mercredi 26 février 2014

LE COMBAT DU ROI ET DU PEUPLE MAROCAIN SUR TOUS LES FRONTS, FACE AUX OFFENSES D'UN DIPLOMATE DE HAUT RANG ET AU TRAITEMENT BIZARROÏDE CONSIGNANT L'AVERSION D'UN JUGE POUR LA DST !

C’EN EST ASSEZ ! APRES LES MYSTÈRES DE L’OUEST D’AVRIL 2013, C’EST MAINTENANT LES BALIVERNES DÉSOBLIGEANTES ET ACTES INJUSTES DE FÉVRIER 2014 VIS-A-VIS DU MAROC. 

       L’imaginaire d’un diplomate sensé être équilibré et un juge puisse-t-il être zélé, doit normalement relever d’affranchissement des contraintes dans une lutte sans haine contre toute manipulation. Parce que, c’est là où apparaît la force de caractère de dire la vérité, par rapport à ce qu’il aurait apparemment dit l’un et entrepris sans hésitation l’autre, au vu de l’émotion qu’ils ont produit chez tout un peuple. Certes, ce n’est là qu’un aspect de tirage des ficelles fait par les services de pays tiers, dans une chronologie qui n’est pas due au hasard s’adaptant à l’ambiance politique algérienne incertaine, pour contrecarrer le constat flagrant de la puissance marocaine montante surtout en Afrique. D’ailleurs pour en comprendre la portée spirituelle cultuelle socio économique et politique marocaine, il n’y a qu’à bien analyser les échos  à l’international à l’exemple de, les nouvelles lettres persanes dans leur consonance de rapprochement stratégique avec le Maroc malgré le risque de chiisme au Maghreb et dans la bande sahelo-africaine, l’encouragement sans ambages d’Obama-Hollande au Roi du Maroc dans cette offensive inédite mettant de l’ordre et l’entendement d'emblée  reconnus par Ban Ki Moon et toute la communauté internationale, l’intéressement des pays BRIC au Maroc pour sa stabilité et bien d’autres indicateurs encourageants.

       En ce sens en référence à la fronde mini secousse dont tout le monde en parle, il est loin le temps où la diplomatie était une morale aristocratique qui faisait référence au grand intérêt d’Etat seulement. Parce qu’en décryptant toutes les pannes relationnelles franco-marocaines, dont certaines sont des drames historiques, on en comprend la fabrique désinvolte du temps présent usant de sournoiseries stratagèmes et combinaisons politiciennes. Malheureusement sortant coté français, d’un tangage gouvernemental facilitant des actes intolérables par ailleurs, en plus en concomitance de petites phrases lancées ici et là choquant l’honneur la conscience et la moralité des marocains. N’est-ce pas là aussi, tous les observateurs avertis marocains connaissant l’histoire contemporaine avec la France, lui reprochent d’encore mêler au thème principal qu’est la bonne entente, le flou de ce genre de relance de brouillage intriguant, qu’en effet ne fait que casser l’action et le rythme de la confiance entre le Maroc et la France ? D’autant plus faisant de ne supporter la posture du renoncement à l’action commune en terre africaine, alors qu’il y a des agissements incompréhensifs de certains dans les rouages de l'administration, jetant leurs derniers essais de consolidation de l’isolement du Maroc en Afrique mais en vain heureusement.           

       Désormais, quelque chose dit aux marocains qu’il y a déjà du changement dans l’air en matière des relations franco-marocaines ! Il faut pourtant savoir qu’il se dégage de la tournée royale africaine 2014, la grande puissance de projection dans une gouvernance d’union nationale pour faire face à tout jeu d’illusion honteuse fut-elle diplomatiquement distillée à mille lieux. Qu’en plus, à cet égard, quand deux pays amis vivent des revers préfabriqués par des manutentionnaires en cale judiciaire taubiraéenne à l’insu du ministre de l’intérieur Valls, que reste-t-il de la coopération sécuritaire et judiciaire jusque là exemplaire ? Pire encore, cette opération de caniveau s’est faite alors  même le ministre Valls recevait son homologue marocain, et dont ses flics subalternes faisaient le nombrilisme de mèche devant la résidence de l’ambassadeur marocain lui aussi ex ministre de l’intérieur ayant combattu le terrorisme et le crime transcontinental organisé. Dont, hélas certains dans les interstices du pouvoir judiciaire français ont commis l’erreur impardonnable, ayant pris cela comme une vénération du pouvoir marocain à leur vis-à-vis. Ce qui a mis le Quai d'Orsay dans la désolation et incompréhension, tout en se positionnant en même temps dans les tranchées de la séparation des pouvoirs.

       Outre cet élément de projection dramatique, il importe pour cet honorable juge d’instruction de savoir le symbolisme des personnages des Etats, et donc de la portée politique relationnelle pour ne pas sortir de l’éthique diplomatique en peignant cette affaire de l’univers passionnel du slogan tant décrié en France  « république des juges ». Ainsi à travers son droit inaliénable d’instruire une information judiciaire, c’est son modèle de procéder qui a fait tilt, alors que ses propres observations de soi-disant génie contributeur à la réalisation de la justice ont fait psitt. Parce que le Maroc, depuis toujours ne badine pas avec l’atteinte de ses fondamentaux, ne se privant de liberté de ton selon les circonstances pour dénoncer les dérives. En tout cas, çà ce voit chez ce juge et ses amis en cale, qu’ils sont à la renverse pré calculée dans leur vision et raisonnement. Parce qu’on ne peut pas dire qu’il ne savaient pas ce que représente DST en tant que valeur sûre de lutte contre le terrorisme en nombre d’heures de veillées d’analyses de décryptage, bien sûr et d’interrogatoires selon la loi comme ce que par ailleurs fait la France et aussi tous les pays.

