mercredi 8 août 2012

MEZOUAR L'HOMME DU PARALLÉLISME ESTHÉTIQUE EN POLITIQUE !




EH OUI! BIEN AVANT SON ASCENSION QUELQUE CHOSE C’EST ALORS REMIS EN MARCHE, PARCE QU'IL A PRIS CONSCIENCE EN L'OCCURRENCE DE SA VALEUR AJOUTÉE SEULEMENT AU SEIN DU PARTI. 


IL AURAIT MÊME ATTENDU LE TEMPS QU’IL FALLAIT S’EMPLOYANT A JOUER DES RÔLES DE MUET, POUR ENSUITE FAIRE BOMBANCE PARMI LES CHEFS DE PARTIS.
AINSI, ET IMPARABLEMENT L’IMPENSABLE DEVENAIT RÉALITÉ POUR LUI,  LIBÉRANT SES FRUSTRATIONS POUR LE
BESOIN DE NOTORIÉTÉ SOCIALE QU’IL RESSENTAIT.






MEZOUAR Salah-Eddine, n’est-il pas l’homme des passions et aventurisme partisan non calculé?
  A ces débuts un technocrate heureux pour qui tout souriait grâce à son expertise commercialo-comptable, en somme, son dada depuis l’ère tunisienne. Pour lui, elle fait partie des ingrédients politiques au quotidien, que machinalement, il l'avait testé lors de sa participation au gouvernement technocrate Filali II. Suscitant de fait une surprise bourrée de références de son époque frontiste, qui n'avaient pas échappé à ses concurrents. Preuve en est cette carrière politique incroyable, sauf que, lorsqu'on scrute son parcours environné d’élans qui ne trompent pas, on voit qu'il a fait appel à des procédés de guidages politico-économiques pour exaucer au long terme ses rêves.
     En effet, après s'être poussé d'embarquer sur le bateau RNIste, il paraissait fasciné par le spectacle de l'intrigue politique autour de l'armateur dépositaire du logo, en l'occurrence Ahmed Ousman. Ensuite, prenant fait et cause de celui qui mystérieusement avait écarté ce charismatique fondateur et occupé comme lui à la fois le perchoir et la présidence du parti. D'ailleurs au sommet de la tour de ce parti, n'est-ce pas que la violence de l'intrigue obligeait tout le monde à se coucher en bas? Mais lui, étant déjà un peu accoutumé au slalom politique, apparaissait retroussant ses manches en attendant la roue du treuil de la cage d'ascenseur pour remonter à hauteur des décideurs.  
C'est ainsi qu'il arriva lui aussi à planter les jalons de sa destinée, implorant Dieu de l'épargner et le protéger dans sa nouvelle Massira Datiya qu'il s'était intimement tracé. Cependant, et c'est là le drame de Mansouri son prédécesseur au RNI, vu qu'il n’était pas dans l’expression de son égocentrisme exagéré, n'ayant pas le temps de prévoir le comportement de ses détracteurs et d'éviter toute mésaventure partisane. Alors qu'incompréhensiblement il se reculait dans un désir énigmatiquement spéculatif pour se maintenir au perchoir. Peut être, par l'influence de l’école espagnole comme on essayait sournoisement de le marteler, alors qu'il est aussi un générique francophile de surcroît parfaitement à la page. C'est sans doute, là, sa faute commise contre son propre credo moral et politique en tant qu'occupant du perchoir en présence d’une délégation étrangère, en distillant une opinion malencontreuse dans un lieu de souveraineté nationale. En revanche, qu'il n’ait voulu où pas commettre cette imprudence vis-à-vis du PAM sur la marche des rouages de l’Etat, il en a tout simplement payé les frais entre fatalité et sacrifice d’utilité. Sonnant ainsi la fin de la récréation de l’indulgence et la gratitude pour tous les politiques en mal de carrure. Et ce,

