dimanche 24 juillet 2016

APRES 17 ANS, QUI A PEUR DU ROI DU MAROC VISIONNAIRE RÉALISTE ET PASSIONNÉMENT OPTIMISTE POUR SON PAYS ?

N’EST-CE LA L’ETAT D’ESPRIT DU ROI DU MAROC ENTREPRENANT, D’OU L’ON COMPREND QUE CE N’EST PAS SA FAUTE S’IL A PLUSIEURS LONGUEURS D’AVANCE SUR SES PAIRS MAGHRÉBINS ?

       Depuis l’intronisation de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, le 30 Juillet de chaque année est toujours l’occasion de mettre le Maroc sous les projecteurs. Ainsi, si 17 ans de règne constituent la preuve sans conteste du progrès réalisé par le Maroc, comment doit-on alors expliquer le scepticisme de l’Algérie fermant toutes les portes d’ouverture à son voisin de l’Ouest ? Tellement qu'elle pousse le Polisario à emprunter le même chemin d'intransigeance fallacieuse qu'elle et à tenir des propos anti Maroc infondés qui relèvent de la schizophrénie systémique et primitive. Dont tous les témoins sensés et respectueux de l'intelligence des marocains, confirment qu'effectivement cette maladie dont souffre le Polisario est aggravée par le côtoiement de pays irresponsables receleurs de l'histoire. Au sens que, pourquoi l'Algérie officielle ne se viderait-elle, elle-même, des dialogues perfides futiles et inutiles avec son rejeton? D'autant qu'elle le fait par jalousie et par calcul tacticien, jusqu'à vouloir mettre d’autres pays de la sous-région Euroméditerranée-Maghreb sur sa voie usurpée du non respect du droit international. D'ailleurs, quelle que soit l'arrière pensée qui sommeille dans sa vision, à l'évidence tout un chacun comprend qu’elle ne soit tentante ni sur l’opportunité de la faisabilité de cette usurpation ni sur la durée de son effectivité, et encore moins sur les résultats escomptés de par les éclairages apportés ici et là sur sa non viabilité et donc fragilité politico-socioéconomique-sociétale et sécuritaire. A même qu’on est en droit de penser à cet égard, que l'attitude de ce pouvoir algérien relève du dialogue shakespearien d'une nullité incroyable, notamment de sa négligence d’apporter des solutions pour mieux répondre aux doléances de son propre peuple qui souffre le martyr.

       Aussi, l’apparition de sa conduite narcissique, vu qu’en ce moment elle n’est qu’handicapante ne fournissant que mirages et parasitages aux répercussions graves. Et d’où, il n’y a ni ébauche d’entente ni espoir que ses interlocuteurs y souscrivent, seulement à une exception près en dehors de la Mauritanie empêtrée dans ses contradictions. Dont il ne faut pas se cacher la face pour le dire, car bien avant le printemps tunisien sous Benali il y avait une machination-entente avec le pouvoir algérien à se préparer à fond à contrecarrer les initiatives royales. Sauf que, aujourd’hui Benali n’est plus, pourquoi continuer avec l’Algérie en déconfiture, à insulter le présent et défigurer l'avenir ? Jusqu’à aller dans leur bêtise commune de réévaluation par le doute inintelligent et inopportun sur la moisson marocaine évidente politico-socio-économique écologique culturelle et cultuelle-sécuritaire dont le monde entier en parle. N’est-ce parce que la Tunisie non assurée d'aucune tranquillité, même à ce jour, elle parie sur son soi-disant génie inventif de casser l’attrait du Maroc aux investisseurs n’en tenant compte que lui, il témoigne à son égard d’une grande délicatesse ? N’est-ce pas la visite et le long séjour du Roi en 2014 font foi, même si le choix aujourd’hui de la diplomatie tunisienne de ne pas cosigner la motion des 28 au Sommet de Kigali 17-18 Juillet 2016 elle se l'explique bizarrement du fait qu’elle ne veuille être mise devant le fait accompli ? Contrairement à la Libye courageuse, sachant le poids de l'engagement dans les moments cruciaux et le choc du désengagement de non soutien d'un pays honnête correct et entreprenant, par ailleurs faisant beaucoup pour l'union du Grand Maghreb avec amour et sans complaisance. En plus, toute sa séduction est faite par ses choix politiques déterminants par réglages institutionnels minutieux et sans précipitation pour éviter les erreurs fatales comme ce que vivent beaucoup de pays dans le voisinage.  

       Vraiment, c’est là ou le bas blesse, pourquoi est-ce que la Tunisie croit aux encouragements sans garanties, d’une part de l’Algérie intraitable et intransigeante sur la décision de l’exclusion programmée de la RASD de toutes les structures de l’UA? Et d’autre part de l’occident comme quoi elle est son sujet primordial voire fondamental dans les chambres de réflexion à l’international. N’en voyant quelle ne peut compter que sur elle-même, pour s’en sortir de ses discussions byzantines en interne et aussi de ses rêves démesurés qui l’attachent avec l’occident menteur faisant semblant de faire sa promotion, mais sans résultats apparents si ce n’est le Nobel très discuté. A cet effet, s’il est vrai que le terrorisme, principale menace de la cohésion maghrébine, agit indifféremment et aveuglément, les études montrent que le Maroc résiste confirmant son avancée par l’application de sa feuille de route de développement multisectoriel. De ce fait, on peut affirmer qu’il est conscient de son impact sur son voisinage, tellement qu’il ne cesse de les motiver de sortir de leur contribution à la dégradation de l’ambiance fraternelle entres les peuples maghrébins. Avec l’ambition grandiose de diffusion de l’information concernant les méfaits d’aiguillage de l’histoire de l’espace Grand Maghreb vers l’inconnu, surtout par encouragement sournois du terrorisme quel qu’il soit.

       Voilà pourquoi, le Roi du Maroc s’est-il investi corps et âme, dans de nombreux partenariats de grandes valeurs géostratégiques visant l’amélioration du statut géopolitique du Maroc en Europe en Asie aux USA en Afrique et avec les pays CCG. S'additionnant aussi à la promotion du rôle de son économie productive de haute technicité, en tant qu'hub pour la co-localité des investissements pour faire bénéficier toutes les plateformes modernistes de l'Afrique. Par exemple celles touchant l’Energie renouvelable, la marine marchande, la recherche et l’innovation, la chimie les mines et phosphates, l’agriculture et agroalimentaire, les infrastructures en autoroutes ports aéroports ponts et gare ferroviaires de la dernière génération, l’industrie aéronautique et automobile en plus des domaines sensibles en matière de sécurité civile et militaire. Comme ça on ne peut pas dire que les marocains ne sont pas heureux de démontrer au monde qu’ils sont fiers de leur Roi visionnaire et entreprenant, et ce, sans vouloir déverser leurs voisins au Maghreb dans l’oubli et l’épuisement. Au contraire, ils cherchent dans tous les cas l'apaisement nécessaire, pour diminuer les complications qui peuvent survenir à tout moment. N'est-ce peut-être pour cela qu'on a peur dans le voisinage de la vision royale entreprenante, qu'au demeurant fait tache d'huile et provoque dissidences sociétales voire envies de se mettre à l'heure d'entrepreneuriat marocain dans tous les domaines ?

       Cependant, même sachant qu’il y a parmi les voisins une minorité vivant dans les nuages, ne cherchant qu'à porter le chapeau de leur mauvaise récolte politique sur la clairvoyance la détermination et l’activisme diplomatique positif non belliciste du Roi Mohamed VI, il n’en demeure pas moins que face à ces données préoccupantes partout au Maroc la vigilance requiert toute son importance. S’ajoutant à d’autres mesures adoptées pour son rayonnement visible et palpable en Afrique, car contribuant largement au co-développement partenariat gagnant-gagnant irréversible. Dont il importe de relever que le Roi ait eu à suivre dans les détails la mise en place des programmes communs avec les pays africains durant ses nombreuses visites et tournées royales, en s'impliquant personnellement pour faire respecter à la lettre toutes les clauses de sauvegarde du biotope des écosystèmes et de l’environnement. Aussi, l’intensification des campagnes d’information et de sensibilisation en préparation de la COP22 à Marrakech en Novembre 2016 n’a-t-elle retenu l’attention des associations à travers le monde surtout en Afrique ? Parce que le sérieux du Maroc à se faire l’avocat hargneux dynamique et responsable, des africains dans les tractations à venir sur les changements climatiques n’est plus à démontrer pour l’optimisation des actions préventives entamées à l’échelle planétaire depuis la COP 21 à Paris. En cela, une médiatisation professionnalisée surtout en matière de l’amélioration du ratio communicationnel dont souffre le gouvernement marocain actuel après le contrecoup de l’affaire des déchets italiens, est fortement recommandée. A bon suiveur bonne lecture !

samedi 23 juillet 2016

L’IMPORTANT C’EST L'APOTHÉOSE DE LA DIPLOMATIE DU ROI DU MAROC.

