lundi 29 avril 2013

DANS CE MONDE EN DÉCALAGE, RIEN NE SERT DE RÊVER IL FAUT JUSTE CONTINUER A TRAVAILLER !


   
L'essai d'exploitation des événements fomentés de Laayoun et ailleurs au Sahara marocain par le polisario, juste au lendemain du vote unanime du Conseil de Sécurité de l'ONU en faveur de la position marocaine, est assez puérile et inefficace pour ébranler les efforts développés par les services marocains de maintien de l'ordre. Et ce, malgré la nouvelle donne sournoise d'octroi de prix où prime d'encouragement par les sbires propolisariens en interne à tout participant s'étant blessé pendant l'émeute face au service d'ordre anti-émeutes.

En même temps ce n'est nullement un appel à plus d'interventionnisme aveugle ou même déguisé de l’État, mais seulement une demande d'anticipation à tout point de vue sur ce genre d'événements. Bien sur en intégrant la légalité dans leur traitement, pour éviter les surprises pouvant entacher le consensus marocain longtemps scellé et qui ne cesse de s'agrandir chemin faisant.

Parce qu'attention, face à ce mal itératif et à redondance communicative, où est donc le recours contre ces fonctionnements malintentionnés? N'est-il pas temps comme le préconisent certains, de mettre en place une entité-digue dont la vocation principale est la vigilance pour ne pas tomber dans le piège de victimisation que cherche à faire renaître le polisario ? Contrairement à d'autres usant d'entichement de fétiche-répertoire pour la surveillance complètement hors du temps. D'autant plus que de l'autre coté du mur de sable, ils ne se plient guère aux dispositions prônées par le Conseil de Sécurité de l'ONU, mais s'aident d’arsenal-présentoir de configuration pré-pensée pour flashage des forces de l'ordre, alors qu'ils sont en exercice normal de leur honorable fonction de maintien de l'ordre.  C'est pour cela qu'il faut sortir des écrans de fumée d'il y a longtemps, ne consistant pas à la distribution des rôles de bonne moralité par le respect uniquement de la loi. Sauf que cela implique une certaine idée des éventuels futurs responsables dans cette entité si elle a lieu, se devant conséquemment profiter de la décision décentralisée à même de lutter énergiquement contre la rente l'injustice et l'inégalité pour servir les grandes orientations de l’État. 

N’EST-IL LOIN CE TEMPS, QUAND ON NOUS LA JOUAIT UNIQUEMENT GENÈSE DU CONCEPT OU IL EST INTERDIT D’INTERDIRE ?

       Quand quelques groupuscules néo-séparatistes algéro-dépendants essayent d’importer une nouvelle coloration à sang et à feu à Laayoun, c’est qu’ils rentrent dans un bras de fer pour provoquer une irritation certaine, chez tous les habitants. Et par conséquent provoquer des soupçons d’encore atteinte des droits de l’homme, comme dans un passé récent à l’égard du Maroc dans la Reis-ONU-Gate à propos de l'intervention des marocains. Du reste, c'est parce qu’en quelques jours le rapport de force de l’ONU avec le Maroc a changé en sa faveur, qu'ils cherchent seulement la mobilisation psychodramatique pour mettre en difficulté les compétences d’intervention pour le maintien de l’ordre. Aussi, ce mot d’ordre du polisario d'attaquer les forces de l'ordre en les narguant voire les bousculant à même les blessant à jets de pierres et autres projectiles, c’est rallumer la flamme de l’enfumage diplomatique les servant, et en même temps porter atteinte aux biens publics et privés ? Alors que la tendance est plutôt bonne au Maroc sur le respect des droits de l'homme malgré les retards de mise en place de l'effectivité de la nouvelle constitution, contrairement aux situations horribles chez les bellicistes polisariens et leurs souteneurs algériens désormais en phase de grondement sociétal dans presque toutes les Wilayas.

       D’ailleurs n'est-ce là ou on voit que ce timing relève des attitudes de positionnement du parlement européen et aussi d’envahissement via certaines de ces couvertures d’influence ? En tout état de cause, le Maroc est en droit de rejeter en bloc voire relativiser cette méthodologie européenne irrationnelle, non pas par le silence mais par la participation ouverte et argumentée usant de tous les canaux pour éviter les répercussions psycho-politiques néfastes comme si les conditions de paix et de tranquillité au Sahara marocain ne sont plus remplies. En plus, ne tenant pas compte du projet d’amélioration totalement novateur préconisé communément par le CCES-E et le CNDH pour soutenir l’appareil productif local. Et pourtant, tout le monde sait que leur travail s'inscrit dans le nouveau rapport d'expertise fruit d’enquêtes méticuleuses se positionnant fortement sur l’économie sociale où tout un chacun est en droit d'amener une solution fut-elle petite.

       En revanche, tous ces députés européens Maroc-septiques vivants dispersés dans leur modèle de vie, manquent de lucidité et de clairvoyance. Parce que croyant pouvoir le marginaliser en prenant ce risque synthétiseur seulement de préjugés non justifiés. De surcroit, ne sachant pas que l'outil principal de la base de données des arcanes de l’État marocain, c'est sa sécularité singulière. N'est-ce pas qu'elle est restée à travers le temps particulièrement précieuse, se distinguant par une vision-lecture presque prophétique que beaucoup de pays nous envient? Voilà pourquoi dans leurs cris amalgamés, ils montrent cette manière commue avec la tendance Kerry-Reis de s'appuyer sur les contre-vérités le mensonge et les faux-montages de films pour dénigrer le Maroc et essayer de contrôler le Sahara marocain. 

       Mais pourquoi leurs oppositions aveugles contre tout ce qu'entreprend le Maroc, ne s'annoncent-elles pas féroces pour lutter contre les atteintes des droits de l'homme en Algérie et dans les camps de Tindouf Rabouni dans  le Sud algérien. Parce qu'au vu de leur standard basse-fréquence utilisé dans leurs pseudo-conférences et autres racontars de leurs voyages nullement instructifs mais seulement récréatifs dans ces contrées, c'est une foutaise par réduction de la temporalité du traitement de ce sujet. C'est donc ce désir de restructuration des réseaux négociés avec les apostats-généraux algériens, dont le manque de charisme est voyant en ce temps de maladie du président Bouteflika, qui est blessant pour la conscience collective marocaine. En tout cas, il est illusoire de vouloir créer un État fantoche, comme par hasard pour le rendre en tout point comparable à une Wilaya algérienne mais donnant cette fois-ci sur l'Atlantique.   