       Rien aussi ne dit que ce juge avec le feuilleton des affaires judiciaires en France, se voyant le Baltazar français à la recherche de la une, ambitionnant une charge plus élevée dans la hiérarchie, sa non vigilance l’ait conduit à commettre cette erreur d’appréciation. Que le Sénat le lui reproche ouvertement demandant au gouvernement de stopper net ce genre d’amateurisme atteignant la mesquinerie. Finalement, l’idéal de la diplomatie même dure  et stricte c’est l’appel à l’effort du dépassement et non les fantaisies sous des formes d’influence à l’ancienne comme du temps révolu France-Afrique. C’est d’ailleurs là où commence le paradoxe de la France, qui lui vaut la place à reculons aujourd’hui dans la conscience des marocains. En cela chers amis français, n’en croyez pas que les marocains sont dupes s’abandonnant librement à leur gout d’oublier pour la cordialité et la paix. Ils veulent rester dans leur positionnement dans un Etat créatif original sous l’Égide du souverain assurant mobilité des idées et des hommes partout dans le monde. Et ne désirent aucunement user de mesures à même psychologiques douces de rétorsion ciblée, pour se présenter comme les continuateurs de ce jeu de souffrances à l’instar de ce que font d’autres pays. Qu’au demeurant Sa Majesté le Roi du Maroc  corrobore cet évitement de rehaussement du ton par sa hauteur de vue des relations avec la France, mais montrant clairement sa réprobation tout en procédant avec détermination à l’apaisement, parce qu’il y a certainement décelé une sincérité du président Hollande au cours de leur échange téléphonique.


       En résumé, voilà pourquoi le discours royal de l’appel au réveil de l’Afrique dans la concorde au Forum Cote d’Ivoire-Maroc Février 2014 d’Abidjan, fort et concis par des idées structurées et cadencées, tend à pousser les africains à épurer leur façon d’appréhender l’avenir par un nouveau style de confiance en eux. Surtout en leur capacité de relever les défis qui se posent, de façon de plus en plus réaliste en prenant exemple de l’expertise marocaine de l’INDH le microcrédit et les coopérations de grandes envergures infra structurelles agroalimentaires touristiques logistiques industrielles et autres par partenariats gagnant-gagnant.

vendredi 21 février 2014

LA TOURNÉE ROYALE AFRICAINE, UNE OCCASION DE CLOUER A DISTANCE LES THÈSES DES DÉSIREUX DE FAIRE ENCORE DU WAIT AND SEE AU GRAND MAGHREB.

AH, CETTE TOURNÉE TRIOMPHALE DU ROI DU MAROC DÉCHAÎNANT L’ENTHOUSIASME DES PEUPLES AFRICAINS VIBRANTS, MAIS PROVOQUANT ENCORE LA HAINE DES ILLUSIONNISTES PATENTÉS ALGÉRIENS TOUJOURS PLAINTIFS.

       Ce n’est nullement un éloge de la vanité de dire, n’est-ce pas le Maroc s’y était essayé à merveille à maintes reprises du rôle de ré-unificateur au Grand Maghreb, n’ayant jamais cessé de montrer dans ses souhaits d’atteindre un degré d’unification formelle ? Ne faudrait-il en suivant l’exemple des pas du souverain Sa Majesté Mohamed VI en Afrique de se poser la question cruciale, pourquoi cette entité arabo-amazighe a-t-elle contracté la maladie grave dont elle conserve les séquelles ? Celles de l’impossibilité même en 2014 d’intégrer la mondialisation en tant que bloc unique pour pouvoir briguer une meilleure place. Parce que, comment pourrait-on encore supporter les essais des officiels algériens de leur désir de revanche infortune sur le Maroc datant de la guerre des sables ? N’est-ce pas qu’avec le temps ces essais sont devenus seulement des programmations des intolérances au gré de leurs passions diversifiées ?

       Evidemment, lorsque le chef de l’Etat algérien se prend lui-même au jeu des blessures, ne sait-il qu’il ne fait qu’accentuer la turgescence de la saignée entre deux peuples frères ? Par ailleurs, de ce fait, ne les met-il en exposition aux violences verbales non calculées, comme ce qu’est arrivé après son discours d’Abouja ? Voilà pourquoi il faudrait dépasser cette attitude fort dangereuse, car dictée par un tempérament suspect à l’insu des peuples du Grand Maghreb. Tant aux yeux des survivants de la réunion historique de Tanger qui eurent tôt fait poser l’idée à le construire, qu’à ceux des représentants officieux et officiels de la communauté internationale ne comprenant ce retard. N’est-ce pas que le Maroc, même si, toujours de marbre restant à demi-sourd aux divagations algériennes, il n’abandonne aucune occasion comme la tournée royale africaine de démontrer à tous, ce que pourrait apporter comme rayonnement le Grand Maghreb, hélas encore rabougri en attente de cautérisation de ses cicatrices ?

       Déjà de l’avis de tous les analystes politiques, le thème dominant de la tournée royale africaine est la haute moralité du souverain d’honorer sa parole donnée. Et ce, par l’engagement politique effectif multidisciplinaire du Maroc de traiter d’égal à égal avec les pays africains les diverses initiatives, et/où se conjuguent avec autant de bonheur partenariats gagnant-gagnant. N’est-ce pas là un nouveau progrès dans la prise en charge de l’Agence Internationale de Coopération pour la construction d'infrastructures, la réconciliation avec la bonne gouvernance et développement de l’investissement marocain en Afrique? En concomitance au soutien et financiarisation des PME-PMI, les télécommunications, l’électrification et l’eau potable, la formation universitaire et socioprofessionnelle pour palier les souffrances et les manques dans la santé et en agro-alimentaire voire fertilisation des cheptels, le transport et la logistique, les mines et surtout la construction d’une usine d’engrais au Maroc à Jorf Lasfer sur directives royales seulement à destination de l’Afrique.