LA DIPLOMATIE OBSTRUCTIVE ALGÉRIENNE N’EST-ELLE L’EXPRESSION DE LA SINISTROSE QUE VIT LE POUVOIR A KSAR LAMRADIA D’ALGER  ?

       Maintenant l’on peut dire ni Benkirane et ses ‘’feloul’’, ni Elomari et ses ‘’shogoun’’, ni Chabat et ses pirates et encore moins les autres et leurs protégés n’ont pu mettre la diplomatie obstructive algérienne en difficulté. Même sachant qu’elle ne se caractérise que par l’outrance et l’offense, qu’effectivement ne l’ont amenée des années durant qu’à la sinistrose provoquant altération voire carrément destruction du tissu relationnel entre pays du Grand Maghreb. Tellement qu’aujourd’hui, seule la vision politique socio-économique cultuelle écologique et sécuritaire multidirectionnelle du Roi Mohamed VI que partage en ON et sans réserve des Sommités comme Mme Hillary Clinton, a fait pencher la balance du coté du Maroc à la lumière de l’espoir suscité dans toute l’Afrique tendant vers la modernité. Fini donc le mythe snobinard du pouvoir algérien, qu’en ce temps présent il est montré au monde entier seulement ravageur des rangs au sein de l’UA. Dont spécifiquement sa conduite rageuse onéreuse et hasardeuse anti Maroc, en est la cause principale de toutes ses défaites sociales économiques culturelles et écologiques. S’ajoutant à ses déboires financiers en concomitance à sa bérézina diplomatique de par son daltonisme-polisarionisme infondé ne collant aucunement avec l’ère du temps, ni dans la vision ni dans la stratégie à penser sur le long terme.

       Au fond de l’avis de tous les observateurs, n’est-ce par l’assurance mesurée parfaitement murie que Sa Majesté le Roi usant d’intelligence et pragmatisme, qu’il a permis au Maroc d’exercer son influence pour retrouver son siège à l’UA ? D’autant plus, il a fait montre auprès de ses amis que lui aussi comme eux, il ne veuille que le divorce avec l’UA ne continue alors que dans plus de trois pays sur quatre il n’y a plus de reconnaissance de la soi-disant RASD. Ni même désir de la supporter davantage si ce n’est seulement une volonté de tous ces pays africains de la mettre dans l’antichambre de glaciation en guise de s’en débarrasser ultérieurement. N’y a-t-il là l’expression d’une attache intellectuelle et spirituelle de ces pays à la personne du Roi du Maroc ? Qu’au demeurant a changé le cours de l’histoire Maroc-UA, dont la lettre royale adressée à la présidence du Sommet de l'UA de Kigali ce mois courant, en évoque les choix politiques d’où en découlent les raisons positivement non conflictuelles de ce retour. Ce qui montre le Maroc prendre ses responsabilités et donc témoigner d’un grand réalisme, que par ailleurs partagent à l’international beaucoup de pays avec lui.

       Ce faisant, devant ce constat criard, pourquoi la diplomatie algérienne aux abois, entame-t-elle encore un autre cycle de collecte de soutien à la RASD même en dehors de l’UA ? N’est-ce bien sûr, afin de pérenniser ces projets et en lancer ses malveillances et sournoiseries dans les recoins et structures des organisations internationales ? Sans s’en soucier des dernières évolutions sur les positionnements de beaucoup de pays africains au 27-ième Sommet de Kigali au Rwanda, d’où il n’est plus un secret qu’il s’agisse d’un désir premier de ratatiner jusqu’à la nécrose ce protoplasme greffé illégalement en 1984 sous l’OUA d’alors. Puis d’un second sur la même lancée, dans le but de préparer son expulsion aisée en mettant la diplomatie algérienne en difficulté et hors état de nuire. Parce que si l’on se replace dans les conditions désastreuses du contexte algérien actuel, on n’en observera que le FLN comme d’autres partis ne sont plus intransigeants que les vieux généraux de l’armée. En cela la tromperie algérienne qui n’a que trop duré, n’est-elle en passe de devenir une impression d’ambition d’avoir voulu faire plier le Maroc sans avoir la légitimité ?

       Déjà que maintenant la diplomatie obstructive algérienne ne peut se redonner plus de dynamisme dans l’UA du fait qu’on lui a coupé l’herbe sous ses pieds, de par la nouvelle architecture des prérogatives et compétences qui se profilent dans le respect du droit international. Et qu’en plus, pour éviter dans le futur toute complication juridictionnelle que les renégats loueurs de leurs plumes, essayent de soutenir sans fondement par rancune et surtout légèreté d’assimilation de la réalité sur le terrain. Oui, combien de fois faut-il le rappeler qu'ils continuent à tromper les observateurs par des analyses tirées par les cheveux concernant la date de l'avènement de l'UA qui n'est que le prolongement de l'OUA. Croyant que comme ça, ils vont perturber les analyses faites par des spécialistes chevronnés qui ne considèrent aucunement la RASD un élément fondateur de l'UA. Car, en définitive ces vendeurs de leur âme même ayant l'air de ne posséder de légitimité, ils écrivent et disent des bêtises sans en rougir de honte pour mettre en avant la nécessité de rétrocontrôle sur les décisions de l'UA seulement par la commission africaine. Particulièrement, dans la prise en charge des litiges concernant les recouvrements des souverainetés des Etats, n’en sachant qu’ainsi au lieu de se tenir éloignés parce que conditionnés ils attentent à l’histoire et à la mémoire du Maroc leur pays d’origine.


       D’ailleurs, tenez-le pour dit, c’est parce que vu de cet angle que l’Algérie boutaflikienne n’aurait jamais au grand jamais cette chancellerie dynamique team leader des  pays africains à haute valeur ajoutée. Dont la mission est normalement de développer la construction de vraies relations économiques et diplomatiques entre pays et d’appuyer les activités génératrices de liens forts en faveur de la paix. Voilà pourquoi la diplomatie algérienne s’est-elle fixé comme objectif les pays dont elle avait déjà effacé la dette, les ciblant pour qu’ils reviennent sur leur décision en tant que cosignataires de ce qui est désormais appelé la motion des 28. Au sens où, n’est-ce pas plus elle veut effacer les empreintes de ses clichés à l’égard du Maroc, plus elle s’enfonce dans les préjugés qui collent à son déterminisme acquis, et ce depuis la guerre des sables 1963 ? Ainsi l’important c’est l’apothéose de la diplomatie du Roi du Maroc, et non la sclérose du pouvoir algérien dont il ne faudrait aucunement se cacher pour l’affirmer selon l’adage ‘’arroseur arrosé’’. Tellement qu’à l’évidence, le Maroc et ses amis nouveaux et anciens, s’en sont forgés une nouvelle conception pour l’image moderniste de l’UA, et ce, loin des règlements de comptes d’un temps révolu et sans laisser de place ni aux menaces ni à la corruption qu’elle soit active ou passive. A bon entendeur salut !

jeudi 21 juillet 2016

LA LUTTE ANTI TERRORISME DU MAROC, PERMETTRAIT-ELLE D’ENVISAGER L’AVENIR DE L’UA AVEC ESPOIR ?

COMPTE TENUS DES RÉSULTATS OBTENUS PAR LE MAROC, ENFIN DAECH AQMI BOKO HARAM CHABABS ET AUTRES DANS LA LIGNE DE MIRE DE TOUS POUR LES AFRICAINS.

       La mise sur le marché mondial de la méthode marocaine pour gérer le risque de propagation terroriste, montre l’importance de tout bien surveiller par l’anticipation. De ce fait, qu’attend-on pour en venir à bout des formes diffuses du terrorisme pour éviter les frustrations, et ce, via la guerre étendue asymétrique multi foyers ? N’est-ce là, un questionnement qui vise à définir la meilleure stratégie de lutte anti terrorisme, qu’hormis le risque des guerres civiles les autres effets ne feraient pas plus de malheurs ? Sachant que, grâce à la prévention l’épiage et le renseignement on dispose aujourd’hui de boite à outils nettement plus efficaces, pour lutter contre le terrorisme quel qu’il soit. Au sens où cela ouvre incontestablement plus de chances de guérison contre ce fléau, au mieux contre le risque de le voir se propager par d’autres éruptions sociétales. Même si, autant le dire sans détour, le polymorphisme des terroristes est un problème majeur de sécurité publique dans le monde, s’ajoutant à la gestion des dégâts collatéraux par des complications qui s’y greffent en l’absence d’alternative.

