vendredi 29 décembre 2017

2017, UNE ANNÉE D'OFFENSIVE DIPLOMATIQUE DU ROI MOHAMED VI SANS PRÉCÉDENT.

EN TOUS LES CAS, N'EST-CE LA LA VÉRITABLE DYNAMITE EN ALGÉRIE NE SACHANT PLUS SUR QUEL PIED DANSER ?

       Décidément, chaque jour apporte son lot de confirmation du leadership du Roi Mohamed VI dans plusieurs domaines. Tellement, il est maintenant admis que la place du Maroc dans le concert africain et pas seulement, se bonifie avec son aura à l'international. En effet, c'est à proprement parler dans l'utilisation du mot ''retour'' à l'UA que réside la valeur ajoutée dont tout le monde en parle, notamment, après le discours mémorable au Sommet d'Addis-Abeba fin Janvier 2017. Ceci pour la simple raison que le Maroc n'exige plus des pays encore récalcitrants vis-à-vis de son Sahara, de ne se bâtardiser en reniant la temporalité politique de ce dossier dont il tire légitimement sa détermination sa fierté et sa dignité. Et, puisque on y est, n'est-il temps pour le Conseil de Sécurité de l'ONU, de revenir aux détails qui invitent à faire preuve de plus de vigilance face aux gesticulations du Polisario dans la zone de séparation sous le regard de la Minurso ? Sachant qu'il n'y a plus de suspens dans les influences non seulement diplomatiques à l'ONU, mais aussi des implications militaires à l'avantage de Rabat par rapport à Alger, afin de se prémunir du fait accompli et de sa contagion aveuglante. Ainsi, n'est-on pas en droit de se demander, au nom de quel principe le pouvoir Boutaflika continue-t-il à nier la souveraineté du Maroc sur tous ses territoires de Tanger à Lagouira ? D'autant plus que l'erreur de l'OUA en 1984 à Nairobi n'est plus acceptable ni justifiable ni tolérable par plus de 48 pays africains en ce temps présent au sein de l'UA. Comme ça, c'est maintenant clair que l'accueil du Polisario sur les territoires de la Wilaya de Tinfouf ne cesse d'aviver l'inquiétude de tous ces pays. Ç’a quoi la lame de fond de cet éveil africain dont il ne faut rien relativiser, y compris pour le peuple algérien qu'au demeurant  reprend les revendications promarocaines en insistant pour que soient données à l'entente Alger-Rabat ses lettres de noblesse. 

       D'ailleurs, avec ce postulat sous le nouvel ordre relationnel après le retour du Maroc à l'UA, n'est-ce pas son attitude montre qu'il n'entend pas dépasser le degré de bon voisinage avec l'Algérie ? A tel point que nos frères algériens se moquent de l'équipe Boutaflika, en lui passant des messages en contre-coup à chaque fois que le Maroc prend des initiatives diplomatiques d'envergure. Comme celle de rappeler à Donald Trump la dangerosité de sa décision à propos d'Al Qods, ou à chaque fois qu'il ramène sous son influence un pays égaré voire récalcitrant par rapport à son Sahara. A ce titre, déjà, l'on peut confirmer, que sa retenue mesurée observée partout en Afrique, a pour elle le mérite de la logique destinée à faire comprendre que Rabat s'en tient toujours au principe de la balance diplomatique gagnant-gagnant sans agression ni perfidie. N'est-ce ce qu'a noté Jacob Zuma qui, depuis sa rencontre avec le Roi Mohamed VI en marge du Sommet UE-UA d'Abidjan 29-30 Novembre 2017 ? Pour ne plus prendre d'initiatives à l'encontre du pays en l'occurrence le Maroc, qui a tant fait pour l'Afrique du Sud. Corroborant que ce n'est un secret pour personne que l'Algérie présente des signes de fatigue, dont il est maintenant sur que d'ici quelques mois, plus un État africain ne marchera pour le Polisario. Ainsi, l'on peut dire, 2017 c'est aussi l'année de supplices pour l'Algérie et son avorton, voyant son rêve d'avoir un comptoir sur l'Atlantique se dissiper quarante trois ans après. Et, même qu'elle est devenue le ''Zéro'' en diplomatie à l’international, n'en n'ayant à ce jour compris ni le pourquoi ni le comment elle a tout raté pour aboutir à l'impasse et l'isolement. A cet égard, même les sourires tarifés que lui faisaient des années durant quelques décideurs africains corrompus, ayant acquis la culture des salles d’attente des généraux algériens, ne l'ont aucunement aidées à se repositionner et redevenir persuasive comme du temps de la guerre froide.

        En cela, qu'en on juge les éditos et les quelques écrits d'ici là des spécialistes en stratégie militaire en Afrique du Nord ! N'ont-ils, tous, déclaré le Maroc véritable puissance régionale pour la réalisation de l'espace vital social économique cultuel culturel écologique et sécuritaire pour le maintien de la paix, tel qu'il est défini par l'ONU ? En plus, ne l'ont-ils fait sans contenir aucune de ces précautions d'usage dont ils usaient régulièrement en pareil cas et qui restreignaient le devoir d'assistance à toutes les provocations. A l'exemple de ce que veut imposer l'Algérie au G5 Sahel, n'en voulant pas que la France l'une des parties contractantes ne puisse continuer à s'impliquer contre les complications guerrières des groupuscules terroristes. Mais, pourquoi l'Algérie veut-elle à tout prix exclure la France en tant que principale couverture de garantie vers l'efficacité de secours même relative, en cas d'agression contre l'un des pays le G5 Sahel ? N'est-ce là, du reste, l’intérêt du positionnement du Roi du Maroc avec beaucoup de  discrétion et un sens rigoureux de la responsabilité d'aider à combattre le terrorisme partout en Afrique ? Telles sont à peu près les idées que Moussa Faki Mahamat semble exposer montrant qu'à son tour il s'accroche à la dynamique de la diplomatie royale en Afrique. Allant même jusqu'à se livrer en OFF en disant, si le Polisario compte sur lui pour l'épauler, il se trompe ! Comme ça, à la lueur du train de changement à l'UA à Addis-Abeba, on ne peut que constater la pertinence de ce raisonnement qui accorde peu de crédit aux motifs d'irritation de l'Algérie. Mais, comment aurait-il pu être autrement, devant la brillance et la prestance du Roi Mohamed VI au Sommet UE-UA à Abidjan. Ce qui a montré le Maroc comme terre d'accueil, d'échanges d'idées constructives, de remarques enrichissantes et de suggestions contributives à la stabilité et la paix en Afrique. Dont, aussi, au Sommet de Paris sur le climat, le Roi Mohamed VI fut chaudement félicité en séance plénière pour son rôle et son attention de faire du Maroc la plateforme numéro 1 de l'énergie renouvelable dans le monde à l'horizon 2030.

       A cet effet, n'est-ce pas le Conseil de Sécurité de l'ONU sait que le temps joue en faveur du Maroc, ayant tracé ses lignes rouges pour ne se laisser ni faire ni prendre en tenaille terroriste par les groupuscules rodant dans cet espace, s'additionnant en plus aux sautillements du Polisario croyant pouvoir mettre en danger l’intégrité territoriale. Mais, pourquoi l'équipe Boutaflika via ses généraux, continue-t-elle à bluffer sur l'état du Polisario, en essayant de tromper même le peuple algérien ? Pourquoi n'ose-t-elle pas l'ouverture de la frontière terrestre avec le Maroc, sachant que le Roi n'a pas varié dans sa politique à son égard, faisant inlassablement montre de la plus extrême bienveillance pour ne pas insulter l'avenir ?  Pourquoi se plait-elle dans ce jeu de dos à dos, en plus le faisant dans un climat déplaisant de ses manœuvres militaires sous-couvert d'agitation polisarienne ? D'ailleurs pour l'ONU, ce regain de tension reste extrêmement maitrisable et donc n'affecte aucunement son plan pour la Résolution fin Avril 2018 à travers la nouvelle approche trop secrète de Horst Kohler. De fait, qu'on ne le veuille ou pas, n'est-ce donc à une police d'assurance et d'épaulement non provisoire via la sécurisation marocaine de la région MENA-Sahel subsaharienne africaine à laquelle l'ONU et le G5 Sahel doivent aussi souscrire ? Parce que, l'armée algérienne avec son arsenal militaire ne peut faire jeu de suprématie, après avoir pris connaissance de l'avancée marocaine en matière de moyens logistiques performants de géolocalisation-minute, le satellite Mohamed VI A faisant foi. Et, c'est là, du reste, où réside l'obligation de consultations naturelles entre la France et le G5 Sahel, dont l'entraide mutuelle avec le Maroc parait une garantie suffisante contre les menaces terroristes.

       Néanmoins, comme tout un chacun peut comprendre, la garantie du Roi quant au danger de voir Al Qods devenir la capitale d’Israël est reconnue dans les circonstances du moment. Tellement, elle s'accompagne d'une réserve claire et nette de sa part de n'adhérer aucunement au coup de Trump qui en fait l'une des conditions de sa ''solution d'ensemble'' pour deux États, en l'occurrence La Palestine et Israël. Raison supplémentaire pour le Souverain en tant que président du Comité Al Qods, de se cambrer dans son intransigeance. D'ailleurs, la dénonciation par le Maroc de cette idée de Trump de transférer l'ambassade des USA à Al Qods, n'est-elle apparue l'acte diplomatique essentiel de se consulter sur les mesures à prendre en étroite collaboration avec l'ONU ? A l'évidence, il s'agit de l'instrument diplomatique au sens noble du terme, qui ne visait pas les USA en tant qu’État, mais seulement la perfidie de la Maison Blanche ne répondant pas aux inquiétudes que ressentent les musulmans quant à l'avenir du 3-ème lieu saint de l'Islam. Au sens où, l'ONU  considère cela comme quasiment une voie inéluctable à plus de tension, à même des passes d'armes en continue qui opposeraient Israël aux musulmans de par le monde. Mais, pourquoi Donald Trump a-t-il lancé ce programme de promesse électorale, s'il n'avait pas prévu la déclaration de guerre à ce monde musulman pour le contraindre à marcher aux pas américains ? N'est-ce là, où l'on voit que le Roi Mohamed VI a dextrement fièrement manœuvré en boostant la dynamique de controverse anti coup de Trump et en s'y prêtant à un resserrement encore plus accentué entre les puissances au Conseil de Sécurité de l'ONU et le monde islamique ? D'autant plus, il n'a jamais craint, contrairement à d'autres chefs d’États, que le risque de la conversion de l'administration Trump n'entraine moins d'avantages pour le Maroc. C'est pourquoi, prenant en considération la réponse spécifique murement réfléchie du Roi du Maroc respectant les règles de courtoisie les plus strictes, Berlin Paris Bruxelles Rome Madrid et Londres ont convenu fournir à l’État palestinien une garantie du même ordre que celle qu'ils avaient fait bénéficier à Israël pour sa sécurité. A bon lecteur, bon décryptage !  

vendredi 1 décembre 2017

L'ORAGE QUI S'AMONCELAIT DANS LA RÉGION MENA-SAHEL SUBSAHARIENNE AFRICAINE D’OÙ, LA FOUDRE POUVAIT JAILLIR A TOUT INSTANT A CAUSE DU POLISARIO, EST-IL VRAIMENT DISSIPÉ ?

