samedi 28 mai 2016

UNE FOIS DE PLUS, DES MYSTÈRES VENANT DE L’OUEST POUR METTRE A MAL LA FORCE TRANQUILLE DU MAROC !

QUE CHERCHENT-ILS A FAIRE DU MAROC CES COMPLOTEURS ENDIABLÉS EN OCCIDENT, DE SURCROÎT AFFILIÉS A L’ARROGANCE COUPLÉE D’IGNORANCE AU SEIN DE CERTAINS RECOINS DE L’ADMINISTRATION OBAMA ?

      L’historicité des émerveillements des marocains pour les USA ne conserve plus le précieux souvenir d’enchantement comme du temps ‘’Il était une fois dans l’Ouest…’’. Tel du moins l’opinion qui fut répandue à Cuba en Iran en Egypte au Japon au Vietnam en Corée du Sud et au Maroc, dont on peut dire aujourd’hui avec certitude d’où venaient ces historiettes et comment elles se sont propagées. Fort heureusement que ce ne fut vraiment que dans la période longue de la guerre froide, entre fantaisie des uns et rêve éveillé des autres même en voguant dans le reflet d’un monde naïf. Ce qu’au demeurant a aboutit à l’épanouissement de l’esprit critique notamment de ces peuples, ne croyant plus même innocemment pouvoir rendre encore plus efficace le message livré sans tomber dans le non-sens. Effectivement chemin faisant, tous ces pays ont déchanté à cause des vagues de maltraitances à des degrés différents qu’ils aient subies, n’en ayant pu s’en rendre compte très tôt des configurations politiques mystérieuses et diplomatiques envahissantes des USA à leurs égards.

       Néanmoins, il est vrai qu’en ce temps présent ni la mort ne tombe plus du ciel sur le Japon, mais continue à s’abattre sur des civils innocents par la guerre de ciblage des ennemis jurés des USA via les nouveaux prédateurs (drones) même dans les contrées les plus enclavées du monde. Ni le plaidoyer contre les conditions épouvantables du vécu au quotidien à Cuba à cause de l’embargo des années durant, ne fait recette chez les démocrates s’étant transformés en opportunistes affairistes sans état d’âme. Ni le réquisitoire sur les ateliers secrets de fabrication de la bombe nucléaire en Iran ne préoccupe les occidentaux, si ce n’est qu’elle ait aiguisé leur appétit à faire les affaires avec cet Ex chef de file de soi-disant l’axe du mal. Ni le déploiement constant par les USA sur les frontières entre les deux Corée ne dévoile plus d’intérêt géopolitique réaliste qu’ailleurs du fait de l’équilibre dissuasif qu’impose la chine dans toute la région. Ni l’incarnation du mal qui transparaît du passé lugubre et lourd des américains au Vietnam ne les perturbe, s’appuyant désormais sur de nouvelles idées bizarrement délivrées de la pesanteur du temps pour dynamiser l’économie et le business sans commune mesure nulle part ailleurs.

       Sauf que pour l’Egypte, on croit entendre comme des voix confuses d’où il n’y a plus de mystère sur ce que veulent lui imposer les USA via leur quête de recréer les conditions du retour des islamistes au pouvoir dont Annahda de Ghannouchi le précepteur de l'islamisme politique en Tunisie fait le lièvre. Alors que pour le Maroc le mystère est bel et bien levé, car il sait qu’il fait partie de l’univers de leurs essais de chantages itératifs tyranniques à visée de démembrement déstructurant et déstabilisant du pays. N’est-ce là où l’on pourrait déceler que les machinations dont il fait l’objet ont été précédé par un autre topo à striction connue exprimée par la volte-face en ON des USA au Conseil de Sécurité d’Avril 2016 sur le Sahara marocain ? Tellement, jusqu’à vouloir imposer une médiation pour lui faire accepter leur solution capricieuse auparavant négociée avec le pouvoir algérien via le télégraphiste Ban Ki Moon sous la houlette de Chritopher Ross. Qu’au demeurant n’ont fait que déshonorer la fonction noble du Secrétariat Général de l’ONU, dont tout un chacun a constaté la petitesse du locataire actuel au Sommet Humanitaire d’Istanbul en Turquie ce mois courant.

       Et pourtant, faut-il le rappeler ? Avec toutes ces manigances autour, le Maroc continue à tourner merveilleusement bien dans la solidarité exemplaire, la cohésion parfaite et la fusion sublime entre le peuple et la Royauté. Comme ce que le monde entier en avait découvert la tricherie la tromperie et le non professionnalisme de journalistes après le reportage bidonné de France 3, dont seulement les ennemis du Maroc tinrent les premiers rôles sans mettre en valeur l’idéal de la tendance à pas assurés vers la perfection en gouvernance que vit le Maroc depuis l’avènement du Roi Mohamed VI. Si ça ce n’est pas un gage de pérennité d’un Etat-Maroc fort, en tout cas ça lui ressemble, montrant en l’occurrence que les USA sont un paradoxe qu’il faut regarder en face sans dormir sur ses lauriers. Parce que rien que cette année, la campagne de dénigrement du Maroc et de son Roi a pris des proportions intolérables voire insupportables usant de jeux politiques de trahison dans un monde changé. Alors, de fait, personne ne peut nier que le Souverain marocain le meilleur parmi les meilleurs chefs d’Etats, se bat activement, honorablement, pour rendre plus visible et plus lisible la feuille de route de développement tous azimuts que connait le Maroc. Mais, assurément, il n’en bénéficie toujours pas du retour de l’écho de la part des rancuniers voulant le beurre et l'argent du beurre, de renégats vendeurs de leurs âmes et des ennemis jurés commanditaires maîtres-chanteurs et fossoyeurs endiablés fabricants des malveillances à l’égard du pays.

       D’une manière générale après tant d’attaques malveillantes, le Maroc n’est-il parvenu haut la main à maîtriser son activisme diplomatique tranquille serein et déterminé ? Devenant un cas d’école, non seulement par sa nouvelle influence géopolitique dans plusieurs types de configuration stratégique pour l’avenir avec l’Inde la Russie la Chine le Japon le Pakistan et la Turquie. Mais aussi par ses anticipations sur les turbulences relationnelles concentriques que certains pays faux amis essayent de lui créer, tandis que d’autres dimensionnements multidirectionnels renforcent le champ de son attractivité consolidée par l’alliance politique stratégique avec les pays du CCG car sa vigilance et sa stabilité y sont appréciées. D’autant plus le Maroc n’a pas coutume à prendre le diable par la queue, au contraire il l’affronte par tous les moyens dont il dispose. Notamment en s’appuyant sur une pédagogie diplomatique préventive interactive et intégrative structurante, à même jusqu’à l’exorciser loin des compromissions. Et ce, pour le réaménagement d’un nouvel espace relationnel en matière sécuritaire stratégique selon ses propres balisages de ses intérêts existentiels politiques et pas seulement. Par conséquent pour être plus clair, n’y a-t-il urgence pour l’ONU de se mettre d’accord avec le Maroc sur une nouvelle application dans le temps et l’espace, à propos des modalités actualisées du respect et protection du cessez-le-feu de 1991 en zone de séparation ?

