mercredi 30 août 2017

DEPUIS TOUJOURS, LE MAROC GAGNE FACE AUX MENACES QUI PÈSENT SUR TOUTES SES VICTOIRES !

ET POURTANT, POURQUOI CHERCHE-T-ON EN INTERNE COMME EN EXTERNE A VOULOIR LUI IMPOSER CETTE PARALYSIE DE LA CONFIANCE ET DE LA LUCIDITÉ AUX CONSÉQUENCES SUR LA GOUVERNANCE EN AFRIQUE ?

       Pendant des années, le Maroc ce pays reconnu stable, a mené sa destinée loin des scandales des rumeurs et des répliques à des publications pernicieuses sur des situations non envieuses touchant à sa mémoire civilisationnelle et politique. Contrairement à aujourd'hui où c'est le temps de la défiance, par la fabrication des cycles des mensonges à son endroit, s'ajoutant aux manifestations et mobilisations des populations sur commandes des professionnels agitateurs.  Autant dire que c'est fait par narcissisme de séduction des sous-outillés politiquement parlant, une sorte de nouveau culte-énumération des soi-disant faiblesses de l’État. Dont, ces manipulateurs excellent pour le fragiliser et le rendre une proie facile à phagocyter diplomatiquement. En d'autres termes, ils cherchent à rendre dénudés les piliers et fondamentaux de la monarchie constitutionnelle plébiscitée à 99 % par les marocains par voie référendaire du 01 Juillet 2011. Ainsi, pour eux, il ne s'agit pas seulement du moment de la grande rupture avec les modèles de gouvernance classiques désormais périmés, mais de faire payer au plus fort aux marocains leur inconditionnalité d'amour à la Royauté. Sans savoir, que leur jeu politique n'en vaut pas la chandelle auprès de ce grand peuple précieux et agréable et qui n'acceptera jamais qu'on l'achète qu'on l'humilie et qu'on le méprise. Par conséquent, le Maroc n'a donc de choix que s'approprier de nouvelles stratégies d'attaque avec fureur et vigueur comme représailles massives sur tous les plans envers eux. Et tant pis de passer pour un pays va-t-en guerre, car c'est ce qu'il faudra faire ! 

       D'ailleurs, il faut arrêter de penser qu'un jour les tireurs des ficelles à l'international cesseront d'en dissuader les ennemis irréductibles de produire l'escalade où ils auront les premiers rôles. D'autant qu'aussi, de ce point de vue, qu'on ne le veuille ou pas, le Maroc veut exister par ses propres moyens dans la compétition géopolitique et stratégique en Afrique. Et, de fait, ne pas être absent de l’Histoire avec grand H de la reconstruction de l'avenir de l'UA, dont c'est elle qui fut la pierre angulaire du discours royal du 20 Aout à l'occasion du soixante quatrième anniversaire de la révolution du Roi et du Peuple. Ce discours qui a résonné, primo comme un rappel des fondements de l'approche marocaine en Afrique, secundo comme un tremblement pour les ennemis déclarés tels l'Algérie l'Afrique du Sud le Zimbabwe le Mozambique l'Angola la Namibie le Kenya, en plus d'autres compétiteurs politico-économiques à l'exemple de la Tunisie l’Égypte et le Nigeria. Néanmoins, à ce propos, ce qui importe pour le Maroc de 2017, c'est une dédicace hautement symbolique aux pays amis ayant marqué par leur constance auprès du Maroc le CCG du moins ce qu'il en reste les USA la Chine la France l'Inde la Russie la Turquie  et Israël. Et ce, pour le meilleur et le plus intéressant soutien vivace et décisif, corroborant de la sorte, ce qui se passait dès l'indépendance en 1956, où tout lui a souri dans le monde de la trilogie MTP (Marketing-Tendance-Politique) en ayant mis les bouchées doubles dans la construction de l’État-Maroc moderne. Tellement, le Peuple la Royauté et l’Élite de l'époque étaient en phase incarnant l'épopée politique du début des années 60, et ce, malgré que la problématique des ambitions en 1963 ait pris l'ascendant. Mettant par la suite le multipartisme en souffrance intrinsèque, ce qui avait abouti, hélas, à l'état d'exception et en même temps au complotisme des putschistes. Évidemment, aujourd'hui, le Maroc est heureux de ce qui a été fait depuis 1975, passant par des péripéties multiples avec des hauts et des bas jusqu'à l’avènement du règne Mohamed VI en 1999 à ce jour soixante quatre ans après la révolution du Roi et du peuple. 

       Certes, en ce temps présent de la communication tous azimuts, la politique parait si dure qu'il faut avoir beaucoup d’énergie pour s'imposer sans oublier qu'il y a des pays africains qui comptent le plus en ayant chacun leur valeur diplomatique. Aussi, pas question de triomphalisme après le retour gagnant à l'UA ! Au vu que l'histoire le montre, même si ce fut fait dans des conditions presque guerrières contre les ennemis irréductibles de l'extérieur, qu'au demeurant, de surcroit, sont toujours mal informés de ce que c'est véritablement le Maroc de 2017. Oui, ce fut un choix géopolitique de hauteur de vue, même si, certains politiques affabulateurs illusionnistes l'auraient vu à tort comme saignée aux quatre veines du Maroc pour l'Afrique. Ne sachant, par ailleurs, qu'il s'agisse d'une réelle satisfaction géostratégique de voir la majorité des pays africains si bien réussir leurs partenariats gagnants-gagnants d'égal à égal avec lui. En effet,  ces récalcitrants ingrats-ignorants de l'Histoire, encore heureux peu nombreux sur l'échiquier mondial, ils sont maintenant dévorés en interne par leur propre logique d'essais itératifs de déstabilisation du Maroc sans résultats probants. En plus, surtout, sans savoir ce qu'ils leur ont coutés socialement économiquement et financièrement leurs cycles de folies desquels ils bravaient le bon sens pour certains et le bon voisinage pour d'autres. Et d'ailleurs, même avec ça, on ne peut pas dire que le Maroc n'a pas manqué d'indulgence à leur égard, surtout vis-à-vis du pouvoir algérien lui accordant à maintes reprises plus de circonstances atténuantes. D'où, conséquemment, il lui pardonnait ses écarts de langage ses gesticulations d'animosité et ses erreurs d'appréciation diplomatique pour qu'il puisse se remettre en cause. Sauf que, n'est-ce là un comportement qui n'a plus raison d’être ! Et tant pis, si en disant cela ça fera vaciller le mythe de ce que ce pouvoir représentait aux années 60-70 pour beaucoup d'africains. Mais, est-ce bien la même Algérie ? En tout cas, toute l'Afrique désormais est dans le doute la considérant profondément très seule, et, surtout paranoïaque. N'est-ce parce qu'elle n'était pas faite pour jouer le rôle de locomotive tout en vivant dans le passé ?    

