lundi 28 juin 2021

L'INTIFADA AU PARLEMENT ARABE FACE À CELUI EUROPÉEN N'EST-ELLE CAUTIONNÉE DE PAR LE MONDE ?


NE S'AGIT-IL D'UNE PERSPECTIVE DE REPRISE DES PRÉSIDES SEBTA MELILIA ET AUTRES ILES ENCORE SPOLIÉES SANS HEURTS ?


      Il a été souvent dit et à tort, que le nationalisme des marocains de Sebta et Melilia n'est pas prêt de s'affranchir de la tutelle de la colonisation espagnole. Une contrevérité entonnée par Madrid et colportée par Alger, alors-même qu'un sebti ou melili ne reconnaît aucunement la présence des espagnols "bouraqàa". D'autant qu'il est impossible de rester seulement sur ce constat, au vu de leurs cris du cœur continuels en plus d'ovations et acclamations avec tant de fierté de "vive le Roi du Maroc Mohamed VI". Ne considérant aujourd'hui, que des desseins imaginés par Lui et d'où, se manifeste l'intèrêt de reprendre ces présides et Iles encore spoliés sans heurts ni persécutions. En cela, que peut-il faire le gouvernement de Pedro SANCHÈZ face à la dipolmatie marocaine très offensive sur ce plan ? N'est-ce, d'essayer de mieux comprendre le gigantesque puzzle des intérêts vitaux géostratégiques qui est monté dans le cadre de l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël ? Dont, le fondement réside en la programmation technico-diplomatico-politique par l'ONU pour inverser la géographie tutéllaire des deux villes et les Iles restées occupées, en faveur du Maroc. 


       Un retour aux sources, dont John BIDEN après son passage à l'OTAN à Bruxelles l'a fait comprendre subliminalement à l'UE, surtout au leger et insugnifant Pedro SANCHÈZ. Autrement dit, tout le monde aura vu l'humiliation subie par ce dernier car voulant s'attaquer à la déclaration des USA sur la souveraineté totale du Maroc sur son Sahara. Et, d'où, il faut le dire sans géne, le président américain Joe BIDEN l'ait averti d'être au rendez-vous des transformations géostratégiques en cours dans la région. Par ailleurs, ne l'a-t-il fait en endossant le rôle du seul leader du monde, avec confiance habileté et détermination en clarifiant sa ligne politique sur les malentendus de l'UE avec le Maroc ? En effet, n'est-ce pour cela le parlement arabe a fait son "Intifada" politique face à l'aveuglement de celui européen qui s'est décalé de ce que normalement il devait faire pour apaiser la tension Rabat-Madrid ? Tellement, au Caire pour la première fois, il a fait bloc derrière le Maroc pour repousser l'attitude hautaine et hypocrîte de cette institution domiciliée à Strasbourg. En tout cas, voilà la preuve qu'il y a un espace politique de décliner vertement la perversité de l'approche espagnole d'impliquer le Parlement européen. Lequel, a montré son côté affreux immature et inconscient, qu'évidemment l'Allemagne en est derrière jusqu'à la dissimulation et le double jeu contrairement à ce qu'elle pense. 


       Ainsi, l'on peut d'ores et déjà affirmer, les parlementaires arabes en ayant supprimé le clanisme et sous-groupes pour défendre la marocanité de Sebta Melilia et autres Iles, ils ont donné naissance à un nouveau souffle de cohésion pour la remise en état des aspirations des peuples. Ce qui a amené certains pays de l'UE de se chamailler avec l'Espagne et l'Allemagne en les malmenant. Parce que comprenant le rôle déterminant du Maroc avec des résultats très honorables dans la lutte contre la migration clandestine le terrorisme international et la contrebande transnationale. C'est pour cette raison la déception est visible en Espagne, car son gouvernement a subi des échec cuisants face à la diplomatie marocaine sûre d'elle. Mettant en cause la trahison l'hypocrisie et les petits arrangements d'Arancha GONZALÈS LAYA avec les Caporaux-Généraux vert-kaki algériens. Sans oublier la permanence du déni croisé de l'Espagne avec l'Allemagne et l'Iran sur la marocanité du Sahara. Sousentendu, l'axe du mal Alger-Madrid-Berlin-Téhéran n'a-t-il amené les USA et l'ONU à faire une clarification de plus sur leurs tergiversations et sournoiseries anti Maroc ? À bon entendeur, salut !

jeudi 17 juin 2021

LE MAROC FAIT PEUR À SES ENNEMIS DÉCLARÉS, CAR POSSÈDE L'EXCÉLLENCE DANS SES RIPOSTES RÉFÉRENTIELLES SOUVERAINES..


