dimanche 26 juin 2016

L’ÉTÉ POLITIQUE MAROCAIN 2016, TOUT UN ÉVENTAIL DE PRÉOCCUPATIONS SI CE N’EST DANGERS…

POURQUOI DES PARTIS DE L’ESTABLISHMENT TELS PI-PJD-PPS VEULENT SE DISPENSER DE LA CONCURRENCE POLITIQUE DU PAM PARAISSANT POUR EUX SANS L’AVOUER FAROUCHE ET INTRAITABLE VOIRE INFERNAL?

       La constitution marocaine du 01 Juillet 2011 n’est-elle établie sur le fondement de la monarchie constitutionnelle et parlementaire tendant à parvenir à une plus grande unité parmi les marocains ? Dans le but de sauvegarder l’héritage séculaire de l’intégrité territoriale et de réaliser le recouvrement de toutes les souverainetés dans l’idéal du progrès économique et social. Et ce, sans qu’elle ne soit aucunement réduite et sous quel prétexte que ce soit, aux dimensions de quelconque refus d’un Exécutif d’un parti d’un corps consultatif ou d’une institution de renoncer tant soit peu à la consultation nationale régionale et locale. Ainsi, pour ce qui concerne les élections législatives futures du 07 Octobre 2016, les partis politiques ne pourraient-ils mobiliser leurs adhérents et sympathisants plus efficacement, et concentrer leurs éléments de langage à la production de programmes électoraux adaptés réels pragmatiques et facilement applicables ? Dont il convient également au sein de certains parmi-eux pratiquant l’outrage l’insulte et les attaques passionnées, de supprimer leurs envies restrictives existantes sur la libre participation des personnes d’ici là qui ne rentrent pas dans leur cadre hégémonique.            

       Il est vrai que l’on se pose à l’aune de ces élections législatives des questions sur cette organisation de leurs rangs, laquelle n’est-elle considérée comme une mesure défensive par peur des PAMistes ? Car à l'évidence, ce parti n’est pas le seul obstacle devant eux, il y a aussi de bonnes raisons de se demander qu’en est-il advenu du bilan dispendieux gouvernemental sans l’aide de l’Etat-Maroc sur la production diversifiée de développement intégré via des fonds souverains de pays amis ? Aussi, désunie qu'elle est, la coalition gouvernementale succomberait-elle encore à l’hégémonisme emphatique PJDiste ? L’opposition connaîtrait-elle aussi un sort analogue de ce qu’elle vit actuellement ? Où verrait-on l’avènement de la gauche unifiée non koutléisée ? Mettant en commun ses ressources humaines pour se frayer un chemin dans la représentation et, donc, se faire forger son destin de parti du gouvernement à l’avenir dans un Maroc stable uni et unitaire. Parce que, le but pour l’Etat-Maroc n’est-ce d’assainir les comptes publics sans enfreindre les principes des droits du point de vue politique social économique culturel et humanitaire ? Qu’en plus, dans cet ordre d’idées de coordonner la politique économique sans contraction de crédits à tire larigot, d’accorder l’assistance technique et financière à l’industrie et à l’agriculture numérisées écologiques du futur. Sans omettre de favoriser la recherche et d’encore encourager d’allouer le nouveau matériel conceptuel qui faisait défaut il n’y a pas si longtemps au gouvernement actuel. Bien sûr, pour assurer la croissance sans enfumage ni maquillage et faire reculer le chômage en dehors des tripotages des données, afin de se mettre dans la ligne directrice géopolitique et stratégique visionnaire du Roi du Maroc.   

       Cependant, par ailleurs, n’est-ce là où le bas blesse, alors qu’on s’attendait à vivre pleinement un Été politique préélectoral avec des programmes pleins de nouveautés dans la gamme des offres des partis, voilà que le chef du gouvernement nous parle de l’existence de deux Etats-Maroc. Une irresponsabilité manifeste voire immaturité politique déconcertante, de la part de cet homme partiellement déguisé en craintif superstitieux. Lui, l’islamiste qu’effectivement comme ça il se montre de fait en déphasage avec ce que préconise en réalité la foi musulmane de ne faire l’effort dans la superstition. En particulier à propos de son hyper planification de choix de ‘’thèmes d’Alfitna’’ (Anarchie et violence), croyant ainsi dominer ses peurs de ne pouvoir politiquement survivre aux écueils qu’il a lui-même crée par suite de ses sautillements politiciens contradictoires. En plus n’en n’ayant tenu compte de la mobilisation tous azimuts des services sécuritaires marocains civils et militaires qui contrecarrent avec vigilance, maîtrise, sacrifice et beaucoup d’honneurs l’éventail des dangers rodant autour du pays. Puisqu’il en a certainement eu vent de rapports spéciaux sur les préoccupations des conséquences du Brexit sur Gibraltar et les présides de Mellilia et Ceuta, de la montée des populismes en Espagne comme Unidos-Podémos, la place future dans l’échiquier onusien du Sahara marocain, la politique européenne pour des raisons de sécurité mondialisée et la redistribution géopolitique stratégique selon le nouvel axe le l’Asie du Sud-Est.

