jeudi 28 novembre 2013

AYOUCHE NOREDDINE, L’HOMME QUI NE RATE AUCUNE OCCASION SELON LES CIRCONSTANCES DE JOUER AU CRIEUR DE SERVICE !


 EN DEPIT DE L'ANCIENNETÉ DES DÉBATS A PROPOS DE LA MANDOUMA ATTARBAOUYA, IL EST TEMPS DE SORTIR L’ENSEIGNEMENT MAROCAIN DES BRUITS EN CHAÎNE ACTUELS. LESQUELS, SONT PROVOQUÉS PAR LA SORTIE MÉDIATIQUE DE NOREDDINE AYOUCHE DE PAR SA DEMANDE DE MISE A PLAT DE TOUT LE SYSTÈME PAR INTÉGRATION DE LA DARIJA COMME LANGUE DE FAISABILITÉ ET DISPENSATION DES COURS EN PRÉSCOLAIRE ET PREMIÈRES ANNÉES DU PRIMAIRE.

  N’EST-CE PAS SELON L’UNE DES INSTANCES DE L’UNESCO, LES VIEILLES STRUCTURES TRUFFÉES DE COURANTS SECRETS CONTRADICTOIRES DANS L’ENSEIGNEMENT MAROCAIN FORMENT UN PUZZLE LONGTEMPS DEMEURÉ  UNE FORME DE FICTION SECOUANT TOUS LES AUGURES ? QUE PAR AILLEURS ABDALLAH LAAROUI N’A PAS NIER LORS DE SON FACE A FACE AVEC  AYOUCHE DANS L’EMISSION MOUBACHARA MAAKOUM SUR 2M, MAIS SIMPLEMENT LEUR REPROCHANT DANS UN STYLE SIMPLE LA GÉNÉRALISATION DE SOUS-TRAITANCE PAR DES PRÉJUGES ET IDÉES PRÉCONÇUES.

  A CET ÉGARD MÉTAPHORIQUEMENT PARLANT, IL EST VRAI QUE L’ENSEIGNEMENT AU MAROC RESSEMBLE HÉLAS AU TRAIN EN SURCHARGE OU TOUT MANQUE. D’AUTANT PLUS, RATANT L’HEURE DU DÉPART ET N’ARRIVANT A CE JOUR A BONNE GARE. ET, DONT LES MÉCANICIENS MÊMES DOUÉS DES POUVOIRS DE DÉTECTION DES PANNES, RESTENT ENCORE CONDITIONNÉS PAR LA CONTINUITÉ DES ACTIONS SAUGRENUES GUIDÉES. A L’EXEMPLE DE BEAUCOUP D’ESSAIS DÉSTRUCTURANTS, VOIRE NÉGATIVEMENT INSTILLÉES  S’ETANT VUES ÉLARGIES PAR LES APPROCHES DE CHAPE SÉCURITAIRE EN MATIÈRE D’ENSEIGNEMENT. S’ADDITIONNANT EN PLUS AUX FRIVOLITÉS DES CONTRÔLEURS MALADROITS EN L’OCCURRENCE LES DIRECTEURS D'ACADÉMIES ET LEURS PROTÉGÉS DÉLÉGUÉS. ET CE, EN PORTANT CONFUSION MÉLANGEANT TOUT, ET PIÉTINANT LA CONSCIENCE DES MAROCAINS IMPERTURBABLES CAR OCCUPÉS A CONTEMPLER LE DÉFILEMENT LENT DES ÉVÉNEMENTS DÉCONCERTANTS.

  EN CE SENS, NUL NE PEUT NIER QUE LES EXPÉRIENCES FAITES SOUS D’AUTRES CIEUX, PAR AILLEURS S’INSCRIVANT NOTAMMENT AUTOUR DES LANGUES MATERNELLES ET NON SUR LEURS OMBRES CÉLÉBRANT RAPTS DES CONNAISSANCES DE L’ENFANCE, PROUVENT QU’ELLES ONT ABOUTIT A DES CONCLUSIONS TRÈS ENCOURAGEANTES NE LAISSANT PLUS LES PETITS COMME LES GRANDS SUR LE TAPIS. ET, DONC DE CE FAIT, IL FAUT RAPPELER LA VOCATION SPÉCIFIQUE DU MAROC POUR NE PAS TOMBER DANS LE PANNEAU SANS GARANTIES DE CONTRÔLE DANS CE PROCESSUS. MAIS ATTENTION, SEULEMENT, QU’ON NE NOUS DISE PLUS QUE CE SONT LES FRANCOPHILES AYANT D’AUTRES AGENDAS QUI CONDUISENT A CES CONCLUSIONS DE DÉTECTION DES DÉFAILLANCES DE L’ENSEIGNEMENT POUR AFFAIRE LES CONCERNANT. PARCE QUE PENDANT LE DÉBAT, LE GRAND PENSEUR LAAROUI A MONTRÉ LOIN DE TOUT MODÈLE DE LITÉRATION, QU'IL NE SUFFIT PAS DE SOULAGER SEULEMENT LES ACCÈS NERVEUX SOUS LA PRESSION PUBLIQUE. MAIS DE SORTIR DE L'AMATEURISME DISTINGUÉ PAR L'USAGE DE PENSÉES SENSÉES INTELLIGENTES DÉCRITES AVEC RÉALISME ET PROFESSIONNALISME A PROPOS DES APPLICATIONS POSSIBLES DE LA DARIJA.   

Mais qui est-il Noreddine Ayouche s’étant vu acquérir une notoriété nationale pour se permettre de provoquer un tel brouhaha à propos de la Darija ?

       Il est à la fois l’homme de com à la Sigala mais sans Rolex en main droite, et de Zakoura cette ONG de noble cause s’étant appropriée la micro-finance des petits projets dans le rural le plus reculé. Et en même temps  à travers ce maillage structuré il s’est battu des années durant depuis 1994 pour sensibiliser le privé au social. D’ailleurs n’a-t-il pas aidé à le rendre réceptif en début du nouveau règne avec d’autres, aux signaux de résurrection émise par la dynamique royale dans ce domaine ? A ce titre, malgré son métier dans la Pub pour le RIB il ne rate aucune occasion de jouer au crieur de service. Parfois donneur de leçons avec une impertinence telle, qu’il subit les critiques acerbes de ses détracteurs et mêmes ses concurrents. Et c’est ainsi qu’il donne l’impression de ne rien savoir de ses propres limites d’ajustement communicatif le prenant presque un rituel de distribution de dose qu’il croit informative. Alors qu’en vérité en ces temps de l’information-minute, il n’y a plus communicatif et informatif que les réseaux sociaux sur le Web.

       Pourtant, on ne peut pas dire qu’il ait raté sa communication sur les recommandations et suggestions de l’INDH dès le début de son enclenchement. Qu’à cause de cela, sous la cloche publicitaire les cris des professionnels ont foisonné décriant cette posture de connivence et favoritisme à son égard. Alors qu’il s’agissait d’approche à connotation de généralisation nationale, qui normalement demandait une mobilisation-rétribution de tous les publicitaires sur la place chacun selon ses moyens. Et qu’ensuite heureusement au niveau du microcosme politico-affairiste personne ne put s’empêcher de se réjouir de la fin des joutes violentes qui avaient été échangées entre lui et ses pires détracteurs par presse interposée. Sauf qu’en plein printemps arabo-amazigh marocain, le constat édifiant c’était son éclipse des débats, possiblement à grand regret de sa part, de s’engager contre l’insolence outrancière de certaines composantes du M20F le concernant, peut être par peur de ne pas se faire comprendre par les téléspectateurs lui l’homme de com. Comme ça, il s’en était retenu de ne continuer à être la star des plateaux de télévision, alors qu’il aurait quand même laissé paraître sa colère non consentante au frémissement de reproche qui lui arriva.