L'ALLEMAGNE ET L'ESPAGNE EN PLUS DU PARLEMENT EUROPÉEN, TOUS VIVENT LE CALVAIRE FACE AU NOUVEAU MAROC 
QUI TIENT PLUS QUE JAMAIS À SON INDÉPENDANCE DÉCISIONNELLE DANS SA DISTRIBUTION GÉOPOLITIQUE ÉCONOMIQUE.


       Aujourd'hui, le monde sait que l'Espagne est sous l'emprise de gauchos sataniques de Podèmos ayant trouvé le meilleur procédé pour faire passer Arancha GONZALÈS LAYA la ministre des affaires étrangères pour une incompétente. Finalement, elle s'est avérée une pitre patentée inféodée à l'idéal socialiste du temps du rideau de fer en pleine guerre froide. C'est pourquoi, bientôt elle ne vivera que dans la peur du tragique qui attend le gouvernement Pedro SANCHÈZ. Déjà en mêlant corruption incompétence et désinvolture, elle n'a fait que le propulser dans l'abîme politico-diplomatique face au nouveau Maroc radical dans l'exercice de ses souverainetés. Et, c'est là où le signal corsé de Joe BIDEN vis-à-vis de l'Espagne du léger Pedro SANCHÈZ prend sa vraie singnification géopolitique.  Au point que l'humiliation subie par ce dernier au Sommet de l'OTAN à Bruxelles a déclenché  rires voire émoi chez certains, mais aussi effroi chez d'autres. C'est ce que l'on peut appeler "effet boomrang" des turpitudes non bien calculées du parlement européen à l'égard du Maroc. 


       Certes qu'il s'agit là de glaciation de l'esprit enfantillage d'arancha GONZALÈS LAYA qui n'a jamais cessé d'insufler dans toute sa stratégie communicative d'esquive et de mensonge son pathétique surmoi. Et d'où, l'histoire de l'Espagne en est assez révélatrice du chauvinisme ambiant, allant parfois jusqu'à la xénophobie bête et méchante, notamment par la transformation de la vérité. Mais, c'est quoi la vérité dans les cas du Sahara marocain, des présides spoliés Sebta et Melilia et des Iles Canaries ? N'est-ce, que l'Espagne ne puisse continuer de s'inscrire dans le déni en croyant bien conduire le raisonnement de la connaîssance de ce qui est bon de ce qui est mauvais pour le Maroc ? De ce fait, n'est-il temps de mettre fin à ce genre de sournoiseries et interférences espagnoles sur fonds de tension croissante avec le voisin du sud ? Et ce, seulement pour ne pas entendre  son offre d'autonomie 2007, dont le Conseil de Sécurité de l'ONU en a fait sa fixation dans ses dernières Résolutions sur le Sahara marocain. Autrement dit, il importe de ne pas confondre l'ancien Maroc avec celui d'aujourd'hui qui présente avec humilité et sans arrogance des formes propositionnelles objectives facilement réalisables dans la mise en effectivité de la régionalisation avancée. 


