mercredi 27 août 2014

QUAND LES PRÉSIDENTS DES COMMUNES SONT EN DÉTRESSE !

POURQUOI LE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR VEUT-IL SOUMETTRE LA GESTION DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES LOCALES A PLUS DE SERRAGES ET CONTRÔLES CONTRAIGNANTS ?

       Aujourd’hui au Maroc, dans l’attente du processus électoral communal 2015-2016, pas moins de mille cinq cent présidents de collectivités territoriales locales (municipalités, communes rurales, communautés urbaines et autres syndicats intercommunaux), sont atteints d’angoisse. Laquelle est liée aux menaces de complications contraignantes par des contrôles que préconise le projet de loi du Ministère de l’Intérieur. Dont apparemment chez certains, elle s’associerait à leur incompétence sachant pertinemment qu’elle comporterait le risque d’invalidité de leur gestion. Contrairement chez d’autres où elle se décèlerait par suite d’observance de petits calculs d’obéissance pour maquiller leurs extravagances dans leur gouvernance. 

       A vrai dire, ne peut-on déclarer sans aucune gène que le ministère de l'Intérieur de son coté utilise ce serrage mettant les présidents des collectivités territoriales en contraste dans leurs approches gestionnaires d'antan? N’est-ce comme ça, où l’incompréhension de leur part à propos de la finalité de l’usage de la démocratie participative digne de ce nom, prendrait toute sa signification en gouvernance politique publique au sein des communes ? En fait, pour certains, ne pensent-ils clairement que nombre de ces menaces de complications peuvent considérablement altérer leur qualité de vie inter et extra communale, surtout s’ils persistent dans les mauvaises prestations de services parce qu’inconscients des risques encourus ? Alors que pour d’autres, non seulement elles peuvent les pousser vers le dépassement des mauvais actes et manigances, mais aussi les amener à s’orienter en pratique normative vers l’acquisition des bons réflexes dans leur gestion au quotidien. Néanmoins, la question fondamentale qu’il faudrait se poser n’est-elle, quel serait l’impact de ces contrôles sur l’appropriation de méthodologie-vision améliorée et rationalisée par les autres membres des conseils communaux ? Du moins en pratique sous-forme d’idées-essais dont les programmes sont réfléchis, apportant des solutions aux nécessités d’amélioration de la qualité de la vie. En même temps que celle de la production des richesses locales, et ce, dans l’attente de diminution des écarts sociétaux flagrants apparaissant de plus en plus fréquemment. 

       En effet, en général qu’ont-ils fait les quelques présidents zélés, si ce n’est la désorientation dans leurs diverses gestions administratives aux conséquences incalculables ? Notamment en ce qui concerne les requalifications et aménagements dans leurs territoires de compétence pour l’encouragement aux investissements et donc l’offre d’emploi. Pourquoi beaucoup parmi-eux, n’ont-ils pas atteint leurs objectifs dans l’urbanisme, la lutte contre l’occupation de l’espace public, l’assainissement et traitement des égouts, le ramassage des ordures, la police administrative pour l’hygiène et sécurité alimentaire ? A cet effet, au vu de leurs bilans s’annonçant inquiétants, qu’attendent-ils pour s’impliquer corps et âmes avec probité dans l’effectivité de leurs prérogatives territoriales et corriger le tir ? Particulièrement, pour le rehaussement de la qualité de l’offre du service communal dans la culture le sport le transport les jardinages et espaces verts et le secourisme en cas d’aléas en plus de l’entretien des cimetières des morgues et gestion du service des ambulances. Bref, s’atteler à prendre une tendance vers la bonne vie sociétale harmonieuse dans la quiétude et la sécurité dans les territoires….N’est-ce cela qui donnera du piment aux élections locales, et, conséquemment ressuscitera l’intérêt des administrés à aller voter en masse en évitant l’abstentionnisme ?    