       D’autant plus, n’est-ce pas une telle œuvre aussi vaste et composite ne pouvait manquer d’influencer d’autres postulants voulant leur réévaluation pour réintégration ? Au point qu’en Algérie son essai-escalade d’attaquer le poste frontière marocain par manque d’inspiration, évoque son creuset hypocrite et haineux vis-à-vis du Maroc. Suite à quoi évidemment, le Maroc s’est montré moins heureux mais ferme et déterminé, face à ce genre de procédés contestables. Attirant l’attention de l’Algérie dans les règles diplomatiques et aussi de la communauté internationale de ce bien curieux bon voisinage. En ce sens, ne faut-il reconnaître au Maroc son sang froid et maîtrise loin de tout appel à l’emballement verbal, ni aussi à la vengeance symbolique soit-elle ?    

       De ce fait, à priori, ce n’est nullement étrange d’entendre un ex ministre algérien reconnaître que l’Algérie a perdu l’Afrique sans avoir gagné l’Europe. Toutefois, l’ampleur de cette déconvenue comme le prédisent tous les observateurs avertis du champ politique algérien, s’accentuera quasiment contextuellement par les nombreux facteurs de l’émergence marocaine en interne et en Afrique. Alors même, l’Algérie ne bénéficie d’aucun soutien des USA sans conditions et encore moins du nouveau monde émergent (BRIC sans  l’Afrique du Sud) trop mercantile, n’offrant pas d’action de proximité avec une quelconque garantie de réciprocité. Ainsi, c’est tout juste incroyable de constater l’amertume chez nombreux officiels à propos du charivari entre les entités structurées de l’Etat algérien, en l’occurrence l’Armée le FLN et Ksar Lamradia. Dont parmi eux, quelques courageux voulant sortir de l’état de torpeur voire psychédélique, commencent à réaliser leur vie dans une Afrique qui brutalement a changé s’élargissant seulement vers le Maroc.

       N’est-ce l’un des aspects de cette tournée royale africaine, caractérisant la pensée puissante du souverain de retourner aux sources fondamentales du non alignement par l’entraide et la solidarité ? Loin des sacralités et passions sans raison, ayant soumis l’Afrique aux critiques sur les méthodologies employées sentant la dépendance dinar-petro-gazière. Notamment dans les échanges politiques concernant le Sahara marocain, dès lors qu’ils s’appuient sur le mensonge et non sur la tradition des liens séculaires  par comparaison effective du plein droit de l’Etat marocain sur tous ses territoires. Que par ailleurs une Pléiade d’analystes politiques et intellectuels à l’international, s’en inspirent du talent du Roi du Maroc et de sa détermination politique constituant son meilleur crédit au vu de son approche socio-économico-culturelle et cultuelle spirituelle féconde à la destinée peu commune. Vraiment, peu de Chefs d’Etats pourraient le faire dans une tolérance améliorée d’efficacité reconnue, leur permettant d’avoir la reconnaissance de ces intellectuels n’admettant plus de se taire. Parce que s’y sont mis à explorer l’environnement politique à propos des pensées démagogiques d’autres Chefs d’Etats africains constamment tournés vers le mépris de leurs peuples.

       Néanmoins, dorénavant, le peuple marocain ne peut-il affirmer d’une seule et unique voix qu’il est satisfait de cette audace royale exploratrice d’idées nouvelles contributives à la diffusion de bonne gouvernance au Sahara marocain et en Afrique. Contrairement à celles longtemps distillées empoussiérées sous des commentaires allégoriques sournois relevant de prétention d’apparence. Comme ce qu’a fait la girouette Aminatou sur France 24, vu qu’il s’agit en fait de mesquinerie abstraite tirée de procédés désuets, usant seulement de blabla à propos d’une chimérique gloire véhiculant propagande insipide révolue. Qu’à cet effet d’emblée toutes les tribus sahraouies rejettent en bloc, même et surtout dans les camps de la séquestration à Tindouf Rabouni et autres.  D’autant plus, ce rôle de serveuse du pouvoir algérien n’est plus porteur, en ce temps d’accélération de l’histoire pour apprécier la débandade africaine dans beaucoup d’endroits. Toujours utile que le journaliste de France 24 le lui a bien subtilement filtré en face sachant que c’est une renégate attitrée. 


       Qu’en fait le Maroc lui-même a viré son orgueil ne s’auto parlant plus, s’étant ouvert à l’Afrique via les mêmes idées de l'INDH et les recommandations transformatrices  élaborées par le CNDH et CESE pour le Sahara marocain. Et même au-delà, car sont aussi destinées à mettre en valeur les finesses astreignantes pour la gouvernance partagée dans un premier temps avec l’Afrique de l’Ouest Subsaharienne. C’est ainsi, vu que sans l’étourderie la paresse et l’oubli, qui des Chefs d’Etats africains voudrait encore suivre les officiels algériens zélés dans leurs programmations toujours sournoises, par rapport aux élégances  diplomatiques marocaines même dans l’offensive ? Ce qu’apparemment regarde la Mauritanie d’un œil intéressé pour pousser à la renaissance du Grand Maghreb, car se faisant redécouvrir le positionnement marocain dénonçant les hypocrisies et les dévotions sans âme de certains officiels algériens et leurs satellites pro-polisariens. Et ce du fait de par l’exégèse de l’apport déterminant du Maroc assistant à toutes les conférences et manifestations, qu’elles soient d’ordre politique économique où socioculturel et cultuel spirituel. Dont la Tunisie en bonne voie d’accomplissement, comme aussi la Libye en recherche d’équilibre politique, sont désireuses de copier le Maroc à bien des égards. 

samedi 15 février 2014

LE ROI DU MAROC A NOUVEAU EN AFRIQUE, TOUJOURS DANS LA MAÎTRISE OBJECTIVE DE L’EFFET PARTENARIAT GAGNANT-GAGNANT DES ECHANGES SOCIO-ÉCONOMIQUES POLITIQUES CULTURELS ET SURTOUT CULTUELS !

LE ROI DU MAROC N’EST-IL EN PASSE DE DÉVELOPPER SA STRATÉGIE GAGNANTE POUR L’AVENIR DE L’ENTITÉ MAROC-AFRIQUE ?

