jeudi 27 juin 2013

UN(E) MINISTRE QUAND IL (ELLE) N’EST PAS D’ACCORD ÇA FERME SA GUEULE OU ÇA DÉMISSIONNE !

On ne peut pas manger la récolte de la saison jusqu’à s’en goinfrer, et en même temps faire des reproches à la façon de la cueillir !

Quand des ministres en analysant les événements après leur arrivée, les uns dans des forums de voyance sur l’avenir des tour-opérateurs, les autres au sein des cercles fermés à tables non rondes à l’abri de la vraie chancellerie, s’amusent inconsciemment à nous en mettre plein les yeux, ils ne font que botter en touche surtout en ce temps.

Ainsi, si vraiment ils croient pouvoir tromper l’opinion de la sorte, à propos de leur incompétence en prenant cette soi-disant aise circonstancielle de dire les choses, ils n’en récolteraient par ailleurs qu’ire, déconvenance,  contre performance et décontenance de la part des observateurs avertis non affiliés.

N’est-ce pas qu’aux heures les plus paroxystiques dans les relations avec les USA, par une incompréhension de l’attitude onusienne vis-à-vis du Maroc, ils étaient sous les arcades ministériels buvant abondamment de l’eau fraîche et du thé ? Par ailleurs leurs réflexes en ce temps là, ne s’enchaînaient ni correctement ni admirativement comme ce qu’ils sont entrain de nous faire avaler. Ont-ils oublié le sauvetage inextrêmiste de Sa Majesté le Roi par une intervention précise et concise de toute la troupe chancelante de la chancellerie et du gouvernement benkiranisé ne s'offrant que sa parole souffrant d'incohérences ?

N’est-il pas arrivé le temps de faire un toilettage des arcanes de l’Executif ?     

       Maintenant que Chabat ait été reçu par le Souverain à Oujda, certainement les analystes ont commencé à soupeser les éventualités qui permettraient au pays de sortir du marché des surprises journalières de la coalition gouvernementale. En ce sens, désormais, il n’est plus facile pour tous les ministres de fidéliser les leurs à ces genres de sorties médiatiques politiquement contrebalancées non calculées. Parce que malheureusement ne s’attelant à nulle hauteur de vue, ne se donnant  qu’à la rhétorique logorrhéique non convaincante. Ne leur permettant pas d’en conquérir de nouveaux adeptes par le manque d’objectivité dans l’analyse du contenu. Preuve en est, la coalition dont ils font partie est presque à l’arrêt, de sorte que l’ambiance gouvernementale fait pitié, à même de porter ombrage à la singularité de la nouvelle constitution. N’est-ce pas qu’en plus ce positionnement fait partie de leur re-programmation du moment, voulant jusqu’à nouvel ordre piocher en premier dans l’agitation désolante Chabat-Benkirane ?

       Aussi aucun secteur n’est épargné, d’autant plus ne s’imposant aucune règle pouvant leur rappeler les obligations et devoir de réserve avec la préservation de l’exception marocaine. Hélas, ne sachant même pas qu’ils sont dans l’abîme, vu qu’il est question d’un cratère fumant annonçant l’éruption qui risquerait d’aggraver la situation économique sociale éducationnelle et institutionnelle déjà en souffrance de part leur gestion de l’approximatif des affaires de l’Etat. Voilà pourquoi cette recherche de modélisation de soi-disant faire bouger les lignes de leur part sans en être capables les emportera sans doute tous ensemble. De fait, ne s’en accommodent-ils pas d’usurpation temporelle de leur fonctionnalité, dont ils espèrent évacuer leurs frustrations respectives ? Comme si, au sein de ces forums et réunions, c’est une décharge de répliques schizophrènes à ciel ouvert dont il s’agit pour se faire psychologiser séance tenante.

       En effet, il ressort de ces circonstances que les espoirs du Maroc ont failli être décontenancés, par la non prise en compte pour un moment de ses doléances. Mais, il n’en demeure pas moins que l’exploitation tardive de récupération à tire larigot par des ministres de ces données diplomatiques,  n’est pas chose acceptable. Parce que, oui c’est vrai qu’elles donnaient dans le spectre du flou, de par l’ambiguïté des rapports politico voisinage voire affairistes des intervenants. Mais, ça ne veut pas dire qu’il faut s’extasier et s’exciter chacun dans son terrain de prédilection, à l’idée d’éventuelle reprise en main du dossier. Surtout, en se croyant seul au courant et au diapason des changements structurels voire psychologiques de la nouvelle équipe américaine doublement kerryenne. Tout le monde sait que tout cela demande des qualités de fructifications des données, par des ministres droits dont l’émulation est un moyen de rentabilité. De surcroît possédant  un carnet d’adresses bien étoffé, parfois usant d’aide de relais d’institutions convaincues par l’attachement des marocains à leur Sahara, en plus des lobbyings bien adaptés à l’euphorie de leurs actions, qu’au final soient mesurables par les résultats obtenus.


       N’est-ce pas l’évidence en ce moment, de voir l’hémicycle à moitié déserté par l’absence programmée de l’opposition ? Ne voulant pas adhérer aux opérations du chef du gouvernement pour incompatibilité d’instrumentalisation de ce passage télévisuel en direct pour des visées purement électoralistes. A cet égard cette lutte ouverte engagée entre opposition et majorité biaisée, ne régi-t-elle pas des pratiques en dehors de l’esprit de la nouvelle constitution ? Dont le Maroc n’a nullement besoin de voir s’éterniser en l’occurrence, pour, par exemple ne plus entendre un chef de gouvernement répliquer face aux parlementaires une phrase bourde, oh combien déconcertante « que personne ne m’adresse plus la parole, iwa labsala hadi ». Déjà que tout le monde en parle à l’intérieur et à l’extérieur du Maroc, de cette situation bizarroïde rentrant dans l’architecture politique d’un temps révolu. En revanche, à toute fin utile, n’a-t-on pas dit par l’adage populaire marocain que c’est là où le Rial est tombé, et par conséquent tout un chacun doit le chercher, mais sans l’esprit de compétition ? Messieurs du gouvernement, sortez vite de votre propre emmurement avant qu’il ne soit trop tard !  

vendredi 21 juin 2013

EN POLITIQUE IL N’EST JAMAIS VAIN DE CHERCHER À RATTRAPER LE TEMPS PERDU !

Que nos politiques se rassurent ! Ce n’est nullement un appel à redéfinir leurs identités partisanes, mais juste une révision de la façon de construire leurs relations les uns les autres par rapport à l’Etat et vis-à-vis du peuple désormais vigilant. 

Qu’en effet, actuellement selon leurs positionnements et rôles respectifs, ils ne donnent vraiment à l’essentiel de leur formatage qu’un sens émotionnel sans valeur ajoutée en buts et finalités, dès lors que même les députés de l’opposition se chabatisent cherchant l’arbitrage royal.  

