vendredi 24 novembre 2017

QUAND L'UE DIT, PLUTÔT UN SOMMET AVEC L'UA A ABIDJAN LE 28-29 NOVEMBRE 2017 SANS LA RASD QUE SANS LE MAROC !

EN EFFET, A CE PROPOS NE S'AGIT-IL POUR ELLE DU SOMMET D'ANNULATION DES FAISCEAUX DE SOUPÇONS DE L’ALGÉRIE ? 

       Quand les analystes-chroniqueurs à l'UE à Bruxelles montrent qu'ils suivent étape par étape les perfidies des militaires et diplomates faux-anges au sein de l'équipe Boutaflika, pour inclure la RASD dans le programme du Sommet d'Abidjan avec l'UA. Cela, ne donne-t-il par leur repérage des points de la discorde Rabat-Alger, une idée non nuancée sur ces faucons viscéralement anti-marocains animés par l'esprit de haine de jalousie et de vengeance. A cet effet, côté marocain, ne faut-il le marteler avec soin et assurance comme quoi l'UE n'en a déclaré à ce propos pas moins que rien n'était conforme à son principe inébranlable de la non reconnaissance de la RASD. L'ayant fait avec des termes qui affirment que le rattachement du Sahara marocain au Royaume ne doit porter nullement les faisceaux de soupçons de l'Algérie boutaflikienne. Dès lors que ce qui la distingue des autres depuis feu Boumedienne, c'est la volonté lugubre de se démarquer par la légende noire vis-à-vis du Royaume chérifien. Dont la thèse développée, notamment à partir de 1999 c'est le repousser dans des retranchements afin qu'il n'occupe les devants de la scène internationale et ne refonde ni exerce sa légitimation en s'élevant comme une forteresse en Afrique et ailleurs. Dont, chemin faisant, on en devine que l'ONU se met, elle-aussi, au diapason de l'intuition de l'inspiration et de l'attitude du Maroc comblant de surcroit ses aspirations à trouver l'issue politique adéquate viable au Sahara marocain. Parallèlement aux dernières volontés de l'UE, d'où émane la relance de sa nouvelle coopération tous azimuts avec lui sur son Sahara au fait de la répétition de ces engagements publics et solennels d'en faire une plateforme des échanges avec l'Afrique. 

       En effet, tant au niveau géopolitique aux Nations-Unies que diplomatique dans les grandes chancelleries à Moscou Pékin Washington Ankara Buenos aires Brasília Manille et Londres, il est maintenant plus facile pour l'UE de défendre les intérêts géostratégiques du Maroc. D'ailleurs, n'a-t-elle fait savoir en subliminal, si donc, l'Algérie désire arriver à un nouveau état de contractualisation de ses relations avec elle, elle s'en félicitera ? Mais seulement à la condition, toutefois, qu'une telle approche repose sur une obligation absolument claire, l'engageant de se défaire une fois pour toutes de la RASD. Plus subtil tout en étant alambiqué raisonnement politico-diplomatique, connait pas ! Ainsi, si l'on tient compte de la première note de Horst Kohler pour le Conseil de Sécurité sur le Sahara marocain, on voit qu'un changement est intervenu dans les règles de courtoisie de ce représentant spécial d'Antonio Guterres envers le Maroc. Certes, elles n'en furent pas moins observées avec neutralité et impartialité, mème en constatant que l'Algérie et son avorton le Polisario n'en veulent reconnaitre dans ces conditions, la légitimité de la situation nouvelle créée par lui. En plus du fait que, l'UA l'UE et l'ONU sont maintenant convaincues qu'il n'y a qu'une et une seule solution, si l'Algérie veut échapper à l'encerclement international c'est d'accepter sans condition l'offre d'autonomie 2007 et autoriser le Polisario d'en faire de même en tant que l'une des composantes du tissu sahraoui marocain.