       A cet égard, encore quelques semaines pour savoir quel avenir de la Minurso au Maroc, sachant que Ban Ki Moon n’en tient aucunement compte des risques de transmissions d’activités illégales de la composante civile sur le terrain ? Voilà pourquoi il faudrait à tout instant s’en référer au discours royal mémorable du Sommet de Riyad Maroc-CCG, qui a donné le ton de la plaidoirie prononcée sans ambages pour contrer en toutes circonstances les ambitions de vouloir renverser la Royauté via la provocation du chaos au Sahara marocain. D’ailleurs n’en déplaise aux USA et leurs portes flingues en interne comme en externe, n’en ont-ils commis l’impardonnable comme du temps où ils conspiraient avec les putschistes de Skhirat aux environs de Rabat en 1970 et aussi avec certains des aviateurs de la base américaine de Kénitra à l'époque et leur patron Oufkir en 1971 ? A bon entendeur salut ! 

mercredi 18 mai 2016

ENCORE DES PRATIQUES SAUGRENUES DES USA A L’ENCONTRE DU MAROC !

POURQUOI LES USA ONT-ILS L’ILLUSION QUE TOUT CE QU’ILS ÉMETTENT COMME RAPPORTS POUR TRANSFORMER A LEUR GUISE LE MONDE, REÇOIT SA JUSTIFICATION DANS LEURS DIVERSES CERTITUDES BALANÇOIRES ?

       Le rapport du département d’Etat américain sur les droits de l’homme au Maroc est méprisant imprécis non concis et injuste. Parce que dénaturant voire biaisant la vérité, à même d’être menaçant de la vie politique marocaine via cette pratique diplomatique saugrenue à l’encontre du Maroc. Dont, on croyait à tort qu’ils eussent fermé la parenthèse d’échanges d’opprobres porteurs d’inertie de dé-confiance vis-à-vis des pays arabes et pas seulement de l’Iran qui les traitait de grand Satan. D’autant plus, le Maroc n’est ni l’Iraq ni la Syrie ni la Libye et encore moins l’Algérie l’Egypte le Soudan et/où le Yémen, qu’en effet, justement, il n’a pas manqué via le ministère de l’Intérieur d’émettre ses réserves pour que les USA prennent les dispositions indispensables de vérification au cas par cas de leurs allégations infondées sur les droits de l’homme. N’est-ce d’ailleurs pour cela qu’ils sont aigris, n’ayant pas apprécié qu’ils soient montrés du doigt implicitement au discours royal au Sommet Maroc-CCG de Riyad en Arabie Saoudite ? Dont l’écho de par le monde de cette singularité de dire les choses, a permis au Maroc de disposer d’un potentiel-multilatéralisme probant, pour la réhabilitation de sa crédibilité politique en tant que  pays méritant la confiance sans ambages.

       En quelque sorte, c’est maintenant acté que les USA entre démocrates et républicains, n’aiment pas les monarchies arabes en plus de la Russie et la Chine voire à un degré moindre la vieille Europe excepté l’UK. Malheureusement, cette prétention-vérité aux caractères discriminatifs selon les opportunités conjoncturelles de leur part, est un agent destructeur inexorable de l’environnement relationnel diplomatique au sein de l’ONU. Ce qui donne l’impression en pratique normative onusienne de marchandisation des positionnements que seulement leur validation compte, s’appuyant entre autre sur l’asymétrie relationnelle dans l’encombrement des canaux diplomatiques. A cet égard, n’est-il pas injuste pour la majorité des pays de vivre dans cette situation de sous-traitance obligatoire de sollicitations des USA, qu’au demeurant n’est pas seulement inquiétante mais lamentable pour leur pérennité concernant leur droit d’exister ? C’en quoi s’opèrent les déprédations en relations diplomatiques aux conséquences immédiates sur la géosphère politique déjà grandement déséquilibrée en faveur des grands.

       Aussi, ces derniers temps dans le registre relationnel Maroc-USA, pour mettre fin à ces pratiques à son vis-à-vis, le Maroc a pu susciter autour de ses  liens de nouvelles orientations de grande sensibilité géopolitique et stratégique. A même de s’y être ouvert à des comptes souverains de pays vraiment amis, pour sortir du joug ordinal politique sur lequel les USA y travaillent dans les instances internationales notamment au FMI à la Banque Mondiale et au Secrétariat de l‘ONU depuis l’hécatombe du 11 Septembre 2001. Dont, la conservation a atteint aujourd’hui l’étape avancée de passer à la vitesse de manipuler les entités ethnoculturelles, et donc retracer de nouvelles frontières comme dans l’espace des pays arabes musulmans et africains. Un soi-disant nouvel ordre d’après eux, et ce dans le prolongement de l’esprit des accords Sykes-Picot, mais cette fois-ci basé sur l’axe des perspectives du marché de la pensée islamiste assistée par leur soin. Comprendra qui voudra, contrairement à ce que pense le commun des mortels ! Alors, face à ce péril, n’y a-t-il là urgence de révision des mesures d’autosatisfactions des dirigeants au Grand Maghreb afin de ne pas sombrer dans ce traquenard ? Même si, effectivement aujourd’hui les USA sont en stress visible ne pouvant avoir la même facilité d’accessibilité, particulièrement à la formation des gouvernements au Maroc en Egypte et en Tunisie comme ce fut le cas au moment du printemps arabe 2011.

       Néanmoins, de nos jours, n’est-ce pas que cet état d’esprit des USA de dénigrement du Maroc doit impérativement changer ? Parce qu’on commence à s’apercevoir que le Maroc subit peu à peu une augmentation de pression de maltraitance de la part des USA, de Ban Ki Moon et ses manutentionnaires au Secrétariat Général de l’ONU, en plus des lobbyings des pays nordiques en tant qu’aides opératoires à travers l’ouverture de nouveaux fronts au sein de l’UE. Et qu’en fin de compte, tout ce qu’il entreprend est considéré bizarrement une valeur négative pour son offre d’autonomie dans la régionalisation avancée que la communauté internationale qualifie toujours de piste sérieuse viable et facilement applicable. Ce faisant ne pourrait-on désormais dire le Maroc est fortement jalousé, car s’affirmant de plus en plus par le professionnalisme de ses services sur la collecte exploitation et usage de données hautement stratégiques, au point qu’il est tout le temps invité dans la cour des grands ?