    même si, ses soutiens irréductibles pensaient que ce reproche pourrait être le résultat d'une incompréhension, aussi bien déformée par la langue étrangère ou d'une volonté déterminée d’en découdre avec lui par l’usage substitutif de la voix d’un autre. Parce que même après, à les entendre on croit qu'on est finalement en plein délire de la politique qui tue dont on commence à avoir un avant propos sur le déterrement des affaires et autres casseroles, en ce temps. En tout cas, N'est-ce pas que ça a précipité momentanément sa chute politique vers l'infiniment aléatoire. 
     Pour ce qui est de Mezouar, c'est en restant fidèle à ceux qui déterminèrent sa première escalade gouvernementale, qu'il sût continuer à se servir d'eux comme un rempart dans la tribune élevée de la politique. Mais, les apprêts de l’exécution de son véritable plan ne cessant de ménager tout le monde, avaient fait sortir de leur silence les quelques condisciples RNIste aigris. Fondant ainsi ensemble un mouvement intellectuellement tiré des cheveux, mais le croyant prétendument de renouveau. N’empêche qu'à l’époque par crainte d’être échauder à son tour, surtout dans son poste d’argentier par ailleurs très convoité, il avait accepté de se faire dismuter politiquement s’aidant de catalyseurs facilitateurs des besognes pour arraisonner le RNI et lui donner un autre cap. Et c’était presque au forceps qu'il avait réussi cette renaissance en tant que nouveau chef du parti.

  Ne s'agit-il pas encore d'histoire de trahison dans un parti marocain? Ainsi, ec’est pour illustrer sa réserve face à l’insinuation, qu'ilaurait prétendu pouvoir s’acquitter de son rôle usant de flayers didactiques sur le parti. Non pas par l’imitation de ces quelques alignés chefs de partis, mais par l’imposition d’un nouveau style d’affichage politique vu son nouveau carnet d'adresses. Mais, le hic c’est qu'avec les temps qui courent tout a recommencé avec d’autres insatisfaits au nom de la démocratie interne, notamment la fronde orchestrée par Abbou le timoré du parti contre lui. Parce qu'il s’agit peut être d’une damnation divine de non stabilisation du génie de ce parti à sa juste valeur. 
      En revanche, en tant que ministre de l’économie et des finances, il ne trouvait sa voie que lorsqu'il n’avait plus de souci à se faire. Mais, la réalité était tout autre à travers le regard normatif au comportement gouvernemental précipité, surtout concernant le balisage des propres capacités du pays, qu'après lui a reproché énergiquement El MALKI. S'ajoutant en plus du retrait visiblement forcé du projet de loi de finances 2011 du parlement, pour apparemment éviter de compromettre la transition tranquille recherchée, et qui était beaucoup plus complexe que ce qu'en disaient les manchettes et autres supports médiatiques audiovisuels à ce moment là. Déjà qu'aujourd’hui, on ne voit plus en lui le précurseur tisseur de la bonne trame du parti, car il avait beaucoup de mal à se fixer sur une ligne de conduite surtout après la cacophonie de la période des législatives. Une conséquence assez dure voire insoutenable pour tous les partis de la nomenclature par suite à l’enclenchement du printemps marocain. Ce qui l'avait poussé à être l'initiateur du G8 dont le but de reprendre la main pour une éventuelle et hypothétique mise en forme du pouvoir exécutif sous la nouvelle constitution. Et delà forcer le sort contre cette drôle de guerre des chefs au RNI, qui avait tendancieusement contribué à le faire mésestimer dans l’échiquier politique du Maroc.