      En ce qui concerne l'Allemagne, reste à voir comment Angela MERKEL livrera ses secrets le 15 Juillet 2021 au bureau ovale à la Maison Blanche devant Joe BIDEN sur l'entente tripartite USA-Maroc-Israël. Sachant, qu'en plus, il y a de violentes critiques lancées ici et là dans les différents continents contre elle, au vu de son attitude immorale abjecte et malsaine envers le Maroc seul pays stable dans la région. Ce qui dévoile aussi bien l'idiotie de l'Éxécutif et la xénophobie du Congrès espagnols, que l'arrogance des medias allemands et la malhonnêteté du parlement européen. De ce constat, est-ce que l'Allemagne pourra-t-elle ajouter de l'eau à l'élexir que lui font boire les Généraux vert-kaki algériens pour qu'elle puisse devenir plus sobre et plus consciente de ses faits et gestes dans la région ? Ou, mettra-t-elle son pays en phase des engagements géostratégiques des USA après le Brexit, comme pivot de la relation transationnelle transatlantique de Joe BIDEN avec l'UE ? Sans chercher de les parasiter à l'exemple de l'envoi des renforts militaires et de police à Sebta et Melilia, sans en avoir ni l'aval de l'OTAN ni la maîtrise réelle de la chronologie des événements au sein de l'ONU. Comprendront, ceux qui pourront ! Donc, ça ne lui servira à rien de continuer de faire appel aux forces du mal qui, depuis longtemps la rongent jusqu'à l'extrême contre les intérêts géostratégiques du Maroc. Alors qu'en ce moment, tout le monde apprécie le niveau d'interpretation diplomatico-politique et géostratégique des risques au cas par cas par le Maroc. Faisant peur à tous ses ennemis déclarés, car il y tient fermement à son indépendance dans les distributions de ses décisions économiques intrinsèques et extrinsèques. À bon lecteur, bon décryptage !

vendredi 11 juin 2021

LE PARLEMENT EUROPÉEN PAR ANALOGIE GÉOPOLITIQUE DE L'ESPAGNE VEUT ÊTRE LA MATRICE ACTIVE DE DIABOLISATION DU MAROC.


LA COMMISSION DE L'UE À BRUXELLES N'EST-ELLE PARFAITEMENT CONSCIENTE DU POIDS DU MAROC EN TANT QUE PAYS STABLE ET SÛR POUR CONTINUER À L'ENQUIQUINER ?


       Le parlement européen dans ses exigences toujours malaroitement exprimées, aime impressionner au sud de la Mediterrannée. Pour preuve, dans la Ghaligate, certains eurodéputés gauchos et malveillants extrêmistes xénophobes espagnols, n'ont même pas fait allusion à la chose dans leur réquisitoire malintentionné anti Maroc. Croyant ainsi pouvoir l'impressionner, dans le but de continuer la réalisation de leurs plans hideux de non reconnaîssance par l'UE du Sahara marocain et des présides spoliés Sebta et Melilia. Peut-être craignent-ils la vérité qu'ils ne veulent pas entendre du point de vue historique juridique et moral. Parce qu'ils vivent un complêxe de superiorité maladive datant de l'ère coloniale pour le partage du monde aux conférences de Berlin et Algésiras. D'ailleurs, leur propagande continuelle anti Maroc ne laisse subsister aucun doute à ce sujet selon les comptes rendus de la séance du 10 Juin 2021 au parlement. Et, dont le tollé provoqué à propos du rush migratoire fortuit sur Sebta et Melilia n'est qu'un temps de diversion pour mettre les effets d'une condamnation injuste du Maroc à exécution. Bien sûr, sans y parvenir à avoir l'objet d'un communiqué dans ce sens à la presse présente sur place.


       Mais pourquoi cette tentative au sein du parlement européen de prendre le relais de la haine pour aider l'Espagne ? Même si, d'autres eurodéputés libres, guidés par la volonté de sauvegade des bonnes relations avec le Maroc, ont résisté farouchement. Vraiment, est-ce que c'est au parlement européen à Strasbourg de prendre la décision de juger le Maroc en infraliminaire pour aider l'Espagne de sortir du bourbier où elle se trouve face au Maroc ? Rien n'est moins sûr, n'usant que d'antipathie et défiance à l'égard du Maroc, en outrepassant les Résolutions et décisions de l'ONU. Ne sachant que c'est le début de l'une des batailles politico-diplomatiques les plus délicates, exclusivement entre Madrid et Rabat. Et/où la victoire certaine du Maroc sonnera le glas de cette Espagne hypocrîte et hautaine, guettée ici et là par les séparatismes diversifiés ambiants. C'est pour cela, la Commission de l'UE à Bruxelles consciente de la collusion entre certains eurodéputés et les groupes de pression, montre un esprit coopératif avec le Maroc pour lui faire éviter la destruction de l'ordre stratégique de ses partenariats en cours avec le voisin du sud. Et ce, à titre dérogatoire à plusieurs options sans lui faire perdre la face devant le Maroc serein et plus surprenant dans ses ripostes et prises de position à tous les niveaux.