NE PEUT-ON D'ORES ET DÉJÀ CONCLURE APRÈS LE SOMMET UE-UA D'ABIDJAN QUE L'OPTION N'EST PLUS ENTRE LA GUERRE PROBABLE ET LA GUERRE INÉVITABLE MAROC-ALGÉRIE, MAIS ENTRE PAIX DES BRAVES ET PAIX IMPOSÉE ?

       Si l'Algérie paraissait au Sommet UE-UA d'Abidjan 29-30 Novembre 2017 avoir perdue toute raison dans ses agissements anti-Maroc, c'est qu'il y a une autre raison que plus vite sera réglé le sort de la fantoche RASD au sein de l'UA. Peut-être maintenant, elle saura la recouvrer en acquiesçant sans autre objection l'attitude décidée du Maroc à ne plus se laisser marcher sur les pieds. Sans doute, ça lui conviendrait mieux que les réserves émises pour qu'elle révise sa position, dès lors que la conjoncture géopolitique et géostratégique militaire a changé. Aussi, l'engagement qui existait avec les thèses bellicistes qui prévalaient au sein du pouvoir Boutaflika via réarmement du Polisario destiné à harceler le Maroc, est maintenant caduc. Il s'agit, donc pour le Maroc, du réalisme défensif du projet sociétal rendant nécessaire et urgente la constitution d'un système pour contrer la radicalisation des positionnements anti marocains de ce pouvoir ingrat. Non seulement en restant vigilant tout en savourant en même temps les succès prônant la suprématie de la maitrise de soi via la diplomatie géopotentielle marocaine responsable. Mais aussi en confirmant à cette Algérie que l'objectif n'est pas de l''affaiblir encore plus par des refroidissements des bonnes relations, alors qu'elle aurait du se libérer de sa courte vue sans délai, après la fin des hostilités et escarmouches militaires en 1991 à la suite du cessez-le-feu. Parce que l'obstination de camper en faveur de l'orientation séparatiste a fait échouer la politique de construction du Grand Maghreb qui s'est trouvée freinée par ce fait. En revanche, en tout état de cause, voilà pourquoi Alger doit déférer aux revendications de légitimation pour le moment encore limitées seulement au Sahara marocain et non à l'espace oriental ex-territorialisé par la France sous De Gaule. 

       Ce qu'évidemment doit savoir Horst Kohler en l'occurrence, c'est  qu'on a fait une inflation de Résolutions du Conseil de Sécurité de l'ONU depuis, qu'en réalité celles des dernières années sont dégarnies des allégations algériennes. Pour toutes ces raisons, l'exigence du Maroc du représentant spécial d'Antonio Gutterress c'est d'éviter de continuer de préparer son approche en tenant le Maroc dans l'ignorance des sollicitations des lobbys. Au risque de la conflagration Rabat-Alger qui pourrait à tout moment s'embraser, notamment s'il tente de reprendre l’Arrêté de la Cour de Justice de La Haye 1975 rien que sous l'angle d'historicité des relations du Maroc et non de son souverainisme, et ce au mépris de la foi jurée pendant la Massira par tous les marocains. En effet,  cela ne veut pas dire que le Maroc tient à couper les ponts avec lui ni à l'acculer à une détermination désespérée. Même si, il faut le répéter avec force, toute menace aux intérêts vitaux du Maroc, d'où qu'elle puisse venir, provoquerait l'ire de tout le peuple de Tanger à Lagouira.  A cet égard, ne peut-on dire, c'est là où le Maroc ne fait qu'actionner le plus sur moyen d'approfondir, au fur et à mesure, l’intérêt renouvelé de coopération tripartite Afrique-Maroc-UE dans tous les secteurs normatifs du nouveau deal coopératif Nord-Sud et Sud-Sud ? Même si, on peut le deviner, ça ne convient à cette Algérie boutaflikienne en déliquescence subséquente à ses polémiques politiciennes qu'inéluctablement va la conduire vers la catastrophe. Au vu des impératifs diplomatiques qu'elle s'est appliquées dans ses stratégie-tartufferies, d'essayer au détriment de sa stabilité sociale et politique de mettre le Polisario au centre des obligations des intérêts européens en Afrique

       Évidemment, tout cela sans réussir la réalisation de ses plans machiavéliques ni de ne tenir pour inévitable une guerre avec les voisins. Sans les nommer ou ne désigner les objectifs dans un délai de deux à trois ans, comme l'aurait laissé entendre le vaniteux, léger et bavard Ouyahya au président Boutaflika lors de ses moments d'éveil, en présence de Gaid Salah et Messahel. Sauf qu'à présent, heureusement, il commence à comprendre l'inutilité et la dangerosité de cette entreprise pour son pays, au sens où il se leurre étrangement sur l'état réel de la balance des forces, notamment balistiques tactiques du côté de l'Ouest. Cependant, ce qui ressort de sa poignée de main avec le Roi Mohamed VI lors de ce Sommet sous l’œil arrangeant d’Emmanuel Macron pour qui l'Algérie, elle aussi, s'en est convaincue que le Maroc a établi son système composite de défense. Cela s'appelle, le FMP (Format Compact Maroc) d'initiatives intelligentes et actions concrètes, sans se voir contraindre à s'imposer de trop dispendieux efforts pour maintenir son avancée de géolocalisation stratégique sur terre sur mer et en l'air. Du reste, de ce point de vue, peut-on affirmer qu'il est loin le temps où l'Algérie cherchait à s'imposer dans le conflit du Sahara marocain à la pointe de ses missiles balistiques. Rien n'est moins sur, mais cela n’empêche de se préparer à toutes les éventualités, maintenant qu'en plus il fait partie des puissances ayant un œil du ciel. De nature à corroborer les interprétations des agissements agressifs par rapport aux bases de données certifiées sur l'état réel des mobilisations des forces. Parce que, pourquoi Boutaflika a-t-il prescrit à ses trois armées de procéder aux préparatifs, qui leur incombent en conséquence ? D'une manière imperceptible du dehors, voulant absolument, qu'en aucun cas les mesures à prendre ne paraissent comme des préparatifs de guerre. Et pourtant il n'y a pas lieu de douter de cette incroyable légèreté d'agissement dont fit preuve ce pouvoir algérien, prenant quand ça l'arrange, les marocains par les sentiments du bon voisinage de défiance. D'autant plus, qu'il se décharge de ce soin sur ses services de renseignement pour agir avec discrétion en parlant de paix tout en préparant la guerre. Dont on note la frayeur avec laquelle, il a observé la mise sur orbite du satellite Mohamed VI enivrant de sa puissance résolutive d'observation la fierté des marocains. Certes, c'est à la fois un merveilleux instrument de balayage scrutateur dans divers domaines et un très habile moyen d'enveloppement stratégique de la zone MENA-Sahel subsaharienne africaine, voire même au-delà. 

       Quoi qu'il en soit, peu importe les questions pendantes Rabat-Alger, assurément, aujourd'hui la frontière marocaine au Sahara n'ambitionne guère les généraux algériens zélés à la changer pour avoir une jetée sur l'Atlantique. Ils ne sont plus dans le cas du cynisme voyant d'antan, avec lequel le pouvoir Boutaflika avait violé la parole donnée, en continuant son interventionnisme dans les affaires internes du Maroc. En plus l'ayant fait par le mépris depuis 43 ans du principe de la souveraineté historique qu'a le Maroc sur ses territoires sahraouis, au nom duquel il les a revendiqués bien avant l'existence de l'Algérie. Et, aussi récupérés par ses propres moyens de pression et de négociations diplomatiques avec l'Espagne de Franco. D'ailleurs, n'est-ce pour cela le Maroc essaye d’élever le débat géopolitique au niveau africain ? Ne cherchant même pas à affirmer qu'elle ne tiendrait face à sa force multiposte diplomatique interactive de normalisation relationnelle avec les pays jusque là récalcitrants, dont les interventions futures étonneraient plus d'un. De fait, conséquemment sur la foulée, la participation de la soi-disant RASD à la signature d'un quelconque document de l'UA avec l'UE et que contresignait le Maroc semblait n'assurer que mésentente et donc précipiter les périls des divisions au sein de l'Afrique. Somme toute, est-ce que les rencontres successives du Roi Mohamed VI avec les présidents angolais et sud-africain au nez et à la barbe de l'Algérie n'en étaient la garantie qu'ils se sont proposés de conjurer mutuellement, voire ensemble ?  Aussi, de la sorte, Abidjan ne s'en était-elle assurée avant le Sommet UE-UA dans le grand secret tant à Rabat qu'à Pretoria ? 

       Néanmoins, à ce propos l'on peut avancer que probablement il y eut une sorte d'assurance tacite des secrétaires généraux de l'UE et UA, Jean-Claude Juncker et Moussa Fafi Mahamed pour que le Polisario n'entre dans aucun arrangement quel qu'il soit, qui plus est pour déranger des instruments diplomatiques mis en œuvre. N'est-ce là où l'on voit un coup de maitre de la part du Roi du Maroc pour stopper net la non neutralité de Zuma, et ce, avec une logique visionnaire de coopération bilatérale de grande envergure que ni l'UA ni l'UE et encore moins l'ONU ne pourrait contester ? Et après tout, pourquoi rester dans cet état d'ankylose diplomatique avec ces pays, pour faire plaisir à ce pouvoir algérien n'ayant cherché qu'à mettre le Maghreb et toute l'Afrique en situation métastable ? Finalement, pourquoi l'Algérie tarde-t-elle de sortir des péripéties d'aventurismes amateurs voire immatures destinés à froisser l'image du Maroc ? Alors que la balance géopolitique entre sa grandeur à lui et sa décadence à elle est si évidente, attestant que le modèle marqué par la représentation idéologique de soutien au Polisario a échoué. Parce que basé sur le mensonge, le guidage perfide des flux migratoires, le soutien illicite au terrorisme et la sous-traitance de la contrebande des drogues d'armes de médicaments et autres produits prohibés à l'international. En cela, n'est-ce pas la non temporisation des âpres accents de ses diatribes, n'en est que l'une des conséquences de sa rage envers l'UA l'UE et aussi l'ONU sans tendre à résoudre calmement sereinement ses propres contradictions ? A bon entendeur, salut !

vendredi 24 novembre 2017

QUAND L'UE DIT, PLUTÔT UN SOMMET AVEC L'UA A ABIDJAN LE 28-29 NOVEMBRE 2017 SANS LA RASD QUE SANS LE MAROC !

EN EFFET, A CE PROPOS NE S'AGIT-IL POUR ELLE DU SOMMET D'ANNULATION DES FAISCEAUX DE SOUPÇONS DE L’ALGÉRIE ? 