       Mais le hic, c’est qu’au Maroc à ce jour, on n’a pas encore entendu les islamistes à propos de ses nouvelles malveillances à connotations interventionnelles américaines sur les droits de l’homme, qui ont pour objectif principal d’affaiblir le rayonnement perceptible de l’Etat-Maroc. Alors pourquoi restent-ils silencieux et cois voire bouleversés face à cette manière d’expression excentrique des USA, au risque de se voir dans une évolution les menant dans le sens diamétralement opposé aux intérêts du pays ? En tout cas, et ce n’est nullement une hostilité primaire à l’égard du département d’Etat américain, seule une mise en place de nouvelles mesures plus accomplies en efficacité d’observance des faits, serviront pour contrer les montages des médisances ridicules, des contrevérités superflues et des élucubrations irraisonnées attardées concernant le Maroc et son Sahara. Essentiellement, non seulement sur la prise en charge des complications abordant les sujets réels d’insoumission au diktat du département d’Etat américain, lequel par ailleurs est mal placé pour donner des leçons en matière du respect des droits de l’homme. Mais aussi en l’additionnant à la campagne communicationnelle de sensibilisation médiatique et diplomatique sur les dangers des fausses allégations des pratiquants du mensonge dans l’entourage Obama-Kerry-Reis. Au point qu’elle devrait avoir la première place dans les préoccupations du gouvernement, des partis politiques, des syndicats, de la société civile et des corporatismes socioprofessionnels. A bon suiveur bon décryptage ! 

samedi 14 mai 2016

C’EST QUOI CETTE NOUVELLE TABLE DE MULTIPLICATION DES RISQUES TERRORISTES VISANT LE MAROC ?

COMMENT ET POURQUOI AU MAROC LE CAP STRUCTURALISTE DE LUTTE ANTITERRORISME SE CARACTÉRISE-T-IL PLUS PAR SOUCI DE LA SCIENTIFICITÉ DE SA LUCIDITÉ INTÉGRALE  ?

       Le souci des services sécuritaires marocains de comprendre, avec le maximum de rigueur analytique des faits et gestes des concepteurs de la production terroriste, c’est ce qui les anime dans le cadre de réflexion au niveau de la pratique sur le terrain. Ce faisant par conséquent, qu’advient-il alors de l’image du Maroc aux yeux de ses ennemis faux-amis, au vu de l’augmentation de la vigilance étatique et des résultats obtenus en matière d’investigations structuralistes de lutte antiterrorisme ? Vraiment dans ce domaine sensible, c’est sans doute l’intégration de ce concept de scientificité-vigilance  qui permettra à tout un chacun de préserver sa dignité face à la nébuleuse théocratique menaçante. Et donc, répondre avec lucidité non conditionnelle, à cette problématique posée qu’heureusement elle est toujours résolue en l’anticipant notamment au Maroc. A cet égard, les locutions discourantes indulgentes de certains n’en dénonçant pas clairement les menaces terroristes qui pèsent sur les marocains, portent confusion sur leur déterminisme politico-religieux de soi-disant supériorité à peine voilée. Ce qui par ailleurs est invraisemblable, car poussant les daechistes à croire pouvoir instaurer facilement un Emirat à l'Est marocain en prolongement des territoires du Sahara oriental de Laknadssa à Ouargla. Etant donné qu'ils pensent que leurs relais de religiosité discutable, mettent sournoisement en évidence l’écho d'un probable triomphe de leur technique pléthorique du harcèlement, sans en faire référence à la précieuse production de vigilance des services de sécurité de lutte acharnée antiterrorisme. Que Dieu protège le Maroc! 

       Telle est la question qui se pose désormais chez les observateurs avertis du champ politique marocain. D’autant plus, est-ce que les marocains hommes et femmes jeunes et moins jeunes, sauront-ils se donner finement des soins orientés vers la recherche d’un souffle nouveau ? Et l’imposer à leur environnement politique et socio-économique, pour mettre fin à cette question centrale de la problématique daechiste et autre.  Sachant qu’ils ne veulent pas d’un futur où la garantie de ne pas mourir tranquille même avec maladie accident ou vieillesse s’échangerait contre le risque de périr par suite d’actes terroristes. Pour cela, n’est-ce pas aujourd’hui plus qu’hier surtout à l’aune des élections législatives du 07 Octobre 2016, les marocains n’en désirent qu’ils soient émiettés dans les mécanismes de combinaisons politiciennes d’interférences confusionnelles ? Dont les cellules dormantes sous-tutelle de certains sous-mariniers vendeurs de leur âme, n’attendent que l’occasion pour ne plus s’ordonner de patience et passer à des actes de déstabiliser le pays par tous les moyens. N’est-ce là, et c’est un cri d’alarme lancé, où l’entraide entre fractions terroristes devient prospectivement dangereuse via la logistique des appartements et studios meublés, le financement liquide par petites coupures au vu du style la manière le repérage-choix des cibles et enfin le contact des relais fournisseurs de la matière inflammable et explosive incroyablement encore facile d’accès dans les marchés les laboratoires les dépôts et les officines. Même si, ce que l’on voit sur les écrans comme arsenal de guerre à ce titre, n’en pourrait dire que leur temps de passivité pour en arborer les signes de pré-programmassions de leur pensée n’est en majeure partie déjà qu’un temps mort. Car, tout simplement n’arrivant toujours pas à l’accession de contrôle des consciences des marocains, pour pouvoir facilement diffuser incognito dans le cosmopolitisme sociétal du pays.

       Et oui, sûrement du coté des décideurs au sein de la nébuleuse terroriste, on s’efforce présentement d’obtenir de la théorie de l’expansion en Irak Syrie Sinaï Libye Sud de l’Algérie passant vers la bande sahélo subsaharienne jusqu’au Golf de Guinée, une confirmation qui n’en ferait pas l’exception qu’apporte sur le terrain la vigilance et la résistance des services sécuritaires marocains. Dès lors que le BCIJ (Bureau Central d’Investigation Judiciaire) sorte de FBI marocain sous la coupole de DGST (Direction Générale de Surveillance du Territoire), vient d’asséner un coup terrible aux concepteurs de la nouvelle table de multiplication des tentatives terroristes visant la ville de Tanger au Maroc. Cette fois ce énième essai par l'intermédiaire d'un daechiste tchadien de leur part est terrifiant, dont l’analyse de la méthodologie suivie selon l’opportunité heureusement avortée montre également une disparité d’ancrage géographique entre le rural comme base arrière et l’urbain du Nord au Sud du Royaume comme champ d'action. Là encore, cette table de multiplication des risques révèle qu’elle comporte une nouvelle présentation animée par des disciples notoires de Daech Aqmi et Boco Haram et non seulement des revenants apprentis daechistes nationaux. Parmi lesquels, certains sont généralement pour le moment issus des camps de Tindouf voire provenant de l’horizon de la bande subsaharienne-africaine, ayant auparavant pris part à la formation axée sur les différents modes opératoires d’anéantissement terroristes en Syrie en Irak et en Libye.

       Cependant, même avec l’embarras perceptible des ennemis irréductibles du Maroc au Secrétariat Général de l’ONU face à l’ascension diplomatique maîtrisée du Maroc, en Russie Inde Chine Japon CCG Pakistan Turquie, le fil de la fraternité avec l’Algérie n’est pas coupé. D'ailleurs que ces énergumènes ne le veuillent ou pas, elle est toujours en pensée compilée des marocains fidèles à leur tradition, car ne peuvent oublier qu’ils l’avaient soutenue de différentes manières pour qu’elle puisse recouvrir son indépendance. Et, qu’aujourd’hui n’hésiteraient à transcender le temps, pour que le pouvoir Boutaflika ne reste dans la posture de son lent tempérament suicidaire ne tenant pas compte du désappointement des algériens face à la présence visible des différents courants de la nébuleuse terroriste. N’est-ce là où le bas blesse, car le Pentagone et la CIA avec leurs drones et écoutes savent ce qui se trame dans les contacts du pouvoir algérien avec les daechistes, mais n’en font rien si ce n’est enquiquiner le Maroc seul pays crédible aux yeux de la communauté internationale ? En tout cas, espérons que le peuple algérien courageux puisse réveiller cette horde à Ksar Lamradia d’Alger de sa soi-disant certitude l’ayant rendu chemin faisant obsolète aux yeux du monde.

