dimanche 25 février 2018

ON PEUT DIRE DE MESSAHEL, ''HE IS A LIAR''.

N'EST-CE, DE SES FAITS DIPLOMATIQUES MENSONGERS APRÈS LA PROCÉDURE DE BERLIN, QU'A ÉCLATÉ LE COUP DE GUEULE D'ANTONIO GUTTERRES SUR HORST KOHLER?

       Quand le chef de la diplomatie algérienne devient le virtuose du mensonge à propos du Maroc, l'ONU doit gérer le risque de ses échanges à elle avec lui, qu'ils soient liés à une temporalité évènementielle ou pas ? Parce que sa gestion à lui du temps imparti et des priorités proprement dites, englobe plusieurs volets qui convergent tous, que l'on soit d'accord ou pas, vers l'appréhension mensongère. Dont, certainement Nasser Bourita ministre des Affaires Étrangères et la coopération marocain en a compris le progiciel de perte de temps en des rencontres futiles et inutiles. Ainsi, dans les conditions actuelles, la seule réponse valable pour le stigmatiser voire l'isoler encore plus, c'est stimuler les idées que porte l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée. Étant donné que pour Antonio Gutterres, les contrefaits diplomatiques mensongers accomplis par la diplomatie algérienne ont dépassé les bornes de l'intervalle de confiance. Ils constituent l'éclatante violation de tous les engagements écrits et oraux que lui en tant que Secrétaire Général de l'ONU a contracté à la face du monde depuis son investiture au 1-er Janvier 2017. Notamment sa déclaration de s’acquitter d'une démarche analogue à celle du Conseil de Sécurité dans le dossier du Sahara marocain. Toujours est-il que ce qu'il a dit au 29-ème Sommet de l'UA à Addis-Abeba d'où il a affirmer son admiration pour le Maroc qui a tant fait dans beaucoup de domaines, ne cadre pas avec la procédure de Berlin. Et que sa répétition de tout faire pour lutter contre le terrorisme partout ou il s'exprime, ne va pas de paire avec ses tergiversations à faciliter à tordre le coup à une horde que supporte l'Algérie. 

       Cependant, que le gotha diplomatique onusien en soit témoin des préoccupations de l'UA de l'UE et des grandes capitales quand Horst Kohler dit de Messahel avec crispation ''He is a liar''. Et, chacun sait le mépris que contient ce mot chez lui, c'est qu'il le hache pour ne plus lui apporter ni appui ni secours même en OFF. Parce qu'après l'avoir reçu à Berlin, ce menteur a fait glisser à sa machine propagandiste que cet envoyé spécial lui aurait soufflé que, ''Face à un Maroc qui tend vers la domination géopolitique et économique de l'UA, il faut ne plus faire les 'papys' résistants''. Ne s'agit-il là d'une préparation politique machiavélique saugrenue, d'un mensonge adapté aux circonstances comme à son habitude ? Une violation flagrante de l'esprit de la charte de l'ONU, surtout dans timing de la procédure de Berlin tant décriée par les analystes chevronnés et le Maroc. Même si, tous les collaborateurs onusiens à Berlin se refusent de confirmer ou de reconnaitre la véracité des propos que les médias algériens portes-flingues distillent en subliminal. Évidemment ceci mérite une condamnation morale de la part de toutes les chancelleries du monde en se joignant aux appréhensions déjà exprimées au sein du G5 Sahel et chez Paul Kagamé président de l'UA. Quant au Maghreb, il y a lieu de mettre fin à ces contrefaits mensongers de Messahel qui se trouvait dans l'entourage de Feu Boumedienne et dont il comprit l'imminence de la volte-face de l'Algérie vis-à-vis du Maroc. Parce qu'on lui a fait entendre à lui et à d'autres de sa trempe, que le ''Rais'' veut son village de villégiature sur l'Atlantique eh ! bien il ne l'aura jamais. C'est d'ailleurs de cette époque que son antipathie pour le voisin du coté de Tlemcen sa ville natale, a pris une proportion qui n'a d'égale que celle l'autre natif d'Oujda président actuel qui se refuse toujours à reconnaitre la validité du jugement de la Cour de Justice de LaHaye EN 1975.

       Comme ça, l'on peut dire, à la situation sinistre actuelle de l'Algérie, nul ne contestera la pertinence de ces observations. Dont Messahel, il faut le rappeler à qui veut l'entendre, n'en tire que des motifs d'irritation des voisins par sa propagande mensongère notamment envers le Maroc. Même en sachant que le Sahara marocain bornerait ses désirs à aider Gaid Salah à provoquer une passe d'arme totale dans la région Sahel subsaharienne africaine, pour raison que tout le monde connait. De ce point de vue, l'on peut maintenant s'autoriser à confirmer qu'à Ksar Lamradia d'Alger le jeu de Go sur l'UMA qui n'existe d'ailleurs plus, ne lui permet pas d'avoir tout l'appui dans ses délires. Peut-être même qu'il y a refus de lui céder tous les locaux du ministère des Affaires Étrangères, en le contraignant à mettre sous les yeux du contrôleur de service Said Boutaflika toutes les notes de protestation contre le Maroc. Alors, dans ces conditions, que doit-on en comprendre ? Y a-t-il un intérêt stratégique à l’empêcher désormais de s’approprier à lui seul le capital mensonger du pouvoir Boutaflika. En tout cas l'indice venant de Moscou, comme quoi la Russie de Poutine ne fera jamais rien contre le Maroc aussi longtemps qu'il ne se placerait dans aucun camp anti russe. N'est-ce là, où se perçoit la garantie géopolitique russe qui s'accompagne d'une réserve sans appel sur l'usurpation diplomatico-politicienne mensongère de Messahel. Aussi, même si d'usage les accords des coopérations militaires ne soient publiés sans l'agrément des contractants, aujourd'hui face aux mensonges itératifs du pouvoir algérien, leur configuration est à la fois simple et complexe. N'est-ce en cela que Washington Paris Madrid Moscou Pékin Bruxelles Rome New-Delhi Berlin et Brazilia ont convenu de fournir au Maroc une autre garantie. Celle de délocalisation partielle de leurs industries de défense portant sur les montages de véhicules militaires de tout type et des matériels de sécurité antiterroriste via systèmes aéronautiques voire spatiaux. Avec à la clé, le renforcement de son Rôle géostratégique dans la formation et l'instruction des cadres africains et aussi l'entrainement des forces spéciales. Vive le Maroc, que Messahel and co mordent la poussière ! A bon suiveur, bon décryptage !

vendredi 23 février 2018

C'EST QUOI CETTE DERNIÈRE TROUVAILLE DU POUVOIR ALGÉRIEN CONTRE LE G5 SAHEL ET L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE DU MAROC ?