       En ce sens, est-ce que le gouvernement marocain ne doit-il pas combler le déficit informationnel par celui communicatif incisif et décisif avec le parlement européen? Mais comment faire pour outrepasser ce pathétique creuset de versatilité de ces pays, l'obligeant à réfléchir autrement? Faut-il passer sous silence ces manœuvres surtout britanico-nordiques relais de prolongement de l'esprit Reis, et continuer à les avaler avec simplicité sans construction de riposte tonique? Et bien non, les marocains s'y refusent à ce souhait de les convertir en tant que pourvoyeur irrationnel de ce genre de vision des choses. Vu que dans leurs pays respectifs on voit déjà l'émergence de changements hilarants, déstructurants du minimum de respect des droits de l'homme, allant jusqu'à ressusciter leurs vieux démons. 

       Ainsi, le gouvernement  marocain est appelé de se mettre au service des citoyens, en termes positifs d'utilité et de sécurité  des individus et des biens sur tout le territoire national, au lieu de se plaire dans sa benkiranisation à outrance ne cessant à mimétisme de faire les pleureurs à toute occasion comme chez les chiites. N'est-ce pas qu'il ressort de cette image, une indifférence aux espoirs comme aux souffrances des populations de sa part, à l'exemple de la réponse de Benkirane non moins désolante devant la jeunesse pjdiste, concernant le lynchage médiatique d'ASSED ? A cet effet, nulle place aux discours superficiels, abandonnant au destin le soin de trancher sans prendre ses responsabilités. A bon entendeur salut ! 




jeudi 25 avril 2013

ÇA Y EST TOUT EST RENTRÉ DANS L’ORDRE, LE MAROC S’EN EST BIEN SORTI DU TRAQUENARD USAEEN-ONUSIEN PRÉCONÇU EN DOUCE MAIS LANCÉ SUBREPTICEMENT A CAVALCADE !


 Dorénavant, il ne faut plus s’endormir sur ses lauriers pour éviter tout essai-remake !  

       A cet effet, les marocains n'aimeraient plus revivre le même déroulé du film des échanges parfois assez violents dans les propos et dans le fond des analyses envers quiconque. Le Maroc est un pays correct fidèle à ses amis, mais dans ce cadre là ne veut se trouver distancer dans la gestion du dossier du Sahara, alors qu'il a fait ses preuves dans le maintien de la paix dont l'ONU elle-même peut en témoigner.  N'est-ce pas qu'on a besoin de lui pour relever le défi onusien de se substituer aux forces françaises au Mali, de par son expertise reconnue?

  
  D'ailleurs de ce point de vue sans doute le plus en conformité avec sa conscience collective, il ne peut tolérer ce genre d'épisode intentionnel comme ce qu'il vécu avec les USA, l'ayant contraint par nécessité politique de faire des choix subjectifs en réaction. Qu'heureusement font parti désormais du passé, parce que la diplomatie pondérée et raisonnée l’a emporté sur la surenchère et l’aventure. Même si, Suzanne Reis ayant avalé son chapeau n'en voudrait encore en parler, vu la tension résiduelle existante à propos de la reprise des manoeuvres militaires communes sur les territoires marocains.  

  
   Cette solution survenue à point nommé après une intervention apaisante et responsable de Sa Majesté le Roi Mohamed VI auprès du président Obama, s’ajoutant à la désapprobation fondée des pays amis à l’encontre de cette tentative triviale partiale indigne, ayant mis le Maroc injustement pour un temps en difficulté. Alors même que sa diplomatie n’a pas lésiné sur les moyens, pour expliquer dans la clarté usant de la légalité procédurale le sérieux marocain dans le processus de démocratisation déjà entamé. Entre autre dans le respect des droits de l’homme, le démontrant, par la preuve aux membres du conseil de sécurité, et surtout aux aventureux pourvoyeurs-monteur subrepticement de cette scène impensable il y a si peu sous Mme Clinton. Tout compte fait c'est une victoire se la diplomatie marocaine grâce aux négociations menées, mais qui dans le futur demanderait plus de réévaluation de nos diplomates du moins celles et ceux officiant dans les capitales sensibles.

    
   En retirant son projet de résolution d’élargissement des prérogatives de la Minurso pour le respect des droits de l’homme au Sahara marocain, le département d’État au foreign-office, même niant toute existence de cette prévalence, n'a-il pas mis le conglomérat demandeur-commanditaire sentant l’odeur gazière-pétrolière pour l’une des composantes, et diamantière-minière accompagnée comme dans les stades des sons vouvouzelaéens pour l’autre, dans un état de rage et d’incompréhension de cette re-volteface usaéenne-onusienne? Parce que, finalement les USA comme l'ONU ont compris que sans le Maroc, fort de son expertise antiterroriste et son bon vouloir d'aller encore plus loin dans le chantier des reformes sociales économiques culturelles et politiques, toute la région risquerait le contrebalancement alarmant vers l'inconnu. 

  
  Oui, plus que jamais le rassemblement des dirigeants de ce conglomérat-mafia, ne doit continuer à garder sa fausse identité d'usurpation sans être dénoncé. Par ailleurs datant de l'époque de la guerre froide, ayant conduit ces mêmes décideurs et leurs suiveurs proches protégés, à la crise de flatulence issue de leur goinfre sans limite allant jusqu'aux rots itératifs pour ne pas dire autre chose toute aussi nauséabonde. En l'occurrence, par le détournement à même la saignée gravissime des richesses de leurs pays respectifs. Croyant, que par leur mensonge et dénigrement d'autrui, leurs biens mal acquis stockés dans les paradis fiscaux lointains pour la recherche de leur prospérité et aussi de leurs progénitures, ne pourraient être mis à l'index par des hommes libres et intègres dans leurs propres pays comme à l'étranger.

     C'est vrai que cette mécanique de ces semi-constricteurs des canaux relationnels privés où même diplomatiques, dont leur supra-constriction n'a fait que défoncer les portes semi-battantes des chancelleries mettant le Maroc sur un nouveau piédestal onusien, pour continuer sa construction démocratique sans hésitation ni peur de par l’exemplarité de sa cohésion sociétale. Et ce, malgré les crieurs aux longs cous portant du toc, mais ne faisant grossièrement que tic-tac de par leurs pendantes langues-cravates, croyant ainsi se prémunir de la foudre des marocains en interne comme en externe du pays. C'est en ce sens qu'ils ont tout perdu en opportunité de se reprendre, et faire amende honorable envers le Maroc leur pays. Ne s'agit-il pas enfin de la fin d'une époque, où leur niveau de vie à coup de liquidité serait mis en question parce que ne cesserait certainement de dégringoler dans la bourse des chimères ?