       Finalement, on peut le dire maintenant, ce n'est pas à Bruxelles mais à Strasbourg que se sont rencontrées les vélléités du gouvernement de Pedro SANCHÈZ et certains eurodéputés espagnols contre la determination des marocains. Oui, ces quelques représentants de la faiblesse espagnole sont allés, sans rougir, jusqu'à prédire voire insinuer que le Maroc, dorénavant, serait mal aprécié à l'UE et donc mal reçu. Une tartufferie de leur part qui en dit long sur leur état d'esprit en pleine déconstruction dans sa partie essentielle de la géopolitique régionale. Même si, il faut convenir que la tension avec l'Espagne est entrée dans une nouvelle phase de diabolisation du Maroc, après qu'elle ait été exclue du plan d'organisation des 17-ième manœuvres militaires "Lion Afric 2021" par l'axe Rabat-Washington. Autrement dit, ça ne sert à rien pour elle d'espérer que cela lui facilitera via l'aide de l'OTAN, la mise sur pied de ceintures mobiles sur terre mer et dans l'air en Mediterrannée autour des présides spoliés, contre l'exraordinaire puissance aujourd'hui reconnue du Maroc. À ce propos même avec ça, bien que convaincu du risque d'une dégradation de ses relations avec l'UE, le Maroc ne désire pas anticiper l'échéance de ses ripostes ordonnées ciblées pour faire valoir ses droits. En tout cas, n'est-ce sa ferme attitude contre l'Espagne et l'Allemagne qui fait que l'UE dans sa diversité, a besoin de lui, pour des raisons objectives faciles à deviner ? En plus clair, l'effet belliqueux de l'Espagne envers lui, s'estampera avec la perspective de la victoire politique et diplomatique du sud. À bon entendeur, salut !

jeudi 10 juin 2021

TEBBOUNE DEVIENT LE BOULET DE SON PROPRE CAMP.


TEBBOUNE AVEC SES ANNONCES À TIRE LARIGOT ANTI MAROC, NE PASSE-T-IL POUR L'IDIOT UTILE DU RÉGIME ALGÉRIEN ?


       TEBBOUNE l'a bien cherché. Qu'importe sa vie plus proche du sniff et la bouteille ? Si l'on décortique la forme le style et le fond de ses dernières sorties mediatiques au Magazine LE POINT et sur la chaine ALJAZEERA, on y perçoit le calvaire qu'il vit. Aucune cohérence dans les propos, comme s'il voulait cacher que son pays redoute la défaite inéxorable. Ce qui veut dire que c'est le commencement de sa fin, même en donnant l'image d'un homme fidèle à son rang de limace du pouvoir des Généraux vert-kaki. Sans honorabilité ni envergure ni prestige mais seulement le cœur plein de haine et de rancœur à l'endroit du Maroc et de son Roi Mohamed VI. D'ailleurs, par ses annonces à tire larigot anti Maroc, ne passe-t-il pour l'idiot de service utile au régime algérien qui cherche à se maintenir à n'importe quel prix ?


       Mais, pourquoi sur ALJAZEERA du Cheikh Hamad sous l'influence de Ben Quanna la missionnaire, avait-il peint le Maroc de pays colonisateur et belliqueux ne pouvant même pas égaler l'Algérie ? L'ayant fait d'un style écœurant voire nauséeux, sans savoir qu'il est, lui-même, estampillé falcificateur attitré des couvertures des magazines. Et c'est là, où l'on voit qu'il est obsédé par le charisme du Roi Mohammed VI en Afrique et ailleurs. Tellement, il ne pense qu'à faire ralentir la marche des FAR au Sahara marocian et par la même occasion entacher la prestance royale par la rampe de lancement des Fakes-News à l'égard du Maroc. Une idiotie qui est accordée à sa douleur montrant pourquoi sa réhabilitation par Gaid SALAH est toujours décriée par le "Hirak" . 


