lundi 26 décembre 2016

POURQUOI ET COMMENT LE MAROC A GRAND RENFORT DE SES VRAIS AMIS, CONTINUERA-T-IL A S'OFFRIR MÊME AU-DELÀ DE 2017 SES ENNEMIS ?

EN 2017, QUEL DEVENIR AURA LE CLUB DES ENNEMIS DU MAROC A L'ONU L'UE ET L'UA, QUAND ON CONNAIT QU'ILS SONT INCAPABLES DE PRENDRE DU RECUL PAR RAPPORT A LEURS CRITIQUES MAL SAINES EN SE SERVANT DES MANIGANCES DE BAN KI MOON LE CORROMPU N'AYANT JAMAIS VOULU SE FAIRE UNE IDÉE SUR LEURS ATTITUDES MENSONGÈRES ?

       En attendant, pour le Maroc, leurs critiques demeurent irrecevables parce qu'elles sont hors cadrage de l'offre marocaine d'autonomie de 2007 dans la régionalisation avancée. Et ce, d'autant que le pouvoir algérien a tout cassé et même tout gâché, notamment dans sa présentation insupportable de lui-même en tant que soi-disant juge prioritaire dans le Sahara marocain. A même de se prétendre lucide par un particularisme presque rigollot de ses envois de préjugés, non pas au présent et à la réalité sur le terrain mais au passé d'un temps révolu sans désir de préserver ni la paix ni le développement du Maghreb. En effet, pour ce pouvoir ce n'est pas rien de se raconter continuellement des bobards sous forme de rêve bien caché d'avoir sa jetée sur l'Atlantique, et de le percevoir dans les actes de la Mauritanie totalement en aveuglement irresponsable pour le compte du Polisario faisant le lièvre. N'en sachant, que c'est une danse belliciste incomprise vis-à-vis du Maroc, qu'au demeurant, elle n'aura pas de retour positif à l'international car ne rentre pas dans le moule de l'ONU avec Antonio Gutterres aux commandes du Secrétariat Général. Et que ça va les casser tous si une attitude rationnelle n'est pas introduite de leur part, parce qu'autrement c'est ce qui permettra au Maroc d'en sortir encore plus fort et plus déterminé par rapport à cette surchauffe intolérable. Contrairement à l'Algérie dans le déni et le non Droit comme preuve d'inintelligence de sa part, du fait de son habitude de travailler ses malveillances dans l'irresponsabilité sans bornes. N'est-ce là un vrai cauchemar pour elle, car au lieu de faire son autocritique pour reprendre pied dans la vie commune paisible au Maghreb, elle préfère sans raison valable une fois de plus la difficulté et la complexité de son engagement anti Maroc par l'escalade. S'en foutant même qu'elle soit rattrapée par l'enfer de ses liaisons dangereuses avec le terrorisme, de ses dérapages gestionnaires sur le dos du peuple et de ses médisances diplomatiques sans se faire reprocher à elle-même tout ce qu'elle a raté depuis pour vivre si mal aujourd'hui. 

       Néanmoins, n'est-ce donc en ce sens que cette analyse est intéressante, car elle montre comment le Maroc profite aussi à grand renfort de ses amis des critiques mal saines de ses ennemis. Comme ça, avec l'arrivée du nouveau Secrétaire Général, personne ne peut nier qu'il se passe aujourd'hui ce qui se passe en faveur du Maroc dans les couloirs et antichambres des Nations-Unies à propos de la tension visible et perceptible à Guergarate. Lequel, calmement sereinement et professionnellement a montré à qui veut l'entendre, que c'est fini les caravanes et colonnes de 4x4 et Pic-Up qui s'amusaient au-delà du Mur de sable construit par lui dans les années 70-80 du siècle passé en zone de séparation. Voilà pourquoi pour Obama en fin de vie à la maison blanche, Ncosazana Dlamini par effet tunnel vers la déshérence et Ban Ki Moon le corrompu aspiré par le vide autour, espérer annuler ou tout au moins diminuer l'accroissement de la tension à Guergarate, c'est poursuivre les étapes de cantonnement des positionnements en l'état du fait accompli. Chose, au regard de la non crédibilité flagrante de la Minurso, qu'évidemment le Maroc, à raison, ne tolère pas dans le sens souverain du terme. Certifiant ainsi, que même au-delà de 2017, il continuera à s'offrir ses ennemis car convaincu qu'ils sont incapables de prendre du recul par rapport à leurs perfidies et malveillances à son encontre.

      Certes, il ne s'agit pas pour le Maroc de se lancer dans une résignation passive ni de soumission sélective, mais seulement d'une attitude ferme face à ceux qui le contrarient le perturbent et l'agressent sans fondement à l'ONU l'UE et l'UA. Etant donné, qu'il ne veuille plus être tolérant à ses dépens, cherchant exclusivement à garder ses atouts à la fois vis-à-vis des nuisances à redondance de l'Algérie et des gesticulations au demeurant incomprises presque donquichottesques et superflues de la Mauritanie. N'est-ce en cela qu'il en donne un élan de protection à la façon dont bouge sa diplomatie, laquelle, totalement assurée se réduisant à des discours choisis avec expertise pour qu'on la légitime, si par hasard les lobbyings ennemis n'obtempèrent pas dans leurs menaces guerrières à son encontre le poussant à la contre attaque-éclair. D'ailleurs si c'est le cas, pourquoi ne pas en prendre acte rapidement par le Conseil de Sécurité ? Ne peut-on dire que c'est aussi problématique pour le pouvoir algérien, qui est prisonnier d'un désespoir qui le lie à la demande guerrière de sa junte jusqu'à être arrivée à vouloir refaire l'épisode des sables 1963 ? Ce qui confirme qu'elle n'arrive toujours pas à l'oublier, dès lors que ça réveille en elle l'évocation de chemins qu'elle croit encore non exploités de toutes ses rancunes rancœurs et jalousies à cause de ses ambitions pour le leadership dans la région et en Afrique. Qu'effectivement le Maroc voyant plus clair qu'elle, il a pu objectivement la faire sortir du cercle des ''Winners'' à l'UA, en rendant la Mauritanie malheureuse redoutant les coups de forces contre la présidence qui a choisi de s'y empêtrer du coté des vaincus. 

       Au final, face à la détermination de Rabat d'en découdre avec le Polisario à Guergarate, ne pourrait-on conclure qu'il y a angoisse à Alger, peur à Nouakchott et compréhension à l'UA à l'UE et au sein du Conseil de Sécurité de l'ONU? D'ailleurs pour toute la communauté internationale, c'est même le temps d’arrêter le semblant de tournage séquentiel d'étapes de ''Plus belle la vue sur l'Atlantique'' par des polisariens hors la loi, et ce contrairement aux accords du cessez-le-feu de 1991. D'autant plus, ils le font en compagnie de faux reporters-photographes qui les mettent presque en animations partagées sur le Net tout au long de leur périple allant dans le sens d'une déflagration de la bataille du désert qui se joue déjà par presse interposée. Ainsi, à cause de cela et pas seulement, sûrement, les bruits de bottes coté marocain réduiraient leur fanfaronnade et les feraient réfléchir plus sur le risque guerrier éclair sans merci auquel ils s'exposent. Parce que, plus le volume de ces bruits montera, plus sa perception devienne moins mélodieuse et donc dangereuse, au vu du vrombissement des réacteurs en l'air et de la mécanique des moteurs au sol et des sonars en mer. Mais, n'en pensez-pas pour autant que le Maroc n'essaye d'accorder sa diplomatie à cette situation détonante, selon des axes prioritaires pour éviter le pire. Même si le pouvoir algérien s'en sert à logorrhées mélomanes pour l'attaquer, croyant qu'il n'irait jamais jusqu'à infliger des réponses appropriées pour chacune des évolutions sur le terrain. A bon suiveur, bon décryptage !

samedi 24 décembre 2016

LA FORMATION DU GOUVERNEMENT BENKIRANE III, N'EST-ELLE ENTRE CHEMINEMENT VERS LA SURVIVANCE PAR DES SOINS PALLIATIFS ET TENDANCE DÉFINITIVE A FAIRE PSITT ?

AU-DELÀ DE L’ABSURDITÉ DES RAISONNEMENTS DÉCONCERTANTS DES ZÉLÉS DE SON PARTI LE PJD, BENKIRANE PARVIENDRAIT-IL DE SURVIVRE A LA TÊTE DU FUTUR GOUVERNEMENT  APRES LA SOMMATION ROYALE ?

       Maintenant c'est presque acté, ou bien il y aura un gouvernement stable Benkirane III très prochainement, sinon autant le dire avec clarté qu'il s'en aille ? Donc, lui, pour rattraper cela en tant que chef de gouvernement désigné, il ne doit plus obéir aux auteurs du blocage mais être réaliste après 80 jours d'une psychorigidité et d'insouciance presque fanatique. Afin, primo, de créer une dynamique référencée à l'esprit du discours de Dakar avec l'aide des conseillers royaux Abdellatif Mennouni et Omar Kabbaj chacun selon son rayon de prédilection et d'action, d'où s'inventera certainement une morale politique sans arrières pensées pour faire face aux grands défis économiques écologiques géopolitiques et sécuritaires du temps présent. Et, secundo donc, d'échapper à l’aliénation du dogme groupusculaire partisan non bien accompli, l'ayant séparé de la réalité pour s'interroger sur le sens de ses tergiversations ses glissades médiatiques et son retard à s’y acquitter de cette tâche de façon normale. N'est-ce par cette option qu'il puisse parvenir à donner une nouvelle raison aux marocains de continuer de s'intéresser davantage à la politique, s'il veut survivre lui-même au poids de l'absurdité d'avoir voulu leur imposer des choix déconcertants avec des partis qu'ils avaient durement sanctionnés ? 

      Aussi, sa reconduction à la chefferie n'a-t-elle fait basculer ses supporteurs dans le surmoi axé sur la puissance électorale, qu'effectivement a largement contribué à l'incompréhension bousculant l'arbre qui cache la foret parce qu'il n'a pu former à temps un gouvernement par suite des résultats après les législatives du 07 Octobre 2016 ? Dont, les marocains viennent de réaliser que la facilitation de sa tache ne pouvait se déclencher sans qu'il ne s'éloigne de sa méthode suivie pour le former, et d'où son impuissance à la surprise générale n'est autre qu'une illusion comme échappatoire de son engagement au service de la réponse binaire avec Chabat. Plus machiavélique que ça, connait pas ! Cependant, pour comprendre ce qui se passe du coté du PJD avec Benkirane, lesquels des partis politiques sont les plus utiles pour le Maroc d'Aujourd'hui ? Est-ce que ce sont le PPS et PI qui ne lui font plus le moindre reproche, ou le RNI-UC MP et USFP qui ne ratent aucune occasion de lui rappeler ses quatre vérités ? D'autant plus les premiers en lui renvoyant une image flatteuse de lui-même jusqu'à entretenir ses défauts et ses mauvaises habitudes, ils continuent à les renforcer au détriment de la volonté des marocains. Alors que les seconds, que lui, les considère, sans ambages comme ses contradicteurs irréversibles mais avec reconnaissance de leur compétence et maîtrise des dossiers, ils le mettent en face de ses travers tout en stimulant sa curiosité d'accepter leurs critiques. Tellement, l'on peut dire actuellement, ainsi il s'éveille de ses contradictions de jugement dans sa conviction de rester aux commandes quel qu'il soit le prix à payer. Voilà pourquoi pour lui, il n'y a pas de mystères insolubles dont il ira jusqu'à les dissoudre dans ses dissonances emphatiques troublantes.

