mercredi 29 mars 2017

LE FUTUR GOUVERNEMENT NE SERA NI RECHAPÉ NI RAFISTOLÉ A LA FAÇON ''TUBLESS'' MAIS SEULEMENT FORMÉ DANS L'ESPRIT DU DISCOURS DE DAKAR ?

MAIS, QUE VEULENT-ILS LES DISTRIBUTEURS DES MESSAGES POLLUÉS SUR LES RÉSEAUX SOCIAUX EN DÉCRIANT LA MÉTHODOLOGIE SUIVIE POUR LA FORMATION DU GOUVERNEMENT APRES LA NOMINATION D'UN AUTRE PJDISTE SAAD-EDDINE OTHMANI PAR SUITE DU LIMOGEAGE DU ZÉLÉ ABEDELILAH BENKIRANE ?
       
       Aider Saad-Eddine Othmani à former son gouvernement avec un programme précis concis et personnalisé par une formation ramassée forte cohérente et stable, n'est rien d'autre qu'une facilitation d'assurer cet objectif pour les marocains y compris les abstentionnistes. Donc, de ce point de vue, il ne sera ni rechapé ni rafistolé à la façon ''Tubless'' et encore moins une boule de neige. Mais, pour cela, faut-il croire en la vertu des chefs de partis de tous les bords, majorité et opposition vis-à-vis de cette programmation dans l'espoir des choix les plus infimes des ministres en tant que commando boule de feu ? A cet effet, il faudrait, surtout de ne pas les entendre parler des hypocrites et des opportunistes autour d'eux, portant leurs CV (Curriculum Vitae) en main et jouant des coudes aux portillons. Alors que, nombreux sont les marocains compétents et capables ayant eux aussi des CV plus étoffés, mais qui ont le sentiment de vivre en dehors de la formation du gouvernement en préparation. A même que certains parmi eux disent, qu'il y a encore un risque qu'il en ressorte de l'incapacité de créer une interdépendance entre les franges sociétales, une représentativité gouvernementale non à l'image le la projection des données de mobilisation pour les élections du 07 Octobre 2016. Parce que, qu'on se le dise sans retenue, on ne peut former un gouvernement au diapason du contenu du discours de Dakar sans tenir compte de l'orientation claire de 60% de marocains par rapport à l'offre programmatique électorale législative d'il y a six mois. Même sachant, qu'il y a quelque chose de pourri chez les zélés incultes n'acceptant cette orientation, croyant pouvoir gagner par l'absurdité la rumeur et le marketing-machination. D'autant plus, que craignent-ils ces pollueurs de la formation gouvernementale, voulant toucher les gens par des messages de la manipulation de tous leurs partages attaches et diffusions d'e-mails photos et caricatures ? Pourquoi ne savent-ils que le Maroc est mieux préparé pour faire face aux attributions de ses ennemis en interne ? En plus, qu'est-ce qui les dérange en matière de sujets à résonance médiatique pro Maroc qui parviennent de partout de par le monde ?  

       Aujourd'hui, c'est vrai, tout s’accélère après que le Roi ne se soit pas rendu au Sommet de la Ligue Arabe à Amman en Jordanie. Mais, attention suite à ce contretemps d’espérer à chercher à faire une pause dans le calendrier de préparation de ce gouvernement ? Même si, le mettre en lumière ne sera pas chose aisée, surtout s'il n'y a pas une sortie de l'engrenage des obscurantistes et de l'impuissance des opportunistes. D'autant plus, tout le monde sait qu'ils n'ont ni colonne vertébrale de projet politique qui ne relève pas du secret de leur pensée, ni relationnel hors norme si ce n'est l'affiliation pour les uns à l'Etranger et pour les autres à des entourages de certains blessés dans leur orgueil qui ne se privent d'aucune occasion pour le montrer. Au sens où, voilà ce qui en dit long sur l'ingrédient principal de la future formation gouvernementale, pour qu'elle n'ait pas le gout d'un raté voire d'une chimère. Sachant, généralement, chacun des chefs de partis concernés affecte une compassion de bonne présence pour certains de leurs protégés et un mépris via vocabulaire qui traduit le complexe de supériorité pour les autres car les considérant lèches-bottes. Mais, là où le bât blesse c'est qu'il s'agisse de langage de surabondance de l'instinct des chefs par l'usage de mots mal placés qui laissent à désirer, même en leur faisant porter le malheur de leurs propres échecs électoraux. D'où l'on voit qu'en ce moment de formation du gouvernement Otmani, ils s'auto-mutilent en voulant se hisser par dessus le seuil érigé par la vision royale que porte le discours de Dakar. N'est-ce, par ailleurs c'est ce qui leur donne des cauchemars avant qu'ils ne s'avisent que tel est le spectre de la future plateforme gouvernementale en profils en structure-organe et fonctionalité cohérente par département ? Comprendront ceux qui voudront, même les recycleurs des idées d'autrui par le copier-coller comme tactique favorite à noyer les arguments sans une ombre de reconnaissance, ne leur serviront à rien !

       Cependant à ce propos, ne peut-on annoncer, d'ores et déjà, toutes les conditions sont réunies pour Othmani pour vivre l'une de ces journées exquises une fois son gouvernement nommé par Sa Majesté le Roi Mohamed VI ? Et d'où, il éprouverait le sentiment d'exister, car beaucoup de pjdistes commencent à changer de fusil d'épaule, cherchant à se convaincre de ce que trop de leurs artifices nuisent à l'essentiel de rester aux commandes de la chefferie du gouvernement. N'est-ce pour cela que Benkirane s'agite, tellement apparemment, il n'en dors plus voyant ses nuits en noir, même si quelques uns de ses anciens ministres le soutiennent par le bout de la langue et le dorlotent ici et là via compassion inutile ? Et ce, comme si par hasard la malveillance ne le submergerait, alors qu'à travers sa vanité et morosité nocturne quand il est seul surement il en arrive à souhaiter l’échec de son successeur. D'ailleurs, en ce genre de situations seule la première intention d'attention à l'égard du peuple compte, par contre le reste n'est qu'un enchaînement entre balancement et incarnation dans les positionnements. A cet égard, autant le dire avec lucidité, quel carnage des souvenirs entre les frères, dont les marocains sont aujourd'hui spectateurs ! D'où, tout ce qui, le mois d'avant, semblait un acquis même dans les tourments des tractations, est devenu insulte et haine entre eux apparaissant de fait à la lumière. Comme quoi l’honnêteté en politique, impose d'admettre que l'opportunisme n'est pas seul responsable d'inconfort des bannis, au vu de leurs combinaisons d'où se distillent des renvois qui amenuisent le luxe politicien dans les jeux interdits. Notamment quand on n'a pas toutes les cartes entre les mains pour stationner en zone de démarcation constitutionnelle dans le but de narguer l'Etat-Maroc en faisant les ablutions en préparation de prêches border-line. En plus, via des propos dont il faut être tombé sur la tête ou avoir un vague air d'irresponsabilité de prétendre pouvoir être le vecteur d'une déstabilisation, croyant pouvoir continuer mettre la bride sur le cou de ses coalisés aussi longtemps qu'ils n'auraient pas trouvé le moyen de s'en rendre compte.