       Cependant, et c’est important, car après le discours royal du 09 Mars 2011, il en avait par la suite montré autrement sa contrariété à ce mouvement. Non en se contentant de hausser la voix seulement, mais en qualifiant cette nouvelle donne comportementale inattendue sur la voie publique d’intrigante, pensant même qu’elle aurait senti l’odeur des gros billets d’un trésor caché sans peine mais distribué sans témoin. Alors qu’il s’agissait d’un combat politique à couteaux tirés entre les partis, la société civile et autres intervenants du mouvement pléthorique du 20 Février. Ce faisant, il aurait compris très vite où se trouvait son intérêt, vu l’incroyable interface de la revendication utilisée cachant la vérité de la mimique vague furieuse de certains qu’on voit aujourd’hui pavaner dans les couloirs des institutions. Pour preuve, au lendemain de l’adoption de la constitution du 01 Juillet 2011, même n’ayant fait rien dans ce sens ils ont tous bondi à la victoire du Oui à plus de 98% voyant s’ériger la haute et solide démocratie sur les préceptes fondamentaux en droits et devoirs.

       Certes qu’après les élections anticipées du 25 Novembre 2011, il semblait disposé à se pourfendre dans les décors des institutions dans son domaine et collaboré à l’épanouissement d’échanges intellectuels. Et c’est comme ça qu’il s’était essayé aujourd’hui après deux années d’Exécutif trop benkiranisé à un autre lifting, celui de son propre reformatage d’opportunisme circonstancié de par le discours inventaire du Roi sur la situation de l’enseignement. C’est ainsi qu’usant de sa notoriété à l’Ecole Zakoura d’Enseignement en tant que pole d’expertise comme il le prétend, qu’il s’est immiscé en tant que porte parole de l’effort juste par la réappropriation de la Darija. A cet effet, est-elle aussi de référence en matière de contrôle de qualité de l’enseignement, car selon lui sans doute c’est la promotion de la Darija qui arrêterait l’absentéisme ? Allant jusqu’à porter d’autres prêches, qu’en subliminaire d’après les récalcitrants il se pourrait qu’ils soient seulement de recherche de rehaussement de son rang son image et sa crédibilité entre les intervenants dans ce secteur stratégique.

       Mais voilà, ne peut-on pas dire que Ayouche sollicite du HCERS (Haut Conseil de l’Enseignement et Recherche Scientifique) un effort de réflexion sur la réappropriation de la Darija, parce que sachant la majorité des marocains non contente de la qualité et valeur de l’enseignement aujourd’hui ? Sauf que à voir comment et dans quelles circonstances il a posé cette réflexion, en se faisant fort de la mettre sous forme d’intrigue d’une telle ampleur que des érudits et penseurs comme Abdallah Laroui Hassan Aourid Tahar Benjelluon et plusieurs autres s’y sont mis à disséquer la portée et la forme. D’où la polémique-déballage en forme de feuilles de chou s’imprimant de dires et écrits dans des styles chargés de clichés tout aussi voyants. Néanmoins, on ne peut pas en nier une popularisation sur les réseaux sociaux de ce thème certes de façon plus embrouillée. De sorte que cette réflexion se trouvant finalement par la force de l’espace-temps en l’occurrence, entrain de sortir du sanctuaire des monologues et allusions.

       De toute évidence, suite à l’intensité des débats, est-ce que la Darija l’une des langues maternelles marocaines n’est-elle pas devenue caprice de télescopage sociétal du point de vue culturel et surtout pédagogique ? Et ce, entre certains maîtres du suspens communicatif voulant l’imposer dans les cycles premiers de l’enseignement, et d’autres se considérant théoriciens des jugements sans en avoir l’envergure espérant faire rester la Fosha dans l’imaginaire mystérieux invraisemblable de son cadre référentiel en tant que langue du Coran pour raison peut être d’impédance politique. D’autant plus, est-ce que cette dualité féconde entre thèse et anti-thèse  sur le rapport de la Darija vis-à-vis de la Fosha, ne sert-elle pas les desseins des déstabilisateurs-mercenaires à la solde des vengeurs d’un coté comme de l’autre, dont Laaroui en a fait succinctement subtilement allusion.



       En effet, ce constat étant établi l’enseignement marocain commun public et même privé a subi des soubresauts déstructurants de sa fécondité légendaire, par des procédés itératifs déductifs d’un positionnement, et surtout volonté politique s’étant déroulée et assurée avec toute l’implacable fatalité que tout le monde connait. En plus des intuitions malencontreuses des ministres de tutelle partisans ou pas, dont l’histoire commence à en révéler les dessus-dessous surtout pour le dernier sortant d’entre eux, n’ayant rien retenu du plan d’urgence coûtant plus de trente cinq milliards pour ne continuer à l’appliquer. En  conséquence enfin, que veulent-ils les supporters de la Darija, qu’en effet ne sont nullement des casseurs de l’enseignement si l’on se réfère aux déclarations d’Ayouche au moment du débat sur 2M par rapport aux autres, concernant la rentabilité pédagogique actuelle ? N’est-ce pas qu’avec ces soi-disant inévitables adaptations sophistiquées puisant dans le mystère des possibilités seulement du surpassement fictif et non effectif, le Maroc continuera dans sa descente loin de s’approcher du but raisonnable de la reforme réfléchie de l’enseignement ?

samedi 23 novembre 2013

CETTE VISITE DU ROI DU MAROC AUX USA, UNE VITAMINATION DES EFFORTS DE LIBÉRATION DES VOIES DIPLOMATIQUES DE L’ENCOMBREMENT D'INCOMPRÉHENSION !

LES RELATIONS USA-MAROC ENTRE RÉALISME AUJOURD’HUI ET COMPRÉHENSION RATIONNELLE RELATIONNELLE DEMAIN, LOIN DU MYSTÈRE-ESSAI D’HIER ET MÊME DU MYTHE RÊVEUR D’AVANT !

       Ça y est, la rencontre du Roi du Maroc avec le président Obama a lieu ! Elle n’est pas seulement une tentative de préchauffage relationnel entre eux, comme le prétendent les propagandistes de l’irrationnel et pensées pulsatiles anti Maroc. Mais carrément en vision de fusion des idées pour le traitement commun Maroc-USA, certainement avec succès principalement des problématiques socio économiques. En plus d’essais de décrispations politiques par le réalisme et non l’entichement, prenant en compte en ce qui concerne la puissance marocaine émise au Maghreb et en Afrique le travail du CNDH notamment le volet des nouveaux droits, ainsi que le rapport du CESE pour le développement dans les provinces du Sahara marocain.  De toute évidence, ceci corrobore la marche du Roi l'ayant fait l’objet de perfectionnements itératifs conduisant le pays à l’ouverture du marché africain prometteur d’avenir. Surtout au plan économique et échanges sociaux culturels cultuels et politiques pour la meilleure gouvernance via la dimension géostratégique de l'effectivité de la régionalisation avancée. Cela évidemment, en plus, n’empêchera pas toutefois le Maroc d'avoir des applications sous-entendues avec les USA, comme aussi avec d'autres pays amis pour raison sécuritaires. Parce qu'en matière d'épiage et surveillance de prolifération des armes de la contrebande et du terrorisme, seul compte le pragmatisme. D'ailleurs, ce n'est que comme ça qu'il puisse à partir d'échanges d'informations sensibles et géolocalisées, braquer toutes les tentatives malintentionnées le visant et les faire échouer comme d'habitude.  

