mardi 27 avril 2021

LE MAROC FERA TOUT POUR NE LAISSER LA QUESTION DE SON SAHARA ENCORE EN JACHÈRE.


L'ALGÉRIE ET L'ESPAGNE IGNORENT-ELLES QUE LE MAROC SE PRÉPARE À LES METTRE À NU.


      Après 59 ans de propagande algérienne obstinément anti Maroc, l'action invraisemblable d'exfiltration en Espagne de Brahim GHALI avec le consentement de celle-ci, a mis le monde en émoi. Ainsi, l'on peut dire, cette dernière a montré son vrai visage en adoptant un ton presque paternaliste pour témoigner sa compassion pour le Chef de la milice polisarienne. Triste alors ce gouvernement espagnol qui s'est engagé dans cette aventure donquichottesque mal calculée montrant son opportunisme pestilentiel ! Et aussi triste qu'ils sont ses services de renseignements intérieur et extérieur, au vu qu'ils s'interrogent après la divulgation du secret sur le destin qui attend leurs chefs. Évidemment, c'est ce qui indique l'importance de leurs liens hypocrites aux affairistes Généraux vert-kaki algériens, jusqu'à vouloir berner la Justice, l'UE et la Communnauté Internationale sur le non retour du recherché Brahim GHALI en Espagne. Seulement, c'était sans compter sur la vigilance des services des renseignements extérieurs marocains civils et militaires consulaires. Ayant, sans faiblesse découvert le pot-aux-roses en profitant des interconnexions des maillages informationnels existant en Espagne et dans le monde. Au point qu'on puisse facilement faire le parallelisme, comme quoi, même John BOLTON avant de virer aujourd'hui sa cuti, en avait payé les frais lorsqu'il conseillait Donald TRUMP qui l'a limogé par un "tweet" pour faute grave. Autrement dit, dans ce contexte la DGED la DST et les différents bureaux parallèles veillent au grain, qu'on ne le veuille ou pas.


       Néanmoins, pourquoi l'Espagne et l'Algérie ne savent-elles que par l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël en plus du Royaume-Uni, ces pays se résérvent la possibilité de les mettre à carreau et donc au pilori. En tous les cas, il faut le dire sans résérve, c'est la raison qui pousse le Maroc à sortir de ses gons sous la forme la plus dure vis-à-vis des voisins de l'Est et du Nord. Dont, commence à s'en émouvoir l'UE s'apercevant de la faute impardonnable commise par l'Espagne, relevant du non respect des accords dans l'espace Shenggen. En cela, ne faut-il affirmer que, désormais, le Maroc se tient satisfait du comportement de l'Allemagne et de la France dans cette affaire ? En effet, pour les observateurs, elles se sont conformées au principe énnoncé par Nasser BOURITA le Ministre des Affaires Étrangères marocain. En l'occurrence, celui définissant la ligne d'incompatibilité avec les intérêts du Maroc à ne pas franchir pour tous les pays fussent-ils des puissances. C'est-à-dire " Être avec ou contre le Maroc, sans jouer à la duplicité dans le positionnement !". D'ailleurs, ce langage de vérité, à quelques jours du fiasco diplomatique de cette barbouzerie inouie Alger-Madrid, ne recoupe-t-il si exactement celui des discours du Roi Mohamed VI ces trois dernières années ? En un mot, le Maroc ne se contentera plus des paroles, mais des actes et initiatives allant dans le sens de son offre d'autonomie 2007 dans le cadre de la régionalisation avancée.


       À l'évidence au moment de la dernière visite de Sabri BOUKADOUM en Espagne, le Maroc a eu connaissance du projet perfide entre Alger et Madrid. Et ce, pour réduire son espace par transmutation de leurs relations en se tenant côte à côte. D'autant plus, qu'il fut défini fugacement oralement pour ne pas laisser de trace, en plus ne contenant aucune de ces précautions diplomatiques dont on use régulièrement en pareil cas. Plus clairement, leurs désirs d'étouffer le Maroc et leurs espoirs de compliquer la reconnaissance de son Sahara, n'ont même pas duré plus d'un mois. Tellement, aujourd'hui, elles se trouvent impliquées dans une transaction par le faux et l'usage du faux, ne permettant ni la consolidation de la frontière de l'UE ni sa pérennité devant de tels agissements. Voilà pourquoi le Maroc s'avise à ne laisser la question de son Sahara encore en jachère. N'est-ce là, où l'on voit que l'Espagne et l'Algérie ne seront plus d'aucune aide pour le Polisario en fin de vie. Et encore moins lui apporter l'appui par hypocrisie traditionnelle et conditionnelle, comme ce qu'elles faisaient avant ? Comprendront, ceux qui voudront ! À bon suiveur, bon décryptage !