       A ce titre, le PI et le PPS, partis incontestés du nombrilisme politique qui se sentaient investis de prendre les autres partis d'en haut après la victoire du PJD, n'ont-ils compris qu'ils sont cernés voire poussés à la corde de par leur pacte d'existence opportuniste ensemble avec lui ? Et ce, pour prendre les commandes dans une projection d'un Exécutif non régi par un idéal à consonance de l'Etat-Maroc fort, mais seulement par l'absurdité de leur autosatisfaction en s'agrippant à l'influence de la pensée bourgeoise pour les uns et à la dérive professorale pour les autres. Ce qu'au demeurant, ne les a pas exempt de l'angoisse devant le blocage établi que personne ne peut nier, allant jusqu'à attiser les insultes via la mobilisation de leurs inconditionnels à même de déclarer la guerre au RNI-UC MP et USFP, qui, eux ont remis totalement en question leur participation à ce gouvernement sauf si, Benkirane abandonne définitivement ce monde de piques-refuge. Dans lequel, par ailleurs, il s'était enfermé par l'annonce de ''Jamais sans le PI'' cherchant à lui donner une une nouvelle vie, oubliant il l'a personnellement tant malmené durant la législature précédente.

       Mais pourquoi Benkirane cherche-t-il à aller plus loin dans son bras de fer avec Lachgar Akhnouche et Laanser, à même de vouloir imposer le PI pour le sortir du désespoir dont il se trouve, n'ayant plus la capacité d'autrefois de comprendre la ''Réal-Politic'' ? Car, du fait de la posture oscillatoire du chef, ce parti a du mal à se faire entendre sur le récit de son existence dans le champ politique marocain pour plus de soixante-dix ans, tellement ne sachant choisir autre chose par les besoins imaginaires des nouveaux arrivants filipendules au directoire décisionnel. A cet effet, ne peut-on penser qu'ils se définissent de par leur vie assez courte au PI, de leurs actes puériles se voulant la nouvelle conscience, malheureusement, n'usant que d’opprobres d'insultes et de diversions soufflées par gorge profonde ? Croyant ainsi se réinventer tous les jours un marquage des lignes de démarcation par rapport à l'indifférence subitement éclairée que leur prépare Benkirane via sa propre disposition de transformation envers eux. C'est même dommage qu'un parti, tel le PI, puisse en arriver à se mettre presque à genou devant quelqu'un qui refait l'itinéraire de la pensée Abou Taymima, résultat de chaos de guerre civile entachée de meurtres et assassinats lâches et inhumains sous des cieux non lointains. Néanmoins, n'est-ce toute la légitimité de l'action politique qui est posée, d'un coté pour un Exécutif responsable qui s'occupe de gouvernance par l'idéal de la marche démocratique du pays, et, de l'autre, par les contres-pouvoir sans se préoccuper des bons sentiments via théâtralité des gestes politiques pas seulement entre partis ? A bon suiveur, bon décryptage ! 

dimanche 18 décembre 2016

POURQUOI A L'ONU DÉSORMAIS LES NON-DITS ET NON-ENTENDUS A PROPOS DU RETOUR DU MAROC A L'UA NE SONT-ILS PLUS UNE FATALITÉ ?

QU'EN NE LE VEUILLE OU PAS, POUR L'UE LA RUSSIE LES USA LA CHINE ET L'UA DÉSORMAIS LEUR PROJECTION FUTURE, C'EST NE PLUS JAMAIS ETRE DANS LE PRÉJUDICE NI LE DÉNI DE LEUR CONFUSION D'ANTAN VIS-A-VIS DU MAROC UNIQUE ET UNITAIRE ACTUELLEMENT EN ROUTE POUR L'UA.

       D'ores et déjà l'on peut dire, beaucoup d'événements avec la Russie l'Allemagne la Chine l'Inde la Turquie le Brésil et les USA sont prévus par le Maroc en 2017. C'est ainsi, selon les observatoires dignes de foi, il se tient prêt à encore donner une ligne plus recadrée comme opération fatale pour en finir avec les fourberies de l'Algérie qui se trouve piégée dans le boudoir mauritanien à Guergarate. Bref, n'est-ce là une optimisation de sa part de toutes ses relances diplomatiques avec minutie stratégique multidirectionnelle tenable et rentable, à l'opposé des tentatives mono-colores de l’extrême algériennes et sociétales in-sécuritaires ici et là sur la région MENA-Sahel subsaharienne africaine ? Sachant qu'aujourd'hui entre le Maroc et l'Algérie la lutte sur le leadership politique en Afrique est un pugilat d'influence et de maîtrise de la notion de la temporalité d'appartenance à la communauté des pays utiles et non à ceux en faillite. Dès lors qu'à propos de son retour à l'UA à addis-Abeba, le semblant des non-dits par l'Algérie au sens où même les non-entendus par l'ONU ne sont plus considérés une fatalité d'incompréhension du différend Maroc-Algérie. Pourtant, pendant longtemps à l'UA leurs conséquences diplomatiques émotionnelles d'un temps révolu étaient dans l'énormité, car s'opposant à la vraie mesure-priorité du Maroc par peur qu'il la fasse sortir de cette léthargie conditionnée par les agitateurs au sein de la Commission dirigée par l'Ex Madame Zouma. 

   Néanmoins, cette lutte n'est-elle aussi un véritable enjeu géopolitique pour marquer outre une mise au point sur l'état avancé de la ligne diplomatique offensive tracée par le Maroc, le fait aussi qu'il puisse susciter espoir de réalisation des gestions intégrées sans confusion sur les priorités ? D'abord, de couverture adéquate sans conteste en relation avec les montages financiers pour faciliter la constance collaborative économique en qualité des prestations et partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, à l'exemple du gazoduc Nigéria-Maroc qui représente le chantier d'envergure dont l'incidence augmentera la capacité énergétique de pas moins de 13 pays. Puis, d'efforts déployés par lui sur le plan sécuritaire-cultuel sur bon nombre de critères d'évolution du système d'établissement de sérénité spirituelle de surcroît tributaire de l'instauration des liens de la majorité des pays au sein de la future projection de l'UA. Avec tout ce que cela entraîne comme répercussions sur les comportements de quelques pays inféodés à l'Algérie, laquelle par ailleurs, depuis la guerre des sables 1963 s'opposait à la place du Maroc dans le concert mondial notamment aux non alignés. Evidemment, n'est-ce en cela que les pirates informationnels à sa solde sur le Net n'ont eu de cesse de prendre des tannées successives de la part des marocains, du fait qu'ils n'arrivent à intégrer que c'est fini les manœuvres algériennes en OFF car l'équilibre des défenses de fer n'est plus ? C'est même plus compliqué que cela pour l'Algérie en déconfiture, étant donné tous les jours par des moments d'égarements successifs intensifs elle gesticule à l'aveugle pour reprendre la main en Afrique, face à un Maroc qui évolue se développe et améliore son approche pour maintenir sa renommée reconnue à l'international.


       A cet égard, à l'heure où l'aura du Roi du Maroc enregistre une augmentation de l’intérêt géostratégique des grands du monde à son endroit et de ses rapports avec l'Afrique pour permettre au co-développement durable d’être une réalité, la machine propagandiste algérienne quant à elle est enrayée. En cela, rien d'étonnant à ce que cette démarche royale soit l'une des expressions de la prise en tenaille du pouvoir algérien, pour l'obliger à sortir de ses transactions malveillantes avec la Mauritanie. Parce que cette dernière, à même qu'elle puisse penser pouvoir sortir de la risée au Maghreb elle ne peut s'échapper 
de la sorte de son croupissement pour se tourner vers la fabrication d'une nouvelle façade politique, alors qu'elle est dans le profilage des terroristes et des grands barons du trafic du crime et du gangstérisme à l’échelle planétaire. C'est donc, pour cela le Maroc en cultivant son originalité comme éditeur de nouvelles actions solidaires, qu'il a exercé presque une forme d'éloquence pour démontrer le ridicule des lignes de démarcation que cherchent à lui imposer les pouvoirs algérien et mauritanien selon le tempo de leur stratégie conspirationniste. D'ailleurs, parallèlement à toutes les performances prometteuses marocaines, pourquoi l'Algérie n'admet-elle pas qu'elle est de fait dans la gestion des déchets temporels de la régularisation dignement réalisée par le Maroc des migrants se trouvant chez-lui ? D'autant plus, en ce qui la concerne, elle n'a pu préserver un champ de mures attitudes politiques et humaines vis-à-vis des migrants subsahariens africains, dont on voit l'aboutissement à sa condamnation partout dans le monde. Ce qui montre sans le moindre doute, sa trace référentielle pour ne pas dire préférentielle à l’apartheid même en usant de ses lignes maîtresses d'antan, désormais douteuses avec la commission africaine sous Ncosazana Dlamini n'ayant pas pipé mot et l'ANC de Zouma apparemment n'est plus antiségrégationniste.

     Aussi, peu importe les contradictions de l'Algérie, seule compte la vérité dont elle trouve sa cause dans l'impuissance à faire entendre sa voix auprès du Conseil de Sécurité de l'ONU du CCG de la Russie de l'Allemagne des USA de l'UE et l'UA. Contrairement au Maroc ne cessant de s'élever dans le parchemin grandiose des ses devoirs solidaires optimistes envers l'Afrique et pas seulement, sans angoisse sur sa traçabilité géopolitique en cadence soutenue par rapport au déclassement façon fête des chimères de l'Algérie dont aussi la Mauritanie donne l'image. N'est-ce là où le nouveau Secrétaire Général de l'ONU verra sans conteste dans l'affaire du Sahara marocain que la diplomatie marocaine est devenue un des fleurons onusiens, s'appuyant sur les plateformes de fabrication du Droit rigoureusement établi aux normes internationales ? Et ce, sans retournement de positionnements, mais seulement en permettant d'offrir tous les arguments de la marocanité de son Sahara dans la régularité  historique et la continuité des liens. Et c'est là où il faut pour le futur gouvernement faire attention de ne pas tomber dans l'apparence de la HRP (High Résistance Politique) sans aucun résultat probant, alors qu'il est devant la volonté et l'esprit du discours de Dakar. Autrement dit, comprendra qui voudra, il faut continuer à travailler dans le creusage du sillon marocain africain avec subtilité, sans modification de l’authentification des vraies forces de la ''Hiba'' de l'Etat-Maroc unique et unitaire. Dont tout un chacun peut en voir qu'il avance avec une rapidité vertigineuse mais assurée dans tous les domaines, même si Ramtane Laamamra à Oran comme à l'accoutumée n'a pas fait dans la dentelle, poussant ses portes flingues médiatiques à attaquer le Maroc jusqu'à lui reprocher sa Constitution du 01 Juillet 2011, comme quoi le ridicule ne tue pas. A bon entendeur, salut !  

mardi 13 décembre 2016

LE MAROC AVEC OU SANS REX TILLERSON AU DEA, NE SERA PLUS JAMAIS SEUL FACE AUX COUPS VRAIMENT BAS DE L’ALGÉRIE ET L'AFRIQUE DU SUD !