       A l'évidence, Othmani de par ce qu'il a montré à ce jour comme disponibilité d'aller de l'avant, ne voudrait aucunement s'en trouver exposer lui aussi à de désolantes retrouvailles avec l'isolement comme son prédécesseur. De sorte qu'il se positionne d'emblée loin de cette mécanique politique perverse, dont nul ne peut ignorer qu'il en demanderait aux membres de son gouvernement d’être vifs regardants pointilleux voire même enquiquinants sur le respect du droit et l'application stricte de la loi en plus de la pratique de gouvernance saine sans zèle ni soubresauts. Parce que, dorénavant, l'Exécutif de ce qu'était auparavant qu'un refuge pour certains au semblance paisible, est maintenant un toit où l'on doit mériter sa place par la compétence et rien d'autre. Tout en étant convaincu que c'est une Institution Constitutionnelle où rien de démocratique et légal n'offense ni agace, car c'est un lieu où l'on se hausse à la dignité de bien faire son travail dans le silence le calme la sérénité et la responsabilité. Et, donc, il n'est plus temps de rêver en espérant, bon gré, mal gré, compenser les situations grises qu'elles soient sociales économiques culturelles écologiques sécuritaires et politiques, de coups médiatiques hasardeux qui parfois prêtent à en rire. Voilà, n'es-ce là où la communication au nom du gouvernement ne doit-elle le remettre dans les ténèbres du passé récent avec Benkirane ? A bon entendeur, salut !




vendredi 24 mars 2017

AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU, JAMAIS LA TRICHE NI LA MENACE TERRORISTE NE L'EMPORTERONT SUR L'OBLIGATION DE RECONNAISSANCE DU SAHARA MAROCAIN.

POUR LE MAROC, LA TENDANCE ACTUELLE AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU A RECONNAÎTRE SON AMBIVALENCE D'ALORS DANS L'AFFAIRE DU SAHARA MAROCAIN N'EST PAS UN AVEU DE FAIBLESSE, MAIS SEULEMENT UNE RÉVISION CONSCIENCIEUSE DES CERTITUDES-INCERTITUDES APPLIQUÉES EN PRÉJUGÉS SUR CRAINTES NON FONDÉES.

      S'il eut fallu 42 ans pour que l'ONU pense à fermer les arrières boutiques qui l’empêchent de faire le choix de l'avenir au Sahara marocain, ça n'en demanderait à présent qu'une bonne Résolution au Conseil de Sécurité en fin Avril 2017 pour s'orienter proposer et mettre en chantier l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie. D'autant plus, tout le monde sait que ce sera l'ouverture vers une exploitation sans culpabilité ni négligence à contribution du Droit et de la Légitimité pour la qualité du jugement de la vraie Histoire de l'Afrique du Nord. Dont, Antonio Gutterres en connait les bas-fonds des spéculations sur des projections farfelues du temps présent de la part des ennemis du Maroc. D'ailleurs de ce point de vue, de par la chronologie des événements pernicieux qu'ils n'ont jamais cessé d'y greffer presque à redondance depuis 1975, n'est-ce là où l'on voit que pour le pouvoir algérien c'est un conte d'incarnation de ses histoires dramatiques actuelles ? Tellement, pour cela aujourd'hui le Secrétaire Général de l'ONU, il ne doit plus regarder derrière dès lors que c'est le meilleur moment pour lui de faire renaître l'espoir du retour des séquestrés dans les camps de la honte vers la mère-patrie le Maroc. Et, donc d'éviter le continuum du jeu de déstabilisation qui, malheureusement si rien n'est fait, risque d'aller tout droit vers l'officialisation de la terreur du mercenariat du trafic et du terrorisme pléthorique dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. 

       Alors, s'il y a bien une proposition juste viable facilement réalisable c'est de dépasser la triche dans la future Résolution du mois d'Avril, en consacrant la solution politique d'offre marocaine d'autonomie 2007. Pouvant de surcroît jouer le rôle clé dans la transfiguration voire l'éloignement du rituel de l'endormissement qu'entretient l'Algérie dans ce dossier, sachant d'autant plus qu'elle le fait sur les traces de l'ambivalence dans les propos de l'ex Secrétaire Général Ban Ki Moon son envoyé spécieux et leurs soutiens à l'UA UE et ONU. Qu'au demeurant, ne se basant que sur le coté virtuel par la symbolisation chimérique ubuesque, sans tenir compte de celui référentiel dont les premières données remontent à l’Arrêt de la Cour Internationale de Justice de La Haye en Hollande 1975. Mais, la question qui taraude n'est-ce pourquoi osent-ils encore s’étendre dans des danses diplomatiques de l'Ego devenues inaudibles, alors qu'elles sont le précurseur de la dépression des services de renseignement algériens. De sorte, qu'à travers leurs déficiences et déconfitures, ils se voient exacerbés par une culpabilité latente de s’être laissés empêtrer contre le Maroc par un style d'où fourmille leur mauvaise volonté de prendre les aspects positifs du règlement définitif de ce dossier. En plus, sans pouvoir s'expliquer le manque de motivation du peuple algérien qui honorablement ne se sent aucunement concerné, à l'opposé des enragés masses médias à la botte de ces services à somme propagandiste nulle. Aussi, n'est-ce ainsi la preuve qu'au conseil de Sécurité de l'ONU jamais la triche via les circuits de dénaturation de l'Histoire ni la menace par la terreur ne l'emporteront sur l'obligation de reconnaissance du Sahara marocain ? C'est même là le risque principal d'une telle dérive de ne se mettre en accord avec la projection du Maroc tenant compte de l'économie de l'avenir et aussi de l'avancement de la construction de l'UA non ébranlée par les contraintes-mesquineries.

       Evidemment, en perspective de cet avenir commun rayonnant, ne faudrait-il savoir que la sagesse du Roi Mohamed VI sublimerait l'étendue de la capacité de coordination-intégration géopolitique des 03 régions (Dakhla-Laayoune-Guelmim) en direction de l'Afrique et apporterait sans aucun doute le coup fatal aux réticences du pouvoir Boutaflika vacillant ? Lequel, en l'occurrence toujours vivotant au gré d'invention de menace comme espérance d’accéder à l'Atlantique, en se fondant sur la douleur de l'entrainement vers le pire via l'entreprise de la terreur de sa kyrielle de mercenaires barbouzes et apprentis-terroristes. Par ailleurs, n'est-ce à partir de cela, la propension de la pensée à travers les comportements de certains Généraux algériens dont ils s'en empreignent pour garder le Polisario en position belliqueuse à Guergarate, est handicapante pour eux avec le changement de la temporalité de l'action onusienne ? D'où transparaît la résilience d'un pays qui a traversé les ages, et que l'on appelle aujourd'hui à l'international ''Maroc-courage'' dans sa lutte acharnée contre le terrorisme, contrairement à l'Algérie dans le côtoiement de sa bérézina annoncée de par le commencement de controverses en interne sociétales socio-économiques politiques et sécuritaires. 

       Néanmoins, par une lecture sans partie-pris n'est-ce ce qui signifie qu'elle est sur la pente des déceptions pouvant aller jusqu'à son son démembrement et éclatement ? Car, ses Généraux nantis, n'ont veulent retenir de l'approche de l'Etat-Maroc que c'est une véritable leçon de sauvegarde de l'unité et unicité-intégrité territoriale marocaine, sans se mêler des affaires internes des autres pays puissent-ils limitrophes. Ce qu'effectivement montre qu'au sommet de leurs bêtises inhumaines, ils restent toujours dans le déni en décalage avec la réalité en essayant de perturber les signes annonciateurs de désordre et zizanie dans les rangs de leurs soutiens résiduels ici et là, surtout en cette période de reconversion positive du destin du dossier du Sahara marocain au Conseil de Sécurité de l'ONU. Dont on espère les facteurs déterminants de la future formation gouvernementale avec Saad-Eddine Othmani en tant que chef de l'Exécutif, mettront tous les partis politiques dans l’intégration des paliers de la souffrance de l'Algérie qui est aux abois. Non pour parader dans les institutions avec des pauses non objectives sur des rythmes de critiques décevants par rapport à la lancée démocratique, mais pour prendre leur responsabilité dans le suivi de la marche royale en Afrique au sein de la CEDEAO. En montrant que le Maroc ne peut être la cible voire l'otage des turpitudes de quiconque, parce qu'il n'a jamais été ni  isolé ni sorti des radars orientés sur les axes des pays qui comptent à l'international. A bon suiveur, bonne lecture !

dimanche 19 mars 2017

AVEC L'ETAT DE NON GUERRE ET NON PAIX A GUERGARATE, N'EST-CE LE DERNIER TANGO ALGÉRIE-POLISARIO AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU ?