       A cet effet, au Maroc la lutte anti terroriste constitue un véritable bon en avant, par suite de sa prise de conscience précoce des dangers qui auguraient des règles de luttes menées en premier lieu par les USA. Elle est même devenue depuis l’hécatombe du 16 Mai 2003 à Casablanca la référence, et ce, quel que soit le profile des terroristes. S’agissant de la comparaison à l’état de fait d’avant la gifle du 11 Septembre 2001 aux Etats Unis et la prévalence des attentats diversifiés opportunistes du temps présent en Europe en Asie aux Amériques en Afrique et au Moyen Orient. Ce qui ouvre de par les recommandations basées sur des études relatives aux conditions d'arret de ce mal, de nouvelles perspectives à l’échelle mondiale dans les contre-attaques pour son éradication de façon significative sans naïveté ni cocorico. Ainsi l’on peut dire, le Maroc marque sa différence dans la prévention du terrorisme, tellement que sa méthodologie présente l’avantage par une innovation de taille, lui permettant de prendre le problème à bras le corps d’une façon autonome. Ce qui n'est toujours pas le cas de beaucoup de pays, quant aux attaques qu'ils aient subies car non détectées à temps par manque d'une part de moyens concernant l'Afrique, et d'autre part de volonté politique pour y faire face avec détermination chez des pays nantis notamment en Europe.

       Evidemment, au symposium sur les stratégies de lutte contre l’EI (Etat Islamique) communément appelé Daech, animé par les USA en la personne d'Ashton Carter le 20 Juillet 2016 à Washington et auquel étaient conviés tous les pays de la coalition sur la base d'Andrews , on n’a pas tari d’éloges ici et là sur les bénéfices engrangés par le Maroc dans sa lutte anti terrorisme. Dont les spécialistes en la matière, sont unanimes à considérer le BCIJ (Bureau Central d’Investigations Judiciaires) comme le support-rempart méthodiquement organisé dans ses démarches. Ayant pour objectif le traitement instantané de la formation des cellules terroristes quelles soient en préséance d’activisme ou en dormance forcée par suite de traumatisme d’origine sécuritaire dans leurs environs. Et ce, à coté d’autres facteurs de plus en plus importants dans l’évolution des mentalités du mode de vie spirituelle, comme l’amélioration de l’ordre en pratique cultuelle selon le rite sunnite malékite. Confirmant ainsi, que les bombardements aériens concentriques en Irak Syrie Yémen et en Libye ne peuvent, à eux seuls, venir à bout des formes étendues du terrorisme. Au vu que la dangerosité de cette machine infernale reste cloisonnée, de par l’asservissement en tant qu’agent causal de l’apparition la transmission et la fréquence des attentats et attaques non seulement en aveugle partout dans le monde. Et qu’en plus, elles sont liées structurellement en grande partie à l’environnement relationnel international, incluant des déficiences et contradictions en gouvernances socio économiques culturelles et politiques avec en plus lacunes sécuritaires flagrantes.

       Maintenant, n’en pourrait-on dire que les discussions sont tournées autour des perspectives du retour du Maroc à l’UA, de dévoiler l’implication du Polisario dans la nébuleuse terroriste par la preuve ? En effet, les manigances algériennes suscitent encore beaucoup d’incompréhension sur cet état de fait, alors que des rapports sans équivoque sont établis à ce propos par les services de renseignements régionaux et de puissances étrangères, qui s'activent qu'on ne le veuille ou pas depuis le Sinaï jusqu’au golf de Guinée. En tout cas, ce n’est pas parce qu’outre le fait de s’interroger sur la présence des forces spéciales de ces pays, de s’informer sur ce qu'elles préparent et donc conséquemment de réaliser que l'entité fantoche Polisario porte en elle le gène transcripteur du terrorisme au Maghreb et dans toute la bande sahélo subsaharienne africaine, que l’UA ne doit pas rendre hommage au Maroc en lui décernant le trophée de reconnaissance de sa lutte acharnée anti Daech Aqmi boko Haram et Chababs. Notamment, grâce à sa résistance à ce terrorisme pléthorique grondant en ses frontières, allant avec les temps qui courent jusqu’à l’entraide si ce n’est carrément la sous-traitance par bénédiction des services secrets algériens. D’autant plus, le Maroc pilote par la même occasion l’initiative qui contribue à la promotion du co-développement en tant que pays sur lequel l’ensemble des africains peuvent compter. Ajouter à cela, les marocains ont été touchés par la solidarité de leurs frères africains qui ont témoignés de leur attachement à la valeur ajoutée et à la qualité de la présence parmi-eux du Maroc à l’UA, que ce soit sur le plan cultuel, développement humain, sécuritaire et institutionnel politique. Ce qui laisse coi presque sans voix la diplomatie algérienne accusant le coup, ne sachant par quel bout prendre le Maroc trop sûr de lui se dirigeant vers la plénitude au sein de l’UA. Et ce, en préparation de conditions requises pour mettre dehors la soi-disant RASD, parce que l’UA ne sera plus le lieu de rendez-vous prédictifs des turbulences et perfidies à l’encontre des pays africains. Au contraire, dorénavant, elle sera cet espace de rencontre des chercheurs d’industriels d’investisseurs pour le façonnage de la nouvelle Afrique dynamique libre et rayonnante.

       Désormais, et il faut le dire avec fierté, toutes les chancelleries à travers le monde ont montré une grande reconnaissance à la sagesse du Roi du Maroc ayant pris la décision juste, murement réfléchie, de retrouver son siège parmi ses pairs au sein de l’UA. D’ailleurs, ne peut-on confirmer que cette initiative royale permettra d’envisager l’avenir de l’UA avec espoir, car elle contribue de fait à la promotion de la participation marocaine massive anti terrorisme, par ailleurs très appréciée par les journalistes spécialistes et chercheurs surtout africains. Néanmoins, pourquoi les sites non officiels qui traitent de sujets politiques au Maroc, ont-ils connu une grande affluence et un engouement sans précédent d’éminents visiteurs de par le monde par suite à la publication de la lettre royale historique ? Et, qui ont manifesté leur souhait de se mettre à la disposition d’accompagner le Maroc par leurs idées dans ce beau challenge. A bon suiveur bonne lecture !   

mardi 19 juillet 2016

LE RETOUR DU MAROC DANS L’UA, UN DROIT ET UN DEVOIR !

LE MAROC PAR SON RETOUR ROYALEMENT ANNONCÉ, NE SE DIRIGE-IL MAGISTRALEMENT VERS LE CO-DÉVELOPPEMENT INTÉGRATIF RAPPROCHÉ, A LA MESURE DE CHAQUE PAYS PAR GUIDANCE DE L’INTÉRIEUR DE L’UA ?

       Le 27-ième Sommet de l’UA (Union Africaine) à Kigali au Rwanda 17-18 Juillet 2016, est devenu une date qui restera gravée dans la mémoire des marocains. Et ce, par suite à la lettre de Sa Majesté le Roi Mohamed VI adressée à la présidence de cette session le Président tchadien Driss Deby, dont l’écho qu’on ne le veuille ou pas a crée un espace d’échanges de réflexion et de prospective pour tous les chefs d’Etats africains. Pour évaluer l’annonce et la résonance du retour du Maroc, non seulement aux structures de l'UA mais aussi à la prise de responsabilité pour la création d’une autre dynamique politique et économique en ces temps-ci des détresses mondialisées voire non confiance entre le Sud et le Nord. Dont surtout en Afrique, les pays amis du Maroc, anciens comme nouveaux, voudraient en démontrer à travers leurs remerciements et encouragements, l’efficience de son soutien à eux des années durant par son action reconnue tout en s’inscrivant dans sa stratégie de relever ensemble les défis qui attendent l’UA. N’est-ce en cela que cette lettre royale historique a été initiatrice d’une occasion longtemps attendue pour discuter de la problématique que pose la RASD ? Laquelle fut illégalement enjointe à l’OUA d’alors en 1984 et dont l’incrimination de l’aggravation des relations avec le Maroc n’est plus à démontrer. Vraiment, cette lettre a eu l’effet d’une bombe, à même que les ennemis inconditionnels du Maroc ont fait bouger les masses médias à leur botte pour raviver les sentiments anti marocains. Ne s’en souciant même pas qu’ils font du tort aux africains comme il a été mentionné dans la lettre royale sous forme de question la plus explicite à leurs balivernes. Et parce qu’en plus, ils se font une idée angoissée par leur narcissisme outrancier et désinvolture irresponsable envers le rôle et la place historique du Maroc même sachant pertinemment que le Roi Mohamed VI est auréolé d’un prestige inattaquable.

       Maintenant, l’on peut dire, ce sujet de retour qui fut pendant 32 ans presque tabou, est en ce temps présent un sujet de réflexion impossible à négliger devant et par rapport aux interrogations-revendications. Notamment, via des suggestions et positionnements interactifs même avec des pays en dehors de l'Afrique toujours dans le sens de réintégration du bercail et non le contraire. Au point que tous les marocains sans exception, comme l’a affirmée Sa Majesté dans sa lettre, ne se voient plus hantés par les contraintes politiques de 1984. Dont, spécifiquement aujourd'hui, l’événement du Brexit de par les conséquences en UE (Union Européenne) donne l’impression au sein de l’UA que le Maroc est en légitimité absolue en droit international de retrouver son siège. Qu'au demeurant, par ailleurs, a confirmé sans détour Driss Deby s'agissant du dépassement du temps de la frustration en matière du retour du Maroc chez-lui sans condition. D’autant plus, 36 pays ne se sentent plus démotivés pour douter de quoi que ce soit pour chasser la RASD, même si, pour le moment, seulement 28 pays parmi-eux qui ont présenté une motion dans ce sens auprès de la présidence du 27-ième Sommet. Montrant qu’au contraire, ils sont encouragés par l’ordre organisationnel royal d’affronter les ennemis du Maroc au nombre de 13 sur 54, d’une part de l’intérieur de l’UA via des démonstrations s’intéressant à leurs handicaps socio-politico-économiques criards de par leurs perfidies politiciennes n’ayant apporté que déstabilisations et guerres fratricides en et pour l’Afrique. D’autre part à l’international, sur le thème principal de basculement de l'Afrique dans le terrorisme, comme quoi ce sont en général ces pays qui influent et forment par leur attitude son support matériel qui ronge tout le continent. Et dont le Polisario en fait partie intégrante sans le moindre doute via son interconnexion avec Aqmi Boco Haram et Daech sous contrôle et bénédiction des services sécuritaires de l'armée algérienne.

       A cet égard, n’en déplaise à certains, il est évident que l’Egypte n’a pu cosigner la motion présentée par le président gabonais Ali Bongo, seulement par petit calcul géopolitique pour raison de conjoncture du fil d’actualités lié, qu’on se le dise sans aucune gène, à la condamnation précoce par le Maroc avant même le Qatar du coup d’Etat en Turquie. Par contre, pour la Tunisie c’est une autre paire de manche, et/où, tant qu’il y a ce retour de ‘’Fouloul‘’ caciques de l’ancien régime Benali au pouvoir actuel il ne faudrait espérer aucun soutien au Maroc, s’ajoutant à la jalousie que Saed premier ministre montre à l’égard de l’envol économique marocain. Reste le Mali le Niger trop fragiles pour s’annoncer dès à présent par peur de la menace algérienne, alors que le Tchad est en droit de respecter une neutralité parce que préside le sommet sachant qu’ils font tous partie avec le Cameroun parmi les 36 pays désirant le débarquement de la fantoche RASD. Sauf que concernant la Mauritanie, il n'est plus un secret pour personne qu'elle a fait son choix en connivence avec le pouvoir algérien rien que pour continuer à narguer le Maroc. N’est-ce ainsi, qu’en plus, la diplomatie marocaine pour qu’elle reste très vive et active, elle doit faire de l’épuisement au camp adverse sa priorité, en premier lieu vis-à-vis de l’Algérie l’Afrique du Sud l’Angola et le Zimbabwe ? Et, donc conséquemment, aura son effet de désactivation de leur activité anti Maroc commune n’usant que d’accroissements des conflits d’un temps révolu, et, en plus prenant les thématiques mensongères montées par des professionnels de la calomnie et des balivernes comme argent comptant pour le dénigrer.

       En définitive, n’est-ce c'à quoi, pour réussir son tour de visse le nouveau Maroc diplomatique, il ne lui reste qu’à procéder à l’optimisation de coordination entre diplomates chevronnés et la composante nommée il y a presque 9 mois au Conseil des Ministres du 06 Novembre 2015 à Laayoune ? A moins que ce retard ne soit lié à des causes techniques ou peut-être même à des incompétences décelées après, dont les lacunes dans les choix des bienheureux élus-diplomates via la consanguinité le copinage et les allégeances partisanes ne pourraient être avalisées. En tout cas encore six mois pour le Maroc, de choisir dans la normalité et placer dans l’objectivité son commando de futurs diplomates dans les structures de l’UA en préparation du Sommet de Janvier 2017 à Addis-Abeba en Ethiopie. Dès lors qu’il ne peut plus occulter aucune prévenance en interne ni contrôle de l'envenimation de l’environnement politique au sein de l’UA, pour éviter les éventuels encombrements de ses canaux diplomatiques. En quelque sorte, montrer à tout moment que l’une de ses stratégies c’est d’accorder la priorité au co-développement Sud-Sud dans la sécurité via partenariats gagnants-gagnants. Ce qu'effectivement semble sa dynamique volontariste loin d’être un luxe pour lui, en concomitance de sa marche maîtrisée en s'ouvrant à une nouvelle conception architecturale diplomatique digne du chemin difficile qui l'attend. D’ailleurs dans les rencontres symposiums conférences et autres plateformes au Maroc sur les réflexions axées sur le co-développement, son objectif sans le cacher c’est qu’il devienne incessamment sous peu, le premier investisseur en Afrique pour effacer définitivement les préjugés. A bon suiveur bonne lecture !

dimanche 17 juillet 2016

GARE A L’AVEUGLEMENT ONUSIEN, SUR DES CONFLITS DONT LA RELATION DE CAUSALITÉ AVEC LE TERRORISME EST EVIDENTE !

L’ÉVICTION DES SUPPORTS DE CE MAL EN AFRIQUE, NE DEVRAIT-ELLE ETRE LA PRIORITÉ A VISÉE PRÉVENTIVE AU SEIN DE L’UA MÊME APRES LE SOMMET DE KIGALI 17-18 JUILLET 2016 ?

       La qualité de lutte anti terrorisme du Maroc n’est-elle maintenant reconnue et certifiée ? Tellement que sa rage de vaincre ce mal sous quelque forme que ce soit et s’émanciper dans l’unité et l’unicité en relevant de grands défis de développement ne fait aucun doute. Mais, ce constat, pourquoi n’est-il pas apprécié au Secrétariat Général sous la chefferie de Ban Ki Moon, vu ses difficultés de différencier avec précision entre les priorités surtout celles à visée préventive anti terrorisme dans la neutralité et l’impartialité ? N’est-ce là aussi une évidence pour le pouvoir algérien de ne pas se raidir davantage et sortir de ses perfidies envers ses voisins ? Dont la plupart des masses médias algériennes libres et honnêtes montrent son handicap lié à sa mauvaise volonté à ne vouloir se mettre dans les rangs pour construire un Grand Maghreb sécurisé librement stable.

       Ainsi, gare à la prise en charge tardive de la survenue des divisions gravissimes en interne du tissu sociétal algérien! Et ce, entre intermittence et persistance selon la durée événements-soulèvements dont malheureusement le petit peuple n’en récolterait que pleurs désagréments et sensation d’abaissement. N’est-ce là où on voit qu’il y a grand risque de vivre un basculement vers l’inconnu par un autre coup d'Etat, ce que les turcs ont massivement raisonnablement rejeté chez-eux avec courage et détermination pendant la nuit du 15 Juillet 2016 ? D’ailleurs face aux terroristes comme aussi aux putschistes, aucun pays ne peut réellement montrer d’effet protecteur efficace ad vitam aeternam, sauf s’il y a de la part de son peuple une volonté de se mettre en rempart pour la démocratie indestructible. Et aussi, en usant lui-même d’efficacité via ses structures institutionnelles sécuritaires, dans l’échange du renseignement combiné à l’entraide régionale et aux suggestions préventives sérieuses de la communauté internationale. Ce qui pousse à se poser la question à tort ou à raison, est-ce qu’au Sommet 8-9 Juillet 2016 à Varsovie de l’OTAN des choses bizarres ne se sont-elles greffées dans l’esprit des militaires turcs ? En tout cas ce peuple est sorti grandi aux yeux du monde, tellement qu’il va maintenant continuer à s’attaquer de front à l’autre fléau qui ronge toute la région. En l’occurrence le terrorisme, dont l’ONU devra s’y atteler avec sérieux sans distinction ethnoculturelle et/où avantage confessionnel usant de deux poids deux mesures.

       Cependant, même si, parfois, on peut le comprendre qu’un pays puisse développer sa méthodologie spécifique de lutte anti terrorisme, il n’en faudrait qu’il n’en tienne compte de la perméabilité des structures et/où cellules dormantes, par infiltration vérifiée et corrélée dans le temps en fonction des risques encourus. Parce que sinon, c’est carrément l’avenir de toute sa vigilance collaborative anticipative anti terrorisme qui risque de se traduire en inquiétude voire en désarroi sociétal pouvant devenir incontrôlable. D’ailleurs, ce ne sont pas les exemples qui manquent par suite d’attaques terroristes, et dont les évolutions vers l’émoi ou même l’effroi ont marqué les populations de beaucoup de pays même les plus en mesure d’y faire face. Encore heureux, le cas du Maroc reste hors cette classification de par sa vigilance où les déstructurations et stoppages des réseaux sont autant de signaux forts qui n’ont aucunement transformé la vie de son peuple. Pourtant, ça ne suffit pas d’éviter d’y songer au cauchemar que vivent les habitants de ces pays ayant subi des attaques et attentats, et qui souffrent en plus à des degrés différents de la perte de confiance en la performance de leurs services anti terrorisme.

