jeudi 9 août 2012

KARIMA BENYAICHE UNE PARURE DIPLOMATIQUE SUSCITANT CONFIANCE ET INTÉRÊT DANS LE CONTEXTE D'AUJOURD'HUI !

KARIMA BENAICHE, N'EST-ELLE PAS UNE DIPLOMATE PERSPICACE NON OBSÉQUIEUSE ET PAS SERVILE? D'AILLEURS DU FAIT DE SA CICATRICE DE PRIVATION ET D'ABSENCE PATERNELLE DANS SON ENFANCE, ELLE N’A FAIT QU'EXCELLER DANS LE DÉSIR DE LUTTE POUR SA PROPRE CONSÉCRATION ET AUSSI LA PROMOTION DE LA FEMME, ALORS MÊME QU'EN PLUS LA PHILANTHROPIE ÉTAIT INCLUSE DANS TOUS SES COMBATS. 

N’EST-CE PAS QUE C’EST COMME ÇA, QU'ELLE AVAIT COMPRIS QU’ELLE ÉTAIT NATURELLEMENT DANS SA JOIE? SURTOUT QUE CHAQUE JOUR ELLE S’IMPOSAIT DES DEVOIRS EN HABITUANT SON REGARD A VOIR ET SOUPESER LE POSITIF COMME LE NÉGATIF FACE AU DÉROULÉ DU FIL ACTUALITÉS. 
AINSI PAISIBLEMENT, ELLE A DÉCOUVERT LES AVANTAGES DE L’ENTRAIDE NATIONALE MISE AU SERVICE DES DÉSHÉRITÉS. ET NON COMME TREMPLIN POUR USURPATEURS ET RECELEURS DE LA CAUSE SOCIALE, ET CE, EN SE BASANT SUR SES PROPRES POTENTIALITÉS CULTURELLES ET INTELLECTUELLES.
Mais qui est-elle BENYAICHE Karima dans cette consécration?
     Une femme toujours dans la construction de soi. Femme distinguée, qui fut pupille du Royaume du Maroc, ayant enduré avec son frère la privation de l’affection paternelle par suite au carnage meurtrier de Skhirat. Aujourd’hui une personnalité indépendante non obséquieuse et surtout pas servile. En revanche c’est une philanthrope perspicace et avérée bûcheuse, ouverte et porteuse de valeurs d’humanisme par sa positivité volontaire de sa cicatrice intérieure, n’épargnant en effet aucun effort pour donner des réponses appropriées à tout. 
En tant qu'ambassadrice du Maroc au Portugal, elle a ouvert la voie à d’autres femmes, qui, elles aussi forcent le respect. Et dont le Maroc ne peut qu'être fier de sa touche féminine, malgré que des détracteurs en plus de quelques jalouses disent que les caftans diplomatiques sont trop larges pour elles. Sauf que, de fait, dans son cas précis, elle n’est pas ce ventre mou de la chancellerie du temps présent, comme malheureusement certains de ses collègues masculins ne représentant qu'eux-mêmes de l’avis de nombreux observateurs. Elle n’est pas non plus, un artéfact du casting diplomatique de copinage, voisinage, mariage, où consanguinité dont le Maroc a longtemps supporté les conséquences. A ce titre n’a-t-elle pas des années durant fourgué ses armes aux affaires étrangères avec sérieux et abnégation, entre autre en tant que Directrice de coopération Culturelle dans ce même ministère ? Ce qui lui valut le qualificatif de virtuose de l’effervescence de la dignité, non seulement par ses salamalecs humbles sans snobisme, mais aussi, en tant que maîtresse de marivaudage maîtrisant ses dossiers loin de toute gym-intello imaginaire actuellement à la mode, dont l’idée ne séduit par ailleurs que les illusionnistes. Ne s’est-elle pas déclarée prête à tout mettre en œuvre pour le lancement des bases d’une diplomatie offensive en terre lusophone dans l’esprit de la nouvelle constitution ? Et ce, par une pratique sans ambages de la chancellerie multipotente efficace et porteuse d’avenir, qu'il est facile à vérifier par les retombées diplomatiques favorables. Souhaitant, l’arrêt des amalgames de confusion de genres dont la réappropriation ne génère que des effets inverses suffisamment perceptibles dans les relations extérieures pour ne pas les démentir.
En revanche, avant sa nomination elle savait que les choses évoluaient, alors que suite aux événements devenus inéluctables du printemps arabe elle ne pressentait pas comme tout le monde, ces imprévisibles changements faisant tomber les masques des illusions dans tout le pourtour méditerranéen. Mais après, par son raisonnement d’être elle-même, retraçant les épreuves difficiles qui ont jalonné son parcours, elle ne s’était guère trompée de la parution sur la place de beaucoup de questionnements. D’abord, ceux opposant des critères conflictuels à propos des motivations qui sont derrières les impératifs de mode de vie de certains marocains. Puis les autres, n’exprimant que la