       Quand les analystes-chroniqueurs à l'UE à Bruxelles montrent qu'ils suivent étape par étape les perfidies des militaires et diplomates faux-anges au sein de l'équipe Boutaflika, pour inclure la RASD dans le programme du Sommet d'Abidjan avec l'UA. Cela, ne donne-t-il par leur repérage des points de la discorde Rabat-Alger, une idée non nuancée sur ces faucons viscéralement anti-marocains animés par l'esprit de haine de jalousie et de vengeance. A cet effet, côté marocain, ne faut-il le marteler avec soin et assurance comme quoi l'UE n'en a déclaré à ce propos pas moins que rien n'était conforme à son principe inébranlable de la non reconnaissance de la RASD. L'ayant fait avec des termes qui affirment que le rattachement du Sahara marocain au Royaume ne doit porter nullement les faisceaux de soupçons de l'Algérie boutaflikienne. Dès lors que ce qui la distingue des autres depuis feu Boumedienne, c'est la volonté lugubre de se démarquer par la légende noire vis-à-vis du Royaume chérifien. Dont la thèse développée, notamment à partir de 1999 c'est le repousser dans des retranchements afin qu'il n'occupe les devants de la scène internationale et ne refonde ni exerce sa légitimation en s'élevant comme une forteresse en Afrique et ailleurs. Dont, chemin faisant, on en devine que l'ONU se met, elle-aussi, au diapason de l'intuition de l'inspiration et de l'attitude du Maroc comblant de surcroit ses aspirations à trouver l'issue politique adéquate viable au Sahara marocain. Parallèlement aux dernières volontés de l'UE, d'où émane la relance de sa nouvelle coopération tous azimuts avec lui sur son Sahara au fait de la répétition de ces engagements publics et solennels d'en faire une plateforme des échanges avec l'Afrique. 

       En effet, tant au niveau géopolitique aux Nations-Unies que diplomatique dans les grandes chancelleries à Moscou Pékin Washington Ankara Buenos aires Brasília Manille et Londres, il est maintenant plus facile pour l'UE de défendre les intérêts géostratégiques du Maroc. D'ailleurs, n'a-t-elle fait savoir en subliminal, si donc, l'Algérie désire arriver à un nouveau état de contractualisation de ses relations avec elle, elle s'en félicitera ? Mais seulement à la condition, toutefois, qu'une telle approche repose sur une obligation absolument claire, l'engageant de se défaire une fois pour toutes de la RASD. Plus subtil tout en étant alambiqué raisonnement politico-diplomatique, connait pas ! Ainsi, si l'on tient compte de la première note de Horst Kohler pour le Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain, on voit qu'un changement est intervenu dans les règles de courtoisie de ce représentant spécial d'Antonio Guterres envers le Maroc. Certes, elles n'en furent pas moins observées avec neutralité et impartialité, mème en constatant que l'Algérie et son avorton le Polisario n'en veulent reconnaitre dans ces conditions, la légitimité de la situation nouvelle créée par lui. En plus du fait que, l'UA l'UE et l'ONU sont maintenant convaincues qu'il n'y a qu'une et une seule solution, si l'Algérie veut échapper à l'encerclement international c'est d'accepter sans condition l'offre d'autonomie 2007 et autoriser le Polisario d'en faire de même en tant que l'une des composantes du tissu sahraoui marocain.

      Voilà pourquoi, d'ores et déjà l'on dit ici et là, le Maroc a rompu l'incertitude quant à l'avenir de son Sahara. Il n'est plus dans la crainte d'avant avec les machiavéliques Obama-Ban Ki Moon-Kerry-Ross et leurs draineurs lobbyistes anti Maroc connus. Tellement, aujourd'hui, il est au centre du plus favorable échange diplomatique militaire et politique qui n'ait jamais existé à propos de son Sahara. N'est-ce là, où l'on s’aperçoit que tous les grands de ce monde n'oublient pas le rôle du Roi du Maroc qui, sans sa clairvoyance visionnaire responsable, leurs pays respectifs seraient terrassés par plus d'actes terroristes et de rushs migratoires encore plus incontrôlables ? Par ailleurs, c'est dans cette perspective qu'il convient de décrypter le resserrement des relations franco-marocaines qui lie leurs intérêts stratégiques économiques via partenariats tripartites gagnants-gagnants avec l'Afrique. Sans oublier, en plus, le volet du rayonnement multiculturel mutuel dans les grandes institutions et instances internationales à l'exemple de l'UNESCO aujourd'hui sous la direction de la franco-marocaine Audrey Azoulay. D'autant plus que c'est vrai, cette coopération aurait pu être beaucoup plus fructifiante depuis longtemps, mais les événements de quatre décennies d'anti-marocanisme primaire algérien ont favorisé la divergence des points de vue avec les marchands occidentaux des illusions politiques et des arguties dilatoires non fondées pour gagner du temps dans l'espoir de déstabiliser le Maroc.

       Ce qui corrobore que la vision stratégique et l'action géopolitique du Maroc en Afrique en ce temps présent, ont bousculé le décalage du réel économique par rapport au paysage sécuritaire dévasté par le terrorisme la migration et les guerres ethnoculturelles. Dont il faudra s'attendre au Sommet UE-UA d'Abidjan le 28-29 Novembre 2017 de la part du Roi du Maroc si il y participe, après que Moussa Faki sorte de sa duplicité de langage révoltante, au lancement de grandes idées de dépolitisation sur les gouvernances même avec avancée à petits pas. Pour ne rester dans l'immobilisme, et surtout sans faire porter la responsabilité de l'irréalisme à aucun des participants si ce n'est à l'Algérie sous l'équipe Boutaflika. Car l'UE sait désormais que, c'est bien dans le cadre africain paisible avec un Maroc fort de ses partenariats stratégiques, qu'il faut envisager la coopération avenir. Étant, aujourd'hui, objectivement convaincue que l'africanité n'a pris tout son sens qu'après le retour du Maroc à l'UA. D'autant plus, actuellement, l'on peut affirmer, le renouvellement des consciences pour le codéveloppement d'envergure tant attendu, est en marche. Avec l'objectif du Maroc de ne semer ni peur ni discorde avec ses voisins, mais seulement de leur soumettre l'efficacité de son avancée informative en collaboration graduelle et ce depuis les abords de la mer rouge en passant par les hauts plateaux d’Éthiopie Tanzanie et Rwanda jusqu'au bassin Congo vers l'espace de la CEDEAO. Ceci montre, combien il est illusoire de la part du pouvoir algérien et ses supporters résiduels de vouloir faire détourner l'UE de son ciblage du Maroc pour aller de l'avant. A bon lecteur, bon décryptage !

mercredi 8 novembre 2017

LE MAROC ASSÈNE LE BALISAGE DE SES PERSPECTIVES D'AVENIR EN SE RÉFÉRANT A SON REDRESSEMENT MULTI POTENTIEL DANS LA RESPONSABILITÉ ET LA SÉRÉNITÉ.

ENFIN LE MAROC VIENT D’ÊTRE COURONNÉ DE L’ÉLARGISSEMENT DE SES RÉSEAUX DE COOPÉRATION MULTILATÉRALE VIA L'OPTIMISATION DE SES SERVICES OFFERTS AU NIVEAU NATIONAL ET A L'INTERNATIONAL POUR LA PROSPÉRITÉ LA STABILITÉ ET LA PAIX EN AFRIQUE.

       Le Maroc officiel n'a pas l'habitude de communiquer ni avec ni sans arrogance, au sujet des actes-événements dont les idées peuvent s'échanger et se partager ailleurs selon les angles différents. En cela, même aujourd'hui, il ne voit pas pourquoi il le ferait même après sa prouesse tactique hautement technique de lancement de son satellite informationnel à la carte pour ses besoins civils et militaires sur la Base de Kourou. Tellement, qu'on ne le veuille ou pas, avec la collaboration étroite discrète voire secrète de la firme Thalès et Ariane-Espace, il est maintenant un ajusteur incontournable des connaissances hautement stratégiques pour l'exécution et l’extension de sa géopolitique au niveau de la coopération et le codéveloppement. Tel un espoir dans les territoires africains longtemps restés inviolés par le terrorisme, mais à présent sujets de convoitises et dont on les devine aujourd'hui avides de stabilité de responsabilité et de transformation en bonne gouvernance. A cet égard, il faut le rappeler, le 07 Novembre 2017 aux environs de 22h43mn heure de Guyane française soit le 08 Novembre à 1h 43 heure locale, le Conseil de surveillance de lancement des satellites n'a-t-il fait tombé les masques des ennemis du Maroc ? Non seulement par la douche froide que l'Algérie boutaflikienne en panne ait subi et dont le monde entier en parle de son retard avec presque ironie. Mais aussi par les communications pour le moins inhabituelles qui relèvent des compétences des membres de ce Conseil montrant le Maroc faire son entrée fracassante dans le club des pays qui ont au moins un satellite sur orbite. On chuchote même qu'il s'agisse de prérogatives que le Maroc et la France, comprendront qui pourront, ne se sont jamais hasardés à secouer ni même à piétiner pendant toute la préparation dans le grand secret

       Rappelons que tous les deux, le Maroc et la France sont les attributaires de la mise en chantier du projet avec mobilité non restreinte pour le Maroc dans l'exploitation exclusive à postériori dans ce secteur à la réalité professionnelle jouissant d'un capital humain producteur de la valeur ajoutée. Ce qui veut dire qu'il n'y aura que des exploitants-opérateurs marocains pendant toute la vie du satellite, avec aussi en contrepartie financière pour Ariane espace un important niveau d’investissement dans l'aéronautique dans le Royaume Chérifien. Pour cadrer avec les données géostratégiques perpétuellement mouvantes, et donc s'interdire l'improvisation dans la mise au point des programmes dont le ciblage la modulation et l'utilité de la connaissance forment la trame essentielle à la carte en faveur des demandeurs civils et militaires. Un marché de référence qui s’étalera sur des décennies et qui ouvrira pour le Maroc les portes pour d'autres opérations aussi importantes sur le continent africain via partenariats tripartites gagnants-gagnants équitables et équilibrés. Voilà pourquoi, le futur ministère des affaires africaines dans son évolution anticipative doit s'atteler impérativement à transformer l'éventail d'établissements de formation des jeunes africains diplômés pour les réadapter aux exigences des nouveaux marchés. Et ce, pour qu'avant tout ils assimilent parfaitement le monde de l'entreprise publique et privées usant de ses connaissances. Et, aussi pour qu'ils soient quasiment outillés des processus de production qui exigent une qualification dans la manipulation des technologies de pointe comme l'analyse des données cartographiques dans tous les domaines. Et oui, c'est là une occasion d'offrir à l'Afrique un autre sésame de viabilisation de la qualité des formations délivrées à ses jeunes ressortissants, par une batterie de mesures qui consistent en l'élaboration des modules de formation, en la mise en œuvre des dispositions d'évaluation adéquates et surtout en la certification des formateurs.