LE G5 COMME LE MAROC NE LAISSERA PAS LE POLISARIO CHERCHER A SE PROCURER DES ARMES BIOLOGIQUES CHIMIQUES ET MÊME RADIOLOGIQUES ?

       Aujourd’hui-même, à Bruxelles, on cherche une contribution conséquente de la communauté internationale pour aider à assurer la sécurité dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Autrement dit, dans cette région, telle que la situation se présente en ce moment, la question de l'attitude de l'Algérie se pose à l'attention des dirigeants du G5 Sahel et du Maroc pas seulement vis-à-vis de son Sahara. Sachant, qu'elle interpelle aussi le Conseil de Sécurité de l'ONU et à un peu beaucoup moindre degré, il est vrai, Horst Kohler sur la prise en compte de sa dangerosité. De fait, au G5 Sahel on se tient, somme toute, pour mécontent de l'évolution des relations Polisario avec les groupuscules jihadistes depuis 4 ans. Cela montre que l'hostilité manifestée par l'Algérie à la coopération France-G5 Sahel, a singulièrement refroidi les rapports qui existaient avec elle et donc détruit le bon voisinage. D'autant plus, les choses se sont envenimées, depuis qu'on soupçonne par-ci par-là le Polisario chercher à se procurer des armes biologiques chimiques et même radiologiques. Dont les rapports des experts internationaux de l'antiterrorisme l'affirment, qu'évidemment le BCIJ (Bureau Central d'Investigation Judiciaire) au Maroc en a maintenant la confirmation sur de telles tractations pour l'acquisition de ces armes. En tout cas, n'est-ce là la dernière trouvaille pernicieuse d'Alger, de rendre son avorton une menace potentielle pour toute la bande Sahel subsaharienne et même au-delà ? 

       Vraiment, ce processus de la terreur dans la région ne doit-il être rapidement pris au sérieux par le Conseil de Sécurité de l'ONU ? D'abord, par les échanges de vues et d'informations sur le terrain avec la France, pièce maitresse dans ce puzzle de coopération de défense comptant sur la lutte antiterroriste. Puis, par la fourniture de logistique de différents matériels et système de surveillance permettant de compléter les capacités du G5 Sahel en matière de contrôle en particulier les frontières et les ports. Comprendront ceux qui voudront, que les sorties médiatiques émanant d'Ouyahiya-Messahel-Cherqui et Gaid Salah augurent de non reprise du cours normal des relations de l'Algérie avec G5 Sahel ! Dès lors qu'ils soutiennent l'idée que l'accord France-G5 Sahel précité ne possède pas de base suffisante pouvant garantir la stabilité et la paix. En plus clair, l'Algérie pense que c'est destiné à la circonscrire, d'où sa formule alambiquée qu'il y a ''atteinte à la balance Maroc-Algérie''. Seulement, le Maroc ne l'entend pas de cette oreille, car reste convaincu qu'il n'y a rien dans ce sens. Alors, si vraiment le Maroc veut neutraliser l'Algérie, c'est là l'occasion estiment les analystes en  SSI (Stratégie de Sécurité Intérieure), même avec un Messahel dans le déni. Ce dernier, n'a-t-il par ailleurs déclaré ''ne pas avoir d'informations'' montrant que le Polisario cherche à se procurer des armes de destruction massive, alors qu'il aurait du dire qu'il se tient prêt au nom de son pays à coopérer avec l'ONU sur ce cas précis ? A l'évidence, suite à cela, il serait très utile d'insister sur la nécessité d'une implication du Conseil de Sécurité d'où, l'on verrait un feu vert politique de l' éradication de cette menace terroriste par des opérations transfrontalières.

       Il est vrai que ces propositions tranchent avec l'optimisme affiché le 19 Février à Moscou par Messahel. Au point que des agents de renseignement algériens ont senti la chaleur marocaine monter en Russie, l'ont convié en tant que chef de la diplomatie algérienne à se précipiter de façon officielle au Kremlin. Et d'où il avait fait état de menteur, à l'issue de son entretien avec Lavrov de soi-disant ''Convergences'' entre les deux pays sur des discussions directes Maroc-Polisario. N'est-ce ce que les medias russes ont appelé ''usage de centrifugation diplomatique algérienne'' pour disséminer les Fakes-news afin de contrecarrer l'intensité de la chaleur marocaine montante au Kremlin ? A cet égard, il faut le marteler, Washington et Moscou sont sur la même longueur d'onde, ayant pris note sur cette aventure polisarienne pour demander sinon pousser l'équipe Boutaflika à l’arrêter. Faute de quoi, elle s'exposera à un retour de flemme de la part du Conseil de Sécurité. Et donc, conséquemment, il y aurait risque d'entendre que la Kabylie se déclarer indépendante en quelques moins et non des années ou des décennies, sans que ce soit fait sous supervision internationale. N'est-ce là l'envoi d'un message clair d'ingérence contre ingérence, aux gens du pouvoir algérien ? Même s'ils savent quand ça les arrange qu'une indépendance déclarée unilatéralement est un acte séparatiste illégale qui viole la loi internationale. Néanmoins, à cet effet, quand est-ce que le Secrétaire d’État américain Rex Tillerson et le Ministre des Affaires Étrangères russe Sergueï Lavrov entameront chacun une tournée dans les capitales de cette région ou pullulent les diverses tendances terroristes ? D'ailleurs, ça ne fera que calmer le pouvoir algérien sur ce projet tendancieux dangereux même pour lui, sachant qu'Aqmi et Daech dans le Sahel et le Sud algérien ont repris de la vigueur représentant une menace sérieuse aussi pour l'Europe. A toute fin utile, et ce n'est pas une naïveté que de dire, ne faut-il déposer une motion au Conseil de Sécurité sur de telles données objectives, dans un esprit de coopération et de fermeté pour contraindre les programmeurs de propagation de la terreur à abandonner. A bon entendeur, salut !  

mardi 20 février 2018

SAHARA MAROCAIN : LES VRAIS PROBLÈMES D'HORST KOHLER COMMENCENT !