      Voilà pourquoi, d'ores et déjà l'on dit ici et là, le Maroc a rompu l'incertitude quant à l'avenir de son Sahara. Il n'est plus dans la crainte d'avant avec les machiavéliques Obama-Ban Ki Moon-Kerry-Ross et leurs draineurs lobbyistes anti Maroc connus. Tellement, aujourd'hui, il est au centre du plus favorable échange diplomatique militaire et politique qui n'ait jamais existé à propos de son Sahara. N'est-ce là, où l'on s’aperçoit que tous les grands de ce monde n'oublient pas le rôle du Roi du Maroc qui, sans sa clairvoyance visionnaire responsable, leurs pays respectifs seraient terrassés par plus d'actes terroristes et de rushs migratoires encore plus incontrôlables ? Par ailleurs, c'est dans cette perspective qu'il convient de décrypter le resserrement des relations franco-marocaines qui lie leurs intérêts stratégiques économiques via partenariats tripartites gagnants-gagnants avec l'Afrique. Sans oublier, en plus, le volet du rayonnement multiculturel mutuel dans les grandes institutions et instances internationales à l'exemple de l'UNESCO aujourd'hui sous la direction de la franco-marocaine Audrey Azoulay. D'autant plus que c'est vrai, cette coopération aurait pu être beaucoup plus fructifiante depuis longtemps, mais les événements de quatre décennies d'anti-marocanisme primaire algérien ont favorisé la divergence des points de vue avec les marchands occidentaux des illusions politiques et des arguties dilatoires non fondées pour gagner du temps dans l'espoir de déstabiliser le Maroc.

       Ce qui corrobore que la vision stratégique et l'action géopolitique du Maroc en Afrique en ce temps présent, ont bousculé le décalage du réel économique par rapport au paysage sécuritaire dévasté par le terrorisme la migration et les guerres ethnoculturelles. Dont il faudra s'attendre au Sommet UE-UA d'Abidjan le 28-29 Novembre 2017 de la part du Roi du Maroc si il y participe, après que Moussa Faki sorte de sa duplicité de langage révoltante, au lancement de grandes idées de dépolitisation sur les gouvernances même avec avancée à petits pas. Pour ne rester dans l'immobilisme, et surtout sans faire porter la responsabilité de l'irréalisme à aucun des participants si ce n'est à l'Algérie sous l'équipe Boutaflika. Car l'UE sait désormais que, c'est bien dans le cadre africain paisible avec un Maroc fort de ses partenariats stratégiques, qu'il faut envisager la coopération avenir. Étant, aujourd'hui, objectivement convaincue que l'africanité n'a pris tout son sens qu'après le retour du Maroc à l'UA. D'autant plus, actuellement, l'on peut affirmer, le renouvellement des consciences pour le codéveloppement d'envergure tant attendu, est en marche. Avec l'objectif du Maroc de ne semer ni peur ni discorde avec ses voisins, mais seulement de leur soumettre l'efficacité de son avancée informative en collaboration graduelle et ce depuis les abords de la mer rouge en passant par les hauts plateaux d’Éthiopie Tanzanie et Rwanda jusqu'au bassin Congo vers l'espace de la CEDEAO. Ceci montre, combien il est illusoire de la part du pouvoir algérien et ses supporters résiduels de vouloir faire détourner l'UE de son ciblage du Maroc pour aller de l'avant. A bon lecteur, bon décryptage !

mercredi 8 novembre 2017

LE MAROC ASSÈNE LE BALISAGE DE SES PERSPECTIVES D'AVENIR EN SE RÉFÉRANT A SON REDRESSEMENT MULTI POTENTIEL DANS LA RESPONSABILITÉ ET LA SÉRÉNITÉ.

ENFIN LE MAROC VIENT D’ÊTRE COURONNÉ DE L’ÉLARGISSEMENT DE SES RÉSEAUX DE COOPÉRATION MULTILATÉRALE VIA L'OPTIMISATION DE SES SERVICES OFFERTS AU NIVEAU NATIONAL ET A L'INTERNATIONAL POUR LA PROSPÉRITÉ LA STABILITÉ ET LA PAIX EN AFRIQUE.