       Néanmoins, pour le 42-ème anniversaire de la Marche Verte le Maroc n'a-t-il eu droit au plus beau des cadeaux. Celui du lancement réussi du satellite Mohamed VI ''A'', au point que Boutaflika apparemment en a pris connaissance, notamment après les spéculations sur le report de l'événement. Alors que c'est une doléance sordide de la part de la cohorte du pouvoir algérien par suite de l'effet de surprise et du vent de panique qui s'en est suivi dans ses rangs. En fait, l'Algérie officielle a essayé de semer le doute à propos de ce lancement, allant jusqu'à trouver normal qu'elle ait un droit de regard sur l'opération. Une attitude qui est d'autant plus étonnante que ses dénis de son ''investment-grade'' au vu  des rapports émanant d'instances internationales financières à propos du climat des affaires en Afrique du Nord qui n'ont pas été tendres avec ce pouvoir. En plus, c'est arrivé moins d'une semaine après la sortie extravagante de Messahel, et d'où ces organismes reprochent à Boutaflika et ses ravisseurs à Ksar Lamradia le fait de ne rien faire pour sortir le pays du marasme économique. Ce qu'évidemment a réduit la capacité de ce pouvoir militariste à la Pinochet, à résister aux chocs socioéconomiques politiques et sécuritaires dont le pays se trouve désormais empêtré. En plus étant resté ankylosé dans ses perfidies anti Maroc, sans adoption de stratégie de recentrage de sa diplomatie, la maintenant invraisemblablement spéculative ondulée et piteuse sans espoir de revenir à la raison.  

       Et donc, c'est sans surprise que ''New-Maroc'' est né en cet instant, devenant de surcroit fournisseur de méthodologie d'accès à l'émergence en raflant la mise en investissements diversifiés. Et ce, en faisant face à des pressions des sphères et lobbys mécontents, parce que, son marché devient de plus en plus concurrentiel avec l'arrivée en force de plusieurs filiales d'entreprises internationales. Comme ça, d'ores et déjà l'on peut affirmer que le ticket d'entrer dans le club des pays émergents est désormais hors portée du pouvoir algérien. Ce qui veut dire qu'il y aura encore plus d'écart Rabat-Alger dans tous les domaines, avec un nouveau look des activités à l'international qui s'inscrivent dans la droite ligne de la feuille de route tracée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI par ce choix souverain de perspective d'avenir. D'ailleurs selon plusieurs observateurs internationaux, l'impact de cette approche multidimensionnelle du Maroc avec dextérité et doigté diplomatique est là pour le démontrer. A tel point, il n'y a plus de doute, le résultat côté Rabat est mirobolant si on y jette un regard professionnel sur les facteurs extrinsèque s'y afférant, car porteur d'un nouveau balisage en perspective prospective dont il se pare le temps. Gravant son inspiration dans la gestion minière et dans l'agriculture, s'ajoutant à l'aménagement des territoires la pêche hauturière l'environnement la météo la gestion des catastrophes naturelles la défense des frontières la lutte antiterroriste et anti migration...etc. Et c'est là l'interet primordial de couverture du satellite Mohamed VI ''A'' lancé aujourd'hui avec succès. En fait, le Maroc revient de loin et même de très loin si l'on considère que la réévaluation de cette prouesse technologique usant de normes de gestion en ON pour l'amélioration des performances opérationnelles en gouvernance. A bon suiveur, bon décryptage !  

vendredi 3 novembre 2017

LE SATELLITE MOHAMED VI ''A'', N'EST-CE LE BOUQUET DE LA VICTOIRE DE L'INTELLIGENCE LA PERSÉVÉRANCE ET LA CONSTANCE ?

SI LE MAROC NE DÉCOLLE PAS AVEC TOUT CE QU'IL ENTREPREND EN MATIÈRE D'INNOVATION TECHNOLOGIQUE, C'EST QU'IL Y A ANGUILLE SOUS ROCHE...?

       En pratique du renseignement civil et militaire, aborder l'arrosage voire la couverture du satellite Mohamed VI ''A'' de la région MENA Sahel subsaharienne africaine pourrait paraitre une question délicate pour quelques uns. Alors, pour une meilleure compréhension de ce sujet relatif à la sécurité du pays en ce temps des festivités de célébration de la Massira (Marche Verte 06 Novembre 1975), il sera proposé un ensemble de notions pratiques, desquelles l'UE et ses partenaires méditerranéens espèrent relancer une coopération d'éveil et de veille avec le Maroc. Et ce, sans entrer ni dans les détails des besoins ni dans la technicité très développée et encore moins dans les éléments de composition de ce satellite côté épiage et surveillance. En cela, n'est-ce d'emblée l'on peut dire, les fiches pratiques élaborées pour les initiés montrent des préparations dans le plus grand secret des intervenants, pour parer à l'absence et défaillance dans cette sous-région minée par les conflits le terrorisme la contrebande et l'immigration clandestine ? Non seulement dans la diversification des objectifs à atteindre, sachant pertinemment que des discussions très serrées de l'UE se poursuivent avec le Maroc en guise de collaboration adaptée avec lui. Mais aussi dans l'organisation adéquate pour faire de la région MENA une zone de paix et de prospérité, en contrecarrant le rôle perturbateur de l'Algérie et son avorton le Polisario, qu'au demeurant ne souhaitent aucunement la promotion du grand projet d'alliance des civilisations. 

       Maintenant c'est vrai, le porte-parole de la base de Kourou en Guyane française a indiqué que le lancement du satellite Mohammed VI ''A'' pour le renseignement le développement et la recherche n'est pas négociable avec quiconque. A cet effet, à l'entendre, on se serait cru, déjà, aux premières loges de cet événement qui aura lieu le 07 Novembre à 22h 40mn dans la salle de contrôle relookée pour la circonstance en un plateau de focalisation sur le Maroc, par des invités de marque de divers horizons. Ce qu’évidemment marquera, sans équivoque une étape critique dans ce choix stratégique du Maroc, se basant sur un code de bonne conduite selon des processus de maturation technicienne de haute performance. Tout cela, pour conditionner son avenir parmi la quarantaine de pays se positionnant dans ce domaine, primo par l'acquisition rapide de cette technologie en satisfaisant ses besoins d'investigation, et secundo en imposant des règles communicatives sérieuses dignes de foi en matière de qualité et quantité informationnelle dans la région dans plusieurs domaines.  D'ailleurs, n'est-ce ainsi, le Maroc se verrait-il, si tout va bien, en possession de garantie concrète par la réalisation des cycles des 500 photos/24 h et d’enrichir ses propres analyses en matière d'environnement de climat de sécheresse de navigation maritime et aérienne de protection-minute de ses télécommunications et défenses de ses frontières. Bref, il se positionnera, qu'on ne le veuille où pas comme un pays leader avec l’Égypte et l'Afrique du Sud en cartographie civile et militaire de haute définition et résolution en Afrique. En rappelant que toute cette logistique se fera en territoire marocain près de Rabat, par des techniciens nationaux triés sur le volet pour raison de sécurité. 

       En effet, on peut d'ores et déjà confirmer que la vision royale depuis 2001 au moment du lancement du premier satellite de petite portée jusqu'à ce jour, le poids géostratégique du Maroc a augmenté. Tellement son volume géopolitique est devenu conséquent se reconnaissant influent dans le monde, tout en s'adaptant à l'évolution du développement tous azimuts. Car, chemin faisant, il a pris conscience de sa place surtout en zone Euromed, et en Afrique que par ailleurs la marche du Roi Mohamed VI depuis son intronisation en a présenté une abondance diplomatique-relationnelle illustrant d'un coté le rôle du Maroc dans la mémoire des indépendances des pays africains. Et, de l'autre, le profilage de son émergence actuelle moderniste par l'accompagnement du codéveloppement Sud-Sud d'égal à égal avec tous les pays qui le souhaitent. Comme ça, ce ne sont ni les diatribes du pouvoir Boutaflika ni les gesticulations des lobbys et autres ennemis qui l'en empêcheront d'aller de l'avant dans cette dynamique de l'intelligence, se voulant être une véritable radioscopie de l'état de conscience du Maroc pour relever ses défis aux multiples facettes. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on s'aperçoit qu'il est en constance effervescence socioéconomique écologique culturelle cultuelle et sécuritaire, en plus le faisant avec détermination face aux chuchotements et réserves des ennemis de l'intérieur, qu'incroyablement continuent leurs stratagèmes des compilations de publications tendancieuses ici et là à l'endroit de leur propre pays. 

       Aussi, outre leurs chroniques frôlant l'insolite parce que mêlant contrevérités mensonges et faux-témoignages sur le Net et réseaux sociaux, le Maroc n'a jamais cessé de s'ouvrir à l'investissement. Convaincu qu'il s'agisse d'atypiques historiettes caractérielles décousues à son vis-à-vis, ne pouvant laisser les vrais patriotes indifférents sans réagir et donner de bonnes leçons à quiconque veuille soigner son image auprès des ennemis de l'étranger sur le dos des marocains. A cet égard, n'est-il déjà requis des contributions civiles et militaires communes détaillées précises et chiffrées avec le Nigeria l’Éthiopie et les pays de la CEDEAO, vu leur rôle essentiel dans le suivi de réalisation des projets stratégiques sensibles dans le cadre des partenariats gagnants-gagnants et la coordination entre les différents intervenants ? D'autant plus, si avec tout ça le Maroc ne décolle pas pour de bon, c'est qu'il y a anguille sous roche dans la gouvernance à l'Exécutif, dont il faudra authentifier les manquements et sévir illico presto par un autre séisme structurel politiquement parlant. Sans donner l'impression d'une provocation de seulement une tremblote éphémère, sorte de continuité à véhiculer la tolérance amère qu'elle soit envers des décideurs incompétents dans les postes décisionnels. Et, donc, pour le gouvernement Othmani en finition sélective, tout en détaillant les atouts du Maroc moderne en Afrique, n'est-ce le temps pour lui d'exprimer sa volonté de conjuguer les efforts du Roi pour le grand boom entamé par les accords de partenariats avec l'Afrique ? A bon entendeur, salut !

dimanche 22 octobre 2017

ENFIN MESSAHEL A MONTRÉ QU'IL RESTE SUR LE MODELE EXCLUSIVEMENT MENSONGER CREE PAR ABDELAZIZ BOUTAFLIKA DES 1966 ?

AU MAROC, A L’ÉVIDENCE, IL EST TEMPS DE NE PLUS PRATIQUER L'APPROCHE DIPLOMATIQUE AUSTÈRE ET FROIDE FACE AUX MALVEILLANCES DU POUVOIR ALGÉRIEN ET SES SATELLITES.

       Au-delà de toute autre considération, il est évident que la riposte diplomatique marocaine aux délires du ministre des affaires étrangères algérien Abdelkader Messahel est dans les tuyaux. D'ailleurs, que le pouvoir Boutaflika ne le veuille ou pas, elle sera l'expression qualitative utile à la réalisation de l'autonomie dans le cadre plus prometteur qu'est la régionalisation avancée durable incontournable. Particulièrement en rapport à la certitude sur l'épanouissement que veulent les marocains, sans idéologie de religiosité ni désordre de progressisme et encore moins de non croyance en les droits humains. En plus, loin du gouffre des ténèbres dont vit aujourd'hui l'Algérie, d'abord en s'armant de pragmatisme. Puis, en donnant plus de transparence dans l'autogestion pour se débarrasser des freinages perfides ici et là qui font blocus à cette alternative de production de stabilité de développement et de sérénité dans la région MENA-Sahel subsaharienne africaine. Ce qui, de fait, aidera à la mise au point d'une gouvernance appropriée de maintien parfait de l'équilibre socioéconomique écologique culturel et cultuel au Sahara marocain. Afin que le résultat sécuritaire s'y afférant ne soit moins satisfaisant, et ce, en utilisant les dispositifs d'alarmes conçus dans le cadre institutionnel où, à défaut, après le temps de sa mise en effectivité aux impératifs de rester vigilant. Parce qu'avec des gens comme Messahel, de par sa pratique de la diplomatie de dérobade tordue et fuite en avant, il faut s'attendre au pire au vu de son choix délibéré de défier et trainer par terre la dignité des marocains.

        Et oui, les gens du pouvoir chez nos voisins de l'Est ont tout au long des 18 dernières années, désiré et construit à forces de turpitudes, le mur d'incompréhension Rabat-Alger, tout en se projetant dans leur chimérique rêve d'avoir sous leur domination et contrôle toute la sous-région. Mais, pourquoi sont-ils si naïfs d’être restés sur cette idée pendant tout ce temps ? Ne voyant qu'au Maroc, on est déjà au stade d'en rigoler voir d'en rire un bon coup de leurs vieux réflexes d'un temps révolu. Autrement dit, pourquoi est-ce que le gouvernement Ouyahia a-t-il un déficit d'écoute et d'attention vis-à-vis des voisins ? Étant donné, quand on scrute le comportement de certains de ses membres, on voit qu'ils s'agitent nerveusement en masquant leur peur qui se jette sur eux comme une douche froide les mettant dans une torpeur. On a même l'impression, qu'ils ne savent pas que l'heure est grave en Algérie se sentant désormais seule que riche, à même d’être devenue complexée attendant que sa situation s'améliore toute seule. Vraiment, elle est dans une situation non envieuse de par sa panne multidimensionnelle institutionnelle économique et diplomatique, tellement elle ne sait pas où elle en est. N'est-ce parce que, ses dirigeants sont braqués sur ce que fait le Maroc en Afrique et dans le monde, et dont le peuple algérien en souffre les voyant passer souvent d'une activité sournoise à une autre sans résultat probant. Aussi, le déficit d'attention chez-eux car vivant dans la hantise de l'exclusion du concert international, n'est-il devenu excessif à même l'obsession jusqu'à culpabiliser en parlant avec excès pour ne rien dire ?

       A ce propos, s'il est vrai que le besoin de rendre coup pour coup s'avère nécessaire après les vociférations de Messahel, son absence serait source de profonde déception. D'ailleurs, eu égard à sa course diplomatique controversée dépourvue de bon sens et porteuse de chocs et tensions dommageables pour le bon voisinage au Maghreb, cela ne lui procure aucun respect. Ni d'ancrage ni de création d'une autre dimension de lui, au vu de sa méchanceté et de son effet de portance négative sur l'image de l'Algérie à l'international surtout en Afrique. Néanmoins, il faut le répéter, la seule forme qui saura apaiser les ardeurs des marocains est celle d'un changement total du paradigme d'organisation et de réactivation diplomatique vis-à-vis du pouvoir Boutaflika. Pour le contrecarrer énergiquement dans toutes les chancelleries du monde, même sachant que d'une façon générale, la diplomatie permet de corriger les déformations structurelles des raisonnements qui ne tiennent pas la route.  Ce qui est le cas de la pratique diplomatique à Messahel et ses relais, qu'en effet, cela nécessite qu'ils subissent un recyclage intensif de calme et sérénité pour ne plus rester dans les envolées mensongères, par ailleurs contrindiquées aux personnes qui ont fait un AVC (Accident vasculaire Cérébral). S'ajoutant à ce qu'il puisse se faire révéler la signification de la hauteur de vue des diplomates marocains responsables, loin du comportement de ses enragés disciples qui ne proposent aucune explication. Mais, seulement essayent d'imposer la rythmique de la manipulation, sans y arriver à théoriser leur manque d'amabilité des marocains, n'usant que de bavardage ennuyeux comme base confusionnelle marquant leur propre histoire en restant dans le déni .   

       En cela, il est temps d'en finir avec la grisaille au gouvernement Othmani qui passe son temps à courir derrière les événements en l'occurrence, ceux en interne d'ordre sécuritaire touchant à l'intégrité territoriale ? Et, d'en tirer les conséquences par l'usage de la carte maitresse de la constitution, celle dont l'annonce est imminente de surcroit le Conseil Suprême de Sécurité  CSS (Article 54). Comme ça, l'on peut dire, l'effort de se préparer de s'engager de cette future Institution Constitutionnelle à toutes les éventualités, deviendra pratique accessible et adaptable aux situations, conformément à la loi et à la ligne tracé par le discours royal du 13 Octobre 2017 devant les parlementaires. Il est même opportun, primo de bouger rapidement dans ce sens avec abnégation pour maitriser les enjeux liés à cette disposition, et secundo de dynamiser l'approche avec lucidité en s'équipant de panoplie de mesures concrètes pour anticiper et siphonner les malveillances en interne à la racine. Non seulement dans le but, d'assurer une résonance de gouvernance sans interférences et sans enchères, mais aussi sans implications qui ne peuvent être suffisamment raisonnables et argumentées. Dès lors que les dangers, sont les mensonges relayés par les ennemis usant d'essais de s'édifier sur le dos du Maroc et se justifier en demeurant rigides si ce n'est autistes à ce que veut le Conseil de Sécurité de l'ONU par sa Résolution 2351 fin Avril 2017. A bon suiveur, bon décryptage !

lundi 16 octobre 2017

TANT PIS POUR ALGER, RABAT EN TERMES DE CE QUI EST SA CONSTANCE NE S’EMPÊCHERA D'APPLIQUER L'AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN.

A CE PROPOS, L'AUTONOMIE AU SAHARA MAROCAIN EST AUSSI LE POSTULAT DE CONSERVATION DE L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE POLITIQUEMENT VIABLE ET ÉCONOMIQUEMENT DURABLE.

       Le monde entier sait que de Feu Houari Boumedienne au président absent Abdelaziz Boutaflika, la machine politique du pouvoir pour contrarier le voisin de l'Ouest est restée essentiellement la même. Notamment dans les prises de position comme dans l'attitude par manque de clairvoyance et d'intuition, dont l'élément invariant c'est la haine du Maroc. D'ailleurs, dès 1964 la certitude en était acquise, et chaque nouveau événement au Maghreb et en Afrique en apportait la confirmation. Pire encore, ce pouvoir n'a eu de cesse à ce jour que d'essayer de rendre cette invraisemblable invariance, réplicative à l'UA à la LA et à l'ONU. Sans y parvenir heureusement, au point que c'est lui qui vit aujourd'hui dans le désarroi n'arrivant toujours pas à sonder les pensées du Maroc ni à le faire changer d'avis. Comme ça, l'on peut dire, sa capacité de nuisance et à répandre les mensonges et contrevérités autour de tout ce que fait le Maroc dans son Sahara, a lamentablement échoué. Toutefois, n'est-ce là l'une des forces du message en subliminal du discours royal du 13 Octobre 2017 devant les parlementaires, assurant et démontrant avec élégance diplomatique comme quoi le Maroc créera un ministère des affaires africaines ? D'où, concrètement sur le terrain à l'UA, se dégage déjà sa volonté à passer à l'effectivité rapide de la régionalisation avancée politiquement viable et économiquement durable.

       Oui, aujourd'hui, toute l'Afrique voit en cette assurance inébranlable de créer ce ministère, une réorganisation diplomatique exécutive sous-forme de commando en bon ordre pour dépasser les frustrations du passé. Une façon pour le Maroc de maitriser le temps de réactivité par des dispositifs d'alertes et de continuer à atteindre ses objectifs de codéveloppement par les partenariats stratégiques gagnants-gagnants Sud-Sud. En ce sens, il faut le rappeler sans ambages, c'est un souhait d’engrangement d'une mécanique diplomatique allant jusqu'au freinage des turpitudes du pouvoir Boutaflika. Et donc, de ne plus se soumettre à ses invectives dénuées de sens, dans ce qu'il considérait son territoire et son empire, tellement, il s'en était convaincu ne jamais se voir s'en déloger. Le retour triomphal du Maroc à l'UA fin Janvier 2017 au Sommet d'Addis-Abeba, faisant foi. De fait, que ce pouvoir ne s'étonne point que le Maroc-diplomatique ne le laissera embobiner les africains en se prétendant l’État humble et sur, pour l'avenir du continent. Alors même que c'est la peste qui se cache derrière ses machinations, n'augurant rien de bon en matière de mise au pas de l'UA par ses comportements totalitaires d'un temps révolu. Voilà pourquoi, le Maroc de par son expérience cumulée à l'ONU veut mettre fin à cette problématique par une fournée de diplomates à poigne femmes et hommes, qu'en effet sont le produit de la symbiose évolutive dans la battisse chellaéenne à Rabat. A l'évidence, n'est-ce là, où l'on apprécie l'approche différentielle que porte le dernier discours du Roi du Maroc Mohamed VI, par laquelle, on l'espère, s'exprimera la réalité du génie marocain dans les futures actions séquentielles à orientations ciblées pour contrecarrer à tout moment les digressions des ennemis.

        Il est de notoriété publique que l’État algérien est surnommé à l'international le pouvoir roublard. Car, il ne s'illustre pas par sa présence en ON dans les Sommets symposiums et rencontres dont en souffrent ses supporteurs lobbyistes, mais seulement  en OFF par son jargon diplomatique dépassé par les événements. Autant le dire avec clarté, bientôt le Maroc s'en sortira de la balance de la jalousie algérienne en passant à l'application de son offre d'autonomie. Même si, c'est vrai, il faut s'attendre à d'autres machinations de roublardises pour maitrise médiatique, qu’éventuellement annonceraient d'autres invariances tues jusqu'à présent. Parce que, rentrant dans la stratégie du pourrissement via utilisation de mystérieux boucliers dans le cadre du plan perfide mijoté par Christopher Ross avant son départ à l'exemple du fédéralisme repoussant les frontières. Mais, là où le bât blesse, pourquoi ce pouvoir ne sait-il pas que cette voie ne serait une adaptation fonctionnelle à l'offre d'autonomie au Sahara marocain ? N'est-ce pas, dans ce contexte très particulier elle serait une modification du processus adopté par le Conseil de Sécurité de l'ONU dans ses Résolutions, en l'occurrence celle 2351 fin Avril 2017. En conséquence de quoi, pour ne plus prolonger ce genre de confusion et tendre encore la tension avec le pouvoir algérien jusqu'à la limite, il est demandé à nos diplomates de rester sur la mobilisation en multipliant les interventions et explications de la portée du vote de la 4-ème Commission en faveur du renforcement de l'offre marocaine dans la régionalisation avancée. Au sens où cela fut l'un des thèmes centraux des débats au sein de cette Commission, confirmant qu'aujourd'hui le fonctionnement des décideurs Ouyahya-Messahel-Laamamra-Cherqui et Gaid Salah et leurs relais, a fait psitt. En plus, rendant compte de leur incapacité d'anéantir la normalité du leadership marocain à l'ONU, qu'au demeurant tous les intervenants en ont appelé et justifié à la fois la réalisation et la technostructure de la thèse marocaine.

       De fait, on peut certes se demander si tout ce temps, toutes les invariances à plusieurs composantes qui constituent la trame du discours de l'équipe Boutaflika par rapport au Sahara marocain ne sont-elles que des fictions ? D'autant plus, qui se substituent à la réalité pour en donner une image par la tromperie rhétorique et mesquine spécifiant une relation qui alimente l'invariance dans son positionnement anti Maroc. Parfois, allant jusqu'à penser par compromission avec le Polisario, qu'il existe une soi-disant identité sahraouie extrêmement mythique incompatible avec l'idée de la marocanité opérationnelle dans l'offre d'autonomie 2007 dans la situation géographique du Maghreb. Tellement, l'on en perçoit que ce pouvoir haineux s'y trouve encore mal à l'aise, face à la raison incompressible et à la détermination irrépressible de l’État-Maroc qui continue de prendre de plus en plus d'étoffe politique à l'international. Et bien que les choses soient claires, et tant pis pour Alger, l'exemple le plus frappant dans ce genre d'avance perfide c'est la Kabylie, où il est facile de voir la formulation de l'indépendance avec ou sans dédifférenciation politique et socioculturelle. Sans oublier que ce cas, vient d’être mentionné et revendiqué officiellement par Mr Mehanni à l'ONU, notant que son statut a été profondément biaisé par les totalitaires dictateurs du FLN au moment de la proclamation de l'indépendance de l'Algérie en 1962 après les accords d’Évian qui ont mis fin à la guerre. Comme ça, tout un chacun, saura que ce pouvoir n'y pourra rien changer à la vision du Maroc unique unitaire et indivisible, dans son principe usant de la matrice constitutionnelle comme l'ont prouvés les processus électoraux à chaque occasion. A bon suiveur, bonne lecture !

mardi 10 octobre 2017

A L'ONU A LA 4-EME COMMISSION, DÉSORMAIS C'EST LA TENDANCE A ÉLARGIR LA DIMENSION POLITIQUE DU MAROC PAR LE SOUTIEN A SON OFFRE D'AUTONOMIE.

AU CONSEIL DE SÉCURITÉ DE L'ONU ON SE PRÉPARE AUSSI A SUPPRIMER LES MULTIPLES FREINS A LA RÉALISATION DE L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE DANS LA RÉGIONALISATION AVANCÉE.

       Aujourd'hui, beaucoup de sommités politiques à l'UA l'UE et à la 4-eme commission de l'assemblée générale de l'ONU n'acceptent plus que l'Algérie continue d'alimenter le bruit de fond de l'idéologie du temps de la conférence de Bandung. Et même ne comprennent qu'elle ait pu, à elle seule, entretenir l'embrouillamini onusienne sur le Sahara marocain, dès lors qu'à présent elle ne peut plus opérer dans ce domaine d'exigence sécuritaire rigoureuse, dont ni la manipulation ni le hasard n'ont de place. De fait, une fois encore, ne faut-il qu'elle renonce à cette posture et ne plus s'appuyer sur ses rêves chimériques basés sur le délire par indécence ? Comme quoi, le seul espoir pour elle, c'est l’abandon de cette confusion en ne restant plus dans la mécanique boutaflikienne de l’ingérence sans avenir. Mais la question qu'il faut se poser, pourquoi pendant tout ce temps l'ONU a-t-elle discriminé le cas du Sahara marocain en laissant cette tromperie de synthèse des ennemis du Maroc prendre de telles proportions ? Néanmoins, faut-il le rappeler, le Sahara marocain ne ressemble en rien le cas du Zimbabwe Namibie et même l'Algérie qui, elle, cherche à avoir sa jetée sur l'Atlantique. Encore moins les exemples de Macao Hong Kong Catalogne Lombardie Kabylie Québec et autres atolls iles au Pacifique Somali-land et territoires qui étaient avant la Révolution des œillets contre Salazar, sous tutelle portugaise. 

       D'autant plus, cette discrimination parait être faite entre les autonomies élaborées et soutenues par le Conseil de Sécurité de l'ONU dans d'autres cas moins évidents. En quelque sorte c'est une illustration frappante de l'animosité des lobbys anti Maroc qui furent longtemps influents au sein du DEA particulièrement avec John Kerry sous l'administration Obama. N'est-ce, en premier lieu, on trouve là l'explication du fait, que le dossier du Sahara marocain ne soit toujours pas réglé dans la sphère onusienne ? Mais en second lieu, c'est qu'il y a une confusion qui date de la 25-eme session 1971 des Nations-Unies sur laquelle les ennemis se basent encore sans tenir compte du jugement historique de la C I J à La Haye 1975. D'ailleurs, la notion de ''relation'' rendant compte de l'attache du Sahara marocain à l'activité souveraine des Sultans du Royaume Chérifien est d'une importance capitale dans ce jugement prononcé alors que le Caudillo était en agonie à l’hôpital à Madrid. En effet, c'est une opportunité juridique ouverte par la raison et la profondeur de la réflexion de Feu Hassan II, et qui a donné lieu à ce que le monde entier ait vu en direct, en l'occurrence la Marche verte ''Massira'' de 350000 marocains dont 10% de femmes le Coran en main le 06 Novembre 1975 bravant l'armée de l'air espagnole venue les intimider. A cet égard,  32 ans plus-tard après 8 du règne du Roi Mohamed VI en 2007, ne s'agit-il là de la puissance de son offre d'autonomie dans la régionalisation avancée pour le Sahara marocain ? De surcroit, est toujours d'actualité une décennie après par ce choix délibéré et conscient pour le bien du Maroc et de toute la sous-région Maghreb-Sahel subsaharienne africaine. Sachant, qu'elle constitue encore une véritable assiette de proposition pour le Conseil de Sécurité de l'ONU, pour arrêter définitivement la discrimination tendancieuse exercée par les ennemis irréductibles en leur clouant le bec ? Comme ce que font désormais, nos ambassadeurs dans leur offensive notamment envers ceux des récalcitrants à la thèse marocaine, qu'en effet n'en savent rien de l'Histoire de la région mais mijotent tout de même des soi-disant solutions en s'aventurant dans des élucubrations insensées. 

       Évidemment, le Conseil de Sécurité de l'ONU par ses Résolutions a montré qu'il a fait croix sur ces cogitations, car les considérant extrêmement contreproductives voire dangereuses. Les unes portant sur l'autonomie hybride tantôt dans l'association tantôt dans la régulation pour une hypothétique émancipation. Les autres dans le fédéralisme fourretout par renforcement scissionniste programmé dans le temps pour l’autodétermination. Par rapport à la hauteur des ambitions du Maroc non pour s'en servir de son offre inédite, mais seulement pour la servir de tous ses atouts indiscutables en ces temps des séparatismes à tout vent et qu'au demeurant sont avortés et décriés avec véhémence ici et là. N'est-ce cela, par ailleurs, qui donne au Maroc par ses réussites géopolitiques successives actuelles et ses orientations diplomatiques ascendantes, l'image de son épanouissement géostratégique ordonné que lui envie le pouvoir Boutaflika ? Dont, il est maintenant facile de savoir que le prophétisme à Ksar Lamradia de voir un jour le Maroc sans son Sahara, est lourd de conséquence pour la survie de ce pouvoir, ainsi que de son avorton le Polisario. Parce que c'est lui, désormais, qui se trouve au fond de ses puits pétroliers et gaziers et donc par conséquent carrément aux abois sans alternative de secours ni pour lui ni pour la RASD au sein de l'UA. Même pas, par la planche à billet qu'il veut lancer et que lui refuse la BM et le FMI, et d'où il cherche à faire taire la gronde en interne pour ne pas sombrer. Alors même, tout indique que les algériens veulent tourner la page du président absent et instaurer un nouveau système dans ce qui pourrait redevenir la nouvelle Algérie démocratique. Déjà les partis d'opposition les intellectuels la société civile et une partie des officiers libres, demandent la destitution de ce président légume sénile. Et ce, pour manquement à ses responsabilités par incapacité d'exercer la fonction présidentielle, ce qui rappelle le cas Bourguiba en Tunisie. S'ajoutant, en plus que les années Boutaflika ont été très mauvais pour l'Afrique, qui en a souffert des manipulations et des intrigues l'ayant laissées à la traine dans beaucoup de domaines.

       Aussi, l'on peut maintenant affirmer, la conformation de l'offre marocaine d'autonomie dans la régionalisation avancée est consolidée et stabilisée par le développement tous azimuts que connait la Sahara marocain. Surtout, après les sauts probants en chantiers structurants et aussi en mécanisme institutionnel juridique-administratif-sécuritaire qu'apporte la constitution du 01 Juillet 2011 en tant que Maroc unique unitaire et indivisible. En l'occurrence constitués par une séquence maitrisée topologiquement ascendante, tellement qu'à l'International personne n'en nie l'efficacité ni l'aspiration du Maroc de rentrer parmi le club restreint des pays moyens en voie d'émergence. N'est-ce d'ailleurs ce qui détermine le vent nouveau qui souffle en sa faveur dans les instances onusiennes, y compris dans leurs aires d'associations avec lui au vu de la reconnaissance qu'elles lui portent comme la FAO l'OMS l'UNICEF l'UNESCO et le HCR ? Qu'en définitive, on peut y voir la somme de la coopération d'un grand nombre de pays cherchant à s'inspirer de son modèle structurel de fonctionnalité. N'est-ce aussi, pour cela on parle aujourd'hui, de plus en plus de ''spécificité marocaine'' qui s'appuie sur un cadre institutionnel solide et un État de droit, que même le malintentionné Secrétaire d’État belge n'y peut rien pour perturber le tournant spectaculaire de la prise de conscience de l'Europe à propos de la stabilité du Maroc dans la paix la liberté et le respect des droits humains. Sans omettre les demandes pressantes d'échanges économiques et d'investissements, lesquelles sont encadrées de partage du renseignement qui améliore le niveau de sécurité dans la région MENA toute entière et pas seulement. A bon entendeur, salut !

dimanche 8 octobre 2017

UN VENT NOUVEAU A L'ONU PAR LA PASSION LA VOLONTE ET LE POUVOIR DU MAROC DE GAGNER.