       Il faut dire que c’est vraiment dommage, même dans une telle situation de basculement dans l’inconnu, ce pouvoir continue encore à croire aux faiseurs de charme pour le sauver du traquenard d’interdépendance des terroristes sur son sol, dont il s’y est accoutumé des années durant. Mais, pourquoi ne se ressaisit-il pas, alors que la temporalité la conjoncture et le structuralisme des événements mondiaux politiques économiques sociaux culturels et sécuritaires changent à grande vitesse, notamment en positivité de prise de conscience sur les risques terroristes ? N’est-ce pas qu'au Grand Maghreb seul le sérieux de l’image diplomatique à l’international compte, comme ce qu’en fait avec détermination le Maroc et non la tromperie par recel d’idées révolues et financements des montages de contrevérités à l’encontre du voisin ? A bon suiveur bon décryptage ! 

jeudi 12 mai 2016

DES PACTES D’INTENSIFICATION DE L’ ÉMERGENCE PAR DES ACTES DE RÉORIENTATION DE L’OFFENSIVE ROYALE POUR LA NOUVELLE CONSTRUCTION DU MAROC ?

ENCORE UNE FOIS, L’ESSENTIEL N’EST-IL DÉJÀ DIT SUR L’ASCENSION MAÎTRISÉE DE LA DIPLOMATIE DU ROI DU MAROC PAR L’OFFENSIVE MULTILATÉRALE EN INDE RUSSIE JAPON ET CHINE ?

       Les années passent et ne se ressemblent plus pour la diplomatie marocaine, qu’au demeurant ne cesse de marquer le coup par des politiques alternatives particulièrement. Parce que, rien qu’à voir comment elle a su réorienter son logiciel de sa nouvelle construction l’aidant à surpasser les envenimations de ses mauvaises habitudes d’antan, pour devenir aujourd’hui sous l’impulsion royale un exemple éloquent à suivre à l’international. Plongeant de fait par réalisme et pragmatisme, celle dispendieuse du pouvoir algérien boutaflikien dans un corridor diplomatique très étroit d’où il n’en sortirait jamais indemne, sinon complètement désarçonné et désarmé. Certes qu’il y a lieu de réfléchir à la création d’un nouveau concept d’annulation des idées saugrenues au sein du Grand Maghreb, à même de brûler le code-pavé des conventions qui finalement n’aident aucunement à sa construction ni sa consolidation.  

       D’autant plus, n’est-ce pas les diplomates marocains du temps présent, n’ont de cesse que de montrer leur particularisme de suivi avec minutie des instructions royales tracées dans la feuille de route de la nouvelle offensive diplomatique marocaine survenue après la rafale des derniers discours ? Ce qui leur donne immensément de plaisir à doubler de vigilance et, à s’investir avec abnégation sans relâchement ni hésitation dans leur noble fonction en tant que premier rempart contre les malveillances dans les chancelleries du monde. En se basant particulièrement sur leur expérience très fiable de consolidation du renouveau marocain désormais incontestablement admis par tous pour la protection du leadership en Afrique. N’est-ce en conséquence de quoi, beaucoup de chefs d’Etats en ont apprécié le résultat-moisson engrangé par le Maroc en relations internationales l’ayant surélevé dans leurs yeux par rapport au voisin de l’Est ? D’ailleurs, n’ont-ils commencé à se bousculer sur les devants des portails des palais du Royaume, et donc à en imiter enfin l’approche visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohamed VI ? Notamment, en prenant bien soin de faire le distinguo entre, d’une part la rythmique de distribution des embrassades dans les sommets et réunions à somme nulle et, d’autre part, l’amplitude de soutien sans faille des pays vrais amis entre eux quand cela s’avère un devoir crucial à faire montrer en ON. N’est-ce ainsi qu’on ait vu exploser le box-office d’estime qu’ont aussi les grands de ce monde pour le Roi visionnaire, sûrement le meilleur parmi les meilleurs chefs d’Etats du moment ? Une leçon que le pouvoir algérien et ses portes-flingues traînent à admettre, pour des raisons de rancœur rancune et jalousie morbide même voyant leur déclassement aux Nations Unies se perpétuer ne faisant plus partie des prestigieux. En fait, la plupart de ces gens là, rechignent à voir la réalité sur le terrain et à se remettre en question en ventilant en leur âme et conscience les retombées politiques diversifiées que connait le Maroc. Résultats concrets des grands chantiers réalisés dans tous les domaines sur presque dix sept ans de travail d’arrache-pied, dont il convient de rappeler l’empreinte royale au Maroc. Par ailleurs, n’est-ce l’exploitation par la communication ciblée de tout cela, qui normalement fera télescoper leur inutile continuité dans le déni de l’offre d’autonomie de 2007, avec leur palpation des transformations voire la métamorphose dans le réel au Sahara marocain jusqu’au-delà de Lagouira au Sud extrême ?

       C’est presque une fierté insondable, lorsque l’on voit aujourd’hui de grandes firmes de divers pays devenir opérationnelle au Maroc à travers des filières d’intégration du savoir technicien local. Certes, pas encore avec une ingénierie spécifiquement marocaine de grande valeur ajoutée pour les hauts cadres nationaux, mais tout de même cette quête de l’excellence n’est pas interdite. D’ailleurs, le Maroc ne s’y essaye-t-il aujourd’hui même dans ses tractations en termes de réflexion stratégique de partenariats gagnants-gagnants avec la Chine ? Qu’en effet, le chef de l’Etat chinois et tous les dignitaires ont réservé un accueil des plus stylisés au Roi du Maroc sur l’esplanade du palais du peuple, que les marocains n’aient jamais vu, à la fois tendre émouvant et solennel et dont sûrement les répercussions en seraient caractéristiques pour la légitimation sans ambages du Maroc dans son Sahara.  N’est-ce là où l’on perçoit la haute considération dont est entouré le Roi, comme ce qu’il a déjà vécu avec l’Inde et la Russie par réactivité communicationnelle performante. S'ajoutant à cet exemple en Chine, en ayant donné le meilleur de lui-même pour convaincre ses interlocuteurs à doter le Maroc de toute la panoplie de la nouvelle catégorie technologique évolutive via partenariats associations et liens stratégiques. Effectivement, en ce temps, la vision royale exploratrice d’autres rapports est plus réellement descriptive des intérêts mutuels en prévalence normative explicite. Concrètement basée sur le multilatéralisme d’identification des filières porteuses et prometteuses en commun avec ces interlocuteurs d’Asie (Inde Chine Japon et Russie), via leur volonté implicite maîtrisée de ne pas interférer politiquement sur aucune des décisions souveraines du Maroc. Bien entendu, ces quatre grands pays incarnent chacun à sa façon, d’abord l’expertise dans l’analyse des opportunités des coopérations multidimensionnelles géostratégiques civiles et militaires, puis le talent dans le savoir-faire commercial-économique via échanges préférentiels et partenariats gagnants-gagnants, ensuite l’innovation et la manière en recherche et application des nouvelles technologies telles les énergies renouvelables et enfin la mutualisation des efforts en référence au culturel cultuel social et sécuritaire notamment la lutte antiterrorisme