       Il est évident, quand cette semaine Jeune Afrique a choisi brusquement d'inoculer son venin par une couverture à la façon pancarte, on ne peut pas dire que ce n'est nullement scandaleux. D'autant plus que pour les observateurs avertis et analystes chevronnés, c'est fait pour fêler la carapace des résistances des marocains médusés face aux événements gravissimes de Barcelone et d'en disposer de leur bon vouloir de lutte anti terroriste en le changeant voire le transformant en illusions. Preuve en est ce soutien malicieux de ce magazine aux ennemis enragés du Maroc, dont des renégats en ont profité pour envahir les salles de rédaction et plateaux de télévisions satellitaires afin de balafrer son image jusqu'à même l'injurier. Alors aujourd'hui, même si l'on a payé cher sur le moment cette incartade journaleuse, ne faut-il décanter et y voir de près le rythme où vont les choses pour se rassurer ? Car, ils ont perdu voyant même la torpille que Jeune Afrique avait lancé sur orbite médiatique leur revenir en pleine gueule, en plus d'une manière fracassante que le ministre de l'Intérieur espagnol n'en a pas laissé l'occasion de le démontrer depuis Rabat. Puisque, maintenant c'est clair, ça n'implique ni hiérarchie étatique sécuritaire côté marocain, ni pulsion de vengeance sur quoi que ce soit dans ce drame espagnol comme le colportent ces enragés anti Maroc. Mais, simplement que le Maroc a fait un tabac montrant qu'il s'agisse du laxisme catalan ayant abouti à l'exécution de la menace par la passion qu'ont les enfants de troisième et quatrième générations des immigrés pour Daech et autres groupes islamistes terroristes.

       Et maintenant, pour ces ennemis pourquoi c'est tout ou rien ? N'est-ce du fait qu'encore ils n'ont pas réussi à débrider les conférences et rencontres à l'international pour les rendre à leur avantage ? Ont-ils déjà oublié ce qui leur est arrivé au Mozambique à Maputo au Sommet Japon-Afrique, dont ils n'ont pu mettre le Maroc dans l'impasse diplomatique ? Un fait gravissime sans précédent, de surcroit inacceptable car ça nuit à la sécurité des participants, en plus ça pourrait faciliter la mise de l'Afrique à la portée des manœuvriers terroristes. A cet égard, la question qui taraude le plus, comment vont-ils les ennemis du Maroc après leurs défaites successives cuisantes sur beaucoup de terrains ? Continueront-ils à vibrer de jalousie morbide, même sachant que cela risquerait de les anéantir un jour en tant que pays voyous ? D'ailleurs, pourquoi n'ont-ils pas compris, si le Maroc est encore en pleine rédemption africaine, c'est que la providence a peut-être quelque chose à lui faire faire pour le bien de l'Afrique, comme du temps de la préparation de création de l'OUA à Casablanca avec  Mohamed V et les grands ténors africains de l'époque ?  Parce que frôler la solitude et l'isolement par suite à la politique de la chaise vide au sein de l'UA, l'a amené à avoir une autre vision de changer le paradygme de ne plus sacrifier ses intérêts géopolitiques et stratégiques, notamment face aux menaces qui pèsent sur toutes ses victoires. A bon entendeur, salut ! 

dimanche 20 août 2017

LE MAROC N'A PEUR NI DU COMPLOTISME NI DU TERRORISME LE GUETTANT A LA DIX-HUITIÈME ANNÉE DU RÈGNE MOHAMED VI !

L'entente parfaite.
ENFIN LE MAROC AURA SA CHANCE POUR DIRE ADIEU LA POISSE DU TERRORISME, VIVE LA GLOIRE DE VIVRE EN PAYS LIBRE EN DEHORS DU COMPLOTISME !

       Nous y voilà, est-ce qu'apprentis-terroriste de plus en plus envahissant, serait-il en passe de devenir une carrière d'écourter la vie chez les jeunes au Maghreb ? D'autant plus, comble du malheur, c'est particulièrement au Maroc qu'on pourrait le vérifier le mieux ! Notamment, en se faisant remémorer les sorties médiatiques des illusionnistes manipulateurs vendeurs de chimères à la jeunesse marocaine. En plus, voulant le retour de l'entente Mohamed VI et Filipé VI à la case départ hispano-marocaine d'avant, de la faire tanguer davantage dans le sens de la navigation diplomatique aveugle. D'ailleurs, n'est-ce aisé d'en dresser une liste des tentatives de déstabilisation autant par les rumeurs que par les fausses confidences faites à propos des cellules dormantes déstructurées démantelées et arrêtées depuis la création du BCIJ (Bureau Central d'Investigation Judiciaire) ? En effet, le trait commun à ces jeunes désœuvrés c'est de se sacrifier, sans exception, par la machine infernale qui constitue tout simplement le théâtre vivant de la terreur pour faire peur en marquant les esprits faibles dans des fiefs à conquérir. S'ajoutant à ce que cette machination, elle est conçue par les tireurs des ficelles de l'islamisme radical qui en dirigent sournoisement l’interprétation, et en plus la mise en application dans l'espace MENA Sahel subsaharien africain ? 