       Néanmoins, est-ce que cette implication de cause à effet dont les observateurs politiques nationaux avertis et mêmes étrangers au diapason de ce qui se trame contre le Maroc, n’en suppose que son message trouve sa motivation dans l’idée obscure qu’il commence à se partager avec ses inconditionnels se voyant tous futiles et inutiles voire déjà périmés. N’ayant après cinq ans d’Exécutif, intégré que l’Etat-Maroc constitue le socle de la cohésion marocaine dans la stabilité et la responsabilité autour du Roi de surcroît facilitateur d’émission d’idées constructives du futur et non destructrices de l’image de marque du pays. Vraiment, si le chef du gouvernement ne put comprendre cela, il en est de même de quelques politiques amnésiques et leurs plumes ponceuses et non penseuses, qui, à une époque plus récente se déclarèrent anti hégémonie islamiste, à même d’avoir quitté avec fracas la première mouture de la coalition gouvernementale. Et dont, n’est-ce ce même Etat-Maroc qui ait pu sauver cet homme et ses coalisés de circonstance de la traversée du désert, dans leur expérience qui semblait entraîner plus d’ennuis que d’avantages pour le pays. Autrement dit ‘’souffle souffle vent d’hiver, tu n’es pas si cruel que l’ingratitude des hommes’’ dixit W. Shakespeare.  

       De ce point de vue, ne peut-on conclure c’est parce que ces partis sont incapables de soulever l’enthousiasme de la société marocaine multiculturelle, en ne vivant par ailleurs que sur le passé dont ils voudraient l’efforcer d’établir ? Notamment par des liens d’opportunisme ambivalent, sans vraie organisation de coopération ni coordination dans les programmes des uns et des autres. D’ailleurs, à ce titre, n’est-ce vrai que tous y paraissent bien plus probables qu’ils aient senti, d’abord pour les uns, une limitation dans leur représentation souvent hostile que paisible à l’Etat ? Alors que pour les autres, une humiliation de ne comprendre qu’ils sont dans une position carrément périlleuse selon les conditions de leur recherche d’affrontement ? En tout cas ‘’Drabni Akhobzi’’ (Frappe-moi mon pain) ! D’autant plus tout le monde sait que le cycle de fabrication des majorités est désormais caduc, au point que l’on puisse deviner l’expression d’amertume comme intitulé à l’exemple : ‘’L’Etat-Maroc ne se voit-il subliminalement menacé de l’intérieur au-delà du concevable voire du tolérable, par des partis ayant mangé des années durant dans ses mains’’ ? Pour les uns avant et pour les autres après, le discours mémorable du 09 Mars 2011, même voulant aujourd’hui sans en avoir ni la popularité ni les moyens, faire du chantage à la construction de la démocratie pour que ce même Etat-Maroc succombe à leur hégémonisme au détriment des résultats des urnes. A bon lecteur bon décryptage ! 

jeudi 23 juin 2016

C’EST QUOI CES SIGNAUX SUBLIMINAUX PAR MÉTAPHORES-RÉQUISITOIRES INJUSTES, DES POUVOIRS ALGÉRIEN ET MAURITANIEN CONTRE LE MAROC ?

LE MAROC EN DÉCRYPTAGE CONTINU DES ESSAIS-MISSIONS D’OUVERTURE DES PORTES DE L’ENFER AU GRAND MAGHREB, DE LA PART D’ALGER NOUAKCHOTT ET SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DE L’ONU.

       L’Algérie entre pétrole et misère, ne se dirige-t-elle vers le chaos sans trouver inspiration de résoudre ses échecs itératifs socio économiques par suite de mauvaise gouvernance, s’ajoutant à ceux culturels identitaires désolants à tous les points de vue ? Ni même, d’assurer rétroaction politique structurelle de repentir pour s’en sortir et échapper à ‘’Adieu pouvoir algérien, Bonjour la Kabylie le Chaouia le Touarguis le Sahara oriental marocain spolié et d’autres contrées’’. Contrairement au Maroc stable, qui, lui, est dans son dynamisme politico-institutionnel sécurisé et évolutif via des processus d’excellence exécutive socio économique écologique culturelle et cultuelle. Et ce, pour la finalisation cohérente de son objectif de surveillance de tels essais incendiaires à Alger Nouakchott et au Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon voulant saper cette tendance marocaine vers l’émergence.

       Alors, face à cette situation, que peut-on dire de la Mauritanie productrice du doute existentiel de la paix au Grand Maghreb, du fait qu’elle est protectrice de la route de Daech vers le Golf de Guinée ? A cet égard n’est-elle dans son rêve de vouloir sans pouvoir, exploiter la mésentente Maroc-Algérie par son jeu balançoire dans l’affaire du Sahara marocain ? Ne sachant qu’à l’origine, son installation à elle sur le prolongement du Maroc n’était qu’une étape militaire de descendre vers le Sud de la part de la France et l’Espagne. Pour s’emparer des centres miniers et commerciaux particulièrement sur la route de l’africité marocaine, n’ayant malheureusement aboutit par jalousie depuis l'époque de Feu Boumedienne qu’à l’imbroglio onusien en ce temps présent sur le Sahara marocain. Qu’au demeurant, effectivement, cette tendance est devenue presque une foire annuelle fondée sur marchandisation et échange des voix au Conseil de Sécurité de l’ONU dans ce conflit qui n’a que trop duré.