       N'empêche que le principe de base des fantaisies de ces quelques présidents en mal de consommation médiatique, n’est-il d’ensemencer le doute avec leurs analyses à l’emporte pièce ? Se croyant en mesure d’entraîner la suspicion, en la mêlant à des désinformations inhabituelles à propos de l’intention du Ministère de l’Intérieur dans ce cas précis. Au point d’annoncer dans la presse et sur les réseaux sociaux que les répercussions de ces contrôles contraignants par les walis et gouverneurs, seraient de fait un handicap à l’amélioration de la prise en charge de leur gestion locale de proximité. A cet égard ne se résignent-ils de fait à multiplier le doute sur leur propre capacité à pouvoir relever le défi de la bonne gouvernance quel qu’elles soient les contraintes tutélaires ? Ne peut-on affirmer, en effet, que tous ces essais de contrôle et vigilance concernent aussi l’INDH les grands chantiers d’équipements infra-structurels les technopoles d’excellence et le Maroc vert ? D’ailleurs, n’est-ce cela qui a forgé la conviction et la détermination de Sa Majesté le Roi Mohamed VI lors de son discours fédérateur et réconciliateur du 20 Août 2014 ? Dont il à exhorté toutes les composantes sociétales marocaines à pratiquer des croisements d’imaginations puisant dans les potentialités vraies et les contraintes acceptables pour maintenir la constance du Maroc à rejoindre les pays émergents.

       Déjà, dès le lendemain de l’avènement du nouveau règne au Maroc, au moment que les pays BRICS rassemblaient leurs potentialités diversifiées annonçant sur conseils de leurs économistes leur fameuse création de Banque de développement, quelques penseurs marocains en économie sociale comparative de par leurs travaux étoffés et argumentés, réfléchissaient au comment faire pour les y accompagner en les rejoignant à terme. De ce fait ne faut-il vraiment, que les contrôleurs en l’occurrence les Walis et Gouverneurs soient probes et exempts de légèretés comportementales? Surtout de ne plus se montrer faire ripailles ici et là, avec des professionnels locaux de la vie politique, ni s’enorgueillir de leur amitié publiquement. Voire ne plus passer leurs moments d’agrément-villégiature et vacances en leur compagnie à même à l’étranger, vu que ça prête confusion et porte atteinte au principe de neutralité administrative surtout en ce temps présent de préséance préélectorale. Par conséquent, à ce titre, comment pourrait-on comprendre l’emballement anti ministère de l’Intérieur, qui s’éternise au sein et dans les rangs de ces quelques présidents des grandes villes et communautés urbaines ? De quoi ont-ils peur, au point de s’en remettre à la volonté du chef du gouvernement de s’y impliquer personnellement à limiter soi-disant cette teneur-contrôle que porte le projet de loi ? S’agit-il donc de la notification de la perte d’autonomie décisionnelle des présidents en faveur de l’effet coercitif tutélaire en l’occurrence ? Où, d’une nécessité pour le système de déconcentration des pouvoirs, de s’y adapter au maximum à la bonne gouvernance réfléchie et responsable pour de meilleurs rendements de la politique publique sur le terrain.

       C’est d’ailleurs en partant de ces questionnements au demeurant légitimes que l’on peut dire, plus les présidents des localités territoriales sont impliqués dans la gestion de proximité dans leurs communes avec soins abnégation et détermination loin des déconstructions inconscientes des relations avec les représentants de l’Etat, plus la prise en charge des intérêts de leurs administrés est efficace. D’autant plus, cette réalité avec les temps qui courent, ne s’impose-t-elle avec acuité pour faire face à l’allongement du temps de présence de certains cumulards à la tête des communes ? N’ayant depuis toujours fait qu’aider à la prévalence du passage du témoin à leurs  progénitures et consanguins, du fait de l’inexistence de l’équité sociale. Mais comment savoir si le ministère de l’Intérieur est dans la bonne intention, au vu des signes de surchauffe et d’exacerbation avec quelques partis politiques  syndicats et surtout certaines associations se croyant au dessus de toute critique ?  Sauf que, n’en déplaise à ceux qui voient en ça un encouragement au renouveau d’envahissement de la tutelle sans garantie ni gardes fous, alors même qu’il y a malheureusement des brebis galeuses épiant les moments d’inattention de l’appareil de l’Etat pour tisser leur toile de basses besognes voire déstabilisation. Et qu’on ne nous dise surtout pas qu’il s’agit encore de la théorie du complot contre la déconcentration et décentralisation des pouvoirs locaux de proximité !