       Vraiment, maintenant l’on peut dire que le Maroc est désigné par tous ces pays, pour assurer un rôle nouveau dans la cartographie collaborative des fournisseurs et équipementiers potentiels pour l’industrie sophistiquée, qui reste toujours dispersée à travers le monde pour raison facile à deviner. Même si, les indicateurs de performance du savoir-faire du Maroc illustrent parfaitement le début de mutation sociétale, espérons que sa solidité financière à cause de la politique de contraction de crédits du gouvernement actuel ne risquerait de retarder cette ambition vu le poids social qu’il tracte. Encore heureux, que l’alliance stratégique Maroc-CCG pourrait minimiser toute possibilité de rétropédalage en matière du risque de rentabilité, et ce, par un effort supplémentaire de provisionnement de leur part via le cautionnement moral de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Dont, aussi, de par sa performance relationnelle personnelle à l’international, le Maroc ne manquerait jamais de libre choix, comme à l’accoutumée à chaque fois il revient sur le devant de la scène. A bon suiveur bonne lecture !

lundi 9 mai 2016

C’EST QUOI CES ESSAIS DE MAINTIEN DE LA VACANCE DU POUVOIR EN ALGÉRIE, PAR RECOMMANDATIONS SAUGRENUES DES USA SUR LE SAHARA MAROCAIN ?

A CET ÉGARD, ET CE N’EST NULLEMENT UNE FICTION, LE MAGHREB N’EST-IL DÉJÀ LE SITE DE CONSTRUCTION DE BOMBES A RETARDEMENT DES USA ?

       Bien avant le clash avec Ban Ki Moon lors de son déplacement dans la région, les marocains étaient diplomatiquement patients voire quelque part indulgents à son égard. Mais, cette situation qui a trop duré, est-elle une fatalité une fiction ou une dépravation onusienne qui leur est imposée ? En tout cas, il est difficile de confirmer ou d’infirmer ceci-cela. Toujours est-il qu’à la minute de son premier dérapage à Bir Lahlou en zone de séparation au-delà du Mur de protection érigé par les FAR (Forces Armées Royales), les marocains ont montré qu’ils sont en meilleure forme pour finaliser leurs diverses ripostes. Parce que, pour eux, l’impardonnable si ce n’est carrément l’irréparable venait d’arriver dans leur relation avec le Secrétaire Général de l’ONU par suite de ses mots et gestes offensants prémédités à leur encontre. On dirait, comme si, ce dernier préparait son rendez-vous majeur avec la finalisation du projet de résolution américain au Conseil de Sécurité d’Avril 2016 sur le Sahara marocain.

       Mon Dieu, ça va de pire en pis à l’ONU notamment pour le couple Maroc-Algérie, entre petites victoires pour lui et humiliations successives pour elle vivant de fait une vacance du pouvoir. Ce qu’évidemment corrobore que le Grand Maghreb est devenu le site balançoire en phase de tarage pour l’expérimentation des bombes à retardement par les USA. S’ajoutant à leurs ballons d’essais seulement d’enfumage et non d’apaisement lancés ici et là, tant qu'ils n'ont pas ficelé pour de bon leur programme de déstructuration et réinstallation de nouvelles normes-frontières. D’autant, tout le monde a su après, que Ban Ki Moon fut manipulé par eux et donc relégué au service de pompier pyromane pour choquer les consciences marocaines et les mettre à bout de nerfs. D’ailleurs, ne peut-on se demander, au passage, pourquoi ni les USA ni la Russie n’ont intervenu clairement on-line en interlocuteur digne pour le remettre à sa place, vu que le Maroc leur a fait part officiellement comme à tous les membres du Conseil de Sécurité du comportement désastreux de Ban Ki Moon ? Alors pourquoi ce retard, même si, pour certains parmi eux l’adoption de la Résolution 2285 s’est faite dans l’incompréhension et que pour d’autres dans la douleur. Une scène qui contraste avec leur positionnement en ON surtout lors de l’explication de leur vote, que tous le considèrent plus d’objectif géopolitique d’apaisement que pour appliquer quoi que ce soit. Encore une foutaise de plus dans leurs explications évoquant un seul profil, celui de la bonté et la charité !

       Néanmoins, n’est-ce ceci montre bien la défaillance dans la synchronisation des recours au sein du Conseil de Sécurité de l’ONU ? Sauf que pour les USA c’est un allongement de la pression sur le Maroc, vu qu’ils ne veulent pour le moment aucun renforcement de la coexistence maghrébine et encore moins la consolidation du leadership marocain. En plus, leur schéma d’exercer en plein jour la déresponsabilisation au Grand Maghreb, permet de favoriser la pullulation des groupuscules et entités ethnoculturelles qui demandent à leur tour de se faire entendre par la violence voire les actes terroristes. Comprendra qui voudra ! Alors que le système d’alerte particulièrement en Algérie et en Libye n’est pas judicieusement protecteur et performant, pour venir à bout aux séparatismes déjà enclenchés et qui les rongent de l’intérieur. En effet, n’est-ce bien le rôle des CEGSM (Centres des Etudes Géopolitiques et Stratégiques Maghrébins) de par leur expertise en analyse politique prospective sans l'usage du copier-coller, pour tirer la sonnette d’alarme et faire éviter l’éclatement des pays de la région Maghreb-Sahel-Subsaharienne ?

       Et oui, depuis que le Maroc à commencer à chercher de relancer par les actes son offre d’autonomie dans son Sahara, il est cible d’un harcèlement accru par le Secrétaire Général de l’ONU, les USA, l’UE et l’UA. Toutes ses actions sont suivies à la trace, à même que la France et l’Espagne sont épiées et mises à l’épreuve sur leur soutien indéfectible, en préparation d’une autre action plus explicite que la Résolution 2285. Un soi-disant arrêt de justice du TPI sur la base de plaintes infondées et normalement irrecevables de l’UA du Polisario de l’Algérie et du Venezuela sans le Nigéria ni l’Afrique du Sud. Vraiment, le Maroc doit réévaluer ses relations stratégiques pour ne plus paraître ce pays docile, comme le voient encore les tireurs des ficelles à Washington. D’autant plus, c’est vrai, les marocains ne sont pas des apologistes de la démarche de l’affrontement diplomatique avec les USA. Au contraire, ce qu’ils veulent c’est que ces derniers sortent de leurs positionnements contradictoires sur le Sahara marocain, par une clarification normative à propos de leurs recommandations dont apparemment ils en cherchent à appliquer la dichotomie entre sahraouis, ceux nombreux de l’intérieur et les autres désirant le retour à la mère-patrie. Ce faisant, ne peut-on confirmer que c’est fini le temps où les marocains s’investissaient à leur corps défendant avec les USA, dans des conditions que l’on sait en leur prêtant main et leur offrant conséquemment des scoops fracassants à beaucoup d’égards ? Tout simplement, parce que les marocains n’oublieront jamais que ces soi-disant amis de longue date ont sorti l’artillerie diplomatique lourde pour tenter de disqualifier l’offre singulière d’autonomie de 2007. La cataloguant après tant d’année d’hasardeuse, pour pouvoir remettre sur le tapis leur idée saugrenue et alambiquée, de surcroît manipulatrice de ce qui reste du pouvoir algérien. Seulement dans un but de prolonger la durée du conflit, sachant pertinemment qu’il y a forte improbabilité pour qu’il n’y ait coté marocain de négociations directes avec le Polisario.