surenchère des tensions sur le terrain par le mouvement 20 Février. Ajouter en plus la bande jaune incrustée d’allusions plus où moins déplaisantes, qui s’était dessinée à l’horizon concernant les rentiers de l’économie. Notamment, après la publication du cadastre du transport public des autocars, qui sillonnent le Royaume, par le ministère de tutelle. Il est vrai que cet essai analytique un peu ardu fourmillant d’informations subliminaires, donne un éclairage sur son fonctionnement, ne se sentant pas lasse ni découragée, faisant même fi de ce genre de balivernes politiquement non calculées vu l’amalgame provoqué.
D’ailleurs bien avant ce tohubohu, surtout face aux nababs richissimes reconvertis en mage politique sur la scène nationale jusqu'à devenir méconnaissables, elle ne se cachait pas de montrer ses distances cherchant la paix de sa conscience. Parce qu'elle savait pertinemment, que ce sont des arrivistes n’affectionnant que les manières de ceux émerveillés de leur brusque sortie par égouttage des fissures des toits. Ayant cru, simplement à leur accomplissement alors qu'ils ne sont que de faux chérubins. Par contre actuellement pour s’opposer à l’impression de les désavantager vu sa fonction, elle applique les échanges de bons procédés pour les encourager dans leur business ibère. Ne s’attelant qu'à leur réussite, par ailleurs considérée comme une référence en chancellerie, pour la première fois en terre de la révolution des œillets contre Salazar. 
En revanche au cours de son activité dans le social en tant que bénévole, elle avait côtoyé du monde de tous les âges, et toutes les composantes de la société marocaine. Ainsi, elle compulsait toutes ses expériences vécues, comprenant tout l’effort qu'il fallait faire pour améliorer ce champ par la persévérance et l’assiduité programmatique des interventions. Ce faisant, elle n’est pas sans savoir aussi que cette action sur le marché social, qui normalement devrait diminuer les souffrances des laissés pour compte, malheureusement d’autres sans scrupule l’utilisent seulement pour leur ascension dans l’échelle sociétale de façade où administrative opportuniste. Aux dires de quelques intimes, elle est outrée par ces attitudes, ne supportant pas ces usurpateurs et receleurs du champ social. Et c’est là ou le bas blesse, ne faut-il pas pour le gouvernement Benkirane qu’il teste de nouvelles démarches d’accompagnement des associations. En ayant un rétro-contrôle sur l’importance de la cohérence et la probité des personnes impliquées dans les gestions matérielles et immatérielles de ces organisations ? En tout cas, dernièrement il ne semble pas avoir pris acte, toutes proportions gardées des désirs des changements d’attitude envers ces faussaires du social, certainement par égard d’être lui-même. C’est parce qu'elle sait, que tous ces petits manipulateurs ont cette crainte du jugement, de n’avoir plus accès au sauf conduit pour main levée sans vérification. C’est comme ça que l’évaluation de la notabilité sociale de construction d’avenir dans cette péréquation, entre le choix du bénévolat social et le relationnel qui se tisse avec l’environnement sociétal, ne doit pas être assujettie aux surenchères de l’octroi de quitus de bonne moralité sans mérite. Et surtout de la part de certains décideurs des administrations centrales ne connaissant rien des réalités sur le terrain. Tout le monde sait que les marocains sont rassasiés de ces gens ayant bénéficié de cet artifice de triche morale, pour continuer à se positionner surtout en politique où dans l’administration. Cependant, la concernant, n’est-elle pas convaincue que cela ne peut se faire que par un centre national privé de suivi à distance de cette probité? Mais, soumis lui aussi au contrôle pédagogique, par exemple d’une instance nationale avec droit de regard fortuit de la cour des comptes sous le nouveau patron Driss JETTOU. 
Secouez-vous messieurs du gouvernement. Y’en a marre de voir encore en 2012 ces prototypes malgré les changements en cours!

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