       Evidemment, pourquoi il y a en plus la charge des crieurs sur le plan psycho-émotionnel médiatique contre le ministère de l’Intérieur ? Ne se retrouvent-ils hors nouveau temps politique marocain n’acceptant plus de dysfonctionnement en matière de prise en charge élective sans le contrôle et évaluation des performances en gouvernance ? Et ce n’est nullement une appropriation de bureaucratie que de dire, assez donc de ces demandeurs de tarissement du droit de regard à propos de ce que proposent et font les conseils communaux ! Toujours est-il, ce sont les mêmes qui montent au créneau contre ce projet de loi, au nom d’amitié due à leurs distributeurs exclusifs de leur promotion sociale. Pourtant, tous savent qu’il va falloir tôt ou tard extirper d’une façon radicale tous les cancers et métastases de dés-harmonie de gouvernance au sein des collectivités territoriales.  Notamment en dépassant les contrôles de connivence non probants faits des instances tutélaires en aval comme en amont. Parce que le rehaussement de la pratique de la démocratie, c’est aussi l’acceptation des techniques d’observance-vigilance en gestion des deniers publics, bien sûrement en faisant la part des choses entre réalisme et mythe où conte de fées. A bon suiveur, bonne lecture !

dimanche 17 août 2014

LE MAROC ET LA CHINE A LA RECHERCHE DU MODÈLE DES MEILLEURS CADRAGES DE CRÉATIONS D'OPPORTUNITÉS D’ECHANGES STRATÉGIQUES !

MAIS, C’EST QUOI QUI COMPTE POUR LE MAROC ET LA CHINE DANS CETTE RECHERCHE PRÉFÉRENTIELLE DES OPPORTUNITÉS ?

       Le Maroc contemporain et la Chine post maoïste, sont tous deux pays issus de cette pensée paysanne longtemps restée sous l’effet de la production de la ruralité rudimentaire, n’atteignant ni quantification des intérêts ni  rationalisation de leur praticabilité sur le terrain. Ce qui n'est plus le cas aujourd’hui, qu’au demeurant on le voit dans leur rapprochement, ils s’essayent de s’élever vers la perfection d’équilibre dans leurs échanges sectoriels multidirectionnels. D'abord entre eux, en s’ouvrant sur l’avenir dans un cadre de ciblage de partenariats organisés et structurés d’ordre infrastructurel commercial-économique et socioculturel, et ensuite aussi avec tous les pays du monde qui en font la demande. D'autant que l’abondance et la diversité des ressources de la Chine du temps présent, en ont incontestablement forgé le mode de vie des chinois qui est d’une passionnante originalité permettant aux scrutateurs du fil d'actualités chinoises de recueillir des données macro-économiques et/où macro-sociales. Que ce soit à l’échelle d’une ville d’un village ou d’un quartier, dépassant ainsi la formulation du Maréchal Lin-Piao de 1965 disant que "Seule la campagne est la base révolutionnaire pouvant mener les paysans à la victoire finale".

       Aussi, de fait, ce dépassement de cette pensée maoïste de par sa remise en cause, semble être l’une des caractéristiques géopolitiques de la Chine "communiste" d’aujourd’hui, comptant plus de 1,3 milliard d’habitants pour une étendue territoriale de plus de 9,5 millions de km². Ce à quoi ne faut-il y voir donc dans la dynamique de croissance chinoise meme avec le début d’essoufflement, la forme originale d’organisation du pouvoir local des acteurs ordinaires tels les petits commerçants et entrepreneurs ? Par rapport à l’Etat central ayant délaissé le temps de l’économie planifiée en faveur de celui de l’économie de marché avec des modalités concrètes d’ajustements, se comportant conséquemment en mode semi-interventionniste dans les domaines de l’agriculture l’élevage et la pêche ? Ne s’agit-il là d’imbrications de rapports de forces entre les divers acteurs en présence, pour élaborer les politiques jusqu’à d’en chercher à s’installer en métayage sur de vastes terrains en Érythrée Soudan Ethiopie Tanzanie voire Argentine pour les mettre en culture céréalière où vivrière rizière? Tout en combinant d’autres partenariats gagnants-gagnants avec ces mêmes pays, dans l’industrie le commerce la culture l’éducation et même la formation de leurs armées. Et ce, en vue d’arriver à la fructification durable et concertée de coopération-cooptation en investissement-équipement, sans trop tenir compte des divergences idéologiques et politiques pouvant surgir à propos des gouvernances et positionnements de chacun de ces pays. Surtout en ce moment où d’autres pays usant de subterfuges informationnels vis-à-vis de tout le monde, croyant disposer de programmation-promotion ayant trait à leur surmoi, de par leurs intonations-leçons en matière soi-disant du respect des clauses de sauvegarde de l’environnement, des libertés syndicales, des conditions acceptables de travail et de rémunérations justes.