       Après tout, n’est-ce là où la Russie considère-t-elle ce revirement américain d’associer le Polisario au montage d’autonomie, une éventualité à ne pas écarter pouvant aboutir par la pression à un processus exécutif dans le cadre d’une autre régionalisation ? Même si, c'est acté qu'elle n'en ferait ni cadeau ni mal au Maroc, comme ce qu'elle a fait depuis Yelsine après la chute du mur de Berlin jusqu'au nouveau Poutine 1-2-3-4... ! Voilà ce qui expliquerait peut-être son abstention au moment du vote sur la Résolution 2285, n’en voulant pas qu’elle soit adoptée avec délestage onusien. Encore heureux, que cette argumentation par omission du cas des tatares en Crimée n'est pas si valide, ce qui montre l’existence d’intérêt commun croisé de creusement du temps entre les USA et la Russie. Car en plus, il y aurait une atteinte flagrante aux droits des marocains de recouvrer officiellement toutes leurs souverainetés. A ce propos, par ailleurs, ne faudrait-il pour les officiels marocains s’animer de dimension communicationnelle forte et passer à une autre offensive avec l’aide des pays vrais amis, pour renverser par le dessus cette tendance des USA et Russie de vouloir tout contrôler au Conseil de Sécurité ? Et, par conséquent surtout, n’en tenir compte ni des polisariens trafiquants incorrigibles ni des cyberdissidents marocains vivant dans l'opulence et la lubricité parfois maquillée en occident et ailleurs. Lesquels, par voie de conséquence n’excellent que dans l’organisation des tromperies voire la désinformation via des montages audiovisuels de contrevérités et tricheries avec l'aide des receleurs et maîtres-chanteurs. A bon entendeur salut !  

samedi 7 mai 2016

POURQUOI, LE MAROC EN EST-IL ARRIVÉ A LA GLACIATION DE SES RELATIONS ILLUSTRES AVEC LES USA ?

MAIS, CES RELATIONS N’ÉTAIENT-ELLES JUSTIFIÉES DEPUIS LES PLANS BAKER 1-2 et 3 A CE JOUR QU’EN TANT QU’ILLUSTRATION SEULEMENT DE FIDÉLITÉ POLITIQUE ET NON MORALE ?

       La détermination politique des USA même avec média génie arabe qu’ils manipulent pour faire plier le Maroc, n’a pour le moment pas eu les résonances escomptées dans la résolution 2285 du sein du Conseil de Sécurité de l’ONU. Un dilemme des monteurs de ce stratagème au sein de l’administration d’Obama avec l’aide de Christopher Ross, à travers lequel ils n’en veulent toujours pas se remettre en question préférant s’abriter derrière. Tellement, les amis du Maroc semblaient ahuris eux aussi par le profil de ses concepteurs, au point d’en montrer qu’ils sont scandalisés par le contenu de l’avant projet de résolution américain. L’ayant amadoué et défriché des pièges, ce qui interpelle en même temps le Maroc pour qu’il revienne vers une nouvelle franchise et hardiesse relationnelle notamment avec les pays faux amis.

       A cet égard, face à cette endurance sournoise de ses ennemis, le Maroc ne se doit-il d’avoir une utilité réelle dans le concert mondial en usant de diplomatie communicationnelle pragmatique loin des clichés et redondances stériles voire contre-productives ? Et ce, malgré ce qu’en colportent comme imprécisions certains observateurs nationaux, il n’est généralement pas interdit pour lui de contracter en ON, d’autres relations de prolongement de multi-latéralité en stratégie prospective dans le cadre de la nouvelle offensive géopolitique multidimensionnelle du Souverain. D’autant qu’il y a plus de 12 ans, sur la base de rapports et documents parfois contradictoires faits par la CIA sur une trentaine de pays musulmans dont le Maroc, que les USA préparaient leur plan de profilage des nouvelles frontières. En s’engageant et mettant leur logistique informationnelle au service des groupuscules et entités ethnoculturelles, tout en leur miroitant en contrepartie Eden de souveraineté à condition qu’ils exécutent leur orientation de principe sans concession.

       C’est en cela désormais, pour les américains, les marocains commettent une erreur d’appréciation, même en toute bonne foi, dans la mise en application de l’offre d’autonomie. Pour eux, le fait de ne pas associer le Polisario selon un cahier de charge établi par leur soin sous coiffe onusienne, reste une énigme, petite certes mais puissante. Quoi de mieux inapproprié comme présentation des choses de leur part que cela ? Mais, soyons vifs et alertes sans s’engouffrer dans les méandres de leur volonté de refaire la carte géopolitique du monde, n’est-ce pas qu’au département d’Etat les tireurs de ficelle n’ont pas apprécié le changement du ministre islamiste des affaires étrangères marocain par un autre sans préavis ? Voilà pourquoi les marocains doivent savoir, comment les USA introduisent leur culte d’inculture politique sur ce que sont vraiment les marocains, pour leur imposer aujourd’hui une voie assez symptomatique des annonces de vagues déstabilisatrices de toute la région. Parce qu’avec ce style non conventionnel des USA, le Maroc en conformité avec sa foi et sa sincérité doit chasser de son intérieur le mal-être qui percute toute ses consciences. Voire s’essayer d’être poignant envers certains supports de l’intérieur, de surcroît vendeurs de leurs âmes n’arrivant pas à dessaouler de leurs compromissions subversives. Parce qu’ils se croient des citoyens hors portée de l’Etat, tant l’amour de l’argent de l’Etranger les envahi alors qu’ils ne forment que la racaille docile pour leurs maîtres que tout le monde connait maintenant.