       Effectivement, il est vrai que le terrorisme est aveugle pouvant être d’au moins de deux sortes : La première est opportuniste difficilement repérable car survenant là ou on l’attend le moins, et est plus souvent associée à une inspiration à l'exemple du cas tendance jihadisme solitaire loin du qualificatif creux de radicalisation rapide. Alors que la deuxième est planifiée dans le temps et l’espace comme riposte fonctionnelle à ne jamais rater sous quelque prétexte que ce soit, et dont les exécutants dans le cas de l'islamisme radical se considèrent des élus de Dieu pour le martyr qu’à aucun moment ils ne perdent confiance en eux. De ce fait, est-ce qu’au 27° Sommet de l’UA de Kigali au Rwanda, les ennemis inconditionnels du Maroc au nombre de 13 sur 53 pourront encore nier la relation existant entre le Polisario et le conglomérat nébuleux terroriste Aqmi-Daech-boco Haram et Chabab. A cet égard, ne peut-on dire que c’est à cause de ce désappointement visible du pouvoir à Ksar Lamradia, qu’à la fois sa désinvolture et son irresponsabilité sont sous la loupe des USA voire même sur la balance des valeurs de cotation à l’ONU ? Notamment après les récentes recommandations d’Obama à Dallas après son retour du Sommet de l’OTAN, s’adressant directement au couple Maroc-Algérie de reprendre contact en reconsidérant leur coopération anti terrorisme sous l’angle du pragmatisme. Rien que ça ! En plus l’ayant annoncé dans un style sans plaidoirie de son innocence, et d’où sortent aujourd’hui des indications sous-jacentes pour l’amélioration en nombre et en profondeur des cycles des contacts. Alors, pourquoi l’a-t-il fait maintenant, sachant que les marocains n’ont jamais refusé de rencontrer les officiels algériens, même au firmament des décisions malencontreuses qui n’auraient pas du être prises ni d’un coté ni dans l’autre ? N’en pourrait-on en douter que ça puisse cacher des données porteuses de montages encore inconnus, qui seraient toujours cette volonté du Département d’Etat de tout contrôler en guise de mise en effectivité de son agenda ? 

    Loin s’en faut, ce n’est pas seulement dans l’esprit de remédier à cette carence incompréhensible, que l’Etat-Maroc eut procédé à l’effet de stimulation du mécanisme d’échanges notamment avec l’Algérie. Qu’à l’évidence, c’est sur instructions royales qu’est survenu l’envoi de Nasser Bourita ministre délégué aux Affaires Etrangères avec le patron de la DGED Yassine Mansouri pour prendre contact pas uniquement avec le pouvoir algérien mais aussi les présidences mauritanienne et nigériane. D’abord, afin de livrer missives royales aux chefs d’Etats concernés et en plus démontrer de vive voix l’intérêt de l’urgence d’apporter des adaptations en commun pour la coopération géo localisée au moins dans le renseignement militaire anti terrorisme. Ensuite, bien sûr, de mettre en exergue d’une part la volonté politique du Maroc d’asseoir un modèle de co-développement stratégique sans arrières pensées d’inhibition ni de sabotage des efforts. Et d’autre part sans négliger d’exposer pour la énième fois, les mesures d’accompagnements basées sur des arguments politiques solides, qui de fait rendent l’offre de l’autonomie du Sahara marocain absolument inattaquable de nulle part. Comme l’a par ailleurs réitéré ces jours-ci à haute voix le représentant de la France à l’ONU, l’associant à une action anti terroriste de bon augure d’une solution politique viable. Et ce, pour mieux répondre à tous les besoins de développement des habitants sahraouis, via des rapports emprunts de loyauté au Maroc stable au delà même de la vie de la régionalisation avancée. A bon suiveur bon décryptage ! 

jeudi 14 juillet 2016

LE MAROC DIPLOMATIQUE DANS SA NOUVELLE MOBILISATION AFRICAINE TOUS AZIMUTS !

LE MAROC DIPLOMATIQUE N’EST-IL DEVENU CETTE ECOLE EXTRAORDINAIRE DE FORTIFICATION RAISONNABLE DE SES ACTIONS SANS CASSE ?

       Le nouveau Maroc diplomatique est-il en condition de construire de meilleures fidélités avec tous les pays à l’ONU, particulièrement de l’UE et l’UA ? La réponse est Oui, aujourd’hui plus qu’hier, visites des chefs d'Etats et ballets diplomatiques incessants aux portails des palais royaux marocains faisant foi ! D’autant dans son nouveau positionnement géostratégique multidimensionnel, dont il s’est forgé une conscience de ne s’attarder sur les futilités, n’en a-t-il vraiment acquis une propension politique de différencier l’essentiel du subsidiaire sans grabuge ni casse ? Et ce, de par ses engagements avec maestria par des montages politiques et diplomatiques à faire face à la reproduction d’épreuves délicates à son encontre, sur l’échelle relationnelle onusienne surtout américaine nord-européenne et algérienne-africaine.

       Malheureusement, même avec ça, pourquoi en veut-on tant lui faire la peau via des détails de la non réciprocité ayant toujours un écho négatif ? Dès lors que le constat est là, notamment chez la nouvelle génération des négociateurs onusiens et autres vendeurs des nuisances surtout à l'UA, en lui disant presque par réflexe toujours non. Ne sachant qu’eux-mêmes, ils vivent en saprophytisme à l’international n’usant que de mensonges voire d’histoires préfabriquées relevant pour les uns de jalousie si ce n’est de trahison pour d’autres. En tout cas, de par sa résistance et sa clairvoyance, n’est-ce pas quelle que soit leur vision d’appréhender avec ou sans fracas l’avenir de toute la région du Grand Maghreb, son intuition comme toujours l’aidera à lui donner avec brio gain de cause ? En ce sens, franchement, cette histoire de leur positionnement qui n’a normalement pas raison d’être, n’est-elle qu’un contrat d’ordre mafieux exécuté par eux sur commandement des manipulateurs à Ksar Lamradia et ailleurs ? Et d’où, en conséquence de quoi, ils ne veuillent quel que ce soit le prix à pays, que le Maroc puisse recouvrir toutes ses souverainetés pouvant encore flatter son envol socio-économique culturel et cultuel-sécuritaire. Evidemment, autant le rappeler sans détour, ils ne veulent qu’il soit le pays facteur limitant de leur turpitudes héritées d’un temps révolu, et donc révélateur du pot aux roses dans le rôle de l’arbitrage du Secrétaire Général onusien Ban Ki Moon.

       Néanmoins, ce que ces ingrats ne savent pas, c’est que chemin faisant le Maroc diplomatique n’a pas cessé de chercher ses marques d’occuper d’autres terrains géopolitiques et géostratégiques. Suggérant de fait, à la grande partie de la communauté internationale non contaminée par la corruption Alger-pétrodollars dépendante, de se définir par rapport à la vision royale dans ce sens et surtout en fonction de la préservation de la paix dans le cadre de l’offre marocaine de l’autonomie gestionnaire de son Sahara. Au lieu de continuer à tourner en rond, n’en tenant compte de l’insatisfaction des sahraouis séquestrés des camps dans leur diversité tribale d’être devenus malgré-eux une blessure du corps marocain qu’ils idolâtrent avec responsabilité et dévouement. Sachant en plus qu’il est complètement stupide de ne pas penser à la protection qu’offre la régionalisation avancée dans un Maroc unique et unitaire détenant le leadership régional. Car, d'autant plus ils connaissent au mieux le raisonnement intime de tous les égarés vivant dans les chimères à ne vouloir renouer avec la mère-patrie pour raison simple à deviner en premier lieu le refus catégorique du recensement. Voilà pourquoi est-ce qu’il y a aujourd’hui plus de dissidence dans les rangs des séquestrés des camps de la honte ? Ayant le sentiment d’être bernés pour aller seulement à contresens du retour au Maroc, en se risquant aussi d’être phagocytés et donc de se mettre sous tutelle des structures terroristes sillonnant en long et en large toute la région de ces camps.