   
    N'est-ce pas qu'en plus une lame de fond citoyenne loin de toute xénophobie où autre nationalisme bête et méchant, est désormais en formation contre ces tailleurs des colportassions dénigreurs de leur propre pays? Cependant, alors même qu'ils se sont  spécialisés dans la manipulation et l'intoxication, n'est-elle pas en gré de rester en parfaite état de fonctionnalité comme une légende naissant à nouveau pour créer un panache politique qui manque actuellement au gouvernement ? Personne, dans l'opposition ni même dans cette coalition de conjoncture ne peut dire qu'il pourrait la récupérer, à même sur une tonalité fondée sur la négation des partis existants. Parce que, tous n'ayant fait que frotter les instincts humanitaires des marocains des années durant notamment depuis l'arrivée aux affaires du PJD. Malheureusement contre la volonté des démunis, simplement par le mélange des choses et des genres n'étant jamais dans le vif du mouvement vers la création de l'emploi la richesse locale l'innovation et surtout la formation.


lundi 22 avril 2013

IL EST TEMPS DE CHANGER DE BRAQUET PAR UNE NOUVELLE OFFENSIVE DIPLOMATIQUE, PAR AILLEURS NE POUVANT MENER QU’A UNE BONNE GOUVERNANCE SOCIO-ECONOMICO-POLITIQUE!


   
    Désormais, on peut confirmer sans hésitation que le ridicule se cultive facilement à coup de trous de mémoire. Car aux dernières distillations informatives peut être de rattrapage, si ce n’est seulement équilibriste entre choix manichéens, les USA démontrent enfin leur spécificité de bascule dans le déni selon les circonstances sur la scène diplomatique onusienne. 

C’est incroyable le positionnement protéiforme d'allégeance de certains érudits marocains aux USA ! Parce qu'apparemment ils se rendent corps et âme eux aussi, à la soi-disant évaluation de l'autre face volte-face des USA partant à l’assaut du mensonge-marchant du pouvoir militaire algérien. Ainsi, il y a ce que l’on voit et ce que l’on ne voit pas dans cette affaire, cœur d’un désir de perturbation du Maroc au nom des liens économiques à coup de petro-dinars avec l’Algérie.

Comme quoi, aucun pays n’est au dessus des soupçons, surtout quand il est armé d’un fouet-éventail pour cacher son regard porteur de force malveillante à l'égard d'un pays ami. N’est-ce pas qu'il s'agit d’un nouveau concept obamien d’estimation-minute, combiné hélas d’évaluation instantanée suzannienne diplomatiquement tirée par les cheveux, mais élaboré primairement volontairement par l’administration kerryeenne? 


S'agit-il d'essai d'intégration d'un système frein à la complémentarité diplomatique, de surcroit n'imaginant aucune flexibilité responsable et honorable pour les protagonistes au sein du Conseil de Sécurité?

   
   Aux dernières rumeurs, on n’est plus dans le dénigrement du Maroc mais dans le déchirement par grand écart à propos de la recherche de solution de fortune par les USA. Et ce, après avoir tenter  de sauver celle vraiment amassée des années durant par les généraux algériens. Donc c’est à cause de  cette onde semi-frontale d’interactivité grossière, que de vrais pays amis du Maroc se sont bougés démontrant l’écho de retour des réseaux informatifs introduits sur recommandation pour vérifier les colportassions, que les USA s’essaieraient apparemment de se racheter auprès des marocains. Mais, allaient-ils jusqu’à tancer ces machiavéliques généraux de salons, de laisser tomber leur festival anachronique de recel politique, au demeurant fait de corruption et atteinte des droits de l’homme à contre sens de l’histoire du temps présent ? Où, tout simplement ils nous la joueraient en développement de stratégie d’anticipation sur les rivalités Maroc-Algérie pour une éventuelle décrispation.  

   
   En revanche, comment et pourquoi l’Algérie ne continuerait-elle à avoir peur de l’assurance marocaine face au développement de cette activité, où, surement se rejoindraient les dimensions ethnoculturelles ne pouvant qu'aider à trouver une solution politique définitive? C’est tout l’objectif à atteindre par ce besoin de restructuration de la diplomatie marocaine qui se recherche, et aussi, de re-formation urgente d’une nouvelle équipe gouvernementale qui en soit capable d’instaurer sa détermination à la fois par la confiance et la vigilance. D'abord par une bonne hygiène informationnelle pour fédérer les forces d’interférence vu le catastrophisme annoncé à l’Est, ensuite identifier les essais des désinformations pouvant perturber les aspirations marocaines pour la bonne gouvernance et l'application des fondamentaux volet des droits de l'homme.

       Parce que sinon, il y a risque de débordement sur cette incapacité de procéder au remaniement ministériel dont tout le monde en parle. Sachant qu’il ne faut pas compter sur ce probable et éventuel répit dans ce bras de fer avec les USA, même si, parallèlement les pays dits amis ne se taisent plus. Mais comment faire sans continuer à violer la constitution ? En cela, ne faut-il pas faire accepter à tout le monde, majorité et opposition un PCME Programme Commun Minimum d’Entente pour faire face à cette situation complexe et retrouver un sens national sans colère ni révolte comme ce qu'on a vu en direct à la chambre des députés. A vrai dire c’est la seule alternative pour ne pas s’enfermer davantage dans le ghetto des propos irresponsables entre composantes du parlement et aussi de la société marocaine. 