LA RÉSOLUTION D'AVRIL 2017 DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU SUR LE SAHARA MAROCAIN, ANNONCERAIT-ELLE LE DÉBUT DE LA FIN DU DERNIER TANGO DES FAUX-CHÉRUBINS PROPOLISARIENS ?

       Depuis son arrivée à la tête du Secrétariat Général de l'ONU, Antonio Gutterres ne se voit-il raconter que des histoires par des diplomates autour de lui sur pleins d'événements de par le monde. Comme ça, déjà l'on peut dire, qu'à New York au siège des Nations-Unies, il n'est nullement étonné de découvrir cet univers des subtilités d'analyses orientées sur des bases parfois non légitimes et de plaidoyers mensongers téléguidés sur beaucoup de sujets d'actualités. En ce sens, n'est-ce maintenant avec l'ouverture d'un nouveau chapitre sur le devenir de la situation non paix non guerre à Guergarate, il est prévisible que la Résolution d'Avril 2017 rendra la vie difficile aux faux-chérubins au Conseil de Sécurité ? Surtout avec son intransigeance montrée en tant que Secrétaire Général dans sa légitimité, de ne pas contourner l'existence de la menace pour le choix de la guerre par l'Algérie via le Polisario. D'autant plus, sachant qu'à chaque matin au réveil il observe que le dossier du Sahara marocain a 42 ans et dont apparemment le Conseil de Sécurité de l'UA compte aussi s'y inviter pour le compliquer davantage. N'est-ce, cela qui le poussera à être encore plus vigilant sûrement, à la veille de la première date fatidique du 28 Avril 2017 pour lui, à taper sur la table et s’exclamer qu'il est impossible de continuer sur le même parchemin sans rechercher à y mettre fin ? Et, qu'à l'évidence c'est là où il pense d'après les premières indications sur les dissensions créées par les Généraux algériens et augmentées par Christopher Ross, qu'il faut revisiter et revoir ce positionnement partial et non neutre de surcroît incompatible avec les règlements de l'ONU. Parce qu'en plus, il est dangereux pour toute la région car non loin des agissements terroristes propolisariens et aussi non régénérant ni d'espoir ni de sérénité et encore moins de consolidation des acquis des pays limitrophes en matière de bonne pratique démocratique

       En fin de compte, Antonio Gutterres en calmant le jeu et en pensant à l'avenir de la population de la région dans sa prospérité tranquille et sereine que le monde en a constaté au Forum Crans Montana à Dakhla l'envergure, il continuera à soutenir la solution politique viable. Laquelle, par une communication très élaborée peut reprendre l'offre d'autonomie  marocaine dans la régionalisation élargie porteuse de ce genre d'action, y compris le fait de décourager les aventuriers les terroristes et les mercenaires dans leur aveuglement. D'ailleurs, à cause de cela ne réfléchit-il déjà à comment doit-il écrire son premier rapport pour le Conseil de Sécurité de façon explicite et sans nuances, voire de façon assumée sans ambages pour l'aider à sortir sa Résolution qui annoncerait éventuellement le début de la fin du ''Tango Algérie-Polisario'' dans la zone de séparation. Notamment, en relançant les pourparlers directs avec distinctions claires sur leurs finalités anti velléités contre les représentants de la Minurso à Guergarate et ailleurs, en plus sans nourrir ni les haines du pouvoir algériens à l'encontre du Maroc ni les incompréhensions entretenues à son vis-à-vis depuis l'époque de Ban Ki Moon. Néanmoins, exclusivement, c'est grâce à son savoir du dossier du Sahara marocain en y intégrant de fait les actifs anti-blocage via l'offre d'autonomie 2007, qu'il se montrera plus intransigeant pour sa fascination de l'exemplarité du retrait des FAR (Forces Armées Royales) de Guergarate. Dont, qu'on ne l'accepte ou pas, le Maroc en a les clés géo-politiques socio-économiques culturelles cultuelles et sécuritaires de par sa machine rodée d'exploration de l'histoire de son avenir africain inclusif et concerté pour son retour à l'UA et à son intégration géostratégique dans la CEDEAO. 

       A l'évidence, Antonio Gutterres qui n'est pas dans le marché des salamalecs sans crainte de déranger, il ne manquera certainement d'écrire ce rapport, on le sait maintenant, sans peur des mots ni froid aux yeux d'affronter les relances de dédoublement de positionnement ou de provocation du coté du pouvoir Boutaflika comme de celui du séparatiste malgré-lui Ibrahim Ghali. D'autant plus, n'est-ce comme ça, le Polisario ne pourra plus continuer à se reconstruire autour du culte de la victime et du complot international, car tout simplement n'aura de choix que pour normaliser la temporalité de ses engagements de réintégrer la mère-patrie avec l'aide du futur envoyé spécial pour le dossier du Sahara marocain. Et, conséquemment sortir de la thèse de l'Algérie qui, à la lumière de cette nouvelle donnée, décryptera elle-même le concept des valeurs de sa vulnérabilité politique de ses travers constitutionnels et de son impuissance militaire devant la détermination du Maroc à défendre tous ses territoires. C'est même incroyable qu'il y est des pays, de par leurs propres expériences ils incarnent encore une fantasmagorie non débarrassée des discours convenus pour eux seulement, sans savoir qu'ils continuent à rapporter la fausse réalité, de surcroît, en se montrant en colère alors qu'ils ne pèsent plus rien ni géo-politiquement ni géo-stratégiquement dans l'échiquier des Nation-Unies. D'ailleurs, ne sont-ils ici et là rattrapés par leurs parcours jonchés de drames et aventures déconcertantes dans le non respect des droits de l'hommes, en s'engouffrant dans l'hypocrisie collective par leur réécriture de l'Histoire d'un pays qui les dépasse haut la main ?

       Avec ce décryptage sans fuite en avant, alors que le Maroc rentre déjà en phase de déblocage politique pour la formation du gouvernement Othmani au vu de son approche salutaire, ne pourrait-on annoncer que 2017 sera celle de la vocation d'aller de l'avant dans l'esprit du discours royal de Dakar ? Dont, la future formation ministérielle devra en prendre la saine distance par rapport, primo aux événements privés pour éviter les amalgames les confusions des genres et les fourberies. Et, secundo être sans réserve dans le salut contre les freinages quels qu’ils soient, surtout ceux venant de l'extérieur via le joug de la corruption qu'en définitive c'est fait pour saper la marche du pays à coups de manigances dérangeantes agressives. Comme ça, tous les ministres comprendront que désormais, faire de la politique ce n'est nullement avoir besoin de félicitations sans beaucoup travailler et sans se mettre à fond dans la bonne construction du nouveau Maroc sous l'égide du Roi Mohamed VI. D'ailleurs, n'est- ce, ce qui les mettrait à l'écoute des marocains, non juste pour leur faire plaisir mais en sachant répondre honnêtement sur leurs doléances avec finesse et intelligence ? Sans négligence et loin de la langue de bois voire l'habitude et la manière des pros, en plus sans arrogance dont tout un chacun peut la déceler cachée dans la gestuelle comme une politique faite pour tromper. N'est-ce de la sorte, que le chef du gouvernement Saad-Eddine Othmani pourra traiter la dé-confiance des marocains en les politiques dont on a vu des témoignages extrêmement forts, en les rendant plus audibles intégrant la nouvelle donne. Et par delà, donc, il réactivera les facteurs de relance de l'économie de haute performance pour relever les défis qui attendent le Maroc dans son nouveau tracé géopolitique et géostratégique africain ? D'où, ni l'Algérie ni le Polisario ne pourront s'y greffer, même en associant leur soi-disant pleurnicherie irraisonnée et irraisonnable dans le traitement du dossier du Sahara marocain par le Conseil de Sécurité de l'ONU. A bon entendeur, salut !       

vendredi 17 mars 2017

SUR PRISE DE DÉCISION DU LIMOGEAGE DE BENKIRANE, Y'AURA-T-IL SURPRISE DANS LE CHOIX DU REMPLAÇANT ?

