jeudi 2 août 2012

Le marasme printanier arabo-africain par Abdelaziz IKKROU


LE MARASME PRINTANIER ARABO AFRICAIN
EST-CE QUE CA VAUT LE COUP DE CREER DES COALITIONS QUI RISQUENT L'EUTHANASIE POLITIQUE? VU LE MARASME PRINTANIER ARABO AFRICAIN ?

Certes, tous nos politiques reconnaissent aujourd’hui que le temps marocain d'amorçage du chantier de la démocratie paisible avait commencé sous Hassan II, depuis la libération des prisonniers politiques et le retour des exilés aboutissant à l'alternance. Il n'en demeure pas moins que sa construction dans la durée s'est faite sous le nouveau règne de manière soutenue et réaliste. Et ce, malgré un certain nombre d’idées reçues où préconçues, notamment celles nourries de haine pour le Maroc, alors que grandissaient sensiblement les libertés individuelles et collectives.


       Le mouvement 20 Février émanation du collectif de la jeunesse Facebook, a accéléré ce qu'il est convenu d'appeler ce temps marocain exceptionnel, passant du blog de diffusion généraliste à l’ère du micro-blog spécifique, et/ou de véritables idées et conception sur l’avenir immergeaient de ces réseaux sociaux. Ainsi la curation politique s’y était invitée à travers ces outils, aboutissant au moment des élections législatives au soupesage des duels programmatiques entre les intervenants de tout bord et à la mise en perspective de quelques avancées escomptées. Ce qui a mis fin au concept hégémonique d'octroi du temps au temps, comme sous d'autres cieux au dépens de la conscience générale et du bien-être des peuples.


       Mais sans vouloir polémiquer, à ce moment qui était là pour répondre sereinement à l’impatience qui s’animait ? Alors qu’éclataient de partout, des actes de séduction quelque part sectaires ou populistes, des témoignages d’encouragement voire de récupération de cette soufflerie printanière menaçante, des conférences plus ou moins téléguidées inquiétantes et même des interviews déplacés voire décevants sur des chaines satellitaires connues. La réponse est cet essai sans ambages, dans lequel il a été démontré preuve à l’appui qu’en politique la vraie victoire c’est d’abord de pouvoir rendre le moral aux concitoyens. Ce que par ailleurs le souverain a réussi par son discours mémorable du 9 Mars 2011 dont on a célébré humblement le premier anniversaire. Sauf qu’hélas, chez certains décrypteurs de ces moments de tension se comportant comme des aliens aux raisonnements étranges, ne vivant pas la réalité du codage instillé comme ouverture d’un nouvel ordre sociétal, ils avaient envoyé notamment une demande excessive à la jeunesse, surtout à la frange des jeunes diplômés au chômage de se mettre en colère. Evidement dans ces conditions de par ce raisonnement, le clash et l’incompréhension auraient pu être au bout. Sauf que finalement ils s’étaient fait démocratiquement blackbouler au référendum du premier Juillet 2011.


       Ce fut même une phase initiatique pour de nombreux jeunes à s’embarquer dans le processus des réformes installées, sans se transformer en brouhaha de mystification par la propagande instillée par ces plagistes de l’expression rigide et de l’étrangeté violente surréaliste. De fait, ils se sont trouvés face au clash de leur propre incompréhension, ne leur permettant pas de comprendre la levée du projet sociétal préconisé. Sous prétexte qu’ils ont besoin d’un cadre normatif plus solidement expressif de leurs seules aspirations, par comparaison des contenus des programmes revendicatifs de la société civile et de tous les partis politiques d’avant le scrutin du 25 Novembre 2011.