    
   Pourtant, il y a longtemps que beaucoup de personnes sensées n’ont cessé de tirer la sonnette d’alarme à propos de cette coalition gouvernementale à l’emporte pièces. N’ayant fait que perdre du temps au pays, le mettant en mauvaise posture pour pouvoir sortir de ce traquenard onusien sans casse, en plus d'une situation économique dangereuse guettant le pays. D’abord, pourquoi ces retards non compréhensifs de mise en place effective de la constitution et surtout les tergiversations pour avancer dans le chantier de reforme de la justice et de la régionalisation avancée en commençant par l'autonomie des territoires du Sahara? Puis, était-ce nécessaire ces traitements abusifs violents, parfois à connotation répressive sur l'ensemble du territoire national, surtout à l'égard des marches et revendications sociales légitimes ne les méritant pas? Certainement c’est ce qui a donné aux ennemis de quoi nous montrer du doigt, de surcroît aidés par la kyrielle de nonistes et autres vendeurs de leurs âmes à l’étranger. Mais, pourquoi la coalition gouvernementale ne parvient-elle pas à se surpasser, faisant celle qui s’était rendue ultimement étrangère à ce tintamarre? N'est-ce pas qu'elle vit un cauchemar à l'état de veille, dont elle n'a pu avoir d’éclaircissement sur les motifs et mobiles à propos du service après vente que l'ONU se préparait à effectuer éventuellement le cas échéant ?   

    
   C’est vrai qu’il y a une polémique anti-administration Obama qui monte,  vu les profiles impressionnants des chasseurs de prime outre atlantique, aidés par les anglais et les pays nordiques. Malheureusement, pour les contrer du coté national des expressionnistes prêchant dans le désert continuent à se voir fonctionnellement utiles partout, sans en être compatibles entre eux ni comptables de leurs disettes. Aussi cette fonctionnarisation-fiction pour mettre le génie marocain en action, nécessite pragmatisme et non désinvolture. Parce qu’au lieu de chercher une sortie par la mise de la flexibilité respectable honorable pour tout le monde, ils ne font que se rendre ridicules dans les propos et dans le défrichement du parcours truffé de trous inconnus. 

       Les cris stridents en même temps salvateurs au parlement, lancés par certains politicards en herbe sans cesse confronté à leur dilemme d’incompréhension, ne se sont-ils pas déchirés devant le tournage du film d'actualité du jour. Cette sorte d'Académia-Orchestra-Sahara n'ayant reflété que noirceur de l'image de la représentation nationale par les tires nourris de la passe d'armes entre USFP et PJD. D'ailleurs dans ce cas précis, pourquoi le ministre des affaires étrangères a-t-il continué à vouloir prouver son innocence de par son langage, alors qu'il devait anticiper d'entrer en contact avec ces juges auto-proclamés par la force de la charte du Conseil de Sécurité de l'ONU? En même temps, n'est-ce pas injuste de lui faire porter le chapeau de non vigilance, parce qu’autrement il ne pourra jamais trouver la paix de sa conscience? En ce sens, n'est-ce pas une responsabilité historique de l'ONU d'avoir laissé passer le Maroc pour un temps, entité négligeable dans ses rouages labyrinthiques sans fin. Qu'heureusement l'Espagne la France la Russie et la Chine, ont en montré leur désapprobation de ce procédé partial indigne ? Parce qu'on dirait, qu'on voulait que les efforts diplomatiques d'explication du Maroc restent vains, surtout ne touchant que des subalternes siégeant dans les antichambres de cette immense organisation devenue secrète.

    
   Quel dommage pour ce gouvernement ! Sa seule certitude est sa future psychologisation de n'avoir entendu aucun appel des masse-médias nationaux et étrangers à propos des rapports établis sur les droits de l'homme. Il en porte seul l'entière responsabilité de ce couac dont il faut en tirer la bonne leçon. D'autant plus n'arrivant jamais à voir la lumière d'avant son entrée à l’Exécutif, ni distinguer le moindre point brillant de sortie de sa gestion boiteuse des affaires de l’État. Ne s'agit-il pas d'une manière de jouer le ratage non interactif avec l'histoire politique du moment, avec une ligne conductrice sans conviction n'étant jamais dans l'air du temps? En plus, malheureusement sans saisir les changements qui se passaient autour, en continuant à se la jouer en ordre dispersé à ciel ouvert mettant les priorités en glaciation. A bon entendeur salut !  

vendredi 19 avril 2013

LE MAROC ENTRE TENDRESSE MORTELLE DES USA, ET ATTITUDE SCANDALEUSE DE BASSE POLITIQUE DE CHRISTOPHER TROMPANT MEME LE CHEF DE L’ONU !


 LE MAROC BLESSÉ DANS SON AMOUR PROPRE PAR LES USA ET OUTRAGÉ  A SA MAGISTÈRE MORALE PAR L’ONU, RESTE MALGRÉ TOUT MERVEILLEUSEMENT UNI ET CONFIENT EN LUI. NE MONTRANT PAR AILLEURS AUCUNE FAIBLESSE DANS SA RÉSISTIVITÉ AUX ESSAIS DE CLOISONNEMENT DE SON INTÉGRITÉ TERRITORIALE, COMME AUSSI A LA PROJECTION D'EXCLUSION INTENTIONNÉE VOIRE PRE-PENSÉE NON CONFORME A SA SOUVERAINETÉ !

N'EST-CE PAS QU'EN CE MOMENT L'ONU, CE MACHIN COMME L'AVAIT QUALIFIÉ AUPARAVANT LE CÉLÉBRISSIME GÉNÉRAL TRIBUN PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE, SE LANÇANT EN DOUBLE AVEUGLE AU PAS D’OIES ,  CHERCHE A DÉNIGRER LE MAROC CE PAYS HONORABLE AYANT DONNÉ  SATISFACTION EN BOURSE DES VALEURS ONUSIENNES? EN PLUS DU DOMMAGEABLE TIRE-ESSAI DONT ON ESPÈRE QU'IL SOIT RATÉ VENANT DU COPAIN DE TOUJOURS A OK SAHARA MAROCAIN,  MAIS VOULANT SOUDAINEMENT SECOUER LE DIRHAM POUR UNE POIGNÉE DE DINARS INFESTÉS DE CORRUPTION ET NON RESPECT DES DROITS HUMAINS SENTANT UNE ODEUR GAZIÈRE ET PÉTROLIÈRE.

ATTENTION CE PAYS QU’ON VEUT AGENOUILLER, EN A ASSEZ DE CES RÔLES DE RECOMPOSITION DES RAPPORTS BALANÇOIRES ONUSIENS À SON VIS-A-VIS. D’AILLEURS QU’ON SE LE DISE UNE FOIS POUR TOUTES, IL NE SE LAISSERA JAMAIS TENTER D’OUBLIER SON SERMENT D'ANTAN. PARCE QUE SINON, CA FAVORISERAIT D’ÉVENTUELLES ESCARMOUCHES À FEU ET À SANG, ET ROUVRIRAIT DU COUP UN AUTRE COULOIR À CEUX-LA MÊME RÊVANT D’EN ARRIVER AU BOULEVERSEMENT RÉGIONAL. PAR LEUR MEDIA-GÉNIE CONNUE. QU'EN FAIT ELLE EST AU SERVICE DE CE QUE TOUT LE MONDE POURRAIT AISÉMENT DEVINER, FAISANT A LA FOIS L'ECLAIREUR LE PROPANGADISTE ET L'EMPLOYEUR-PAYEUR EN NOIR.


