditionnel de la Ligue Arabe de l'UA, et des grandes Capitales à part Berlin en cas d'affrontement direct ? Ceci dit, le fait nouveau crée par les mises au point itératives d'Omar HILAL sur l'autodétermination de la Kabylie n'aurait-il dû conduire Ramtane LAAMAMRA à réviser son attitude diplomatique haineuse ? C'est ce que soutiennent les chancelleries de par le monde, en se montrant très critiques vis-à-vis du régime des Caporaux-Généraux algériens. Sans oublier, que rien ne les menacerait du côté Ouest s'ils n'entreprendraient de folies contre le Maroc. D'autant plus, n'est-ce les pays du Grand Maghreb et G5 Sahel ne concluront aucun accord militaire avec l'un contre le second en cas de complications armées ? Non seulement pour ne pas revivre le contexte de 1963 pour certains, et effacer les stigmates des batailles d'Amgala I et II  pour d'autres. mais, parce qu'ils comprennent les avantages qui découlent pour eux de cette attitude avec un Maroc aujourd'hui encore plus fort très sûr de ses capacités militaires. Vraiment, pourquoi ce pouvoir "fonfaron" ne s'est-il conformé à la main tendue du Roi Mohamed VI ? Ne risque-t-il d'encourir l'ire royale en refusant d'y adhérer à cette démarche de la détente de la paix et de la fratérnité ? D'ailleurs, à Washington Londres Paris Ryad Telaviv Dubai et Pékin, on n'est plus enclin à l'optimisme après les bruits de bottes des deux côtés de la longue frontière algéro-marocaine. Dont, l'Iran et l'Allemagne ne s'en cachent pas de leur soutien aventurier à Alger à l'aide de convention d'assistance militaire. À l'évidence, ceci met la CIA le Pentagone et le DEA en état de vigilance extrême en plus des FAR qui sont sur le qui-vive. À bon lecteur, bon décryptage !

C'EST ACTÉ QUE LE MONDE VIVRA LE CRASH EN DIRECT DU POUVOIR ALGÉRIEN !

L'ALGÉRIE DOIT SE CALMER DANS SA RECHERCHE DE DIGUES DIPLOMATIQUES POUR ISOLER LE MAROC DE LA LIGUE ARABE ET L'UA, SINON ELLE SE VERRAIT PLOMBER DÉFINITIVEMENT LES AILES.

      Depuis la généreuse main tendue du Roi Mohamed VI à Abdelmajid TEBBOUNE, la société algérienne vit une réelle ébullition. Dénonçant par la preuve à la fois, les discours hystérisés anti Maroc des Caporaux-Généraux grabataires algériens et les impulsions expressives aggressives de leurs portes-flingues complêxés vis-à-vis de la diplomatie marocaine. Aussi, on peut le dire sans gêne, la méthode à la façon Ramtane LAAMAMRA ne suit pas le mouvement sociétal algérien, se donnant exclusivement pour tâche de ne laisser le Maroc faire rayonner davantage sa présence dans les instances internationales. Au point que la rapidité de la prise de décision de la rupture des relations diplomatiques avec le voisin de l'Ouest ne représente le fait majeur ni sur le fond ni sur la forme. Au contraire, côté Rabat c'est même un non événement car elles n'étaient au niveau. D'autant que la majorité des algériens n'approuve pas cette décision sachant qu'elle n'est considérée comme un chemin d'accès au développement du pays sans l'aide du Maroc leader en Afrique en la matière. De fait, il n'est même pas troublant qu'une longue période de plus de 46 ans n'ait laissé aucune trace dans la mémoire du régime algérien en faillite dans tous les domaines. Notamment, dans le renseignement et la diplomatie, dans la non cohésion et stabilité du pays, dans les programmes de développement et l'assurance d'une vie d'autosuffisance alimentaire de première necéssité digne d'un pays petrolier et gazier. 

       Voilà pourquoi, l'on peut affirmer, ce régime se la joue comme application politique vengeresque en interne contre les algériens eux-mêmes. Ce que par conséquent les marocains ne tolèrent plus, formant qu'on ne le veuille ou pas, la clef de voûte qui les soutient dans leur lutte d'émancipation et de liberté voire d'autodétermination pour la Kabylie le Mzabe et l'Azawad. Et, dont on se pose la question, est-ce que ce régime sanguinaire saura-t-il se réveiller de cette démence sans repère ni fondement dans les initiatives qu'il prend pour contrecarrer le Maroc ? En tout cas, avec cette Algérie caporalisée quels enseignements peut-on en tirer pour l'Allemagne hautaine l'Espagne crucifiée et la France hypocrîte dans leurs deals avec les faux-chérubins que sont les Caporaux-Généraux ? Certes, ceci ne désigne encore qu'un comportement en phase avec l'attitude hostile des ennemis du Maroc telle l'Allemagne. Lequel, de surcroît, est façonné par les portes-plumes du pouvoir à Ksar Almouradia sur la rivalité dogmatique contre ce qu'ils appellent l'ennemi classique, en l'occurrence le Maroc. Cette rivalité faisant appel à l'irrationnalité de leur part dans les interprétations du déroulé du fil d'actualités sur commande de la DRS. À même jusqu'à prôner dans les rapports secrets l'affrontement direct, sans oublier le symbolisme désuet d'un temps révolu prenant sa signification dans l'histoire des haines infondées de BOUKHARROUBA depuis la guerre des sables 1963. 