       N’en déplaise aux désinformateurs  transmetteurs du contraire, c’est précisément cette intention qui anima depuis longtemps les rapports Maroc-USA, réfléchissant ensemble s’entourant même des précautions d’usage. Et, dont il faut en voir une liaison naturelle pour l’intérêt de la région toute entière, s’agissant là d’une hauteur de vue commune de géostratégie et non l’étroitesse vulnérable. Par conséquent, en plus s’assurant de ne plus alimenter les hystéries et haines pré montées en sous-mains par des professionnels dispendieux en l’occurrence. A cet égard, n'est-ce pas que ça aidera automatiquement les généraux algériens et leurs  porteurs de valises passionnés et férus de l’aventurisme, à ne plus se laisser subjuguer par l’atmosphère relationnelle terroriste lugubre inquiétante dans toute la région? Puisque c'est ce qui explique en partie leurs évocations mystérieuses d’histoires fictives sortant de l’irrationnel et forfaitures à l'encontre du Maroc. En ce sens, ne faut-il pas les  aider à sortir de leur ensablement chimérique propolisarien? Même n’ayant rien appris des années de feu et sang depuis l’avortement du processus électoral gagné haut la main par le FIS, comme aussi de l’hécatombe meurtrière à IN ANEMAS. De fait leur tendance au psychodrame de la séquestration et au délire de la persécution des marocains dans les camps de la honte, s'en trouverait peut être atténuée, car ils savent désormais qu'ils sont montrés du doigt.  

       N’est-ce pas que politiquement, ce contact direct entre les deux chefs d’Etats remédiera plus sûrement tout risque de diabolisation du Maroc par ces officiels algériens ? Ce faisant, il est vrai que le potentiel d’application pratique des données nouvelles entre Maroc et les USA en développement humain est considérable. Mais, n’est-ce pas pour rentabiliser coté marocain ce désir  de recherche d’accompagnement mutuellement avec les USA, il faudrait que l’échange multidirectionnel connaisse une densité moins déséquilibrée, beaucoup plus forte que ce n’est le cas aujourd’hui malgré l’existence du dialogue stratégique et l’accord de libre échange depuis 2006? En tout état de cause, les deux chefs d’Etats n’ont pas manqué d’ingéniosités et d'inventivités dans ce sens, par exemple la préparation du Forum des affaires et du sommet mondial pour l’entreprise au Maroc en 2014. S’additionnant à l’appel de Barack Obama à Sa Majesté de participer activement à la création de l’Institut International de Justice dont on espérait que le siège serait au Maroc. Ce qui ne laissera aucunement de doute pour la consolidation des droits de l’homme en Afrique et aussi de lutte contre les paradis fiscaux,  blanchiment des fonds mal acquis en concomitance à l'assainissement du climat d'affaires pour le développement de l'investissement.

       En tout état de cause, cette rencontre au sommet a commencé par faire souffler un grand vent d’optimisme dans la relation particulière entre les deux pays, par sa remise en parfait service point par point. Et ce, parallèlement au mouvement de nouvelles idées naissant de la raison et rationalité de part et d’autre pour la consolidation des échanges partenariaux stratégiques gagnant-gagnant dans tous les domaines commerciaux économiques culturels éducationnel et sécuritaires. Voilà pourquoi c’est sur cette approche que Sa Majesté le Roi Mohamed VI a fondé sa pratique des contacts directs avec les chefs d’Etats, s’ouvrant en même temps à la discussion raisonnablement raisonnée basée sur la confiance. Qu’aujourd’hui, pratiquement toutes les administrations et instances américaines y ont vu une opportunité pour Obama de pousser vers ce sens de haute consolidation de confiance Maroc-USA. Et de ce fait, le président américain l’a montré par sa volonté d’aller de l’avant ayant accepté de se rendre en visite officielle dans un proche avenir au Maroc sur invitation du souverain marocain.

       C’est dire qu’il s’agisse désormais de l’application sûre par les USA, d'une programmation de collaboration bien élaborée minutieusement réfléchie contre d’éventuels parasitismes à tout vent. Notamment en mettant le paravent de cette alliance étroite sur le devant, de ne plus cautionner d’entrechoquements avec un partenaire qu’au demeurant a fait ses preuves. Contrairement aux autres pays portant déraison et irrationalité dans le Maghreb, en plus ne consacrant que brouillage et parasitage de l’entente loin des respectabilités d’usage. N'usant que d'irresponsabilités basées sur les rapports fallacieux anti Maroc faits sur commande par des mercenaires de certains Etats. N’est-ce pas que c’est de là où est né le succès du Roi du Maroc d'avoir mis le doigt là où ça fait mal, lui attirant des jalousies morbides? A même que le président Obama séduit par sa clairvoyance en soit justement devenu en phase parfaite avec l’offre marocaine de l’autogestion du Sahara marocain dans la régionalisation avancée, la considérant faisable viable et pérenne. Et, d’être injustement critiqué par les quelques inconditionnels restants, de surcroît jouant aux portes flingues algéro-dépendants des Fondations petro-dinarophiles. Aussi, la preuve est faite, cependant, par l’honneur que fait le président américain au Roi, car stimulé à propos du traitement spécifique marocain des flux et reflux du printemps arabe. Lequel quand on l’analyse méticuleusement sans arrières pensées, est devenu hélas automne des droits de l’homme dans beaucoup de ces pays excepté le Maroc par sa maîtrise et singularité légendaire.

       Par cette dissertation, c’est le domaine de l’irrationnel comme ce qu’on a vécu au moment de l’essai ONU-USA d’Avril 2013 qui est définitivement mis en touche. Qu’en fait heureusement l’échange du Roi avec Obama en a remis les pendules à l’heure, démontrant par ailleurs à tous que l’engagement royal de matérialisation sur tout le territoire du royaume de la vraie substance et signification du respect des droits de l’homme, est un principe compact indivisible unitaire et irréversible. Désormais, Obama sait que le Roi du Maroc fait partie du cercle des hommes d’Etats non affectés des variations aléatoires ne provoquant que bruitage communicatif sans lendemain tels les compteurs Geiger en mal d’étalonnage. D’autant plus, évidemment, tous les deux savent pertinemment que ces phénomènes perturbateurs inhabituels que connaît la région maghrébo-sahélo-afro-subsaharienne, méritent qu’on les prenne en compte comme forces naissant des difficultés d’apprivoisement de la bonne gouvernance pour le développement humain équitable et solidaire. S’ajoutant en plus aux  interventions psychodramatiques par médiagénie soutenant en sous entendement les terroristes dans leur recherche du KO sociologique et sociétal pour s’emparer du pouvoir.

       C’est pour cela dans l’affaire du Sahara marocain, les coïncidences sont souvent amenées bien au-delà des limites de l’invraisemblance du coté algérien. N’est-ce pas, par tradition au FLN la responsabilité du respect des droits de l’homme n’incombe souvent ni à l’individu ni à la collectivité et encore moins à la structure dirigeante de ce parti  du genre vielle garde ? Parce que soufflant tantôt le chaud tantôt le froid de par le manque de réalisme surtout dans ce domaine, et/où la formulation de leurs propos offre un contraste violent avec la façon raisonnée dont le Maroc développe sa thèse juste et rassurante pour la stabilité de la région. Quoi qu’il en soit, c’est historique, l’administration américaine sous Obama recevant le souverain marocain en a pris solennellement acte, que les méthodes peu scrupuleuses de l’observation de la légitimité du Maroc sur son Sahara ont tout simplement conduit ces ambitieux de la mésentente à l’enrichissement illicite sur le dos du peuple algérien.