LE JOUR DE L'ANNONCE DU SUCCESSEUR DE BENKIRANE AVANT OU APRES LE CONSEIL NATIONAL DU PJD, SERA-T-IL UN MOMENT CRUCIAL DONT PERSONNE N'EN PEUT ÉPROUVER LES BESOINS DE LE CRITIQUER ?

       Et si le jour le plus heureux pour le PJD était le premier d'où il n'en éprouverait concevoir aucun refus par rapport au choix royal du successeur de Benkirane pour former le gouvernement? Mais, c'est qui le pressenti après lui, si tout va bien ? Pourra-t-il contribuer à cette tache qui s'annonce tortueuse sinueuse mais exaltante, sans se faire piéger par l'enferment comportemental et emphatique des zélés parmi les siens ? Voilà pourquoi il y a tant de spéculations sur les profils et portraits des pressentis ici et là sur les manchettes et réseaux sociaux, sans savoir à quoi la nomination royale doit ressembler. Parce qu'en dehors d'un autre choix constitutionnel qui normalement ne doit être négligé, l'heureux élu du PJD se verrait d'emblée comme acteur-sujet saisissant le meilleur sens de lui-même. Sachant que, sa volonté en soi presque dominée par des sentiments de satisfaction au moment de la réponse du Roi qui pourrait arriver avant ou après le Conseil National du PJD la matinée du 18 Mars 2017. Dès lors que c'est maintenant acté, Benkirane aura la facilité et le loisir après son limogeage de ressasser ses innombrables incohérences, avant d'aller retrouver le calme de sa passion pour psalmodier dans sa solitude son tic-tac tacticien aventurier dont probablement il s'en mordrait les doigts une fois la tension tombée.

       Cependant, autant le réitérer sans détours, dans tous les cas le limogeage de Benkirane représente un honneur au Maroc à l'application normale par le Roi de la constitution du 01 Juillet 2011 et rien d'autre. N'est-ce, par ailleurs de cela que la situation parait aujourd'hui excellente pour atténuer les effets du blocage, qu’effectivement le choix royal d’arrêter ce cycle infernal n'engendrera que des satisfactions sous forme de présage de succès précieux pour combler les lacunes composées par des logorrhées piteusement pré-calculées et des figurations comportementales qui n'ont que trop duré ? Et, dont, la personnalité choisie à remplacer Benkirane serait favorisée à la fois par les états psychologiques entre perte des zélés et déception des autres postulants, et les états immatériels gratifiants de la chance de la notoriété si ce n'est carrément la réalisation inespérée d'un rêve via la perspective d'aller de l'avant. A cet égard, n'est-ce pas qu'il fera tout pour être compris, loin de la création du surmoi ni du moi autonome différent de l'esprit du discours de Dakar et encore moins de la profondeur de la pensée de pjdisation de la société marocaine ? D'où, tout compte fait, il sera amené à se comporter comme une alternative au blocage sur-médiatisé de son prédécesseur, pour ne pas apparaître au sein de sa famille politique ressemblant ainsi à un intrus qui s'imposerait sans y être inviter.

       Enfin, l'on peut dire, outre ces qualités humaines, le chef du gouvernement choisi doit être au rendez-vous dans sa pratique au sein de l'Exécutif une fois son équipe constituée et investie par le parlement. Non pas, seulement par la discrétion l'abnégation l'observance et l'acceptation de la diversité des opinions mais aussi par l'éloignement des correspondances saugrenues avec l'Etranger, et ce, en usant d'une mise à jour de ses connaissances des dossiers afin d’enrichir sa gouvernance de toutes les précisions pour y faire face. Toutefois, dans ce domaine, si la connaissance des stratégies à adopter est essentielle pour éviter la rencontre des contraires décisionnels, elle ne saurait suffire dans les actions politiques sans logiquement la rehausser en faisant à la fois preuve de perspicacité diplomatique et sensibilité de tact pour ne pas choquer. Comprendront ceux qui voudront, du moment que précédemment l'Etat-Maroc ait eu à dissiper des actes dévastateurs de ce genre de comportements irresponsables ! Parce que, on en a assez de l'utilisation de la méthode politicienne de la texture de la mayonnaise qui monte avec la constitution des plats à offrir, en l'occurrence ne plus rester inoffensif devant les productions des incertitudes et donc forcément les stopper. En cela, à quoi doit-il tenir l'art de gouvernance du nouveau arrivant à la chefferie du gouvernement, si ce n'est à éviter les bugs dans ses arbitrages entre ministères et institutions sous sa compétence administrative à cause des jeux dangereux de certains infiltrés qui constituent la cinquième colonne dans l'administration ? De sorte que cette ligne de conduite soit un moyen pour lui, de se faciliter la tache pour affronter les vicissitudes-combinaisons politiques qui essaieront de le conduire à la défaite, s'ajoutant au choc de sa personnalité afin de délimiter le champ central de son action loin de tout sens vague ou confus, car la politique a horreur du vide. 

       Aussi, de même que le prochain chef du gouvernement doit croire en ses capacités, de même les ministres qu'il aura à choisir doivent avoir foi en sa façon de gouverner à l'Exécutif. N'est-ce, ce qui pourrait assurer au gouvernement dans sa totalité des victoires qui le sortiront de l'empirisme de l'alchimie partisane sans valeur ajoutée pour l'image du pays ? Et, donc conséquemment, le mettront en bonne orbite stable pour la pratique de bonne gouvernance sans arrières pensées ni politiques ni stratégiques électoraliste de bas niveau. Mais, pour arriver à cette fin qui demande courage sensé et abnégation motivée, les partis politiques qui se coaliseraient avec le PJD, accepteront-ils des consultations d'arrière boutique par lesquelles le chef désigné prenne toujours le soin de s'en référer à Benkirane et ses zélés avant d'entreprendre une action quelconque ? D'ailleurs à ce propos, n'est-ce pour cette raison qu'il va falloir se préparer à une désignation d'une personnalité ne supportant pas à être obligée de parler le genre de ''langage vieux'' de courbure d’échine avec sa famille, mais seulement le langage du temps des grands défis qui attendent le Maroc pour qu'il ne s'isolasse pas mais seulement rester dans le peloton des pays qui bougent ? Comme ça, à titre d'exemple fictionnel, si les observateurs avertis ont à choisir entre Rabbah Daoudi Aamara Othmani et Ramid, que feraient-ils alors que tout semble clair dans cette partie cachée ou il faut admettre l'existence de vibrations magnétiques-énergétiques personnalisées, qu’éventuellement pourraient les conduire à faire la meilleure sélection ? A bon suiveur, bon décryptage !

mercredi 15 mars 2017

BENKIRANE DANS SON JEU DE L'HORLOGE POUR LA FORMATION DU GOUVERNEMENT, NE MANQUE-T-IL DE SÛRETÉ ET DE CLARTÉ PAR SUITE DU RENVOI DE SES AMIS AMÉRICAINS DES ARCANES DU POUVOIR ?