       Désormais l’intonation des discours royaux, le style dans les initiatives en parfaite symbiose de tous les ingrédients d’offre de bons partenariats et la continuité de la démarche du déploiement des efforts sécuritaires sur toute la bande sahelo-africaine sous mandat onusien, montrent que le Roi du Maroc est à l’écoute active de l’Afrique. Parce que s’étant fixé des objectifs clairs d’anticipation et recadrage d’un nouveau programme-management multidisciplinaire s’inscrivant en faveur de la femme la jeunesse et  aussi l’élite africaine selon les moyens dont il dispose. D’ailleurs le Maroc pour le citoyen africain, ce n’est pas seulement le pays à l’africité prononcée de par les liens civilisationels culturels et cultuels. C’est aussi et surtout la monarchie constitutionnelle sociale victorieuse de l’épouvante du printemps arabo-amazigh dans le calme la sérénité et la responsabilité. Dont le monde entier a découvert qu’il n’y a dans cette démarche aucune censure présageant une fuite en avant, mais seulement l’apparition d’un style réformateur politiquement assumé. Parce qu’en plus relevant de force visionnaire sans faiblesse et aussi du cœur sans déraison du souverain marocain.

       A cet égard, n’est-ce pas quand le fil d’actualités sert de référence et d’influence sur les grands hommes d’Etats, il devient difficile pour eux d’en confondre le vrai de l’ivraie ? En effet pour ceux des observateurs du champ politique marocain, qui auraient oublié d’en retenir une leçon d’histoire, notons que la marche du Roi en Afrique est d’une hauteur de vue profondément initiatrice de l’intelligence des africains à délaisser les chemins des chimères loin des vaines réticences et combats contre soi. A même de les sensibiliser de rejoindre les nouveaux essais d’approfondissement des relations usant du gout de la fraternité, sans en dépouiller le désir de reconstruction qui devine les dangers et menaces pour s’en prémunir.  C’est en ce sens que le Maroc continue à le faire d’une manière claire et proximale depuis l’avènement du règne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI  en 1999. Et ce, en formant les cadres de haut niveau selon un référentiel made in morroco  faisant l’objet de contrats-partenariats avec quelques pays africains. Sachant d’avance que les bénéficiaires pourraient intégrer à leur gré l’entreprenariat  dans le privé, en usant de clefs de bonne gouvernance dans un contexte évolutif s’articulant autour de cinq modules social économique culturel politique et surtout cultuel.

       Tout cela est bien sûr afin d’en améliorer la rentabilité de l’engagement et la parole donnée du souverain, en rapport de la demande consciente de ces chefs d’Etats de voir le Maroc soutenir leur contribution à l’éveil africain et participer avec eux à défendre les intérêts de leurs pays respectifs. D’autant plus, voulant dépasser le gout de l’errance voire la quête de l’inattendu qui leur évoque le climat mental dans lequel ils y ont vécu de mauvais souvenirs, et donc d’éviter la paranoïa de certains Ex Chefs d’Etats hautains et de surcroît tyrans. Que par ailleurs aujourd’hui, d’autres ne font qu’implorer Dieu pour que surgisse leur réévaluation pouvant susciter une profonde attraction autour d’eux, surtout celle du Maroc prévenant et réaliste. En fait, c’est l’appel à la dynamisation et consolidation de leur rapprochement auprès du Roi du Maroc, qui au demeurant s’y voit par responsabilité maîtrisée d’honorer son New Deal pour tous, dans le cadre de sa stratégie globale initiée en Afrique. Et donc, par conséquent, d’exhorter le gouvernement d’assurer à juste titre des formations continues à la jeunesse africaine dès lors qu’il en reçoit les demandes, pour une meilleure diffusion du concept de la gouvernance prenant en considération la sélectivité et la spécificité des offres diversifiées de chacun des pays.

       C’est vrai que tout acte politique de haute teneur et de considération, contient une part essentielle de recréation de l’histoire ne pouvant être retouchée ni remaniée. N’est-ce pas, bien avant les excellents accueils réservés au Roi du Maroc Mohamed VI en Afrique lors de ses nombreuses visites qui ont eu lieu dans un passé récent au Sénégal Cote d’Ivoire Gabon et Mali, le Maroc n’a cessé de mettre la dimension socio-économique cultuelle et politique au centre de son organisation diplomatique offensive ? Par ailleurs définissant les objectifs avec soins, afin d’orienter chacun des pays selon ses forces et spécificités sur le style partenariat à adopter, même en abusant à bon escient des vertus de la bonne communication pour récolter communément les meilleurs résultats. Et/ou la passion transcendantale est tout simplement la recherche des concordances des suggestions sans jamais imposer une quelconque conviction d’un coté comme de l’autre. Sauf qu’encore pour le moment, tout n’est pas acquis à d’autres pays africains au vue de leur retard de prendre conscience de la force des vraies raisons de s’embarquer avec le Maroc dans le train de la gouvernance. Surtout de par leur déni des réalités non loin du broyage du bonheur de leurs jeunesses par les sous-entendus des attouchements politiciens irresponsables. Dont la visite officielle royale à partir du 18 Février 2014 au Mali Guinée Conakry et la tournée de travail en Cote d’Ivoire et Gabon,  s’annonçant de confirmation des liens en interne et en externe de façon verticale et/ou transversale, les boostera et les poussera à changer d’avis.

       Néanmoins, outre l’intérêt fondé que la communauté internationale porte au souverain marocain, n’est-ce pas l’art politique de sa marche en Afrique avec laquelle il fascine occupe le devant de la scène arabo-africaine ? Car en effet, il ne se passe guère de jour sans qu’un article ne paraisse dans les journaux et revues à l’international louant les raisons profondes de son marathon diplomatique offensif en Afrique. Et dont voilà alors, est-ce que ces peuples africains adhéreront-ils à ce nouveau concept déterminant jusqu’à la rupture définitive avec les foyers de prêche de haine par les actes génocidaires voire terroristes ? En tout cas, assez donc de bains de sang noyant toute idée légitime décriant le sous-développement ! D’autant plus régis par des maîtres tragédiens détenant toutes les franchises et les monopoles, tarissant  par conséquent la conscientisation des peuples africains. Assurément le souverain marocain par sa présence physique répétitive, ne fait qu’établir la communication avec la patience d’orfèvre politique pour mieux étayer l’interprétation consciente marocaine des essais et tentatives d’évitement de la Fitna à propos du fil d’actualités africaines. Car ne se doutant de l’apport de sa marche tranquille de par l’authenticité de ses raisonnements pour le maintien et la faisabilité de la paix sur le terrain. Et ce, en usant comme au Mali de l’art subtil de mener des opérations de rapprochements des antagonistes de sorte que l’intégrité territoriale et la cohésion sociétale ne reste dans le brasier et qu’elle puisse renaître des cendres de l’imbroglio malien. A cet égard, il suffit de lire les articles et éditoriaux africains d’accompagnement de la réception de représentants de l’Azawad, pour en déceler le mûrissement intrinsèque ayant produit transmutation dans les positions des protagonistes se libérant des préjugés. Ce qu’apparemment déconcerte le pouvoir officiel algérien touffu de rancœur, au point de rester toujours maladroit dans ses agissements vis-à-vis du Maroc.


       Cependant même avec cette rancune des décideurs officiels algériens, n’est-ce pas enfin que pour le Maroc-Afrique le futur réaliste étincelant provoquant l’admiration de la communauté internationale, commence à se dessiner ? Surtout quand on voit que le Roi du Maroc s’y implique fondant jour après jour avec des Chefs d’Etats africains à l’exemple du Mali Tunisie Guinée Conakry Libye et bien d’autres, la plateforme vivace et fraternelle sur le plan cultuel malékite. Afin de juguler les déstabilisations de religiosités fanatiques, parfois confessionnelles de confusions pan ethnicisées comme dans beaucoup de pays africains. L’exemple de la Centrafrique, où les religions, l’ingérence étrangère, l’analphabétisme, les viols des femmes et les mauvaises infrastructures jusqu’à l’inertie en matière de gouvernance, brûlent les fondements de l’esprit de l’Etat-Nation. N’est-ce le plus curieux coté de cette affaire centrafricaine n’étant pas arrivée à maturation, même ayant déjà commencé à sceller la réconciliation par l’élection d’une femme l’ex maire de Bangui à la présidence du pays ?

lundi 10 février 2014

EL OUAFA MOHAMED, LE MINISTRE NÉO-PJDISTE A LA CONVICTION ANTI-SOCIALE AVEC SOURIRE DE PAR SA FÉLICITÉ MARRAKCHIE !

EL OUAFA MOHAMED N’EST-T-IL LE MINISTRE MÉLANCOLIQUE SQUATTEUR D’UN MAROQUIN, CAR FUT ATTEINT D’AMNÉSIE  APRES S’ETRE ÉGARÉ EN RASE CAMPAGNE ISTIQLALIENNE ?

    
   Le gouvernement Benkirane I au moment ou s’achevait sa combinaison, a vu s’ébranler sa structuralité entortillée de circonlocutions irraisonnées parfois à l’extrême. Mais voilà que même en mouture II, la loi des séries continue de plus belle le mettant sous les projecteurs et les feux de la consternation  voire l’étonnement, si l’on se fie à ce qui s’écrit et se dit à propos de nombreux  sujets tout aussi décapants les uns les autres. Dont les  coalisés dès la première session en l’occurrence le PPS et MP, en paieraient les frais tôt ou tard. Au sens que leurs doléances programmatiques ne sont plus conformes avec les nouvelles recommandations étalées ici et là par Mohamed El Ouafa. Qu’au demeurant ne voulant se cacher pour se faire oublier, mais seulement se chercher une nouvelle virginité politique parce qu’atteint d’amnésie ne se rappelant rien de ses trente sept ans au PI.

       N’est-ce pas cela qui a discrédité les pjdistes auprès de la société bien-pensante, les voyant entretenir leur trame de correspondances secrètes entre le dit et le non-dit. D’autant plus, pour leurs coalisés continuer à comprendre cet égaré c’est en faire de lui, le véritable partenaire pour l’ajustement des nombreuses altérations du fonctionnement de la majorité. Au point que, leur vie politique quotidienne parait rythmée par ses états d’âme, qu’en fait semblent les marqueurs principaux du quotient activité/latence gouvernemental en dehors des affaires étrangères cultuelles agricoles et sécuritaires. Effectivement, n’est-ce dans ce sens qu’il est entrain de mettre en place plusieurs mesures mêmes les plus asociales en rapport avec la réforme de la caisse de compensation, la refonte des caisses de retraites, l’optimalisation et visibilité fiscale, omettant la simplification des rouages administratifs et la régulation proactive de la lutte contre la corruption ? D’ailleurs tout un chacun ressent cela comme la suite logique de l’action gouvernementale faisant du sur place avec une inconsciente prodigalité aboutissant à un climat social délétère.

       Sauf que, parallèlement, El Ouafa ne savait-il en rembarquant dans le gouvernement Benkirane II sans plan d’action bien élaboré, ni visibilité sur les priorités et encore moins les outils de régulation seulement du patati-patata d’indexation-désindexation, qu’il pourrait en subir d’autres secousses pouvant naitre de la conscience nationale exacerbée par ses dénis des réalités que lui reproche déjà le MP en sourdine pour le moment. Dès lors qu’il s’est trouvé subitement charger du courrier du gouvernement que l’on appelle désormais gouvernance nécessitant écoute attentive des propositions d’autrui. Notamment au vue de l’action anti-sociale gouvernementale ayant auparavant été trop boulifé concernant l’approche participative de gouvernance  non concertée. De ce fait, ne marche-t-il sur le sable mouvant en faisant l’antisocial autiste tout en souriant ? Car œuvrant d’imagination subjective de courte vue faisant celui qui a soif dans le désert, ou rien n’est véritable devant lui que des mirages se multipliant en lacs et cités merveilleuses. Mais le hic c’est qu’en même temps voulant apparaître avec le visage de tous les ministres à la fois, le criant à qui veut l’entendre même sans en avoir les compétences requises ni stratégie globalisante pour les en convaincre eux aussi.