dimanche 25 avril 2021

LA FIN DU RÊVE D'UN BRIGAND ET TERRORISTE QUI S'EST MIS AU SERVICE DES BUREAUX SECRETS ESPAGNOLS.


QUI EST LE MANIPULATEUR DANS L'AFFAIRE BRAHIM GHALI, EST-CE LE GOUVERNEMENT ESPAGNOL, LA JUNTE  ALGÉRIENNE OU LES DEUX ?


       Désormais, l'on peut ranger cet épisode dans la catégorie générale des mauvaises histoires criminnelles mafieuses montées entre Alger et Madrid. D'autant plus le thème est tellement moderne qu'il est sans doute utile d'en disséquer l'arrogance et l'intrigue pour comprendre tous les maillons de la chaine. En cela, pour les services marocains de renseignement exterieur, la recherche des indices qui ont permis la découverte de ce montage perfide et secret, est plus que la fascination du crime supranational inter-États. D'ailleurs, le point d'intensité ou le coup de théatre a lieu lorsque la DGED a nourri le Magazine JEUNE AFRIQUE de la reconstitution du puzzle de l'exfiltration du criminel Brahim GHALI de l'Algérie vers l'Espagne. En effet, c'est après, que l'information est étalée avec toutes les preuves sur les réseaux sociaux et plateaux des chaines de télévision. Et dont, évidemment, la Communnauté Internationale en a décelé les suspiçions et donc la raison de l'insuccès de cette barbouserie indigne. Ne faut-il aussi dire que c'est juste un acte d'association de malfaisance étatique terroriste anti Maroc sous-couvert de prétention d'assistance médicale ? Et ce, afin de sauver un briguand, coupeur de route recherché de justice pour viols tortures et crimes contre l'humanité.


       Évidemment, à cause de l'idiotie et la légéreté de l'Espagne, la déclaration de la ministre des affaires étrangères Arancha GONZALÈZ LAYA reconnaîsant les faits, est dorénavant considérée comme une preuve irréfutable de trafic des humains par le faux et l'usage de faux. Dont on pense que le rouleau compresseur de la justice espagnole en fera usage, certainement à charge contre le gouvernement de Pedro SANCHÈZ. En tout cas, la ministre précitée n'avait pas besoin de dire les choses à moitié, en plus en s'attachant à justifier la solution prise communémment avec les Généraux vert-kaki algériens sans se soucier du principe de souveraineté. Alors que tout un chacun sait que cette voie est coupée de fausses pistes et de faux suspects, dont la junte militaire et les décideurs à Ksar Almouradia d'Alger ne sont jamais à court d'idées. En particulier de crimes défiant la logique pour déconcerter au maximum les analystes et observateurs. C'est vrai, pour ce régime militariste rancunier, les coincidences dans ses manipulations criminelles sont souvent amenées bien au-delà des limites de l'invraisemblable, par manque de réalisme et donc de vision politique. Ce qu'effectivement montre qu'il ne soit jamais dérangé par ses propres formulations et actes border-line qui offrent à chaque fois un contraste offensif violent à l'égard du Maroc. Allant parfois jusqu'à pousser à des actes hostiles par séparatistes-mercenaires à l'Etranger, comme la tentative de profanner le drapeau à l'Ambassade du Maroc à Berlin. 