       Néanmoins, n’est-ce pour cela en ce moment toute proportion gardée, le Maroc et la Chine dans une hauteur de vue d’une grande originalité, qu’ils font l’objet de comparaisons de leurs ressemblances de recherche d’opportunités d’échanges gagnants-gagnants entre eux, et aussi de leurs divergences en économie sociale loin des sacralités et passions sans raison ? Tout simplement, parce qu’à cet égard, c’est vrai qu’actuellement ils partent tous les deux de données géopolitiques réelles diamétralement situées, mais avec une conscience de décryptage et analyse performante de continuer à réussir les défis chacun dans sa région selon ses moyens. Particulièrement en usant d’éléments de cadrage sur la pertinence d’évaluation de tout ce qui a été fait jusqu’à présent entre eux. En plus, s’appuyant non sur la tradition mais sur la comparaison effective des infrastructures de grandes portées ayant pignon sur rue, loin des surenchères ne servant que la propagande des ennemis surtout du Maroc. En conséquence de quoi, comme ça, ne peut-on affirmer que le Maroc et la Chine n’ont-ils atteint tous les deux un degré d’impassibilité face aux écrans de fumées lancés ici et là par ces sociétaires de l’exagération mensongère non essentielle et excessive ? Dès lors hélas, qu’ils continuent dans le déni sans relâchement et sans élégance diplomatique ni finesse dans leurs propos, allant jusqu’à s’entremêler leurs idées défavorables à la thèse marocaine d’autogestion au Sahara marocain.

       Mais combien même ils le font en sus de leurs jugements erronés, ne restent-ils de fait dans l’autodérision et donc à mille lieux par rapport à la prise en charge effective par le Maroc dans la pratique d’enracinement et d’exécution de la culture des droits de l’homme ? Notamment, ne sachant pas qu’en plus la chine usant de grande foi dans ses capacités, elle continue d’exercer en silence son influence grandiose à l’international, en s’appropriant méthodiquement cette pratique par paliers successifs rien qu’en conjuguant le tracé de sa réussite économique et l’espace de sa puissance mondialisée par les temps qui courent. Et dont le Maroc, procédant par touches allusives tout en glorifiant naturellement sa diplomatie vraie juste et honnête dans toutes ses expressions mêmes banales, faisant de même en Afrique grâce à un cheminement politique plus où moins direct avec infiniment de détermination pour y arriver. Qu’évidemment en l’occurrence, personne ne peut en nier les succès immédiats des visites royales en Afrique, se caractérisant d’une qualité et d’une diversité qu’aucun autre chef d’Etat de la génération du Roi ne sut entamer et donc enrichir d’un éclat superbe à l’international.