       Cependant, c'est là où il y a anguille sous-roche ! Qui l'eut prévu cette dérive générationnelle terroriste ? Alors qu'il y a entente parfaite des services de renseignements, tellement, on se croirait en plein dans une série télévisée fictionnelle dont l'action se situe justement à bord du paquebot Espagne-Maroc. Et, ce n'est pas pour ouvrir une parenthèse sur le monde de la terreur en Espagne au fief catalan connu par ses velléités anti Maroc, mais juste pour montrer sa dangerosité établie par rapport à l'agitation d'Al Hoceima. De surcroit, certes, teintée et habillée de remarques sur sa légitimité fondée par la carence sociale économique et territoriale, notamment en effectivité de la déconcentration et décentralisation étatique, bref de la régionalisation sur le territoire national. Effectivement, cela n'est pas seulement spécifique au Rif, alors qu'on pensait les revendications une sorte de distribution des rôles d'une cabale hypocrite envers l’État, voilà qu'il s'agisse de Hirak qu'évidemment n'est que le suprême aventurisme sociétal apanage des traitres de l'intérieur comme de l’extérieur. Qu'au demeurant, les manipulateurs l'ont mis délibérément sous les effets de la violence des jeunots à l'égard des forces de l'ordre, pour faire croire à leur mise en scène de tromperie comme quoi c'est une affinité particulière de tous les habitants. Et ce, sans oublier le complotisme susjacent contre l'Islam tolérant au Maroc par des spécialistes de la perversité faisant jouer à des jeunes sans défenses des rôles de sauveurs du Salafisme à la Abou Taymima par leur propre anéantissement. Ce que le discours royal sus-mentionné ne manquerait certainement à mettre en exergue, en marquant la place du Maroc dans la galaxie des pays qui luttent efficacement sérieusement contre le terrorisme.  Et aussi, pourrait confirmer qu'en l'espace des 9 derniers mois son analyse stratégique sur les risques sécuritaires, montre qu'il arrive très bien à ne prendre les contes de certains zélés comme diversion, mais des faits d'alerte de ne se passer à augmenter sa vigilance reconnue par la communauté internationale. 

       Certes, néanmoins, l’État-Maroc s'il le fait c'est aussi parce que les sorties médiatiques de leurs manitous restent intemporelles et n'en finissent pas de provoquer remous dangereux ici et là étant marquées par l'influence des frères musulmans. En tout cas, n'est-ce de quoi leur donner le tournis et vertige, tout en assumant le difficile trouble des consciences qu'ils ont établi au Maghreb et en occident via des relais médiatiques maintenant connus et répertoriés ? D'autant plus, ce fut leur plan anti Maroc depuis le début de leur manipulation pour l'affaiblir et le mettre à disposition de leurs songes et désirs sans avoir à se justifier. Et oui c'est comme ça qu'ils veulent monter les marocains les uns ravalant leur déception contre les autres se félicitant de leur machination étant persuadés qu'ils réussiraient. Sauf que, le grand bruit du Hirak a réveillé l’État de sa confiance démesurée qu'ils leur portait ! Maintenant, il n'a qu'à se montrer, malgré certaines intimités avec d'autres, intraitable et ne jamais renoncer à ses prérogatives constitutionnelles. Dès lors, que tout le monde sait fort bien quelle déception les marocains en éprouveraient s'il ne ravivait pas sa rage profonde de tout stopper. Comme ça, enfin le Maroc après le discours de ce soir aura sa vraie chance d'où il pourrait dire adieu la poisse, vive la gloire !

       A cet égard, peut-on parler comme le font paraitre certains malintentionnés à travers leurs partages sur le Net et réseau sociaux, concernant le discours du soixante-quatrième anniversaire de la révolution du Roi et du peuple d'une nouvelle attaque discourante contre le monde politique marocain ? Où, est-ce que parce que la commission mixte entre le Ministère de l'Intérieur et celui des Finances a fait les rapprochements des négligences à propos du programme ambitieux ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassite'', qu'il va falloir mettre de l'ordre dans certaines institutions ? Notamment, devant le bilan très décevant des politiques et décideurs administratifs à ce propos et pas seulement, dont tout un chacun aura noté l'absence de leur volontarisme se contentant seulement d’être producteurs et directeurs d'insouciance et légèreté. D'ailleurs, pendant toute la durée de l’enquête, l'idée qu'ils allaient payer fort leur traitrise les a complétement tétanisés, au point même de ne se voir vexer d'exprimer leur lâcheté et en même temps leur chagrin sachant qu'ils sont coupables. Mais qu'ont-ils à perdre, après tout, en questionnant leur conscience sur celui qui leur a fait croire qu'ils trouveraient le calme la sérénité et même l'amour du peuple ? De toute façon, maintenant, l'on peut prévoir, si dans quelques jours la machine juridictionnelle se met en marche, ils se dénonceront certainement entre-eux, au risque d'avoir les honneurs malencontreux de la presse et des réseaux sociaux. A bon entendeur, salut !

jeudi 17 août 2017

DÉSORMAIS AU MAROC DE 2017, N'EST PAS MEILLEUR CHEF DE GOUVERNEMENT HOMME OU FEMME QUI VEUT !

EN CETTE VEILLE DU BIG-BANG POLITIQUE QUI S'ANNONCE IMMINENT, N'EST-CE L'OCCASION POUR MONTRER AUX MAROCAINS QUE NOMMER UN CHEF DE L’EXÉCUTIF HOMME OU FEMME NE S'IMPROVISE PAS ? 

       Jusqu'au décès du Roi Feu Hassan II, pour beaucoup de marocains le besoin de connaitre de quoi est fait l'avenir politique du pays ne les a jamais effleurés. A cet égard, même étant déstabilisés par sa disparition, ils ne trouvaient pas meilleur recours que l'intronisation rapide et paisible du nouveau Roi Mohamed VI pour prendre les rennes du pouvoir et ne pas laisser le Maroc sombrer dans l'inconnu. D'ailleurs, n'étaient-ils très proches de lui en tant que Prince Héritier, tellement depuis le début de son règne il est le Roi aimé toujours ovationné par son peuple ? D'où, à ce jour, tous, ils sont dans la fascination de son appropriation d'inventer la dynamique de construction de la grandeur du Maroc et, en même temps dans une relation d'observance envers les partis politiques, que normalement elle devait être de base évolutive positive plus qu'il n'y parait actuellement. D'ailleurs, ne peut-on dire que le Maroc a aujourd'hui la chance historique de revivre une mutation comparable à celle du passage à l'alternance ? Surtout, s'il y a lieu à former un gouvernement d'union nationale sur des bases solides de la réal-politique que de l'idéologie. D'autant plus, il est vrai que certains apprentis de la politique de cette époque, ont actuellement transmuté jusqu'à rentrer dans une attitude sorcière qui dérange même les leurs. Les ayant poussés à tant de mal à imaginer une contribution sans exclusion des gens qui ne pensent pas comme eux, à même de ne s'en soucier de la construction égalitaire de la société sans mimétisme de religiosité discutable.