       Voilà pourquoi le Maroc en colère, a convoqué l'ambassadeur espagnol pour s'expliquer davantage sur les motifs de l'hypocrisie dédoublée de son pays. Dans l'attente de sa riposte ciblée proportionnée pouvant provoquer un tremblement inattendu de ses relations avec l'Espagne. De fait, l'on peut dire, parce qu'en Espagne on est loin de l'élégance diplomatique et même de l'envoûtement comportemental marocain qui se distingue du modèle algérien sanguinaire, il est question de donner l'asile politique pour raison humanitaire à l'ancien président de la Catalane Carles PUIGDEMONT. Ne s'agit-il de la tradition marocaine à la maîtrise de soi dans ses réponses, celles qui incombent à l'observation de la légalité et de l'ordre sans plus ni moins ? Par ailleurs, n'est-ce là une déduction qui a conduit la DGED à appliquer le silence radio, dans son observance du transfert de Brahim GHALI d'Alger à Saragossa passant par Berlin et Paris, pour ne pas éveiller de soupçon ? Fini donc le temps d'impunité de ce gangster qui s'offrait des soirées fastidieuses sur le dos des algériens, en plus éprouvant le besoin pathétique de donner de lui une soi-disant image  de "Zaïm-guerrier" respectable. Oui, maintenant que les langues se délient à propos de ce fiasco politico-diplomatico-sanitaire entre Alger et Madrid, la question qui taraude, c'est qui est le vrai manipulateur de l'autre ? À l'évidence c'est une opération délirante incohérente de surcroît très mal menée qui a suscité un tollé médiatique planétaire. Et dont, les contractants tentaient faussement de se séduire par l'hypocrisie amalgammée. D'un côté, pour les vieillards Généraux algériens c'est une occasion de se débarrasser du fardeau pour le remplacer par l'ami intime de CHENGRIHA. Alors que de l'autre, pour le gouvernement espagnol c'est récupérer un agent informateur de premier plan qui a rendu des services au pays. Par conséquent, que peut-on dire à ce propos ? N'est-ce l'heure du Maroc est venue pour en finir définitivement avec le Polisario et ne lui laisser aucune autre occasion de se pavaner dans les chancelleries ennemies douteuses ? À bon entendeur, salut !

jeudi 22 avril 2021

ENFIN LE CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU SE REND À LA LOGIQUE DE L'ARGUMENTATION DU MAROC.


L'ATTITUDE DU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU À LA RÉUNION SEMESTRIELLE DU 21 AVRIL 2021 SUR LE SAHARA MAROCAIN, REND IMPOSSIBLE TOUTE FUITE EN AVANT DE L'ALGÉRIE.


      À la réunion semestrielle du 21 Avril 2021 du Conseil de Sécurité de l'ONU sur le Sahara marocain, la diplomatie algérienne a du noter la froideur marquée avec laquelle ses allégations ses mensonges et même ses danses du ventre ici et là étaient reçues. C'est pourquoi à Ksar Almouradia d'Alger on considère, d'ores et déjà, la situation tellement catastrophique pour le pays et pour l'avenir du Polisario. Parce que, d'un côté le "Hirak" se corse, montrant une antipathie envers la chimérique "rasd", et de l'autre la situation économique et financière du pays qui va de mal en pis. Aujourd'hui, l'on peut dire, les Généraux vert-kaki algériens n'ont que l'expression d'une nérvosité dans l'instrument de propagande anti Maroc pour noyer leur chagrin. Autrement dit, dans ce climat, n'est-ce cette réunion a produit à Alger l'effet d'une déception, ayant en même temps mécontenté voire déprimé le Polisario ? Cela, par ailleurs, ne vide-t-il de toute objectivité sérieuse leur campagne monsongère sur ce qu'ils appellent la guerre livrée aux FAR en Zone Tampon. Dont, la Minurso en a apporté dans ses rapports au Conseil de Sécurité de l'ONU un cinglant démenti sur la chronologie des assauts et leurs lieux.


       Évidemment, depuis le nettoyage de l'espace Gargaratte, Antonio Gutteress et le Conseil de Sécurité n'ont cessé de noter que les Généraux vert-kaki algériens et leur honteuse protubérance pratiquent un jeu dangereux pour la région MENA-Sahel-Subsaharienne. Tellement, à présent ils paraissent avoir perdu face au dispositif diplomatique du Maroc dans les chancelleries à travers le monde et sur le terrain d'une distance d'enveloppement stratégique par les ouvertures de Consulats à Laayoune et Dakhla dans le Sahara marocain. S'ajoutant au rejet par la Communnauté Internationale du cynisme et mépris avec lesquels ils tiennent les séquestrés marocains dans les camps de la honte à Lahmada-Tindouf. En plus, le faisant sans crier gard à l'indignation générale au sein de l'UA l'UE et l'ONU, rendant impossible toute fuite en avant de leur part. Ne s'agit-il d'une mise en garde au Polisario et à l'Algérie de la part du Conseil de Sécurité, par suite à cette giffle sans précédent ? À savoir que le sort du Sahara marocain doit se règler par la voie de l'entente dans le cadre de l'offre marocaine d'autonomie 2007 ni plus ni moins.