       En revanche, cette interrogation source de transformation des choix n’a pas trouvé preneur ailleurs, surtout en Syrie. Et/où l'agressivité racontée par un fil d'actualité d'images insupportables par suite à un double veto, est toujours  incompréhensible. Qu'au demeurant avait en l’occurrence favorisée cette incroyable coopération de résilience de la charte onusienne contrairement au cas libyen. Et dont on pense qu’elle est structurelle pour la Russie de Poutine le vainqueur préprogrammé de l’élection présidentielle, et conjoncturelle pour la Chine victorieuse économiquement à l’international et imposant peu à peu son raisonnement. Ce qui nonobstant interpelle sur ces deux pays à vitrage fumé, risquant ainsi de fragiliser le vieil apprentissage de la démocratie le transformant en quête initiatique du doute sur son utilité. Et que normalement l'ONU a cherché à  bannir de la conscience collective des peuples comme des Etats par sa résolution non contraignante, avec l’espoir de mieux faire par l’envoi de Kofi Annane. Mais les attitudes du pouvoir vont dans le sens contraire des vents de ce printemps syrien usant de sa ruse de toujours gagner du temps.

Tellement que Bachar Al Assad après son référendum constitutionnel tout en continuant ses tueries, s’est permis d’organiser des élections législatives au nez et à la barbe de toute la communauté internationale. Et Toz à elle, peut être dirait-il cyniquement ! Parce qu’il sait qu’il y a une absence de recours vu le précédent libyen, dont tout le monde en parle constatant de visu et en direct les premières retombées au Sahel Mali Niger Mauritanie Tchad Nigeria et Kenya dans l’attente d’autres points de chutes comme le cas désolant de Guinée Bissau.  


       Les exemples d’Ethiopie Soudan Somalie Rwanda et autres bien avant le prouvent par ce genre d’objectif nul de refus des réalités d’où ils ont presque atteint le zéro. Pas facile de s’y retrouver dans cette infinie variété de théâtres d’expositions, se transformant du rituel de conception coloniale jadis ordinaire, en moment d’exception de bouillonnement voire d’implosion. Bien sûr qu’actuellement, chaque pays possède sa fragilité spécifique face à ce tsunami arabe pour contenir les procédés d’incubation du terrorisme où des aspirations séparatistes. Mais encore, ce qui les rend vulnérables c’est le déni commun des dirigeants inconscients de la réalité  géopolitique qui devient inéluctablement étape par étape un temps africain mondialisé. Qui n’est d’autre qu’une conséquence directe de leurs biens mal acquis, ainsi que de leurs familles et proches collaborateurs au détriment des peuples. L’Afrique mérite mieux que le traitement qu’on lui prodigue sur fond de guéguerre larvée, entre nostalgie des anciens colonialistes en dérive économique ne sachant plus comment faire après avoir profité des richesse des pays, et tromperie des nouveaux arrivants ne respectant aucune des clauses de la démocratie sociale environnementale écologique et encore moins politique, surtout dans l’exploitation minière, forestière, et ressources humaines.


       N’est-ce pas qu’Alain Peyrefitte l’avait prédit sommairement dans son livre « quand la chine se réveillera le monde tremblera » ? Et que notre éminent penseur Mehdi El Mandjra l’avait subtilement distillé dans ses nombreux travaux de futurologie par l’argumentation et l’analyse des malentendus s’exprimant d’un coté par des jugements négatifs et de l’autre par des rejets violents de l’ordre mondial actuel. Qu’on le veuille où pas, n’y avait-il pas fait allusion en subliminaire en posant les vraies questions sur le choc des civilisations de par le déroulé du fil d’actualité depuis la première guerre d’Irak à ce jour ? Confirmant que le travail intellectuel aussi puissant soit-il, ne peut aucunement se substituer à l’aspiration réelle des peuples à la démocratie. Sauf que, si on ajoute cette envie expressive à cet intéressement des peuples, la question qui se pose c’est de quelle démocratie s’agit-il dans ce monde de jungle n’avantageant que ceux toujours au Startup ? Est-ce, celle qui consiste à nier les autres par des discours xénophobes, à les refuser ou à les refouler sous des prétextes électoralistes restreints, mais jamais sans se remettre eux même en question, autant de provocations pour la conscience humaine ? Où est-ce, celle qui puise dans la réserve humanitaire de solidarité entre les peuples, avec des limites évidentes de structuralité dans l’action, voire même de sa conjoncturalité, ne faisant qu’aider à faire disparaitre ponctuellement et momentanément les symptômes des vecteurs du tiers-quart-mondisme, sans résultat probant ?