AVEC LE DÉPART DE NCOSAZANA DLAMINI DE L'UA (UNION AFRICAINE), L’ARRIVÉE D'ANTONIO GUTTERES A LA TÊTE DE L'ONU ET DU PATRON D'EXXON MOBIL REX TILLERSON AU FOREIGN OFFICE AMÉRICAIN, BAN KI MOON ET JOHN KERRY DORMIRONT-ILS ENCORE SUR LEURS LAURIERS ?

       Triste constat que celui fait par le nouveau Secrétaire Général de l'ONU de la période de Ban Ki Moon qui, malheureusement, n'a pas fait grand chose excepté les accords de la COP 21 de Paris. Lesquels furent boostés d'abord par la volonté du Maroc de prendre le problème à bras le corps à la COP 22 à Marrakech, puis par l'implication des superviseurs même si leurs avis différent selon l'angle de vision surtout des USA avec Trump et pays africains. Aussi, d'ores et déjà l'on peut dire que le 01 Janvier 2017 à l'ONU sera une occasion pour Antonio Gutteres de la faire revenir vers les vraies préoccupations gouvernementales avec plus de garanties dans leur évolution et exécution. Sans risque d'interventionnisme bête et méchant du DEA comme sous John Kerry, vu la nomination par Donald Trump qui n'en veut pas de ça d'un ingénieur de formation businessman magnat du pétrole-gaz Rex Tillerson proche de la Russie de Poutine le stratège froid. Et donc, forcement, le Maroc n'aura plus besoin de rappeler au monde le système de soutien partial et de solidarité non neutre qu'avait Ban Ki Moon en tant que Secrétaire Général de l'ONU et son envoyé spécial Christopher Ross à l'égard de l'Algérie incorrigible. Qu'en effet, elle s'agite trop voulant peser sur le destin géopolitique par les menaces et provocation du désordre à la façon obamaéenne dans toute la région MENA-Sahel-subsaharienne africaine. 

      Vraiment, ceci montre que l'Etat algérien n'est pas capable de prendre les indicateurs de sa bérézina en ligne de compte, portant avec orgueil outrancier ses rêves soutenus par Ban Ki Moon d'avoir sa jetée sur l'Atlantique comme réalité. Et qui plus est, aujourd'hui face à un Maroc plus puissant et plus déterminé, il va avoir à se ressaisir primo de sa tentative d'instaurer les points de contrôles douaniers par l'aval de la Mauritanie et la désinvolture de la Minurso en zone de séparation surtout à Guergarate. Et, secundo face au tollé provoqué de ne pas continuer à se faire pousser dans la psychologie de l’éveil des enfers de l’apartheid dont il est spécialiste, reconnaissant de fait son profilage individualiste. Car ne veut se réaliser de manière solidaire avec l'Afrique, à l'opposé du Maroc qui est entré dans la deuxième phase de régularisation des migrants se trouvant sur son sol avec bien sûr des conditions objectives. En plus, et c'est là où c'est même inadmissible, ce pouvoir militariste a encore usé pas seulement de manœuvres-rafles rappelant ce qu'il a fait subir aux marocains d'Algérie un jour d'Aid El Kebir après la Massira du 06 Novembre 1975, mais réitérant l'action-surprise honteuse de déportation des migrants africains dans des conditions inhumaines vers les pays du Sahel-subsahariens. Ne s'en inquiétant même pas qu'il ne grandisse aux yeux du monde ou de n’être relié par la multiplication des besoins de solidarité aux pays africains pour une marche commune vers l'accomplissement des soutiens réciproques à la marocaine. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on voit, de fait, que ça a représenté en subliminal la grande tranche du discours d'Antonio Gutteres du 12 Décembre 2016 après sa prestation de serment, dont il a montré qu'il y eut sous son prédécesseur une baisse continue de la vigilance onusienne par rapport à des comportements intolérables ? Pire encore, beaucoup de celles mises en chantiers paraissent plus inquiétantes à l'analyse de leur projection dans ce monde devenu fou à tendance à l'éclatement et au dépassement des grandes idées porteuses et prometteuses de stabilité. A cet égard, n'en pourrait-on confirmer, c'est l'incompétence de Ban Ki Moon qui est mise en cause, étant sournois jusqu'à se montrer impavide pour faire traîner les choses et donc les règles de la bonne maîtrise des dossiers au vu de l'ampleur des dégâts provoqués de par ses ratages.

       Il est clair maintenant, il y a l'insatisfaction d'un coté des pays permanents du Conseil de Sécurité sauf les USA sous Obama et de l'autre la majorité des pays des Nations Unies sur le manque de réactivité analytique de Ban Ki Moon sur l'urgence et priorité des situations dont la réalité dépassent parfois la fiction. C'est même incroyable qu'il n'ait pu user de facteurs de l'innovation politique interne au sein de l'ONU après tant d’échecs de sa productivité de peine pour beaucoup de pays, et par conséquent procéder à des changements appréciables avant de tirer sa révérence. D'autant plus, parallèlement, à l'UA l'image d'un Secrétariat de la Commission africaine performant bien au fait des problèmes n'était pas au rendez-vous, elle est même restée plate dans tous les domaines malgré les slogans distillés ici et là pour la faire luire par des gens de la trempe de Mogabee Shissano et Laamamra. Au point qu'ils apparaissent aujourd'hui aux yeux des spécialistes, les soutiens candides de la candidate des USA qui est presque hors nouveau temps marocain africain, ne pouvant ni l'intégrer ni le ramener à elle même de manière informelle. Alors que l'UA a des obligations pour concentrer ses forces sur les chemins des pays vulnérables, afin de leur éviter les folies mobiles des services du mal et de la maltraitance des consciences usant de l'impatience des groupuscules terroristes manipulés par l'armée algérienne. Mais une question cruciale reste à élucider, pourquoi cette incompétence de Madame Dlamini la sortante ne fut pas prise en considération pour ne la laisser interférer pour favoriser l'élection de la ministre des affaires étrangères du Kenya ? A propos de laquelle, par ailleurs, des débats sont certes ouverts sur le rôle d'Obama ayant influencé son accession à ce magistère ministériel pour aider à la mise au point de la stratégie de division voire mortifère partout. Sauf que, ce n'est pas sûr qu'elle puisse dépasser les contraintes des nouvelles données géopolitiques qu'apporte le Maroc, notamment sur les opportunités des enjeux économiques et géostratégiques sécuritaires en Afrique et ailleurs.  

       Ces récits facilement vérifiables par des recoupements notamment dans le monde arabo-musulmans et en Afrique, étant montés pendant l'application d'acrobatie politique sous la fausse couverture de promouvoir et préserver les droits humains. Une désillusion venant d'un pays qui a théorisé le "Patriot'Act" surréaliste sans la moindre hésitation, en plus de la mise sur pied par manque de tempérament réfléchi du système judiciaire Guantanamo. Lequel chargé d'instruire hors la loi à visage presque caché et sur des directives saugrenues, toutes les affaires ayant attrait à la sécurité sans procédure accélérée de respect des droits de la défense ni dénonciation de l'arbitraire en la matière. Encore heureux, concernant le Maroc, qu'une démarche royale anticipative sans complaisance ni fermeture des yeux eut été initiée sous forme de nouvelle façon de s'occuper des doléances du peuple même durant le temps de la soufflerie arabo-amazighe. Ce qui lui a permis de n'ignorer ni le rythme violent de l'évolution de ce soi-disant printemps sous d'autres cieux non lointains, ni les indications socio-économiques et politiques ayant servi de base à l'élaboration de la constitution du 01 Juillet 2011. Contrairement à l'Algérie en pleine tourmente des risques de dérapages institutionnels par les mesures ne pouvant l'aider à prévenir l'apparition de perte de sa cohésion sociétale ou l'aggravation des incapacités fonctionnelles à Ksar Lamradia à Alger. A bon entendeur, salut ! 

samedi 10 décembre 2016

C'EST QUOI CES DÉTERMINANTS GÉODÉSIQUES DE LA MINURSO POUR LE MONTAGE EN ZONE DE SÉPARATION DE RUBAN- POSTES FRONTIÈRES NOTAMMENT A GUERGARATE EN FAVEUR DU POLISARIO ?

FACE A CETTE SITUATION, IL N'EST JAMAIS TROP TARD DE PASSER A L'URGENCE ET PRIORITÉ DE L’ARRÊT DE CES JÉRÉMIADES ANTI MAROC USANT DE DÉTERMINANTS DE L’APOCALYPSE VERS DE PIRES ÉVENTUELS AFFRONTEMENTS-COMBATS.

    Le Maroc voit rouge face à la contribution donquichottesque de la Minurso avec la bénédiction de la Mauritanie poursuivant l'objectif d'imposer une frontière sous la direction du Polisario à Guergarate. De surcroît, allant dans le sens de la réactivation du climat de guerre avec elle et l'Algérie au compte du Polisario. Car croyant impossible que le Maroc ne s'en lasserait de rappeler au Conseil de Sécurité de l'ONU qu'il n'y a aucun risque de représailles de sa part pour neutraliser cet état de fait. Une mise en scène invraisemblable, classée presque secret-défense de vouloir détruire la volonté du Maroc en termes fictionnels d'animation hors champ de sa détermination. Et ce, par l'oubli ou négligence de ce que pourrait vraiment être la vague de ses ripostes sans faiblesse ni hésitation s'il advient à passer à la contre attaque. Les voilà donc bien avertis, pour dépasser leur mauvais partage pour piratage de l’intégrité territoriale du Maroc veillant à ce que son tracé africain ne subisse la moindre dérivation ! Assez donc, de cette ingénierie des coups bas de l'Algérie au pilori voulant se projeter sur l'Atlantique par son immaturité alors que l'étau se resserre sur elle de tous les cotés, ne sachant qu'elle prend son rêve facilement réalisable car brisée voire déchiquetée entre émoi sociétal interne grondant et effroi terroriste transhument menaçant. S'ajoutant aux postures non bien calculées, primo de la Minurso en mauvaise image sous les feux et critiques acerbes inhabituels aux Nations-Unies, secundo du Polisario aux abois durement vilipendé au sein de l'UA et tertio de la Mauritanie marginalisée mais continue d’être dans le déni des risques de représailles marocaines qu'heureusement elles existent pouvant survenir à tout instant. 