       Aujourd'hui, faisant partie du passif de l'ère BOUTAFLIKA, en plus s'alliant à l'absence de modestie, n'est-il de fait le politique algérien de réputation d'opportuniste ? Sans conviction, telles les girouettes carrièristes au sein du corps des Wali qu'il a fréquenté. Dont, Edgard FAURE son maître-dompteur d'antan dans le cirque des vendus à la France l'avait qualifié en tant que petit esprit insincère inconscient de ce qu'il représente. Autrement dit, au fure et à mesure qu'il s'attaque par son verbiage de tansformation de la réalité au Maroc, le chemin présidentiel devient plus étroit et plus pénible pour lui. C'est là où l'on peut même parler du côté tragique de l'homme, dont on saisit surtout son mépris de La Ligue Arabe. Notamment, les peuples du CCG les marocains en plus des jordaniens égyptiens libyens tunisiens mauritaniens et subsahariens. N'est-ce à cause de ce positionnement qu'il est devenu le boulet de son propre camp à Ksar Almouradia d'Alger ? À bon suiveur, bon décryptage !

lundi 7 juin 2021

MAROC-ESPAGNE, UNE CRISE EN CACHE UNE AUTRE.


À L'UE, SEBTA ET MELILIA NE FORMENT PLUS LE CASUS FŒDERIS, SANS OUBLIER QU'AU SAHARA MAROCAIN C'EST LE CASUS BELLI.


      Dans l'orbite UE, l'Espagne ne peut compter que sur elle-même, si elle veut dépasser la cause de la crise actuelle avec le Maroc. De fait, vu le désordre qu'elle a provoqué par son amateurisme dans la Ghaligate, elle ne pourrait plus avoir sa garantie. Pour que ses entreprises puissent venir investir au Sahara marocain. Particulièrement, pour s'établir sur l'atlantique dans les nouveaux pôles économiques à Dakhla à Bir Guendouz et à Lagouira. D'autant plus qu'elle est allée très loin dans ses turpitudes, jusqu'à ne pas tolérer la préponderance de la coopération des USA et Royaume-Uni. S'ajoutant à son déni des partenariats du CCC Japon Turquie pologne et France avec le Maroc dans son Sahara. Et, ce n'est pas parce qu'elle s'est jetée contre les intérêts du Maroc après s'être faite manipuler par les Généraux vert-kaki algériens, que le défi à relever par ce dernier n'est pas dans ses cordes. Preuve en est, la décision d'outrepasser les ports espagnols dans l'opération "Marhaba" au retour des marocains de l'Etranger, en leur causant des dommages économiques et pertes financières conséquuentes. 


       N'est-ce là un chemin de travers qu'elle vit de façon préoccupante annonçant sa défaite alarmante face au Maroc via la vigilance de ses services de renseignement en l'occurrence DGED-DGDST ? D'autant qu'à ce jour, Berlin et Madrid se refusent insolemment à lui reconnaître sa souveraineté sur son Sahara. Mais, comment devraient elles faire pour sortir de leur déraisonnable non apaisement envers le Maroc ? Si ce n'est d'adopter la formule "sagesse-retenue" d'atténuation de leur obstination commune à faire bloc contre lui. D'ailleurs, cette alliance du mal n'a plus de valeur politique pour séduire à l'UA ni à l'ONU. Étant donné que même à l'UE Sebta et Melilia ne forment plus le casus fœderis arguant qu'il ne sert plus à rien. Une occasion de demander leur récupération selon un programme élalé dans la façon et la forme en commun accord avec l'Espagne. Sans oublier qu'en plus, tout le monde sait qu'au Sahara marocain, la mobilisation ne manquerait pas d'exploiter à fond le casus belli, malgré les digressions du résidu des lobbyings anti Maroc.