       Ce faisant, n’est-ce pas le stoïcisme diplomatique du Roi du Maroc en relations internationales, qui les dérange car constitue un pole d’intérêt de prospection en commentaires et analyses au sein de l’ONU ? D’ailleurs, il en est aussi l’une des caractéristiques en amorçage de développement tous azimuts, notamment, par la profusion d’idées de partenariats gagnants-gagnants de grandes valeurs ajoutées avec le CCG la France et l’Espagne. S’ajoutant à la programmation en Afrique Inde Russie et ailleurs, en parallèle de pratique cultuelle d’apaisement et approche sécuritaire anticipative pour la sérénité et stabilité régionale. N’est-ce là où l’on voit que la musicalité politique des USA face à l’épreuve de force du Maroc contre la machinerie Ban Ki Moon, est évidemment tellement provocatrice ? Certainement, pour explorer le rapport des différents courants islamistes vis-à-vis de l’Etat-Maroc, dont l’une des lectures entre les lignes des messages envoyés n’est autre que de savoir où en sont-ils dans la posture du temps présent ni soumission ni révolte.


       Mais là où le bâton blesse, c’est que les marocains ignorent encore tout du contenu des négociations et, c’est pourquoi les pleurs du chef de l’Exécutif actuel pousse à réflexion. S’agit-il d’émotion d’angoisse ou carrément regret des postures d’avant le 25 Novembre 2011, dès lors que 5 ans après les USA reviennent à la charge pour provoquer désordre au Maroc ? N’en déplaises à certains, n’est-il convaincu aujourd’hui que son soi-disant génie qui fut qu’on ne le veuille ou pas encadré de l’intérieur comme de l’extérieur, n’ait été consumé dans le vide et l’indifférence générale des institutions ? Au sens où les USA actuellement continuent de pianoter des fausses notes d’un faux intéressement à l’Algérie, dans l’attente d’autres occasions pour installer de sombres liens  au Grand Maghreb et donc faciliter sa déstructuration. Plus saisissant encore, ceux qui crurent que le président ivoirien Alhassan Ouatara en reconnaissance au Maroc et à la France, pouvait infléchir voire résonner par ses bons offices le pouvoir algérien l’ont eu à leur dépens. Sauf qu’il y a encore plus hypocrite en Tunisie, en quelque sorte ce que font certains protégés de l’époque Benali jouant la double vie à la fois avec le Maroc et l’Algérie, croyant ainsi échapper aux sévices de la terreur qui s’approche d’eux. A bon lecteur bon décryptage !

jeudi 5 mai 2016

DÉSORMAIS LE MAROC ROMPT AVEC LE FATALISME POLITIQUE CONJONCTUREL, IL NE SE LAISSE PLUS FAIRE !

S’AGISSANT DES MARQUEURS DE VIGILANCE ET DE SÉCURITÉ DANS LE CONTEXTE DIPLOMATIQUE INTERNATIONAL DEVENU BALANÇOIRE, LE MAROC TOUJOURS EN VOIE DE CONFIRMATION DE L’URGENCE D’APPLICATION DE SA FEUILLE DE ROUTE.

       Rarement les observateurs en stratégie géopolitique et  les journalistes accrédités aux Nations Unies auront été désabusés et désenchantés par un Secrétaire Général. Parce qu’effectivement, lors de l’escapade de Ban Ki Moon en Mauritanie en zone de séparation et en Algérie, le monde entier a vu qu’elle fut tendancieusement pré préparée au millimètre près par Christopher Ross. Et, dont le Secrétaire Général en fin de mandat s’en est montré faire non seulement de la désobéissance au principe de neutralité dans l’affaire du Sahara marocain, mais aussi, de la résistance à l’impartialité dans sa fonction administrative à la tête de l’ONU bafouant le socle compact de la charte onusienne. Ce qui du reste a provoqué, primo effroi des observateurs et émoi des journalistes, et, secundo réaction populaire marocaine inédite par les marches de Rabat et Laayoune. S’ajoutant au tollé exprimé dans les réseaux sociaux et sur le Net par les marocains postés en sentinelles, car n’en ont pas été revenus de le voir se comporter de la sorte. Lui rétorquant du tac au tac qu’il a dépassé le Rubicon, notamment en ne mesurant les risques de faire crouler toute la région entre malheur de la guerre et enfer du terrorisme.

       En effet, tout un chacun en perçoit en ce temps présent, la dangerosité des menaces terroristes non pas qu’envers le Maroc mais particulièrement à l’encontre des membres de la mission Minurso. Sans omettre les tactiques du pouvoir algérien en tant que commanditaire ayant mis la Tunisie et la Libye sous pression terroriste, en s’aidant d’exécutants polisariens leur assurant moyens et logistique de montage complet d’attentats. Tout en ayant l'œil du maître-chanteur sur la Mauritanie et le Mali, parce que non content du lancement du G5 de la bande sahel-subsaharienne avec Niger-Tchad-Burkina Faso de fait opportunément sous tutelle USA, qui pourrait le déranger dans ses combinaisons pour lesquelles semble-t-il des fonds ont été débloqués pour mettre la région à feu et à sang. En fait, et comme beaucoup de sources le confirment, tout se passe comme si la résolution 2285 ne l’a aucunement surpris, tant il semble avoir pris les devants pour le tournant guerrier qu’il prépare. Parce qu'au fond pour lui dans son intime, le Conseil de Sécurité ne fera jamais de forcing pour l’autodétermination ou effectuera un retour vers les tergiversations d’avant 2004 sous James Baker.

       Maintenant, l’on peut dire qu’au Secrétariat Général de L’ONU, les portes flingues antis Maroc l’ont mauvaise. Au sens qu’ils ont accueilli les intonations de la résolution 2285 du Conseil de Sécurité, comme une chape de plomb les contenant pour ne plus continuer leur basse besogne au nom de l’ONU. C’est d’ailleurs la forte connotation anti thèse de l’offre marocaine d’autonomie du rapport Ban Ki Moon, qui a poussé les vrais amis du Maroc à stopper net toutes ses manigances. D’autant, et c’est vrai, ils n’eussent aucun mal à supporter et faire luire cette offre devant l’incartade invraisemblable des USA, qu’eux-mêmes, il n’y a pas longtemps la présentaient sérieuse viable et facilement applicable. Et, dont actuellement le Maroc en a relevé avec amertume une posture non digne de leur part, tel un film où l’acteur principal s’est surpassé sans intérêt aucun pour le montage final. N’est-ce pour cela le discours royal de Riyad a anticipé la révélation désormais certifiée hautement politique et stratégique? Montrant de fait que le Maroc ne s’auto satisfait plus ni s’auto suffit des belles années où il respirait automatiquement politiquement américain.

       A l’évidence, c’est bien ça qui lui donne aujourd’hui matière à ne plus zapper aucun signe d’alerte ou de provocation cherchant à le contraindre d’aller vers le syndrome du désastre à la façon Sud-Soudan. Ainsi, la première exigence parmi les priorités du moment, c’est de rompre avec le fatalisme politique et diplomatique de conjoncture pour ne pas se laisser faire. En apportant également ses éléments d’argumentation en fonction du contexte et de l’orientation qu’il prend consciemment, en s’activant dans les coulisses internationales sachant que le futur Secrétaire Général ne serait ni américain ni scandinave. A même de confirmer la mise en place du CSS (Conseil Suprême de Sécurité) aussi vite que possible, pour qu’il prenne ses responsabilités en tant qu’institution en cas de suspicion dans le futur de toute rengaine faisant ressortir le bla-bla du Polisario. Et donc, pour éviter les creux des commentaires à l’emporte pièces lancés ici et là sur l’Etat-Maroc, dont on peut aisément en imaginer l’origine. N’empêche, outre que le CSS peut parfois rester discret voire évasif sur sa stratégie de vigilance par souci de protection des données, il n’en demeure pas moins qu’il en soit comptable de sa gestion et traitement des crises qu’elles soient fortuites accidentelles ou préfabriquées imposées de l’extérieur.