    Par ailleurs, n'a-t-il pas, en plein bouillonnement préélectoral législatif en réponse à un conseiller de la deuxième chambre, incroyablement si ce n'est finement fait semblant d’avoir découvert fortuitement la notion de l’importance du partage du bien entre siens, à l’exemple des PCP en BRP au delà de toute dose de transparence? Car Jusque là, il y avait des dénonciations sur cet engagement mutilé par ses détracteurs surtout de la majorité sortante, vis-à-vis de son implication dans la cotation de la bourse de Casablanca au Nasdaq de New York. Vu qu'actuellement les retombées de manipulations fictives sont dramatiques pour l’investissement et donc l’économie du pays. Cependant, depuis on le perçoit pensif voire tourmenté, de n'avoir pu poursuivre correctement et équitablement le développement de l'économie des régions du Maroc. Notamment au travers de son jugement balancé sur les grosses inquiétudes s’accumulant par suite aux tergiversations des banques nationales, vu les tumultes dangereux que vivent les places financières internationales après la perte du AAA par la France. 
  C'est vrai, que même sachant qu'il s'agit de notre premier partenaire économique, certaines formes d'échanges étaient plus décriées telle la construction de la ligne TGV. Déjà on entendait de la part du PJD emphatique manquant d'experience, bien avant les résultats du scrutin anticipé des législatives, la répercussion de renverse pour déconstruire ces normes de management gouvernemental qu'il qualifiait de déversement à contre bas de l'équipe sortante. Par opposition aux autres plus privilégiées, et qui sont en phase de croissance substantiellement appréciable à l'exemple de l'implantation de Renault à Melloussa à Tanger. Certains analystes, pensaient même, que pour accompagner cette approche il faudrait pour le PJD pratiquer une politique courageuse de prospection réparatrice de ces déversements socio-économiques. Facile à dire qu'à faire, surtout en usant de broyage linguistique sans vraie production de résultats probants sur le terrain.
       A voir le résultat obtenu jusqu’aujourd’hui, qui pouvait dire, s'ils n'étaient pas guidés, par la méconnaissance de la gestion des affaires de l'Etat? Chose qu'ils ne pourraient ignorer cependant, vu que les trois composantes des coalisés étaient aux affaires laissant moins de latitude aux ministres pjdistes pour l'exécution de leur programme préélectoral, les remerciant même de leur compréhension avec une ferveur cachant presque de l'espièglerie. Ainsi le PJD s'est octroyé des postes ministériels en dehors de la plateforme sociale cultuelle politique et culturelle, ajouter à cela la perte du secrétariat général du gouvernement. Et que Monsieur Azimane est en passe de reprendre le dossier de la régionalisation pour rehausser la réflexion de sa commission faisant partie désormais de ses priorités, conciliant la régionalisation de gestion avec la sortie des brumes de la centralisation. Et ce, par la garantie et la facilitation du contrôle de l'activité à cercles concentriques du fonds de solidarité entre régions. Lequel, est institutionnalisé depuis l'adoption de la nouvelle constitution. 
      D'ailleurs Mezouar sortant de sa cage d’ivoire commence à penser que la gestion responsable doit se passer des autorisations spéciales parce qu'elles sont les défauts de service et de reproduction de l'administration ankylosante. Ajoutant qu’elles entravent souvent l'esprit des textes d'inspiration dans l'exécution des ordonnateurs de leurs programmes. Et fi pour le PI aurait-il aimé continuer à dire certainement, parce qu'il était et est toujours accueilli à bras grandement ouvert et bien soigné par le PJD. Surtout qu'après la défection de son rival potentiel au RNI pour des raisons de ministérialité, il s'est vu ranimé par cette information glaciale, se considérant en fort bonne posture d'entreprendre le travail de l'opposition. Parce qu'avant c'était dangereux à cause, de sa faiblesse voulue mais calculée et aussi de ses détracteurs au parti changeant sans cesse d’orientation. Cette fois, il n'est plus inquiet, croyant en plus que personne ne pourrait l'achever avant de le pousser à la faute. De surcroît, même,  à propos de son trop perçu volontaire mais illégal avec ses prodigues protégés, et aussi du risque encouru par suite de son balancement dans les affres des procédures judiciaires.
     Mais, il semblerait qu’il y a anguille sous roche pour lui réserver un sort parmi les oubliés de la politique. Parce qu'il a défié le gouvernement de faire crever l’abcès des primes distribuées sans témoin dans tous les ministères et non seulement de l’économie et des finances. Le cas échéant, dans son errance, au lieu de faire lire les extraits de son rituel passe-temps à la recherche d’une bonne nouvelle, à dire vrai il se glisserait de son état concentrationnaire vers un nouveau large malgré sa reconduction plébiscitée à la tête du RNI. Son audace et aussi la capacité de retourner les balivernes de ses détracteurs contre eux pour sortir des ténèbres de l’oubli, ne tiendraient plus. Même si, on ne sait jamais ce qui pourrait advenir de la coalition gouvernementale qui se craquelle déjà annonçant le départ des istiqlaliens. Apparemment aux indiscrétions, il n’est plus convaincu pouvoir valoir un nombre plus respectable de maroquins qu'Abbas, maintenant que l'occasion se présente au RNI de réintégrer la gouvernance dont il s'y est accoutumé.
      N’est-ce pas, qu'on en est en pleine docu-fiction politique, entre attirance des PJDistes et interpellation des consciences des RNIstes pour un éventuel autre gentelemen-agreement de gouvernance pour combler le départ des istiqlaliens?

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