       Il est maintenant clair que les polisariens attendaient du Conseil de Sécurité de l'ONU, primo à ce qu'il revienne sur les péripéties de Guergaratte en rétablissant l'état de fait d'avant le nettoyage par les FAR. Secundo, qu'il leur reconnaîsse la Zone Tampon comme des territoires libérés, et que le Maroc cesse de les attaquer par ses drones. C'est dire la légèreté de ce langage alors qu'il n'y a pas de guerre, même si, le Polisario sur dictée des Généraux avait brisé le cessez-le-feu 1991. Ce qui a provoqué la risée des masses médias et des peuples de la région, à même qu'en plus Antonio Gutterres dans une réaction immédiate ne leur a fait ni cadeau ni politesse, pouvant toutefois atténuer les moqueries dont ils font l'objet. De fait, l'on peut affirmer que le conseil de Sécurité de l'ONU se soit rendu à la logique de l'argumentation du Maroc. Preuve en est, le communiqué du Polisario à l'issue de cette réunion, montrant véhémences plaintes et pleurnicheries sur soi-disant le rapport établi entre le coup de Donald TRUMP et l'attitude du Conseil de Sécurité de l'ONU. N'est-ce pour cela, le Polisario réitère sa sordide comédie de déclaration de guerre contre le Maroc ? Même, étant convaincu que ses jouets d'"Aachoura" n'en valent plus rien pour tromper la Communnauté Internationale. À bon lecteur, bon décryptage !

lundi 19 avril 2021

MERS EL KÉBIR EN ALGÉRIE NE SERA JAMAIS COMME TARTOUS EN SYRIE.


AUCUN TRANSFERT DE L'INDUSTRIE DE GUERRE RUSSE NE SERA TOLÉRÉ EN AFRIQUE DU NORD, NI À MERS EL KÉBIR NI AILLEURS DANS LE HOGGAR.


      La prise de position de la Russie sur le Sahara marocain à la veille de la réunion du Conseil de Sécurité du 21 Avril 2021 s'appuie sur ses échanges de serments avec la junte militaire en Algérie. En cela, au-delà de l'héritage de l'ère soviétique, il faut se méfier de ce genre de stratégie d'où, d'un coté elle s'interesse au refrain creux et ennuyeux de la légalité quand ça l'arrange et de l'autre à celui de la menace effective quand ça la dérrange. N'est-ce, pour cela, l'on peut dire que la nouvelle guerre froide est d'ores et déjà facile à entrevoir entre elle et l'Occident ? Preuve en est, son annexion de la Crimée par decret de POUTINE, son interventionnisme en Syrie sur appel de BECHAR et ses prospectives-perspectives d'avoir un pied à terre en Afrique du Nord sur demmande de l'incontinent et sénile Caporal-Général CHENGRIHA. Encore une fois, il faut arrêter cet emballement expantionniste russe qui n'en dit pas son Nom, mettant l'Occident sur la balance du jeu des cartes géopolitiques ici et là. Dont, Joe BIDEN, sans vouloir précipiter une guerre, l'ait saisi en demandant une discussion directe avec POUTINE après l'avoir qualifié d'assassin.