N'EST-CE PAS LES PROTAGONISTES POUR LA FORMATION DU GOUVERNEMENT BENKIRANE III NE PARVIENDRAIENT JAMAIS A EVITER LA SURENCHÈRE, S'IL N'Y A PAS UNE PRISE DE POSITION CLAIRE D'EUX-MÊMES SANS CONTINUER A SE VOILER  LE VISAGE POUR METTRE FIN AU JEU D’HORLOGE  DES PJDISTES ZÉLÉS ?

       Au Maroc, tout le monde a entendu parler du ''Blocage'' qui dure à ce jour après cinq mois d'attente concernant la formation du gouvernement. Mais qu'est-ce que le Blocage et que cache exactement politiquement ce terme après les résultats des élections législatives du 07 Octobre 2016 au Maroc ? Quelle est son origine, et comme on peut s'en douter, les opinions ne sont-elles très partagées à ce sujet ? D'ailleurs, de nombreuses polémiques ont été soulevées à la question de savoir qui, des partis ayant un groupe parlementaire PJD PAM RNI-UC PI MP USFP, avait introduit, pour la première fois, cette notion de Blocage pour n'aboutir à une formation gouvernementale ? Néanmoins, tout compte fait, pour nos politiques du temps présent le Blocage n'est-il l'art de tirer les bénéfices du tapi électoral chacun pour soi, en plus de leur donner une signification particulière selon la vision qu'ils en ont à ce propos ? Pour qu'ensuite, d’interpréter la temporalité et l'opportunité de leur prise de position dont ils sont porteurs et qu'enfin de livrer au citoyen lambda  une interprétation de la charge politique qui s'en dégage. Sauf que ç'a donné aux nouveaux conteurs-cartomanciens qui se prétendent analystes invétérés du champ politique marocain depuis l'avènement de la nouvelle constitution 01 Juillet 2011, l'occasion de dire que Benkirane continue d'ignorer tout le monde à même de le considérer un surhomme. Même si, en vérité il ne sent plus que des interactions négatives du RNI-UC MP USFP, ne sachant que leurs prédictions concernant la formation de son troisième gouvernement ne rassuraient quant au dénouement heureux de son propre avenir politique. 

       Justement, maintenant que Sa Majesté le Roi Mohamed VI est rentré au pays après un long périple africain, dont le monde entier en ait vu sa maîtrise de la connaissance et la signification des dessous des cartes géopolitiques au sein de l'UA et ONU. S'ajoutant à celles géostratégiques vis-à-vis de l'UE CCG USA Russie Chine Inde et autres, desquelles les marocains en attendent qu'il mette fin à ce jeu de l'horloge en vertu de l'article 47 de la constitution. Dont, Benkirane et ses zélés pjdistes l'utilisent pour connaitre les événements afin de fixer le cap des tractations en tordant le bénéfice du crédit de fidélisation pour l'acceptation de l'arbitrage royal. Un jeu dangereux, qui de surcroît a restreint leur rayon d'action de l'amélioration des rapprochements des point de vue avec les protagonistes, et dont ils crurent pouvoir les manipuler et donc en faire un cas de jurisprudence dans l'exercice de la démocratie. Alors que c'a porté tort à l'économie du pays et à son image avec ce degré plus élevé de l'intransigeance et l’intérêt partisan infiltré de l’extérieur par des téléchargements d'applications de fabrication de la menace. Ce qui corrobore par ailleurs, que les consultants scrutateurs avertis des actes soi-disant de résistance de Benkirane en tant que chef désigné à former le gouvernement, on le sait maintenant, n'y voient qu'une mauvaise traduction de ses idées, de ses sentiments aux uns et aux autres et de ses choix existentiels. Et, d'où, tout se traduisait comme un grand appétit à travers ses moindres expressions ses gestes et son comportement sur lesquels il projetait son espoir d'obtenir la réponse qu'il cherche, celle de tout avoir en restant dans l'esprit de la ligne tracée par le ''Tandim'' des frères à Ammane en Jordanie.

  Mais voilà, tout le monde sait que l'Etat-Maroc ne désire mettre tous ses œufs dans le même panier sans prendre de gros risques. N'est-ce d'ailleurs pour cela, Benkirane doit apprivoiser l'idée du risque de sa déchéance politique qui s'annonce probable maintenant qu'il a abîmé la fonction de chef du gouvernement par son attitude ? Dont, le retour du Roi au pays sans que les marocains n'en voient le reportage télévisé n'en est-il révélateur du déblocage de cette situation intolérable ? Ce qui montre qu'il serait sans doute devenu indésirable et que si rien n'est rattrapé prochainement, il irait éventuellement broyer du noir après l'officialisation de son débarquement du train institutionnel de la chefferie du gouvernement. A cet égard, sur le coup, n'en pourrait-on sentir, ça ne ferait que déprimer encore plus les modérés parmi les siens qui n'ont jamais cessé de lui demander de sortir de cette posture et de mettre fin à ses discours border-line, comme à Agadir à Errachidia à Skhirat et à Oualidia ? Sans pousser plus loin la réflexion sur leur résonance obscurantiste, qu'en effet, lui seul, il aurait pris volontairement la décision de faire dans la surenchère jusqu'à passer par des pics d'angoisse pour faire peur à l'Etat-Maroc lui-même en l'honneur vengeur des manigances de ses amis américains sous Obama. Par exemple, le fait de dire il a pris conscience qu'il avait un réel problème avec l'idée de s’être laissé faire dans son exercice de la première législature et que dorénavant rien ne l’empercherait de trancher, chaque fois que l'occasion d'un choix complexe se posera à même de faire fi de la constitution dont il a montré qu'il est loin d'en avoir compris les subtilités et les fondamentaux. Et, donc, de ne plus s'interroger s'il adviendrait que dans le futur il aurait encore à prendre des décisions, est-ce qu'il pourrait en être fier de passer pour le centre attractif d'avoir fait plaisir à ses producteurs de conscience de l'Etranger ? A bon entendeur, salut !   

samedi 11 mars 2017

...ET SI, L'ONU ACTIVE UN PLAN ANTI KIDNAPPING DU PRÉSIDENT BOUTAFLIKA POUR CONTRER LE FORCING CASSE-TÊTE DES GÉNÉRAUX ?

QUE FAIT LA COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE POUR CONNAITRE LE VRAI SORT DU PRÉSIDENT ALGERIEN PERDU, SACHANT QU'IL Y A BATAILLE INSTITUTIONNELLE RAGEUSE ET RAVAGEUSE SUR LES DÉCOMBRES QUI RESTENT DE CE POUVOIR ?

       Ce n'est pas parce qu'on n'est pas au cœur du secret de l'Etat algérien, que l'on ne peut savoir que sur le plan diplomatico-stratégique c'est la bérézina totale qui le guette. Et ce n'est pas la ronde du premier ministre Abdelmalek Sellal sur les traces des visites royales en Afrique, qui le mettrait en dehors du champ d'influence du Maroc. En plus, ni les révélations mensongères ni les expressions remake du polisarien Brahim Ghali avec une voix OFF surabondante de Gaid Salah ne s'embarrassant pas du tremblement sous ses pieds, ne l'aideraient à avoir la confiance ni de l'UA ni de l'UE et encore moins de l'ONU. N'est-ce en cela, que c'est prouvé le Maroc a rendu la vie politique socio-économique culturelle et sécuritaire encore plus aisément multi-régénérante de la confiance procurant énergie entrepreneuriale dans ses provinces du Sud des 03 régions (Guelmim-Laayoun-Dakhla) ? Et ce, grâce à la détermination de tout son peuple derrière ses Rois depuis 1975, sans fermer la porte du retour aux égarés qui n'ont pas du sang sur leurs mains. D'ailleurs, pour comprendre pourquoi le Polisario par ses agissements à Guergarate il fait la bande qui danse dans un lieu pouvant devenir son cimetière, il faudrait s'imaginer que les services de renseignements algériens n'admettent cette réalité 42 ans après, d'où conséquemment, ils ne veulent se sentir organiquement marginaliser par le Conseil de Sécurité de l'ONU. S'ajoutant à sa fuite en avant par sa fascination pour le pré carré autour de Said Boutaflika, allant dans le même sens que les généraux de provoquer le Maroc dans les rencontres internationales, tout simplement pour fuir la fronde réelle interne désastreuse dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et partout. 