       Néanmoins par ailleurs, devant une telle problématique, que doit faire aujourd’hui le Maroc pour remédier à ça, alors même que les marocains sahraouis s’y étaient exprimés dans la transparence au niveau de la pratique pour la contribution à la qualité de la démocratie lors des élections locales et régionales du 04 Septembre 2015 ? Ne doit-il lui-même en tant que pays expert censé et responsable en sécurité mondialisée tout comme ses alliés géopolitiques et stratégiques, de s’inscrire dans l’évolution de disposer d’outils référentiels de lutte sans merci contre les infiltrations. A même militairement contre les harcèlements territoriaux réputés gravissimes venant du Polisario de l’Algérie et de la Mauritanie à l’intérieur des zones de séparation ? C’est ainsi, qu’en plus, voyant sa population sahraouie civilement s’associer à la gestion de proximité avec la manière idoine de se prendre elle-même en charge pour son bien-être, le Maroc n'a plus de choix que de conserver coûte que coûte, diplomatiquement, la proéminence de son offre d’autonomie gestionnaire de son Sahara dans la régionalisation avancée pour les 03 régions Dakhla-Laayoune-Gelmim. Sans tenir compte des récentes attitudes non bien calculées de la Mauritanie à Mauritel à Attijariwafa Bank et autres Sociétés étatiques envers lui. De surcroît cachant d’autres surchauffes annonçant des bruits de bottes, dont personne ne peut nier qu’il s’agisse d’envenimation relationnelle dictée par les envies d’hypertrophie frontalière algérienne.

       Cela ne signifie-t-il que le travail de la machine diplomatique marocaine, particulièrement le noyau qui traite de l’information géopolitique et stratégique, ait été parfaitement dans la vigilance et la maîtrise par les décryptages de toutes les malveillances. Dans la mesure où sûrement cette machine humaine a pu mettre à jour des raisonnements encore inconnus du marocain lambda, par manque d’échange informatif en ON et non par dépassement de ses forces de compréhension. Or, qu’on ne le veuille ou pas, à ce double égard aujourd’hui, ni l’aide de Ban Ki Moon à l’Algérie ni l’emprise du Département d’Etat américain sur la présidence en Mauritanie ne présentent de prime abord un intérêt géostratégique de stabilité régionale. Si ce n’est, seulement, géo-politiquement encourager le pouvoir algérien à continuer à vouloir s’élancer militairement via le Polisario vers l’Ouest pour réaliser son rêve d’avoir un comptoir sur l’Atlantique. Notamment par l'usage d'effet de surprise et donc le fait accompli tout en offrant un champ d’exploration à la nébuleuse terroriste. Sans en nier la part importante des aides-encouragements des lobbyings occidentaux surtout américains aspirant s’approprier de ce conflit-tiraillement Rabat-Alger pour pousser au déclenchement du remembrement de tous les pays de la région. Sauf qu'il ne faut pas se leurrer, le Maroc n'est pas né de la dernière pluie pour se laisser berner à ce point, il a sûrement placé le meilleur dispositif pour verrouiller ses frontières de manière à contrôler à tout instant toute inimitée de quelle origine qu'elle soit et d'y répondre de façon éclair terriblement énergique. Même sortant des commodités, comprendra qui voudra!  

       Voilà pourquoi, même si, pour le président mauritanien sa stratégie constitue d’après lui un défi où il n’y a pas la moindre fausse note, comment expliquer le scepticisme dans lequel l’Egypte Soudan Liban CCG Libye et même Israël quelque part son bailleur de fonds, n’accueillant pas d’un bon œil sa préparation du Sommet Arabe sans garantie de n’harceler le Maroc qui, lui, l’eut souverainement évité. N’est-ce cela prouve sans aucune humiliation ni snobisme, que la Mauritanie ne pourrait un jour être l’élément incontournable sur le plan diplomatique dans le règlement du conflit au Sahara marocain ? Car seule l’Algérie est la clé de voûte, dont malheureusement sa diplomatie belliqueuse à tendance guerrière de par l’escalade qu’elle mène vis-à-vis du Maroc, n’est autre qu’une activation sournoise du processus de descente aux enfers de toute la région Euro Méditerranée Maghreb et bande Sahélo subsaharienne africaine. Alors que cette étendue géographique est déjà devant un paroxysme ethnoculturel-cultuel qui certainement aura un coût élevé de prise en charge terroriste hors portée de tous les pays qui la constituent si rien n’est rattrapé.

       C’à quoi, en résumé, que le pouvoir algérien et la présidence mauritanienne cessent de parler par métaphores, puisqu’en vrai ils prononcent leurs réquisitoires combinés injustes contre le Maroc. Sachant, pertinemment, qu’il y a des pays et non les moindres qui n’acceptent ni leurs tergiversations ni les manigances de Ban Ki Moon, en tentant de faire bouger les choses d’abord sur le recensement des séquestrés marocains dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs, puis sur les détournements des aides humanitaires et le financement de l’armement du Polisario s’alliant à la tactique militariste à outrance du pouvoir algérien. A bon suiveur bonne lecture !   

dimanche 19 juin 2016

POURQUOI IL N’EST PLUS SI AISÉ POUR L’ ALGÉRIE ET LA MAURITANIE RATTRAPER NI RELÉGUER LE MAROC STABLE ENTREPRENANT ET AGISSANT ?