       On peut d'ores et déjà avancer que la Commission de l'UE à Bruxelles et le parlement à Strasbourg n'entendent se laisser entraîner dans un conflit illimité avec lui. Mais, pourquoi à Rabat garde-t-on le silence sur le rappatriement honteux de Brahim GHALI vers sa tanière en Algérie ? N'en a-t-on, auparavant, étendu des ripostes proportionnées aux diverses querelles créées par Alger Berlin et Madrid ? Parce que convaincu qu'avec ce trio infernal, une crise en cache toujours une autre. Et ce, pour ne se précipiter à répondre sans le bon diagnostic diplomatique géopolitique et géostratégique. Chose dont les responsables de l'État-stratège politiques et sécuritaires marocains chauffés et soutenus par tout un peuple, sont passés maîtres. À bon entendeur, salut !

vendredi 4 juin 2021

LA MENACE SÉPARATISTE CATALANE POUSSE L'ESPAGNE À FAIRE LE DOS ROND FACE À LA COLÈRE DU MAROC.




DÉSORMAIS, L'ESPAGNE DE PEDRO SANCHÈZ EST DANS L'ŒIL DU CYCLONE SÉPARATISTE CATALAN APRÈS LA DÉCISION DE LA JUSTICE DE L'UE.


      Le Maroc, qu'on ne le veuille ou pas, possède une diplomatie multipotente redoutable. Tellement, elle offre les possibilités dans ses réponses aux crises et incidents diplomatiques. D'autant qu'aujourd'hui, face au gouvernement du fossoyeur actuel de l'Espagne Pedro SANCHÈZ, diverses raisons la guident pour montrer sa solidité aux dimensions géopolitiques plus exigentes. D'où, il se peut bien que dans l'approche pleinement mûrie très attendue pour répondre aux manigances idiotes d'Arancha GONZALÈS LAYA, des vérités essentielles seraient dites. Alors-même que la stabilité de l'Espagne est menacée par la décision de la Justice de l'UE au Luxembourg de rétablir l'immunité à l'ancien président de la Catalogne Carles PUIGDEMONT avec deux de ses lieutenents en tant qu'élus au parlement européen à Strasbourg. 


       Assurément, en ce qui concerne l'intérêt particulier de Rabat sur cette décision, la meilleure riposte serait de se nourrir de l'argumentation de la CJUE en enfonçant plus fort le clou. Étant donné que Madrid est prise en tenaille entre son soutien désinvolte au brigant et terroriste Brahim GHALI et l'acceptation de l'indépendance de la Catalogne. Quoi qu'il en soit, le Maroc, afin de rendre parfaitement claire sa determination d'en finir avec les tartufferies espagnoles, est tenu dans un premier temps à faciliter la mobilité des indépendantistes catalans. Et, dans un deuxième, de préparer une audience en bonne et du forme au monde des affaires catalan. Quant à l'UE, elle ne peut plus couvrir l'Espagne contre le risque des séparatismes qui couvent aux pays basque, en Andalousie, en Catalogne et ailleurs. C'est pour cela, l'on peut dire, le Maroc dans l'attente de sa riposte proportionnée à l'aventurisme espagnol, dont il estime déjà être avec toutes ses forces nationales en légitime défense de ses intérêts vitaux.


       Cependant, si Paris Bruxelles Londres Washington et d'autre capitales invoquent ces raisons générales du Maroc de relever l'affront de l'Espagne de la sorte, c'est parce que l'Algérie s'y est impliquée en imaginant la machination de la Ghaligate. Oui, il s'agit d'un piège tendu par les Généraux vert-kaki à l'Espagne ayant abouti au démentèlement cynique des partenariats économiques culturels et sécuritaires. Par manque d'ossature étatique diplomatique au point que la volonté des partis de l'opposition surtout le PP (Parti Populaire), c'est de s'offrir la tête d'Arancha GONSALÈZ LAYA en attendant les élections. Dont, l'approche consistera à l'équilibrage des besoins avec les comodités de rattrapage du temps perdu pour les bonnes relations diplomatiques avec le Maroc. En plus clair, c'est de se rapprocher plus de lui en usant du réalisme sans idéologie farfelue sur le Sahara marocain. N'est-ce là, où l'on voit, en méditant toutes les exigences du succès de cette relance qu'il n'y a pas autre altérnative à l'Espagne faisant aujourd'hui le dos rond, que de se mettre aux patenariats et accords des échanges sans tricheries. À bon lecteur, bon décryptage !

mardi 1 juin 2021

LE MAROC EN COLÈRE EST PLUS DANGEREUX DANS L'EXERCICE DE SA SOUVERAINETÉ.