       Eh oui, c’est un complot ourdi contre le Maroc depuis 1963, par suite duquel après la guerre des sables, justement, Boumediene et sa cohorte de sous-officiers autoproclamés s’en sont emparés du pouvoir. L’ayant politisé à outrance par l’outrage le mépris et le non respect du Maroc, jusqu’à en faire appel à d’autres bailleurs de fonds pour supporter les enlèvements des tribus sahraouies marocaines juste après la Massira en Novembre 1975. Dont l’objectif est d’en faire un noyau d’une armée de soi-disant front de libération…Polisario, qui par la suite est devenu ce que tout le monde sait. En quelque sorte, une aile militariste sous l’emprise d’Aqmi jusqu’à une époque récente, puis ensuite paraissant en connivence avec Daech par la bénédiction de l’ex DRS algérien qui a changé de sigle et non de méthode. En ce sens, ces événements n’ont-ils montré comment et pourquoi le forcing du Maroc diplomatique encadré par la DGED, a fait déceler les points de faiblesse du pouvoir algérien qui va très mal ? De surcroît démontrant sur le plan de l’application du droit international ce qu’il craignait de ce pouvoir rancunier, qui, en se voyant acculé et pris en étau face à des secousses internes politico-socio-économiques n’en fait qu’à sa tête, à même de mettre l’Algérie à feu et à sang.

       Finalement, ne faut-il le noter avec fierté de par l’action diplomatique soutenue du Maroc de ces derniers temps, dont on sent qu’il est peut-être entrain d’amorcer un atterrissage calculé et sûr pour reprendre service au sein de l’UA sous conditions ? Sauf qu’il y a aussi une agitation légitime de la société marocaine pour rompre le mur du silence, du fait qu’elle s’interroge sur les conditions et garanties que l’Etat-Maroc lui-même ait eu pour ne provoquer ni confusion ni incertitude dans l’esprit de tout citoyen qui se respecte. Et aussi pour qu’il ne redevienne la cible privilégiée des médias selon leur angle de tir pouvant caricaturer ses efforts sur l’improbable cohabitation avec la RASD. Notamment, par rapport au décalage d’un avenir serein entre marocains au vu du risque d’augmentation de température sociétale que pourrait engendrer une inattention dans l’analyse de l’opportunité voire décryptage de pièges après presque 32 ans de sevrage. A cet égard, n’est-ce grâce à sa persévérance d’instaurer une marche institutionnelle responsable, invoquant netteté des étalonnages politiques en interne et diplomatiques en externe, qu’il put obtenir une qualité d’équilibrage sociétal quoi qu’en disent certains renégats et autres ennemis identifiés malhonnêtes ? Non seulement à la lumière du déroulé du fil d’actualités parfois imprévisibles, mais aussi à la faveur de reproduction fidèlement des différents processus des kaléidoscopes électoraux dans le respect de la constitution. En définitive, n’est-ce pas c’est ce qui incite le Maroc à persister avec panache dans sa feuille de route exemplaire de mobilisation africaine tous azimuts ? Sans vouloir ni imposer sa mentalité à quiconque sur le sacrifice pour le bien-être du peuple, ni inculquer son authentique savoir-faire politique l’ayant mis sur le piédestal des pays tendant à l’émergence. A bon entendeur salut !  

dimanche 10 juillet 2016

OTAN-MAROC, UNE COOPÉRATION DOTÉE DE PARAMÈTRES INTERROGATIFS MONTRANT MULTIPLES BIZARRERIES POLITIQUES!

A CET ÉGARD, LE MAROC NE DOIT-IL DIPLOMATIQUEMENT ET MÊME MILITAIREMENT RESTER SUR SES GARDES ?

       Le Maroc dans ses prospections militaro-diplomatiques 2017, sera-t-il toujours prêt à contrer aisément les refus du pouvoir algérien et en même temps faire digérer le constat à la présidence mauritanienne ? Il faut dire qu'il n'a d'autre choix parce que les faits sont là, dès lors que la région Grand Maghreb n’est pas meilleure qu’avant. Même avec les essais de maquillage relationnel de certains monteurs d’intrigues en interne, qui tentent bizarrement de la montrer plus sûre. D’ailleurs pour gérer cette situation détonante au Grand Maghreb, rien ne vaut l’interactivité diplomatique sécurisée basée sur la confiance et non la méfiance, encore moins la défiance des uns aux autres. Sauf que ce n’est pas tout, car il y a aussi des réductions d’intérêts certes momentannées voire désintérêts à la carte de la part de l’OTAN pour le versant sud de la méditerranée. De surcroît encore incompréhensibles, ce qui de fait ne permet d’offrir une parfaite maîtrise des dessous des jeux géopolitiques dans toute la région MENA.

       En effet avec les temps qui courent après le sommet sur la loyauté de l’OTAN du 08-09 Juillet 2016 à Varsovie en Pologne, le tout serrage de l’Algérie militairement parlant en plus de ses charges véhémentes vis-à-vis du Maroc, sont aussi inquiétants que le positionnement de la Mauritanie schizophrène tantôt d’un coté tantôt de l’autre. D’autant plus, le Maroc ne peut accepter ni admettre qu’il soit mis devant le fait accompli, en les voyant toutes les deux appréhender le conflit de son Sahara sous leur agenda politique commun en s’aidant de leurs tirs diplomatiques croisés contre lui par suite d’encouragements extérieurs préprogrammés. Notamment après que le pouvoir Boutaflika ait mis sur orbite le nouveau avatar formaté selon les exigences du moment, en l’occurrence Brahim Ghali Rahmani (natif de bled R’hamna au Maroc) à la tête de ce qui reste du Polisario. Croyant presque débilement qu’il en fera partie de la suite de l’aventure anti Maroc, pour qu’elle ne reste ennuyeuse comme du temps du prédécesseur renégat notoire Feu Mohamed Abdelaziz Al Marrakchi.   

       Néanmoins, vraiment, il faut le marteler à redondance, le Maroc ne doit-il alors rester sur ses gardes même vis-à-vis de certains de ses faux-amis dans l’OTAN ? Surtout, du fait qu’il soit allé en faisant cavalier seul, pour humer l’effluve et la senteur de l’autre géopolitique planétaire-stratégique en Inde Chine et en Russie. Dont Obama à son point de presse du 09 Juillet 2016 n’est pas allé par le dos de la cuillère, s’étant montré clairement porteur d’un message comme quoi il n’a sa conscience dans son dernier semestre à la tête des USA que pour défendre coute que coute les pays de la Baltique la Pologne l’Ukraine jusqu’en Roumanie. N’en ayant jamais inversé la terminologie de ses formulations rudes et dures à l’égard de la Russie, lui intimant presque subliminalement des ordres d’obtempérer et respecter les accords de Minsk. N’est-ce rien que pour ça, les marocains doivent se tenir aux aguets et surtout sortir du suivisme informationnel que matraquent les masses médias occidentaux à ce propos, car seuls l’Afghanistan la Jordanie et la Tunisie bénéficieront de cette perspective de mobilisation sans précédent en troupes et en fonds ? Le reste n’est que blabla, même si le Maroc n’a jamais cessé de suggérer à l’OTAN de marquer les limites de définition de ses responsabilités directes et indirectes en travaillant ensemble pour la stabilité de la zone euro-méditerranéenne-Maghreb et la bande sahélo subsaharienne africaine. Ce que Ban Ki Moon et ses manutentionnaires au Secrétariat Général de l’ONU, n’ont jamais voulu cautionner des années durant, même après l’offensive de Daech en Libye pour raison facile à deviner maintenant.

       Evidemment, cette confection de remarques implicites du contexte régional qu’à toujours cherché de glisser le Maroc à l’OTAN qui se montre pour le moment unie, ne s’adresse-t-elle aussi à d’autres pays? Comprendra qui voudra, notamment, ceux parmi eux qui ne font plus le jeu des Etats-Unis empêtrés dans les tiraillements raciaux comme du temps d’avant 1960. Tellement, l'on peut dire qu’à ce titre le Maroc semble le seul pays capable dans le calme la sérénité et la responsabilité, de faire prendre conscience à l’Afrique de sortir de ses vertiges induits et non fortuits qu’elle subit des lobbyings manipulateurs, marchants d’armes compris. Forcément, tendant à l’aligner par interventionnisme ou même chantage comme dans l’histoire pas lointaine, à même de n’en vouloir la voir se relever sans risquer les affres de l’aléatoire de n’être debout. En ce sens, ce n’est pas pour être sarcastique ou même sceptique, ce qui attend la diplomatie marocaine en 2017 du fait de ce rôle parallèle longtemps construit n’est pas une partie de plaisir. D’où, il va falloir tout au moins dans les capitales où les choses se trament se négocient et donc se décident, de cesser de glisser la poussière sous le tapis comme si rien n’était par attitude calculée. D’ailleurs, n’est-ce le moment propice de changer de braquet diplomatique pour laisser Christopher Ross dans son amertume et ses pleurs, face aux preuves et éléments le basculant définitivement sur la touche ? Et ce, rien qu’en se mettant en marche forcée, alliant intelligence tactique à la vision géopolitique hautement stratégique du Roi du Maroc Mohamed VI de rendre sa grandeur au bassin méditerranéen.