FACE A LEUR NON-SENS POLITIQUE DE PRISE DE LEURS RESPONSABILITÉS, L’INTÉRÊT DU MAROC N’EST-CE L’ÉVALUATION EN CONTINUE DE LA QUALITÉ DE SA VIGILANCE ?

       Il est maintenant clair à tout un chacun que le Maroc résiste à la trivialité du département d’Etat américain, aux manigances de Ban Ki Moon et aux menaces terroristes sous coupole de l’Algérie avec la convenance de la Mauritanie toujours otage du non dit. D’autant plus qu'il le fait avec le succès que l’on sait par la mise en application de son plan national sécuritaire, contrecarrant ainsi la trilogie diffuse de leur ressemblance presque mafieuse. D’où l’on trouve à juste titre qu’elle est contestable, car moins significative par rapport à toute démarche relationnelle honnête voire diplomatique sainement entreprise. Triste constat pour leur projet, et ce, dans la mesure où le Maroc s’est montré capable de s’opposer à toutes leurs malveillances décrites ici et là de leur représentation n’étant en vrai qu’une coquille d’illusions ! Dont le passage de l’une à l’autre n’apporte rien à l’univers du vivre en paix, de surcroît ne montrant seulement qu’une circularité de multiples essais-renvois de leurs croyances sans effet sur l’ordre des choses sur le terrain hautement sécurisé coté marocain.

       C’est là précisément que le pouvoir algérien et la présidence mauritanienne paraissent comme des fossoyeurs des tensions, en construisant des schémas d’intelligibilité qui ne font plus appel à la retenue ni au bon voisinage. Même s’il faut nuancer, justement, que toute la classe politique algérienne porte la responsabilité du gâchis qui continue et du malaise qui perdure. Notamment face à la légitimité du désir de création et de matérialisation du rapprochement avec le Maroc par les peuples algérien et mauritanien. D’ailleurs, n’est-ce pas que sur cette continuité qu’est fondée la fraternité entre marocains algériens et mauritaniens raisonnables dans leurs environnements respectifs? Qu’effectivement aujourd’hui n’ont leur place socio-économique culturelle cultuelle et sécuritaire politique qu’au Maroc et nulle part ailleurs dans la région. Et, dont cette idée doit normalement peu à peu réduire les invectives des gouvernants vis-à-vis du Maroc en allant vers une maîtrise de plus en plus grande d’eux-mêmes.  

       Aussi, pour être plus exhaustif dans ce raisonnement, les pouvoirs algérien et mauritanien désormais qualifiés nécessiteux mais ne se privant de l’engrenage du luxe, ne se voient-ils mangé peu à peu par les excroissances des libertés matérielles et immatérielles du Royaume du Maroc ? Dont l’analyse politique du progrès enregistré par ce dernier, montre facilement qu’il déborde le domaine des besoins fondamentaux et du développement pléthorique, avec rendement non stéréotypé que la présidence en Mauritanie daigne à ne pas intégrer dans son logiciel. Néanmoins, de par leur citation en tant que partie prenante concernant l’affaire du Sahara marocain, ne sont-ils le visage de l’aliénation et dépossession d’eux-mêmes ? Parce que s'il est facile de démontrer le mécanisme de leur machiavélisme producteur de malveillances anti Maroc au nom du mensonge tricherie et contrevérité, la tache est plus ardue quand il s’agit de détruire leur tentative de séduction notamment sur les pays de la région surtout sur quelques foyers résiduels jaloux de l’époque Benali en Tunisie.

       Alors, par conséquent, que faire dans ces conditions, face à cette interminable cascade de jeux de souffrance régionale, s’ajoutant aux manipulations systématiques dont sont victimes les ONG et sociétés civiles dans ces pays ? S’additionnant au désespoir qui ronge leurs populations qu’au demeurant tous les éléments de sa production sont devenus finalité sournoise de freiner les tentatives et essais d’envols marocains vers l’émergence sociale économique cultuelle culturelle et institutionnelle politique. Voilà pourquoi il n’est plus si aisé pour quiconque de remettre en question la détermination du Maroc d’aller de l’avant, et/où se mêlent dans sa ligne directrice le respect des droits humains et la reconnaissance du droit de chaque pays du Grand Maghreb à réaliser ses programmes de développement selon ses potentialités géopolitiques et opportunités stratégiques. Comme d'ailleurs ce qu’a fait le Maroc en anticipant par ses atouts en tant que pays sérieux méritant confiance, d’abord sur le déplacement du centre d’intérêt à l’international à tout point de vue dans les dix prochaines années vers l’Inde la Chine la Russie l’Asie du Sud-Est et toute l’Afrique. Puis, sur les priorités de faire voir et valoir le saut qualitatif de sa diplomatie offensive dotée de soutien surtout de la France Espagne des pays du CCG Chine Turquie Pakistan Japon Russie et autres pays d’Amérique Centrale et du Sud ainsi que des pays africains.