  SI L’ALGÉRIE S’ESSAYE À EXPORTER SES CRISES ET FRUSTRATIONS DIVERSIFIÉES, NE POUVANT LES AFFRONTER PARCE QUE LE SIMPLE MOT REFORME L’EFFRAYE, COMMENT SE FAIT-IL QUE L’ONU N’EN FASSE RIEN DE LA CONTENIR DANS SES FRONTIÈRES OH COMBIEN DISCUTABLES ET LA TANCER A RESPECTER LES CLAUSES DE LA CHARTE ONUSIENNE ?

       Il ne faut plus en douter, les marocains sont fatigués par des slogans à tomber debout émanant de l’Algérie, les montrant des gens sans scrupules occupant autrui. Un déni criard des réalités historiques du Maroc, de la part du pouvoir algérien ne cessant de "s'apolloniser" narcissiquement, s’imaginant toujours avoir le meilleur système politique. Alors qu’en fait c'est la marque déposée d’un recel corporatiste, en l’occurrence social économique culturel et politico-militaire, dont le FLN en porte la lourde responsabilité.

   
    Dans ces conditions, est-ce que la prime de ralliement et d'accouchement du projet d'extension des prérogatives de la Minurso pour la surveillance des droits de l'homme au Sahara marocain n'est-elle pas un dévoilement de ce qui attend le Maroc par l'administration Obama? Que penser du service après-vente de l’ONU, qu’au demeurant répond à ce même recel algérien, en plus ne cessant de demander plus de sacrifice au Maroc à même de se renier ? Ainsi, voici comment ce paradoxe onusien, parfois dangereux, se mettant à œuvrer comme surfactant productif de mousse périssable dans les canaux diplomatiques. 

     
 De ce fait, quel crédit accorder à ce ralliement-service des USA, se soumettant en tant que secrétaire script en faveur de l’Algérie pour des quotas préférentiels gaziers et pétroliers sans tenir compte du bien-être des populations? Si vraiment ça la politique américaine, que Dieu préserve le Maroc de cette patente et ridicule mentalité à contre courant des droits de l’homme. Parce qu'en effet il faut être rouillé dans ses principes voire moulé par l'usage de la haine et la rancune, pour faire cela au premier pays ayant reconnu les États Unis d'Amérique. Chose certaine, les USA de par les controverses dégagées ici et là de cette sournoise entreprise, montrent qu'il se plantent dans leur analyse, ratant la vraie cible ayant sa logistique terroriste que désormais tout le monde sait, dont l'Algérie en garde des séquelles qu'elle ne pourrait oublier. 

    
   On connaît la finesse de certains de nos diplomates pour y faire face sur le front des coulisses onusiennes et aussi de la légalité procédurière. Et ce, en opposant leur connaissance des dossiers au culturisme mentaliste-biceps des américains parfois s'adressant à quelques États les qualifiant d’États-voyoux, et aussi au forceps des excès surréalistes onusiens se basant sur les dires mensongers colportés. En tout état de cause, en agissant dextrement ils ne prendraient pas le risque énorme de faire sortir le Maroc du giron influent onusien. 

   
   En plus, tout un chacun s'accorde pour dire que, la charte onusienne prévoit  une procédure de retrait volontaire de tout projet s'il n'y a pas consentement des protagonistes"article 06". Sauf que, un non de la part des USA serait politiquement ingérable et se traduirait sur le terrain par l'émergence invraisemblable d'un changement vers l'inconnu. Et donc, si c'est ça vraiment la liberté d'ingérence de surcroit inéquitable et l'autodiscipline de pseudo-moralité cherchant à faire tomber toute une région dans l'escarcelle du terrorisme démontré du Polisario, le Maroc n'en serait jamais preneur. En ce sens, la coïncidence du Patriot's day américain d'une série d'événements peut être par hasard, ne changera rien de la conviction inaltérable marocaine dans l'affrontement des conditions du futur de toute la région, si éventuellement, l'ONU passe à coté d'une solution apaisante. 

   
    Oui, il est évident maintenant pour tout le monde que le Maroc fait peur, car il est le seul pays qui a su gérer son printemps d'une façon hautement maîtrisée continuant à édifier une macrostructure économique basée sur ses seules potentialités.  D'autant plus restant toujours stoïque devant les palabres de ses ennemis, parce que plus on essaye de l'abattre plus il se relève avec force et détermination selon ses propres moyens. Contrairement à d'autres, mêmes isolés politiquement vivant des enfers, ils restent malheureusement courtisés économiquement pour des raisons d'hypothèque de leur sous-sol. A cet égard, dans tous ces pays on aperçoit déjà certains de leurs partis politiques et aussi leur société civile, voulant se coller par mimétisme à l' expérience marocaine des droits de l'homme. C'est pour cela que leurs gouvernements enterrent de facto cette planification la voyant contagieuse, ne la désirant aucunement sorte de feuille de route de soumission au devoir d'inflexion de leurs politiques respectives. 


 Cependant, cette méthodologie marocaine sous l'impulsion de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, demeure selon des analystes et ex-ambassadeurs de ces pays surtout pour l'Algérie la seule sortie possible de plus de quarante années de culture militariste, ne fabriquant par réplication consanguine que des gens sans scrupules aux ambitions démesurées outrepassant la foi et la loi. D'ailleurs d'après ces témoins de valeur, les dépassements des droits de l'homme et les dégâts causés à ce jour, sans mettre sur pieds d'instance ou organisme indépendant pour se réconcilier avec le passé lugubre dans la transparence et l'équité, est un non sens politique. D'autant plus les conséquences sont si lourdes, que le changement arrivera les obligeant à envisager le même parcours que le Maroc dont un futur proche. Ce qui démontrera le bien fondé des reformes, et aussi laissera les pasticheurs d'aujourd'hui cois dans la méditation de rattrapage de leur conscientisation.