       Cependant, dès lors que le ministre des Affaires Etrangères algérien Ramtan Laamamra s’agite pour squatter la présidence de la commission africaine de l’UA (Union Africaine) à la place de la partante sud-africaine Ex Madame Zouma Nkosazana Dlamini, ne faudrait-il pour la diplomatie marocaine s’activer et mobiliser les pays amis, nouveaux et anciens, pour lui faire couper l’herbe sous les pieds. En soutenant le diplomate sénégalais en lice Abdoulaye Bathily représentant du Secrétaire Général de l'ONU pour l'Afrique Centrale, d’autant qu’il est celui qui connait le mieux la réalité des mauvais résultats obtenus par la gouvernance des ennemis du Maroc qu’au demeurant aucun d’eux n’a tiré de leçon sur le pourquoi leurs échecs retentissants. Finalement « il n’y a de pires aveugles que ceux qui ne veulent voir », d’autant plus le retour du Maroc qu’on ne le veuille ou pas bouleverserait la donne politique de l’UA surtout en perspective d’avenir sous Paul Kagamé le pragmatique président rwandais. A bon suiveur bonne lecture ! 

jeudi 7 juillet 2016

LA COP 22 AU MAROC EST ENTRE DÉFIS DES EFFORTS COLOSSAUX POUR L’IMAGE DE MARQUE ET MÉFAITS DE L’IMPORTATION DES DÉCHETS !

OUI, PAR L’ORGANISATION DE LA COP 22 LE MAROC ASPIRE DÉMONTRER SON STATUT ÉMERGENT PLUS ATTRACTIF PAR SA BEAUTÉ FÉERIQUE DIVERSITÉ GÉOGRAPHIQUE ET STABILITÉ POLITIQUE, MAIS… !

       En ce temps présent de préparation de la COP 22 à Marrakech pour Novembre 2016, le Maroc a reçu un secouement sous forme de choc sociétal de par l’inadvertance en gouvernance écologique et environnementale à cause de l’importation de déchets italiens. Etant donné que la puissante industrie pétrochimique italienne a trouvé le chaînon ministériel marocain faible, en ayant eu gain par des clauses secrètes contractées pour exporter ses déchets vers le Maroc. Alors qu’elle-même, elle n’arrive pas à les traiter sur place au vu de la vigilance citoyenne draconienne en la matière, et ce pour des raisons cicatricielles sanitaires et judiciaires de la Dioxine « Drame-Seveso ». Ceci étant par ailleurs, est-ce que ce cas d'insouciance ne pourrait-il conduire à des procès interminables contre le gouvernement marocain, s’il s’avère qu’il y a risque de propagation de toxicité par l’air, par les pluies acides sur les forets et/où les infiltrations souterraines sur l'eau ?

        Bien sûr qu'à ce propos, l’existence sur le Net d’un réseau de la citoyenneté digne en perpétuelle vigilance de surveillance de propagation d’éventuelles contaminations des sites, essaye de décortiquer la situation pour en comprendre la répartition des responsabilités administratives et politiques des uns et des autres. C'est pour cela, en analysant les différents aspects de cette irresponsabilité politique manifeste du Ministère de tutelle, qu'on est alors conduit à penser aux règles relatives au mode d’organisation et fonctionnement des cabinets ministériels normalement sensés attirés le cas échéant l’attention des gouvernants sur la dangerosité de leur décision. D'ailleurs, à présent, on peut dire, ceci rappelle non seulement le cas de non vigilance sans l'usage du principe de précaution dans l'affaire du sang contaminé en France. Mais aussi les cas, des infirmières bulgares en Libye pour contamination d’enfants par VIH sous Kadhafi, les implants mammaires cancérigènes par manque de contrôle adéquat et sévère sur l’innocuité, les huiles frelatées des années soixante au Maroc car mélangées au Kérosène que contenaient des fûts oubliés malheureusement à l’aérodrome de Tanger datant de la deuxième guerre mondiale pour qu'ils soient détournés à des fins de ventes criminelles provoquant les dégâts socio-sanitaires en l'occurrence "Bourakab", la catastrophe de Bhopal de la firme américaine "Union Carbide" en Inde avec des milliers de morts. S'ajoutant en plus à d'autres dénaturations de la qualité de vie et excavations des sols via la rente des carrières de sable de pierres de marbre voire destructions environnementales et sanitaires à travers le monde ? N'est-ce ainsi que s'explique la dispersion secrète des sites d'enfouissement des déchets nucléaires dans diverses parties en Afrique et en Océanie, par peur de l'impact psychologique au vu de la vitalité des partis écolo-verts?          

       Voilà pourquoi aujourd’hui plus qu’hier en matière du développement industriel, il faut sauvegarder la place du Maroc en tête des pays africains bénéficiaires des investissements pour raisons politiques et géostratégiques. D’ailleurs, cette position ne s’explique-t-elle par la possession en abondance d’idées visionnaires émanation des projections d’avenir lancées par le Roi du Maroc en 17 ans de règne ? Ayant fait de la beauté et la diversité géographique du pays un hub attractif des investisseurs de par l’exploitation de ses potentialités et ressources, en provoquant et facilitant sans ambages des déplacements voire délocalisations d’usines vers les terres marocaines avec les garanties requises pour l'environnement. D’où l’on peut y voir une fonction d’articulation des intérêts et échanges mutuels assurant son statut de pays émergent, avec préservation dans le détail de la sauvegarde du patrimoine immatériel écologique-environnemental. Par suite, et en conséquence de l’apparition des déchets de l’industrie agroalimentaire de haute qualité et des technopoles de développement de gigantesques unités de production. A l’exemple des chutes-déchets issus des foyers d’utilisation des matières premières et de l’évolution des techniques de pointe telle l’électronique par production à la chaîne, devant mettre notamment en évidence l’originalité du Maroc face aux défis de la pollution des sites et de l'atmosphère. S’ajoutant à la surveillance de l’industrie du textile et la confection, en plus des usines de pièces détachées de montage et d’assemblage en automobile et aéronautique même reflétant l’accroissement du pouvoir d’achat d’une main-d’œuvre qualifiée. Ainsi, enfin, par suite à ces débats l'on peut conclure qu'au Maroc, la question des déchets industriels et domestiques se pose par la prise de conscience du risque redoutable pouvant naître de toutes les nuisances qui perturbent les équilibres naturels. En particulier, celle de la pollution de l'eau et de l'air avec une gravité chaque jour plus grande après de nombreuses années d’indifférence ou de résignation.

       Néanmoins, toute chose étant égale à elle-même, n’est-ce là où la progression de la vie politique marocaine se doit-elle de se montrer sur le terrain des infrastructures efficace dans la sauvegarde des clauses de l'environnement ? Et ce, d’une manière déterminée pour le développement écolo-économique en faveur du rural et des villes, en particulier dans l'aménagement des aéroports des ports des autoroutes et du rail ? Ce qui automatiquement rendra facilement intégrable dans l'approche et la conception de la Cop 22, n’importe quelle région du territoire national. Notamment, la protection et la sauvegarde du littoral le long de la territorialité principale sans discontinuité s’étendant sur neuf régions en partance de la cote de Saidia à l’extrême Nord-Est de la méditerranée passant par Tanger jusqu’à Laguouira au Sud sur l’Atlantique. Sans oublier les connexions routières autoroutières et ferroviaires avec les trois autres régions de l’intérieur, dont deux des plus riches Fès-Mekneès et Beni Mella-Khénifra qui s’accordent physiquement historiquement avec la plus déshéritée d'entre toutes Draa-Tafilalet. C'est ainsi, même si, le Maroc est devenu une sorte de nation-témoin dans le développement des énergies renouvelables, il doit aussi affronter les multiples problèmes nés des contradictions des gestions politiques locales et régionales notamment sur le plan écologique et environnemental ? Sachant pertinemment qu’au Maroc depuis longtemps, le rôle énergétique majeur est cependant tenu par le pétrole le gaz naturel et le charbonnage, tous faisant partie presque exclusivement des importations stratégiques en complémentarité avec la production nationale hydroélectrique via les barrages. D’ailleurs, aujourd’hui, ce rôle n'est-il freiné pour des raisons de recherche d’indépendance énergétique au bénéfice de production d’Energie renouvelable, dont à titre d'exemples Nour1,2,3 à Ouarzazat par le biais du photovoltaïque, à Tahaddart en géothermie et de l’éolien à Tarfaya ? 