       Et pourtant, c’est bien dans la perspective de confrontation entre structuralisme étatique marocain civil et militaire très fort allant de l’avant et, présentation idéologique comme une pure et simple jalousie de la Mauritanie surexcitée voire Tunisie médusée et à plus forte raison du pouvoir algérien tétanisé, que l’on peut situer certains aspects du prolongement de la mort géostationnaire du Grand Maghreb. Ce qui, certainement, aiderait à les analyser et à en comprendre les dessus-dessous pour découvrir tous les nœuds des thèmes des diverses malveillances antis Maroc et aussi l’ampleur de leur corrélation. Notamment en les utilisant en tant que socle d’investigations stratégiques pour trouver aisément une explication ou une référence pouvant aider à l’assimilation des tendances géopolitiques dans toute la zone Euro-Med Maghreb et bande Sahélo subsaharienne africaine. Là aussi l’analyse structurale du désir de déflagration guerrière dont on entend de temps en temps la juxtaposition des bruits dans la région, n'est-elle en fait à l’œuvre qu’on ne le veuille ou pas ? Dans la mesure où l’activité diplomatique belliciste par filiation de certains missionnaires rodant autour, s’explique à plusieurs niveaux refusant malencontreusement tout mouvement de rappel historique pour ne considérer que la permanence de la concurrence sinon l’adversité Maroc-Algérie par les faits empiriques.

       Cependant, et c'est là où le bas blesse, n’y a-t-il là dedans un fait tangible dont il semble que les diplomates en Mauritanie n’en tiennent pas compte, car sont subjugués par le rôle locomotive que les USA leur miroitent dans le G5 d’Afrique subsaharienne ? Même sachant pertinemment que le Maroc déjoue les ordinations du Secrétaire Général de l’ONU qui sont la pensée même du département d’Etat américain voulant déstructurer les pays d’Afrique du Nord et la bande sahélo africaine. Aussi, les structures mentales actuelles de la ligue arabe ne peuvent aucunement changer ce dilemme régional, surtout par des Sommets à l’emporte-pièce dont le Maroc n’en veut plus ayant dit souverainement courageusement ce qu’il en pense. En effet, on retrouve là le problème tel qu’il est formulé aujourd’hui par bon nombre d’observateurs sur l’inefficacité pour faire éviter à la ligue arabe cette continuelle douleur. A cet égard, ne faut-il pour cela mettre sur pied un conclave de maturation des idées de normativité de revigoration du monde arabe en déliquescence, pour remédier au profond désarroi dans lequel se débattent les peuples ? En fait, pour la Mauritanie dans son désir d'organiser le Sommet de la ligue arabe, l’accessibilité à cette révision intégrale s'impose avec acuité. Malheureusement son chemin est plein d’embûches au vu qu'elle n'est nullement souveraine pour ça, ne pouvant lutter contre l'inexorable joug du pouvoir algérien sur tous ses fonctionnements. 

       A cet égard, n’est-ce là où l’on voit que la Mauritanie n’est pas capable d’affirmer les mêmes valeurs que le Maroc, du fait non pas simplement d’avoir été conditionnée mais de ne s’être normée elle-même en posant des fins de non recevoir au pouvoir algérien en fin de vie ? Pauvre Mauritanie en l’occurrence ! Parce que placée désormais dans l’ordre de l’alchimie terroriste dont les tenants et aboutissants s’efforcent de la presser davantage par le chantage sur sa stabilité fragile de par la guéguerre ethnoculturelle larvée existante. De telle sorte qu’elle ne puisse rester malgré tout en dehors de sa neutralité d’antan dans l’affaire du Sahara marocain, en alimentant en plus une polémique aussi confuse qu’inappropriée sur le Futur du port de Dakhla qui serait la pierre angulaire géostratégique des échanges commerciaux internationaux, et non pas Nouadhibou concernant le développement de l’Afrique subsaharienne. En faisant délibérément abstraction des termes des règles des possibilités nombreuses de collaboration tripartite Sénégal-Mauritanie-Maroc pour le bien de l’économie et du commerce transafricains. A bon suiveur bon décryptage !

dimanche 12 juin 2016

GUERRE OU PAS GUERRE, LE ROYAUME DU MAROC VA BIEN CONTRAIREMENT A L’ALGÉRIE !

N’EST-CE LA OU L’ON VOIT L’ILLUSTRATION MANIFESTE DE LA PANNE DU MODÈLE ALGÉRIEN ET SON CARACTÈRE HAUTEMENT ARTIFICIEUX?

       Entre le Maroc et l’Algérie, n’est-ce qu’on ne peut continuer à s’observer en intérimaires producteurs de haine dans les couloirs des instances internationales et aux postes frontières ? D’ailleurs, qu’on ne le veuille ou pas, le paroxysme relationnel pas seulement diplomatique que vivent les Etats au Grand Maghreb fait couler beaucoup d’encre aux Nations Unies. Et dont le défi des gouvernements actuels sera de prouver que ce n’est pas uniquement sur intentions déclaratives de bonne coopération que la stabilité de cette entité sera assurée. Autrement dit, la question qui se pose n’est ni plus ni moins de savoir si le climat de dé confiance installé entre le Maroc et l'Algérie pouvait faire craindre une décision défavorable à la production de l’entente physique géostratégique pour la région. De surcroît, elle n’en serait qu’aventureuse dont on ne saura pas combien de temps ça durera, sachant que les tireurs de ficelles en Occident notamment à Washington n’attendent que l’occasion pour justifier leur recours pré préparé et préconçu du démembrement de toute la région.