Comme ça, on ne peut s’empêcher de penser à la compétence politique inexistante chez certains décideurs pour contribuer à l’amélioration du vécu des gens. Et ce, parce que placés malgré eux sous l'emprise  de communicants soupçonnés emphatiques, et aussi sont pris en chasse essentiellement par des journalistes  déviationnistes nonnistes, ne voulant provoquer que zizanie et instabilité. A cet égard, n’est-ce pas qu’aujourd’hui le courage journalistique c’est de s’interdire tout populisme, et d’éviter le déviationnisme invasif dicté de l’Etranger moyennant largesse financière sentant le gaz et le pétrole ?


N’EST-CE PAS CLAIREMENT PAR CE CRI DE LA RAISON C'EST D’UNE CULTURE POLITIQUE À RECONSTRUIRE DONT-IL S’AGIT? 

       Vraiment, n'est-ce pas que le temps politique est court si l’on scrute finement la qualité de leurs actions? Alors, cette compétence qui consiste à réaliser des prouesses ne s’en trouve-t-elle pas de facto mise en question ? D’autant plus qu’on le veuille où pas, nombreux parmi eux ne se sont engagés en politique que pour avoir plus de joug de notabilité à même sans valeureuse prestation ni bonne moralité. Et c’est là où ça coince, vu ces derniers temps après un an et demi de la gouvernance Benkirane, beaucoup et de toute part, ne font que confirmer le comment et pourquoi il y a un désintéressement sidérant des masses populaires à l’adhésion en politique. Cependant, si on se réfère aux écrits et dires de ces journalistes, ceux-là mêmes, marchant sur leurs têtes servant des agendas connus car ne cessant d’instiller des contrevérités, ne se trompent-ils pas en pensant que c’est une machination fabriquée? D'où il importe d'après eux, d’obtenir le plus grand rendement pour luire l’image de l’institution royale? Telle est cette communication à l’emporte pièces, de la part de ces tendancieux et pernicieux, cherchant à saper le devenir du Maroc homogène dans sa diversité culturelle et cultuelle. Pourquoi restent-ils dans le déni des réalités, ne savent-ils pas que cette même institution royale ne peut qu’être ovationnée et saluée? De par ses attitudes pratiques de proximité de conciliation et réconciliation, concernant les langues les religions les libertés individuelles et collectives. Dont tout le monde en témoigne à l'intérieur comme à l'extérieur du pays, contrairement à ce qui se passe ailleurs sous des cieux en proie de déstabilisation.

       N’est-ce pas, à force de persévérance et dextérité elle a depuis treize ans mis de l’ordre dans la gouvernance, et, proposé des solutions voire approches ouvrant une brèche dans les mystères des esprits des politiques, observateurs et analystes de tout bord ? N’a-t-elle pas inspiré le plus grand changement sociétal marocain, en l’occurrence la rupture avec les méthodes du passé par la mise en place d’institutions comme l’IER, CNDH, HACA, CNSE-E, MADALIM, MEDIATEUR et autres ? Vraiment il n’est pas bon pour ces pasticheurs de se montrer ingrat de la sorte. Notamment en essayant de faire palpiter la conscience marocaine par l’étalage de fausses informations donnant l’impression de boire le calice jusqu’à la lie. Ils ne peuvent aucunement nier ce grand tournant qu’a vécu le Maroc, qui est toujours en quête de plus d’équité et d’exégèse franche et responsable dans sa démarche salutaire. De fait, avec le temps leur désinformation les a atteint générant chez-eux une gêne les ayant rendu pestiférés auprès des marocains dignes. 

       Ainsi dans cette optique, est-ce que l’adhésion aux partis politiques même avec l’agitation aussi symbolique soit-elle du moment, n’est-elle indicatrice de l’essai de dépassement du flou des lignes de démarcation ? Que par ailleurs de par l’usage, sont devenues bizarrement labiles en matière de proximité relationnelle, pour la promotion des uns au détriment des autres sur l’échelle d’évaluation des cotations intra où extra cosmopolitisme partisan où pas. Aussi, que deviennent-elles alors les questions de fond de la positivité de l’action publique en général, et, dont l’institution royale n’en rate aucune occasion pour en rappeler les fondamentaux ? Où en est-on, notamment de l’approche participative, dont la charge fondamentale d’interprétation fut démontrée lors des débats d’idées sur les apports impératifs constitutionnels ? Evidemment, beaucoup d’observateurs et analystes avaient pu débattre des nouvelles perspectives qu’offrait la constitution du 01 Juillet 2011. Sauf que, croyant naïvement que ça allait facilement contribuer à l’amélioration souhaitée, seulement par suite et grâce au profilage à résonance diversifiée pouvant éclore. D'où l'avantage de bien scruter dans les faits la gouvernance de l'équipe Benkirane, que de se laisser berner par la récupération fonctionnelle opérée par la technique de déformation des réalités.

       Hélas, encore par manque d’objectivité d’analyse de ces communicants nonnistes, c’est de la chosification des politiques qu'ils veulent instiller par malhonnêteté dont il est question aujourd’hui. Ne pense-t-on pas que cette transcription est déviationniste non réaliste, conséquence d’inculture flagrante pour certains à propos des rouages et du bon fonctionnement des institutions sous la nouvelle constitution ? S’ajoutant en plus, à la sordide dénonciation jusqu’à la jouissance machiavélique pour d’autres, à propos d’hégémonisme de l’audiovisuel public dans le traitement des actualités. De fait en filigrane, ne peut-on pas dire qu’il s’agit seulement de leur réflexion sur le secret du bien paraître au yeux de leurs commanditaires ? Il est vrai que leur stratégie des médisances s’explique par leur frustration de n’avoir pu mobiliser autour.  Ce qui nécessite par ailleurs, continuité en vigilance accrue des forces vives pour la stopper, sans brutalité mais seulement par le raisonnement et l’argumentation qui ne manquent pas.

       De toute façon, derrière le visage de ces anxieux usant de l’approximatif, se dissimule une soi-disant revanche se trouvant seulement dans leur imagination. Qu’en réalité, c’est une délation déguisée qui n’ouvre et ne facilite même pas « Attawassoul », pour augmenter la visibilité des politiques d’avoir raison sur la succession  usant du droit d’aînesse au sein des partis. Surtout pour les plus envahissants parmi eux, parce qu’autrement pour les autres, ils bénéficient d’assistanat relationnel et niches organisationnelles ayant fait émerger les actions politiques bas de gamme. En ce sens, à quand l’ouverture des portes de partis aux meilleurs et non aux consanguins et autres larbins? De surcroît placés sous l’égide de protecteurs, eux aussi manquant d’ossature d’externalisation du produit Maroc qu’au demeurant ne manque pas d’atouts. N’est-ce pas que le gouvernement Benkirane en continuant à s’essayer qu’aux demi-mesures en matière d’innovations structurantes de la vraie politique publique, il ne pourrait sortir de son propre enfumage qui n’a que trop duré ? En plus, ces derniers temps ne s’inscrivant pas dans le cadre de la stratégie du programme gouvernemental, parce que encadré par les sollicitations du FMI. Loin du saupoudrage du début de partis coalisés forts et indépendants opérant à visages découverts, à l’exemple de la composition chabatienne même dissonante par moment.