SA NOMINATION N'A-T-ELLE FAIT TIQUER PAS MAL D'OBSERVATEURS SE DISANT, QU'A DONC FAIT ANTONIO GUTTERRES ?

       Souvent en diplomatie onusienne l'image de l'entente importe peu. Surtout quand les rencontres se déroulent dans un climat non empreint de neutralité de celui chargé de les mener, même séparément. A cet effet, le fait qu'Horst Kohler de manière très officielle ait soumis sa procédure de Berlin à sa supervision en tant qu'envoyé spécial d'Antonio Gutterres, cela ne constitue en rien un grand acquis pour lui. Comme ça, en rencontrant dans des face-à-face d'abord les polisariens, puis la délégation mauritanienne et ensuite le ministre des Affaires Étrangères algérien, il ne s'attendait pas à une contre-attaque en bonne et due forme dans des éditos et chroniques de la part d'observateurs avertis et des journalistes indépendants qui, après tout ne font que leur métier. Et dont ils voient que pour se conformer à sa parole donnée au comité où trône Laamamra au Secrétariat de l'ONU, il a encouru l'ire des marocains qui, eux, sont en droit de supposer que les parties consultées sont hostiles à leur offre d'autonomie 2007. Ce qui augure d'une crise de confiance entre lui et le Maroc, à propos du bafouement  du principe de l'impartialité de l'ONU causé par sa méconnaissance du dossier et donc de l'état des lieux actuel au Sahara marocain.  C'est pour cela, le peuple marocain voit en le résultat de l'approche de Berlin un échec cuisant pour Horst Kohler, que par ailleurs n'honore en rien le Secrétaire Général Antonio Gutterress.

       D'ailleurs, à New York comme à Addis-Abeba on n'est pas enclin au même optimisme que cet envoyé spécial sur cette procédure de Berlin et qu'il est d'importance capitale d'obtenir, avant quoi que ce soit, l'assentiment des marocains qui sont dans et sur leur terre. N'est-ce pas le coup fourré de Messahel de mentir et d’affabuler, en se fondant sur soi-disant que le ministre des Affaires Étrangères russe Serguey Lavrov après sa rencontre avec lui le 19 Février 2018 est pour des discussions directes Maroc-Polisario ? Une usurpation diplomatico-politicienne gravissime d'où à Moscou on le voit tomber si bas, sachant que le Maroc réagirait en affirmant comme toujours sa volonté de ne jamais s'attabler avec une entité fantoche. Ce qui remet sur la table le vieux contentieux Alger-Rabat à propos du tracé des frontières d'avant l'indépendance de l'Algérie, et que la France avait par filouterie et vengeance laissé en suspend. De fait, la grande question est de savoir si Horst Kohler peut encore maintenir sa procédure de Berlin ? Sinon, quelle est la prochaine étape ? Changer de stratégie ? De tactique ? Rallonger ses rotations dans la région ? Qu'est-ce qui va lui permettre de maintenir ce cap sans compter sur le Conseil de Sécurité de l'ONU et les Résolutions adoptées jusqu'alors ? Mais encore, sait-il que la menace qu'agite le Polisario à Gargarate peut justifier une riposte éclair du Maroc ? N'est-ce là un bon argument pour le Secrétaire Général de l'ONU, afin de ne tergiverser davantage sur le retrait de cette horde sauvage ? C'est en ce sens qu'il est tout à fait légitime de se demander si Horst Kohler n'est tout bonnement pas entrain de se voiler la face devant la problématique de sa procédure de Berlin.

       Quant à la proposition du comité de réflexion autour d'Atonio Gutterres d'augmenter l'effectif de la Minurso dans sa composante civile et militaire, c'est même impossible parce que Donald Trump a déjà ordonné la réduction du budget de contribution des USA allouée à cette mission. En y ajoutant, qu'il est inadmissible que le Polisario continue à planer le spectre d'un affrontement, sachant que le Maroc saura y faire face bravement, pour ne pas dire lancer une guerre préventive. Alors, que peut-on en déduire du comportement subséquent d'Horst Kohler ? Ne faudrait-il, toutefois, prévoir le cas échéant l'aggravation de la situation d'où il deviendra nécessaire de régler militairement les comptes au Polisario ? Évidemment, avant le timing de Berlin, Le Drian en France ne s'est pas empêché de lui demander de faire son méaculpa en évitant à l'avenir la ''procédure-tourisme''. Parce que, s'il n'était pas allemand on l'aurait soupçonné de connivence avec le Polisario au service du terrorisme que le monde entier le sait preuve à l'appui. En effet on pourrait en dire beaucoup sur le vrai fil conducteur des groupuscules chez Aqmi Daech Boco Haram et Chababs avec le Polisario. Une mécanique machiavélique leur assurant logistique, et qui n'est autre que l'Armée algérienne en véritable plateforme d'apport de la terreur dans la bande Sahel subsaharienne africaine jusqu'aux confins du Golf de Guinée et même au-delà. Aussi, le vrai problème pour Horst Kohler c'est qu'avec tout ça, il n'a pas réussi à faire mouche contre la vigilance du Maroc. Tellement, on le voit déjà réclamer le soutien franc de son patron, pas seulement pour tancer le Maroc qui n'a fait qu'user de son droit de formuler ses reproches à l'approche de Berlin. Mais parce qu'au Conseil de Sécurité de l'ONU et à l'UA, on ne croit plus aux utopies subventionnées par l'Algérie. A bon entendeur, salut ! 

samedi 17 février 2018

C'EST QUOI CE JEU DE GO A KSAR LAMRADIA D'ALGER CONCERNANT L'UMA ?