       Néanmoins, comme ça, 18 ans après, l'on peut dire que c'est tout à fait approprié le Big-Bang politique et administratif qui s'annonce imminent. En tant que seule solution efficace de sortir de la cartellisation des partis politiques et de la fabrication du Maroc des familles des amis et des copains. Presque à hauteur de quotité inquiétante dans les institutions et aussi dans les instances des partis dont les chefs en ont la libre disposition en faisant dans la protection des leurs seulement. Comme s'il s'agit d'un patrimoine ou réserve héréditaire revenant obligatoirement aux enfants aux frères et sœurs voire aux cousins et neveux. Ne sachant que le Maroc a changé, pour continuer d'instaurer ce genre de droit successoral politique sans respect des conventions collectives ou la compétence et la disponibilité font légion. N'est-ce pas, par ailleurs, avant de battre la campagne électorale à la chasse des voix, les prétendants à la chefferie de l'Exécutif devraient montrer CV satisfaisant à la fois à la réglementation et à la Constitution ? Parce que, pour pratiquer l'art politique dans ce haut rang, ne faudrait-il savoir qu'on ne peut être un Homme d’État sans avoir les compétences requises, s'ajoutant au grand cœur de lutter avec sérieux et abnégation contre le chômage structurel la précarité sociétale et la marginalisation sociale ? Et donc, avoir toujours en mémoire l'assurance pour la gestion des affaires de l’État garantissant l'engagement responsable sans sautillements comme pour se découvrir à chaque étape un nouveau souffle.

       Aussi, ne faut-il savoir que gouverner en tant que chef de l'Exécutif homme ou femme ne s'improvise pas ? Et donc, on ne peut s'offrir une vertu sans la conquérir pour prétendre à ce poste hautement sensible. D'où l'idée du Roi du Maroc Mohamed VI de recadrer l'action gouvernementale par rapport à l'angoisse de la tension extra-sociale à propos du Hirak d'Al Hoceima qu'a laissé le chef de l'Exécutif sortant. Lequel, n'a-t-il pratiqué ses arbitrages pendant toute la dernière législature, sur le bas-côté de la gouvernance en bloquant quelques initiatives louables tout en continuant son cirque à faire des saluts à ses inconditionnels. Jusqu'à s'enhardir de devenir opposant à lui-même, comme quoi on avait affaire à un farfelu au comportement hilarant d'où il y eut remplacement de la séduction politique noble par la gestuelle devenue valeur marchande. Et ce, sans en tenir compte de la transformation sociétale et des risques de conflagration sociale s'y afférant sur lesquels vient encore peser l'air du temps présent avec les complications du Hirak, par comparaison à l'existence de l'éventualité de l'époque de l’arrêt cardiaque des années 90 que risquait le Maroc. Ayant poussé le Roi défunt  Hassan II à s'y occuper sérieusement, en rendant l'opposition utile dans le cadre du jeu politique qui se prêtait absolument au climat de séduction entre lui et Abderrahmane Youssefi et qu'au demeurant s'était instauré par la confiance de sauver ensemble le pays.

       Cependant, malgré tout, il est incontestable que la plupart des verrous de l'ankylose de l’État ont effectivement sauté au lendemain du discours royal d'Aid Al Aarch 2017. Au point, il faut le dire sans réserve, n'est-ce le moment de faire d'une pierre deux coups car le tour des femmes est arrivé de relever le défi, de s'imposer, de prouver leur valeur dans la chefferie de l'Exécutif ? D'autant plus, théoriquement, rien ne les empêche de se mesurer aux hommes dans ce poste, mais le veulent-elles vraiment montrer cette ambition modèle si exaltante ? Alors, de ce fait, est-ce qu'on ne peut pas examiner cette hypothèse de nommer une femme à la commanderie de l'Exécutif et qui sera la première dans le monde arabe ? Tout comme l'était le défunte Zoulikha Nasri en tant que conseillère du Roi, pour que l'idée même de passion des hommes pour la politique disparaisse. Comme ça, si à tout hasard il y a formation d'un gouvernement d'union nationale avec à sa tête une femme, on laissera sans doute croitre le mode d'action par la compétence. D'où surgiront des idées nouvelles dont l'intendance pour la bonne gouvernance suivra, pour assurer le déverrouillage une fois pour toutes du mythe où les femmes font passer leurs émotions avant l'action. Et oui, les conséquences sociétales d'un tel changement de braquet politique seraient considérables. D'ailleurs, au Maroc, ne sont-elles par excellence impliquées dans l'économie le commerce l'art la culture le social et aussi dans les combats pour les droits de l'homme de la justice et de la sauvegarde de l'environnement et la protection de la nature ? En cela, n'est ce qui permettra de valoriser la question de la prise de conscience des dangers qui sont autour du Maroc, que le discours royal du 29 Juillet 2017 en a ciblé leurs moulages ? Et ce, pour ne laisser continuer la fabrication d'illusions par certains chefs de ces partis politiques avec des outils de saisonnalité événementielle de ce que l'on pourrait appeler la politique semi-synthétique électoraliste. Montrant, de fait, qu'ils sont aujourd'hui, malheureusement, doublement impactés par le voile d'expressions et critiques à tire larigot de leur part pour un oui et pour un non. A bon entendeur, salut !  

samedi 12 août 2017

AH, CES POLITIQUES ET DÉCIDEURS ADMINISTRATIFS QUI VEULENT A TOUT PRIX DEVENIR L’OBSESSION DE LEUR ENTOURAGE ET DE L’ÉTAT !