       Èvidemment, c'est l'une des raisons qui a poussé Emmanuel MACRON à vouloir instaurer des lignes rouges à Vladimir POUTINE sur le Dombass et pas seulement. Comprendront ceux qui pourront ! En l'occurrence, pour ne les dépasser sous aucun pretexte, fut-il humanitaire. C'est d'ailleurs un bon moyen de désamorcer les velléités du présent de l'Algérie envers tous ses voisins. Plus directement encore, c'est une préoccupation de l'OTAN au-delà du cas de l'Ukraine, et ce à la lecture des nombreux messages envoyés par la Russie en direction de l'Afrique du Nord. Mais, qu'est-ce qui motive le Kremlin à montrer son désire d'ancrage à Mers El Kébir dans le Golf d'Oran ? Est-ce, parce que le régime militariste algérien en fin de vie, se déclare partisan de l'établissemenr d'une base navale dans l'oranais ? Tout près des frontières terrestres marocaines, avec les conséquences d'écoutes électroniques et d'espionnage par sousmarins voire patrouilleurs. Notons que cette option est souhaitée par la vielle junte, rien que pour se maintenir et continuer à narguer les voisins. En effet, cet aventurisme est considéré par tout le voisinage euroméditérrannéen, un défi de transfèrement de l'industrie de guerre ouverte en Algérie et dans toute la région MENA-Sahel-Subsaharienne, avec les risques et périls du scénario à la syrienne. Même si, il faut le dire, certains caciques du pouvoir à Ksar Almouradia ne sont pas convaincus d'une hypothétique entente avec le "Hirak" pouvant favoriser cela. 


       Aujourd'hui, tout le monde sait que l'Algérie est sous surveillance étroite des USA, et donc de l'OTAN. Sans oublier la méfiance vis-à-vis d'elle de la Tunisie la Libye l'Égypte la Turquie et surtout le Maroc. D'où, il se pourrait, pour approfondir leurs rapports avec les USA et l'OTAN, cela pourrait les conduire, eux-aussi, à se placer en ON contre la Russie. Et c'est là l'intérêt de la volteface de John BOLTON qui est, qu'on ne le veuille ou pas, l'expression d'un avertissement subliminal aux Génèraux vert-kaki algérien de ne pas se jeter dans la gueule de l'ours russe. Tellement, quelques observateurs et analystes décrypteurs de la situation de l'Algérie aujourd'hui, pensent qu'il s'agit juste d'un bluff tactique sans lendemain de la part des Généraux. Parce que, pour eux, Mers El Kébir cette base navale profonde et sousterraine intercédée par la France en 1967 à l'Algérie, n'est pas Tartous en Syrie. D'autant qu'elle fait partie du patrimoine international de la deuxième guerre mondiale, ayant subie la cannonade de la Royal Navy en 1940 sur ordre de Churchill. Et dont le cimetière de la ville porte les stigmates de cette hécatombe de presque 1300 tombes de marins français morts pour rien. Ne s'agit-il là d'un avertissrment qui en dit long sur l'état d'esprit de MAMA França vis-à-vis du pouvoir à Ksar Almouradia à ce propos ? Ce qui corrobore pourquoi le malheureux CHENGRIHA ne rate aucune occasion de la supplier de ne pas abondonner son pays en rase motte.  C'est là, où l'on comprend la force de la diplomatie marocaine ne badinant aucunement avec l'intégrité totale du Royaume de Tanger à Lagouira, en plus avec le symbolisme s'y afférant. À bon entendeur, salut !

jeudi 8 avril 2021

CE QUE REDOUTENT L'ALGÉRIE ET LE POLISARIO EST MAINTENANT ÉTABLI.


PAS DE QUOI IMPRESSIONNER LES FAR, QUAND IL Y A L'INTÉGRITÉ TERRITORIALE À SAUVEGARDER.


       Le Maroc montre sa détermination à laminer les tentatives d'incurssions des hordes polisariennes des deux côtés du Mur. Ce qui avive plus l'inquiétude des Généraux vert-kaki algériens et la cohorte de Brahim Ghali dans les camps de Lahmada-Tindouf. Autrement dit, pour le Maroc, tolérer cela c'est reconnaître voire justifer leur optimisme démesuré de limiter par le fait accompli ses intérêts géoplotiques et géostratégiques dans les trois régions au Sahara marocain. Dont, on voit l'interessement d'investisseurs étrangers de plus en plus foisonant venant de tous les continents. C'est même très simple, si l'Algérie et le Polisario ont perdu le sens de l'historicité du fil d'actualités, peut-être avec l'attitude décidée des FAR à ne pas badiner avec l'intégrité territoriale, ils le recouvriraient. D'ailleurs, au CCG à l'UA à l'UE à Washington Ottawa Paris Lisbonne Tokyo Delhi et Pekin, on estime qu'il est d'importance capitale que le Conseil de Sécurité de l'ONU puisse montrer dans sa Résolution du 21 Avril 2021 son appui total en faveur de l'offre marocaine d'autonomie 2007. 