       Tellement à cet égard, qu’on ne le veuille ou pas, si rien n’est entrepris dans l’urgence en cette veille de la COP 22, le Maroc pourrait être montré du doigt comme l’une des principales plateformes de déversement de déchets sans contrôle et en dehors de toute transparence. D’autant plus, ne servant apparemment qu’à ne régulariser rien que le débit d’un financement opaque au détriment de la santé des citoyens et de la sauvegarde des écosystèmes aux alentours des cimenteries en gros consommatrices de ce soi-disant mixe énergétique additif. Et dont on pourrait dire que le choix dans ce cas précis, il fut plus ou moins imposé circonstanciellement par le déroulé de l’activité combien performante (plus de 22 heures par jour) d’une ministre déléguée exagérément trop sûre d’elle. N’en ayant tenu compte, ni du cauchemar que pourrait provoquer son irresponsabilité de fermer les yeux sur les risques encourus alors qu’elle les connait assurément bien. Ni de la décision populaire de s’insurger contre son non réceptivité aux arguments des spécialistes neutres et indépendants, en plus de la société civile marocaine en émoi voyant en cela une défiance gouvernementale au pays tout entier. Dont, le parlement marocain lui-même est interloqué de cette ratification en catimini du protocole d’accord d’importation de ces déchets, en plus dans le temps mort de l’action de ce gouvernement pratiquement en préséance d’échauffement électoral. A bon suiveur bonne lecture !

lundi 4 juillet 2016

TOUJOURS DES TRACTATIONS MAROC-ONU SUR LE SORT DE LA MINURSO SANS QUE ÇA NE DÉGÉNÈRE NI D’UN COTE NI DE L’AUTRE !

POURQUOI LE NÉGOCIATEUR ONUSIEN EN CHEF L’ANGLO-MAROCAIN  JAMAL BENOMAR, N’EST-IL PRÉOCCUPÉ QUE DE SAUVER L’IMAGE DE BAN KI MOON MÊME APRES SES MULTIPLES COUACS A L’ENCONTRE DU MAROC ?

       A l'évidence, l’amorce a été donnée lorsque le négociateur en chef a fait montre qu’il n’est là que pour faire luire l’image de son patron et non pas pour désamorcer l’ambiance de dé-confiance à propos de l’offre d’autonomie proposée par le Maroc son pays natal. Car il sait pertinemment que l’engagement pris par le Maroc de renvoyer la composante civile de la Minurso est une action diplomatique sans conteste de souveraineté. Peut-être même, parce qu’il connait mieux que personne le caractère partial caché anti Maroc de cette mission onusienne depuis plusieurs années. Cela bien sûr reste à vérifier, d’autant plus tous les membres du Conseil de Sécurité ne sont pas tous de cet avis. S’ajoutant à l’autre dé-confiance Maroc-Algérie qui alimente de ses multiples péripéties la chronique de l’actualité de la région Grand Maghreb et la bande sahélo subsaharienne africaine. Attisant incidents diplomatiques voire engendrant parfois escarmouches si ce n’est carrément accrochages militaires ici là, notamment dans la zone de séparation où la mission militaire de la Minurso est sensée faire de l’observation dans la neutralité et l’impartialité.

       D’ailleurs,  là n’est pas le sujet, au vu que quelques renégats de l’intérieur surfent dessus pour flirter avec les séparatistes polisariens afin d'orienter les discussions sur l’avenir du Sahara marocain. Sauf que surprise, ne peut-on dire que ce renvoi réfléchi et calculé de la Minurso civile, est imposé par l’intérêt de haute stratégie pour le Maroc, de dépasser le déficit-déséquilibre communicationnel par la preuve et aussi par la pratique ? Primo, de continuer de se positionner clairement leader dans une meilleure diffusion de renseignement et secundo de s’employer de son mieux à faciliter la réalisation de son offre d’autonomie dans le cadre de la régionalisation avancée. Bien entendu, à ce propos, conséquemment, rien ne sera comme avant coté marocain dans les discussions avec les négociateurs de Ban Ki Moon dans le cadre de la résolution du Conseil de Sécurité du 29 Avril 2016, en particulier de ne laisser quiconque porter tort au droit absolu du Maroc sur ses territoires. Même si, il faut le dire, on en parle aujourd’hui à demi-mots d’une version atténuée qui serait apparemment en voie d’être acceptée et adoptée par le Ministère de tutelle marocain par suite aux sollicitations de pays vraiment amis.

       A cet égard, ne serait-il opportun en termes d’envois de ces signaux politiques d’apaisement, d’y greffer les recommandations des tractations sur le devenir de la composante civile de la Minurso avec l’actualité onusienne dénotant de la marche singulière multipotente du Maroc ? C'est ce qui permet de dire, est-ce que cela ne montre-t-il par ailleurs qu’à ce titre les frustrations ont changé de camp ? Au point que maintenant c’est le Secrétariat Général de l’ONU sous Ban Ki Moon qui subit l’interactivité stratégique et l’influence géopolitique du Maroc refusant désormais les perfidies et surenchères sur son Sahara. En effet, à voir comment les choses évoluent à ce jour, et/où les observateurs suiveurs de ce dossier ne sont pas eux-mêmes étonnés de voir comment Mezouar Ministre marocain des Affaires Etrangères et de la Coopération avait choisi ce moment précis pour faire sa déclaration de recadrage. De surcroît, martelant la mauvaise foi de l’équipe Ban Ki Moon, non tant à cause seulement de la situation dangereuse dans la zone de séparation mais aussi des circonstances de discussions diplomatiques à l’ONU sur le retour des membres civils de la Minurso. Qu’évidemment il en a tenu compte des préoccupations militaires marocaines, montrant implicitement de front que les FAR (Forces Armées Royales) sont en légitimité comme à l’accoutumée de faire face sans hésitation ni tremblement aux menaces de Daech, du Polisario et autres volontés sub-guerrières algériennes-mauritaniennes-dépendantes.

       D’autant plus, tout un chacun sait que la région est devenue un sujet de révision de positionnement entre les 03 représentants permanent à l’ONU, en l’occurrence France Russie et Chine. Qui estiment sans négligence aucune, que le plan de démembrement de la région que projetaient l’Angleterre d’avant le Brexit et les USA sous Obama le timoré, n’est pas tolérable voire non plus acceptable. Dès lors que dans cette région il y a le Maroc, seul pays stable responsable de la protection des voies importantes d’échanges multisectoriels avec l’Europe  le CCG l’Asie et l’Afrique. Dont l’exemplarité est faite par un raisonnement historico-ethnoculturel cultuel qui en dit long sur les délimitations de ses frontières d’antan. Parce que l’on devine qu’on pouvait en parcourant les cartes d’autrefois, partir de Tanger via Oujda en traversant le Sahara oriental marocain spolié en direction du Nord Mali. Mais aussi de Fès en direction de Tombouctou via Marrakech Mhamid et Tindouf, voire aller jusqu’au Sénégal et même au-delà du Golf de Guinée via Chenguite. Même si, aujourd’hui ayant des frontières communes crées par la France avec l’Algérie en dislocation annoncée et par l’Espagne avec la Mauritanie gangrenée et mitée de groupuscules terroristes et autres trafiquants de tous genres.

       Finalement, que les choses soient claires, jamais, au grand jamais, le Sahara marocain ne sera un territoire sous mandat, protégé par l’ONU et dont l’administration serait confiée à l’Algérie-Mauritanie. Parce que c’est ce que cogitait Christopher Ross le goupil dans son intime raisonnement de démembrement du Maroc, ayant poussé le Secrétaire Général Ban Ki Moon à y mettre son empreinte sur encouragement du département d’Etat américain. Mais la vérité, c’est que les marocains y sont sur leurs terres et donc y resteront à jamais, en se donnant pour tache primordial de les transformer en contrées prospères en y ranimant patriotisme et responsabilité. N’est-ce là où le lancement tout récent par le Roi du Maroc, des programmes de la réforme de l’investissement public et privé des grands groupes internationaux sur 07 ans, donnera aux habitants des 03 régions Dakhla-Laayoune-Guelmim espoir comme partout au Maroc ? S’additionnant aux grands chantiers à 77 Milliards déjà en voie de réalisation pour la bonne marche de l’offre de l’autonomie dans la régionalisation avancée ? Qu'au demeurant automatiquement feront éviter au pays les idées politiciennes sans importance initiatique pour l'essor socio-économique, par suite d'incompétence avérée et nonchalance perçue dans la gouvernance de l'Exécutif trop idéologisée actuelle. 

       Certes, en résumé, un tel déploiement d’esprit de travail sans relâche sous l’égide du Roi du Maroc visionnaire, ne pouvait manquer d’inquiéter le pouvoir algérien et la présidence mauritanienne pour ne citer qu’eux. Parce que, qu’ils ne le veuillent ou pas, les avantages du relèvement du niveau de vie du citoyen marocain surtout de l’habitant sahraoui homme et femme, seraient apparents à tout un chacun en matière de création d’emploi et donc de croissance voir de richesse locale. Et donc, pouvant provoquer émeutes et révoltes chez les voisins, à savoir même le risque d’une main mise des terroristes ou de fractions militaires aventurières nostalgiques des coups d'Etat sur ces pays notamment l’Algérie. A bon suiveur bonne lecture !