APRÈS LA COLÈRE DU ROI AU CONSEIL DES MINISTRES DU 25 JUIN 2017 ET LE CHOC DE SON DISCOURS D'AID AL AARCH DU 29 JUILLET SUIVANT, N'EST-CE DÉJÀ L'HEURE DE LA FOUDRE QUI S'APPROCHE POUR S'ABATTRE SUR EUX COMME UNE BOULE DE FEU BRULANTE ?

       La rentrée politique 2017 ne se prépare-t-elle déjà pour réinventer le nouveau temps de la grandeur du Maroc, par un changement profond dans le fonctionnement de l’État ? Loin de l’entrelacement de la fascination qu'ont certains faiblards, pour ceux des politiques qui cherchent à avoir le beurre et l'argent du beurre sans avoir atteints le quotient de droiture probité et même sérénité. Et aussi loin de l'imaginaire des autres encore plus sophistiqués, donnant libre cour à l'appropriation de leur savoir mensonger comme ingrédient d'ouverture vers la tromperie politique à l'avantage des ennemis du Maroc. A cet égard, le Roi Mohamed VI dans son dernier discours du 29 Juillet 2017 n'a-t-il piqué droit sur ces illusionnistes de la chimère, avec une dextérité de ciblage inouï pour ne les laisser continuer à décocher leurs lances vénéneuses dans la société marocaine ? N'est-ce pour cela, déjà, l'on perçoit les prémices de l'emballement de la machine judiciaire qui va faire la lumière non seulement sur les retards d'exécution du programme ambitieux ''Al Hoceima Manarate Al Moutawassite'' que la commission mixte d’enquête apparemment l'aurait déjà présentée à qui de droit ? Mais, aussi pour faire le tri des informations reçues ici et là sur d'autres négligences et à les recenser pour enfin les déstructurer par l'effet de la foudre qui s'approche comme une boule de feu brulante. Et ce, pour mettre l’État en orbite de fonctionnalité normale afin de ne plus faire partie de la liste dictée de l'étranger en tant que pays à déstabiliser coute que coute. Dont, l'objectif est prioritairement qu'il soit loin des cycles de tensions entre partis politiques en interne. Et, aussi hors portée des flux perfides de l'Algérie et ses soutiens résiduels en Afrique, s'ajoutant à ceux de certaines franges franquistes espagnoles qui sont restées dans leur reconfiguration des relations hispano-marocaines à l'ancienne. De surcroit,  au demeurant conjuguées des sournoiseries de Podémos et autres lobbys européens à l'encontre de l’intégrité territoriale nationale et pas seulement. Car, ne sachant où plutôt n'acceptant que le Maroc ait plus de flèches dans son arc préparant son futur serein. En plus, ayant toutes les options en main de son nouvel déterminisme et rythme politique compatibles avec la chronologie du Brexit dont Gibraltar et les présides spoliés de Ceuta et Melilia feront conséquemment partie.

       En définitive, n'est-ce toujours en été, par orage violent, que la foudre frappe plus volontiers...et pas uniquement les arbres ? Comme ça, cette année, certes il s'agit de cela que les marocains attendent avec gravité pour trouver des solutions rapides et efficace, et ce, au grand désespoir des ennemis ne tolérant les voir passer de victoire en victoire à l'international. Dont, plus de 100 décideurs connus dans la balance décisionnelle politique et administrative en pâtiraient, certainement, de son choc et ses effets qui laisseront sans doute de graves séquelles au sein des partis politiques et leurs associations affiliées. Évidemment, par ce constat, au Maroc de 2017, n'est-ce finie l'époque où les politiques pensaient que leur engagement est une nécessité à leur développement louant son rôle prépondérant dans leur équilibre pour l’acquisition de statut social avancé ? Aussi, aujourd'hui, par les temps qui courent, savent-ils que cet engagement ne leur donne l'occasion de se libérer des tensions de la vie politique publique, ni de ne valoriser ce qui a été négligé et encore moins dédramatiser ce qui a été exagéré ? En l'occurrence, n'est-ce une autre paire de manche qui s'ouvre, surtout, quand on sait que dans l'esprit des ministres privés cette année de vacances, comme aussi chez les autres fautifs par leurs imprudences et tartufferies sur les différences des partis politiques, des idées leur pourrissent la vie ? D'ailleurs, certains parmi eux, sans avoir l'envergure ont voulu à tout prix devenir l'obsession de leur entourage et de l’État, tellement ils se sont trouvés eux aussi entrain de scruter avec la peur au ventre les moindres phrases et gestes venant par ci par là. Surtout, pour l'un d'eux, qu'au demeurant il continue à gesticuler par amertume de son égocentrisme voire égoïsme, rien que pour essayer de se protéger des conséquences de son passage aux affaires de l’État en rupture avec la bonne gouvernance. 

       A l'évidence, après l'adoption référendaire de la Constitution du 01 Juillet 2011, le Roi en a par respect à l'esprit de celle-ci choisi le chef du parti arrivé en tête, espérant qu'il soit  le PDP ( Potentiel Différentiel Politique ) pour assurer la meilleure gouvernance avec une majorité confortable. Sauf que, très vite, tout le monde s'est aperçu qu'il n'avait pas l'envergure des prédécesseurs premiers ministres, et qu'il ne partage rien avec eux en matière de la conception et la perspective d'un Maroc fort dynamique entreprenant et responsable. Parce que, alors qu'il est le chef de l'Exécutif avec des compétences et prérogatives que n'avaient pas les autres, il n'a fait que se transformer en opposant évasif brouillon sans cap ni sens politique clair. Tellement, cinq ans après, il a continué à aimer cette posture ne se sentant ni mal à l'aise dans ses nombreux propos border-line ni en contradiction avec sa fonction en tant que chef de gouvernement reconduit comme deuxième personnage de État. A même d'avoir récidivé dans ses sautillements donquichottesques après les dernières élections législatives en essayant de former un gouvernement à sa folie possessive de mener tout le monde à la baguette. En plus, ne sachant qu'une législature dure cinq ans si tout va bien, que par ailleurs c'est un temps suffisant à la construction d'une bonne gouvernance sans dysfonctionnement dans la production politique. Chose qu'il n'est pas arrivé à atteindre ni dans le développement de l'efficacité d'action de l'Exécutif ni dans la mise de l'effectivité constitutionnelle et encore moins dans le fonctionnement de certains ministères. Où, il y avait pas uniquement dérèglement flagrant par méconnaissance des responsabilités, mais par suite de jeu politicien dangereux. De quoi, il est maintenant opportun, de les pousser à la réflexion à travers les dégâts sociaux économiques, voire périls sociétaux comme à Al Hoceima qu'ils ont causé. Car, probablement éventuellement, quelques uns de ces décideurs seraient pris entre les rouleaux chauffants de la justice pour manquement au devoir si ce n'est pour traitrise d'avoir laissé les intérêts des citoyens presque en jachère pour raisons de mesquineries politiciennes dans leur stratégie globale de paraitre les sauveurs du pouvoir.

       Néanmoins, n'est-ce comme ça, l'on peut dire, aujourd'hui il est loin le temps avec leurs sourires à la commissure des lèvres dont ils narguaient tout le monde, ne sachant qu'il y a levée de voile d'expressions critiques et suggestions à propos de leur irresponsabilités et extravagances désormais établies ? D'autant plus, tout le monde sait que d'autres sans aucune représentativité notable, se sont décidés à réorganiser leur vie politique autour de l'égo de ce chef des nuls. D'où, sans le prévoir l'irruption des théories des ennemis du Maroc allait bouleverser ses projets demeurés tus du moment qu'il y avait cru dur comme fer après son annonce rocambolesque des résultats des législatives du 07 Octobre 2016 s'étant vu en position de squatter l'Exécutif pour encore cinq ans. Mais, voilà que les choses n'ont pas pris la tournure qu'il voulait, surtout en se voyant incapable de s'en sortir du dédain psychologique du fait d'un détail qui a troublé même ses inconditionnels. D'ailleurs, n'est-ce ce qui l'a mené droit vers la chambre d'isolement, dont force est de constater qu'il a plongé dans la méditation de ses intrigues même après son retour de la ''Omra''. Se refusant aujourd'hui d'admettre que son temps politique est définitivement consumé, au point que les marocains disent ''Merci Majesté'' pour le merveilleux discours d'Aid Al Aarch 2017, presque une sentence de ne plus laisser les illusionnistes vendeurs de thèses-chimères se promener entre les institutions. Un bon point pour l'image du Maroc dans l’échelle des cotations onusiennes, comme État fort démocratique et responsable stimulant et régénérant l'espoir par ce grand toilettage de rester absolument debout impossible à mettre à genou ni à vaincre. 

       En revanche, autant le réaffirmer avec assurance, que les ennemis se gardent de croire que la tolérance de l’État-Maroc n'est que symbole d'incertitude dans ses raisonnements, de caprice dans ses volontés d'aller de l'avant et de froideur dans ses désirs de construction de son avenir... En un mot, c'est l’échec assuré pour eux ! En voulant ainsi franchir ces dénivellations, et d'où ils compteraient le contrer diplomatiquement à l'international. Même si, il faut le rappeler, ils donneraient n'importe quoi pour ne se laisser phagocyter par les suspicions autour d'eux en tant que relais du terrorisme. Si ce n'est carrément pour éviter leur mise dans la corbeille des pays largués économiquement et politiquement, car ne comptent plus à l'ONU mais restant à surveiller de près. N'est-ce là, la nouvelle gamme d'intervention directe du Roi du Maroc, afin de suppléer par des partenariats gagnants-gagnants sud-sud à toutes les carences et les extravagances enregistrées aux tableaux des commandes de certains chefs de partis politiques ? Du fait, peut-être, sans le savoir ils ont joué la partition des ennemis, et dont la commission des experts sous direction de Mounia Boucetta la Secrétaire d’État auprès du Ministre des Affaires Étrangère et de la Coopération n'ayant voulu décevoir a aussi fouiné partout pour montrer s'il y a des négligences ou sapes envers la solidarité avec l'Afrique. A bon suiveur, bonne lecture !

mardi 8 août 2017

QUE FERAIENT-ILS LES CHEFS DE PARTIS POLITIQUES S'IL ADVIENT QU'UN GOUVERNEMENT D'UNION NATIONALE VOIT LE JOUR ?

POUR CELA, N'EST-CE PAS LES MAROCAINS NE MANQUERONT PAS DE JUGER COMME TRAITRES CEUX QUI ATTISENT LES DIVISIONS MÊME PARAISSANT LES ÉTEINDRE À VOLONTÉ APRÈS ?

        Au Maroc, pour les partis politiques et leurs soi-disant séquenceurs analystes et  théoriciens ''sachants'', la démocratie se réduit au vote. Et, c'est là où le bât blesse, car, ils nous parlent tous des droits de vote comme s'il s'agit seulement de droits de croire de s'exprimer et de participer à la vie publique du pays sans rendre les comptes. Pour eux, n'est-ce pas que tout se passe comme si ce droit a plus d'importance que celui de ne pas mourir de froid de faim ou d'illusion ni plus ni moins ? Où même d'avoir droit à un habitat décent, à des services sociaux et de santé impeccables, aux infrastructures  et au travail en plus à une scolarité égalitaire exemplaire pour les enfants de tous les marocains avec partage équitable des richesses matérielles du pays.  N'est-ce, par ailleurs, ce qui montre tant de rendez-vous manqués voire parfois décommandés à mauvais escient par des décideurs inconscients au sein des gouvernements sortant et entrant, comme dans le cas du Rif loin de toute effectivité de la bonne gouvernance que préconise la Constitution du 01 Juillet 2011 ? Et d'où l'on peut confirmer qu'il s'agisse d'aventurisme politique, concrétisant, forcément, non seulement le passage à l'acte de désamour envers les habitants d'Al Hoceima et sa ruralité profonde, mais plutôt l'un de ses ingrédients de déstabilisation. D'autant plus, parce que les partis politiques, majorité et opposition, n'ont distillé que des préjugés perfides en usant d'ajustements emphatiques partisans qui dissimulent la vérité et laissent planer le doute sur le positionnement de l’État-Maroc vis-à-vis du Hirak.

       A cet égard, pourrait-on dire après tant d'années d'indépendance, pourquoi ces partis politiques n'ont-ils toujours pas appris la culture démocratique permettant l'alternance sereine en évitant aux citoyens de jouer au quitte ou double avec les aventuriers à chaque étape électorale ? D'ailleurs, ça ne sert à rien de le nier, au Maroc l'appel à cet aventurisme politique existe, nous l'avons tous perçu depuis 6 ans de valses-hésitations de franchir le pas de s'essayer à la boussole de la traitrise. Néanmoins, pour être plus poignant sans langue de bois par rapport au dire fleuri que l'on entend ici et là, n'a-t-on vécu pendant la législature finissante des moments de gouvernance salée socialement poivrée-pimentée politiquement entre les composantes selon les circonstances ? Sorte de danse politique, un pas en avant et deux pas en arrière sans savoir que coexister dans un même gouvernement pendant 5 ans, normalement, ça devait resserrer les liens. Seulement avec l'ex chef du gouvernement, ce fut le sourire qui illusionnait la perspective, tellement, les événements après le scrutin des législatives du 07 Octobre 2016 ont fait changé les cartes de son jeu. Et ce, pour ne plus recréer ce climat d’ambiguïté flattant avec discrétion les ennemis de l’État en interne, et dont le sens de ce jeu n'est autre que l'aventurisme tout juste bon pour les fictions politiques. D'ailleurs ne fut-il le premier surpris de son limogeage comme il l'a lui-même annoncé devant sa Chabiba à Fez il y a deux jours, ne sachant que l’État-Maroc, même si, des fois il fait le sourd il n'est pas amnésique.

       C'est vrai ce passage peut paraitre politiquement choquant, mais qui des marocains voulait que cet état de fait déconcertant puisse s'éterniser par l'usage de navigation politicienne trouble ? Notamment, entre des décideurs politiques facétieux versatiles vrais tricheurs indisciplinés dont le slogan  est ''Our Parti First'', et, les semblants porteurs de déterminisme politique jouant les disciplinés pour le bien du pays. Bien sur, personne, même si ça ne traite pas l'aspect moral de qui de ces partis politiques ont tort de ceux qui ont raison en se référant à leur capacité de nuisance ! Alors que l'ordre règne la sécurité est partout, qu'au demeurant, en vertu des prérogatives que lui confère son domaine réservé, le Roi Mohamed VI n'a pas manqué dans son discours d'Aid Al Aarch (Fête du Trône) 2017 de mettre le doigt là où ça leur fait mal. Parce que, il faut avoir l’honnêteté de le reconnaitre, au Maroc tout ne va pas bien, du fait qu'il y a la pauvreté la marginalisation et le chômage qui sont la conséquence de nombreuses années de mauvaise gouvernance, s'additionnant à la pitoyable gestion gouvernementale des ressources économiques et humaines. Parfois, auxquelles les personnes dont les citoyens attribuaient les qualités de vrais chefs ne sont pas tout à fait étrangère à toute cette catastrophe que vit le Maroc dans des rangs non honorables pour tous ses efforts consentis pour améliorer l'IDH (Indice de Développement Humain). A l’évidence, pour cela, comment peut-on comparer les décideurs politiques qui démissionnent qu'ils soient honnêtes ou pas et ceux qui estampillent leur désir de s'éterniser aux affaires du parti par soi-disant l'insistance de leurs supporteurs inconditionnels ? Une régression d’être à ce point de mauvaise foi par rapport à l'esprit de la Constitution par ce profilage diviseur presque de jeu de cache cache avec la volonté et l'esprit du discours royal de 18 ans de règne du 29 Juillet 2017.

       Finalement, ce qui arrive aujourd'hui aux politiques était assez prévisible. Car, pour certains, le fait, de s’être laissés séduire par l'aventurisme politique à tout vent au détriment des fondements de l’État-Maroc, cela n'a fait qu’agrandir sa méfiance envers eux. Et donc, conséquemment, aussi l'élargissement du fossé par rapport à la population qui n'a plus envie de les voir s'éterniser alors qu'ils ont essayé de tout faire rater au pays pour raison politicienne de basse besogne. Évidemment, en contre partie, s'il advient qu'un gouvernement d'union nationale voit le jour n'est-ce pas l'on pourrait aisément prévoir leurs démêlés logorrhéiques avec lui ? Dont, il se doit paraitre passionné et déterminé en assumant sa tache pour calmer l'ardeur des citoyens qui se voient trahis par leur jeu mesquin. Notamment, à propos de la lutte contre le chômage, du rétablissement des équilibres de la balance de paiement, de l'effectivité de la régionalisation avancée pour l'équité territoriale en infrastructures et d'autres fonctionnalités d'influence sur la bonne gouvernance en matière d'assainissement de l'administration et de la lutte sans merci contre la corruption. Et, d'où, un grand ministère délégué auprès du chef du gouvernement, peut-être sous format de Haut Commissariat aux Affaires Générales qu'en plus s’occupera de la gouvernance de la réforme administrative et de la communication, serait le meilleur cadeau qui rapprochera les marocains au gouvernement. A cet égard, la démission d'Ilyas El Omari de la présidence du PAM, ne va-t-elle pousser les autres chefs de partis à aller dans le sens de cette initialisation promotionnelle de facilitation de l'oxygénation de ce choix stratégique que la Constitution le permet ? Et ce, sans prêter attention aux élucubrations des constitutionnalistes en herbe, pour que le Maroc puisse sortir de l'extravagance des réformettes dispersées et dispersables vécues auparavant. Comme ça, ces analystes en manque de reconnaissance comprendront qu'ils sont à mille lieux de l’interprétation de ce que sont les fondamentaux de la Constitution marocaine, du fait qu'ils soient restés encore dans la confusion de son esprit vis-à-vis des aspirations de leurs commanditaires conspirationnistes. A bon suiveur, bon décryptage !

jeudi 3 août 2017

AU MAROC, N'EST-CE FINI LA SÉDUCTION-MANIPULATION ÉLECTORALISTE USANT DE POLITIQUE-GADGET JETABLE ?