       Actuellement l’apprentissage de la démocratie pour beaucoup de pays touchés par le souffle printanier arabe, passe inéluctablement par une période d’affirmation de leur moi autonome différent de celui de l’occident. Des moments certes difficiles d’improvisation et de temporisation pour tous ces pays, parfois en s’essayant de tordre le sens des dérives et déstabilisation avec le risque de tout faire capoter par le sentiment d’impuissance voire découragement. Justement pour le Maroc, c'est vrai qu’il n'a jamais eu la maladie du mal maudit, en l'occurrence le parti unique que connaissait la plupart de ces pays. Ce qui l’a mis à l’abri de l’impression de pénibilité dans les taches à accomplir pour sortir du déferlement printanier arabe tète haute. D’ailleurs n’est-ce pas pour cela qu’il a réussi petit à petit ses métamorphoses constitutionnelles, une sorte de récompense de sa longue démarche s’attribuant à ses propres mérites surtout depuis les gouvernements Youssefi I et II ? Un programme qu’il a vécu comme des purs moments d’interrogation sur quelques torsions, et aussi de satisfaction à chaque étape des transformations sur-mesure intégrant les fondements du bien être de la population. Ce qui l'eut franchement et pas n'importe comment dédouané des années de plomb, usant habilement le premier de l'Instance Vérité et Réconciliation. Et qu'en Tunisie révolutionnaire on essaye actuellement de dupliquer pour sortir de l’embrouillamini installé, en lançant une conversation franche sur le devenir du pays et s’efforçant de prendre les devants pour retrouver des couloirs d’application de la future constitution sans tomber dans les excès.


       En effet ces essais marocains racontent fort bien sa lutte contre le destin  handicapant du manque d’une manne pétrolière gazière ou autre, malgré que les attentes sociales économiques soient nombreuses. Et qu’en plus le vrai pouvoir financièro-économique est entre les mains du FMI et les banques, prônant plus d'orthodoxie budgétaire et de rigueur de fonctionnement de la machine des Etats. Mais la méthodologie suivie du Maroc, c’est de se faire confiance à ses capacités créatives par le bon usage de son orgueil où le rythme de l’innovation structurelle ne s’estompe pas, se conjuguant malgré tout au désir de croissance. Certes depuis l’avènement de l’alternance cela lui a permis également de faire le point sur cette conviction par anticipation, espérant en récolter une satisfaction même avec quelques déconvenues ça et là. Aussi il était allé loin dans les essais contre les manques et les frustrations de sa restructuration financièro économico socio politique pour améliorer son positionnement au 130ième rang dans l’échelle internationale du développement humain qui laisse encore à désirer.


       Maintenant, est-ce que le fait d'avoir des élections libres honnêtes sans   encombres et satisfaisantes du point de vue éthique démocratique, est une garantie de perspective suffisante pour une justice sociale culturelle écologique économique voire politique face à ces supports financièro-bancaires? En tout cas au Maroc, après l'euphorie du 25 Novembre 2011 et les moments heureux de l'état de grâce qui s’en est suivi, l'équipe gouvernementale apprend à affronter tant bien que mal cette incertitude. Toutefois en étant attentif au déroulé de l’actualité nationale, on peut percevoir sans aucune complicité une sorte de bribe légère du concept d’hégémonisme politique commençant à la traverser. Ce qui augure du risque de séduction à contre courant des réalités sur le terrain, et de somatisation de dysfonctionnement de sa machine. Parce qu’on la voit déjà commencer à produire une forme de fatigue-égocentrisme, l’empêchant de vivre comme étant une coalition normale. Allant jusqu’à arborer à mimétisme chez une minorité de ses membres d’éventuelles démissions, en risquant de nuancer les aspirations proposées d’avant les élections, une fois la charge d’espoir tombée. L’échange verbal très soutenu au parlement entre Khayrat et Lkhalfi sur le projet de lois des finances 2012 en deuxième lecture, en est révélateur de cette tension K² attestant de profondes difficultés relationnelles entre la majorité et l’opposition. Alors qu’en subliminaire elles font tout, en se demandant ce que chacune pense de l’autre, pour qu’elles ne soient pas  comprises par les petites gens ne supportant pas d’être sujettes à ces troubles de paranoïa. D’ailleurs, vu l’image qu’elles ont des gestions gouvernementales respectivement, par le passé proche s’écartant de leurs doléances légitimes pour l’une, et par le présent créant une coalition de circonstance politique s’éloignant des slogans préélectoraux pour l’autre, elles ne se laissent plus émouvoir par ce genre de parodie menant toujours à la réconciliation sur leur dos.