   
   En revanche aux heures de cette brillance marocaine, par hasard, les USA comme l'ONU se trouvent éparpillés, si ce n'est bernés par l'intolérance acquise inconsciente anti-Maroc. En l'occurrence, instillée par de nouveaux Nostradamus n'aimant pas cette émergence, la reniant sans fondement.  Parce qu'au lieu de faire propositions constructives et suggestions des traitements effectifs de points-foyers non respectueux des minimas dans tous les domaines, ils s'infantilisent par des dires ne les honorant pas. Et ce ne sont pas leurs lectures dans le mare des tasses de café ou autres, qui empêcheraient cette envolée de consolidation et élargissements des acquis des droits de l'homme. C'est vrai, personne ne peut nier les années de plomb, mais on ne peut aussi nier les efforts faits depuis le début de l'alternance sous Youssefi, alors qu'ils étaient recroquevillés dans leurs "battaniates" attendant le moment propice de se rendre visite entre eux. Au Maroc tout se sait, ils ne pourront continuer à donner des leçons aux Chorafaas Al Ahrar ayant payé de leur chair pour que le pays en arrive là où il est en ce temps. On en a assez de les voir jouer des rôles plus grands qu'eux, ne sachant rien de leur propre histoire, se pavanant dans les couloirs des institutions en glissant des désinformations mal écrites parfois usant de pages facebook ne disant que conneries et sottises.

  

   

mardi 16 avril 2013

MAIS POURQUOI CES NOUVEAUX MYSTÈRES DE L'OUEST VIS-A-VIS DU MAROC ?



  
   Les États Unis d'Amérique nous la jouent en ce temps présent comme au casino! Bizarrement en concomitance d'entourloupette du FMI et Banque Mondiale, s'adressant aux membres du Conseil de Sécurité de l'ONU, leur disant faites votre choix rien ne va plus sur le plan des droits de l'homme au Maroc. Encore une technique de sape du moral des marocains ayant fait d'énormes choses dans les chantiers de construction solidaire au service de la transparence et lutte anti dérives à contre courant des droits humains.

       Non, non et encore non c'est inacceptable comme manœuvre touchant la souveraineté marocaine de plein fouet ! De par ce souhait inamical de l'administration américaine d'extension du rôle de la MINURSO dans la surveillance des droits de l'homme au Sahara marocain. Une incompréhension dans le rapport de Ban Ki Moon de mettre sur le même plan les camps de la honte et l’État marocain dans cette réplication de mauvais gout inadmissible. Alors que le Maroc n'a besoin ni de mixeurs des normes de son savoir faire en la matière, ni des producteurs de visibilité de lecture du futur mais en même temps s'opposant à une mise à plat de leurs propres grille, et encore moins de souffleurs loueurs de leurs âmes à l'étranger dont Christopher Ross et kerry Kennedy s'en sont servis malhonnêtement partialement en faveur des renegats. A cet égard, la révolution consensuelle apaisée marocaine suite au discours royal du 09 Mars 2011, risque de déchanter si rien n'est rattrapé, par une offensive explicite rapide et même énergique auprès des membres du Conseil de Sécurité pour les pousser à modifier cet état d'esprit américain avant le vote. Sinon, ce seront de nouveaux essais par l'affrontement sur les enjeux géostratégiques ne pouvant que déstabiliser toute la région.


    

   N'est-ce pas que déjà la note de Benmoussa alors encore aux commandes du CCSE-E et le rapport du CNDH, en étaient révélateurs du climat machiavélique instauré par la machine John Kerry nouvellement installé au département d’État américain affaires étrangères? N'était-ce pas une excellente façon d'anticiper sur ce qui se tramait dans les coulisses onusiennes? Ainsi, maintenant qu'un cycle infernal est entamé coté USA montrant animosité criarde à l'égard du Maroc, il faut dépasser dorénavant la diplomatie d'improvisation par des congrès et réunions d'attirance de ces vaniteux aimant briouates et pastillas. Car n'aidant plus à peaufiner l'image Maroc à l'international, mais simplement le montrant naïf par sa continuation à se parler rien qu'à lui-même. D'autant plus, qu'elle ne constitue plus ce ciment précieux comme dans le temps avec les américains, surtout pour lobbying d'influence par les pensées géostratégiques. Qu'en fait actuellement ne servant à rien, sans l'optimisation de la valeur des ralliements par les actes, en poussant collectivement dans le processus de maturation de la marche diplomatique du nouveau Maroc. En ce sens, fini le temps où on avait coutume de diviser l'approche du dossier Sahara marocain en secteurs d'activités cloisonnées. D'abord purement voire exclusivement sécuritaires usant de notion suprématiste stupide, puis celles productives de satisfaction dynamisante de l'enrichissement rentier seulement de castes et des opportunistes.  

       Que font alors nos services, élites et autres observateurs nationaux bien au diapason du temps législatif légal sous la nouvelle constitution du 01 Juillet 2011? Ne pensent-ils pas que ce dossier n’est pas pris dans ses dimensions de lieu et d’action chez la coalition gouvernementale actuelle? Ne s'agit-il pas entre autre d'un non sens politique de ce conglomérat de conjoncture, ne sachant pas à un an et demi d’Exécutif que c’est là où tout se joue pour ne pas trop prolonger les moments favorables de faire les choses et aller de l'avant? N’est-ce pas une erreur de s’accorder plus de temps de réflexion, après celui d’accès aux responsabilités entre demandes légitimes et premières décisions en réponse aux attentes de la régionalisation avancée? Parce que, tout se ramène à l'évitement d'implantation du temps des idées saugrenues à propos de la dé-confiance à nos politiques, au vue des nombreuses difficultés socio-économiques greffées.  


    

   Aussi, comment doivent faire les marocains pour ne pas sembler prendre ce temps restant les séparant du vote, seulement comme notion-plateforme, où, se succèdent les événements politiques et se déroulent les existences partisanes sans participation effective d'associations et de la société civile? C'est évident que ça serait insuffisant sans les exigences d'orchestration de mobilisations catégorielles face à ce contournement et manipulation illusionniste dans les propos des USA. D'ailleurs, ont-ils oublié leur usage dans un passé pas lointain de Patriot-Act, ce panel de mesures ne respectant aucunement les droits de l'homme, en plus de leur soutien inconditionnel aux traitements inhumains des palestiniens par Israël. Nous n'en parlons pas de chasse de Saddam et autres déclenchements des guerres en se basant sur le mensonge et l'intoxication. Finalement il est temps de tout revoir avec l'administration d'Obama, laquelle toujours ratant l'essentiel de l'historicité des événement surtout des pays séculaires.