       C’est vraiment navrant de voir ces délateurs continuer à faire des insinuations, se perdant dans les dédales labyrinthiques de leur psychologisation, sans en avoir l’expertise pour s’en sortir en rattrapant le temps perdu. Ne sachant même pas que ça puisse faire réagir au plus profond des gens libres, pour les remettre à leur vraie place et éventuellement les aider à se reconstruire sans haine ni rancune. D’ailleurs, pour beaucoup d’observateurs, ils se sont faits des années durant dorloter sous les arcades de la résidence autrefois parapluie basrien pour leurs semblables. De sorte, rien n’étonne de leur part parce que conditionnés par les « Iqramyates » en nature comme en avantages rentiers. Alors qu'aujourd'hui, prenant leurs aises sur tout ce qui leur semble bon à dire, sauf qu’en même temps cet Etat qu’il ne cessent de critiquer ne leur tient pas rigueur. Au contraire, il les laisse s'exprimer et les prend tous comme une eau rare qu’il faudrait à tout prix sauvegarder. Car on est en démocratie, dont l'élaboration continue sans atteinte aux militantisme même rancunier revanchard et sans fondement, et peut être aussi, tout simplement pour contrer les mauvais œils.  

mardi 18 juin 2013

ON N’A PAS FINI D'EN PARLER DE LA FRMF (FÉDÉRATION ROYALE MAROCAINE DE FOOTBALL) !


 A QUAND UN PLANNING RAISONNABLE ET RAISONNÉ  DE SUIVI ET ÉVALUATION DE L’EQUIPE NATIONALE PAR UNE FÉDÉRATION ROYALE MAROCAINE DE FOOTBALL RÉALISTE ?

       Au terme du dernier match face aux Gambiens, il n’est de solution pour la fédération et le staff technique que de prendre leur responsabilité et déguerpir au plus vite. Parce que, l’inefficacité technicienne de Taoussi et l’incompétence de coordination managériale de ses collaborateurs ont été constatées. D’abord techniquement pendant tous les matchs qualificatifs, si l’on s’en réfère à l’état d’apathie footballistique qu’ont montré les joueurs et le classement déconcertant à l’échelle mondiale.  Ensuite à l’in considération manifeste et intolérable par le comportement de quelques uns vis-à-vis du maillot national, n'ayant abouti qu'aux disqualifications étonnantes et successives. Et ce n’est pas le match retour contre les ivoiriens à Abidjan alors que déjà qualifiés pour le mondial au Brésil en 2014, qui va baisser la teneur des attaques acerbes des journalistes à l’encontre des membres de la FRMF.  

    
   Mais qu’en pensent les représentants de l’industrie du verbiage au sein de la FRMF, s’étant investis dos ronds s’imprégnant comme des limaces au jeu de glissade lente, ne faisant que se saluer à redondance entre eux à propos de leur travail accompli ? Parce qu’au lieu de continuer à s’honorer de leurs vibrants hommages mutuels pour bilan pour le moins décevant, il faudrait évaluer leur apport d’aboutissement sidéral non échogène dans la sphère du sport marocain en général. Ce qui rappelle la façon des lombrics ingérant sans repos ni répit la terre dans les prairies à même plusieurs fois leur poids par 24 heures. N’est-ce pas de par leur prestance protéiforme nonchalante, il faudrait les déclarer tous sportivement incompétents de poursuivre cette tache où les enjeux politiques sont flagrants voire déterminants demandant rapidité et réactivité de gestion des crises. De fait, on ne peut pas s’empêcher de dire que la FRMF n’en porte pas une lourde responsabilité, sachant qu’elle vit une crise de perspective sans précédent. Une situation déplorée à maintes reprises par la majorité des marocains, notamment en la décriant avec véhémence, surtout dans l’hémicycle par les députés et les conseillers toutes les tendances confondues.

   
    N’est-ce pas, que la FRMF ayant traîné à prendre des décisions courageuses au moment opportun, elle n’a par ailleurs fait que compliquer l’effort d’amélioration de l’équipe nationale et aussi toute action de valorisation des mesures d’accompagnement en faveur de l’essai du professionnalisme managérial. Sans omettre le coup de massue porté par effet rebond à la dynamique des débats d’idées sur l’avenir du sport, et dont le ministère de tutelle cherche à en éviter les ruptures définitives s’essayant de resserrer les liens avec les marocains déçus de l’élection verrouillée par les dérives autoritaires de tous les membres de la FRMF. Du moins, c’est ce qui reste au ministre dans un premier temps à faire, car il s’agit de toxicité pouvant entraîner à une option de son propre changement en tant que patron tutélaire du monde sportif en ce temps de l’ire chabatienne. D’ailleurs il est nécessaire d’effectuer le virage d’objectivité que tout le monde attend à la lumière  des mesures de compensation des frustrations de la population, pour éviter la gangrène des contentieux économiques sociétaux et politiques greffés par incompétence. Notamment, l’estime qu’ont les marocains pour l’histoire du foot national, car actuellement l’impact sur cette baisse d’estime est relativement récupérable pour limiter ces effets négatifs dont tout le monde en connaît la dangerosité. N’est-ce pas que le fameux jeudi noir d’hyperactivité d’envahissement récurrentiel, de surcroît houligan par mimétisme d’effraction à prédominance anarchique à Casablanca, est encore dans la mémoire de tous les marocains ?

   
    C’est vrai, les professionnels du foot à l’intérieur comme à l’extérieur du pays appréhendent la suite de l’actualité avec optimisme toute en restant sur leur garde. N’est-ce pas, les indications de la structuralité saine et encourageante de bonne gouvernance au sein de l’instance FRMF, ne se limitent pas seulement aux discours de bonnes intentions mais à l’effectivité rationnelle mulipotente sur le terrain ? Le gouvernement doit prendre son courage entre ses mains, pour arrêter ce genre de phénomène de haussement d’épaules nuisible à l’image du Maroc. En cela ne faut-il pas que des audits préliminaires de fonctionnalisme de la FRMF, des clubs professionnels, des ligues, des structures annexes des arbitres, des associations d’adhérents et supporteurs  en soient considérées comme la garantie pour le suivi et l’évaluation du foot au Maroc ? A cet égard, pour l’équipe nationale en cas de mauvais comportement, on saurait certainement le degré de non-conformité avec les directives sous-jacentes de supranationalisme poussant à mouiller honorablement les maillots. C’est peut être une révolution en soit, de sortir de l’état schizophrène un jour avec et l’autre sans, de faire cet examen de situation permettant une fiabilité de recrutement de vrais lions de l’Atlas, comme du temps de Faras et autres.