       Le Maroc officiel n'a pas l'habitude de communiquer ni avec ni sans arrogance, au sujet des actes-événements dont les idées peuvent s'échanger et se partager ailleurs selon les angles différents. En cela, même aujourd'hui, il ne voit pas pourquoi il le ferait même après sa prouesse tactique hautement technique de lancement de son satellite informationnel à la carte pour ses besoins civils et militaires sur la Base de Kourou. Tellement, qu'on ne le veuille ou pas, avec la collaboration étroite discrète voire secrète de la firme Thalès et Ariane-Espace, il est maintenant un ajusteur incontournable des connaissances hautement stratégiques pour l'exécution et l’extension de sa géopolitique au niveau de la coopération et le codéveloppement. Tel un espoir dans les territoires africains longtemps restés inviolés par le terrorisme, mais à présent sujets de convoitises et dont on les devine aujourd'hui avides de stabilité de responsabilité et de transformation en bonne gouvernance. A cet égard, il faut le rappeler, le 07 Novembre 2017 aux environs de 22h43mn heure de Guyane française soit le 08 Novembre à 1h 43 heure locale, le Conseil de surveillance de lancement des satellites n'a-t-il fait tombé les masques des ennemis du Maroc ? Non seulement par la douche froide que l'Algérie boutaflikienne en panne ait subi et dont le monde entier en parle de son retard avec presque ironie. Mais aussi par les communications pour le moins inhabituelles qui relèvent des compétences des membres de ce Conseil montrant le Maroc faire son entrée fracassante dans le club des pays qui ont au moins un satellite sur orbite. On chuchote même qu'il s'agisse de prérogatives que le Maroc et la France, comprendront qui pourront, ne se sont jamais hasardés à secouer ni même à piétiner pendant toute la préparation dans le grand secret

       Rappelons que tous les deux, le Maroc et la France sont les attributaires de la mise en chantier du projet avec mobilité non restreinte pour le Maroc dans l'exploitation exclusive à postériori dans ce secteur à la réalité professionnelle jouissant d'un capital humain producteur de la valeur ajoutée. Ce qui veut dire qu'il n'y aura que des exploitants-opérateurs marocains pendant toute la vie du satellite, avec aussi en contrepartie financière pour Ariane espace un important niveau d’investissement dans l'aéronautique dans le Royaume Chérifien. Pour cadrer avec les données géostratégiques perpétuellement mouvantes, et donc s'interdire l'improvisation dans la mise au point des programmes dont le ciblage la modulation et l'utilité de la connaissance forment la trame essentielle à la carte en faveur des demandeurs civils et militaires. Un marché de référence qui s’étalera sur des décennies et qui ouvrira pour le Maroc les portes pour d'autres opérations aussi importantes sur le continent africain via partenariats tripartites gagnants-gagnants équitables et équilibrés. Voilà pourquoi, le futur ministère des affaires africaines dans son évolution anticipative doit s'atteler impérativement à transformer l'éventail d'établissements de formation des jeunes africains diplômés pour les réadapter aux exigences des nouveaux marchés. Et ce, pour qu'avant tout ils assimilent parfaitement le monde de l'entreprise publique et privées usant de ses connaissances. Et, aussi pour qu'ils soient quasiment outillés des processus de production qui exigent une qualification dans la manipulation des technologies de pointe comme l'analyse des données cartographiques dans tous les domaines. Et oui, c'est là une occasion d'offrir à l'Afrique un autre sésame de viabilisation de la qualité des formations délivrées à ses jeunes ressortissants, par une batterie de mesures qui consistent en l'élaboration des modules de formation, en la mise en œuvre des dispositions d'évaluation adéquates et surtout en la certification des formateurs.

       Néanmoins, pour le 42-ème anniversaire de la Marche Verte le Maroc n'a-t-il eu droit au plus beau des cadeaux. Celui du lancement réussi du satellite Mohamed VI ''A'', au point que Boutaflika apparemment en a pris connaissance, notamment après les spéculations sur le report de l'événement. Alors que c'est une doléance sordide de la part de la cohorte du pouvoir algérien par suite de l'effet de surprise et du vent de panique qui s'en est suivi dans ses rangs. En fait, l'Algérie officielle a essayé de semer le doute à propos de ce lancement, allant jusqu'à trouver normal qu'elle ait un droit de regard sur l'opération. Une attitude qui est d'autant plus étonnante que ses dénis de son ''investment-grade'' au vu  des rapports émanant d'instances internationales financières à propos du climat des affaires en Afrique du Nord qui n'ont pas été tendres avec ce pouvoir. En plus, c'est arrivé moins d'une semaine après la sortie extravagante de Messahel, et d'où ces organismes reprochent à Boutaflika et ses ravisseurs à Ksar Lamradia le fait de ne rien faire pour sortir le pays du marasme économique. Ce qu'évidemment a réduit la capacité de ce pouvoir militariste à la Pinochet, à résister aux chocs socioéconomiques politiques et sécuritaires dont le pays se trouve désormais empêtré. En plus étant resté ankylosé dans ses perfidies anti Maroc, sans adoption de stratégie de recentrage de sa diplomatie, la maintenant invraisemblablement spéculative ondulée et piteuse sans espoir de revenir à la raison.  