       Néanmoins, à ce propos, ne peut-on dire que sont désormais ouvertes au Conseil de Sécurité de l'ONU pour fin Avril 2017 au moment de la sortie de la Résolution sur le Sahara marocain, les projections de la recherche du président perdu en l'occurrence Abdelaziz Boutaflika, et ce par le déclenchement du plan d'urgence anti kidnapping ? D'autant plus, c'est parce que les services de renseignements civils-militaires à Alger se voient survitaminé de reprendre les clés du pouvoir en ON par la vengeance et non plus en OFF comme d'antan par la manipulation, qu'ils ont poussé à le séquestrer malgré-lui. Dans le but, où bien d'annoncer son décès presque apprivoisé par eux ou de préparer sa destitution et organiser une mascarade d'élection présidentielle anticipée, en  montrant une position irrationnelle ultra agressive non seulement à l'encontre du Maroc mais aussi vis-à-vis de l'ONU. Et, donc conséquemment, imposer le tempo et le résultat qu'ils veulent, eux, à la crise du Polisario avec le Conseil de Sécurité après le départ de Ban Ki Moon et Christopher Ross. Dont la vraie logique de leur manière de faire, c'est de provoquer un choc en faisant monter le degrés de leurs nuisances pour rester les maîtres de l'ingénierie du jeu géopolitique de déstabilisation vis-à-vis des pays limitrophes. Tels la Mauritanie déjà cyanosée par l'activité surtout d'Aqmi lui donnant une assurance négociée par un deal qui lui permettrait à ses risques et périls de faire passer ses retouches constitutionnelles. La Tunisie apeurée par les signes de l'islamisme ghanouchien va-et-vient qui ne trompent pas, surtout à propos du risque d'emballement sociétal gravissime qu'elle peut vivre à tout instant. Le Mali tétanisé par les nombreuses actions ponctuelles parfois devenant diffuses des groupuscules terroristes et indépendantistes téléguidés d'Alger, la Libye en sursis toujours à la recherche d'une bonne sortie au risque de renouer avec son passé, le Tchad tourmenté par l'aisance de Boko Haram à agir ici et là même s'il ne s’empêche de les contrer avec sa rigueur reconnue, et enfin le Niger horrifié entre procès contre les jihadistes et agissement de l'opposition partisane même en apprivoisant l'idée de sa mort politique dans sa course pour le pouvoir. 

       Excusez du peu, de ce mode de traitement des Généraux algériens par le chantage des voisins et du nouveau Secrétaire Général Antonio Gutterres qu'ils ne portent pas en bonne estime ! Dont, aussi, il faut le mentionner, la volonté du peuple algérien, lui-même, qui normalement aspire à en finir avec eux, elle n'est pas respectée pour ne pas dire qu'elle est malmenée par cette trahison totalement inédite. N'est-ce là, où la communauté internationale doit anticiper une action en faveur de l'effritement de leur genèse qui arrive à bout de souffle, et prendre les dispositions pour faire éjecter le Polisario de Guergarate par la force, même si, il est entrain d’infléchir sa position ? Afin d'arrêter ce jeu dangereux pour la région MENA-Sahel subsaharienne africaine, qui de surcroît émane d'une conception obsolète, de ce que c'est avoir le pouvoir chez ces Généraux. Qu'effectivement, on ne peut pas dire qu'ils n'aient pas choisi de s’empêtrer dans le complot ourdi contre le peuple par le kidnapping et la séquestration du président Boutaflika dont à ce jour on ne sait s'il est encore en vie. Parce que, pour l'ONU, continuer à palabrer avec le Polisario sans sortir de l'esprit équilibriste doctrinal régional clownesque, c'est vraiment le laisser se propager dès lors que la Minurso ne peut être la puissance tutélaire pour le stopper. Au sens que le Maroc en a la capacité la légitimité et la responsabilité de le faire dégager, car son modèle en terrain d'opération rassure amplement, par rapport à la mécanique à scénarios catastrophes que risque d'enclencher l'Algérie à Guergarate. Qu'hélas, elle ne serait que la conséquence de la folie meurtrière entre factions hétéroclites civiles-militaires pour la prise du pouvoir à Ksar Lamradia d'Alger au détriment du peuple.

       Voilà pourquoi, aujourd'hui, il y a trouble douleur et colère dans les services de renseignements algériens qui vivaient leur rêve de maître du jeu à l'UA pendant 33 ans sous-forme d’euphorie révélatrice de toutes leurs obsessions ? Ce qui reflète, en ce temps présent après le retour triomphant du Maroc parmi les siens la face cachée des infiltrations des espions mercenaires et barbouzes à la botte de ce pouvoir en fin de vie. Et ce, en masse en Mauritanie Mali Niger Libye Tunisie et Tchad créant un contexte d'incertitude sur leur stabilité, dont in fine ils sont considérés comme des perturbateurs de la confiance en ces pays de par le monde. Comme quoi cette façon de faire des Généraux algériens en y consignant les activités au quotidien de ces pays pour surveiller leurs émotions, n'est autre qu'un exutoire non salutaire ayant un impact négatif sur les échanges économiques diplomatiques et sécuritaires par manque de confiance. Un jeu où chacun de leur comportement énigmatique vis-à-vis du Maroc, devient une scène de décryptage par les services compétents marocains dans tous les volets pour savoir si les soupçons se confirment. N'est-ce là, où finalement c'est un gros avantage pour lui, au vu de son engagement africain via différentes fonctions de normalisations intégratives interactives des partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal sans triches ni arrières pensées. A bon entendeur, salut !        

mercredi 8 mars 2017

COMME C'EST DÉJÀ PRESSENTI A L'ONU, IL N'Y AURA PAS DE RETARD A L'ALLUMAGE DE LA DISSUASION-ÉCLAIR POUR EVITER AU POLISARIO LE HARA-KIRI A GUERGARATE !

L'ONU SAIT QUE L’ALGÉRIE EST PRISONNIÈRE D'UN DÉSESPOIR QUI LA LIE, PRIMO A SES PROPRES DENIS VIA ALLÉGATIONS INVECTIVES VOIRE DIATRIBES VIS-A-VIS DE LA MARCHE DU MAROC, SECUNDO A L'AVEUGLEMENT DU POLISARIO QUI VA SI MAL JUSQU'A VOULOIR SE SUICIDER.

    La nouvelle victoire du temps du Maroc sur celui de l'Algérie, ne confirme-t-elle la vraie capture multi-perfection des partenariats gagnants-gagnants signés dans tous les domaines avec les USA CCG Russie Chine France Espagne Inde et partout en Afrique ? Sans omettre, ni les créations des lignes géopolitiques qui corrigent 33 ans d'absence à l'UA tout en dénonçant le stratagème guerrier de l'Algérie à son encontre, dont tout un chacun peut en voir les accusations du Polisario à l'égard de l'ONU une tentative de renégociation de son maintien à Guergarate. Ni les addictions qui en découlent des enjeux géostratégiques, dont le Maroc présente une hyperactivité politique socio-économique écologique culturelle cultuelle et sécuritaire digne des grands Etats. Et, d'où l'on voit qu'il est en capacité de participer aujourd'hui à un nouveau Relooking africain, de surcroît de responsabilité partagée dans le cadre d'une maturation en termes de fréquence des bonnes actions. Qu'effectivement, elles sont confirmées par tous les documents des services de renseignements présents dans la région et pas seulement, surtout les français les espagnols les égyptiens les israéliens et la NSA des USA requinquée sous Obama par d'incroyables méthodes d'épiage et surveillance dont en parlent aujourd'hui-même les lanceurs d'alerte. 