       Aussi, la récente frappe qu'aurait effectué un drone-prédator marocain sur une colonne polisarienne conduite par le renégat Addah Al Bandir, n'a pas laissé manifester l'optimisme de Brahim GHALI. Dont, on dit que peut-être lui-même aurait échappé de justesse au pire, non sans s'ètre grièvement blessé avec quelques uns de ses proches lieutenents qui seraient tous évacués à l'hopital Ain Naaja. Une information à ne pas prendre pour argent comptant, à cause de l'Infox- Intox autour de cette affaire. N'est-ce, ce qui a provoqué une nervosité en plus de l'endeuillement qui les a tous touchés après la perte de beaucoup des leurs ? En tout cas, Bravo aux FAR si cette première alerte de grande ampleur s'avère vraie, ne pouvant provoquer que detresse inouie dans les camps de la honte. Et dont, on a noté la froideur marquée avec laquelle Abdelmajid TEBBOUNE l'en a encaissée sans piper mot ni dans un sens d'affirmation ni dans l'autre de désappointement. C'est dire aussi, qu'à propos des mésaventures polisariennes au plus près du Mur, ni la Tunisie ni la Mauritanie ne peuvent dissuader le Maroc à n'être encore plus chatouilleux et donc sévère sur ce volet au Sahara marocain. Et ce, pour l'inclure comme le sont, elles, dans l'orbite des pensées subliminales des Généraux vert-kaki, parce qu'ayant peur des processus des menaces à leur encontre. D'autant plus, il est vrai qu'elles connaissent en terme de déstabilisation de quoi le pouvoir à Ksar Almouradia d'Alger est capable de leur infliger, comme coups fourrés de par les méthodes saugrenues de ses services de renseignement et sécuritaires sans foi ni loi. Évidemment, même avec ce spectre de la terreur au dessus de leur capacité à lui resister, pas de quoi impressionner le Maroc et donc les FAR. Notamment, parce qu'il y a l'idéal de recouvrement de la souveraineté de Tanger à Lagouira dans l'intégrité territoriale totale qui est à sauvegarder et fortifier.


       C'est vrai, dans ce climat, l'exposé qu'a fait Nasser BOURITA sur les digressions de Sabri BOUKADOUM sur le Maroc, a eu l'effet d'un coup de tonnerre precursseur et annonciateur de ce genre de riposte ciblée à la marocaine. Sans doute, fondait-il son raisonnement dans les capacités défensives et offensives des FAR pour contenir les incurssions polisariennes et autres essais malveillants de création de coridor au Nord de la Mauritanie. Dont, il faut se méfier des projections de l'Algérie dans ce sens, pour mise à mal de la Mauritanie. De fait, il faut le dire sans résérve, les services de sécurité extérieurs civils et militaires marocains sont d'avis que, désormais, il convienne d'inclure toute la zone orientale au-delà du Mur et au-deça de la bande de sécurité mauritanienne. Et ce, dans la surveillance satellitaire Mohamed VI A et B 24h/24h, en la faisant rentrer dans la stratégie d'assistance et de pilotage des actions des FAR sur terre sur mer et dans l'air. N'est-ce, cela que redoutaient les Généraux grabataires et séniles algériens et les renégats polisariens ? En effet, c'est ce qui fait montrer, diplomatiquement parlant, qu'aujourd'hui TEBBOUNE BOUKADOUM et leurs portes flingues journaleux ne sont pas enclin au même optimisme que BOURITA sur les bords de toutes les frontières physiques allant de Lagouira à Mahbes côté marocain ? À bon suiveur, bonne lecture !

vendredi 2 avril 2021

À QUAND LA LEVÉE DE L'AMBIGUÏTÉ DE LA MAURITANIE SUR LES ENJEUX GÉOPOLLITIQUES ET GÉOSTRATÉGIQUES DU MAROC ?