NE PEUT-ON EN DEVINER QUE BOUTAFLIKA ESSAYE DE CONCOCTER UNE NOUVELLE FILOUTERIE POUR RÉADAPTATION DE SON JOUET ''POLISARIO'' A L'UMA ?

       Les gens au pouvoir civil et militaire en Algérie ne s'assagissent toujours pas. Ils ne se font même aucun souci pour les idéaux qu'ils ont mis en détritus au Grand Maghreb. Pire encore, le président Boutaflika lui-même, avec son profil d'intellectuel bas, continue d'infantiliser le peuple algérien en se montrant comme un super-maghrébin tablant sur l'avenir sans trop s'impliquer dans le présent. Ayant, sans rougir, demandé à promouvoir un cadre nouveau de régulation réadaptée de la charte de l'UMA qui fête ses 29 ans. Et ce, pour affaire le concernant lui, dont on peut en deviner la raison technico-politicienne au-delà des implications concordantes de ses ingénieries anti Maroc. Un paradoxe criard du jeu de Go des pseudo-stratèges politiciens du pouvoir à Ksar Lamradia d'Alger vis-à-vis de Rabat Tunis Tripoli et Nouakchott, et aussi un excès de confiance à la Primature à la Défense et aux Affaires Étrangères. Dont les décideurs se sont tous subitement posés en ON, en spéculateurs sur l'avenir de l'UMA sans foi ni loi pour faire leur promotion contre le ''dégagisme'' grondant en Algérie. Quel dommage ! Tous ces gens de ces cercles stériles car fermés, ne font qu'exprimer leur haine ne supportant de voir le niveau exceptionnel de la diplomatie du Roi du Maroc Mohamed VI faire tache d'huile à l'UA. Et, d'où se dégage la rationalité alliant le réalisme du Maroc en géopolitique la plus actuelle à l'exécution irréprochable de ses engagements qui, de surcroit, comblent les attentes de tous les pays qui en recherchent les performances dans la coopération avec lui.

       A cet égard, pourquoi dans ces cercles ne s’empêche-t-on de polluer davantage l'atmosphère au sein du pouvoir à Ksar Lamradia, en distillant bizarrement ici et là que la présidence n'est pas à vendre avec ou sans Boutaflika ? C'est-à-dire même pas au plus offrant en matière de garanties de continuité de clôturer le pays par des scénarios qui mèneront toujours l'UMA à l'impasse. En ce sens, est-ce que la présidence Boutaflika est-elle en phase terminale ? Rien n'est moins sur, étant donné le bruit qui court en parallèle depuis des semaines sur l'imminence annonce d'un 5-ème mandat pour ce président malade. D'ailleurs, le scénario apparemment est sur le point d’être bouclé et les six postulants potentiels en l'occurrence Boutaflika Said-Taoufiq-Ouyahiya-Benflis-Khalil-Hanoun à la présidence, auraient d'ores et déjà peaufiné la façon de jeter l'éponge. Autant le dire sans gène, la présidence en Algérie ne fut-elle développée à la force du putsch par Boumedienne, puis par les manipulations et purges des services de renseignements civils et militaires jusqu'au président actuel ? A vrai dire, ce constat découle de la situation alarmante en Algérie, dont les conséquences se ressentent déjà au niveau de la diplomatie, de l'économie et sur les fondamentaux géostratégiques du Grand Maghreb fragilisé. Alors, qu'on le sache une fois pour toutes, le jeu pitoyable de Boutaflika qui par l’omniprésence du Polisario dans ses stratagèmes et délires ne peut prendre forme ni dans l'UMA qui n'existe plus ni dans l'UA qui ne s’appuie que sur les réformes structurelles en profondeur qu'elle mène et encore moins au Conseil de Sécurité de l'ONU prenant compte des impératifs de l'offre marocaine d'autonomie 2007.

       A l'évidence n'est-ce tout cela, qui a fait monter le jeu de Go à Ksar Lamradia d'Alger à propos des solutions envisagées jusqu'alors par Boutaflika ses Généraux et leurs portes-flingues médiatiques ? Et qui sont sur le plan géopolitique, qu'on ne le veuille ou pas,  désavantageuses à la stabilité et à l'unité de l'Algérie quel que soit le scénario retenu pour la présidence future. Sans omettre que sur le plan géostratégique, ce jeu algérien au vu du parrainage du Polisario en tant qu'incubateur notoire du terrorisme, se fait au détriment de la paix dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Voilà pourquoi, après avoir passé au peigne fin tous les facteurs qui contribuent à la baisse du marché politicien de l'Algérie à l'international, l'on peut dire, le bilan diplomatique marocain présenté selon la nouvelle offensive tous azimuts de sa mise en application après le retour à l'UA, énerve les caciques du pouvoir algérien. Et qu'en plus fait ressortir la solvabilité politique du Maroc au grand jour selon les règles établies par l'éthique du Roi Mohamed VI, dont le monde en a apprécié la démarche au moment de la crise provoquée par Donald Trump sur Al Qods. Finalement, si Boutaflika part ce sera pour échapper à la règle du ''dégagisme'' qui s'accélère en Afrique. Par contre s'il reste, et c'est le scénario le plus probable, il continuera ses louvoiements en conformité avec ses orientations afin d'en concocter une nouvelle filouterie de réadaptation du Polisario à l'UMA. Mais, pour que cet effet de manche de dernière minute puisse réussir, ne faut-il que la vigilance du Maroc soit déstructurée ? En tous les cas, Boutaflika en est convaincu sans le montrer que cela équivaudrait à une importante saignée en devises dont le pays se serait bien gardé en ces temps de vaches maigres. N'est-ce, ce que l'on peut appeler, l'absence d'une stratégie responsable de l’État algérien que le jeu de Go concernant l'UMA ne résoudra jamais ? A bon lecteur, bon décryptage !

jeudi 15 février 2018

INGÉRENCE POUR SAUVER L’ALGÉRIE, CONTRE L'INGÉRENCE DE TOUT TEMPS POUR DÉSTABILISER LE MAROC.