   Néanmoins, à cet égard, pourquoi l'Algérie ne fait-elle que révéler ses intentions en cherchant l'affrontement direct ou indirect avec le Maroc ? Tout simplement, afin de mettre en souffrance son approche socio-économique accélérée sereine et paisible faisant face aux défis in-sécuritaires par le co-développement maîtrisé et valorisant Sud-Sud. En ce sens, ne peut-on dire, les événements sociétaux traumatiques dont elle souffre la pré-conditionnent en brutalité et angoisse à son vis-à-vis ? Alors que lui n'a guère été, n'est toujours pas et ne sera jamais l'ennemi de ce pays frère qu'est l'Algérie, malgré ce qu'elle lui fait subir en ce moment comme pression redonnant aux relations bilatérales un ton de désunion. D'ailleurs, du coup, n'est-ce pas pour cela qu'il est sur le qui-vive confirmant qu'il ne se laissera jamais faire à propos de son intégrité territoriale ? Parce qu'il en est capable de contrer les incursions comme les attaques de quelques natures et/où origines qu'elles soient, dont tous les rapports en géostratégies militaires indiquent qu'il est lui aussi en surpuissance régionale de feu qu'on ne le veuille ou pas. D'autant plus, c'est évident maintenant, dans le dossier du Sahara marocain le sentiment qui a fait tourner le Secrétariat Général de l'ONU à l'époque de Ban Ki Moon n'est plus valide. Et, d'où justement, il fut fabriqué malhonnêtement par le désormais dégagé Christopher Ross, sur des conclusions dont à chacun de les imaginer bien cachées entre les lignes des Résolutions, à peu près opposées à l'offre marocaine d'autonomie 2007 qui se base sur la régionalisation élargie. 

    Ainsi, pour le Maroc, quoi de plus redoutable de s'y trouver devant les gros mensonges d'Obama et sa clique dont Kerry au DEA Nkosazana Dlamini à la Commission de l'UA, qu'au demeurant ne respectaient ni sa légalité ni sa légitimité dans son offre avec les idées et solutions politiques viables acceptables de tous. Lesquels, ayant usé de l'interactivité de cooptation saugrenue de seulement leurs idées interchangeables pour construire le monde à leur façon, qu'heureusement, avec l'arrivée de Trump ils sont tous laminés par le tempo du ''dégagisme'' et du crossing-over du renouvellement des staffs des directoires des pays et organisations. Une réalité que l'Algérie a du mal à accepter parce qu'elle a d'autres préoccupations qui la pousse à vouloir continuer à mettre le Maroc tout le temps sous pression, sachant que lui, quand il promet il tient ses promesses contrairement à elle. Sans compter que la bêtise du Polisario ça va avec tout ce que le pouvoir Boutaflika entreprend contre le Maroc, dont il est maintenant établi sans conteste que tous les ennemis en soient fatigués. Tellement qu'il s'agisse d'un résultat éblouissant et spectaculaire de la part du Maroc à l’échelle des valeurs de cotations onusiennes après son retour triomphant à l'UA. En plus plébiscité par les observateurs avertis et confirmé par la revivification et la densification des pouvoirs socio-économiques géopolitiques et géostratégiques de la CEDEAO notamment après sa demande d’intégration de cette sous-région. 

       Aujourd'hui, on ne peut pas s’empêcher d'imaginer que les sites d'images satellitaires de la région Guergarate n'aient été autant consultés qu'après le succès communicationnel du retrait pacifique sans condition du Maroc. Et dont, après que le Polisario ait subi les dégâts psychologiques matériels politiques et diplomatiques sélectifs qui sont considérables, que va-t-elle faire l'Algérie marquetée du torchon qui brûle avec l'ONU ? Saura-t-elle vivre sans lui, en relativisant ses propres souffrances par suite de la vitalité et plaisirs du Maroc de faire rempart pour l'isolement de cet avorton ? A même d'aller jusqu'à la consoler, en lui montrant qu'il peut l'aider pour qu'elle puisse sortir de sa solitude au vu que tout semble aller en interne dans toutes ses wilayas vers la tendance de sa dispersion sa déchirure et son démembrement. Mais, à cet égard, pourquoi cette entité fantoche ne sait-elle que le pouvoir Boutaflika en fin de vie, à cause d'elle, est pris en otage par la cohorte des Généraux prisonniers du désespoir qui les lie à leurs dénis des réalités sur le terrain ? S'ajoutant, à la détermination d'Antonio Gutterres qui trouve leur attitude intolérable et insupportable de ne vouloir la laisser se retirer sans condition elle aussi de la zone de séparation notamment à Guergarate ? Pourquoi ne sait-elle que c'est fini le temps des tergiversations et qu'il n'y aura sans aucun doute pas de retard à l’allumage de la riposte éclair du Maroc, s'il advient que ces Généraux nababs continuent à la pousser pour incarner la mise en scène d'un hara-kiri en tant que l'un de leurs nombreux pseudopodes terroristes et factions de mercenaires dans la région. 

       C'est même terrible sans se reprocher tout ce qu'ils ont raté depuis l’indépendance, de voir qu'ils veulent reprendre pied sur le dos des réussites du Maroc sans en avoir les moyens de légitimité si ce n'est l'aventurisme ! Dès lors qu'ils se situent dans la perspective de réouverture des cicatrices de la guerre des sables 1963, en plus sans comprendre que ce passé risque redevenir encore aujourd'hui leur autre passage en enfer. Mais, la question qui taraude face à ce dilemme, que faut-il faire ? Le retrait du Maroc de Guergarate sera-t-il définitif, alors que le Polisario conduit la région vers l’inconnu même si l'enjeu géopolitique le dépasse ? N'est-ce, ce qui montre que les Généraux algériens ont peur qu'au Secrétariat Général de l'ONU sous Antonio Gutterres, le premier défi serait comment oublier vite le tracé de Christopher Ross en s'en éloignant totalement objectivement ? Pour ne plus laisser le Conseil de Sécurité fonctionner au vu de leurs pratiques et agissements, comme s'il est un site archéologique à chimères d'où afin de gagner du temps les ennemis anti Maroc qui en sont membres donnent des coups de pioches à tort et à travers. A bon entendeur, salut !

vendredi 3 mars 2017

L’INTÉGRATION SANS RÉSERVE A L'UA, C'EST AUSSI L'ENGAGEMENT MAROC A LA CEDEAO-ACTIVE CONFIRMANT LA PANIQUE A L'UMA !

LA FORMULATION-ADHÉSION UNIQUE EN SON GENRE DU MAROC A LA CONSTRUCTION GÉOPOLITIQUE CEDEAO-ACTIVE, NE SONNE-T-ELLE COMME LA CHARGE DE LA VALIDATION DU LEADERSHIP LAISSANT  LES ENNEMIS PERPLEXES ET CONFIRMANT QUE L'UMA EST DEVENUE LE POSÉIDON DU TEMPS PRÉSENT ?