       A cet effet, ne paraissent-ils pas déjà relativement mineurs, sans importance à l’international? Par ailleurs ne provoquant que mensonges et diversions pour reparaître plusieurs fois dans les médias à leurs bottes. D’autant plus, maintenant tout le monde a vu qu’il y a longtemps que le Maroc a mis à disposition son bon vouloir où il est question d’éviter la surenchère avec l’Algérie des généraux. Lequel ne voulant entrouvrir les armoires où se trouvent des piétinements maladroits du minimum de dignité et du respect des droits de l’homme pour ne pas parler de cadavres. Mais cette dernière a inscrit cette affaire du Sahara marocain dans son agenda politicien de vol de mémoire et de viol de l’histoire, pour simplement continuer de dilapider ses richesses en se cachant derrière le testament plutôt le contrat de Feu Boumediene de ne jamais laisser le Maroc tranquille. De toute évidence toute l’administration Obama le sait maintenant après la sortie bouteflikaeenne d’Abouja, que le peuple marocain derrière son Roi n’accepterait jamais ces émanations ectoplasmiques de l’Algérie et de ses présides hantés de télékinésie de fonds oh combien paraissant petro-gaziers dépendants.  

dimanche 17 novembre 2013

EN QUOI ET COMMENT SE CARACTÉRISE L’OPTIQUE DIPLOMATIQUE DU RESPECT DES DROITS DE L’HOMME, DANS LAQUELLE TRAVAILLE SA MAJESTÉ LE ROI MOHAMED VI ?

LE ROI DU MAROC DE PAR SON NOUVEAU RÔLE ÉMINEMMENT POLITIQUE CONSOLIDÉ  EN ZONE DE GÉOSTRATÉGIE SUD-SUD, EST DEVENU LE CHEF D’ETAT-TÉMOIN DU RESPECT DES DROITS DE L’HOMME  QUE L’ONU L’EUROPE ET LES USA ENCOURAGENT DÉSORMAIS !

       Ces dernières années, le Maroc a estimé judicieux à renforcer sa place relationnelle forte dans l’espace extra Union Africaine. Il y a même fait transporter toute son attention en fortifiant les relations bilatérales économiques spirituelles cultuelles culturelles sociales et politiques, les rendant hors portée de l’épreuve des surenchères algériennes. Ce positionnement tous azimuts, s’explique par la réussite apaisée du  chrono-changement sociétal marocain bien avant et non depuis l’enclenchement du mouvement 20 Février 2011 en plein printemps arabo-amazigh. Certes que le Maroc a la chance de disposer de la clairvoyance du Roi, lui assurant d’affronter les multiples défis dans la responsabilité et la sérénité. Que par ailleurs cela s’est confirmé par la tendance à l’excellence et à la maîtrise communicative du staff à penser, finalisant l’exécution par logique déductive d’adaptation sur le terrain des programmations préalablement pré pensées et préétablies. Et ce, malgré les contradictions intrinsèques et extrinsèques programmatiques gouvernementales post-élections anticipées du 25 Novembre 2011 et même à ce jour.

       Néanmoins par feed-back, il faut faire attention aux réactions des  mannequins du champ de la communication des réseaux sociaux, de surcroît aidés de certains politiques oblats, voulant créer diversion sur la portée significative du  voyage du Roi aux USA d’Obama. D'autant plus, ils n’ont pas les compétences requises pour réussir leurs médisances en raison de leurs combines médiocres relayées de la somme de leurs sorties médiatiques hallucinantes. Notamment par rapport au savoir-faire royal reconnu et respecté avec plus de précisions d’inspiration sur la rétroaction soit-elle kerry kennedyenne. N’est-il pas vrai que cette visite royale chez Obama sans galoubet ni tambourin, dépasse de fait leurs désinformations ? Car les traitant particulièrement de soudoyés loueurs de leurs âmes, n’usant que d’incorporation de mensonges d’incompréhension et raisonnement désormais contestés à l’international. N’est-ce pas que telle est l’optique dans laquelle travaille Sa Majesté le Roi Mohamed VI aboutissant d’ailleurs à des résultats très nets, lesquels démontrés dans le discours de Bamako au Mali entre autre ? C’est sans doute ce qui caractérisera la rencontre du Roi avec le président Obama, bien sûr  en introduisant mobilité et recherche du rationnel avec toutes les instances américaines pour dépasser les différents greffés ces mois-ci. En les rassurant du renforcement de la coopération stratégique multidirectionnelle qu’en même temps défendant l’intégrité territoriale marocaine contre les menaces extérieures. Une fois de plus les projecteurs de l'actualité seraient braqués sur l'apport crucial de Sa Majesté le Roi par sa hauteur de vue dans l'affaire syrienne et le conflit israélo-palestinien. En plus, peut être, aider à dissiper les malentendus de l'administration d'Obama avec les pays du Golf par suite au rapprochement perturbateur des données géostratégiques avec l'Iran même sous Rouhani. 

       Maintenant, tout le monde a constaté la haute considération de la place du Roi du Maroc dans le concert des chefs d’Etats pour le respect des droits de l’homme. Mais, voilà que cela a provoqué jalousie chez certains  se comptant sur les doigts d’une main, malheureusement sans raison raisonnée dans le monde arabo-musulman et en Afrique. De toute évidence, il s’agit d’un saut déterminant dans le respect des droits de l’homme, forçant en ce temps présent ces intervenants en circuits fermés d’allégeance à l’Algérie des largesses et appointements envers eux, de faire leur synthèse-autocritique dans leurs contrées respectives. Dont la Guinée ce pays ami à travers ces données en a exhorté explicitement les quelques africains restant sous propagande anti Maroc, à sortir de leur état d’amnésie des faits historiques. N’est-ce pas ce qui importe pour la communauté internationale, c’est qu’ils mettent eux aussi rapidement en exergue et en marche une méthodologie de suivi des droits de l’homme? Quitte à copier et pourquoi pas le Maroc dans sa démarche salutaire reconnue, ayant déjà commencé à anticiper et à huiler les mécanismes d'effectivité de la régionalisation avancée depuis l’installation de l’IER jusqu’au CNDH et CESE. Et ce, en guise du processus de l'offre de consolidation du principe d'autogestion des régions du Sahara marocain sous l'emblème Allah Alwatan Almalik, dans l'attente de son application progressive sereinement sans précipitation dans tout le Royaume.

       Certes, personne ne peut nier l’apport considérable en grande estime de cette démarche sous l’impulsion du Roi pour le Maroc. Ne fut-elle faite avec dextérité d’approche usant d’expertise purement marocaine, mais seulement dans l’esprit de l’équité et réconciliation ? En plus sans en oublier l’étalement de la mémoire des années de plomb au grand jour dans des réunions marathoniennes régionales, une sorte de thérapie de groupe pour tous les marocains  pour que ça ne se reproduise plus. Au fond cette approche marocaine, n’offre-t-elle pas d’autres possibilités à ceux des pays qui souhaitent dépasser la rigidité  de leur ambivalence ? Pour ne continuer à ramper au dessus des murs d’instituts de mensonges sentant le gaz et autres fondations de surenchère petro-dinars-dépendant. Finalement la marche du Roi en Afrique se présente référentielle et mature, dont il convient déjà aux chefs d’Etats d’en percevoir les excellents résultats en matière de partenariats gagnant-gagnant. Qu’au demeurant, n’est-ce pas qu’ils sont circonstanciés par la forme la teneur et le timing de prise de conscience de la bonne gouvernance, principalement aux dires et écrits des observateurs internationaux qualifiés expérimentés et honnêtes. Contrairement aux manigances haineuses du pouvoir bouteflikien, que les officiels du FLN désirent encore s’enrichir comme leurs homologues généraux toujours par le maintien en place d’un président malade apathique qui tout simplement mérite de se reposer.