       Pire encore, n’est-ce là où l’on voit même un appel sournois à la destruction de l’historicité séculaire des pays de l’Afrique du Nord tels le Maroc la Tunisie l’Egypte et la Libye ? Aussi l’interaction entre la filouterie et la transgression par des pratiques que développent certaines ONG se satisfaisant de leur rôle usurpé, dresse des contrats-missions usant de listes de pré condamnation ici là pour pouvoir nourrir des crises qui peuvent injustement ébranler les assises de ces pays pour les attaquer. Néanmoins, n’en peut-on y voir un beau camouflet pour les manipulateurs se trouvant derrière ces ONG, qui utilisent massivement voire abusivement cette usurpation soi-disant contrat-prérogative de Big Brother voulant banaliser cette pratique ? Dont il faut impérativement leur rappeler les limites que leur impose la conscience universelle de par la charte onusienne, pour circonscrire leurs actions tendancieuses à certains égards néocolonialistes déguisées. Et ce ne sont ni le pouvoir affaibli algérien au bord de l’anéantissement ni celui mauritanien mité portant équivoque dans sa gestion relationnelle balançoire, qui peuvent en affranchir la région de la régulation des conflits ethnoculturels que veulent imposer les américains et leurs manutentionnaires dans les instances internationales. Autrement dit, le risque est grand de les voir consacrer à leurs dépens une aspiration de contrôle de leurs arrières vis-à-vis même du Polisario par rapport à la guerre larvée qui rode déjà autour. Car ils ne sont ni boudés ni soutenus mais juste manipulés sans le savoir pour continuer leur jeu de souffrance, risquant à tout moment le balancement dans la galaxie de la tourmente terroriste.  

       Vraiment, des constatations pareilles donnent l’impression que les marocains en ont été convaincus depuis longtemps, mais en ont aujourd’hui la preuve directe et irréfutable qu’il y a anguille sous roche dans leur relation avec quelques pays occidentaux. Qu’effectivement devant la communauté internationale, tous ces pays passent à leurs yeux pour des Etats pourvoyeurs de déstabilisations, dont les démocrates sous Obama en sont les champions se plaisant à répéter leurs manigances provoquant chaos partout. Et qu’au demeurant sont à la source d’inquiétudes des peuples démunis qui essayent de se réveiller tant bien que mal malgré tout. Ce que confirment les Centres d’Etudes Stratégiques et Géopolitiques à travers le monde, voyant le Maroc comme la sonde-événement qui n’a jamais aussi bien mérité son rôle de soucoupe stable dans son orbite, et, donc de fait ouvert pour aller chercher spécifiquement la libération de toute l’Afrique, discours royal d’Abidjan 2014 faisant foi. Cela certes dérange ! Et qu’en plus ça commence à faire tache d’huile ayant pour objectif de dépasser l’imprévisibilité réactionnelle diplomatique d’antan, en consacrant l’anticipation par décryptage de l’arène communicationnelle et comportementale de tous ces pays.

       Il est maintenant avéré que dans tout ce brouillard, le Maroc y va sereinement droit au but de l’émergence socio économique par l’aura du Roi en répondant aux accroissements d’activités en fonction des variations politiques internationales temporelles voire cycliques conjoncturelles. D’autant plus que les piliers DPR (Dieu la Patrie et le Roi) de maintien en équilibre politique sociétal et sécuritaire du Maroc, donnent la tendance de requalification de sa constitution parmi les plus en avance pour ne parler que de ce volet. Lequel, par ailleurs s’étant montré on ne peut plus conscient de la priorité des marocains de vivre dans la sécurité la liberté la cohésion et l’unité à plus de 98% le soir du Référendum du premier Juillet 2011. Malheureusement cinq ans après il y eut bémol, dès lors que la croissance qui était à plus de 5% a convergé vers la récession à laquelle le gouvernement sous direction islamiste n’a pu efficacement faire face malgré l'effort colossal fait en parallèle par l'institution royale. D’ailleurs, cette récession ne se termine-t-elle en ce moment pour lui d’une piètre constatation de dé-confiance des analystes économiques et même du public, laissant ouverte la perspective de trouver des traces d’incompétence ayant induit cet état de fait. Particulièrement, parce qu’elle est marquée d’une croissance à peine à 1,5% qui s’est produite dans une période où les prix du pétrole ont atteints des cotations abyssales, presque trois fois moins chère qu’auparavant sans savoir en tirer profit par une exploitation efficace et mesurée des retombées. S’ajoutant aux diverses contractions de crédits hypothéquant l’avenir, risquant à posteriori de mettre les décisions souveraines en souffrance à l'usure du pouvoir Exécutif car même ailleurs cinq ans c'est long pour un même chef. Et ce, dans un monde où il faudrait redoubler de vigilance surtout quant au marché de l’emploi où chaque dirham de cet endettement n’est justifié par les comptes visibles du gouvernement en matière de lutte contre le chômage.