APRÈS TANT D’ANNÉES DE MANŒUVRES DU POUVOIR ALGÉRIEN, N'EST-CE LE MOMENT PROPICE POUR L'ONU DE PASSER A LA RÉALISATION DE L'OFFRE MAROCAINE D'AUTONOMIE ?

       Tancée savonnée presque humiliée, l'Algérie sait que désormais le vent tourne en faveur du Maroc qui est resté fidèle à sa manière de susciter l'espoir constructif pour la réalisation de son offre d'autonomie 2007 en vue de la stabilité et la sécurité de la région. Contrairement à elle, toujours dans sa logique de sape des efforts de l'engagement du Conseil de Sécurité de l'ONU par ses Résolutions sur le Sahara marocain, qu'effectivement, chemin faisant, la Communauté Internationale est devenue accro à la vision marocaine de gagner tous les défis pour toute l'Afrique. En tout cas, c'est ce qui ressort en filigrane des débats à la 4-eme commission de l'Assemblée Générale de l'ONU des droits de l'Homme la concernant, se trouvant par ailleurs dans ses retranchements acculée dos au mur. Comme ça, à propos de ses manœuvres diplomatiques louches diaboliques voire belliqueuses vis-à-vis du Maroc, elle n'est plus un modèle de gain de confiance dans une ONU en pleine mutation, surtout dans les conditions d'écoulement de l'information plus fluide. Désormais, tous les pays voient en la posture qui n'a que trop duré de cette Algérie ankylosée xénophobe, qu'une immense souffrance qu'elle endure n'écoutant pas leurs conseils de s'y résoudre à la réalité. Tous, aujourd'hui se posent la question, qu'y a-t-il vraiment sous le flou de son positionnement pour ne pas dire le voile de sa sédition en continu contre le Maroc ? A cet égard, il est exact qu'au sein de l'UA, plus de 44 pays africains s'opposent à la fois à cette façon de faire par ses gesticulations à haut risque dans le dossier du Sahara marocain et aux aboiements de son avorton enragé le Polisario. 

       Pourtant, au Conseil de Sécurité de l'ONU, à ce jour il n'est de véritable offre qu'une seule, celle d'autonomie 2007 dans la régionalisation avancée qui porte l'espoir de la politique de la transformation que vivent les 03 régions (Dakhla Oued Eddahab-Laayoune Saqui Al Hamra- Guelmim Oued Noon). En revanche, pour le Maroc, il s'agit de tout entreprendre pour assurer une meilleure assimilation de son offre par le nouveau envoyé spécial l'allemand Horst Kohler, et rendre, toutefois sa faisabilité aisée. D'ailleurs, c'est à cette seule condition que ce dernier avec l'aval du Secrétaire Général Antonio Guterres, pourrait jouer le rôle qui est le sien dans l'aménagement politique de cette donnée que le monde entier qualifie sérieuse courageuse viable et facilement exécutable sans encombres. Évidemment, cette préoccupation ne saurait se réaliser sans la poursuite du programme ambitieux en infrastructures relatif à la vision royale pour le développement tous azimuts de ces 03 régions. En l'occurrence, la mise en effectivité de la déconcentration-décentralisation et la prise des mesures attractives et incitatives par l'aménagement des territoires dans la sécurité absolue. Et ce, en ports et aéroports, axes routiers et autoroute, unités de dessalement d'eau de mer et adduction d'eau potable, électrification et domestication des énergies renouvelables, Hôpitaux Universités Grandes Écoles et promotion de la formation professionnelle qualifiante adéquate pour améliorer l'accès au travail, etc...

       Parallèlement, il faut, rappelons le, faire en sorte que Ramtane Laamamra et ses amis au soi-disant comité de médiation auprès du Secrétaire Général de l'ONU, ne puissent continuer leurs perfidies de tirer le dossier du Sahara marocain vers ce que l'on pourrait appeler la ''privatisation'' pour le compte de Shissano et ses sbires au sein de l'UA. En effet, heureusement qu'à ce niveau, la diplomatie marocaine et la société civile ont la charge de l'explication partout dans les chancelleries les forums les symposiums et toutes autres plateformes, la portée historique juridique et politique de l'offre d'autonomie 2007. Tant du point de vue de son organisation structurée bien ficelée dans le cadre de la régionalisation avancée, dont les grands axes de production de l'équité socioéconomique sont l'application de la transparence dans la gestion territoriale l'encouragement de l'investissement et la clarification de la garantie de l'Etat-Maroc. Non seulement pour sa promotion renforcée porteuse d'avenir de prospérité et de quiétude pour toute la population, mais aussi pour sa régulation institutionnelle sereine sécurisée. Cependant, une fois tout ceci fait, est-ce que l'État-Maroc ne fera-t-il fonctionner ses volontés géopolitiques ici et là dans le sens géostratégique qu'il souhaite. Déjà qu'il veille à l’entretien des rapports fronts sans faiblesse ni tremblement avec l'envoyé spécial du Secrétaire Général de l'ONU, Horst Kohler. S'ajoutant en plus à l'animation courtoise mais ferme, des voies de communications et de partage informationnel avec la Minurso dans ses composantes civile et militaire pour la restauration de la confiance.

       D'autant plus, le cas de Guargarate est toujours fumant, sachant même que le Maroc en maitrise tous les paramètres des surenchères. Et c'est ça qui préoccupe surtout de la part de la Mauritanie, qu'apparemment n'a pas envie de perdre la bienveillance marocaine, alors que sa stratégie est dictée par le pouvoir militariste algérien. Car il ne suffit pas qu'elle soit alléchée par le fait d'avoir un autre poste frontière avec l'Algérie sur l'axe de la terreur Tindouf-Zouirat, pour s'imaginer pouvoir jouer une posture d'équilibre pour ne pas dire de nuisance. Il n'en sera jamais ainsi, en plus sans avoir de vrais atouts en main pour assurer sa propre stabilité en ce temps de grondements en interne et des jeux de la géostratégie politique qui se manifestent ici et là sur toute la bande Sahel subsaharienne africaine. Comme quoi, le Maroc stable entreprenant et performant reste l'un des recours sur, pour assurer les objectifs de l'essor de la région en consolidant la traditionnelle chaine des échanges avec l'Afrique noire, surtout avec la CEDEAO. A l'évidence, ceci dérange le pouvoir algérien cloué au pilori à l'ONU, tellement, il a réalisé même tardivement que son rêve chimérique d'avoir un comptoir sur l'Atlantique est hors portée. S'étant en plus convaincu, que le Maroc est en passe de faire de son Sahara une plateforme de transport maritime et aérien via le port et l'aéroport de Dakhla. Un point d'entrée et sortie de fret transcontinental Nord-Sud, dont déjà il y a des intentions de s'y engager de la part de l'Europe la Russie la Chine l'Arabie Saoudite le Qatar les Émirats Arabes Unis et l'Amérique Centrale et du Sud. Voilà, pourquoi, aujourd'hui il y a un vent nouveau à l'ONU par la passion du Maroc de lutter contre le terrorisme et de transformer le pays tout entier de Tanger à Lagouira en hub d'investissements dans tous les domaines. A bon lecteur, bon décryptage !

vendredi 6 octobre 2017

AU MAROC, LE PIRE NE SERA JAMAIS L'AVENIR ET DONC, VIVE LE CONSENSUS !

EN EFFET, C'EST POUR CELA LES DOSSIERS DE L'AVENIR SERONT TRAITÉS PRIORITAIREMENT A LA FOIS POLITIQUEMENT ET TECHNIQUEMENT.

       Le Maroc qui bouge, montrera-t-il le 13 Octobre en cette rentrée politique 2017, l'autre perspective consciente de son fonctionnement ? Celle, de la mise en place méthodique d'un programme vis-à-vis de la réforme de l’État pour l'avancée et la régularité de la bonne gouvernance. En tout cas, il ne faut pas s'en cacher, tout le monde s'y attend parce que c'est le grand débat en ce moment de tensions initiées par les ennemis de l'intérieur pour le compte de ceux de l'extérieur. D'ailleurs, n'est-ce en cela que les marocains soucieux de l'avenir du pays, ne doivent être indifférents aux attaques de ces ennemis à l'UA à l'UE et à l'ONU, et qui ne sont pas de nature à décrisper l'atmosphère ? Même sachant que la diplomatie comme les services de sécurité intérieurs et extérieurs jouent leur rôle en veillant avec vigilance dans les instances internationales, car exerçant une pression sur eux dans le cadre du Droit d'initiative ? Après tout, comme à l'accoutumée, le discours royal à cette occasion, certainement, donnera le cap du changement à prendre, pour s'en saisir des grands dossiers dont le traitement ne pourra attendre longtemps. D'où, la vie publique au Maroc, on l'espère, changera au vu de la campagne d'assainissement qui s'annonce éminente, et dont l'effet sera transposable dans toutes les institutions et administrations

       C'est vrai, à des questions de cet ordre, les marocains dans leur majorité répondent avec la prudence qui les caractérise, ne voulant pas faire du bruit, sans être sur que le pays avance à bon rythme sur la base de sa situation économique sociale et politique. Évidemment, l'on peut ajouter, tant qu'il n'en sera pas tenu compte dans le futur de la volonté de passer à la vitesse supérieure de dépasser la problématique du népotisme ambiant dans les structures de l’État et des partis politiques et leurs filiales syndicales et associatives, les interrogations persisteront. Dont, les observateurs reconnaissent que les difficultés que vit le Maroc, en partie, sont liées à la manière dont quelques ressources humaines compétentes disponibles sont gérées. Autant crever l'abcès, tous les ténors politiques se targuent que leurs partis sont les seuls légitimes alors qu'ils sont truffés d'incompétences. Pour les uns car ceux de l’intelligentsia qui a assumé des rôles historiques, ayant d'après eux contribué à donner sens et crédibilité aux processus électoraux. Contrairement aux autres qui prétendent être les sauveurs du pays, et ce à différentes étapes de son Histoire contemporaine. Mais, chose qu'ils omettent d'en parler tous, pourquoi en 18 ans du nouveau règne c'est toujours la vision de l’État-Maroc fort et consciencieux qui prévaut dans toutes les situations extrêmes ? N'est-ce pas, c'est parce que la vision royale pour le développement tous azimuts renforçant la place de l’État-Maroc pour l'émergence, sert aussi d'amortisseur de chocs socioéconomiques ? Sorte de matelas politique jouant son rôle en évitant dans la mesure du possible les pannes par l'application stricte de la Constitution ? 