       Et pourtant toutes les deux Algérie et Mauritanie, savent évidemment que le Maroc ne peut passer pour otage abrité sous les conditions des pauses non objectives de la Minurso dans la zone de séparation notamment à Guergarate. Et dont le nouveau Général chinois désignés par Ban Ki Moon en remplacement du pakistanais dans le temps mort de sa fonction, se doit de faire attention si ce n'est carrément s'engager sans mollesse ni relâche ni triche à contrecarrer ces déterminants labyrinthiques du travail de ses missionnaires militaires et civils vers un largage préprogrammé du Maroc. Au sens où il va le savoir rapidement, que le Maroc ne laissera sous aucune condition le Polisario parader dans cette zone, et donc fera ce qu'il faudra pour que le nouveau Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutterres prenne ses responsabilités en exigeant qu'il soit tenu au courant à propos des infractions répétées contre les souverainetés marocaines notifiées dans le cessez-le-feu de 1991. N'est-ce pour cela, son interprétation de ce cessez-le-feu est attendue, en particulier pour ne laisser ni la Minurso et encore moins l'Algérie mettre le Maroc et la communauté internationale devant le fait accompli ? Du fait de leur encouragement tacite de banalisation de la mise sur place de postes frontières par le Polisario en circulation étonnement libre avec autorisation de réservation par la Mauritanie. 

     Aussi, quand on scrute les résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU depuis l'offre d'autonomie 2007 du Maroc même par la différence des timings et des conjonctures concernant le Sahara marocain, on comprend mieux maintenant pourquoi il n'y eut que des échanges de votes seulement de contribution à l'apaisement. En plus, la recherche de cet équilibre encore sans l'usage de veto, n'a fait que développer les malveillances turpitudes et perfidies des USA d'Obama et ses manutentionnaires, visant à étendre les prérogatives de la Minurso pour l'observation de l'amélioration et la qualité du respect des droits de l'homme. Voire même des tentatives de division du pays par des actes inadmissibles et illégaux de Christopher Ross, au travers desquels une fallacieuse élaboration de rapports injustes et partiaux ont vu le jour pour essayer de contraindre le Maroc à ne rejeter les remarques et dires largement répandus au Secrétariat Général sous Ban Ki Moon. Alors même que la réalité interpelle à propos du concept essentiel de ce qu’entreprend le Maroc dans la région et aujourd'hui en Afrique, en invitant à la réflexion par la volonté d'effort juste par l'économie et équitable par le cultuel d'encadrement contrôlé face à toutes les radicalisations. En somme, celui de la sécurité-vigilance culturelle écologique cultuelle accompagnée de l'approche globale sur le co-développement en matière d'économie participative et technologique solidaire. Ce qui renverse la charge de la preuve comme quoi les MAM---P (Minurso l'Algérie la Mauritanie et le Polisario), ne respectent le désir des habitants des trois régions Dakhla-Laayoune-Guelmim de vivre en paix et continuer leur accompagnement des changements infra structurels irréversibles colossaux qu'ils vivent. Tellement, l'on peut dire qu'ils disposent exclusivement de canaux d'interconnexion saugrenue en termes de déformation de la réalité sur le terrain, dans le but de saper la stratégie de développement de nouveaux partenariats via le gazoduc Nigéria-Maroc de production de l'Energie pour tous les pays limitrophes.  

       Néanmoins, ne peut-on affirmer une fois pour toute que le Maroc par désir de protection de ses initiatives visionnaires, est devenu un acteur incontournable occupant une place privilégiée par rapport à tous les changements qui s’opèrent actuellement en Afrique ? Car d'ores et déjà prenant en considération géo politiquement parlant, l’intérêt commun avec tous les pays qui le désirent, alors que l'Algérie, elle, use de méthodologie pas claire de jouer collectif avec en plus des conditions sur beaucoup de segments sans assurance de succès. Tout simplement, du fait qu'elle n'a pas le statut de membre de l'OMC et aussi au vu que son économie récurrente ne remplit que les contre feux de ses planifications tous azimuts avec interférence de l'Etat. D'ailleurs, le fiasco du Forum de l'Entreprise en Afrique du 02-05 Décembre 2016 à Alger en dit long sur ses capacités de se mettre au temps d'investissement marocain, et aussi corrobore cette description de son handicap structurel ne pouvant rentrer dans le moule que propose le Maroc via partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal. A cet effet, tout le monde sait que le leadership politique mondial se joue entre les USA la Chine et la Russie, alors que celui à l’échelle européenne il est de fait Allemand et celui sud-américain est sans conteste Brésilien. Par contre pour l'Afrique il se dessine Marocain qu'on ne le veuille ou pas, au vu de ses orientations géopolitiques finalisées par l’économie et géostratégiques productives du bon sens par la sécurité de lutte antiterroriste. N'est-ce pour cela la Minurso concernant le Maroc, doit-elle savoir que pour les CCP (Centres de Conjonctures et de Perspectives) dont les concrétisations analytiques sont proactives d'évaluations sur les gouvernances, pas question pour lui de se laisser berner par l'Algérie qui n'a pas comblée son déficit de ses déterminants géopolitiques pour pouvoir continuer à le narguer sur ses souverainetés et aussi son retour en force au sein de l'UA (Union Africaine) ? A bon lecteur, bon décryptage !

mardi 6 décembre 2016

L'AFRIQUE DU SUD SAIT-ELLE QU'AVEC LE MAROC A L'UA, IL N'Y AURA NI PÉRIL NI DORMANCE MAIS SEULEMENT RELANCE ASSURANCE ET PRÉSENCE ?

NUL DOUTE, APRES ABUJA PRETORIA SUCCOMBERA ELLE AUSSI AU TRACÉ STRATÉGIQUE ECONOMIQUE ET GÉOPOLITIQUE SÉCURITAIRE DU MAROC EN AFRIQUE, CAR DÉJÀ LE TROUVANT EN ADÉQUATION AVEC LE RÊVE DE NELSON MANDELA ?

       Lorsque le Nigéria a introduit son expérience dans la grille de la nouvelle géostratégie préconisée par le Maroc, il a fait un pas de géant dans la reconnaissance du leadership du maître d'oeuvre. Tellement on en parle ici et là, que l'Afrique du Sud y a succombé elle aussi pour combler un manque à gagner, de se mettre du coté Maroc dans ce nouveau monde qui se construit jour après jour. Et donc, parer à son déficit de n’être au diapason du témoignage de Mandela à son vis-à-vis, ce qui confirme enfin que Pretoria ne fait plus preuve de naïveté car commence à entamer sa sortie des débats contradictoires sur les orientations et les solutions à propos du Sahara marocain. En s'activant réveillant et révélant une part d'elle qui demeurait longtemps enfouie et abandonnée dans le creuset de l'idéologie d'un temps révolu. En quelque sorte, rien  à voir avec les positions encore titubantes des officiels à Lusaka et Nairobi, dont on en espère qu'ils changeront leur grille de lecture pour avancer vers une voie de convergence très forte avec le Maroc. Et, donc ne plus réagir comme des néophytes ne sachant comment faire pour se mettre en adéquation du temps marocain présent, qu'effectivement il symbolise la lumière et le souvenir de la création de l'OUA. 

       Néanmoins, d'ores et déjà l'on peut dire qu'il y a des signaux comme quoi la force d'attraction de Rabat marque le début d'un lancement coopératif sectoriel multidimensionnel avec toutes les capitales de l'Afrique australe et aussi orientale. Seulement, l'effort doit être dans l'exigence du marché du respect de l'engagement avec sérieux, lequel, sûrement réorganisera avec le temps leurs affinités politiques sur l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée. En s'aidant mutuellement des futurs partenariats stratégiques en réponse aux retards relationnels diplomatiques enregistrés jusqu'alors en la matière, et ce loin des positionnements de maquillage. Parce que pour le Maroc désormais occupant la partie centrale du spectre des influences par l'action et non la parlotte, il est obsolète de ne désirer de continuer de croiser les quelques pays africains récalcitrants à sa thèse dans les Sommets, bien sûr sans la présence de la RASD qui est non reconnue à l'ONU. Même sachant qu'ils le honnissent, mais sont obligés d'aller avec lui pour ne pas mettre en péril leur existence future au vu de sa place géopolitique et stratégique sur l'échiquier mondial. A cet égard, n'est-ce pas le pire danger pour l'UA, c'est de ne savoir que l'histoire s'écrit devant elle ? Notamment, si les cinq sous-régions (Nord-Centre-Ouest-Est-Sud) sont séparées les unes des autres par le marché électoral pour la chefferie de la commission à la place de la sud-africaine Ex Madame Zouma. De fait, les ambassadeurs du Maroc surtout à Pretoria Nairobi et Lusaka savent à quoi s'en tenir sans psychorigidité ni désinvolture, pour accompagner le made in Morrocco hautement performant de la cooptation-coopération qui s'installe lentement mais sûrement à tous les niveaux.  

       C'est maintenant établi, qu'en Afrique l'axe Pretoria-Abuja-Alger ne fait plus sensation, et seul l'attraction d'axassions multiples en perpétuel mouvement de Rabat rassemble. De surcroît, faisant ''aimant'' au vrai sens du terme tout autour, ce qui laisse l'Algérie et son avorton Polisario dans la bande de touche sur le circuit africain et partout dans le monde. A tel point qu'aujourd'hui ils se sentent égarés ne sachant pas ce qui leur arrive, parce que voyant les différents types de liens qu'a le Maroc avec tous les pays africains comme l'existence de nouvelles opportunités de remplir un espace qui était en jachère où carrément à l’affût. D'ailleurs, du fait marquant de cette nouvelle approche dynamisante, il convient de différencier l'attirance du Maroc par sa gouvernance temporellement structurée et sa bonne maîtrise des dossiers à propos des partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal, contrairement à celle de l'Algérie envahie du surmoi sous l'emprise des pulsions inconscientes des forces ténébreuses militaristes. Aussi, le Maroc dans ses évaluations relationnelles géostratégiques, n'est-il mené par la priorité de son essence diplomatique mûrement réfléchie, en l'occurrence celle du principe de la constance acquise sans tremblement ni hésitation ? Afin d'éviter les soubresauts fortuits comme ce qu'a provoqué Benkirane avec la Russie, ouvrant ainsi le chemin d'une délicate remontrance à son encontre car ayant montré son engouement complice à ses frères d'ailleurs. Et, auxquels il reste fidèle de fait, indiquant et dessinant sa faiblesse flagrante d’interprétation des données sur les relations positives internationales du Maroc.

    Aujourd'hui, ne pourrait-on dire l'Etat-Maroc se trouve dans le schéma du pragmatisme contribuant à sa respectabilité sans tuer la politique, sachant à qui confier ses doutes et avec qui partager ses initiatives en diplomatie ? Bien évidement à hauteur de l'évitement de l'intolérable source des malentendus, voire même de s'en protéger de la création des excitations imprudentes où se situe la passion déraisonnable. A ce propos, autant le réitérer sans ambages, pour l'Algérie contrairement à l'Afrique du Sud, le trouble est surtout dans l'effet de surprise et dans l'intensité de la conception et aussi la méthodologie de la préparation des associations et partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal avec tous les pays africains. A l'exemple du projet grandiose du gazoduc reliant Nigéria au Maroc, en passant par pas moins de treize pays montrant la projection future de la grandeur de l'UA par cette image de cohésion idéale entre ces pays. N'est-ce ainsi la prise de conscience du Kenya et Zambie même avec leur positionnement oscillatoire à propos du Sahara marocain, de ce qu'est entrain de faire le Maroc partout en Afrique, sera d'autant plus difficile pour le pouvoir algérien, si il vient à s'imaginer que ce qui lui advient n'est que la faute d'un Roi entreprenant pour son pays et visionnaire pour l'Afrique ? Non, ce pouvoir militariste est lui-même responsable de sa bérézina, n'ayant jamais voulu regarder la vérité en face s'étant réfugié dans le déni car attiré par les notifications émanant des tireurs de ficelles à New York Strasbourg et Addis-Abeba, sans savoir qu'il aura le plus grand mal à s'en dégager. 

       Aussi, alors que tout laisse à penser que les relations Maroc-Afrique structurées presque comme une marque déposée, comment l'observateur analyste des visites royales dans ce continent ne pourrait-il aisément expliquer son attirance qui guide la quasi-totalité des pays africains gravitant autour, plus près et plus fort ? Qu'est-ce qui fait qu'ils vont plutôt vers sa projection futuriste Sud-Sud les aidant à avancer grandir et savourer leur existence, que vers l'Algérie ankylosée qu'ils considèrent inconsciente dans ses résonances anti Maroc ? Autrement dit, l'on découvre par les sournoiseries de l'Algérie qui lui sont maléfiques sans s'en rendre compte et dont elle s'y est forgée depuis 1963, d'un coté des pays rodant dans sa plateforme des contrevérités quoi qu'il en soit, comme ce qu'à montré la ministre des affaires étrangères du Kenya par ses pseudo-affinités électives envers le Polisario, confirmant qu'elle a bien fourgué ses armes anti Maroc au Secrétariat Général du coté de Ban Ki Moon avant qu'elle ne soit rappelée à occuper ce poste. Et de l'autre, des pays très nombreux vraiment amis du Maroc à ce jour presque 46, qu'à chaque occasion ils donnent au pouvoir à Ksar Lamradia d'Alger du tournis dont tout le monde en parle. Montrant, que tous les pays qui se comportent encore comme une ronde protectrice du Polisario, qu'avec eux à coups d'échanges de partenariats stratégiques à haute définition avec le Maroc, ils dépasseront vaillamment leurs difficultés d’intégration de l'offre d'autonomie marocaine. Pour cela, mieux vaut pour le Maroc de leur faciliter la tâche à mémoriser la vraie histoire de l'Afrique du Nord, particulièrement du Maroc jusqu'aux confins des fleuves Niger Sénégal et aussi les territoires Bambara. A bon suiveur, bonne lecture!

samedi 3 décembre 2016

C'EST ÉVIDENT MAINTENANT, LA CONFIGURATION DE L'AXE PRETORIA-ABUJA-ALGER N'EST PLUS VALIDE CAR DEVENUE CHAOTIQUE POUR L'UA !

PARTANT DE L'ETAT DE FAIT A PROPOS DE LA RENOMMÉE USURPÉE DE CET AXE, N'EST-CE LE FORCING GÉOPOLITIQUE-DIPLOMATIQUE-ECONOMIQUE TRANSVERSAL ET GÉOSTRATÉGIQUE-SÉCURITAIRE MULTIDIRECTIONNEL DE RABAT SOUS L'IMPULSION DIRECTE DU ROI MOHAMED VI PARTOUT EN AFRIQUE QUI L'AIT RENDUE CADUQUE ?

       C'est vrai le Maroc dans son tracé africain, a mis sur pied des accords-partenariats exceptionnels qui n'ont rien à envier à ceux déjà montés avec la France l'Espagne le CCG la Russie l'Inde la Chine et les USA. A l'exemple du projet du gazoduc reliant le Nigéria au Maroc passant par des pays au grand besoin pour leur développement-domestication de l'utilisation de l'Energie, ce qui rend aisé son retour à l'UA malgré les tergiversations puériles de Madame Ncosazana Dlamini à la commission sous anesthésie de l'Algérie presque à images de bandes dessinées mal illustrées de création de chaos. Ne sachant que tous les chefs d'Etats africains ne sont de son avis référencé à une époque désuète et donc ne peuvent se dérober à leur responsabilité historique, pour la suivre dans les réajustements de ses tracasseries risibles révélant ses arrières pensées et aussi dans ses médisances outrancières distillant son venin à contre courant du réveil africain salutaire tonique à coté du Maroc. D'ailleurs, à cet égard, n'est-elle dans le déni émotionnel qu'en plus elle le nourrit de surprise et d'inattendu, sans recherche incessante de terrain de facilitation tendant vers la cohésion de l'UA loin de la théorisation à la Mogabee ? Pour faire entrer la commission dans l'entente sans tabou de la crainte de n’être à la hauteur, sans obligation de dépasser les inquiétudes des comparaisons avec la commission de l'UE et sans injonction de besoin de décharger une quelconque tension nerveuse sur le nouveau Secrétaire Général Antonio Gutteress et les membres du Conseil de Sécurité de l'ONU les uns par rapport aux autres. N'est-ce le moment propice pour elle de demander pardon pour tant de naïveté dans son comportement indigne anti Maroc, en changeant son logiciel loin de la mécanique du secret de la rancune des gens du pouvoir militarisé algérien par peur de l'ouverture du différend des frontières héritées de la France ? N'est-ce là où il faudrait qu'elle actualise notamment sa carte mémoire, en suivant les vrais conseils allant vers la sensation d'un avenir de l'UA sur la trajectoire des souvenirs des fondateurs de l'OUA sans faiblesse politique ni détresse économique et non sur celle des malveillances des lobbys du DEA sous administration Obama ?

       Aussi, de cette débordante activité illégale et illégitime avant son départ, pourquoi cherche-t-elle à vouloir faire du retour du Maroc au sein de l'UA seulement une chose destructive de ses rituels zoulous, ne sachant que ça n'impressionne aucunement le Maroc pour qui ce n'est qu'un dernier baroud d'honneur de sa part ? Parce que, quand l'envie de partager les grands projets géostratégiques avec le Maroc inonde l'UA, il n'y a aucun doute que nombreux sont les chefs d'Etats africains qui ne partagent plus le positionnement de l'Algérie diffuseuse de mensonges vis-à-vis de ce voisin désormais bien coté partout sur la carte géophysique du monde avec les temps qui courent. Au sens où, n'est-ce là une révélation du besoin de coopération Sud-Sud, pleine de passion fruit de longues tractations où l'impensable de voir le Maroc parmi les siens à l'UA devient maintenant aisément envisageable ? Car, tous ces pays sont libérés de leurs ressentis vers la résilience du besoin vital de s'assumer à coté du Maroc entreprenant dans tous les domaines, tellement, qu'ils n'en voient seulement qu'une vie de rancune rancœur et jalousie de la part de l'Algérie à son encontre. De surcroît, est-ce que cette façon de vivre le voisinage n'est-elle devenue une jouissance pour elle, comme un torrent de masochisme qui s'écoule de ses institutions civiles et militaires et que portent ses diplomates enragés dans les instances internationales pour l'enquiquiner ? Mais voilà, pourquoi ne sait-elle que quelque chose s'est alors remis en marche, du fait que la Tunisie la Libye la Turquie et même la Mauritanie ainsi que l'UE ont pris conscience de leur désir d'amitié dénuée de triche avec le Maroc ?

       Il est certain que maintenant l'une des priorités du Maroc au Golf de Guinée, c'est de faire sortir tous ces pays des sentiers battus de la précarité de la pauvreté et de la marginalisation. Surtout, quand il s'agit de protéger la jeunesse de la radicalisation en s'adaptant à la programmation style marocain d'IDH (Initiative de Développement Humain) respectant l'écologie que ce soit dans les périphéries des villes et au fil des forets des étangs des lacs et des embouchures des fleuves. Et ce, jusqu'au partage de la passion économique-écologique cultuelle-sécuritaire et politique solidaire, qui sont le fruit de réflexion mutuelle responsable sans se projeter dans les basses manœuvres ni dans les manigances des services de renseignement algériens. C'est même passionnant de voir que des décideurs économiques privés de presque tous ces pays, assumer ce choix de travailler avec leurs homologues marocains avec autant de présence sur un pied d'égalité, sans masque ni peur et encore moins dérobade. Au point que le pouvoir algérien ait ressenti que les témoignages de soutien à ses essais du copier-coller en concurrence du Maroc ne lui arrivent plus, malgré qu'il s'essaye à la casse de sa tire-lire de soudoiement et corruption. Ce qui annonce, malheureusement, que l'arrivée d'un orage sociétal conjugué à la menace terroriste sont sur le point d'éclater dans toutes ses Wilayas recelant bien des mauvaises surprises pour lui.

       Mais, pourquoi un tel degré d'animosité par l'armée et le pouvoir algérien jamais atteint envers le Maroc, qui, lui, est dans l'accomplissement serein et responsable ? Et ce, grâce à sa ligne tracée dont personne ne l’empercherait de mettre sa parole donnée en exécution efficacement partagée dans ses partenariats diversifiés gagnants-gagnants attestant sa force de retour au sein de l'UA. Ce qui corrobore non pas seulement l'existence du décalage dans l’intégration de toutes ces données géopolitiques et stratégiques, par l'agitation fantasmée de certains médias algériens sous botte de l'armée à même d'en arriver à se forcer de justifier la vague d'arrestation inhumaine violente des migrants n'augurant rien de bon pour la stabilité des frontières notamment avec le Maroc qui, lui, ne s'en lasse de faire jouir les migrants des droits humains. Mais aussi, le déni de la réalité sur le terrain jusqu'à privilégier le langage des menaces à l'encontre des chefs d'Etats, et qu'en effet est devenu source de culpabilité du pouvoir boutaflikien partout en Afrique. En cela, n'en pourrait-on voir que c'est la conséquence d'inhibition de l'afflux informationnel pour brouiller les initiatives d'enfumage de s'assurer et de rassurer les tireurs de ficelles de l'axe usurpé Pretoria-Abuja-Alger ? Lequel, à présent est dans le creux de la vague des pactes relégués en attente de les mettre dans la corbeille des oubliettes, car ne tiennent compte ni de l'évolution de l'économie solidaire ni de la prospective participative dans les projets d'envergure avec honnêteté et abnégation et encore moins de la sécurité cultuelle exerçant une influence de lutte acharnée contre le terrorisme. Dont, l'Imam de la mosquée à Abuja dans son prêche de grande richesse référentielle au rite sunnite d'obédience malékite du vendredi 02 Décembre 2016 en présence du Roi Mohamed VI et du président Nigérian Boukhari, en a magistralement fait l'exégèse de ce qu'apporte le Maroc à l'Afrique par les partenariats hautement stratégiques allant dans la tradition de son histoire foisonnante de ses ''Oulémas'' tolérants et solidaires.  A bon entendeur, salut !

mercredi 30 novembre 2016

AVEC LA VISITE DU ROI DU MAROC AU NIGERIA, FINI LA THÉORIE DE LA MOSAÏQUE CARTE POSTALE A L’ALGÉRIENNE DE L'UA (UNION AFRICAINE) !