       Et même avec ça, le pouvoir algérien ne voit toujours pas d’un bon œil la façon dont le Roi du Maroc gère la géostratégie reprenant le contrôle des ondes de l’économie du pays, qui se renforcera coûte que coûte qu’on ne le veuille ou pas. Car s’inscrivant dans un accroissement durable, qui a du rechercher les niches lointaines de type et de dimension réalistes dans divers domaines de l’industrie écologique du futur et de la géostratégie civile et militaire en dehors de l’emphase et blabla de certains membres du gouvernement. En effet, même si le gouvernement actuel a beau dire que l’économie va bien, maintenant les marocains n’en seraient convaincus que des résultats liés à l’activité de l’implication effective du Roi Mohammed VI. D’ailleurs pour être honnête, ceci n’est nullement une condamnation du rôle normal et permanent de l’Exécutif, mais c’est une argumentation qu’au demeurant elle soutiendrait vigoureusement les politiques publiques dans le futur proche en leur donnant de meilleures garanties et chances d’aboutir. Loin de l’imprévisibilité des commandements qui ont entaché quelques décisions non seulement en Chefferie du gouvernement, mais aussi dans quelques ministères se voyant seulement matelas intermédiaires des missions-affaires durant les cinq dernières années.

       Voilà pourquoi c’est en tentant de détecter d’autres interférences extra maghrébines à connotations guerrières, le Maroc pourrait influencer d’aller vers des décisions non dramatiques et compréhensibles. Tout simplement, en montrant qu’il possède des compétences à la pointe de sa vigilance sécuritaire non belliciste la plus prometteuse qui soit, en mobilisant les marocains dans un but dissuasif sans renoncement à la moindre de leurs souverainetés dans la régionalisation avancée. D’ailleurs ses succès Express dans toutes ses missions géopolitiques et stratégiques avec la Chine les pays CCG France Espagne Inde Russie Turquie Pakistan Afrique et pays de l’Amérique Centrale et du Sud, n’aideraient-ils à convaincre les tireurs des ficelles au Département d'Etat américain, Christopher Ross, Ban Ki Moon et les pays récalcitrant à revoir leur positionnement en travaillant en complémentarité avec lui plutôt qu’en concurrence ? Comme ça, n’est-ce pas qu’ils donneront l’impression d’avoir politiquement pieds sur terre, en découvrant que le Maroc se construit sur la base d’une adhésion citoyenne aux dispositions constitutionnelles de l’Etat de droit ? Et non de continuer de s'imaginer en l’air, en se voyant ankylosés dans leurs retranchements avec l’esprit des disparus d’une odyssée mal scénarisée et non bien ficelée. N’est-ce là ou le traitement de leur carence de mémoire pose un vrai problème sur leur affinité au pouvoir algérien en fin de vie qui a mis le pays en lambeaux ? En plus, se trouvant aujourd'hui nettement en déphasage encore sur le respect des droits de l’homme, en particulier dans la gestion des crises itératives dans toutes les Wilayas à l’exemple de Kabylie, Mzabes, Chaouia et chez les Touaregs. Parce que, précisément, il n’y a aucun lien fondateur de l’unité de l’Algérie, si ce n’est la tentative découlant de soi-disant l’esprit de la constitution Boutaflika-dépendante dont personne n’en veut. Surtout en s’obligeant à faire avec, pour des motifs minima de loyalisme seulement au pouvoir militarisé des saigneurs de Ksar Lamradia et non aux diverses populations ethnoculturelles des seigneurs respectables. A bon lecteur bon décryptage !   

vendredi 3 juin 2016

QU’EST-CE QUI FAIT ENRAGER LE DÉPARTEMENT D’ETAT AMÉRICAIN ?

ALORS, POURQUOI CETTE CONSTRUCTION PYRAMIDALE DE MENSONGES INJUSTICES ET MALVEILLANCES ENVERS LE MAROC ?

       La question qui taraude les observateurs n’est-elle en vrai, c’est quoi ces impressions américaines en langue chargée de clichés sous forme de feuilles de choux à l’encontre du Maroc ? Dès lors que pour ce dernier, c’est juste une imagination mensongère et injuste, qui sert d’une façon directe les desseins d’essais  de réécriture de l’histoire du conflit préfabriqué par l’Algérie. Et ce, à travers des allusions et nœuds de la machination politique de Ban Ki Moon où s’expriment le détournement des aides humanitaires, l’abjecte connivence avec le terrorisme et les perversions analytiques des rapports d’ici là sur le respect des droits de l’homme. N’est-ce là où l’on voit que le Département d’Etat Américain sous John Kerry non content des résultats de ses malveillances intrigantes envers le Maroc, maintenant il emprunte hypocritement à la presse de caniveaux son style et sa brutalité argotique pour dénigrer le Maroc ? Ce que, ni les pays nordiques particulièrement la Suède ni le Royaume Uni en tant que pays risquant le Brexit qui pourrait avoir des répercussions sur Gibraltar avec l'Espagne et par ricochet sur Sebta et Melilia avec le Maroc, n'ont fait. Tellement ayant su parvenir circonscrire leur champ captif de leurs essais de malveillances dictées par des lobbyings anti Maroc sans tomber dans la bassesse désinvolte.