       Par ailleurs, en résumé, il ne faudrait que la crainte des surprises comme dans le passé, n’en devienne obsessionnelle pour la surveillance de l’évaluation des pratiques au CSS ? Qu’évidemment sa composition serait sans doute minutieusement soignée, en s’appuyant sur les personnes compétentes en la matière plutôt que seulement sur les structures à vocation de sécurité et de défense par des désignations civiles et militaires selon l’article 54 de la constitution. A cet égard, et ce n’est nullement professoral que de dire, la pondération notamment dans les traitements des crises doit toujours être de mise dans le respect de la constitution. Par contre, si toutefois il y a volonté de l’autre coté d’attiser et souffler sur le brasier, il n’en serait pas compréhensible de croiser les bras et attendre alors que le pays est dans l’œil du cyclone quelle qu’en soit sa nature sa force et sa direction. A bon entendeur salut !

mardi 3 mai 2016

C’EST QUOI CES DISPOSITIONS D’URGENCE PORTANT SUR L'OPPORTUNITÉ D’INSTALLATION DE LOCALISATION ET DE L’ÉTENDUE POUR L’AUTONOMIE EFFECTIVE DU SAHARA MAROCAIN ?

ATTENTION, TOUT LE MONDE DOIT ETRE SUR LE PONT FACE AUX TEMPÊTES DIPLOMATIQUES QUE CRÉENT LES FAUX AMIS !

       Le Maroc n’est-il considéré en géostratégie globalisée, le champion en mutation sociétale paisible par tassement de l’activité politique partisane classique et l’émergence de la société civile à grande résonance ? Mais, pourquoi le management gouvernemental prospectif de l’intégration des outils pour l’autonomie au Sahara marocain, illustre-t-il un retard de performance dans l’avancement sur le terrain ? N’est-ce d’ailleurs ce qui dénote de la volonté royale en prenant les devants de passer à la vitesse supérieure pour compenser l’essoufflement de ce gouvernement ? Pourquoi pas un gouvernement d’union national pour prendre les dispositions nécessaires tout en les pondérant avec l’appréciation de l’évolution de la situation ? Le discours du Roi de Riyad faisant foi, et pour cause le temps perdu sur le calendrier législatif inhérent à l’impact d’intensification de la cadence et donc de l’effectivité de mise en valeur de ce grand chantier. Parce que, pour l'Exécutif au lieu de continuer dans des gestes de financements politiciens de distribution rentière pour les uns et/où d’assistanat à tire larigot pour les autres, ne faudrait-il plutôt les affecter au renforcement des fonds propres à la régionalisation pouvant avoir des implications positives sur la mise en marche effective de l’autonomie au Sahara marocain ?

       Cependant, loin de provoquer la psychose tout le monde doit être sur le pont, car des fenêtres de tirs sont désormais ouvertes sur le Maghreb. Le chaos libyen en est le point de départ, au point que l’on se pose la question : Et si le rapport Ban Ki Moon était en l’occurrence le meilleur révélateur des vrais amis du Maroc au Conseil de Sécurité de l’ONU ? Qu’au demeurant, ils lui assurent leur coopération géopolitique et stratégique via son bonhomme de chemin singulier à beaucoup d’égard. Notamment, leur rappelant en subliminal de terminer le travail de lutte anti terroriste pour la stabilité régionale Euro méditerranée-Maghreb et Sahel subsaharien-africain. Et ce, sans accros et sans risque d’altération de la rentabilité diplomatique de la résolution 2285, pas seulement dans les 90 jours à venir sur les 150 qui le sépare des élections législatives du 07 Octobre 2016, mais au-delà pour toujours.

       C’est vrai, dans la conscience politique marocaine à travers quarante ans, chaque mois d’Avril est un cas à part. Aussi, depuis 2008 même quand il n’y a pas de formulations contraignantes dans les résolutions, les USA s’en sont distingués en montrant qu’ils ne veuillent plus faire du Maroc exclusivement un pays ami et complice. N’est-ce là, la preuve de leur versatilité atemporelle et conjoncturelle, empreinte des groupes de réflexion et de pression qui n’œuvrent que pour leurs intérêts propres ? Comme ces derniers jours dans leur avant projet de résolution en faisant opportunément hypocritement les yeux doux à l’Algérie, prétextant du coup officieusement, l’absence de la réinsertion inclusive du dialogue avec le Polisario pour le réintégrer au processus d’effectivité de l’autonomie. Et bien, si ce n’est pas de la mauvaise foi de leur part en tout cas ça lui ressemble.

       Evidemment, heureusement, leur essai malveillant à l’égard du Maroc au Conseil de Sécurité de l’ONU fin Avril 2016 concernant le Sahara marocain, il fut revu attentivement et corrigé dextrement par les pays vraiment amis, ayant donné la formulation définitive de la résolution 2285. Néanmoins, n’est ce ainsi, l’on peut dire que le Maroc a failli se faire berner politiquement en ON, presque en direct par ces revanchards de yankees? Tellement qu’ils sont eux aussi obsédés par le nouveau leadership régional du Maroc, que même les vérités qui sautent aux yeux sur le terrain ils les omettent. Mon Dieu, rien que pour ça il va falloir doubler de vigilance ! Dès lors qu’une immersion dans le chaos diplomatique onusien en ce moment, donne une idée sur ce que veulent les USA. C’est-à-dire gouverner le monde par la stratégie des contradictions en s’aidant de groupuscules ethnoculturels et confessionnels, voire parfois d’éléments extrinsèques les appuyant en tant que composantes séparatistes dans un but de les transformer en relais étatiques.   


       Et oui le Maroc dérange ! D’une part, par son offre-solution d’autonomie dans la régionalisation avancée, se juxtaposant parfaitement dans l’arc juridictionnel existant et aussi dans l’historicité informative des cas presque similaires au sein de l’ONU. Et d’autre part, grâce à la maintenance de sa vigilance intégrant une myriade d’expressions politiques libres, allant toujours vers des positionnements tranchés sans la moindre hésitation ni balbutiement, l’alliance stratégique et géopolitique Maroc-CCG en est la preuve encore fumante. Par ailleurs, n’est-ce ce qui lui vaut cette maltraitance des faux amis, d’autant plus, les attaques malheureusement encore fonctionnelles de Ban Ki Moon contre lui sont certes préoccupantes mais pas jusqu’à être anxiogènes. Même s’il n’est pas toujours aisé d’en séparer le fictionnel du caractériel pour adapter la prise en charge diplomatique en vue de l’élimination des inquiétudes qu’elles provoquent chez les diplomates marocains en première ligne à l’ONU. A bon entendeur salut !