       Maintenant que c'est dit, certes de façon rudement alambiquée, n'est-ce le moment pour les chefs des partis de rompre avec leur nombrilisme-égocentrisme pour pouvoir dissiper les malentendus en interne et aussi vis-à-vis de leurs homologues du panel politique marocain ? Surtout de ne continuer à s'engager dans un jeu dont ils connaissent parfaitement leurs limites, et se mettre urgemment d'accord sur un programme minimal même avec la part de subjectivité sur la représentativité à la première chambre au parlement. C'est vrai qu'à ce propos, Saad Eddine Othmani pour l'instant fait le dos rond, tout en essayant, de zigzags en dérobades de maintenir son gouvernement en état de survie. Même sachant qu'il n'est pas sur qu'il puisse tenir face aux bavardages dans les rangs de sa majorité et dans l'espace médiatique tous les supports confondus. D'autant qu'il y a en plus, quelques uns de ses ministres et pas les moindres qui sont sur la sellette, car apparemment, ne disposeraient plus de la confiance du Roi ni de celle du peuple. Et, que Driss Jettou Président de la Cour des Comptes, en cèlera prochainement le sort, même n'étant pas à l'origine de la procédure d'investigation engagée à propos du dossier brulant ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassit''. D'ailleurs, ça ne sert à rien que Monsieur Othmani continue de fédérer par des sorties médiatiques, cocktail de non-dits et de langue de bois, en s'efforçant de maintenir un semblant d'équilibre politique au sein du gouvernement. N'est-ce pas, comme disent certains de son camp, les uns par populisme les autres par bondieuserie, qu'effectivement les carottes sont cuites pour cette formation qui, à force de séquencer son action elle en a perdu le bout du fil ?

       En effet, actuellement, avant le discours royal du 13 Octobre à l'ouverture de la première session de la première année de la onzième législature, tout montre qu'au Maroc le pire ne sera jamais l'avenir. Notamment, par la transformation du capital de la Constitution du 01 Juillet 2011 en adhésion pour le consensus, qu'avant il semblait absent de la scène politique. Mais, comment faire pour la chefferie du gouvernement, alors que les chances des différents postulants ne sont pas égales ? N'est-ce en tirant de cette condition la conséquence de rester sur Othmani, serait constitutionnellement acceptable, mais cette fois-ci avec refondation de la structure gouvernementale selon l'esprit du discours de Dakar ? Comme ça, il y aura, de fait, un dépassement de l'état psychologique en interne des partis politiques qui buttent sur certains problèmes que pourraient faciliter à résoudre les nouveaux arrivants. En usant d'engagement par des méthodes de réorganisation de la gouvernance de l'Exécutif, sans perdre de vue, naturellement, la fortification de défense de la première cause nationale, le Sahara marocain. Car, l'important aujourd'hui, c'est de sortir de l'ankylose gestionnaire, en s'efforçant de trouver les meilleures conditions de travail. D'où, il sera possible de mettre en place des solutions administratives dynamiques pour ramener la gouvernance à sa juste valeur, en cassant les codes de la manipulation par les petites phrases, envers la jeunesse et les petites gens. A bon suiveur, bonne lecture !

mercredi 4 octobre 2017

LE MAROC N'AURA PAS A S'EN PLAINDRE DE LA TENSION AVEC L'ALGERIE SI A TERME ELLE N'A PLUS D'INFLUENCE DANS LE MONDE.

PAR SUITE AUX BRUITS DE BOTTES LONGEANT SES FRONTIÈRES TERRESTRES, LE MAROC N'EST-IL DÉJÀ LE GRAND GAGNANT DE L'ERRANCE DE L’ALGÉRIE À L'UA, À L'UE ET À L'ONU ?

       Tout ce qu'a fait Boutaflika depuis 1961 vis-à-vis du Maroc, n'est le fruit ni du hasard ni de la nécessité de remplir sa vie. C'est plutôt pour occuper une place aux extrêmes et non au centre de l'échiquier politique maghrébin par le retour d’échos de bruits de bottes aux frontières, croyant ainsi pouvoir dépasser ses complexes en créant des problèmes au Maroc. S'ajoutant à il y a quelques années, une partie de l'occident louait l'action de l'Algérie qui s'étendait à l'UA, profitant de sa manne gazière-pétrolière qu'elle distribuait sans compter. Et ce, pour en régler et contrôler de façon perfide et pernicieuse la mécanique de division de l'Afrique, parce que le Maroc y en était absent depuis le clash 1984 à Nairobi jusqu'à son retour triomphal fin Janvier 2017 à Addis-Abeba. Alors qu'actuellement, tout se passe sans elle. Même avec l'évocation ici là de sa prédisposition de former avec son pré-carré des pays ennemis inconditionnels du Maroc, le statut spécial du Polisario. Rien que pour faire aboutir le processus onusien au référendum sur l’autodétermination dans ce lourd dossier du Sahara marocain ! Du coup, n'est-ce sans aucun doute, cela qui traduit le désarroi de l'incorrigible Shissano et les sous-commissionnaires à l'UA encore sous son emprise ? Pour essayer de faire face au poids de l'influence pléthorique marocaine dans tous les domaines dont, personne ne peut nier qu'elle marque la fin de ses prétentions. Particulièrement, les préférences de ses prises de contact pour l'application de son rêve, dénoncé partout et qui reste tout aussi chimérique car loin du bon sens. 

       Mieux encore, c'est dans le cadre des valeurs et de justice que les grandes capitales, en l'occurrence Washington Paris Madrid Ankara Londres Ottawa Brasília Berlin Riyad Pékin Moscou et New Delhi, reconnaissent à Rabat une sorte de leadership dans le codéveloppement sur le continent africain. Face au danger terroriste dans le sud algérien carrefour des destinations et étape cruciale dans le périple des groupes terroristes, que l'usure du temps en a identifié la compromission de l'Armée par l'implication personnelle de Boutaflika lorsque son état de santé le lui permettait. D'autant plus, ce schéma dangereux n'avait-il été discuté dans les antichambres de la Commission de l'UA à l'époque de Nkosazana Dlamini au moment de l'attaque d'In Amenas ? Et même, avant chaque conclave avec les sociétés occidentales exploiteuses des champs du gaz et pétrole, sur ce soutien algérien à double aveugle à Aqmi de Mokhtar Belmokhtar, en usant des largesses de la Sonatrach alors que le peuple algérien souffre de ses misères. Aussi, pourquoi placer et fixer ces jours-ci les algériens dans les émotions les colères et les horreurs des années 90, sachant que Boutaflika est arrivé au sommet de l’État en 1999après son exil choisi en Suisse et aux E.A.U ? En tout cas, cela montre que ce pouvoir veut raconter l'Histoire de cette décennie noire au présent, pour redorer et transformer la destinée du président absent en légende, pensant booster ainsi ses chances de se faire attribuer le Prix Nobel de la paix. Même Dame de fer Dame de cœur, Angela Merkel qui le mérite amplement, n'en a pas fait autant avec le million de migrants intégrés dignement dans la société allemande. Comme ça, parler aujourd'hui de cette éventualité pour ce président sénile grabataire, presque un légume, c'est ne tenir compte des craintes confirmées de la Communauté Internationale à ce propos. Surtout que la nouvelle génération de 38 chefs d’États d'Afrique ont lâché cette Algérie qui fait la chasse aux migrants de façon indigne, allant, jusqu'à ne lui épargner leur embarras de ne désirer continuer à accueillir la Rasd à l'UA. Lui disant, encore poliment, de s'en débarrasser non seulement pour sa propre sécurité, mais aussi pour éviter son errance qui s'annonce difficile à l'ONU.

       Il est vrai que la guerre froide avait assuré la longévité à la diplomatie des réseaux de nuisance de l'Algérie véhiculant des discours plus que confus, parfois pleins de haine vis-à-vis du Maroc. D'ailleurs, il s'agissait pour le pouvoir algérien, entouré de ses inconditionnels États ennemis déclarés du Maroc qui attendent le miracle, d'allumer des contre-feus pour réduire autant que possible l'offensive diplomatique marocaine qui, aujourd'hui, heureusement, elle prévaut partout dans le monde. Comme ça, l'usage de l'interventionnisme de ce pouvoir parait n'a plus de sens aujourd'hui, contrairement à l'époque où il détenait l'alpha et l’oméga par sa diplomatie usant du soutien discriminatoire des tireurs des ficelles. Dès lors qu'il fut basé sur des débaptisations des procédures onusiennes, par des moyens de mise en normes de mesures creuses non argumentées pour brouiller la fiabilité de l'offre marocaine d'autonomie dans la régionalisation avancée. Au point qu'en ce temps présent, l'approche positive du Conseil de Sécurité de l'ONU dans sa composition actuelle, c'est de faire respecter ses Résolutions surtout la 2351 fin Avril 2017 pour une solution politique viable. En quelque sorte pour qu'elle soit objectivement cadrée sur l'offre marocaine d'autonomie 2007, avec peut-être quelques aménagements dans ce sens.  Une façon d'indiquer une fin de non recevoir à la fois au Polisario à l'Algérie et à leurs soutiens, d'abord sur les débats creux qu'ils mettent souvent sur la table montrant qu'ils n'évoluent nullement. Puis, surtout pour qu'ils ne restent plus dans cette obsession qui coute à l'ONU et de surcroit ne leur rapporte rien, ni diplomatiquement sans le soutien stricto sensu de Kohler ni militairement même avec une hypothétique et inconcevable solidarité de la Minurso.

       Maintenant, l'on peut dire, Rabat aura certainement d'autres influences au-delà de celles que lui accorderont ses partenariats gagnants-gagnants avec les pays africains. Même si, les ennemis résiduels à l'UA sont incapables de mesurer leurs conséquences positives pour la paix et la sécurité dans la région MENA Sahel subsaharienne africaine. D'ailleurs, les discours du Roi du Maroc à propos de l'Afrique, ne sont-ils une réponse complète aux défis sur les transitions économiques écologiques politiques et sécuritaires réussies de beaucoup de pays africains sans être les obligés de l'Algérie. Autrement dit, n'est-ce pas les entreprises africaines se normalisent pour leur grand bien, à l'influence du savoir-faire marocain via l'expertise reconnue à l'international dans le codéveloppement. En ce sens, il n'est pas étonnant que le rejet du modèle algérien qui va dans le mur, soit aussi venu des pays anglophones constituant une nouvelle force africaine. De surcroit, n'est-ce ce qui facilitera la prise en main triangulaire de cette transition de l’émergence africaine, via la coopération Maroc-UE-Afrique ? Aussi, faut-il le rappeler, il n'en est pas moins vrai que l'Algérie l'Afrique du Sud le Mozambique le Zimbabwe et la Namibie n'ont rien vu venir, pour s'adapter aux nouvelles réalités dans l'UA, au demeurant concrétisées via l'axe Rabat-Abuja-Kigali-Lusaka-Dar Essalam-Addis Abeba. Tellement, ils donnent l'impression comme s'il s'agit d'une volonté extra-africaine mettant en marche leur déconfiture prévisible, pour qu'à terme ils n'aient tous, sans exception, aucune influence dans le monde. A bon suiveur, bon décryptage !