LA PROPHÉTIE DE L'ESPAGNE EN DÉCRÉPITUDE APRÈS LE BREXIT SEMBLE SE RÉALISER.


       Aujourd'hui, l'on peut dire, dans la Ghaligate le système judiciaire espagnol n'est autre que le bras de justification de ce que veulent les ministres au gouvernement. C'est tellement évident que cet anachronisme judiciaire est batti pour s'opposer aux charges contre Brahim GHALI. Sans tenir compte des droits des nombreuses victimes dans les camps de la honte dans Lahmada-Tindouf, aux Iles Canaries et en Espagne continentale. Et donc, c'est un continuum qui rendra après son départ pour Alger, les relations maroco-espagnoles encore plus expréssivement tendues. Dont, la tâche du juge PEDRAS était de diriger la prise de décision pour le non lieu, en faisant de la comparution par visio-conférence de ce brigant tortionnaire et terroriste notoire une sorte de coup d'épée dans l'eau. Ne s'agit-il, en effet, de théâtralité de l'audience de refus de mise en détention pour soi-disant manque de preuves tangibles ? D'autant que c'est arrivé après qu'il y eût un amorçage d'appats aux vendeurs de leurs âmes pour jouer leur rôle de crieurs anti-Maroc. Voire aussi, des ordres du gouvernement adressés à la justice par des sorties médiatiques de Pedro SANCHÈZ lui-même. Dont l'éventail est, on le voit toujours, très large pour essayer de masquer tous les angles d'attaques ciblées foudroyantes de Nasser BOURITA et Karima BENAYCHE à l'égard de l'Espagne arrogante et hautaine.


       Là, en l'occurrence, que faut-il en déduire de ce double langage, si ce n'est avec cette alchimie d'intérêts géopolitiques contradictoires, il n'est plus question de continuer la collaboration avec l'Espagne déjà en décrépitude économique diplomatique et sécuritaire ? D'ailleurs, à cause de toutes ses déconvenues, n'est-il arrivé le temps pour le Maroc de renverser la table et geler les rapprochements au court terme dans l'attente d'y voir plus clair ? À dire vrai, l'attitude de ce juge, n'a-t-elle provoqué un tollé d'indignation à même au sein du Cortès contre sa transgression-perversion trop laxiste du code penal ? Au point que le ministre de l'Intérieur s'en est pressé à s'excuser à demi-mot de cet épisode malheureux pour la justice de son pays. Encore heureux que le Maroc l'ait prédit par anticipation sans aucune nuance, de la bouche de Nasser BOURITA comme quoi la comparution devant le tribunal de Brahim GHALI n'est pas une finalité en soi. Parce que le différend Rabat-Madrid est beaucoup plus profond que ça, touchant le recouvrement de la souveraineté totale du Maroc sur toutes ses terres de Melilia-Sebta jusqu'à Lagouira. Comprendront ceux qui pourront ! 


       À l'évidence, il s'agit de mise en demeure subliminale qui s'adresse surtout au gouvernement Pedro SANCHÈZ pour reconsidérer son positionnement avant qu'il ne soit trop tard. Parce que le Maroc pourrait démolir son avenir politique, tant la base de réciprocité c'est de placer en exergue le statut de la Catalogne en ligne de mire. Sous sa loupe d'aggrandissement politique en tant que moyen de rétorsion contre l'engagement immoral et contrariant de l'Espagne au Sahara marocain. De ce fait, il est aisé donc de faire comprendre que le Maroc en colère est plus dangereux envers ses ennemis déclarés contre le recouvrement de ses siuverainetés. En plus clair, il peut faire affronter à ce gouvernement d'incompétents espagnols, d'autres complications naissant de ses propres contradictions partisanes sociétales et territoriales. Autrement, autant le dire sans retenue, la prophétie selon laquelle la domination espagnole des présides Sebta-Melilia prendrait fin après le Brexit semble sur le point de se réaliser effectivement. À bon lecteur, bon décryptage !