       Ce que racontent l'Algérie en agonie et son excroissance le Polisario qui vit dans les clichés, ne ressemble-t-il à un déversoir de mensonges saugrenus pleins de contradictions d'où ils entrevoient le ciel tomber sur eux  ? D'autant plus, tous les rapports émanant des Centres d'Etudes en Perspectives et Stratégies en Afrique révèlent que les bruits de fond perçus ici et là pendant la tournée royale après le retour du Maroc à l'UA, n'influencent la perception positive qu'en ont les chefs d'Etats. Ce qui confirme, plus les tournées montent en puissance vers de nouvelles contrées, plus leur perception de l'échange Sud-Sud que préconise le Maroc via partenariats gagnants-gagnants d’égal à égal dans tous les domaines devienne une satisfaction sans commune mesure. Jusqu'à même d'avoir réduit leur sensibilité vis-à-vis des gesticulations de l'Algérie de l'Afrique du Sud et le Zimbabwe de ce qu'ils veulent faire du Mali. Alors qu'en vérité, ils ne font de la sorte que cacher leur embarras par suite de leur incompatibilité avec la dynamique et démonstration de force de ce retour triomphant hors de leur portée. Voilà pourquoi l'on peut dire, tous les moteurs économiques tournent maintenant en plein régime pour favoriser le renversement des idées saugrenues des ennemis contre cette intégration. Et donc assurer l'envol Maroc-CEDEAO à contre courant de leurs danses diplomatiques au profilage propolisarien inapproprié inopportun et désolant pour l'avenir de l'UA. Dès lors que pour nombreux observateurs avertis, continuer irrationnellement à accorder leurs mensonges loin du fait de l'historicité légitime du Maroc sur son Sahara, c'est préparer le Polisario à se faire expulser dare-dare du refuge que l'UA de Mouaammar Kadhafi lui a prêté illégalement en 1984 à Nairobi.   

    D'autant plus, pourquoi le Polisario dans sa production d'allégations, ne sait-il qu'il pourrait même disparaître du fait qu'il se soit empêtré dans la zone rouge de séparation, laquelle aujourd'hui est anxiogène pour la communauté internationale au-delà du tolérable pour le Conseil de Sécurité de l'ONU. A cet effet, ne peut-on conclure, décidément à propos du retrait du Maroc de Guergarate et de son intention-intégration de la CEDEAO-active, l'Algérie et ses soutiens résiduels à l'UA à l'UE et à l'ONU n'ont rien compris à l'historicité événementielle sur les données géopolitiques africaines et stratégiques mondialisées du temps présent ? Parce que, de par leur nouveau maillage de connexion quasi-formulé sous-forme de diagramme des dénis des réalités jusqu'à s'en arracher par leurs cris les poumons, ils ne veulent voir que la voie normale du co-développement n'a d'yeux que pour le Maroc. Dont le projet du gazoduc Maroc-Nigéria faisant partie de cette stratégie de contribution en bonne intelligence des pays de la CEDEAO, que l'Algérie cherche à le torpiller en provoquant affrontement direct avec le Maroc via le Polisario. Pour ne laisser le Secrétaire Général de l'ONU tenter de relancer la solution politique acceptable de tous, notamment, après son indignation et dénonciation de la posture de fuite en avant du Polisario à propos de son refus de retrait de la zone de séparation. Chose inimaginable du temps de Ban Ki Moon le propolisarien aujourd'hui isolé et de Christopher Ross maintenant considéré déserteur boudeur si ce n'est fugitif damné !

       A cet égard, en l'occurrence, il ne s'agit pas là du seul cas parmi l'action d'urgence que doit réaliser l'ONU loin des communiqués de presse sans lendemain, en se basant sur la seule offre sérieuse qui existe sur le tapis. Celle marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation élargie, dont, à l'évidence ce serait une reconnaissance voir admiration du calendrier marocain ayant fait essuyer revers après revers aux ennemis sur sa légitimité de recouvrer toutes ses souverainetés. En les montrant dans le dédale d'incapacité d'initiatives viables ne voulant se réinventer un autre focus d'échanges loin des perfidies et malveillances à son égard. A ce propos, n'y a-t-il, en ce sens, une occasion de création de plateforme politique collaborative de faire respecter le droit et de promouvoir l'autorité du Secrétaire Général de l'ONU en matière d'interactivité positive avec ses appels au retrait de toutes les forces en présence dans la zone de séparation en dehors de la Minurso ? Néanmoins, est-ce que le pouvoir Boutaflika le sait-il qu'à chaque tournée royale en Afrique, les actes-pactes signés qui en découlent font varier la structure géopolitique du continent ? Surtout lorsque de nouvelles données prennent des formes de concrétisation comme dans le cas de réintégration du Maroc de la CEDEAO, en ce temps marocain africain que personne ne le nie car l'UMA est devenue sur le plan politique culturel socio économique et sécuritaire le Poséidon où il y a panique à bord

       D'ailleurs, de fait, il ne reste à ce pouvoir qu'à pleurer le dessèchement de ses allégations au sein de l'UA en voyant les influences du temps du DEA sous Obama s'affaiblir, et d'où l'on s’aperçut après le départ de Nkosazana Dlamini que l'emphase via l'enfumage diplomatique n'était objectivement pas la solution. Aussi, loin s'en faut, pour rester vigilant dans la marge de l'interface communicationnelle des ennemis, ce n'est nullement une recherche d'hégémonisme socio-économique ni culturel ni quoi que ce soit de la part du Maroc, mais seulement une participation normative effective Sud-Sud pour la montée en puissance novatrice de l'UA. Evidemment, à cet égard, n'est-elle annonciatrice d'un autre activisme switch, sorte d'aiguillage combinant volet diplomatique et sécuritaire marocain dans la projection CEDEAO-active, dont il faudrait pointer les ennemis du doigt en anticipant la désactivation de tous leurs essais de déstabilisation de cette sous-région. Et d'où, conséquemment ressortira sans réserve le dépassement des points d'achoppements vis-à-vis de l'UMA qui est qu'on ne le veuille ou pas, malade de l'immobilisme algérien en rupture avec l'idéal des peuples maghrébins. Comme ça, l'on peut dire, l'arrivée en force du Maroc à l'UA est adaptée aux besoins de la CEDEAO pour l'accepter 16°ième membre, ce qui automatiquement la confirmerait au premier rang africain et au 34°ième rang mondial. 

       Mais, attention de s'endormir sur les lauriers, car l'équipe Boutaflika ne veut toujours pas changer son logiciel et se mettre au diapason des temps modernes. D'autant qu'elle s'en empresse à appliquer d'anciennes recommandations par le biais de l'indésirable Joaquim Chissano qui s’entête à créer ce qu'il appelle le front de refus sur le territoire helvète auprès des instances des droits de l'homme. A même de s'en enorgueillir de sa soi-disant médiation transcendantale, oubliant, les nombreux cas de corruption à tous les niveaux de l'Etat au cours de son mandat à la tête du Mozambique. Alors qu'il est accusé avec la sud africaine Nkosazana Dlamini et l'algérien non civilisé Smail Cherqui, de n'avoir monté à la Commission de l'UA que des structures de gouvernance de piètre qualité. Ce qui montre, que ses passages par plusieurs fondations avec nettement moins de crédibilité ne l'ont mis que dans le déni des réalités par sa soi-disant contribution à la paix en dehors des frontières de son pays. Ne s'en rendant pas compte par rapport au dossier du Sahara marocain, que c'est mission impossible en ce qui le concerne lui, même en se racontant des histoires ne sachant que le Maroc comprend pourquoi il le fait. Au vu que derrière c'est son histoire politique personnelle compliquée qui explique cela, s'ajoutant à toute autre chose beaucoup plus complexe à propos de l'inadéquation de ses liaisons dangereuses d'antan en tant que négociant-fournisseur d'armes. Dont aujourd'hui le rapprochement Maroc-CEDEAO en est la pierre angulaire, pour qu'il ne continue à se prendre pour le parent traditionnel pour qui son influence dans le dossier du Sahara marocain ne pouvait être qu'exclusive. N'est-ce même bizarre qu'il ne puisse savoir qu'il est en incapacité de se voir dans les conditions de jadis, pour se permettre de saborder ce rapprochement, ni en relation transversales des pays concernés ni dans la protection des facteurs extrinsèques dangereux par le Maroc pour la sécurité de cette sous-région ? A bon suiveur, bon décryptage !