APRÈS TOUT POURQUOI PAS, ÇA NE SERAIT QU'UN RÉQUISITOIRE ACCABLANT DE PLUS, SUR LE PASSIF DIPLOMATIQUE DE L’ALGÉRIE.

       Le Maroc, qu'on ne le veuille ou pas, fait face par ses propres moyens aux grands enjeux recouvrant l’Économie l’Éducation la Justice l'Administration la Diplomatie et la Politique. Il s'agit de mise à niveau aux exigences de la maitrise caractérisée par cette époque de la tendance à la fois à l'ouverture et au recroquevillement selon les opportunités qui s'offrent. Et ce, tout en valorisant ses fondements cultuels culturels et civilisationnels qui ont forgé son identité à travers le temps. Contrairement à l'Algérie, ce pays neuf, qu'au demeurant actuellement est à la confluence de plusieurs logiques, dont certaines présentent des formes lacunaires et expressions antagonistes. De fait, et c'est là l'ingérence, il est important pour elle de résoudre ses contradictions trop apparentes. Par des transformations radicales qui exigent la volonté de changement de ses comportements à l'international, pour préserver son unité dans la paix la sérénité la responsabilité et la sécurité. Parce que, c'est maintenant confirmé qu'en plus du terrorisme la contrebande et l'émigration qui lui sont tombés dessus, il y a aussi le malheur de la faillite totale qui fonce à toute allure sur elle. D'ailleurs, tous les experts sérieux en économie sociale sont catégoriques qu'il ne lui reste que peu de temps pour trouver une solution, sinon c'est la déliquescence qui pointe à l'horizon proche et qui fait peur à toute la région MENA-Sahel subsaharienne africaine.

       Bien sur, comme on s'y attendait, Ouyahia ce génie du bavardage de trop en se grattant la tête a fini par s'inscrire dans le grand bêtisier. C'est-à-dire repenser l'Etat en relevant autant de défis afin d'accentuer l’enrichissement des militaires et autres parias du pouvoir sans parler de pauvreté qui fait partie des tabous et listing des non-dits en Algérie. Pour cela, sa trouvaille géniale, c'est de faire un trou encore plus béant dans la trésorerie de l’État, en y plaçant la bombe de sa désinvolture gestionnaire d'augmenter la dette extérieure de façon vertigineuse. Dont les militaires n'en ont que foutre du calendrier de rééchelonnement des règlements, étant donné que le seul règlement qu'ils apprécient, c'est le règlement de compte avec les voisins surtout le Maroc. Dans ce cas, que faut-il faire au moment où le Maroc découvre ses nouveaux riches ? N'est-ce, se focaliser d'éviter qu'ils deviennent des crésus en usant de moyens malhonnêtes, à l'exemple du délit d'initié en contresens du renforcement de la démocratie et de l’État de droit dans tous les domaines ? Puis, après pousser à ne pas se fâcher avec les pauvres, comme ce que fait le gouvernement Ouyahiya en Algérie. Au fond, est-ce que, étaler le passif politico-diplomatique de l'Algérie du coté du voisin de l'Ouest ne sert à lui offrir une vraie chance de valorisation des potentialités communes ? Et donc, de réaliser à bon escient leur validation active indispensable à la certification à l'international du concept du bon voisinage dans cette région. D'autant plus, en ce temps du débat à propos du 5-ème mandat de Boutaflika, les gens du pouvoir à Ksar Lamradia à Alger sont le sujet d'actualité après les départs forcés de Mogabee et Jacob Zuma. Tellement, c'est évident que c'est au peuple et à lui seul que revient le choix du président et non au FLN et l'Armée. Et oui c'est toujours l'ingérence pour sauver l'Algérie et aussi pour arrêter l'autre ingérence visant à déstabiliser le Maroc.

       Quel diagnostic du passif de l'Algérie ! C'est ce que les intellectuels pensent de leur pays.  Mais, qu'a-t-il vraiment fait ce pouvoir depuis l'indépendance ? Si ce n'est le constat de son machiavélisme synthétique et alarmant par l'usage de la transmission de ses méchancetés à l'égard de toute la communauté internationale. En effet, c'est ce qui l'a fait passé de sa soi-disant certitude absolue de leader du tiers-monde, au doute actuel qui traverse ses obsessions au delà de son simulacre sécuritaire, dont le Maroc en sait beaucoup. En réalité, ce pouvoir n'a plus de capacité d'interagir à quoi que ce soit, même ayant encore la prétention de refaire le monde. N'est-ce là où réside sa haine sa rancune et sa rancœur qui proviennent de son complexe de supériorité dont il pense que ça légitime son comportement ? Mais, il y a aussi l'influence des lobbys qui maintiennent l'idée qu'il doit rester le centre de gravité, tout au moins, au sein de l'UA. Et puis, il y a les militaires qui sont parvenus dans leur surmoi à instaurer ce qu'ils appellent ''sans eux il n'y aura pas d'Algérie''. N'est-ce là le vrai piégeage du peuple algérien ? Au nom du particularisme de gouvernance, dont Gaid Salah pense que, malgré la crise il y aura un aboutissement mirobolant sous l'impact de ses choix, par ailleurs dangereusement illusoires et non conciliateurs au sein du Grand Maghreb et dans l'UA. Alors, pour que l'Algérie s'en sorte et se soustrait des mains des militaires, il ne suffit pas seulement débattre leur positionnement, il faut en dénoncer l'objectif anti Maroc. N'est-ce là où l'intelligence du peuple algérien doit, normalement, pousser vers le projet de remodelage de l’État loin des absurdités politiciennes qui le rongent ? Et même s'il n'en soit pas ainsi, l'attitude logique c'est de croire à juste raison aux rapports des Centres d’Études Stratégiques qui font actuellement des vagues à propos de l'Algérie. A bon lecteur, bon décryptage !
 



lundi 12 février 2018

POUR QUE S’ARRÊTENT LES MANIPULATIONS ALGÉRIENNES AU SECRÉTARIAT DE L'ONU.

POUR CELA NE FAUT-IL FAIRE TOMBER LES MASQUES AU SEIN DU COMITÉ DE RÉFLEXION AUTOUR D'ANTONIO GUTTERRES ?

       Aujourd'hui, la contrebande le terrorisme et les flux migratoires orchestrés via le Net ont eu raison du Sud de l'Algérie. Malheureusement, pour y faire face, la réponse du pouvoir algérien est toujours la même :''Que la Maroc sorte de sa constance de refus de s’attabler avec le Polisario''. Un non sens historique diplomatique et politique que ce pouvoir s'octroie sans rougir, même étant convaincu de ne jamais pouvoir accéder à la copropriété ou location avec le Polisario du Sahara marocain. Ce que des diplomates onusiens au comité de réflexion autour d'Antonio Gutterres appellent ''l'imbroglio-impasse'' en exploitant la naïveté de l'envoyé spécial Horst Kohler. Allant jusqu'à le convaincre pour ne pas dire le manipuler de mettre le paquet pour relancer des négociations directes Maroc-Polisario sans l'Algérie. Et c'est là où le bât blesse, s'agissant de la sous-estimation des capacités du Maroc à réagir à cette manœuvre pitoyable que l'on peut intituler ''procédure de Berlin''. D'ailleurs c'est une caractéristique non avouée de ce comité au détriment de l'impartialité de la neutralité pour le seul profit de l'Etat algérien, même sachant que le Maroc n'épargne aucun effort pour une solution politique viable dans le cadre de son offre d'autonomie 2007. Il s'agit d'un cycle infernal d'agressions vis-à-vis du de tout un peuple par rapport à son droit inaliénable à protéger ses territoires de Tanger à Lagouira. Et/où l'on ne voit que la partie visible des manœuvres toxiques et polluantes de certains membres de ce comité où trône Ramtane Laamamra et dont il faut faire tomber les masques. 

       A cet effet, combien de temps la communauté internationale doit-elle garder le silence sur ces manipulations en interne parce que c'est la coutume des rapports préfabriqués qui le veut ? Alors, ne faut-il les faire cesser par une guerre médiatique et informationnelle ciblée à l'étranger, non seulement pour briser le mur du silence mais en même temps pousser l'ONU à normer ce mal qui la ronge de l'intérieur. Pire encore, Antonio Gutterres le sait, mais ferme les yeux ne semblant pas presser de s'exprimer à ce sujet, et dont les observateurs ne sont pas intarissables sur les conséquences de son mutisme. Mon Dieu, pourquoi ne transpose-t-il ses louanges annoncés au Sommet de l'UA fin Janvier 2018 à Addis-Abeba en faveur du Maroc ce pays qu'il a qualifié de sérieux serein et responsable à beaucoup d'égards. D'autant plus, aujourd'hui, après 43 ans de labeur diplomatique avec, certes, des hauts et des bas, le Maroc ne plie toujours pas l'échine à ces procédures onusiennes partiales inégales et non neutres. Car, souvent il y a derrière, un calendrier de manipulation même de la Minurso et de l'envoyé spécial sous prétexte de mise en oeuvre de plan de paix pour le mettre à genoux devant l'Algérie. Une énormité qui s'attache à la courroie de transmission laissée par Christopher Ross qui, lui, savait pertinemment que pour réussir cela, il aurait fallu que le Maroc ne se trouve sur ses territoires et donc ne pas les gérer comme bon lui semble. Ce qui n'est pas le cas des séparatistes résiduels dans les camps de la honte, dont tout un chacun en est convaincu qu'il s'agit de concentration de brigands trafiquants et terroristes, aidés d'apparatchiks du Polisario, eux-mêmes soutenus par l'APS. N'est-ce là où se dévoile la prétention réelle de Laamamra-Ouyahiya-Messahel-Cherqui-Gaid Salah de formulation technico-politicienne à travers le monde pour sabotage de l'offre marocaine d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée ?

       C'est clair maintenant, le Maroc ne tolérera plus les approches où les perspectives ne s'ouvrent pas à son offre d'autonomie 2007. Parce que la coupe est pleine, tellement il doit tout en finesse y mettre de la fougue et de la sincérité dans toutes ses anticipations aux manœuvres algériennes. Non pas en les zappant mais en lançant une stratégie d'envergure pour mieux les contrecarrer, notamment au moment où l'UA constitue un atout de taille pour lui et que la lune de miel perdure avec l'UE. Mais comment faire, si ce n'est restructurer son approche de vigilance dynamique de suivi existante ? Par la mise dans le collimateur les PF (Points Fixes) de la propagande anti Maroc dans les universités et les milieux gauchistes à l'Etranger, ce qui permettra de doper son intransigeance adéquate dans des délais records. Sauf que, attention aux dérapages ! Et c'est là où la qualité des intervenants est exigée, ce qui suppose un savoir-faire et une formation qualifiée constamment mise à niveau. S'ajoutant à l'insistance auprès de l'ONU sur la nécessité de l'importance du travail de contrôle et de concrétisation dans la transparence des promesses d'Antonio Gutterres. Une méthodologie qui a l'air de rejoindre la ferme volonté du Conseil de Sécurité de l'ONU de se convertir pleinement à l'offre d'autonomie 2007 et donc de s'acheminer dans le sens de construction de la paix dans cette région. De fait, ça confirmera son intention de contribuer au renforcement de la capacité du Royaume, primo à faire de son Sahara la rampe de lancement d’investissements en partenariats diversifiés avec l'Afrique. Secundo, de sauvegarder les intérêts géopolitiques et géostratégiques de lutte contre la contrebande internationalisée le terrorisme intercontinental et les flux migratoires anarchiques dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. A bon entendeur, salut !

jeudi 8 février 2018

AUJOURD'HUI DONALD TRUMP PRATIQUE LA DIPLOMATIE SÉLECTIVE.

QU'ON SE LE DISE, N'EST-CE POUR CELA, LA BARRE DE L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE 2007 RESTERA IMMUABLE ?
       
       Désormais, ne peut-on affirmer, aujourd'hui Donald Trump pratique la diplomatie autrement que Barack Obama dans le dossier du Sahara marocain ? Notamment, avec une focalisation sur celle du Roi du Maroc Mohamed VI depuis qu'elle est considérée un véritable phénomène politique en Afrique au CCG et même dans l'UE. Tellement, rien que sur ce volet, au Conseil de Sécurité de l'ONU l'engouement à cette ligne directrice ne s'exprime pas qu'en prédisposition et attitude favorables à la thèse du Maroc sur son Sahara. Il se dessine aussi et surtout à la Maison Blanche en volonté sans ambages d’intégrer l'éthique royale qui s'y greffe, l'échange des lettres de hautes teneurs politiques et retenues diplomatiques sur Al Qods entre le Roi Mohamed VI et le président Trump faisant foi. Même si, il y a encore des réajustements à faire au sein du Foreign Office et Pentagone pour qu'ils soient codifiés et imposés par des mesures limitatives des spéculations politiciennes. Et c'est là, comme on dit en marocain, où le ''Rial est tombé'' concernant l'affaire du Sahara marocain ! Au vu que des haineux au pouvoir en Algérie ne sont toujours pas disposés à intégrer en leur âme et conscience le logiciel de la démarche du Roi du Maroc par l'offre d'autonomie 2007. C'est même une des exceptions inexplicables de leurs perfidies répétitives, n'en sachant que c'est antinomique à la construction du grand rêve de tous les maghrébins et à la bonne marche de l'UA. En plus, le faisant avec des connotations de mépris et désinvolture à l'égard de la Commission de l'UA sous Moussa Faki Mahamat, parce que pour eux, elle est devenue la forteresse qu'ils n'arrivent plus à franchir.

       En effet, c'est pour cela, au sein de ce pouvoir algérien, être haineux rancunier et avoir la rancœur comme corpus comportemental anti Maroc n'est pas le fruit du hasard. Dont, les archives au Département d'Etat Américain montrent qu'il s'agit d'un linkage qui semble avoir ses racines bien avant l'indépendance de l'Algérie. Surtout, après que la Tunisie et le Maroc aient accédé à l’indépendance sans l'attendre, ce qui a exagéré sinon aggravé le surmoi du putschiste Houari Boumedienne pour prendre le pouvoir et d'en faire ce qu'il a fait. Et qu'aujourd'hui, autour du président Boutaflika encore tenté d'un cinquième mandat, l'équipe des carriéristes militaristes affairistes main dans la main avec des politiques maîtres-chanteurs, continue ce transfèrement de l'alchimie haine-rancune-rancœur (H-2R) qui la guide et l'inspire. D'ailleurs, qu'on se le dise, la barre de l'offre marocaine d'autonomie 2007 restera immuable, et donc, de ceux des spéculateurs qui croient maîtriser les dispositifs d'enfermement du dossier du Sahara marocain sont priés s'abstenir. Car, rien qu'à ce niveau, n'est-ce pas la tendance du DEA avec Rex Tillerson et Nikey Haley, est déjà d'assurer un contrôle par les FAR (Forces Armées Royales) sur l'insécurité que ces haineux veulent imposer dans la région. Dès lors qu'effectivement, lui et le Pentagone ne veulent plus les couvrir dans leurs gesticulations comme du temps de Kerry-Reis-Power avec Obama à la Maison Blanche. 

       Néanmoins, n'est-ce là où la mal compréhension de l'envoi de la mission américaine à Laayoun et Tindouf pour évaluer le travail de la Minurso par Donald Trump, peut s’interpréter par les lobbys anti Maroc comme ballon d'essai de renonciation à une solution politique au Conseil de Sécurité de l'ONU ? Sauf que, ces spéculateurs sont tenus en tenaille entre la position de la France qui veille au grain, la Russie de Poutine qui lorgne sur l'attitude d'Antonio Gutterres à son vis-à-vis, le Royaume-uni mécontent de l'attitude du pouvoir algérien au Sahel et en Libye et la Chine qui ne compte pas laisser ses intérêts stratégiques en Afrique se dissiper par la fixation fantasmée de ces lobbys. Ce serait peut-être trop demander, à cette mission de civils et militaires américains, après le passage des congres-mans il y a quelques mois dans la région, qu'elle aligne ses remarques sans parti-pris par une actualisation de ses connaissances historiques sur ce conflit qui a trop duré. D'ailleurs, pour cela, le gouvernement Ouyahia enfermé dans ses bavardages, ne sait par et sur quel bout cette mission va le tancer au vu de sa stratégie brouillonne pour maquiller les conditions de séquestrations des marocains dans les camps de la honte à Tindouf Rabouni et ailleurs. Et, de laquelle, Horst Kohler  se trouve dans l'impasse en essayant de faire de l'ombre à l'offre marocaine d'autonomie, par sa langue de bois travestissant la réalité sur le terrain.  N'est-ce, ce qui a poussé le Maroc à geler les autres mécanismes qui le commandent, par la réaction vigilante et maîtrisée qu'auparavant toutes les Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU avaient soutenues ? A bon entendeur, salut !

samedi 3 février 2018

QUAND LE MAROC SE FÂCHERA L'UA S'EN ACCOMMODERA.

N'EST-CE LE TEMPS DE SÉVIR CONTRE LES GAFFEURS ET AUTRES USURPATEURS AU SEIN DE L'UA ?