       Et donc, c'est sans surprise que ''New-Maroc'' est né en cet instant, devenant de surcroit fournisseur de méthodologie d'accès à l'émergence en raflant la mise en investissements diversifiés. Et ce, en faisant face à des pressions des sphères et lobbys mécontents, parce que, son marché devient de plus en plus concurrentiel avec l'arrivée en force de plusieurs filiales d'entreprises internationales. Comme ça, d'ores et déjà l'on peut affirmer que le ticket d'entrer dans le club des pays émergents est désormais hors portée du pouvoir algérien. Ce qui veut dire qu'il y aura encore plus d'écart Rabat-Alger dans tous les domaines, avec un nouveau look des activités à l'international qui s'inscrivent dans la droite ligne de la feuille de route tracée par Sa Majesté le Roi Mohamed VI par ce choix souverain de perspective d'avenir. D'ailleurs selon plusieurs observateurs internationaux, l'impact de cette approche multidimensionnelle du Maroc avec dextérité et doigté diplomatique est là pour le démontrer. A tel point, il n'y a plus de doute, le résultat côté Rabat est mirobolant si on y jette un regard professionnel sur les facteurs extrinsèque s'y afférant, car porteur d'un nouveau balisage en perspective prospective dont il se pare le temps. Gravant son inspiration dans la gestion minière et dans l'agriculture, s'ajoutant à l'aménagement des territoires la pêche hauturière l'environnement la météo la gestion des catastrophes naturelles la défense des frontières la lutte antiterroriste et anti migration...etc. Et c'est là l'interet primordial de couverture du satellite Mohamed VI ''A'' lancé aujourd'hui avec succès. En fait, le Maroc revient de loin et même de très loin si l'on considère que la réévaluation de cette prouesse technologique usant de normes de gestion en ON pour l'amélioration des performances opérationnelles en gouvernance. A bon suiveur, bon décryptage !  

vendredi 3 novembre 2017

LE SATELLITE MOHAMED VI ''A'', N'EST-CE LE BOUQUET DE LA VICTOIRE DE L'INTELLIGENCE LA PERSÉVÉRANCE ET LA CONSTANCE ?

SI LE MAROC NE DÉCOLLE PAS AVEC TOUT CE QU'IL ENTREPREND EN MATIÈRE D'INNOVATION TECHNOLOGIQUE, C'EST QU'IL Y A ANGUILLE SOUS ROCHE...?

       En pratique du renseignement civil et militaire, aborder l'arrosage voire la couverture du satellite Mohamed VI ''A'' de la région MENA Sahel subsaharienne africaine pourrait paraitre une question délicate pour quelques uns. Alors, pour une meilleure compréhension de ce sujet relatif à la sécurité du pays en ce temps des festivités de célébration de la Massira (Marche Verte 06 Novembre 1975), il sera proposé un ensemble de notions pratiques, desquelles l'UE et ses partenaires méditerranéens espèrent relancer une coopération d'éveil et de veille avec le Maroc. Et ce, sans entrer ni dans les détails des besoins ni dans la technicité très développée et encore moins dans les éléments de composition de ce satellite côté épiage et surveillance. En cela, n'est-ce d'emblée l'on peut dire, les fiches pratiques élaborées pour les initiés montrent des préparations dans le plus grand secret des intervenants, pour parer à l'absence et défaillance dans cette sous-région minée par les conflits le terrorisme la contrebande et l'immigration clandestine ? Non seulement dans la diversification des objectifs à atteindre, sachant pertinemment que des discussions très serrées de l'UE se poursuivent avec le Maroc en guise de collaboration adaptée avec lui. Mais aussi dans l'organisation adéquate pour faire de la région MENA une zone de paix et de prospérité, en contrecarrant le rôle perturbateur de l'Algérie et son avorton le Polisario, qu'au demeurant ne souhaitent aucunement la promotion du grand projet d'alliance des civilisations. 