       Il est évident que la puissance multipotente, désormais reconnue du Maroc, donne un sens plus pragmatique à ses relations avec l'Algérie. Dont, le message est resté clair et sans ambages à l'occasion du discours royal d'Aid Al AARCH 2021. Mais, avec un régime pareil au voisinage, c'est comme prêcher dans le désert. N'est-ce cela qui a poussé les Caporaux-Généraux algériens dans leur fuite en avant, à se précipiter de se positionner comme allié objectif des lobbies ennemis du Maroc, espagnols français et surtout allemands ? Ne s'agit-il là d'une stratégie fantasmagorique de leur part, subliminalement piègeante montrant le ventre mou de l'UE ? Qu'au demeurant, tout un chacun sait qu'elle est incapable d'être spontannée pour bien digérer la discorde Rabat-Alger sans parti-pris et sans complotisme. Autant le dire avec franchise, cette rupture des relations diplomatiques importe peu, même si, quelques novices en analyse politique la voit bizzarrement une mauvaise nouvelle pour le Maroc. Pourtant, c'est juste considéré par l'ensemble des marocains, un pont pathétique voire humoristique qui n'a rien d'un défi pour contrer le Maroc en essayant de l'isoler. Autrement dit, pour lever les doutes, vouloir l'organisation de digues diplomatiques pour l'isoler dans ses rapports avec la Ligue Arabe et l'UA, est une chimère. D'ailleurs, de ce point de vue, c'est comme si le pouvoir algérien cherche à se crasher en direct, car n'ayant plus les parachutes adéquats pour éviter cela. À bon entendeur, salut !

LE DISCOURS ROYAL DE LA DERNIÈRE CHANCE LÈVERA-T-IL LE DOUTE ET L'ILLUSION DE L'ALGÉRIE ?

LE DISCOURS ROYAL DE AID AL AARCH 2021 MONTRE UNE PERCEPTION DE L'AVENIR QUI POSSÈDE UNE AIRE D'INTUITIONS FORMANT ARRIÈRE-PLAN D'IDÉES DIRECTRICES DE LA CONSCIENCE DES PEUPLES MAROCAIN ET ALGÉRIEN.

       Tout un chacun sait que la diplomatie est l'art de bien construire la confiance entre États, notamment quand il y a la volonté politique derrière. De ce fait, elle se présente comme la projection des raisonnements et propositions pouvant aboutir à des ententes si tout va bien. Telle est l'ossature du raisonnement du discours du Roi Mohamed VI de Aid Al Aarch 2021. Dont, on constate que sa validité sur le volet Algérie ne dépend que du contenu de la réponse officielle de Ksar Almouradia, avec l'espoir qu'elle soit dépouillée de notions creuses. En cela, n'est-ce pas la teneur le ton et la structuralité de ce discours du Roi Mohamed VI mettent le régime algérien dans l'embarras à l'international ? Au vu de l'attitude critique de ses snipers et leurs supports dans la médiagénie primaire anti Maroc, ne pouvant conduire Abdelmajid TEBBOUNE à la raison. En tout cas, si ce dernier reste dans son imitation de n'atteindre qu'une fausse analyse de sa conscience, à même de ne saisir l'essence de l'entente avec le Maroc, l'histoire le jugera sévèrement. Autrement dit, la plénitude de connaîssance du fond de la problématique de 1994 qui est aujourd'hui dépassée, telle que l'a démontré le Roi Mohamed VI, est la seule altérnative comme recherche de solutions constructives. Et ce, au simple regard porté sur les intérfétences des intrus opposant la vérité formelle à celle matérielle dans le cas du couple Maroc-Algérie. 

       C'est vrai, il s'agit d'un thème longuement développé dans les idées directrices des discours du Roi depuis 2008. Au point qu'aujourd'hui, les intérêts les plus hauts à sauvegarder entre Rabat-Alger demmandent le développement d'une relation conduisant à une conception nouvelle fondée sur la bonne intentionalité de part et d'autre. À l'évidence, pour le Maroc, cette prise de conscience rigoureusement réaliste n'est pas nouvelle. D'ailleurs, c'est pour éviter qu'il tombe dans le même piège que l'Agérie qu'il refuse l'hitoricisme débridé comme objet des intuitions, tel que le proposent les Caporaux-Généraux grabataires et séniles algériens. Aussi,  il importe donc de distinguer, face au psychodrame que vit l'Algérie après le discours royal, entre leur vécu intentionnel de ne s'ouvrir à aucune proposition marocaine et celui conscient de se mettre en accord même momentanné avec lui. Parce que, si le Maroc, lui, s'apprête à relever le défi de réouverture des frontières terrestres avec l'Algérie, la France hypocrîte l'Espagne ridicule et l'Allemagne malintentionnée de leur côté se voient déjà confrontés au souverainisme qui monte et qui prend en exemple la résistance du Maroc dans leur plus proche sphère d'influence. Ce qui donne bien au ton du discours royal son impressionnante hauteur de vue d'où, l'on perçoit l'architecture de l'aire de sérénité qui se construit. Formant l'arrière-plan de la conscience des peuples marocain et algérien loin des émotions événementielles. N'est-ce, ce qui interdit absolument tout jugement non argumenté portant sur l'existence spatio-temporelle des intrus dans les affaires de leurs pays repectifs ? Pour atteindre les objectifs fixés par le discours de la dernière chance de l'Algérie d'une façon directe. Comme quoi, elle n'a pas à avoir peur de son voisin de l'Ouest, ni dans l'immédiat ni dans le futur. Ce qui, objectivement, lèvera le doute la peur et l'illusion sur tout ce qu'entreprend le Maroc. À bon entendeur, salut !