       En revanche, encore heureux pour ce gouvernement que le Maroc ayant réussi auparavant une croissance de 5%, est bien noté par les agences de notation gardant son BBB -, surtout par Standard & Poor's usant des rapports rédigés par ces mêmes supports, qui sont eux aussi  toujours  renflouées  par  l'argent  des  contribuables du monde entier. Sinon quand bien même que l'on soit ce bulldozer de charme et de volonté politique à la poursuite des événements qui défilent à toute allure, le premier défi à Benkirane pour délivrer une véritable ordonnance ciblant les différents besoins, c'est comment répondre par une nouvelle gouvernance sans coloration uniquement maison, aux questions qui taraudent les fins analystes politiques au Maroc et ailleurs, sur la faisabilité technico-administrative du programme gouvernemental de sa coalition hétéroclite qui commence d’ores et déjà à se craqueler? Parce que se sentir sûr et avoir l’air convaincu seulement des vertus du souffle électoral, ne suffit pas, pour intégrer les avancées réalisées et soutenir les combinaisons des innovations politiques attendues selon la nouvelle constitution.


       Benkirane est sûrement attentif à ce qui se passe ailleurs surtout que les exemples des pays en situation difficile ne manquent pas. Pour ne pas se renfermer dans des réflexions nuancées de messages divinatoires, qui torpillent les volontés à aller de l’avant et n’entendant pas le besoin de prise à bras le corps des problèmes en attendant DIEU faire le nécessaire. Son usage de ce concept de gestion des affaires de l’Etat, en l'occurrence non innovant, ne peut aucunement stimuler les défenses-outils d’intervention pour améliorer visiblement son apparence, et de ce fait révéler sa vraie compétence. Parce qu’à ce jour le concentré de clichés qu’il offre, croyant répondre à tous ses engagements, est comme s’il part à la recherche de son image envoyée avant les législatives à la classe politique et qui s’est perdue dans les arcanes de l'executif. Mais que dire, du fait de ne pas se poser les questions intrusives en entrant dans ce bain de langage pernicieux productif que d'intrication intrigante ? En revanche, loin d'une quelconque introspection de ses motivations, nombreux sont les pays qui refusent le fait accompli, dont la France notre premier partenaire économique qui avait perdu son AAA en pleine tempête électorale se soldant par la victoire d’Hollande le socialiste, et aussi l'Espagne qui est rentrée en récession avec un taux de chômage record dépassant 22% et un déficit budgétaire représentant plus de 78% du PIB, augurant des jours difficiles pour nos RME. Sachant pertinemment que le cocktail de vérité ingurgité par l’Espagne de Rajoy par exemple, accélère la production du rejet presque naturel de cette rigueur par la population se sentant la première victime.