       Evidemment, c’est en dilapidant les atouts petro-gaziers au détriment de l’essor socio économique du peuple algérien, qu’ils essayent de continuer leur cavalcade contre le Maroc, s’aidant de leurs inconditionnels satellites. Mais, il n’est jamais trop tard pour ces chefs d’Etats longtemps dans le giron algérien, mais voulant pour de bon en finir avec ces calculs peu raisonnables. De fait, ils peuvent en distinguer les grandes lignes des modes assertoriques de la dignité étatique par la raison pour le dépassement de ces calculs sournois sans valeur ajoutée à la bonne gouvernance au sein de leurs Etats.  Néanmoins, c’est en se faisant directement encadrer dans l’effectivité de ce grand défi par les experts marocains en la matière, qu’ils  rejoindront sans complexe tête haute la marche valeureuse du Roi du Maroc. C'est-à-dire, comme ce qu’avaient fait auparavant beaucoup de pays africains amis, certes encore en gouvernance semi lente les plaçant dans cette dynamique des propositions royales. S’efforçant en ce moment de faire la synthèse des données relevant de l’analogie d’approche nouvelle, rien qu’en se recombinant et se reprenant en se reconstruisant la vraie table de vérité sur cette nécessité de faire et mimer le pas marocain sans faux fuyant ni dérobade. De telle sorte que les nouveaux arrivants au cercle des désireux de la gouvernance probe par approche évolutive et démonstration d’envie de bien faire, les idées saugrenues de l’Algérie à propos du respect des droits de l’homme lesquelles exprimées dans des langages déconcertants, ne risqueraient plus de leur paraître encore attributives alors qu’en fait en vérité elles ne l’étaient pas.


       Ce faisant, comme a justement réitéré Sa Majesté le Roi Mohamed VI dans ces derniers discours en clair et en subliminaire, lorsqu’on passe au calcul du nombre des difficultés créées par les officiels algériens pour la construction du grand Maghreb, il devient visiblement fastidieux à même de s’accroître actuellement en modes problématiques notamment concernant les flux des migrants subsahariens. Même si, on en relève le coté dangereux sur la région maghrébo-sahélo-africaine dont le Roi a pu raisonnablement en relater les perfidies des officiels algériens et leurs acolytes. Ce qui désormais signifie que la machine Maroc restera parfaitement sur le thème de l’offensive, où se mêlent les automatismes générationnels de vigilance sociétale et appel au dialogue sécuritaire et développement. En ce sens, pour le Maroc il faut redéfinir les efforts dits  « out put » correspondant à l’échange ethno social culturel et économique avec les groupements de pays africains. Pour cela, il ne reste plus qu’à voir par quelles structures ces efforts pourraient être mieux assurés sans tarder dans l’analyse visant les typologies des régimes en place.   

dimanche 10 novembre 2013

L’ANNÉE 2014 SERA SANS ÉQUIVOQUE NI DOUTE, CELLE DE L’ENCLENCHEMENT ONUSIEN DU MEILLEUR DESTIN DU SAHARA MAROCAIN !

       L’arithmétique dans l’art diplomatique marocain pluriel ne peut être vraiment efficace que si tous nos diplomates officiels et officieux connaîtraient bien leur dossier sur tout plan anthropologique sociologique culturel cultuel et politico historique. Ainsi, leur accréditation doit être un levier de différenciation dans les démarches de recrutement s'inscrivant dans une optique de maîtrise des préoccupations essentielles en plus des sécurisations de leurs contacts et de leurs rapports rendus en ce sens. Tout simplement pour qu’ils puissent user d’approche relevant de détails d’un niveau plus fouillé dans cette affaire préfabriquée par Boumediene et Bouteflika au lendemain du sommet tripartite algéro-maroco-mauritanien d’Ifrane en 1972. Notamment, ce qui touche d’abord l’historicité événementielle du montage des influences intrinsèques coté défavorable pour en comprendre la suite des mécanismes de flux et reflux des positionnements des groupuscules pro-polisariens. Et, ensuite coté favorable du coup de génie hassanien d’avoir pu anticiper les clashs onusiens en ces temps-là de dichotomie idéologique, dont beaucoup de receleurs de l’inventivité informationnelle suspecte en ont oublié le poids d’alors.

       N’est-ce pas le Maroc nouveau sous le Roi Mohamed VI, doit continuer par le raisonnement concis précis à montrer du doigt les manigances d’interactions politico structurées extrinsèques d’ONG et leurs relais conglomérats présides sub-étatiques ? Et en plus se soucier d’où elles viennent, particulièrement celles émanant de l’Algérie officiellement billettiste puisant dans la richesse du peuple et à ses dépens. Evidemment, qu'elles sont tout bonnement à visée d’écran de fumée pour cacher les pires atrocités de torture et dépassement de respect des droits de l’homme dans les camps du terrorisme et de la honte. Soutenant aveuglement même ces entités fantoches, voire dédommagement sans fondement ni avis du peuple honorable algérien, longtemps à l'écart au vu de sa saignée socio économique. Ne se taisant plus, de par leur dépendance devenue désagréablement coutumière aux fluctuations petro dinars que tout le monde connaît désormais. Et dont certains de nos diplomates portes attachés-cases recevant les coups mais n’absorbant pas les chocs seulement les transmettant, doivent se bouger pour décrier cet état de fait et ne plus considérer leur prolongement en fonction une priorité d'apaisement seulement. D’autant plus se cramponnant aux ténors, lesquels, se croyant incontournables pour faire face aux éventuels maux et déconvenues pouvant s’immiscer dans les efforts d’initiation des nouveaux arrivants.  

       En conséquence, alors que le temps diplomatique dans cette affaire se raccourcit jouant un rôle clé dans les chancelleries dynamiques et au fait des aléas, voilà une modeste note-synthèse à décortiquer pour sortir notre diplomatie officielle et parallèle des sentiers battus. Parce qu’elle a tendance manifestement souvent à tirer ses réjouissances à chaque moment paroxystique, par contre-balancement vers la réactivité et non l’action par l’anticipation. Sauf que, c’est toujours le cas ces dernières années, ce sont d’extraordinaires inductions de dissolution des malentendus après interventions royales, néanmoins constitutionnellement indispensables à la marche diplomatique, qui soudainement assuraient ces réjouissances. Ce qui explique les malaises de toutes sortes de par réflexions et attitudes des ennemis et récalcitrants à l’égard de cette méthodologie de dernier sprint du Maroc, car ne pouvant aucunement ébranler l’aura de Sa Majesté le Roi Mohamed VI , lequel ne cesse de s'élargir géo-stratégiquement et s'agrandir bilatéralement rationnellement sensationnellement dans le concert des chefs d'Etats. En ce sens d’un discours royal à l’autre, les scrutateurs les plus vaillants commencent à isoler les gènes de mal gouvernance responsables des nombreuses pannes dans l’affaire du Sahara marocain.