C'EST QUOI CES INCOHÉRENCES DE MÉFIANCE DU PRÉSIDENT MAURITANIEN OULD GHAZOUANI, DONT CHERCHENT À EN PROFITER LES GÉNÉRAUX VERT-KAKI ALGÉRIENS ?


      Pendant l'épisode Guergaratte, tout le monde aura vu le mépris du Polisario à l'égard de la Mauritanie. C'est pourquoi l'audience accordée à la mission polisarienne par le président Ould El Ghazouani n'a fait que raviver les questionnements sur la dernière entente militaire Maroc-Mauritanie. Autrement dit, ne s'agit-il de la violation flagrante de sa part de la lettre et l'esprit tels qu'ils sont conceptualisés dans cette entente par les deux États-Mjors militaires ? Donnant d'excellentes raisons au Maroc de tenir la visite du MAE mauritanien Smail CHEIKH pour inopportune dans les circonstances du moment. En effet, la question qui taraude les observateurs, c'est pourquoi ce président ne savait-il qu'en recevant cette délégation de terroristes et coupeurs de routes dans son bureau, il commettait un geste désobligeant envers le Maroc ? Ce qui montre une vraie incohérence entre les faits et les discours, dont on peut dire que la présidence mauritanienne est naive. Manquant d'ossature politique et de sérénité visionnaire diplomatique, au point de ne savoir plus comment s'y prendre avec l'entité fantoche qui symbolise le paradoxe des politiques à Ksar Almouradia d'Alger.


       Voilà pourquoi, on voit apparaître chez ces derniers des priorités de positionnements à tire larigot sur la stabilité de la Mauritanie. Voulant la dominer par la force de la menace et la provocation de la radicalisation des discours pour lui faire peur. En plus, le faisant sans rien maitriser, ni dans la chronologie des événements induits voire imposés par un Maroc maître du jeu, car sûr de lui dans sa perspective d'avenir de son Sahara. Évidemment, il faut le marteler sans gêne, le CCG les USA le Royaume-Uni et Israël ne cessent de renouveler leurs obligations d'assistance vis-à-vis du Maroc contre le terrorisme transfrontalier et la criminalité transnationale, ne suscitant aucune contestation de la Mauritanie. Contrairement à l'Algérie des Généraux en pleine décrépitude à tous les niveaux, allant jusqu'à supplier l'Espagne par la bouche de BOUKADDOUM de reprendre son rôle de colonisatrice du Sahara marocain. Ne peut-on en considérer cela sorte d'enfantillage diplomatique qui convint le Maroc de fournir à la Mauritanie plus d'assistance militaire et économique ? Tant qu'elle ne se placerait officiellement dans le camp algérien comme du temps de Mohamed Ould Abdelaziz.


       Alors, que faut-il en penser des projections farfelues du perdant BOUKADDOUM à ce propos, sachant que la frontière Maroc-Mauritanie longue de plus de 1500 km, est aujourd'hui sous-controle direct des FAR. Par suite de l'accumulation de bases de données manifestant la souveraineté marocaine au-dela du coté oriental du mur. Aussi, pourquoi BOUKADDOUM montre-t-il une légèreté et faiblesse dans ses sorties médiatiques de contrarier le Maroc ? Car, vouloir imposer son opportunisme débridé et inaproprié pour casser la coopération Maroc-Mauritanie, est une course de désespoir. Même en se nourrissant de l'ambigüté incompréhensible du président mauritanien avec les enjeux géopolitiques et géostratégiques des USA au Sahara marocain. Et, dont il va falloir analyser et décrypter les incohérences de méfiance de Ould GHAZOUANI, voir aussi celles d'animosité anti Maroc de certains partis politiques et associations en rivalités sur le pouvoir localement. D'ailleurs n'est-ce de là, d'où l'on comprend les règles desquelles BOUKADDOUM choisit de s'interesser à tout ce que l'État mauritanien entreprend avec le voisin du Nord pour les contrarier ? Et ce, au profit des inspirations dictatoriales des Généraux à Ksar Almouradia. Notamment, contre les installations des zones mittoyennes de défense commune de part et d'autre le long de la frontière physique allant de Lagouira sur l'Atlantique à Mehbes près de Tindouf. À bon suiveur, bon décryptage !