       Mais à dire vrai, Benkirane est-il vraiment convaincu que sans cette cure  de revitalisation des comptes publics l’aspect de la crise ne s’estampera pas, pouvant mener au traitement restructurant à dose de cheval par le FMI et les instances financières européennes comme pour la Grèce ? Certes, en dépit d'un fond de tensions sociales généralisées qu’il n’est pas le seul chef de gouvernement à vivre, la motivation reste une force qui pousse à agir vers un objectif précis. A ce titre, ça ne sera pas de tout repos pour lui sur bien des sujets d’actualité, pour éliminer les problèmes socio économiques les plus tenaces, vu qu’à Davos il avait mesuré que tous les dirigeants de ces pays se démènent pour clairement imaginer des solutions plus où moins impopulaires mais nécessaires. En effet pourquoi actuellement tous ces dirigeants se lancent et agissent avec ténacité pour tenter de mieux influencer le destin de la vie de leurs concitoyens ? Sûrement pour ne plus avoir le sentiment de ne pas exister, aussi ils espèrent tous par la suite, arriver à instaurer dans un but pédagogique, des contres pouvoir à cette nouvelle donne créée par ces mêmes supports gérés par des technocrates sans légitimité de suffrage.


       Déjà des pays par le passé proche avaient réussi à relever ce défi, même si c'était fait dans la sueur les manques et la peur du lendemain pour certains à l’exemple de l’Argentine, et dans l’euphorie de la manne pétrolière pour d’autres comme le cas de la Russie lors de la première arrivée de Poutine aux affaires après Eltsine. De fait, est-ce que seuls les essais politiques d'anticipation du gouvernement Benkirane, par la sensibilisation à l'effort partagé de solidarité fiscale par tous, lui permettraient d'aborder sa gouvernance d'une manière non dualiste ? Alors qu’il n y a pas encore d’action par la structuration et la mobilisation du secteur informel, en l'occurrence entre l'abondance d'idées et suggestions que l’on entend ici et là sur les modalités et finalités d'élargissement de l'assiette fiscale comme l’impôt sur la fortune. Que faire lorsqu’il vient à manquer l’analyse objective par une radioscopie socio économique audacieuse des états des lieux des PMI-PME surtout après l’arrivée de madame Bensaleh la pragmatique à la tête de la CGEM ? Bien sûr, qu’en plus de la consolidation de la compétitivité des produits marocains sur le marché international, c'est aussi sous l'effet des échanges intérieurs loyaux et équitables entre les acteurs économiques et les consommateurs que le Maroc deviendrait performant pour la relance de la croissance en dynamisant le pouvoir d'achat. N’est-ce pas qu’en ce temps, cet univers de débats et forums sur la croissance est devenu dans beaucoup de pays un espace transitionnel pour la symbolisation de gouvernance anti rigueur, ce que tout le monde a vécu de visu au dernier G8 à Camp David aux USA ? Sauf qu’au Maroc aussi, cette gouvernance risque d’être dénoncée avec véhémence si elle ne tient pas compte des rejets des favoritismes existants pouvant l’entacher, loin du discours de la duplicité et la manipulation. Notamment pour le compte des copinages alliances et allégeances en matières de ces échanges, ce qu’au demeurant serait néfaste pour l’équité et la justice sociale.


       Ne faudrait-il pas que l’exécutif actuel, doit montrer et exercer une réceptivité vis-à-vis de cette gouvernance et sortir de la monotonie qui s’écoule jour après jour surtout après les cent premiers, et ne pas rester dans l’attente passive ? Sinon ils risqueraient d’être réveillés brutalement par des retombées comme chez des pays amis, brossant un tableau de dangers conséquents par les temps qui courent. N’est-ce pas là un éclairage sérieux et argumenté à la fois, pour ne pas se condamner à une vision boiteuse concernant tout bilan sociétal équilibré ? Lequel est souvent utilisé pour éviter de construire le futur sur la somme de des non-actions risquant de l’alourdir de choix superflus. D’ailleurs un équilibre sociétal de surcroit sans effort de la part des nantis dans le cadre du patriotisme solidaire, sans joie pour tous les citoyens, sans sueur dans le travail honorablement rémunéré voire honorifique à certains égards et surtout sans contrainte dans le respect des fondamentaux de la nouvelle constitution, aura du mal à se préserver pour persévérer dans ce temps présent. En somme, voilà l’un des principaux volets de bonne gouvernance, et /où toute attitude gestionnaire négative même involontaire est strictement observée et analysée.




Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire