samedi 31 mai 2014

LE DISCOURS SOLENNEL DU ROI DU MAROC DEVANT LA CHAMBRE CONSTITUANTE, UN MOMENT FORT DE LA VISITE ROYALE CONSACRANT LA RÉVOLUTION TUNISIENNE !

IL S’AGIT D’APPEL AU DÉPASSEMENT DES FRUSTRATIONS PAR LE COURAGE ET LE SENS D'ABNÉGATION NE POUVANT MENER QU’AU RACHAT DU SALUT DE TOUS LES TUNISIENS !     

       Devant la prestation royale en présence du Prince héritier Moulay Hassan et de Son Altesse royale le prince Moulay Rachid, la ferveur des applaudissements debout, par tous les membres de l’assemblée constituante tunisienne, en plus des anciens premiers ministres et autres honorables invités de la société civile et du corps diplomatique, est un témoignage de grande considération et respect au souverain marocain. Une véritable réussite, cependant, saluée à travers les instances internationales comme un triomphe de son œuvre raisonnable d’instauration de l’Etat de droit par façonnage démocratique ingénieux. A cet égard les observateurs avertis comprennent cette visite royale en Tunisie, non pas comme une simple chronique d’échange de bon procédé  d’enregistrement d’accord protocolaire, mais un enregistrement de l’engagement par la parole donnée essentielle à la compréhension de l’évolution diplomatique marocaine du moment.

      Il est vrai qu’après le discours de Bamako décriant l’instabilité politique de la bande sahélo-subsaharienne au-delà de la problématique du nationalisme tribal, est venu s’ajouter l’influence très forte de la conviction royale à Tunis conférant à l’espace maghrébin sa place dans le concert mondial. A même d’en marquer les relents d’appels en termes fraternels par la teneur et le style particulier des messages distillés, que cette entité ne serait pas considérée comme une région importante du pourtour méditerranéen, si l’Algérie ne sortait pas de son égocentrisme nombriliste pour aider à lui donner sa vraie importance stratégique de surcroît considérable. N’est-ce pour cela la pensée réaliste du souverain marocain imprègne et anime son engagement à redynamiser l’espoir de voir la Tunisie la Libye et pourquoi pas tout le grand Maghreb en fin en bonne posture sociale économique culturelle cultuelle et sécuritaire ?

     
  Aussi, après son offensive salutaire en Afrique, le Roi du Maroc se lance désormais par cette visite en Tunisie, à défraîchir les zones blanches diplomatiques provoquées par la condensation du mal-être entre pays maghrébins. Notamment celles s’inscrivant autour des ombres portées par certains décideurs algériens vis-à-vis de l’intégrité territoriale du Maroc. En ce sens la question que tout un chacun doit se poser, c’est pourquoi est-il essentiel au grand Maghreb en matière relationnelle diplomatique, de continuer à être sensibilisé au rôle de mutualisation des soutiens sociaux culturels cultuels économiques et politico-sécuritaires ? N’est-ce pas parce que c’est là où la qualité des relations entre pays du grand Maghreb à l’exemple de Tunisie-Maroc, peut exercer une influence sur leurs stabilités respectives ? En contre partie des envenimations discourantes lancées ici et là, constituant un obstacle à sa construction sereine et vivace dépassant le smog relationnel du aux caprices non fondés de certains décideurs politiques ?

   
    Ce faisant quand parurent les prémices du printemps arabo-amazigh, l’image du Maroc déjà en bonne voie fut modifiée après le discours royal du 09 Mars 2011. Il s’est posé en précurseur d’un style de franchise absolue où l’importance réside dans le fait inépuisable d’enseignements montrant à ce jour assurance cohérence et stabilité du pays. Dores et déjà de Tunis, cet engagement royal marque une étape définitive dans l’histoire politique de toute l’Afrique du Nord. Qu’au demeurant on peut dire de l’invention du grand Maghreb depuis l’ébauche de Tanger en 1958 en tant que conglomérat communautaire, qu’elle reste encore biographique en esprit que tous les groupements de ce genre de par le monde. De ce point de vue, est-ce que les partenariats gagnant-gagnant ne seraient des indicateurs du style de gouvernance socio-économique pouvant apporter des bénéfices corollaires importants pour l’entité du grand Maghreb ? Parce que si l’engagement royal du moment en Tunisie, forme l’ambition de création de co-localité des investissements et de co-commercialité d’intérêts communs pour le couple Maroc-Tunisie, il ne pourrait être déstructuré voire se laisser tuer pour raison soi-disant de leadership régional. D’autant plus, la nature du recadrage de cette ambition royale de développement commun dans tous les secteurs, elle la puise de la puissance l’abnégation et sérénité des dirigeants et décideurs tunisiens dans le respect des droits de l’homme et de la démocratie. Sachant aussi, quand bien même cette puissance contient d’événements importants et intéressants, elle ne doit rester figée. Au point de se consacrer à des jeux de déconstruction où à l’insulte de l’avenir, mais d’expliquer le bien fondé de cet engagement royal pour la prospérité de toute la région.  

       Déjà on peut dire en réponse à la violence du système clanique de Benali,  que la révolution tunisienne étant passée par des péripéties dangereuses et moments de tensions paroxystiques, a réussi de connaitre en gros l’ouverture réelle à la confrontation démocratique de projets sociétaux. L’un en mode de production islamiste qu’apparemment est en souffrance, l’autre à partir d’une réalité sociale spécifique à la réflexion socio libérale avec toutes ses nuances. Mais continue encore d’inquiéter à juste titre bon nombre de pays n’ayant pas fait correctement leur printemps révolutionnaire. D’ailleurs dans ce contexte, le président de l’assemblée constituante tunisienne Mustapha Ben Jaafar dans son allocution de bienvenu au souverain marocain y a fait mention aux réseaux et contacts d’échanges fructueux avec l’expertise voire l’expérience marocaine singulière dont tout le monde en parle. En effet, qu’on le veuille où pas, c’est dans ce cadre d’initiative de référence louable loin des tensions, que la Tunisie nouvelle à puisé les possibilités de sa résurgence et imaginé une faisabilité soutenue vraisemblable de sa récente constitution très avancée.

    
   Voilà, de fait, est-ce que le discours royal ne force-t-il en subliminaire les admirateurs-concepteurs de la laïci-civilité et leurs contradicteurs-détracteurs subjugués d’islamité, à encore et toujours reconsidérer positivement leurs positionnements et continuer à travailler ensemble pour le bien de tous les tunisiens ? Car rappelons-nous les épisodes tristes des assassinats politiques de Belaid et Brahmi, qui ont eu lieu lorsque la Troïka s’était laissé enfermer dans la surenchère à propos de la légitimité de ses pouvoirs. Néanmoins après ces tueries révoltantes, la culture du consensus a pris le pas et fut féconde ayant aboutit au déblocage politique et donc à l’avènement du gouvernement du jeune premier ministre Mahdi Joumouaa entouré de compétences seulement. Dont la plupart de ses dessins sociaux économiques culturels et cultuels qu’il produit sont imaginés sans l’ombre d’une protestation, mais seulement l’inquiétude à l’égard du non respect probable du calendrier électoral.


       Finalement, ce discours royal précis concis et majestueux devant l’assemblée constituante tunisienne, montre d’une manière éclatante le meilleur moyen de rapprocher les Etats du grand Maghreb entre eux. En l'occurrence la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme, le soutien à l'Etat de droit et des institutions, en plus de la solidarité de cooptation de projets stratégiques structurants porteurs et prometteurs. Et ce, pour faire revivre les hautes âmes du passé commun anticolonial, et comprendre le bien fondé de son exploration du changement comportemental des citoyens de par leurs motivations diversifiées après le souffle printanier. De sorte, il n’y a que de relire pour s’en convaincre, les descriptions de l’itinéraire du début de l’idée du grand Maghreb où tous les détails ne prêtent aucunement au doute. Il va de soi néanmoins, que l’approche sceptique de certains dirigeants algériens pétrifiés par l’ouverture à la démocratie et respect des libertés individuelles et collectives, n’ait pas rencontré leur grande faveur. Qu’en effet elle reste à ce jour franchement illisible pour bon nombre d’observateurs.

jeudi 1 mai 2014

MILOUDI AL MOUKHARIQ N’EST-IL DANS L’INVENTION D’UN STYLE SYNDICAL COMME MOYEN DE JUSTICE SOCIALE CONSENSUELLE ET AUSSI DE SUPPLICE DES DÉCIDEURS FAUX CHÉRUBINS RÉCALCITRANTS !

CE SYNDICALISTE DE LONGUE DATE N’EST-IL EN PASSE D'EXÉCUTER SON ULTIME ASSAUT DE LA GALERIE DU NOUVEAU RENOUVEAU ÉMANATION DU CYCLE-SYNDICALISME CONSENSUEL POSITIF ET RÉALISTE ?

       Maintenant en pleine mobilisation inter et intra syndicale dans la perspective nouvelle d’après le 01 Mai 2014, Miloudi Al Moukhariq serait-il devenu de par l’effet feed-back de son aura-reconversion, le seul vrai témoin crédible du chrono-changement syndical marocain ? En effet, n'est-ce pas de multiples chocs sont provoqués après des mises au point nécessaires par logique comparative entre syndicats, pour tout savoir sur leurs contenus qu’ils soient d’inspiration voulue où dictée sur la rétroaction gouvernementale ? Par conséquent au vu du constat sur le terrain, on peut désormais affirmer que les précisions sur leur savoir-faire en gouvernance syndicale, ne sont plus seulement dans les mémoires des intervenants en comités restreints, mais aussi à la portée de tout le monde. En ce sens, même en s’efforçant de faire la synthèse positive des différents positionnements du branle-bas amorcé de toutes les centrales syndicales, le hic c'est que des désinformations et intox polluantes sont distillées par les politiques affiliés ne facilitant le dépassement dextrement soit-il de la confusion induite. Parce que c’est semble-t-il lié malheureusement à la présence de forces soudoyées dans ce magma syndical-politicien, n’usant que de raisonnement et contre façonnage évidemment logiquement contestés par les adhérents.

   
    Cependant, à cet égard, ceci engendre questionnement sur ce fléau et donc nécessité de réadaptation de la marche des structures syndicales aux nouvelles donnes mondialisées. A l'évidence, n’est-ce pas la longévité aux commandes d’un leader syndical contrairement à celle du politique, aiguise les appétits et les envergures des postulants à sa succession ? Et ce, en raison des combinaisons nombreuses en pratique programmatique de concentration décisionnelle sans la moindre coordination des filières, qu’aucun relais médiatique honnête n’était capable de dénoncer voire de déstructurer. Aussi, Al Moukhariq en tant que syndicaliste venu des rangs, dans son cas, on ne peut être plus catégorique pour cette version des choses le concernant après feu Benseddiq. Et ce, parce que sentant après avoir été porté à la tête du syndicat que cette stratégie ne pourrait continuer à se pratiquer dans le Maroc d’aujourd’hui. D’autant plus, restant convaincu que le mouvement syndical est devenu mondialisé, en plus sachant pertinemment que Feu son ex-gourou avait su maintenir son syndicat avec une main de fer hors champs politiques. Pour des raisons de survie et d’utilité pour affaires invraisemblablement tenues secrètes, dont la divulgation fut souvent punie de bannissement où de lynchage de connivence médiatique. Allant parfois jusqu’à ce que écartement pour ne pas dire mort sociale syndicale s’en suive pour tout un chacun s’essayant à ce jeu dangereux.

   
  
  Certes le syndicalisme n’est pas une science exacte, c’est juste un combat revendicatif multi sens de longue haleine à tous les niveaux et dans tous les secteurs. Sauf qu'il est soumis à l'influence de la rythmique politicienne diversifiée, et /où l’homothétie dans l’action contre nature entre centrales syndicales, leur auto copiage-collage dans le traitement des crises pour raison d’opportunisme et leur entraide-copinage de soutien sans fondement ni moralité, n’ont pas de place avec les temps qui courent. Mais attention à l’illuminisme outrancier entre autre insubordination dans l’Etat de droit, surtout avec l’arrivée du PJD aux affaires de l’Etat. Comme ce qu’on voit ici et là et de toute part, menant à des situations parfois de grand péril portant atteinte à la gouvernance et donc à la démocratie. N’est-ce pas, les casseroles d’antan sont toujours dans l’antichambre, elles ne sont ni lavées ni séchées ni rangées et encore moins placardées où emmurées ? D’ailleurs la remontée en surface ces derniers temps de lourds dossiers dont celui de CNSS comme d’autres, révèle à plus d’un titre l'envie d'en découdre avec les pratiques des receleurs sociaux avides et dénués de scrupules.

       Sauf qu’aussi Feu Mahjoub, de son vivant même de par sa longue éclipse de la seine syndicale, de son attitude on le voyait récompenser seulement les proches et défavorisait les frondeurs voire récalcitrants à sa méthodologie de gouvernance à distance. A cet égard Al Moukhariq, pour le favori qu’il était devenu avec le temps, n’ayant connu en fait que des missions pour situations de crises difficiles, ce lourd fardeau formait pour lui à la fois une barrière redoutable et un défi exaltant. Visiblement, tout compte fait, on ne peut pas dire qu'il n'ait pas montré sa valeur ajoutée d’incontournable au sein du syndicat UMT de par sa compétence et assiduité. N’est-ce pour cela, il continue à adapter sa centrale aux réalités surtout nationales, ne l’organisant plus seulement à la verticale, mais aussi à l’horizontale par la restructuration basale ? Evidemment, il se donne beaucoup de mal pour vanter cette attitude adoptée, car les travailleurs comme les patrons ne considèrent plus leur entreprise une entité unique et indivisible, au vu des dangers de compétitivité mondialisée dans tous les secteurs. Déjà au rythme benkiranien actuel rien n'augure que le nombre d'emplois nouveaux pourrait être appelé à augmenter, hormis qu'il serait probablement amené à subir d'importants glissements dans la répartition de fonctions et des qualifications.     

    
   C’est vrai, ce besoin de rassurer en se rassurant lui-même, répond à son souci primordial de ne pas susciter chez les autres centrales la tentation de l’éclatement dans les revendications, même si, l’UGTM de Chabat continue de faire cavalier seul. Toutefois comme il a déclaré récemment à l’issue de la manifestation unifiée tri syndicale FDT-CDT-UMT du 06 Avril 2014, il va falloir chercher des accords dans tous les domaines avec le patronat et gouvernement sans renoncer aux valeurs d’Al Karama en collaboration avec la société civile. Parce que pour lui, ce ne sont ni l’offre benkiranienne d’un maroquin qu’il a refusé, ni l’émoi provoqué suite à la tentative d’agression-accident sur l’autoroute Casa-Rabat qu’il ait vécu, ni les péri-para-phrases du ministre du travail Abdeslam Seddiki visant à dégonfler artificiellement par des jeux d’écriture les chiffres du chômage et encore moins l’annonce gouvernementale à la veille du premier Mai 2014 de s’y être mis d’accord avec les partenaires sociaux sur les augmentations des minima sociaux ayant mis le patronat en état de légitime défense, qui pourraient amadouer ses positions envers la perspective gouvernementale dans les traitement des grands chantiers attendus. A ce titre, aussi n'est-ce pas que dans son ultime conviction, le principal défi de la modernisation du pays qui attend le gouvernement comme les partenaires sociaux, est l'exigence de rapidité d'exécution programmatique sociale concertée dans la cohérence, tout particulièrement là ou le retard pris est loin d’être négligeable ? C'est pour cela dans la foulée pense-t-il que ces évolutions qui sont pour le moment timidement amorcées, mettront l'université les grandes écoles et les instituts dans l'obligation de revoir leurs objectifs et leurs méthodes de formation et de stage d'initiation continue, en développant des relations plus étroites avec les entreprises surtout PME-PMI.

  
     Néanmoins, si l’on se réfère aux études du HCP de Bank Al Maghrib et aussi sur les désirs prospectifs du CGEM, on peut entrevoir quels seraient si tout va bien les débouchés dans le plan émergence 2014-2020 préconisé par le ministre Hafid Alami devant Sa Majesté le Roi Mohamed VI à Casa. Sauf que c'est mal parti, suite à l'inconfiance manifeste montrée de la part des partenaires sociaux à l'égard de ce qu'ils appellent la manœuvre politicienne de Benkirane en l’occurrence après les échecs cuisants aux élections législatives partielles de Moulay Yaacoub et Sidi Ifni. Aussi, il est important de citer ce qui reste à concrétiser impérativement dans, le domaine de la recherche dont la solution réside sans doute dans la mobilisation des fonds et transferts des ressources, la Maquassa que la répartition de productivité solidaire pourrait résoudre, les caisses de retraites demandant malgré tout l’effort évident de réorientation des cotisations dans la durée honorable tenant compte de la pénibilité et travail des femmes, et enfin la régionalisation avancée dont la transformation du corps industriel va affecter le corps social dans son ensemble selon la spécificité régionale.   

   
    Désormais pour lui il faudrait souvent se concerter et se solidariser, sinon il n’y aurait ni trêve ni répit dans l’action intersyndicale. Pour autant, il ne cherche même pas d’effrayer le gouvernement moralement désappointé par l’actuelle situation socio-économique. Mais, souvenons-nous de son cri du cœur et de l’honneur au moment du conflit déconcertant dans le secteur de la santé de Mme Baddou et qui s’était accompagné de violentes bastonnades à l’encontre des manifestants dépassant largement le maintien de l’ordre. N’avait-il improvisé son fameux point sur la table, d'où son retrait immédiat de la discussion sans ambiguïté, qui à l’époque a secoué le gouvernement de Abbas Al Fassi l’Istiqlalien ? Lequel se trouvant devant un dilemme, où bien il propose des solutions loin des rafistolages, où il aura tout loisir de mesurer la portée de la grève envisagée. Ce qui aboutit au fameux procès verbal protocole d'entente du 26 Avril 2011 entre syndicat et gouvernement, qu'au demeurant fait couler beaucoup d'encre à ce jour.


       En tout cas, tous ceux qui politiquement connaissent où pressentent le sens caché de son ultimatum à Mme Baddou qui n’en disait pas son nom, ont aujourd’hui de bonnes raisons de penser que l'homme est faussement modeste. Parce qu’incontestablement, il connaissait à merveille l’art des conciliabules et aussi celui de jeter l’huile sur le feu. En effet et toujours pour mémoire, sa sortie médiatique à l’émission Hiwar d’El Alaoui en pleine consultation pacifique de la commission Mennouni sur la constitution en 2011, n’avait-elle étonné plus d’un, face à des journalistes décevants le regardant sourcil froncé. Il est vrai qu’il s’était illustré expert en la matière maîtrisant parfaitement ses dossiers. Tellement que les applaudissements non tolérés mais répétés jusqu’à l’énervement, avaient salué sa prestation. Evidemment Benkirane le sait, et s’essaye malgré lui de n’attiser les conditions de la marginalisation gouvernementale, par la fronde patronale qui monte en puissance risquant de plomber l'envol économique et aussi par les perturbations sociales dont les syndicats sont capables de produire. Sauf qu’il n’y arrive pas de par ce manque de confiance à son gouvernement, d'abord du patronat dont désormais le RNI s'en trouve en mal d’être voire indisposé, puis et surtout du tissu syndical associatif et même politique.