   

   Le Maroc sportif a l’avantage de n’être plus à l’abri des regards, désormais il est sous surveillance populaire et ne peut se permettre de dépenser autant d’argent de surcroît en devises sans résultats probants. De sorte, aujourd’hui la population se trouve en état de mieux scruter tout ce qui se fait, et demande la transparence et la responsabilité dans ce monde longtemps resté caché. Et surtout, ne veut plus se laisser berner par des calculs et chiffrages de contrats par ci par là, que seuls les décideurs comprennent de par leurs ficelages alambiqués. Cependant, concernant cette vigilance, est-ce pour renoncer au faux-semblant d’antan d’être dans les normes et la capacité de bon recrutement d’entraîneur où directeur sportif marocain ou étranger en plus du staff technique ? Où est-ce, du lancement témoignant d’un nouveau temps de régulation des relations, qui transformerait l’image lugubre de l’équipe nationale, en icône avec l’éclat d’il n’y a pas longtemps ? Ce qui la rendrait plus attractive et intéressante à suivre et supporter, parce qu’évidemment elle aurait de fait retrouvé le bon fonctionnement dans l’entente et la sérénité.        

samedi 15 juin 2013

AU DEUXIÈME ANNIVERSAIRE DE L’ADOPTION DE CONSTITUTION, N’EST-IL PAS LE MOMENT DE RECENSER ET EVALUER LES ACTIONS GOUVERNEMENTALES ?

QUEL BILAN POLITIQUE DU GOUVERNEMENT BENKIRANE DOIT-ON FAIRE ?

IL EST LOIN LE TEMPS OU IL NOUS LA JOUAIT HAUTAINEMENT LE SAUVEUR DE PAR SES RÊVES D’EMMENER LE MAROC VERS PLUS DE PROSPÉRITÉ. NON SEULEMENT VIA L’ENVOLÉE SOCIALE CULTURELLE ÉCOLOGIQUE QU’IL PRÉDISAIT,  MAIS AUSSI PAR L’ESSOR SOCIO ECONOMIQUE ET POLITIQUE JUSTE ET ÉQUITABLE QU’IL MIROITAIT. N’EST-CE PAS QU’EN CE MOMENT IL EST LE SEUL  COMPTABLE DES AVARIES DE SA PROPRE FONCTIONNALISATION, QU’AU FINAL ELLE A FAIT PSITT ?

TOUT COMPTE FAIT SON BILAN-CONSTAT EST VRAIMENT DÉSOLANT,  AU POINT QU’IL A PRESQUE TOUT FAIT FAUX. SURTOUT, PAR DE MAUVAISES HABITUDES NÉANMOINS DÉBORDANTES DE SON IMAGINATION. D’AUTANT PLUS, LAISSANT LES MAROCAINS DÉMUNIS EN MARGE DE LEURS DÉSIRS SOUVENIRS. JUSTEMENT PARCE QU'ILS S’ÉTAIENT FAIT EMBOBINER PAR L’AMBIGUÏTÉ DES PROPOS POLITICIENS, ET DONC DE FAIT ENROULÉS DANS LE FUMIGÈNE DES DÉLATIONS DÉGUISÉES A CONSONANCES ÉLECTORALISTES.

EN CELA N’EST-CE PAS QUE LE MAROC A PERDU SON BBB -, ET AUSSI PASSÉ  DE PAYS ÉMERGENT EN CELUI FRONTIÈRE TENDANCE VERS LE BAS ? VRAIMENT COMMENT CE GOUVERNEMENT DOIT-IL FAIRE POUR REMÉDIER CE LAMENTABLE FAIT,  VU QUE LA BALANCE COMMERCIALE EST DEVENUE SIGNIFICATIVEMENT NÉGATIVE DE PAR SA MAUVAISE GOUVERNANCE ? NE S’AGIT-IL PAS D’UN SÉRIEUX COUP PORTÉ PAR CET ENCLOS COALISÉ NON COHÉRENT, A LA DYNAMIQUE ECONOMIQUE D’AVANT. LAQUELLE AYANT JUDICIEUSEMENT ASSURÉ  DES ANNÉES DURANT UNE CROISSANCE APPRÉCIABLE ET UNE JUGULATION HONORABLE DES DÉFICITS DES COMPTES DE L’ETAT, DONT PERSONNE NE PEUT EN NIER LES REALISATIONS ?

AFIN DE MONTRER CETTE INEFFICACITÉ GOUVERNEMENTALE, EST-CE QU’ACTUELLEMENT CE GOUVERNEMENT NE PARAIT FAIRE DE L’OMBRE QU’A LUI-MÊME, VACILLANT PAR CI TANGUANT PAR LA MAIS OUBLIANT SES PROPRES ENGAGEMENTS ? PARCE QUE N’AYANT PAS PRIS EN LIGNE DE MIRE LE RÉFÉRENTIEL D’UNE VRAIE DÉMOCRATIE PARTICIPATIVE. N’EST-CE PAS QUE C’EST LA, OU SONT PRÉSENTS LES ENVIES DE PRÉVENTION DES ACCIDENTS D'AFFRANCHISSEMENT DES CONTRAINTES DE GOUVERNANCE POUR RÉUSSIR CET EXAMEN DE PASSAGE ? A CET ÉGARD,  OU EN EST-ON DU SOI-DISANT CONCEPT DE SÉPARATION DES POUVOIRS ET CONSOLIDATION DES GARANTIES DE L'INDÉPENDANCE DE LA JUSTICE ? EST-CE LE MAROC A-T-IL ATTEINT LE BUT DE MORALISATION EFFICIENTE DE L’ACTION PUBLIQUE EN CONCOMITANCE A LA LUTTE CONTRE LA CORRUPTION ? QU’A-T-IL FAIT CE GOUVERNEMENT DANS LES GRANDS CHANTIERS TANT ATTENDUS, SI CE N’EST PRENDRE SON TEMPS DE NE RIEN FAIRE S’ATTELANT A L’ENFUMAGE PAR DES DISCOURS PERNICIEUX SUR LE BROUILLARD DES CAHIERS DE CHARGES ET DES LISTES, VOIRE CREUX SUR LA REFORME FISCALE, LES CAISSES DE RETRAITES, LES ELECTIONS, LA RÉGIONALISATION AVANCÉE ET AUTRES ? DÉSORMAIS  IL N’EST PLUS BIEN POUR CE GOUVERNEMENT DE SE DONNER L’IMPRESSION D’ETRE LA SEULE INSTITUTION EN PARFAITE RÉSONANCE SOCIALE ECONOMIQUE ET POLITIQUE DU TEMPS PRÉSENT.  NOTAMMENT, EN SE GARGARISANT DE POUVOIR RÉSOUDRE SEUL L’IMBROGLIO DE CAISSE DE COMPENSATION POUR PARER AUX DÉFAILLANCES BUDGÉTAIRES CUMULATIVES ET ITÉRATIVES. PARCE QUE CONTINUER A CONTRACTER DES CRÉDITS RÉPÉTITIFS RIEN QUE POUR SE DONNER BONNE CONSCIENCE D'INJECTER DE LA LIQUIDITÉ, NE RELÈVE PAS D’UNE QUELCONQUE BONNE GOUVERNANCE. ALORS QU’EN VÉRITÉ LA SOLVABILITÉ DU PAYS EST MISE À RUDE ÉPREUVE DE PAR LES VISITES PROGRAMMÉES OU MÊMES INOPINÉES DES EXPERTS DE CES MÊMES INSTANCES FINANCIÈRES TEL LE FMI.  