L'EXTINCTION DE LA PLAQUE CHAUFFANTE D'ABUJA PAR LA VISITE DU ROI DU MAROC, N'ANNONCE-T-ELLE LA FIN DE LA THÉORISATION DE LA MOSAÏQUE POLITIQUE SYMBOLISANT L'ISOLEMENT DES PEUPLES DANS LA MÉSENTENTE SANS LENDEMAIN DE PROSPÉRITÉ ?

       L'arrivée du Roi Mohamed VI au Nigéria chez le président Muhammadu Boukhari, n'est-ce une autre proportion de déballage non velouté des non-dits à propos du comportement de Madame Dlamini Ncosazana à la commission de l'UA sous dominance algérienne ? Avec en plus, une touche haute performance de la DGED ce fleuron au don fatal pour l'exploration d'une nouvelle coopération bilatérale tous azimuts, dont la caractéristique serait la franchise pour la réussite et non le secret des cachotteries et des émotions. Ainsi, n'en peut-on déjà déclarer que la route du Roi du Maroc en Afrique a le mérite d’être calme sereine et envoûtante en matière de ''marocanisme'' se présentant par ailleurs avec l’établissement de beaucoup de liaisons géostratégiques au cas par cas ? S'ajoutant aussi à la passion de travail de finition en géopolitique de surcroît dissipant les jacqueries de l'état d'opinion de quelques Chefs d'Etats africains, qu'effectivement aujourd'hui commencent par réalisme même tardif de changer de fusil d'épaule. Ce qui traduit la confusion, plutôt l'hystérie du pouvoir algérien confronté à cette ligne tracée par le Roi à travers le continent africain, comportant les initiatives inédites de partenariats gagnants-gagnants bénéfiques pour le bien-être des peuples. Car, c'est évident, il se sent abandonné dans ses mauvais choix géopolitiques depuis la démarche du temps de la lecture du discours palinodie de l'enfumage de Boutaflika d'Abuja Novembre 2013. Ne pouvant sauver ni assurer maîtrise voire perspective pour son propre devenir même en mettant les moyens de transformation de ses essais irresponsables. Et ce, par une quête d'adrénaline pour éviter la navigation en double aveugle ayant fait de lui une sorte de vestige politique du temps présent, dont tout le monde le sait maintenant que sa légende usurpée du sur mesure de faire, est en panne.

       Ce n'est nullement anodin de dire, l'UA a besoin d’être à point dans tous les domaines pour faire face à la gourmandise algérienne usant de ses petits gloutons toxiques pour l'emmerder. Et c'est là où il faut voir qu'il y a un autre regard de la part du Maroc sur l'Afrique d'aider de rendre ses décideurs maîtres de leurs décisions, principalement le Nigéria dans sa recherche par ses influences un peu de ses partisans désormais comptant sur lui car le voyant s'approcher par réalisme au montage de l'oeuvre politique marocaine à pas soutenus et rassurés. D'abord en s'interdisant de n'accompagner les élucubrations de majoration des tensions dans les propos anti Maroc, comme des mille feuilles pétris à la façon Ramtane Laamamra qui ne rate aucune occasion pour distiller ses messages cryptés sur les conditions acceptables d'après-lui du retour du Maroc à l'UA. Puis en s'éloignant des édulcorations de sa détermination intense de véhiculer ses décisions souveraines indépendantes de qui que ce soit pour le Sommet de l'UA à Addis-Abeba en Janvier 2017 en faveur du Maroc parmi les siens. Parce que, au delà des souvenirs que laissera ce Sommet que ça plaise ou non, il ne faudrait plus aux officiels marocains de s'essayer à la grammaire de la langue de bois sur les impératifs de la présence de la RASD, pour ne pas la laisser prospérer par la prise en charge de son étroitesse à minutage surveillé. Alors qu'on a le choix de s'en sortir pour casser cette baraque de fabrique de mensonges des services des renseignements militaires algériens et leurs attachés baroudeurs qu'ils soient diplomates irrités où mercenaires supportés de Zouma Mogabee Shissano et d'autres.

       Il est vrai que le Maroc prend en considération la configuration politique de ce pays aux ressources minières de grande valeur technologique, producteur de cacao cultivant le palmier à l'huile l'hévéa en plus possédant d'importants champs gaziers et gisements de pétrole, malheureusement en présence d'une pauvreté endémique qu'en elle même ne serait pas un ferment de révolte, si elle n'était entourée de tant de luxe et de privilèges. Au point que pour le gouvernement fédéral central du Nigéria ce vaste pays arrosé du fleuve Niger, la priorité c'est d’accroître le plus vite possible les conditions inéluctables pour le co-développement Sud-Sud sachant pertinemment que le Maroc en est la locomotive sans conteste. Et dont il en est convaincu que ça l'aiderait cultuellement et économiquement dans sa lutte contre Boko Haram qui sévit dans toute la sous-région de l'Afrique de l'Ouest et Centrale, et ce, pour appuyer le processus d’intégration à la marocaine via l'IDH comme ce qui se fait avec Madagascar Sénégal Gabon Cote d'Ivoire Guinée Konakry Djibouti et Guinée Bissau. Evidemment, primo quand il n'y a ni larcin ni détournement des fonds d'aide de suivi et d'exécution de ces programmes, et secundo loin des querelles ethniques et tribales séculaires empêchant encore l'unité du pays, surtout depuis l'arrivée-retour de Boukhari à la tête de l'Etat qui ne cesse de se trouver face à une renaissance-incitation de l'esprit sécessionniste comme d'antan dans beaucoup de régions. D'ailleurs, pour rappel, une guerre civile ne l'a-t-il terriblement déchiré pendant l'existence de la république autoproclamée du Biafra de 1967-1970 au Sud-Est qui fut le creuset-réceptacle de l'humanisme contemporain d'où est sortie l’expression ''Frenchs Doctors'' concernant Bernard Kouchner ses confrères et leurs amis de par le monde ? N'est-ce pour cela, par exemple, le Nigéria semble prêt à accepter que les entreprises marocaines, dans le cadre de partenariats faisant preuve de grande imagination de cooptation et captation des opportunités ne soient assujetties à la participation nigérienne d'au moins 40% ? D'où l'on en voit un premier pas de création du capital-confiance nécessaire au travail en commun d'égal à égal Maroc-Nigéria, allant dans le sens de tarir la connivence de Boko Haram maître du kidnapping de masse avec le Polisario. Qu'en effet, maintenant ce dernier est avéré le support d'arrière plan des trafiquants multipliant les rapts dans la bande sahel-subsaharienne africaine et piratages dans les differentes baies du Golf de Guinée.

       Néanmoins, cette temporalité relevée par les deux pays Maroc-Nigéria d'aller de l'avant, ne mérite-t-elle d’être préservée des coups bas de l'Algérie au bord du précipice ? D'autant qu'elle fait craindre aux gens de ce pouvoir algérien ingrat et rancunier, de vivre leur drame de l'isolement voire le syndrome des leaders même sans vrais talons politiques qu'ils sont, car ils ne cessent inconsciemment de répondre au postulat ''chasser les receleurs des mensonges contrevérités et opprobres de votre entourage, ils vous reviennent racketteurs de tous vos soutiens''. En cela, pourvu qu'on en arrive pas à ce choix terrible, celui de ''adviendra que pourra'' en laissant ce pouvoir seul sous les feux des terroristes et aussi les soulèvements populaires déjà en phase de surchauffe par suite à sa très mauvaise gouvernance et son soutien infondé au Polisario au détriment des algériens eux-mêmes. D'ailleurs, pourquoi en espèrent-il à front retourné refaire la bataille des sables 1963, sans que cette fois-ci il n'en reçoive la bénédiction de Massimo Feu Fidèle Castro, qui, lui, de son vivant eut compris sans le dire en ON que seule l'offre marocaine de l'autonomie 2007 dans la régionalisation est envisageable. Afin que Cuba ne puisse continuer à participer au drame des séparations forcées des familles marocaines séquestrées de leurs enfants dans les camps de Tindouf Rabouni et ailleurs. Bien sûr, beaucoup de personnalités connues par leur proximité à ce monument de la résistance à l’impérialisme américain, dont Régis Debray  le compagnon du Che, Jack Lang l'érudit pro marocain, Ignacio Cembrero le convulsé espagnol tantôt d'un coté tantôt de l'autre, Jean-Luc Melenchon le tangerois et d'autres le connaissant pourraient en témoigner maintenant qu'il est parti. Ah, si nos politiques savaient comment tremper dans cette façon d'équilibrer les dosages on s'en sortirait indemne du blocage pathétique gouvernemental actuel ! Notamment en donnant dans la volumétrie raisonnable et la compétence remarquable qui donneront envie de le supporter dans la traçabilité d'envergure du discours de Dakar, en perspective de l'accompagner tout au long de sa législature. A bon suiveur, bon décryptage !

dimanche 27 novembre 2016

C'EST MAINTENANT OFFICIEL, LE MAROC EST JALOUSÉ PAS SEULEMENT AU SEIN DU GRAND MAGHREB LA LIGUE ARABE ET L'UNION AFRICAINE !

PLUS DE DOUTE, CERTAINS PAYS DE L'UMA DE LA LIGUE ARABE ET DE L'UNION AFRICAINE PROVOQUENT LE MAROC CAR SONT RESTÉS FIGÉS DANS LE MARCHÉ  NOIR DES COUPS BAS SUR INSTRUCTIONS SYSTÉMATIQUES VENANT D'AILLEURS.

   Le désir du changement de braquet diplomatique-économique et sécuritaire a consciencieusement germé après les différentes attaques infondées à l'encontre du Maroc à l'ONU L'UE L'UA et L'UMA depuis l'arrivée de Ban Ki Moon à la tête du Secrétariat Général. En cela, il a même été amplifié après les couacs successifs avec la Cour Européenne de Justice la Suède la Commission africaine et dernièrement avec l'Egypte d'Al-Sissi, avec l'objectif d'enrayer définitivement le coté des échanges de diplomatie de complaisance et donc de mannequinat sur les espaces des chancelleries à l'Etranger. Tellement c'est officiel, que ces pays et Institutions susmentionnées sont en passe de se transformer en entité de racketteurs dans les rencontres symposiums et Sommets à l'international, alors qu'on croyait que de sensibles progrès de leur part ont été accomplis. Ayant, à cet effet, machiavéliquement montré toute une série d'actes dans le découragement de mise d'association d'éléments destructifs de leurs relations avec le Maroc, malheureusement, tout en s'octroyant de nouvelles stratégies sournoises dans le renforcement par procuration sans raison valable de leurs perfidies pour le combattre. Ce qui montre que seul un gouvernement marocain contrôleur de tout ce qui se passe dans son entourage, pourra intervenir sans temps de latence à décourager les tentatives mensongères et en tirer profit immédiatement de son système de surveillance des contrevérités à l'égard de la marche tranquille du pays.