       Ce qui montre qu’évidemment les USA avec Obama, ont un problème avec la mémoire politique. N’arrivant à s’y faire à la parole donnée ni à l’honorer et encore moins de la faire progresser loin des tensions et des préoccupations sur le terrain. Evidemment parce qu’ils ont recours à des groupements de pression hypocrites et manipulateurs de la réflexion en perspective analytique politique Suzanne Reis-dépendant, n’usant que de leur bon vouloir d’interprétation et de proposition de solutions qui divergent voire se repoussent pour créer la confusion. C’est pour cela, c’est l’une des raisons pour lesquelles le Maroc avec d’autres pays vraiment amis continuent de se montrer vigilants vis-à-vis des USA. A même de se lancer à l’assaut de communication et d’explication sur la dangerosité de ces citadelles enfouies dans les quelques recoins de l’administration Obama. Même si, d’autant plus, beaucoup de faits diplomatiques marocains de haute sensibilité géostratégique de surcroit libérée de la chronologie traditionnelle d’errance dans le brouillard, continuent à troubler les USA dans leurs pensées complexes et embrouillées les mettant dans un état de rage bleue à son vis-à-vis. Au point que le Département d’Etat ait été contraint par réalisme certes hypocrite, d’entamer l’apaisement jusqu’à même à limer son cru de venin. Commençant à tiquer sur ses propres tracés hégémoniques pyramidaux de contrariété du Maroc dans le but de le rendre sanctuaire à la portée des monteurs du chaos. D'ailleurs aujourd’hui semble-t-il, il table sur son énième revirement pour solliciter un effort d’une ampleur de compréhension de la part des marocains, le considérant à juste titre un nid de crabes commissaires fraiseurs dans la surenchère d’un genre nocif pour la stabilité du monde.

       Maintenant l’on peut affirmer bien sûr toujours avec réserve, qu’ils ont compris que le Maroc est un pays à part. Dont aucun de leurs mystères n’y est ces  derniers temps parvenu à briser sa détermination politique, sa volonté d’aller de l’avant pour l’émergence et le leadership régional, sa cohésion sociétale pour la stabilité et sa solidarité intrinsèque avec la Royauté pour la pérennité. Ayant montré tout seul, avec ses propres moyens modestes qu’il n’aime pas la prolifération de la diplomatie mensongère coercitive, notamment avec ses virtuelles adaptations de conjoncture aux attouchements avec le terrorisme et le banditisme criminel internationalisé. Ce faisant, tout cela semble d’ailleurs plaire dans l’échelle de cotation onusienne, à même d’être devenu entre passionnés et chasseurs-chercheurs du savoir-faire marocain une tendance de confirmation d’une nouvelle image du Maroc. Et qu’au demeurant en ce temps présent, le problème ce n’est pas la succession de Feu Mohamed Abdelaziz Marrakchi, mais le futur immédiat des groupuscules terroristes qui  se sont condensés dans toute la zone autour des bombes portées sur les 4x4 et par les mercenaires daechiens kamikazes. Même si, une première série d’observations dans les camps de séquestration de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs, montre que la majorité des jeunes veulent partir en direction de la mère-patrie pour echaper à cette machine infernale terroriste, et qu’il en est de même d’autres qui veulent carrément combattre par les armes ce qui reste de la cohorte dangereuse du Polisario. Comme ça on ne peut pas s’empêcher de penser qu’au Maroc, le décès d’Abdelaziz Marrakchi n’ait contribué à populariser davantage la vogue du retour vers le pays des aïeuls. Qu’en effet qu’on ne le veuille où pas, le Maroc s’impose par la singularité de son offre d’autonomie dans la régionalisation avancée et par sa fécondité profuse d’idées de développement multi potentiel. D’où l’être sahraoui l’homme et la femme en est la pierre angulaire avec la marque Maroc utile, suggérant de surcroît des techniques méthodes et modalités de gouvernance locale élaborée dans son cadre de référence étatique non seulement par déduction mais aussi par intuition de ne jamais être surpasser.

       Néanmoins, après la mort d’Abdelaziz Marrakchi, est-ce que la souffrance des séquestrés par suite de l’implacable fatalité de la tyrannie du pouvoir algérien ne doit-elle être levée ? Parce qu’en dépit de leur isolement, l’intensité de leur désir de rejoindre la mère-patrie apporte la preuve absolue qu’ils sont politiquement chargés contre l’Algérie et à plus forte raison la Mauritanie jouant double jeu de déviation tantôt d’un coté tantôt de l’autre. Vraiment, aujourd’hui pourquoi les USA vivent dans le déni des réalités, même n’en ignorant aucunement les antécédents d’Abdelaziz Marrakchi en tant que fantoche leader aux mains des militaires algériens dont personne par ailleurs n’en nie qu’ils soient de mèches avec la nébuleuse terroriste? Au point, bizarrement, le Département d’Etat n’en a toujours pas fini de se lasser de cette invraisemblable et tragique position de cache-cache du pouvoir algérien, par rapport aux conditions d’esclavage forcé presque de façon privée que vivent les séquestrés dans les camps de la honte. Au contraire, n’est-ce là où on voit que les faucons au Foreign office américain vont à la rencontre du destin incertain voire chaotique qu’ils concoctent pour la région ? En tout cas, le Maroc pourrait lui aussi dire aux USA qui se sont mis à suivre une méthode d’harcèlement politique consistant à épuiser sa volonté à vaincre toutes ses difficultés : ‘’ Blesse ma mémoire d’une amnésie hypocrite en dehors de toute réalité…’’. A bon entendeur salut !