       C’est vrai qu’après cette secousse de notre fierté, on est passé dans une autre dimension du temps politique. En l’occurrence le dépassement du wait and see survenu bien longtemps avant l’arrivée du PJD aux affaires de l’Etat. De sorte qu'on ne pourrait accepter une telle éventualité de surenchère liberticide et revancharde vis-à-vis du peuple marocain. Malgré tout, il ne séagit pas de faire porter le chapeau au gouvernement, même si à ce jour après un an et demi, les arsenaux juridiques et lois d’effectivité de la constitution de 01 Juillet 2011, ne sont pas encore mis en chantier notamment concernant la régionalisation avancée. Dont la seule victime de cet immobilisme faussement apaisé, c’est le chef du gouvernement lui-même montrant un moral à zéro après la réunion urgemment déroulée au cabinet royal, poussant ses lieutenants au PJD à y faire face avec véhémence et détermination comme tous les partis. Et c'est là où le bas blesse, ne savait-il pas que la façon de gouverner de sa coalition était devenue passe temps, révélant une dormance inexpliquée et incapacité à s’élever de ses niches  sociétales pour élever le niveau d'approches dans les traitements des dossiers. Et ce, pour ne plus paraître faire que l'usage de la force à tout bon, par la bastonnade et la matraque dans des situations ne le méritant aucunement, ne faisant que brouiller le message émis par le nouveau Maroc.

    
   Oui et mille fois oui, de par ses historiettes en interne le gouvernement se trouve, simultanément, en état de clivage dans sa gestion des affaires de l’État et de dépendance du système médiatique dans tous ses volets, dont certains ayant la dent dure à son vis-à-vis. Preuve en est, ses recherches de nouvelles bretelles giratoires de réconciliation avec la Banque Mondiale et le FMI voulant le mettre au régime austère. Sauf que, son seul salut se trouve dans le toilettage de ses discours et dépollution de ses actes et traitements des violences. A même au malheur de ses fans, entre faudra-t-il procéder au remaniement où Benkirane s’en irait, et, continuer à essayer de s’adapter à cette structuration par des stratagèmes de collusion des coalisés seulement sans tenir compte de l'opposition et société civile. Justement il est temps de secouer les dattiers devenus stériles au sein de la coalition, ne répondant plus à la fécondation des courant de pensées nouvelles et autres butinages de sa conscience par les juristes, les constitutionnalistes et les historiens.  

       Ça suffit ! Y'en a marre, ce non maîtrise communicative à propos des coupes budgétaires sans se référer au climat social délétère déjà pré-établi, montre le degré de non résilience du gouvernement pour éviter ses propres contradictions. Drissi Azami le budgétivore coupeur de service et Nizar Baraka le concepteur de ce moule de l’étroitesse, ne savaient-ils pas qu’ils allaient provoquer un tolet chez les spécialistes économistes et autres constitutionnalistes? Notamment en ce temps de recherche de cohésion sociétale, avec des différences de styles analytiques selon leurs bons vouloir de prospecter l’avenir du Sahara marocain. N’est-ce pas qu’il y a matière de faire des conclaves de réflexions ici et là loin de l’impératif évident du FMI et Banque Mondiale ? Pour chercher d’autres alternatives diplomatiques possibles, même de portées combinées entre fonctionnalité et exploitation sans beaucoup de dégâts. Pour éviter à la classe moyenne l’affaiblissement de son pouvoir d’achat dès lors que le FMI en fait sa priorité conjoncturelle mondialisée. Se fondant seulement sur le remboursement de ses prêts, selon sa vision en péréquation financière des retenues à prélever, sans tenir compte des aléas politiquement pré-fabriqués par des pays tiers à l'exemple de cet essai malveillant des américains.

    
   Mais quelle serait l’attitude du Conseil de Sécurité vis-à-vis de cette volte-face américaine d’élagage de l’investissement marocain dans le processus des négociations à Manhasset et ailleurs? Allait-il en retoquer le principe de mise en exécution touchant aux acquis cadre des avancées enregistrées depuis l'avènement du règne de Sa Majesté le Roi Mohamed VI, dans les chantiers des droits sociaux cultuels économiques culturels et politiques? En tout cas il ne faut pas compter exclusivement sur un véto de la France, l'Algérie veillant au grain ne la laisserait pas tranquille, vu sa capacité de nuisance avec des détails très modernes dans la construction de l’œuvre euro-méditerranéenne. Déjà qu'elle ne voit pas d'un bon œil les partenariats gagnant-gagnant franco-marocains de reconquête des marchés africains.    

mardi 9 avril 2013

UN REMANIEMENT MINISTERIEL EN PROFONDEUR, POURQUOI PAS ?



    
   Ces jours-ci, les marocains sont assaillis d'une sélectivité d'articles porte-flous de tous les bords. En particulier de ceux aux raisonnements inflexibles, frôlant l'inacceptable en démocratie. Dont, on peut y voir derrière, sans se tromper, une  piteuse dévotion sans âme soufflant sur le brasier comme à l'époque d'intolérance au début d'installation du pluripartisme.

En tout cas c'est une constatation réelle, surtout sur les manchettes de certains journaux en quête de leur valorisation mais malheureusement usant de tricherie et tromperie. En plus des supports on-line dans les réseaux sociaux, injectant des contre-vérités pour basse besogne rappelant les catalogues de mauvais gout de par la présence de commentaires effacés par le blanco et l'existence exprès d'oublis et/où trous de mémoire.

N’EST-CE PAS QUE CET UNIVERS DE FRANCHISE POLITICIENNE OBJET DE POSITIONNEMENTS CORPORATISTES CONSTITUÉS, NE PEUT ENCORE DURER ? PARCE QU’IL RAPPELLE, DU MOINS DU COTÉ DES COALISES AU GOUVERNEMENT ET LEURS PORTE-DRAPEAUX, LA FRÉQUENTATION « AL MOUSAHABA » ILLÉGITIME AVEC SES PICS D’INTOLÉRANCE. AU POINT QU’UN REMANIEMENT MINISTÉRIEL EN PROFONDEUR EST SOUHAITABLE, DANS L'ESPOIR DE RELANCER UN NOUVEAU STYLE POLITIQUE N'USANT PLUS DE FORCEPS CONTROVERSÉS.