       Aussi, au vu de la résistance qui se construit à tout cet escamotage par l’essai d’effectivité rapide sans garantie d’efficacité, il n’aura de choix que s’attendre de s’effacer cependant à jamais, de la mémoire des marocains pour ce rôle issu de marchandage politicien invraisemblable contre le PI sous Chabat. Néanmoins, ne sait-il que ce ne sont pas ses insinuations non nuancées sur les rapports des institutions honorables lors d’émissions télévisées, qui intéressent les marocains tous les corps socioprofessionnels confondus syndicats consommateurs et même l’opposition constitutionnelle ? Mais seulement les répliques émouvantes bien construites fondées, par des personnes imperturbables bien au diapason de l’économie réelle, face à la démarche gouvernementale saccagée par les pensées populistes qui n’émeuvent et ne surprennent plus.

       Cependant, pourquoi dans l’équipe Benkirane II, certains ministres sont devenus à ce point presque des Kamikazes politiques, faisant fi de l’effectivité réelle de la constitution sur le terrain notamment au détriment des démunis ? Découvrant ce créneau, en  n’usant en plus que d’idiomes, d’abord pour remodeler leur prétention de ne plus croire à la quête douloureuse de la réalité, et ensuite pour se dissoudre dans la bulle des créations de diversions surprenantes tout en négligeant de répondre aux critiques fines des spécialistes savamment illustrées. A cet égard que pense El Ouafa de cet apport de solutions à cette problématique-affection vu que pour lui aussi comme eux, voter ne signifie plus effectuer un saut performant que possible de l’état d’apprentissage de la démocratie dans le Maroc nouveau ? Pourra-t-il un jour s’il en a encore le temps dire aux marocains, pourquoi ce gouvernement traîne-t-il les pieds dans la mise en place du rôle des oppositions institutionnelles ? N’est-ce simplement peut-être,  pour ne pas favoriser de rapprochement entre elles où avec d’autres, notamment en rythmique des contestations contre la politique gouvernementale ?

       En effet ne sait-il encore que depuis l’arrivée des pjdistes aux affaires, leur thématique politique principale ne représente plus les choix judicieux d’une politique publique sereine et efficace pour remettre le pays en bonne marche ? Parce que, quel que soit la gravité du sujet à traiter politiquement, ils se retrouvent toujours face à leur propre handicap cognitif des connaissances ne sachant pas bien faire. Ce qui retenti automatiquement sur la qualité des lois et procédures et aussi sur la marche économique sociale culturelle éducationnelle et psychologique du pays. Mais là ou le bas blesse, c’est que parmi eux certains égarés au gouvernement ne veulent se libérer, restant sans vraie fonction étatique seulement rodant autour du chef en donnant l’impression de contrôler la Halqa. Dont d’autres tout aussi perdus s’y amusent politiquement, au point même découvrant la diversité et la richesse de la vie publique de ministérialité au quotidien, ils ne font que laisser les marocains à leur faim sans les délivrer des mille contingences des somnolences. Surtout à zéro lendemain sans normalisation politique des facettes cachées du mal fait par les discours pjdistes mirobolants à connotations populistes, par rapport à leurs rêves et méditations légitimes sur l’avenir bien avant un certain 25 Novembre 2011.

       D’ailleurs que ces égarés séduisent ou qu’ils irritent nul ne peut rester insensible à leur extinction de mémoire en matière d’analyse à l’exemple de prendre la réinsertion de la citoyenneté faisant partie des arts et métiers. Encore une extravagance montrant l’essoufflement dans leurs pensées, car il s’agit d’un strabisme d’évaluation politique, alors que, se reflètent chez d’autres compétences plus aguerries maintes approches par l’aisance du verbe concret et la finesse de décrire les situations sans blabla de mal-être. En somme, ne faut-il pour Benkirane d’arrêter ce processus désolant par une prise en charge effective de la gouvernance concertée, qui saura coordonner les filières et institutions d’intervention dans un cadre pluridisciplinaire réadapté aux réalités du pays sans complaisance ni tremblement ? Et ne pas continuer dans la voie ouafaéenne qui fait tant de mal au pays au nom de Char’iya de l’emphase, malheureusement sans résultat apparent. Surtout en ce moment de trade-unions qu’orchestrent alors des forces sociales vives en l’occurrence les syndicats, heureusement dans la non violence ne laissant de place qu’à la défense légitime des valeurs de la dignité des marocains. Qu’au demeurant n’en fini toujours pas sous des cieux pas lointains, allant en direction de désintégration de la signification du mot Char’iya, où, s’entretiennent des rapports politiques violents entre les protagonistes.


       En résumé, pourquoi n’y a-t-il qu’esprit fantaisiste et criée d’humour avec préciosité dans le langage d’El Ouafa ? N’est-ce pas qu’en s’essayant toujours de s’exprimer sous une forme d’existence rusée soi-disant librement complètement, il ne fait que démontrer la pénitence qu’il s’est imposée ? Surtout en employant pour sa défense la seule arme qui l’affectionne et qu’il ne maitrise pas, en l’occurrence le faisceau informatif à reculons. Voilà ce qui nous ramène au plus fort de son extase suite au miracle d’être ministre de l’Education Nationale, et qu’en effet il n’avait montré la moindre tristesse d’avoir été doublé à la veille de sa prise de fonction, à propos des parachutages des délégués provinciaux révérencieux opportunistes et incompétents qui par ailleurs n’excellent que dans les offrandes et réceptions-séjours en thermalisme Été comme Hiver en mer et sur les dunes du désert. Et ce, en faveur de leurs protecteurs d'en haut et leurs familles, car occupent des postes décisionnels dans les rouages de l'administration centrale du ministère. Comme ça, n’a-t-il montré son vrai ancrage dans l’attitude de ne rien faire ni dire de cette faute originelle de l’ex-ministre Madame Laabida, même à demi-mot lors des passations de consignes. N'est-ce pas qu'il est certain que cette nonchalance de sa part a provoqué raillerie, dont il fut l’objet de la part du corps enseignant, comme des observateurs politiques. Tellement que Belmokhtar le ministre actuel revenant au poste, ne peut ne pas en apprécier le mécontentement royal à propos de la rentabilité en qualité d’enseignement public et privé voire de gestion de bon nombre d’académies et délégations se prêtant rien qu'à la confusion des genres. Dont tout le monde en parle ici et là, concernant certains étant en même temps les administrés et chefs administrateurs du secteur de l'Education Nationale dans leur territoire, sorte de non sens de la responsabilité. Ce qu’apparemment hante El Oaufa ne voulant se voir inexorablement imposer un silence dans ses réflexions pour éviter d’autres dédifférenciations de l’âme de sa conscience, vu qu'il avait découvert sur le tas un peu tardivement, les quelques trames de filouteries administratives tissées à son insu. Finalement ne peut-on dire qu’El Ouafa est devenu malgré lui la préoccupation essentielle des scrutateurs politiques, cherchant à quel degré ses réponses sarcastiques à la limite e la correction, ses sorties médiatiques profuses non calculées et ses décisions administratives n’excluent en aucune façon le copiage de la spontanéité du chef du gouvernement ?

samedi 1 février 2014

LOUARDI HOUCINE LE MINISTRE DE LA SANTÉ A PPSÉITÉ BIGARRÉE, SE MONTRANT POLITIQUEMENT PRAGMATIQUE SEULEMENT QUAND ÇA L’ARRANGE !

 PEUT-ON CROIRE QUE LES MAROCAINS VOTERONT POUR LES PARTIS DIFFUSEURS D'HISTORIETTES AUX MULTIPLES SOUS-ENTENDUS ?

       Longtemps avant le oui référendaire du 01 Juillet 2011, quelques analystes politiques avertis avaient tiré la sonnette d’alarme à propos du risque d’invention de langage par des opportunistes machiavéliques. Qu'en effet, n'usant en sorte que de symbole d’outrance d’incivisme voire incompétence, notamment par la parole vindicative sans mise au point ni vérification, et de fait occultant l’envers de la médaille risquant de les mettre au pilori. N’est-ce pas que ces mêmes scrutateurs du champ politique avaient relaté dans leurs écrits et éditoriaux à consonance purement politique, les prédispositions de certains dirigeants en vue dans le panel politique à continuer à utiliser ce même genre de procédé ? Et qu'en plus d’autres se montrant à l’opposé de toute charte d'adhésion partisane alors que sournoisement affiliés par leurs idées, et de surcroît toujours appointés par des commanditaires en interne ou en externe, sont devenus des artisans de la plume acerbe s'appropriant la délation et la dénonciation pour affaire les concernant seulement.   

       A cet égard d’ailleurs, que pense Louardi de cet axe éditorial plus particulièrement de leurs sorties médiatiques relayant la médisance la contrevérité et les historiettes aux multiples sous-entendus ? Ne s’est-il posé la question que lui aussi botte de temps en temps dans cet art politicien le mettant au service de leurs réflexions creuses sans valeur ajoutée, si ce n'est défendre leurs intérêts pécuniaires. Dès lors qu’ils cherchent à faire des bénéfices conséquents parfois en nature sans témoins sur le dos des petits démunis. Même ne sachant pas qu’ils étonnent désormais moins que la profusion de langage au dessin de machine de guerre des politiques politiciens entichés, dont l'objectif principal est de bâtir des digues-guides contre toutes les oppositions. Parce qu’évidemment, il n’est pas question pour eux que les petites gens puissent avoir accès à ce soi-disant savoir pouvant  aussi les mettre eux-mêmes dans l’embarras sachant que des appels à la mise en place de guide déontologique s'impose impérativementDont beaucoup de marocains croyaient que Louardi en tant que ministre de la santé vu son parcours professionnel respectable, il pourrait user de sa propre imagination et faire sortir le PPS son parti, de l’irrationnel des diversités des intérêts des copains et consanguins, surtout à propos des accords en sous-entendus avec le PJD.

       Néanmoins, malgré cette prémonition-constatation, Louardi ne sait-il que l’ardeur d’autres vrais politiques de ses camarades des rangs du PPS comme Saadi, Grine et même ceux de la nouvelle vague penchés sur de valeureux parchemins, n’a pas faibli pour mettre ces usuriers vindicatifs devant leur responsabilité ? Au point qu’au contraire même, ils seraient devenus richement enluminés s’agissant de la diffusion écrite de leurs idées non erratiques. Et/où, il n’est pas question qu’ils en soient juste une curiosité corrective de ses errements à lui et aussi des pasticheurs comme l’Ouafa le ministre égaré pendant la campagne istiqlalienne, et surtout Benabdellah son chef au parti et ministre titulaire de demi-maroquin par conséquent doublement fracassé dans sa tête et dans son amour propre. A même de les montrer n’ayant rien vu venir comme lui, ni deviner que bien des révolutions comportementales mauvaises aucunement supportables à la limite du tolérable en démocratie, allaient commencer par eux. Ne savaient-ils eux qui se disent préparateurs de bonne gouvernance la séparant de l'ivraie, que les temps ont changé pour risquer d’en véhiculer leurs vérités discutables en l’absence de résultats notables de la marche  gouvernementale ? N’auraient-ils pu prévoir à quelle infortune était destinée l'invention du langage populiste politicien auquel ils avaient eux aussi travaillé avec tant d’espièglerie ?

       C’est maintenant certain, après l’émission 90 minutes pour convaincre sur Midi1TV du 30 Janvier 2014, l’œuvre grandiose qu’attendent les marocains des actions de Houcine Louardi n’est en fait qu’une approche d’utilité partisane politicienne seulement. Du fait du non conditionnement à bon escient du mécanisme de coordination du droit à la santé selon la constitution du 01 Juillet 2011. Par exemple en terme contextuel réel du système de couverture sanitaire AMO, RAMED et autres moyens sans duplicité ni multiplication de souffrance pour l’accès aux soins sur le terrain. Surtout en disparités d’équipements et autres actions de proximité devenues vecteurs de communication médicale des associations caritatives envers les marocains démunis dans le rural et l’urbain. Et ce, même si, il s’en défend farouchement par un langage redondant semi-socialisant fortement conditionné par l’expression « Allah Ghaleb », vu le manque de moyens et/où insuffisance budgétaire financière pour engager plus de ressources humaines et tout faire en parfaite harmonie des besoins des régions. Sauf qu’il devait éviter de s’illustrer dans ce système oral et visuel aux multiples facettes lors d’émissions de radio et télévision, sachant le risque qu’il encoure pouvant le faire sombrer sous les critiques par suite du nouveau vent d’idées politiques secouant les dogmes de l’ordre établi. D’abord contre l’islamité contentée de paroles obsessionnelles traitant d’autres partis comme porteurs de tares congénitales, puis vis-à-vis de l’attribution-notation d’autrui sur l’échelle triste des valeurs de normalité labellisée de moralité sans garde-fous.

       Cependant, d’autant plus, ce langage évoluant en l’absence de concertation inter et intra-professionnelle, il ne tient pas compte de l’effectivité d’assainissement administratif ministériel multisectoriel pouvant s’avérer salutaire pour le pays. Et c’est là ou le bas blesse car découlant de ses manipulations politiciennes sans garanties pour les professionnels, tout simplement pour donner l’avantage à des fantômes trésoriers et opportunistes sans scrupules ni légitimité déontologique. Hélas ! C’est toute son attention pour eux qui se produit, parce que n’étant pas avisé par des rumeurs de sa servilité aveugle à leur vis-à-vis. De fait, en se ruant sur l’invention Benkiranienne à propos de l’héritage koutléen, il s’en est trouvé sommé de dire des extravagances lui l’homme de réanimation et soins intensifs habitué au cas et situations critiques d’urgence pour ne pas tomber dans le panneau. En l’occurrence ne faisant que le sautillement sur place, confondant propositions populistes sans alternatives avec sa propre vision-militantisme bizarrement paraissant à tout un chacun opportuniste dans son expérience gouvernementale. Dont, quand même,  il pouvait en deviner les relents obscurs ne s’appuyant aucunement sur la cohérence et l’identité politique du PPS de Feu Ali Yaata.

       Nul doute que beaucoup de ses amis dans l’opposition n’ait considéré cette dichotomie de positionnement comme détail ou se trouve le diable. Car ce fut démontré sur bien des volets qu’en effet, aussitôt le hasard venait le mettre sur la voie de la ministérialité, il a commencé à échafauder des projets vraiment enthousiastes dans leur teneur et charge communicative mais sans concertation ni la moindre définition des critères de base de ses évaluations. Parce qu'espérant en tirer politiquement profit, voulant graver son nom sans montrer le coté populiste de cette affaire. Et dont la MAP bizarrement l’a primé pour ça, alors que la fracture sociale ne cesse de s’élargir, se voyant acculer à quitter incessamment sous peu le navire de par le conservatisme pressant des pjdistes sur tous les coalisés en dehors des rnistes sachant ce qu'ils font. Même si, c’est vrai que pendant l’émission 90 minutes pour convaincre, il s'y était essayé de s’auto-exorciser de la peur la haine et la jalousie par des gestes et formules d’exhaussement du mur de ses secrets. Était-ce là simple modestie, excès de prudence espérant éviter les répliques de l’inspiration subite du journaliste et son autre invité-contradicteur, où bien un concours de circonstances dû à sa péripétie malencontreuse vécue au parlement face à des pharmaciens petitement zélés ? Nul ne le saura !   

       A résumer son intervention, apparemment le PPS est toujours fidèle aux alliances stratégiques dans un Maroc qui avance. Mais l’objectivité était de définir la base d’une telle déclaration, sachant qu’une grande partie des militants, adhérents et aussi la société civile doutent ensemble de la situation politique actuelle du PPS au sein de l’équipe Benkirane II. Parce que se référant aux constats des institutions qui répondent aux besoins de l’Etat moderne au-delà de toute moralisation, par rapport à la variabilité des finalités l’ayant fait passer de l’opposition constructive à la participation active pendant quatorze ans. Sauf qu’avec le PJD, cette approche que Louardi qualifie candidement de dynamique contributive distinguée au sens d’un compromis historique ayant assuré la stabilité du pays, le capital du PPS risquerait de s’en trouver dans l’abime. Car si on se réfère au contexte national, n’est-ce pas qu’il donna l’impression de réunir ses mots répétitifs dans un cadre à coulisses pjdistes sans grandes précautions pour argumenter ? Alors qu’au contexte international, les attendus du jugement pour son parti seraient sans doute éloquents, par suite à l’ignorance de continuer à statuer dans l’équipe Benkirane II. Même si, tous les ppséistes savent que la politique est à la base, un vif désir de lutter contre la précarité, l’injustice et l’inégalité pour dessécher le bourbier de la marginalisation génératrice d’apprentis terroristes par les temps qui courent.

       Désormais est-ce que le PPS ne se trouve-t-il dans le recours infondé, en voulant éviter de tomber dans les dérives dogmatiques même en attirant l’attention des pjdistes ? A cet égard, ne faut-il pour les ministres ppséites sortir de ce jeu de miroir doctal ne tenant compte de celui historial, mais seulement de pseudo-idéologisation désignant l’exécution en démocratie par ce qu’appelle Benkirane « on va faire ». Cette sorte d’encyclopédie encroûtant dans les habitudes de paresse politique supprimant la spontanéité dans l’engagement. Et, dont les démunis risquent de s’en trouver dépouillés injustement de l’œuvre de la nouvelle vie constitutionnelle démocratique marocaine. A dire vrai ne s’agit-il de véritables motivations pour le PPS de ramasser ses billes et rejoindre le bercail de l’opposition comme autrefois ?