Mais pourquoi le gouvernement Benkirane s’atèle à la gouvernance politique hybride entre anachronisme et cynisme, en réponse à la dureté des critiques de l’opposition?

       Aujourd’hui au Maroc, est-ce que les pjdistes sont-ils en bonne voie de renoncer à utiliser la langue de bois caractérisant seulement leur cynisme? La réponse est absolument NON, par peur de l’amalgame provoqué par les porteurs de valises de l’islam politique. D’autant plus, nombreux parmi eux continuent encore à communiquer usant d’une terminologie lexicale d’anachronisme politique ne rentrant pas dans le moule de la bonne gouvernance dont ils se targuaient qu’ils allaient en faire leur priorité. A cet égard, ne s’agit-il pas de leur fuite en avant vers la mascarade politicienne d’insouciance que l’on vit encore pratiquement en direct ? Sorte de manifestation euphorique bas de gamme, qu’en réalité elle cache leur vraie image subdivisée en incompétence gestionnaire majeure pour certains, et en mineure en l’occurrence  faute de mauvaise maîtrise de gouvernance pour d’autres?

       Ainsi, bien au-delà de leurs limites expressionnistes par ailleurs visibles dans leur difficulté de l’exploitation des données politiques au sein de la coalition gouvernementale, encore heureux qu’au dessus de la mêlée les arbitrages royaux sont là de par la charge potentielle de durabilité associée de légitimation constitutionnelle. Et ce ne sont pas les artisans des désinformations par la haine et la rancune, dont beaucoup avait les pieds rodés aux visites nocturnes chez Basri, qui pourraient nous désorienter. N’est-ce pas c’est une émanation du corpus royal du temps présent, par le suivi et observance d’accomplissement de tous les politiques dans le respect des institutions sans favoritisme ni penchant pour une quelconque tendance ? Non seulement pour remettre les pendules à l’heure le cas échéant, mais aussi pour redimensionner leur réinitialisation à cette même charge cumulative s’ajoutant au respect des préceptes moraux légaux de la nouvelle constitution.

       Pour mémoire, ont-ils oublié la dextérité et la clairvoyance au moment de la tournée dans les pays du Golf et aussi en Afrique, face à leur manque d’assurance. N’est-ce pas que l’implication royale a donné au concept partenarial gagnant-gagnant sa vraie dimension de coopération maroco-africaine et aussi de captation-prospective de l’avenir commun avec CCG. Tout cela sans omettre l’intervention royale déterminante rattrapant le flop de Benkirane et les siens, lors de la crise onuso-marocaine à propos de l’élargissement des compétences de la Munirso dans le Sahara marocain. N’est-ce pas que les discours royaux lus dans les sommets et colloques en avaient tiré la sonnette d’alarme, à propos du contexte maghrébo-sahélo-africain qui présentait un grand risque de déflagration ? Lequel ayant subi des infiltrations majeures de salafistes jihadistes à cause de l’implication du Polisario sans que l’Algérie n’y fasse attention se croyant hors atteinte.

       Bien sûr, il revient en premier aux politiques dans la majorité comme dans l’opposition de traiter tout paroxysme délétère qui émane d’une situation politiquement tendancieuse. Parce que, par rapport à l’ambiguïté politique dernièrement vécue sans vouloir faire désordre, où des fois s’ils n’y arrivent pas à s’en sortir, personne ne les empêcherait à recourir aux clés de l’arbitrage royal où autres sésames en s’aidant de monitoring sociétal et/où d’observateurs avertis. En cela, durant toute cette crise politique incriminée à la discordance Chabat-Benkirane, est-ce que les délais d’instillation de messages d’apaisement ne sont-ils aussi importants, que ceux inclusivement sermonnant les protagonistes à propos des dissonances et introductions hasardeuses discutables livrées ça et là ? D’ailleurs il n’y a qu’à bien étudier la rythmique de la cote de déconfiance qu’ont les marocains vis-à-vis d’eux, pour en comprendre l’incidence politique sous-jacente actuelle à cette crise. Notamment par le laisser aller de l’Exécutif à ne pas réagir, montrant une espièglerie souvent évoquée l’une des causes réelles du brouhaha accompagnant le déroulé du fil d’actualités. Ce qui n’a pas au demeurant permis à tout le monde bonne compréhension du jeu, et préconiser meilleur traitement politique dans ce cas précis. Toutefois, la question qui taraude plus d’un n’est-elle l’incapacité de résurgence des coalisés par la détection des mécanismes aggravant les risques ? Alors que, ceci ne semble pas hors portée de l’influence de certains parmi eux, surtout s’ils se concertent et se solidarisent pour trouver des solutions loin des rafistolages sous-entendus des pjdistes.


       Cependant, si on se réfère rien qu’au constat formel des souffrances endogènes des partis politiques, on pourrait dire sans ambages que cette résurgence demeure mécaniquement intérêt-dépendante par moment oh combien compréhensive. D’une part à cause des éventuelles imputabilités de proximité des chefs vis-à-vis de tel où tel réseau d’influence, et d’autre part de par la coexistence paisible ou non des courants internes au sein des structures des partis. N’en déplaise à ceux qui voient en cela un appel à plus d’interventionnisme de l’Etat, alors que c’est juste une suggestion à la prise des responsabilités par les politiques. Pour que leur implication en soit quantifiée et jugée à sa juste condition poussant vers la garantie de servir les citoyens en termes positifs de continuité et d’utilité administrative.

mardi 11 juin 2013

A QUAND L’ARRÊT DE LOGORRHÉE POLITICIENNE DU TEMPS PRÉSENT, DONT L’EVOLUTION NE CESSE DE S’ENVENIMER MARQUANT UNE AGGRAVATION DES BLESSURES SUPPURÉES ENTRE PJD ET PI ?

MAIS A QUOI RIME CETTE TEMPORALITÉ DE GOUVERNANCE FICTIVE ENTRE COALISÉS, SI CE N’EST, A L’ENTRETIEN DE L’ABÎME DE LEUR INEFFICACITÉ PARTICIPATIVE ? PASSANT D’UNE SITUATION INVRAISEMBLABLE D'ABSENCE DE VISIBILITÉ GOUVERNEMENTALE, A UNE AUTRE D’AGGRAVATION ET MÉSENTENTE ANTI PRÉSERVATION MISE EN ŒUVRE.