AUSSI, POUR LE GOUVERNEMENT S'ÉVADER VERS DE NOUVEAUX HORIZONS ET NE GUÈRE S’ENTENDRE LUI-MÊME, SERAIT COURAGEUX, MAIS A-T-IL LE TEMPS DE LE FAIRE?

    
   Ce que tout le monde sait, c'est qu'il n'a plus de choix que de changer les mèches de combustion des sa lampe à huile, ramasser ses livres jaunis de lectures infructueuses, glaner d'autres épis non asséchées de retournement à contre vent et surtout équilibrer par tarage adéquat du temps présent les plateaux poussiéreux de sa balance.

       Et oui, c'est certain que le temps s’accélère, mettant le gouvernement Benkirane dans un rituel de recherche, seulement, de l'essentiel des équilibres macro-économiques pour soi-disant échapper à la foucade des instances financières internationales. Ainsi, il se rend à l'évidence des difficultés omniprésentes dans son action au quotidien, alors qu'il en a fait fi depuis son arrivée aux affaires à ce jour. N'en parlant pas des seuils revendicatifs en quantité abracadabrantesques et en qualité de rêverie sans fondement réaliste du PJD, ayant mis la barre de son éventuelle gouvernance très haute en veille des élections anticipées du 25 Novembre 2011.

     
   Souvenir, pour souvenir..., la maquette programmatique du PJD et ses coalisés de circonstances, dont l'esprit de songe ambitieux de leur euphorie du début, s'est transformé avec le temps en passepasse-mesurettes par listing ramasse-miettes interchangeables. Elle ne sert absolument à rien, si ce n'est de vide-conscience pour déshérités et démunis, pouvant les amener vers de dangereuses secousses en réponse à cette ahurissante perspective qu'offre la coalition gouvernementale. Parce que ne s'attelant qu'à l'écoulement logorrhéique révélateur d'un délire psyché-gène, ayant creusé davantage le fossé avec sa base électorale malgré les résultats des élections partielles.

   
   Aujourd'hui c'est pratiquement une douche froide que le gouvernement a fait subir aux marocains, par sa mise à zéro des compteurs du budget des investissements étatiques pour 2013. D'ailleurs ceci attire l'attention des observateurs avertis et autres experts des financiarisations de la chose publique. Tant sur le fonctionnement encore alourdi de charges fixes et dépenses extravagantes sans ressources conséquentes, que sur l'investissement par collages et bricolages de ce genre d'économie forcée n'offrant guère de tranquillité pour longtemps. Car en choisissant cette solution, la considérant soi-disant essai de libération d'une pollution externe imposée par la crise financièro-économique mondialisée, le gouvernement se met en contradiction avec sa propre ligne de contraction de crédits et autres artifices de consolidation maquillée. Alors même que le FMI s’apprête à débarquer encore en Mai, cette fois-ci pas inopinément comme ce qu'il a fait récemment, mais délibérément pour vérifier la macrostructure des comptes de l’État et le degré d’exécution de ses directives. N'est-ce pas que ça sent la moisissure des années quatre vingt? 

MAIS COMMENT LE GOUVERNEMENT PEUT-IL FAIRE POUR S'ASSOCIER AU NOUVEAU ESPACE DE TRAVAIL DANS CES CONDITIONS DRACONIENNES?       

    
   Le mode de travail et d'action du gouvernement est entrain de changer. N'en déplaise à certains pré-chauffeurs des "Bendirs" du gouvernement, comme à l'époque pas lointaine des litanies d'Alaamzine pour d'autres, ne sachant pas que s'en est fini le temps des sourires des saluts et des applaudissements. Il s'y prête à céder sur sa propre devanture politique de gouvernement populaire. A cet égard n'est-ce pas le début de sa descente aux enfers, laissant envisager la décroissance? Fort heureusement, le Maroc nouveau tient par ses institutions, ce stroma politique consolidé depuis l'adoption de la constitution du 01 Juillet 2011. 

    
   Ainsi, même pouvant s'offrir le plaisir d'un remaniement en profondeur, l'effet d'entrainement vers la décroissance que provoque la déprogrammation des investissements étatiques, et aussi la diminution  en postes budgétaires à pourvoir, n'aideront aucunement à assainir le climat social délétère déjà entamé. Est-il utile de citer les départements qui vont être sévèrement touchés par cette révision budgétaire, comme s'il s'agissait de congélation spontanée de l'agriculture, l’énergie l'équipement et l’intérieur via les comptes spéciaux? Parce que pour lui, malheureusement, l'important c'est qu'il réponde exactement aux directives du FMI et non aux besoins des populations qui lui ont servi de catapulte pour arriver aux affaires.

     
  Mais pour éviter l'état de schizophrénie d'habillage de ses discours de partage d'effort sans larmes ni sang, il importe dans le cadre exclusivement d'autorité d'État, qu'il apporte un capital humain substitutif pour contrer ces problèmes. En l'occurrence, un remaniement ministériel pour redorer le blason de la coalition par une dose de mixité et d'incrustation d'éléments reconnus intègres de la société civile, pouvant apporter une touche nouvelle de gestion des dossiers.  Parce que sinon, ça n'apportera rien au désarroi perceptible des populations envers la dégradation du pouvoir d'achat, causé par la dualité de fonctionnement de beaucoup de ministres, au demeurant incompétents voire non qualifiés pour rester aux affaires. C'est donc dans ce cadre objectif de l’aménagement coordonné du futur de la coalition, qu'il faudrait limiter la programmation discrétionnaire d'avant sans perdre pour autant en efficacité de moralisation politique. 

    
   Au final ce sujet de remaniement est pourtant simple, surtout quand on sait que la représentation nationale n'a pas aimé ces inflexions de politique d'investissements étatiques sans qu'elle n'en soit saisie. De fait les préjugés d'avant, de l'opposition sont maintenant justifiés par suite à cette manière de faire. D'ailleurs même le MP et PI sont aux abois, estimant être angoissés de cette paranoïa du chef du gouvernement. Lui imputant la responsabilité de l’échec émettant aujourd'hui de troublantes résonances. Mais ce contexte posé, leurs adhérents respectifs l'analysent en ON de façon réaliste se fondant sur le déroulé des échanges de phrases-piques entre leurs ténors coalisés. Alors qu'en OFF ils se disent qu'ils n'ont toujours pas compris le lestage d'un ministre d’État n'ayant rien fait en clair pour mériter ce titre, allant jusqu'à souhaiter son débarquement à même du changement du chef en personne le cas échéant faisant appel en douce à Othmani.