       Vraiment est-ce que le contexte particulier de cette année en attendant d’évaluer correctement l’impact de la méthodologie préconisée par le CESE, ne doit-il pas imposer un toilettage sans vergogne des recoins du mammouth diplomatique dévoreur de devises parfois par transfèrement infructueux voire inutile ? En plus de redistribution des compétences de manière qu’elles s’adaptent aux nouvelles exigences de leur mise à niveau dictée par l’intérêt du pays. S’ajoutant à la mobilisation de toutes les composantes sociétales civiles et étatiques, en gardant toujours en mémoire les objectifs à continuer à réaliser pour garantir aux marocains davantage de dignité (Alkarama) dans la sécurité et l’unité. Ce que les mentalistes structuralistes pourraient expliquer par l’infiniment réaliste des marocains usant des avancées sur le plan du respect des droits de l’homme et grandes réalisations infra-structurelles par rapport à l’éloignement infiniment grotesque et chimérique des pro-polisariens s’opposant à tout point de vue à la thèse marocaine. Dont l’arrêt des discussions directes officielles où non entre le Maroc et le Polisario, est souvent qualifié de prédisposition secondaire évidente aux interférences algériennes. Que par ailleurs beaucoup d’observateurs internationaux estiment que ces prévalences répétitives sont dues à la surcharge et au surmenage du Polisario par l’épiage subi n’arrivant plus à en acquiescer voire à en supporter la rythmique.  

       Pour cela, il faut savoir user de tact en démontrant une grande aptitude à réconcilier les priorités de chacune des composantes, pour une meilleure intégration des nouvelles données susmentionnées par le CESE sur le terrain. Parce que, outre ce signe de reconnaissance des nouveaux droits civils et politiques, la diplomatie travaillant d’arrache pied avec abnégation, en prenant des initiatives réfléchies selon modérabilité calculée des opportunités, s’en trouverait écoutée et encouragée dans son exercice noble. Sachant d’emblée, ce n’est plus le courage de le faire qui manque après la salve coléreuse des derniers discours royaux, sous-entendant la levée de l’autocensure. Pour ne laisser aucune entité où structure-relais adverse sans scruter leur fonctionnalité et leur médiagénie corrompue partiale, laquelle est sans fondement seulement sous forfanterie bouteflikienne. Qu’en fait, Mezouar, ça l’aiderait dans son rôle de chef de la diplomatie dans toutes les circonstances pour contrer les forfaitures de ces enragés des disettes et racontars. Surtout la cohorte généralissime officielle algérienne Laamamra-dépendante, s’appuyant sur certains entichés du concubinage d’intérêts à l’étranger voulant donner raison aux rapports pessimistes et études scandaleuses de mercenaires administratifs.

       Mais, on ne saurait omettre le branle-bas de combat  qui annonce au delà des tergiversations gouvernementales encore comme il y a deux ans, le début des travaux législatifs et administratifs d’effectivité de la régionalisation avancée. Et c’est en évoquant ce saut déterminant à grande valeur ajoutée pour le Sahara marocain que le CESE a déjà enclenché sous l’Egide du Souverain, qu’on peut mentionner la prédisposition du Maroc dans le cadre de sa constitution à aller de l’avant de la sorte et par la suite avec le temps l’élargir sur tout le territoire national. De ce point de vue, il ne faudrait plus que certains coutumiers du faire plaisir à autrui, continue à vouloir nous en mettre plein les yeux d’historiettes connues et sues de tout un chacun proposant la faisabilité rapide et brouillonne dans tous le royaume. Mais, comment se fait-il trente huit ans après ils ne savent pas encore, que c’est la clarté des commentaires par l’aisance du repérage de leur signification qui ouvre l’esprit de n’importe quel diplomate à l’international aux initiatives proposées selon la réalité du paysage politique en question ?


       A cet égard, cependant, concernant l’ouverture en ce temps précis d’autres problématiques, ce serait avant toute chose diplomatiquement inconcevable, au vu des notifications de politique-vigilance dans l’usage rationnel du temps onusien pour le Maroc. Parce que le ton du temps de la rhétorique phraséologique de dire les choses sans en soupeser les conséquences relève de myopie intellectuelle politiquement dangereuse. Aussi, il serait impardonnable de s’y investir ainsi, au détriment de la méthodologie concertée pondérée voire offensive quand il le faut le cas échéant. Evidemment dans le but de consolider les acquis qui feront que l’offre marocaine d’autogestion dans la régionalisation avancée, pourra relever les défis pour le bien-être de tous les citoyens. En plus d’autres préoccupations riches en nouveaux défis attendant aussi la diplomatie économique marocaine, par exemple, l’accentuation des accords de libre échange avec l’Afrique. Qu’au final vont, selon les observateurs internationaux consolider la marche du Roi du Maroc, et surtout avoir des répercussions négatives sur la viabilité des mensonges émanant de l’Algérie et ses génériques de la compromission anti Maroc.

mercredi 6 novembre 2013

LA CHARGE COLÉREUSE DU DISCOURS ROYAL DU 06 NOVEMBRE 2013 EN COMMEMORATION DU TRENTE HUITIÈME ANNIVERSAIRE D'AL MASSIRA !

IL S'AGIT D'UN APPEL A L'ANTICIPATION ACTIVE PAR CIBLAGE STRUCTURÉ  ET ORGANISÉ  SUR LE TERRAIN ET AILLEURS CONTRE LA DÉSINFORMATION, EN CONCOMITANCE D'UNE LEVÉE DE L'AUTOCENSURE POUR CONTRECARRER LES MACHIAVÉLISMES PROPAGANDISTES OUTRANCIERS ET DÉSOBLIGEANTS VIS-A-VIS DU MAROC !

LE DISCOURS DU 06 NOVEMBRE 2013, UN APPEL RESPONSABLE À LA VIGILANCE PAR LA PASSION RÉFLÉCHIE ET MESURÉE DE  REVALORISATION DU SERMENT D'AL MASSIRA !

       N’est-ce pas que cela fait trente huit ans que la Marche Verte a lieu, ce coup de génie de Hassan II, désormais institutionnalisé parce qu’en effet mondialement reconnu ? Mais pourquoi même avec cet acquis grandiose, sans nulle intention d’angoisser les décideurs gouvernementaux actuels, les dangers d’entrechoquements avec l’Algérie officielle n’ont jamais cessé monopolisant ainsi tout ce temps l’attention des marocains ? En ce sens, la commémoration de cet événement en cette occasion du 06 Novembre 2013 par un discours cadre précis et concis, est vraiment bienvenue en ce moment parce qu’ouvrant le pays sur l’avenir porteur d’espoir. Et ce, par ciblage structuré organisé de bonne gouvernance pour le développement humain, même si, la tache auparavant n'était pas mince. Mais grâce aux gros moyens de développement infra-structurel éducationnel socioprofessionnel sportif et culturel formidablement engagés dans ce combat contre la désinformation le nombre de renégats contaminés par la propagande du pouvoir algérien et/où autres, n'a cessé de décroître devenu pratiquement résiduel petro-dinar dépendant. Par ailleurs, n'est-ce pas d’emblée envisagée par suite aux conseils et directives royales, l’effectivité des nouveaux droits civils socio-économiques individuels et collectifs, dont le CCSE-E en a déjà terminé l’élaboration et finalisation des thématiques et méthodologies d’approche. Ce qui aiderait sans doute à contrecarrer les machiavélismes propagandistes outranciers et désobligeants vis-à-vis du Maroc, parce qu’induits sur commande et donc construits par des rapporteurs au fait du plus offrant. Et par conséquent restant à la solde de l'Algérie des généraux nababs au détriment du peuple algérien voyant sa richesse dilapidée ainsi sans fondement ni raison valable.
      
       Et oui, dans ce discours il en a été question en clair à la structuration ordonnée des flux migratoires de la part de tout le monde vu que le Maroc s'y est déjà engagé dans le respect des réglementations internationales en vigueur. Par contre, en subliminaire de beaucoup de choses en l’occurrence, en particulier, l'appel à l’amélioration de la prise en charge des retards d’enracinement de la culture des droits de l’homme par le gouvernement Benkirane II, pour ne pas copier la première mouture se heurtant à plusieurs difficultés par manque de structuralisme de cohésion. Dont la principale a trait au surmoi du chef lui-même constituant par moment le frein de cette prise en charge, alors qu’il a bénéficié d’un coup de main par une programmation promotion spéciale en la matière dont le monde en a apprécié la teneur et la qualité. Notamment de la part du CNDH, CCSE-E, Cour des Comptes, ICPC, Médiateur et surtout ONG associatives de la Société Civile jouissant d’un excellent niveau d’appréciation et disposant d’intervenants qualifiés dans tous les domaines. C’est vrai, on ne se lassera pas d’en citer ce discours encore et toujours, vu le nouveau style d’une grande originalité entièrement établie en hauteur de vue. Offrant aux analystes et scrutateurs différents niveaux de décryptage, surtout sur le manque incompréhensible de confiance à la démarche progressive réfléchie et apaisée du Maroc de la part de ses partenaires stratégiques. Sachant, notamment, qu'il n'y a aucun pays de la géosphère Sud-Sud en dehors du Maroc qui a fait amende honorable dans l'ouverture et traitement de nombreux chantiers à tous les niveaux.

       Tout compte fait, par ce discours de la raison, ne s’agit-il pas d’une tribune oratoire de grande cohérence et rigueur d’analyse de la stratégie gagnante à adopter pour faire face aux risques des intolérances manifestes de certains enragés ? Et même, si la bêtise du pouvoir algérien, tout comme ses imaginations restant sans limites voire contre-productives pour la construction du grand Maghreb arabo-amazigh, il y va pour le Maroc de ne pas se tromper de cible en restant prévoyant perspicace mais pertinent. Que du reste, déjà les commentaires à ce propos de quelques illuminés journalistes algériens n’ont connu aucun succès chez le valeureux peuple algérien de par sa maturité de faire la part des choses. Tellement qu’il en a résulté un violent rejet de sa part les montrant dans la petitesse tous voués à l’appétit de dénigrement gratuit non fondé du Maroc. D'autant plus, cet appétit auquel on en fait allusion, est en plus attesté par les observateurs à travers le monde comme mauvais nauséabond rebutant, de surcroît, semblant prendre naissance autour des comptoirs et autres couloirs de chancellerie que contrebutent les services de la célébrissime DRS.  

       Dorénavant, de ce fait, le vrai enjeu de politique publique c’est ce qui compte, en faisant la promotion des réalisations multidisciplinaires sur le terrain. D’abord au-delà de l’intérêt politique personnifié par rapport à l’évolution des mentalités du peuple marocain diversifié et unifié, dont le fil d’actualités a montré leur régularisation ne voulant plus de discours idéologique dominé par la partialité et les préjugés. Cette belle raison d’être du peuple entier comprenant ce discours royal entre valorisation de la légalité historique et spécificité de l’africité marocaine jusqu’aux confins du fleuve Sénégal et territoires Banbara du Soudan. En plus, de s’atteler à la dynamisation de la diplomatie diversifiée pour pénétrer d'autres contrées même anglophones, et aussi de mise à niveau des vecteurs de la bonne gouvernance que par ailleurs le discours a fait pointer à l’horizon pour le plus grand plaisir des sahraouis ne demandant qu’à y jouir par l’autogestion dans la régionalisation avancée. Cette proposition marocaine ne traduit-elle pas cet engagement marocain de toujours travailler de concert avec le Secrétaire Général de l'ONU Ban Ki Moon et son envoyé spécial Christopher Ross commençant à en intégrer le bien fondé ne voulant plus gaspiller plus de temps dans les tergiversations polisariennes n'apportant de solutions meilleures et viables.

       Bien sur, dans ce cadre les initiatives à prendre devraient s’inspirer de la portée de bonne gouvernance caractéristique du Maroc nouveau performant et sûr. N’est-ce pas que cela accentuerait la cohésion sociétale marocaine dans tous ses territoires du Nord au Sud de l'Est à l'Ouest? En plus du maintien de l’équilibre de développement social économique culturel et écologique entre les régions, sans surcharge budgétaire pour les unes ni carence où souffrance en aménagement territorial pour les autres. Mais pour ne rien oublier du vécu marocain depuis Al Massira du 06 Novembre 1975, au-delà de l’intonation du sermonnement  utile lancé directement à qui se sentirait concerné, ce que fut le Maroc et ce qu'il est aujourd'hui parce que y’en a marre de cette synthèse artificielle du mensonge du pouvoir algérien. Ne sachant pas qu’il est nourri seulement de subterfuges de rancune jusqu’au plus grave marasme socio-économique culturel et politique qu’il vit actuellement. S’essayant d’agir comme catalyseur pour les attaques anti Maroc, alors qu’il suffit de descendre à Tindouf pour savoir que c’est juste un essai de maintenance d’écran de fumée face aux nombreuses réactions du peuple algérien contre ses dirigeants généraux filipendules par l’opportunisme à tout vent. C’est même  malheureux d’en arriver à vouloir fructifier les facteurs de déstructuration des relations avec le Maroc par la surenchère et l’enveniment de l’environnement physique frontalier immédiat, usant d'organismes structures et entités connues pour son animosité manifeste à l'égard du Maroc se ressourçant seulement de relais-présides à tropisme papier dinar-dépendant.    


       Voilà pourquoi à partir de ces diverses données, il est possible d’évaluer la fausseté des sorties médiatiques émanant du chef de l’Etat algérien, malheureusement toujours portant son complexe vis-à-vis du Maroc depuis l’emballement de 1963 que tout un chacun porte en mémoire ? C'est dire qu’il faudrait même le mettre sous surveillance gériatrique, en  appliquant à chacune de ses interventions les règles proprement strictes aux différentes connectivités des dispositifs maintien en état d'éveil et aussi de sa propre sécurisation mentale selon les cas. Ceci dans le but, pour qu’il ne se fasse pas mal à lui-même, et qu’un jour si Dieu le veut il en assimilerait pour le restant de sa vie la re-méditation perpétuelle depuis sa naissance coté marocain à Oujda.

vendredi 1 novembre 2013

APRES LE DISCOURS PALINODIE D’ABOUJA ÉMANANT DU CHEF D’ETAT ALGÉRIEN BOUTEFLIKA, OU EN EST-ON AU MAROC ?

       Longtemps bien avant ce discours belliciste émanant du plus haut sommet de l’Etat algérien et qui fut lu le 28 Octobre 2013 à une conférence non officielle à Abouja au Nigeria par le ministre de la justice, les masses médias algériens étaient plongés dans une transe de simulation proactive de médiocrité touchant la névrose. Par ailleurs n’usant que de désinformation mensonge et contrevérités à l’égard de tout ce qu’a entrepris avant et fait aujourd’hui le Maroc dans beaucoup de chantiers. Alors qu’il existe un mécontentement lancinant des forces vives algériennes, ne voulant pas de cette incursion indigne dans les affaires internes d’un pays frère tel le Maroc ayant fait amende honorable. Contrairement à l’Algérie figée stagnante montrée du doigt malgré ses gisements gaziers et pétroliers, mais malheureusement dilapidant sa richesse dans des causes chimériques perdues d’avance non fructueuses pour l’avenir du pays.

       Voilà pourquoi le traitement social économique et politique au Maroc est fondé, adaptant ses actions au contexte de ses moyens existants. Notamment en restaurant la vraie prise en charge des doléances des marocains dans la sérénité et la responsabilité en matière des droits de l’homme sur tous ses territoires depuis l’installation de l’IER jusqu’au CNDH sous l’impulsion d’un Roi visionnaire. Contrairement au pouvoir algérien n’ayant à ce jour rien fait sur l’équité ni vis-à-vis de la corruption la transparence et encore moins sur le respect des droits de l’homme. N’est-ce pas de son développement infra-structurel caractérisé porteur d’avenir multi potentiellement socio économiquement déterminant, le Maroc est à beaucoup d’égard respecté s’en trouvant dans le deuxième rang africain de l’investissement étranger ? En plus, de la marche du Roi soutenu par son peuple se dirigeant en priorité vers l’Afrique avec maîtrise émulation et dextérité, dont l’Echo a irrité l’Algérie officielle s’essayant de torpiller son aura sans résultat. S’ajoutant à cela ses réformes institutionnelles constitutionnelles structurelles engagées sans tremblement ni hésitation, qu’en effet, le Maroc n’y a-t-il pas assuré une transition raisonnée de par sa cohésion sociétale notable salvatrice, ayant su maîtrisé dans le calme et la clairvoyance son propre printemps amazigho-arabe ? De ce fait le retard et l’éloignement de l’échéance du diagnostic du dysfonctionnement de l’Etat algérien vaniteux nonchalant, fait que le peuple dans toute sa diversité se trouve face à une situation critique, qui n’est que le contrecoup des désillusions des dirigeants pervers en l’occurrence les généraux affairistes. Qu’au demeurant continuent dans leur perversion et entêtement à séquestrer dans les camps de la honte à Tindouf à Rabouni et ailleurs les marocains, seulement pour le business parallèle dangereux, et ce  au su et au vu de la communauté internationale.

       Cependant, si la normalité liée au réveil de la société civile algérienne est restée longtemps en sous entendement incompréhensible, l’indication tirée de la riposte rapide marocaine de rappeler l’ambassadeur pour consultations lui permet d’ores et déjà de penser voire d’avancer que la fréquence de l’excès de zèle du système algérien ne serait plus comme avant parce qu’il est devenu contre productif. Dont il faudra quand même noter que l’incidence provoquée à l’international est négative de par les nombreux témoignages en faveur du Maroc du renouveau, et même au sein de plusieurs partis politiques algériens. Néanmoins, gare à l’intox de ce jeu algérien de transmission à visée promotionnelle de soutien au Polisari, même si, l’originalité ne pourrait amener d’émerveillement. Mais plutôt ne favoriserait que la prolifération des malentendus, en premier, entre factions algériennes par suite au défaut de guidage installé vu l’état de santé alarmant du président devenu sorte de légume apathique grabataire. En plus de l’absence de nécessité de prendre en charge urgente des doléances du peuple pour faire les réforme, et ce, à cause de la présence de quelques fractions avantagées par la proximité et étant liées au cercle fermé de cette présidence. Voulant à tout prix prendre le pouvoir au détriment de tout le peuple algérien loin du jeu de la transparence démocratique, et par conséquent jouant aux jeux de souffrance inhérente à ses tentatives politiciennes vis-à-vis des récalcitrants n’acceptant pas cette parodie.

       Toutefois, il est grand temps que cette façon de procéder par le pouvoir algérien, doit impérativement changer ne causant que détérioration du climat de confiance et transbordement de méfiance. D’ailleurs sonnant une fois de plus un gel relationnel par suite au fait accomplit, ce qui a fait le lancement sans équivoque de la riposte marocaine base de matério-vigilance diplomatique de surcroît  mesure à la taille de l’embrouillamini provoquée. Par ailleurs non dénuée de tout risque d’emballement à la façon de la boule de neige, parce que les relations bilatérales pourraient prendre des formes sévères voire dangereuses pour la région qui déjà est, en dédifférenciation sociétale pour diverses raisons, à l’exemple des conceptions programmatiques politiques en jeu et aussi de l’insécurité et la prévention du terrorisme. Et même, adviendra que pourra, tout compte fait le Maroc n’y est pour rien pour cet état de fait, seule l’Algérie en porte la responsabilité des probables méfaits de stagnation de la relance du grand Maghreb, parce qu’elle n’a fait que déstructurer les codifications de la réussite, de l’émancipation, et in fine, de l’avenir commun l’un des moteurs clés du progrès basé sur le bon voisinage.

       Cependant, à la lumière de toutes ces données soulevées, ne peut-on pas dire que cette suffocation et/où souffrance en relation diplomatique Maroc-Algérie actuelle, qu’elle est motivée coté marocain lui faisant oublier la naïveté d’Othmani, s’étant rendu en Algérie juste après qu’il ait été nommé chef de la diplomatie ? Croyant qu’en instillant son style rapidement de la sorte, il pourrait trouver le chaînon manquant à cette fiction, une approche pour le moins non réfléchie et pas bien étudiée. Contrairement à Mezouar dans ses propos finement élaborés en réponse préparée soupesée, surtout, après cette apparition éruptive d’animosité flagrante venant de la résidence Al-mradia conjuguée à celle de toujours des généraux faucons dispendieux. Dont leurs agents-relais auparavant outrageants, s’en trouvent en ce moment dénudés dans cette affaire du Sahara marocain, ne pouvant plus crier avec les loups d’autant plus Christipher Ross commence à changer de fusil d’épaule. Parce que les choses se sont éclaircies presque instantanément à leurs yeux, se voyant avoir été bernés depuis le début par l’Algérie hégémonique, ne cessant de leur chanter le principe d’autodétermination des peuples. Cette image embrouillée et flouée par calcul politicien atteignant voire dépassant négativement le niveau d’instruction diplomatique de grand discernement, en plus usant à redondance de son million de martyrs pour soi-disant montrer le chemin en faisant de l’émotion. C’est vrai, cela montre que le pouvoir algérien est désormais dans une posture relevant de la psychiatrie politique par sa brillance présence dans la stupidité. Mais chose qui est sûre, il en serait aussi dérouté de toute évidence à la vue des répercussions sociales psychologiques et affectives sur le peuple algérien, première victime de ce parcours défaillant dans ses pensées et ses structuralismes narcissiques.


       A cet effet, que l’Algérie des généraux soit rassurée, les effets liés à ce transfèrement des symptômes de son échec politique en interne sur son voisin de l’Ouest, ne varieront aucunement le bon vouloir du Maroc de continuer son bonhomme de chemin librement et significativement toujours d’aplomb. Par conséquent qu’elle s’essaye de se préserver en s’attaquant de front à ses problèmes trop nombreux et à différents niveaux, dont les instances internationales n’y cessent de les lui rappeler. Surtout de sortir de sa vanité démesurée et s’atteler au respect des droits de l’homme, à la lutte pour de bon contre la corruption, à s’en acquérir de la bonne gouvernance pour relever les défis, de la précarité et chômage des jeunes, de la bureaucratie, du social et du logement, et surtout à faire de l’équité sa priorité tant dans le partage des richesses que dans l’effectivité du principe de l’égalité des sexes dans la fructification des chances et autres telle la concurrence loyale par la compétence…. PARCE QUE LE MAROC IL YA LONGTEMPS QU’IL S’ÉTAIT MOBILISÉ   ET CONTINUE ENCORE DE L'ETRE POUR ESSAYER DE RELEVER LES DÉFIS PAR UN EFFORT D’INFORMATION ET DE SENSIBILISATION VISANT LES OBJECTIFS TRACÉS PAR SON AUGUSTE ROI. ET CE MÉTHODIQUEMENT, SANS PRÉCIPITATION,  SEULEMENT DANS LE RESPECT DES NORMES EN VIGUEUR POUR LA PROTECTION DE SA RENOMMÉE A L’INTERNATIONAL. "AINSI, QUE L’ALGÉRIE LE TIENNE POUR DIT !"