       C’est vrai, de tout temps les chinois étaient des négociateurs délicats, jouant brillamment avec les situations qui se présentent à eux, tout en restant de marbre face à leurs interlocuteurs. Toujours cherchant seulement à utiliser leurs engagements en fonction de l’éclaircissement des opportunités, surtout de la façon la plus avantageuse pour eux vis-à-vis de la rythmique de la bonne exploitation sécurisée. D’ailleurs, qui mieux que Deng Xiaoping dans les années 80-90 dans ses approches raisonnables libérales, put recréer avec une telle puissance d’analyse et pragmatisme les conditions idéales de prospérité et promotion de la Chine nouvelle ? Dont le résultat de développement tous azimuts et ses vagues de lutte actuellement contre la corruption confirmant la poursuite de l’œuvre grandiose des dirigeants du moment, y sont incantatoires que les récits des sinologues chevronnés semblant parfois n’être que cadreurs des idéaux de toutes ces actions et initiatives. N’est-ce là où l’Etat-Maroc est attendu en s’appropriant ce genre d’approche réaliste pour s’imposer définitivement comme leader dans sa région ? Notamment, avec une conscience paisible et une reconnaissance de la fécondité des idées de la nouvelle Chine dans le domaine économique commercial infrastructurel et industriel. Rien qu’en changeant le ton moralisateur du aux envolées emphatiques non calculées de certains de nos politiques touchés d’avitaminose diplomatique et carence communicative. Comme aussi des autres immatriculés du nonisme stérile et à tire larigot, en ne faisant de place à leurs fioritures dont il se pourrait qu’ils s’en soient entichés au vu de leur suivisme à leurs pourvoyeurs de fonds.

       D’autant plus, dans l’attente de la visite royale officielle en terre de chine, ces réadaptations à la culture de négociation avec les chinois, réclament des réajustements et réorientations selon la spécificité des dossiers à traiter en l’occurrence. Tout simplement en développant des relations plus étroites avec les entreprises chinoises surtout les PME-PMI, dont il est primordial pour le gouvernement marocain et le CGEM d’y montrer une volonté de rapidité d’exécution des partenariats dans la cohérence via la future succursale de Bank of China au Maroc et la bourse de Casablanca. A l’évidence cela doit se faire pour accroître la coopération-cooptation de co-localité d’investissement dans tous les domaines, surtout en ce qui concerne les énergies renouvelables, l’aménagement des territoires, la modernisation de secteur de la pêche et agroalimentaire, les grands chantiers du rail et autoroutes dernières générations, les barrages et installations sportives, l’écologie et traitement des eaux usées et ordures en plus de requalification des villes et cités en évitant l’hécatombe de la pollution de l’air. Mais aussi d’en conserver à terme les perspectives tenant compte des transferts des ressources et des compétences dans l’industrie de l’acier plastic et PVC, en plus de l’automobile l’aéronautique et l’aviation civile, les échanges culturels et universitaires, le tourisme, la médecine traditionnelle, le nucléaire les mines en particulier les phosphates. Désormais c’est clair, les USA l’UE les BRICS le CCG la Turquie et d’autres pays, savent que maintenant le Maroc précurseur d’idées depuis le discours royal du 09 Mars 2011, est devenu la porte d’entrée sûre en Afrique. Lequel, en tant qu’héritage partie intégrante du cours de l’histoire du printemps arabo-amazigh, ne cesse de donner l’image d’un hub voire tremplin ne portant plus de portes où fenêtres grillagées pour l’investissement, que par ailleurs lui reconnaissent toutes les instances internationales.


       Finalement, ce n’est qu’un avant-gout du chemin politico-diplomatique qui attend le Maroc à travers cette recherche de l’excellence normalisée quantifiée et rationalisée des échanges sino-marocains. Vu qu’il y a une concurrence farouche de l’Argentine Thaïlande Vietnam Singapour Malaisie Tanzanie Mozambique Kenya Mexique et Ethiopie. Néanmoins, en effet, il convient de saluer les dirigeants chinois doués du sens de la contribution à évaluer le potentiel du nouveau règne au Maroc, et, dont le peuple marocain tout entier leur apporte une insigne reconnaissance. Parce qu’ils avaient montré une détermination d'aller encore plus loin en compagnie du Maroc, sachant d’emblée que l’osmose créatrice de stabilité est due en grande partie au génie rayonnant de son roi. En ce sens, n’avaient-ils donné un gage de bonne foi en soutenant sans ambages le Maroc lors de la crise USA-ONU d’Avril 2013 fomentée pour des raisons non fondées ? Aussi, voilà ce que démontre le bon sens avec détermination et abnégation des dirigeants chinois, du fait de leur talent particulier d’offrir à leur peuple cet élément déterminant formant la base des premiers résultats économiques de la chine nouvelle. Apportant cependant en plus à leur art politique diplomatique discret, un rayonnement conséquent qui différencie la Chine de certains autres pays ne faisant agiter que chaos où images flottantes de déchaînements des passions.