ALORS QU’EN S’AIDANT D’OBSERVANCE DIFFÉRENTIELLE DES HISTORIETTES DE CETTE SITUATION, ON NE PEUT QU’ETRE ABASOURDI DU RÉSULTAT MONTRANT L’INTOLÉRANCE ENTRE LES PROTAGONISTES DU CHAMP POLITIQUE MAROCAIN ACTUEL. AU POINT QUE POUR STOPPER CES RÉACTIONS RÉPULSIVES DES UNS PAR RAPPORT AUX AUTRES, LE CHOIX D’HOMOGÉNÉITÉ NON RÉVULSIVE DANS LES IDÉES S’IMPOSE D’EMBLÉE.

C’EST VRAI, QUE POLITIQUEMENT LES SOI-DISANT INCERTITUDES POUR LES UNS ET CERTITUDES POUR LES AUTRES DANS L’EXPRESSION CODIFIÉE DE LEUR GÉNIE  NE SEMBLENT PAS DÉFINITIVES FAUSSANT L’EVOLUTION VERS L’INDÉPENDANCE DANS LEURS FAITS ET GESTES. AINSI L’ENVOLÉE LYRIQUE ACTUELLE, NE POURRAIT CONDUIRE  QU’AU REMANIEMENT MINISTÉRIEL, EN PLUS DU MINIMUM  DE SECOUSSES MENANT INÉVITABLEMENT À D’AUTRES CHAMBOULEMENTS ARCHITECTURAUX AU SEIN DE TOUS LES PARTIS.

Aujourd’hui la coalition gouvernementale sait-elle qu’elle ne peut durer en portant des entorses à l’effectivité de la constitution ?

       L’impression que donnent Benkirane et Chabat chacun selon son  illustration sur l’opportunité de provoquer ou pas un remaniement ministériel, ne souffre pas l’indifférence où superflu de la part des observateurs avertis. Elle renseigne même sur leur ratage incroyable avec soubresauts et acquiescements jusqu’au fond de leurs âmes respectives.  D’ailleurs personne n’est bluffé par ce machiavélisme d’interposition entre eux, alors qu’ils sont tous les deux en recherche permanente de revigorer l’image de leurs partis laissée suite au doute coupé d’intérêt et trahison dans leur gestion commune des affaires de l’Etat.

       Eh oui, la comparaison de leur lecture de cogestion des enjeux en présence, montre qu’ils sont soumis aux invectives plus où moins abstraites d’un genre politique nouveau. Non seulement par rapport à leur engagement non tenu, mais, aussi à ce qu’ils croyaient préalablement suscitant enthousiasme dans leur positionnement. A ce titre, gare à la mémoire politique ! Car promettre beaucoup sans apporter d’éléments de réponse convaincants pour sortir le pays du marasme dont il se trouve, mènerait automatiquement à la rupture de gouvernance. Même si, du coté des istiqlaliens comme celui des pjdistes, diversification et intensification des coups portés où subis sont maintenant analysés et comptabilisés. C’est même devenu un outil de leur manigance d’influence, pour vendre la prestance des chefs au sein du panel des partis entre grandeur nostalgique des uns et désinvolte des autres. Et ce, malgré l’intonation de médisance, qu’en fait elle porte la charge sournoise dans cette gouvernance non glorieuse mais seulement fantaisiste politicienne.

       Dans tout ce tintamarre, que devient alors la notion de veille stratégique de l’Etat ? Prend-il ses distances en créant la symétrie parfaite dans ses orientations envers la conscience des protagonistes au sein de l’Exécutif ? Où, carrément laissant mûrir la situation par un travail de désensibilisation collective, par rapport à l’analyse croisée des premières retombées du cycle printanier arabo-amazigh marocain. Finalement il est loin le temps du triomphe de la coalition gouvernementale de Benkirane, parce que chemin faisant seuls les intérêts partisans ont prévalu faisant fi des revendications des populations surtout des laissés pour compte. Au fond à quoi bon continuer à gouverner par l’émotion, ne vaudrait-il pas pour cette coalition de conjoncture s’autonomiser de la conjonction psychodrame dans le traitement des affaires de l’Etat ?

       N’est-ce pas que le temps passe, sans prise en compte honorable des doléances du peuple marocain par le gouvernement Benkirane ? N’est-ce pas que le temps passe, sans que les valeurs Maroc vert, numérisé, bleu, sportif et ….autres, ne puissent profiter du Maroc contractant que crédits après crédits seulement pour colmater temporairement les déficits budgétaires ?  N’est-ce pas que le temps passe, sans que pjdistes et istiqlaliens ne se remettent eux aussi en question, pour épargner au Maroc cette image cruelle d’insouciance à l’international ? N’est-ce pas que le temps passe, sans que les grands chantiers de reformes ne voient le jour notamment la caisse de compensation la justice les caisses de retraites et autres organismes des couvertures sociales ? N’est-ce pas que le temps passe, sans que rien n’est entamé dans le projet de régionalisation avancée pour faire face aux médisances internationalement cooptées anti Maroc ? N’est-ce pas que le temps passe, sans secouement des cocotiers et niches de la diplomatie matérielle du copinage voisinage et consanguinité ? N’est-ce pas que le temps passe, sans que rien ne soit fait dans l’effectivité de la constitution du 01 Juillet 2011 ? N’est-ce pas que le temps passe, alors que le rythme de critiques est accéléré ces derniers temps, vu le contraste démesuré par la violence inouïe dans les traitements des sit-in où autres marches revendicatives. N’est-ce pas que finalement le temps passe et repasse, sans que le gouvernement ne sorte de ses tours de passe-passe pour les siens, comme ce qu’avaient fait les prédécesseurs des années durant ?


       Voilà pourquoi encore au Maroc, les tares de réplication de mauvaise gouvernance se répètent chez certains gouvernants, ne s’attelant qu’à se montrer en parfaite concordance avec leur promotion sans se soucier de leurs obligations et responsabilités. C’est ce qu’on peut désormais appeler l’essai de contournement des droits les plus légitimes des concitoyens, par soi-disant ce lent apprentissage de la démocratie. Qu’au final avec le temps, il pourrait devenir peut être meilleur garant de transparence politique, exigeant de fait à tout un chacun plus d’équité et de disponibilité dans l’accomplissement des devoirs et droits.     

vendredi 7 juin 2013

LE GOUVERNEMENT BENKIRANE N’EST-IL PAS EN VOIE DE DÉCOMPOSITION SACCADÉE, LOIN DE TOUTE AMÉLIORATION CONSTRUCTIVE DE SA DÉFENSE COMMUNICATIVE !

APRÈS LES COUACS RÉPÉTITIFS DU PJD TENTACULAIRE EN MATIÈRE DE GOUVERNANCE CAR NE S’ATTELANT QU’AUX JEUX DES STAFFS, L’HEURE DE VÉRITÉ POUR LA COALITION GOUVERNEMENTALE A PEUT ÊTRE SONNÉ  ! PARCE QUE, QUEL EST L’INTÉRÊT DE BENKIRANE ET CHABAT DE NE RIEN FAIRE, SURTOUT EN LA LAISSANT DANS L’EXPECTATIVE POURSUIVANT TOUS LES DEUX UNE MULTITUDE D'OBJECTIFS DIFFÉRENTS MAIS  CONTRADICTOIRES ?

AUSSI, QUAND ON REGARDE CETTE DÉMARCHE GOUVERNEMENTALE À LA RENVERSE, ON PEUT PENSER QUE CE QU’IL AURAIT FALLU FAIRE, C’EST LE CHOIX DES GRANDES REFORMES SANS HÉSITATION NI TERGIVERSATION. EN CELA IL IMPORTAIT POUR LES COALISÉS DE DÉCELER PAR ANTICIPATION LES EFFETS NUISIBLES DU RETARD DE CES INITIATIVES LOUABLES ET, SAVOIR SPONTANÉMENT QUELLES SONT LES MESURES URGENTES A ENTREPRENDRE POUR RATTRAPER LE COUP. DE SORTE PAR CETTE AMBITION NON FANTAISISTE, POUVOIR SAUVER CETTE COALITION DE LA DESTRUCTION. SURTOUT, EN MONTRANT COMMENT DOIT-ELLE FAIRE POUR FINANCER DE TELLES INITIATIVES SANS SE REMETTRE EN QUESTION EN USANT SPÉCIFIQUEMENT QUE DE DÉPENSES LÉGITIMES ET LÉGALES ?

EN TOUT ÉTAT DE CAUSE, IL EST VRAI QU’EN PROSPECTION DE VIGILANCE DE QUALITÉ POUR LE SUIVI DU FIL DES ACTUALITÉS  POLITIQUES, N’EST-CE PAS QUE LE TEMPS DE SAUVETAGE EST ARRIVE ? POUR QU’ENSUITE NE PLUS CONTINUER À CONSTRUIRE POLITIQUEMENT CE DÉFICIT CRIARD DE MAUVAISE GOUVERNANCE. DONT BENKIRANE EN PORTE TOUTE PROPORTION GARDÉE UNE LOURDE RESPONSABILITÉ HISTORIQUE. SI NON, SEUL LE DIVORCE ENTRE PJD ET PI SERAIT LE REMÈDE FINAL POUR ÉVITER D'AUTRES MÉSAVENTURES ET INDIFFÉRENCES DÉSASTREUSES AU VUE DE LA MAUVAISE ENTENTE.

Mais pourquoi la coalition gouvernementale ne prend-elle pas son courage de proscrire les mauvais besoins de sa gouvernance ?

       Le gouvernement Benkirane n’a cessé depuis sa mise sur pied de recevoir, des notifications par les observateurs politiques avertis sur sa méthodologie de gouvernance via les réseaux sociaux et autres supports médiatiques notamment envers son portail cyber-electronique. Malheureusement il en a fait fi, ne s’en souciant guère de l’impact de ces signaux dans l’échelle des  valeurs de cotation de sa propre politique. Ne se substituant qu’à une complémentarité d’interdépendance virtuellement effective, surtout dans ses actions par ailleurs aucunement réalistes. Par conséquent non porteuses de bonifications adaptées aux besoins et à la demande des populations.

       Désormais, en ce temps présent, est-ce que le gouvernement ne se trouve-t-il pas contraint de réagir vite à cette impédance multisectorielle de surdimensionnement de son ego ? Alors qu’en fait, par analyse politique minutieuse des ses seuls raisonnements, seule la composante pjdiste est dans cet état d'esprit. Parce que subconsciemment ottomano-dépendante, voulant sans scrupules en être le porte oriflamme officiel à la place de ses coalisés et de tous les marocains après le déferlant printanier arabe. Mais, les résistances diverses en interne du gouvernement par le PI et MP en plus de la majorité des marocains, les en ont empêché par crainte de subir leur joug d'islamité-autoritarisme. En effet l'axe de leur vision politique s'articule sur cette dépendance allant jusqu'à vouloir dans le futur s'ouvrir par mutualisation à la façon de faire de l'AKP turc vis-à-vis des mouvements islamistes de mise en commun des actes politiques sans garantie ni réserve. 

       Alors pour le PJD, ne lui faut-il plutôt d'installer une bonne gouvernance, et la valoriser par la transparence dans les actes sur la base de la démocratie participative, pour aboutir à une efficience gestionnaire? N'est-ce pas l’échec cuisant de la visite d’Erdogan le fougueux conservateur autoritaire, a occasionné d’autres déchirures liées au mode d’expression comportementale de Benkirane. D'où est décelée aussi l’incapacité des pjdistes à comprendre ce que c’est une préparation d’une visite officielle. D'ailleurs ne s'agit-il en l'occurrence du mal digestion des vraies valeurs de gestions des affaires de l’État? Dont ces novices pjidistes en souffrent chroniquement, malheureusement pour eux surfant sur les accointances doctrinales, les ayant à contrario mis en mauvaise posture dans l’arène de la communication sur la cyber-toile tous les supports confondus. En cela, ils n’ont en récolté rien que de fausses indications, leur montrant les difficultés d'agir sur seulement les déterminants qui n’aideraient pas le gouvernement à sortir du sable mouvant de leur amateurisme.

       A toute fin utile, on peut affirmer qu’ils sont même jetés en pâture par leurs proches coalisés en vue de consommation politicienne, parce que n’ayant montré que cette forme grave d’égoïsme gestionnaire, vu le surpoids des crédits abusifs contractés et dont ils s’y sont embourbés hypothéquant l’avenir du pays. En plus s’ajoutant aux  dérives gestionnaires du soi-disant rééquilibrage par les coupes budgétaires oh combien superflues, voire contre-productives vis-à-vis de la croissance et du pouvoir d’achat des ménages. Un dilemme déconcertant de par la rareté de ressources humaines compétentes autour du chef du gouvernement pour l’aider à faire de meilleurs choix. Qu’au demeurant elle est considérée par les observateurs nationaux et étrangers comme, la conséquence de cet amateurisme flagrant orientant les actions de Benkirane vers le solde négatif de son bilan à la tête du gouvernement.

       En revanche, ne faut-il pas indûment mettre en place une nouvelle étape de gestion des affaires de l’État pour palier à cette déplétion structurelle dans l’action du gouvernement provoquée par la chamaillerie Benkirane-Chabat. Cela évidemment inclurait primo la réorganisation de la façon de faire entre de nouveaux coalisés pour éviter les pannes institutionnelles, et secundo la restructuration des dispositions organisationnelles juridiques et financières à prendre dans le respect de la constitution. Non pas pour s'ancrer dans le privilège du pouvoir de l’Exécutif, mais exclusivement dans l'incarnation du pouvoir comme il se doit. Dont l'objectif unique serait de renforcer politiquement l'autonomie des responsables et anticiper la prévention des crises par des initiatives équitables. Ainsi les priorités dans l’action se réviseraient et donc automatiquement viseraient un nouveau large de démocratie participative, où toutefois, il serait aussi bon de satisfaire les doléances du peuple dans la responsabilité et la sérénité que d'assainir les rouages du fonctionnement de l'Etat.

mardi 4 juin 2013

AUJOURDH’HUI EN POLITIQUE AU MAROC TOUTE CONVENANCE BAS DE GAMME EST DECRIEE. DE FAIT, VOULOIR FAIRE BOMBANCE SANS RESULTAT PALPABLE N’EST PLUS ACCEPTABLE.

       Le Maroc d’il n’y a pas si longtemps, souffrait du retard de son entrée dans le vrai jeu de la démocratie. Par contre, celui du nouveau règne a rapidement montré une disponibilité de prendre le taureau par les cornes, par la confirmation d’alternance même octroyée en pratique normative tenant compte des réalités. Et ce, en faisant fi des antécédents fâcheux, ayant eu à disparaître chemin faisant dans cette recherche de la démocratie. Tout simplement pour éviter tout remake de crise cardiaque qui fut jugulée auparavant par l’arrivée de l’USFP sous Youssefi avec la benediction de Hassan II, et traitée de vrai par la mise en place d’éléments de la nouvelle orientation de l’Etat par Sa Majesté le Roi Mohamed VI. Parce qu’en effet ce fut une approche préventive de réévaluation de l’état de fonctionnement intérieur et extérieur sans complaisance ni faiblesse, bien avant le déferlant printanier arabo-amazigh marocain. 

       Mais est-ce que ce rééquilibrage de Youssefi, synonyme d’austérité déguisée malgré quelques dérapages budgétivores personnifiés et personnalisés ici et là, n’a-t-il pas apporté plus de croissance et de sérénité dans la correction des déficits de la balance d’exécution des interventions étatiques dans les domaines stratégiques ? La réponse est sans équivoque OUI, que par ailleurs l’accession des années après à l’Exécutif sous une nouvelle constitution du PJD, ne s’accompagne toujours pas du même courage et doigté de bonne gouvernance socio économique. N’est-ce pas que cette interrogation permet aux observateurs du champ politique marocain, de comparer et mettre le doigt sur ce qui fâche et déconcerte aujourd’hui avec la coalition Benkirane, par rapport au fonctionnement des gouvernements Youssefi Jettou et Abbas sous l’ancienne constitution?

      
       C’est là où le bas blesse, ce gouvernement s’est intéressé aux habitudes de gouvernance passe-passe seulement pour les siens, pour preuve les nominations à tire larigot aux postes de responsabilité dans les sphères de l’Etat. Parce que certains ministres coalisés, allant sans sourciller jusqu’à faire bombance devant les pupitres et dans les couloirs des institutions pour défendre l’indéfendable, de par les incompétences parachutées ici et là sous curriculum vitæ façonnés sur mesure. A même d’énerver Chabat l’omnipraticien de la multiple facette vindicative, un pas dedans et l’autre dehors, ne voulant pas que son parti paye les frais de cette aventure de conjoncture sans que les siens n’en bénéficient eux aussi. Alors qu’au-delà des différences entre coalisés surtout ceux outrancièrement benkiranisés, le constat est effrayant sur le plan de la précarité le sous-emploi la décroissance et donc le pouvoir d’achat. En plus de l’exode rural la désarticulation du commerce extérieur la cohésion sociale et même sociétale s’ajoutant aux atteintes sans précédent des droits et libertés d’expression, dans un cadre d’impuissance de faire émerger une nouvelle architecture de communication loin de l’auto tapage sous aménagé comme dans l’ancien temps. En l’occurrence un solde de mauvaise gouvernance par l’incompétence, et la nonchalance ne paraissant consolider que démesure dépendante des inégalités entre régions. Et ce, au détriment des grands chantiers tant attendus, pour faire prospérer l’image du pays à l’international qu’heureusement le souverain s’y atèle à marche convaincante vis-à-vis de l’étranger observateur.

       Mais pourquoi le gouvernement Benkirane se risque encore à remettre en cause tout ce qui a été fait par des opérations frôlant le secret ? Eu égard à la dégradation grandissante du volet social à même l’édifice des relations avec les syndicats et les corporatismes socio professionnels. De sorte qu’on pourrait dire qu’il se conçoit une nouvelle planification d’intervention dans les rouages de l’Etat. N’est-ce pas que le profilage en matière d’associations de la société civile, montre une répartition des connivences selon le degré d’attractivité d’allégeance et attirance partisane avec les incidences que tout le monde sait maintenant ? Au point que les demandes et doléances de ces fractions constituent la part d’octroi abusif de subventions. Parfois sous des formes graves de non respect de l’équité et la diversité, dont le lapsus diction de Benkirane face à un hémicycle sans opposition en est révélateur. Ayant dit avant de se rattraper  sa préférence prédominante pour les gens qui l’ont supporté aux élections. Ainsi, beaucoup d’observateurs ont relevé ce dépassement de langage s’amplifiant parallèlement derrière le rideau de l’amateurisme sans vrai accompagnement. Ne s’agit-il pas finalement de sa rencontre avec son subconscient moralisateur, qu’en fait qui n’a pas lieu ?

       En revanche, cette rancune endémique désolante pour l’image de l’Exécutif de notre pays, contribue largement à l’état délétère des relations avec l’opposition institutionnelle et autres entités socio professionnelles. Ce que montrent les échanges violents, cause et effet de cette incapacité de réintégration du positionnement de Benkirane en tant que chef du gouvernement des conditions d’homme du consensus. En effet, il n’y a qu’à voir la légèreté déconcertante de préparation de la visite du premier ministre turc Erdogan par un staff  d’illusionnistes associatifs d’obédience pjdiste n’ayant pas tenu compte du professionnalisme de CGEM. Ceci évidemment, illustre bien ce véritable risque de non projection dans les relations régénératrices de valeurs ajoutées stratégiques mais seulement de levée de niches économiques circonférentielles de connivence doctrinale. Qu’heureusement, la future visite royale officielle en fin d’année en Turquie, remettrait les pendules à l’heure avec certainement plus d’envergure comme à l’accoutumée dans les réalisations des partenariats stratégiques gagnant-gagnant.


       Aussi, on ne peut pas dire que le bien être des marocains est seulement un catalogue de promotion électorale, il est la pierre angulaire de la cohésion sociale et sociétale. C’est en ce sens que certains gestes invasifs de surcroît d’esthétisme gouvernemental, ne peuvent prendre place à la concertation sans espièglerie et sérieuse visant la bonne gouvernance. Il y va de l’image du pays dans sa démarche sûre  et sans danger, reposant sur les compétences et l’expérience à l’appui des connaissances et non les convenances voire les connivences.