       Que l'on soit d'accord ou pas, désormais à l'UA comme au Conseil de Sécurité de l'ONU, tous les chemins mènent à Rabat. D'ailleurs, tout plaide pour plus d'attention à l'offre de l'autonomie du Sahara marocain dans la régionalisation avancée avec le renforcement de la coopération multi sectorielle Maroc-UA. En cela, les compagnons de la chansonnette du pouvoir algérien au sein de l'UA sont maintenant avertis. Le Maroc ne tardera pas à leur livrer bataille axée sur les concepts de l’éthique de solidarité inter africaine dans tous les domaines. En somme, une guerre sans merci par le dessèchement de leur creuset commun de racolage mensonger d'où se distillent leurs gaffes intentionnelles. S'ajoutant à leurs entraves aux accords et échanges que lui pays souverain signe par-ci par-là à l'international, particulièrement dans l'antiterrorisme la migration le commerce et le codéveloppement. Et, dont le Secrétaire Général de l'ONU Antonio Gutterress a estimé l'expérience du Maroc positive à beaucoup d'égard. A cet effet, n'en a-t-il bien fait de rappeler à l'occasion du Sommet de l'UA fin Janvier 2018 à Addis-Abeba à qui veut l'entendre, que le Maroc s'est forgé progressivement la réputation de pays sérieux qui tend vers l’émergence ? Ayant drainé des investissements extérieurs qui s'accélèrent et s'intensifient, en tant qu'atouts qui font de lui le partenaire privilégié de l'UE du CCG du BRICS et d'autres grands pays comme le Pakistan les USA et le Canada.

       D'autant plus que Rabat a fait de cette stratégie géopolitique la rampe de lancement économique pour et envers l'Afrique. Ainsi, pour tous les observateurs avertis non corrompus par l'équipe Boutaflika, c'est la voie de l'ouverture des négociations sur le réaménagement géostratégique des zones de libre-échange entre les exportateurs africains, non seulement entre les sous-régions mais avec le monde entier. N'est-ce là, par ailleurs, l’intérêt de l'information cognitive au retour du Maroc au sein de l'UA, du fait que conséquemment elle ouvre la réflexion sur l'interconnexion des sous-commissions ? Sachant que c'est là où il y a les intrigues favorisant les Fakes-News qu'il va devoir que l'UA appréhende  avec discernement si ce n'est totale réserve. Et ce, dans le but d'éviter les pollutions de toutes ses structures, comme du temps du CPS (Conseil Paix et Sécurité) sous emprise algérienne avec Smail Cherqui qui n' a fait, des années durant que développer l'interactivité politicienne non abstractive. Ceci d'autant plus, que certains pays africains ne disposaient pas de l'information matérialisable nécessaire et suffisante, pour le contrer. Et donc se mettre à l'abri de la manipulation quelle qu'elle soit, dont l'équipe au pouvoir en Algérie en est la championne. De ce fait, il ne reste pour le Maroc qu'à sévir par le durcissement de sa diplomatie contre ces usurpateurs, et les mettre devant leur responsabilité, parce que c'est le seul langage qu'ils connaissent et dont effectivement ils en ont peur.

       Alors, vivement la Résolution du Conseil de Sécurité de l'ONU fin Avril 2018. Dès lors que, sur le dossier du Sahara marocain, comme le martèlent certains algériens libres (diplomates, hommes d'affaires, associatifs, politiques, syndicalistes, et universitaires), la moindre attention à l'égard de l'offre d'autonomie marocaine 2007, devient immanquablement une série d’opprobres et vociférations de la part de l'équipe au pouvoir à Ksar Lamradia à Alger. Sachant que les causes de ce comportement indigne sont connues à l'international, d'abord comme à l'accoutumée vis-à-vis du Maroc, puis envers la forme et le contenu de la Résolution à la fin du mois d'Avril de chaque année. Ce qui montre que ce pouvoir n'attend que ça pour se mettre en branle via ses Fakes-News jusqu'à la panique. Autrement dit, c'est sa hantise d'avoir tout raté, sa rancœur en plus de n’être plus considéré soi-disant le mammouth politique et diplomatique d'autrefois aux yeux des africains et enfin sa rancune qui fait partie des stigmates qu'il porte depuis la guerre des sables 1963. Reste à savoir, que pense-t-il Horst Kohler, lui, qui a affirmé à ses débuts que trop de temps a été perdu, tout en continuant à proposer une approche dépassée ?

       A l'évidence, cette attitude de cet envoyé spécial d'Antonio Gutterress n'est guère rassurante pour qu'il invite le Maroc à Berlin, dans un décor de diplomatie minée par les filouteries algériennes de par ses liaisons dangereuses avec des lobbys anti autonomie. Mais, comment peut-il être à ce point naïf, puisque c'est impossible de faire abstraction sur le désaccord fondamental Maroc-Algérie, surtout s'il pense le ressusciter dans la confidentialité. Ainsi, le Maroc à toutes les raisons de se féliciter non pas de l'invitation de Horst Kohler, mais parce qu'il n'a pas manqué de signaler bien avant et aussi depuis son retour à l'UA, qu'aucun dépaysement du dossier de son Sahara du Conseil de Sécurité à une quelconque Organisation fut-elle l'UA, ne serait acceptable ni même imaginable. Comprendront ceux qui pourront ! D'ailleurs, n'est-ce le moment pour la diplomatie marocaine de durcir le ton envers les gaffeurs de quelque origine qu'ils soient, cherchant à intriguer et faisant montre de mauvaise foi. Alors que la différence entre le Maroc et l'Algérie est dans le reprofilage des structures de l’État avec des engagements respectables  par l'encadrement économique social politique et sécuritaire. Dont, l'un l'a réussi amplement en l'occurrence le Maroc, et que l'autre est passé à coté se trouvant dans l'abime ayant mis le peuple algérien dans la souffrance. Alors n'est-ce pour cela, quand le Maroc sévira contre ces haineux et rancuniers, l'UA s'en accommodera aisément ? A bon entendeur, salut!