     Mais, n'est-ce voilà à raison pourquoi Sa Majesté le Roi Mohamed VI en a fait fi de leurs manigances interventionnistes politiciennes de basse besogne, en mettant les bouchées doubles dans ses initiatives africaines ? En l'occurrence, économiques culturelles écologiques et géopolitiques cultuelles-sécuritaires en partenariats stratégiques gagnants-gagnants d'égal à égal dans tous ses déplacements, dont la renommée est inégalée au Rwanda Tanzanie Ethiopie Madagascar Nigeria et Zambie. D'autant plus, à Madagascar face à la presse de ce pays il a remis les pendules à l'heure, montrant en subliminal à qui comprend les messages et les non-dits, qu'il n'y a aucun mystère à sa non participation au 16-ième Sommet de la Francophonie et que le Maroc est souverain dans ses décisions. Notamment dans l'ajout de l'écriture d'un nouveau paragraphe de son histoire dans cette Ile-Pays, par le focus de l'excellence politique à l'origine du concept de priorité face au fil d'actualités où l'acuité des problèmes socio économiques offusque la splendeur et la diversité du potentiel naturel et humain existant. Et, qu'au demeurant invraisemblablement est restée hors du processus d'appui de l'UE et l'UA par une vraie intégration régionale des économies Est-Sud-africaines, sur la base de la coopération solidaire. Dont le Maroc s'inspirant du code de son bon sens d'utiliser son savoir-faire du rétrécissement de ce décalage flagrant dans toute l'Afrique, entend garder son avance sensée représenter les notions référentielles de sa noblesse dans l'ère du temps. Et ce, pour le rendement de ses partenariats stratégiques avant-gardistes de sa tradition de solidarité qui serait toujours utilement corrigée et augmentée à chaque fois que les conditions le permettent. 

       Néanmoins, à ce propos, n'en peut-on voir que ce qui arrive à beaucoup de pays africains comme retard de développement et épanouissement, c'est la faute à l'Algérie et ses manutentionnaires ne les ayant laissés prendre leur destin en main des années durant? De par ses agissements idéologiques basés sur le soudoiement et la corruption des décideurs datant de l'ère du rideau de Fer, au vu que l'Afrique hier n'était pour elle qu'un champ d'expériences et de complications des cloisonnements relationnelles géopolitiques inutiles sans avenir. Et qu'aujourd'hui, le Forum africain de l'entreprise qu'elle compte organiser du 03-05 Décembre 2016 à Alger, dont elle se prétend en tant qu'acteur prioritaire dans l'EANS (Energie Agroalimentaire Numérique et Sous-traitance) sans vouloir accepter la réalité sur le terrain étant largement larguée par le Maroc. D'autant plus, elle n'est pas à son premier essai de reluisement de sa posture-pastiche, de par la diplomatie de ses baroudeurs longtemps restés amplificateurs du désordre à la Ramtane Laamamra se tenant à contre courant du déroulé de l'actualité africaine. Ne voulant malgré ses nombreuses déconfitures comme à Margaritta à Malabo à Sirte du temps de Kadhafi à l'ONU et au parlement européen, intégrer que c'est vers le décloisonnement des 05 sous-régions africaines que le Maroc se propose de guider la croissance partagée vers le progrès, en disposant d'outils de son capital technicien comptant sur l'ampleur du marché intérieur global.

      A l'évidence, à présent le format définitif de la Commission Africaine sous le (la) futur(e) président  (e), traduira le souci d'en faire une Instance compacte cohérente truffée de compétences pour une meilleure gouvernance facile et efficace. Dont le Maroc par l'inventaire de ses partenariats gagnants-gagnants en représentera sûrement les différentes orientations dans le champ d'action du prochain gouvernement. En sortant des tractations considérées comme office de partage d'un trésor électoral ou d'un présent facile à distribuer aux partisans aux copains d'aventure de voisins idéologiques et mêmes aux larbins détournés d'ailleurs. Tellement que la mouture à présenter au Roi, doit être établie sur la base de la structure du discours de Dakar via des pôles forts délimités par les lignes claires des prérogatives. Sans omettre en aucune façon la présence en même temps des colombes et faucons connus, loin du narcissisme et/où nombrilisme des uns et des autres comme ce qui se fait partout dans les pays forts. Parce que, ce qui attend le Maroc si par malheur il y a mauvaise appréciation des défis dans l'avenir au court et moyen termes, n'augure rien de bon pour faire face à l'Algérie et ses soutiens. Surtout par l'usage du vocable politicien qui se veut l'outil de la standardisation de la pensée des marocains, sans faire attention à la manipulation venant d'origines internes et externes connues anti Maroc. C'est pour cela, il faut dire donc sans hésiter, assez des versions gouvernementales se présentant comme des brochures des désirs sur mesure des partis politiques ! Assez de vouloir passer la méthodologie livrée pour la formation du gouvernement jusqu'à présent, comme une synthèse partielle et donc lacunaire sans l'aval clair du RNI bien au diapason de la démarche marocaine en Afrique ! Assez de tromper l'opinion en s'étonnant de ne pas y trouver l'aide de l'Etat et aussi de n'avoir des soutiens des associations et autres corporatismes socioprofessionnels ! Assez de recommander aux récalcitrants de consentir l'effort de revoir leur positionnement pour la compréhension de cette construction d'une majorité même vacillante. A bon entendeur, salut !

mercredi 23 novembre 2016

C’EST QUOI CE SOMMET AFRIQUE-PAYS ARABES, SANS LE MAROC NI LE CCG YÉMEN JORDANIE SOMALIE EN GUINÉE EQUATORIALE?

RÉELLEMENT IL S’AGIT D’UN PSEUDO-SOMMET ‘’SOMMETON’’ AFRIQUE-PAYS ARABES DE SURCROÎT CHEZ LE BOUDDHA DÉPRESSIF DE GUINÉE EQUATORIALE, METTANT EN EXERGUE L’INDICE DU DÉBUT DE MÉDITATION  DE LA HUITAINE DE PRÉSIDENTS AFRICAINS COURSIERS SANS AURA DE CÉLÉBRITÉ MÊME DANS LEUR PAYS.

       Désormais c’est un constat flagrant, le Maroc en plus de huit pays arabes et autres trente cinq africains, estiment que ce Sommet faisant passer les pertes avant les bénéfices est irrecevable. Car pour eux tous, il est stupide de leur imposer l’épreuve de la présence de la RASD pour la énième fois consécutive en faisant fi de leurs objections légitimes. A cet égard, ils n’en pensent aucunement que le Niet marocain dans ce contexte n’enfreigne l’ordre du jour de ce Sommet transformé en ‘’Sommeton’’. Mais, seulement rend compte de la légèreté du président Bouddha depuis 1979 de la Guinée Equatoriale, n’ayant voulu garder l’œil ouvert sur l'illégalité de son action risquée d’avoir invité la RASD. Et, dont il croyait en faire sa course contre la montre pour poser des chaines d’entraves qui visent à promouvoir tacitement cette entité fantoche qui vacille, en temps et place du retour annoncé du Maroc à Addis-Abeba en préparation du Sommet de l’UA en Janvier 2017.  

       Sauf que, à toute fin ses raisons au vu que le Maroc n’est pas né de la dernière pluie pour se laisser se faire marcher sur les pieds notamment en réagissant par une démonstration de force politique, en se retirant avec ses vrais amis arabes suite à des manœuvres à la limite du concevable et donc de l'acceptable. Dont tous les médias en présence en font l’écho, d’abord tenant compte de son approche géopolitique de grande qualité de ciblage s’ajoutant à sa réflexion géostratégique connectée auprès des grands à l’avantage des pays africains. Puis, plaçant le curseur très haut en assumant sa volonté d’accompagnement de tous les chefs d’Etats africains qui en expriment le désir en option de ce qui fut initié au Sommet africain de l’action en marge de la COP 22 à Marrakech 07-18 Novembre 2016. Qu’au demeurant, tous les pays africains amis présents ne veulent se voir enfournées dans l'ambiguïté et finalement contraints de participer à ce Sommet de Malabo sans se sentir bien dans leur peau et être à l’aise dans leur attitude pour rendre l’ascenseur en marche au Maroc. Car, si par le passé certains présidents faisaient au sein de l’UA dans le deux poids deux mesures à l’égard du Maroc, roulant sans protection pour la Libye de Kadhafi l’Algérie de Bouteflika et l’Afrique du Sud de Zouma, il n’en serait point aujourd’hui avec lui sous la direction d’un Roi fort et déterminé dans son retour puissant dans tous les domaines en Afrique.

       Néanmoins, la huitaine de l’ensemble de chefs d’Etats et de gouvernements récalcitrants à la thèse marocaine étant arrivés à Malabo, les voilà incohérents dans leurs postures immobiles les yeux retournés dans leurs retraits repensant à chaque instant à leur position de reclus dont leurs conseillers les dérobaient à la vue des médias. N’est-ce d’ailleurs là où le bât blesse, c’est pourquoi Al-Sissi que la presse égyptienne sous sa botte, excusez du peu, présente comme la star de ce ‘’Sommeton’’ par hypocrisie de la réincarnation de pharaon a-t-il soudainement quitté les pieds des pyramides où il méditait à ses déconvenues sans boire ni manger pour se rendre en Guinée Equatoriale afin de participer à cette criée des coursiers inutiles et indésirables en l’absence de neuf pays arabes et pas les moindres ? D’autant, même si ses manutentionnaires médiatiques sevrés à la démocratie l’en encouragent de se mettre à contresens du Maroc en tant que vrai dynamo de l’Afrique, il se doit se mettre au diapason de la démarche africaine de Sa Majesté le Roi Mohamed VI pour ne pas tomber si bas. Parce que, s’il pense comme ça pouvoir élargir ses coopérations Sud-Sud selon d’autres attitudes préprogrammées en Algérie de non réchauffement de ses relations avec le Maroc, il se fourgue le doigt dans l’œil surtout avec l'arrivée de la républicaine Nikki Hailey en tant qu'ambassadrice représentante permanent des USA au Conseil de Sécurité de l'ONU. Aussi, pour être plus clair n’en peut-on voir que les cas de défaillances directes ou indirectes de sa gouvernance instable au vu des variations de ses conversations avec les pays du CCG et autres, commencent à plonger l’Egypte dans l’imbroglio des pays courtiers voire concessionnaires des chimères seulement ?