       Maintenant c'est vrai, le porte-parole de la base de Kourou en Guyane française a indiqué que le lancement du satellite Mohammed VI ''A'' pour le renseignement le développement et la recherche n'est pas négociable avec quiconque. A cet effet, à l'entendre, on se serait cru, déjà, aux premières loges de cet événement qui aura lieu le 07 Novembre à 22h 40mn dans la salle de contrôle relookée pour la circonstance en un plateau de focalisation sur le Maroc, par des invités de marque de divers horizons. Ce qu’évidemment marquera, sans équivoque une étape critique dans ce choix stratégique du Maroc, se basant sur un code de bonne conduite selon des processus de maturation technicienne de haute performance. Tout cela, pour conditionner son avenir parmi la quarantaine de pays se positionnant dans ce domaine, primo par l'acquisition rapide de cette technologie en satisfaisant ses besoins d'investigation, et secundo en imposant des règles communicatives sérieuses dignes de foi en matière de qualité et quantité informationnelle dans la région dans plusieurs domaines.  D'ailleurs, n'est-ce ainsi, le Maroc se verrait-il, si tout va bien, en possession de garantie concrète par la réalisation des cycles des 500 photos/24 h et d’enrichir ses propres analyses en matière d'environnement de climat de sécheresse de navigation maritime et aérienne de protection-minute de ses télécommunications et défenses de ses frontières. Bref, il se positionnera, qu'on ne le veuille où pas comme un pays leader avec l’Égypte et l'Afrique du Sud en cartographie civile et militaire de haute définition et résolution en Afrique. En rappelant que toute cette logistique se fera en territoire marocain près de Rabat, par des techniciens nationaux triés sur le volet pour raison de sécurité. 

       En effet, on peut d'ores et déjà confirmer que la vision royale depuis 2001 au moment du lancement du premier satellite de petite portée jusqu'à ce jour, le poids géostratégique du Maroc a augmenté. Tellement son volume géopolitique est devenu conséquent se reconnaissant influent dans le monde, tout en s'adaptant à l'évolution du développement tous azimuts. Car, chemin faisant, il a pris conscience de sa place surtout en zone Euromed, et en Afrique que par ailleurs la marche du Roi Mohamed VI depuis son intronisation en a présenté une abondance diplomatique-relationnelle illustrant d'un coté le rôle du Maroc dans la mémoire des indépendances des pays africains. Et, de l'autre, le profilage de son émergence actuelle moderniste par l'accompagnement du codéveloppement Sud-Sud d'égal à égal avec tous les pays qui le souhaitent. Comme ça, ce ne sont ni les diatribes du pouvoir Boutaflika ni les gesticulations des lobbys et autres ennemis qui l'en empêcheront d'aller de l'avant dans cette dynamique de l'intelligence, se voulant être une véritable radioscopie de l'état de conscience du Maroc pour relever ses défis aux multiples facettes. D'ailleurs, n'est-ce là où l'on s'aperçoit qu'il est en constance effervescence socioéconomique écologique culturelle cultuelle et sécuritaire, en plus le faisant avec détermination face aux chuchotements et réserves des ennemis de l'intérieur, qu'incroyablement continuent leurs stratagèmes des compilations de publications tendancieuses ici et là à l'endroit de leur propre pays. 

       Aussi, outre leurs chroniques frôlant l'insolite parce que mêlant contrevérités mensonges et faux-témoignages sur le Net et réseaux sociaux, le Maroc n'a jamais cessé de s'ouvrir à l'investissement. Convaincu qu'il s'agisse d'atypiques historiettes caractérielles décousues à son vis-à-vis, ne pouvant laisser les vrais patriotes indifférents sans réagir et donner de bonnes leçons à quiconque veuille soigner son image auprès des ennemis de l'étranger sur le dos des marocains. A cet égard, n'est-il déjà requis des contributions civiles et militaires communes détaillées précises et chiffrées avec le Nigeria l’Éthiopie et les pays de la CEDEAO, vu leur rôle essentiel dans le suivi de réalisation des projets stratégiques sensibles dans le cadre des partenariats gagnants-gagnants et la coordination entre les différents intervenants ? D'autant plus, si avec tout ça le Maroc ne décolle pas pour de bon, c'est qu'il y a anguille sous roche dans la gouvernance à l'Exécutif, dont il faudra authentifier les manquements et sévir illico presto par un autre séisme structurel politiquement parlant. Sans donner l'impression d'une provocation de seulement une tremblote éphémère, sorte de continuité à véhiculer la tolérance amère qu'elle soit envers des décideurs incompétents dans les postes décisionnels. Et, donc, pour le gouvernement Othmani en finition sélective, tout en détaillant les atouts du Maroc moderne en Afrique, n'est-ce le temps pour lui d'exprimer sa volonté de conjuguer les efforts du Roi pour le grand boom entamé par les accords de partenariats avec l'Afrique ? A bon entendeur, salut !