       A dire vrai il est le réceptacle de la colère en Egypte parce qu’il divise et instaure la dictature, d’où la violence tout autour de par ses gestes inamicaux de sa nouvelle signature de ses devants à l’encontre de la sagesse politique en gouvernance vis-à-vis de ses concitoyens. Ce qu’au demeurant choque les peuples africains, qui connaissent mieux le Roi du Maroc compétent tolèrent et loyal d’après des enquêtes réalisées, le voyant effectivement le seul meilleur chef d’Etat réaliste digne de confiance. Contrairement à Al-Sissi qui essaye de poignarder dans le dos le Maroc par ses attouchements pro Polisario algériens-dépendants, même sachant que sa cote politique est en dépression partout en Afrique. Mais, pourquoi veut-il concurrencer le Souverain marocain dans sa poursuite logique de ses visites prometteuses et porteuses d’avenir en Ethiopie Madagascar Nigéria et Zambie sur le plan socio culturel économique écologique et cultuel-sécuritaire ? De ce point de vue, pourquoi ne sait-il qu’en plus le Roi africain n’en serait déstabilisé par les sottises et âneries des certains médias et sites de réseaux sociaux égyptiens, voyant en le rapprochement Maroc-Ethiopie la main des Falachas autrefois rapatriés à Israël ? Omettant, que l’Ethiopie est en phase de finition de son barrage de la renaissance qui est aussi l’un des points de discorde sur la gestion des eaux du Nil avec le Soudan qui n’en tient par lucidité nullement rigueur au Maroc. N’est-ce sans doute cela qui affaibli un peu plus le raisonnement périphérique de tous ces snipers du Net, dont, le Maroc garde l’esprit clair car n’y est pour rien dans cette construction de ce barrage? Bien que même installant aujourd’hui une usine d’engrais et de fertilisants à hauteur de 3,7 milliards de dollars dans le cadre de sa coopération-partenariat gagnant-gagnant pour l’accompagnement de l’Ethiopie dans sa révolution agraire en perspective.

       En effet, la tournée royale jusqu’à présent en Ethiopie et à Madagascar a donné du tournis aux ennemis connectés dans l’idiotie accélérée et inconditionnelle anti Maroc. Ils en tiennent même, haut la main, la première place dans le crossing-over  des paramètres de mesure de surchauffe de leurs cerveaux ratatinés de haine de rancune et rancœur. Parce qu’ils sont nichés dans la position des receleurs de médisances de mensonges et contrevérités, n’en sachant pas que ce pays qu’ils détestent tant n’est plus relié aux axes traditionnels qui ne permettent qu’une démarche saccadée de revalorisation de ses choix. Au contraire, il est aujourd’hui en total mouvement dans son champ de pratique démocratique de l’alternance par les urnes malgré quelques difficultés de circonstances politiciennes, d’où son particularisme ne peut que les profondément surpasser. Tellement qu’on en parle partout de sa réussite de transition depuis 1999, lui donnant un gage pour son miracle sociétal malgré les contraintes sociales les défis sécuritaires terroristes et les malveillances-perfidies des pays faux-amis à l’ONU l’UE et l’UA. A bon entendeur, salut !  

vendredi 18 novembre 2016

LE DEUXIÈME ROUND DE LA VISITE ROYALE EN AFRIQUE, N’EST-IL L’ULTIME OCCASION DE RECOURS A LA SAGESSE POLITIQUE POUR LA FORMATION DU GOUVERNEMENT ?

AUJOURD’HUI, LA FORMATION DU GOUVERNEMENT EST UN DUEL ENTRE (RNI-UC-MP) ET PI DONT CHABAT CRIE DE FRAYEUR AVANT QU’IL NE SOIT APPAREMMENT DÉCLARÉ DOUBLEMENT VAINCU PAR BENKIRANE LUI-MÊME.

       Au Maroc, après la projection des résultats des élections législatives du 07 Octobre 2016, la schizophrénie politique est devenue le caractère imprévisible sur les fondamentaux de la formation d’un gouvernement fort cohérent et responsable. Mais alors, à cet effet, pourquoi Benkirane se montrant à la fois derviche mutin et révérant opportun continue-t-il à défier tout l’arc politique, même son propre parti le PJD en fréquentant sans vraie lucidité ni perspective d’avenir l’un de ses ennemis déclarés d’hier ? Dont, par ailleurs, invraisemblablement il en aspire au calme pour confronter les ombres hantées de déchéance de ce repenti filipendule humilié, pour le sauver. Aussi, n’est-ce uniquement en cela, que des ténors et pas les moindres au PJD ont-ils décidé de le mettre en garde, le suppliant de ne les laisser dans l’expectative qui leur fait sciemment volontairement une peine infini du fait qu’il ne les écoute pas ? C’est même frustrant pour eux, parce qu’ils savent à juste titre, que la vie politique de cet ennemi d’alors est damnée depuis le 07 Octobre 2016, et qu’en effet son futur est déjà marqué au cœur de l’abîme par l’œil prodigieusement ouvert des adhérents même de ses proches soutiens au parti.

       A dire vrai, là où Chabat et ses inconditionnels frustrés ne valant rien sans le pouvoir économique ont entamé leurs invectives et diatribes vis-à-vis de la recherche d’un gouvernement fort déterminé influençant la décision politique, son rival Akhnouche n’en tremperait jamais ! Tellement, n’est-ce là où la démultiplication des cris les vilipendant tous en tant que vaincus, se distingue-elle de leur frayeur des uns et des autres avant d’être laminés électoralement, par rapport à l’angoisse du processus des tractations à pas de tortue. Même s’il s’agit de recherche de positionnement pour négocier l’entrée au gouvernement avec un Benkirane se trouvant désormais entre douceur de réussir après le discours de Dakar et fureur d’être contraint de rendre la politesse en déposant les clés pour débloquer la situation. Notamment, après ses prophéties-délires du 05 Novembre 2016 abandonnant la trame de prédilection pour la formation du gouvernement, que normalement elle doit être comblée de sérénité de son parti sorti gagnant des élections pour accompagner la feuille de route validée par la vision royale. Et non réorientée au profit d’intrigues au symbolisme plus vengeur fortement frappé de style de passion orgueilleuse par la transfiguration des souvenirs politiques, que tout un chacun n’en peut en garder en mémoire que la paralysie sans la protection des engagements comme sous d’autres cieux non envieux.

       Maintenant, après plus de quarante jours l’on peut dire que Benkirane prend conscience du dilemme de non réussite à former une majorité, ce qui met en exergue sa faillite de n’être au rendez-vous après la mobilisation des élections du 07 Octobre 2016. D’ailleurs, pourquoi était-il resté fragmenté dans ses raisonnements sans avoir la posture du rassembleur, pour ne pas passer de ce que des observateurs appellent la tentative d’observance introspective de ses états de service rendus vers la rétrospection de se voir transporter dans le passé ? A-t-il oublié qu’on l’a traité de support de Daech et Mossad, et qu’aujourd’hui on fait pareillement pour d’autres à même d’en voir en eux des nouveaux Karazay, alors que le Maroc n’est aucunement sous occupation où dominance ? Au contraire, et je le dis sans détours, l’expression du respect de la démocratie venant de la bouche de girouettes ne va de paire avec leur reddition dans l’humiliation surtout après avoir dansé sur toutes les pistes de la majorité et de l’opposition pendant toute une législature. Non, de fait, ni Benkirane ni Akhnouche ni Lachgar ne sont de cette lignée, mais plutôt chacun selon son parcours ils sont les témoins personnifiés de la mouture des politiques du temps présent avec ses défaillances et ses dépendances. Et, dont, ils ne sont pas forcément des mercantis de l’opprobre de la médisance et de la conjecture, comme ce que l’on voit colporter par certains médias et autres sites sur le Net et réseaux sociaux.

       Oui, à valeur d’aujourd’hui, Benkirane reconnais qu’il ne soit encore arrivé à fédérer le RNI et le PI quand à l’avenir d’une majorité stable au vu de l’appauvrissement en facteurs encourageants. Et ce, à cause des controverses distillées ici et là pour le saper par peur qu’il ne puisse céder solennellement au RNI-UC-MP, par suite d’éventuelle bonne évaluation et quantification de leurs effets sur la marche gouvernementale dans le futur. S’ajoutant au pessimisme ambiant ne pouvant laisser la réaffirmation d’une telle dynamique aux allures d’espoir qui pourrait changer leurs positionnements vis-à-vis du PI pour le réintégrer in fine. En revanche, il ne faut pas se leurrer, le PJD comprend que le temps presse de former une majorité sans le PI, même avec les conditions de l’USFP et ne plus s’en écarter du RNI quitte à paraitre avaler des couleuvres. Tout simplement, en y ouvrant un compte de fidélité partagée sans amertume ni désinvolture pour le bon rapport bénéfice/risque en projection de la construction d’un gouvernement répondant aux critères de la charge du discours royal à Dakar. Mais aussi, en fonction du marché des priorités diplomatiques relationnelles se conformant aux exigences des obligations internationales, surtout en Afrique par la quête des grands projets de développement infrastructurel au profit des peuples. En suivant méticuleusement les traces de la campagne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, dont il en intensifie ses efforts en Ethiopie Madagascar Kenya et Nigéria dans tous les domaines via un encadrement exemplaire structurant des partenariats gagnants-gagnants d’égal à égal.

       Ce qui corrobore, que seule la sagesse politique pour la formation du gouvernement au diapason de l’avalanche des discours du Roi serait porteuse et prometteuse pour éviter les alliances de tromperie sur la nécessité du dialogue basé sur les signes de l’émerveillement sans lendemain sur le terrain. Aussi, ne faut-il le rappeler, Sa Majesté a développée magistralement son discours au Sommet de la COP 22 à Marrakech annonçant au monde l’implication du Maroc dans le programme de garantie de la production de richesses locales en Afrique dans le respect de l’accord de Paris contre le réchauffement climatique. Réitérant éloquemment dans son discours au Sommet africain de l’action en marge de cette COP 22 cet engagement, à même de démontrer qu’avec ses visites répétitives audacieuses il se mobilisera sans faillir pour l’Afrique par un nouvel ordre-conception de par la détermination du Maroc en tant qu’Hub de l’économie verte de partage. Et ce, selon les moyens et le rythme des mesures d’accompagnement indispensables à la sauvegarde de l’écologie et à la préservation des écosystèmes et biotopes de l’environnement du lac Tchad du bassin Congo et des pays insulaires. Dont incroyablement l’Algérie y semble emballée, avouant étonnement à qui veut l’entendre que le Maroc sans carnet de chèques, décolle, contrairement à l'enlisement dont, elle, se trouve. Tellement que beaucoup d'algériens avertis sur les distributions de rôles entre les décideurs, en voient sans complexe que c’est la victoire de l’intelligence et des initiatives louables d’un pays non ankylosé non déprimé et non gelé. Un plaidoyer inédit, pour la relance d’une coopération extraordinaire Maroc-Algérie, que Belkhadem et même Sellal dans sa virée saoudienne et auparavant Saadani Louisa Hanooun et d'autres, en ont montré une prédisposition dont on peut en déceler qu’il est peut-être loin le temps des livraisons de critiques acerbes vis-à-vis du Maroc. D'ailleurs, n'en peut-on comprendre que c'est une façon de vouloir se faire réceptionner auprès et par son voisin de l'Ouest dans sa lutte de front contre le terrorisme? Et donc, de fait, elle ne soit pas analysée seulement comme une fertilisation du concept de mise rationnelle de l'ordre et la sécurité sur tout le territoire algérien. A bon entendeur, salut !