N'EST-CE PARCE QUE C'EST LA FIN DE LA DICTATURE DES PARTIS POLITIQUES QUI SONT PERÇUS, SEULEMENT COMME UN CURSEUR DE CIBLAGE DES TRANSACTIONS MERCANTILES DIABOLISANT L'IMAGE DE L’ÉTAT-MAROC ?

       Jamais les discours du Roi du Maroc n'avaient fait autant parler dans les chancelleries à l'étranger que celui du 29 Juillet 2017 à l'occasion de la célébration de 18 ans de règne ! Il faut dire qu'il se distingue par l’époustouflante force de sa charge émotionnelle de rédemption de l'image d'un État fort, que le chef du gouvernement Saadeddine Othmani s'efforce à montrer sa disponibilité d'en respecter la rythmique. En plus de celle politique de déclaration de guerre juridictionnelle aux traitres qui usent en interne de la pensée des pensionnaires diviseurs, dont le ministre de la Justice et des libertés Aujar en a laissé filtrer quelques effets locomotive d'assainissement. N'est-ce là où la communauté internationale s'aperçoit que c'est déjà fini le temps de séduction-manipulation électoraliste des partis marocains usant de politique-gadget consommable à merci ? D'ailleurs, depuis plusieurs discours, leur charge politique l'en a bien convaincue que du côté de l’État, pas question de renoncer au choix de la bonne gouvernance ni au processus de démocratisation pour le bien du développement du pays. Tellement, tout le monde croyait que les décideurs allaient enterrer ou faire disparaitre à jamais leurs inutiles et encombrants comportements politiciens de bas niveau avec l'équipe Benkirane ayant porté préjudice à l'avancée ambitieuse du Maroc. Mais, voici, malheureusement que la communauté internationale découvre avec les péripéties du Hirak d'Al Hoceima qu'ils les aient ressuscités, jusqu'à même les rendre presque indispensables à leur survie politique au demeurant paraissant puérilement électrifiée ! Dont clairement le Roi Mohamed VI, a précisé dans son discours que c'est le moment idéal d'y mettre un terme et sortir du populisme électoraliste de fourvoiement jusqu'à la folie de l'illusion de la chimère voire de la traitrise. Et pourtant, n'est-ce ce qu'indique la question que tout le monde se pose en interne et à l'international, par des recherches encadrées par des règles draconiennes à propos de leur contribution à la marche du Maroc vers le progrès la modernité dans la paix et la stabilité ?

       Cependant, par rapport à tout cela, ne devaient-ils alors ces décideurs comprendre, qu’eux-mêmes, ne sont que des produits  préfabriqués et non des vrais politiques révélés pour ne pas botter en touche ? Et ce, parce qu'ils n'ont rien des leaders politiques de la trempe de Abderrahman Youssefi et Feu Mhamed Boucetta habitués de la stature d'hommes d’État respectables et respectés. D'ailleurs, à cet effet, l'essentiel c'est de leur faire reconnaitre leur savoir-faire incontesté avec humilité et responsabilité dans la gestion géopolitique et stratégique des affaires de l’État. En cela, y aura-t-il encore prolongement du suspens pour sévir contre les contrevenants aux mises en chantiers des transformations du visage du pays, lequel ne cesse de maitriser les coups bas selon ses propres moyens en la matière dans le respect de la Constitution du 01 Juillet 2011 ? Même si, ici et là il en déplore l'absence de talents promotionnels de réactivités constructives au sein de certains partis, pour produire les politiques qui plaisent et qui vont de paire avec la vision royale de relever les grands défis. Autant le dire avec clarté, c'est fini leurs montages habituels de leurs rubriques politiciennes, dans lesquelles ils occupent un espace important pour faire suivre leurs pensées perfides par l'exploitation des sous-outillés politiquement parlant. Essentiellement, à chaque étape électorale avant pendant et après, en s'inspirant des planteurs d'idées tendancieuses difficilement censurables voire délectables du fait de la non effectivité des années durant du deuxième paragraphe de l'Article 1 de la Constitution. Tout simplement, ne faut-il casser le morceau de l'inintelligence qui les pousse à préférer leur égocentrisme à l'utilité publique, afin qu'elle ne reste omniprésente dans les esprits de ces sous-outillés, comme s'il s'agit d'une arborescence de fabrication de rêve enfoui qui les concerne. Particulièrement, pour en tirer par la suite profit politique de facilitation de la construction de leur style qui relève des formatages étrangers générant ainsi une dynamique de la transmission cultuelle d'un autre référentiel de surcroit facteur de déstabilisation.

       C'est vrai jusque-là le Maroc est le pays africain incontestable en matière des grandes avancées sociales, dont il ne faut pas voir que son essor économique écologique et politique pourrait être menacé par les attaques de ses ennemis de l'extérieur et de l'intérieur. D'ailleurs, n'est-ce cela qui montre son vrai atout de véritable combattant contre les tricheurs fossoyeurs, les rancuniers débiles et les jaloux largués à tout point de vue, lesquels à ce jour n'ayant trouvé pour le concurrencer aucune occasion pour avoir davantage de place ni sur le podium africain ni dans le concert mondial onusien ? Et c'est là que la communauté internationale porte son intérêt particulier à ce discours mémorable, au fait qu'il soit censé répondre au besoin de la rationalisation de gouvernance. Suscitant dans la maison État-Maroc plus d'espoir de s'éloigner de la plateforme de production de la polémique stérile de certains décideurs et chefs de partis ne faisant à vrai dire que conjuguer leur traitrise d'où l'on sent leur débandade actuelle. Car, de fait, entrevoyant d'abord les portes des couloirs institutionnels essentiellement judiciaires se rétrécir sinon se fermer devant eux, puis le commencement de reddition des comptes sentant un peu la térébenthine ou la naphtaline. Du fait qu'ils y étaient beaucoup plus investis par leur versatilité d'offenses vis-à-vis de leur propre pays, sans apport d'aucun soutien à ses combats dans l'arène internationale. Au contraire, ne faisant que dans la triche à tire larigot plus versée dans l'art des mensonges et contrevérités au dépend de ses intérêts géopolitiques et stratégiques dont il faut qu'ils en rendent des comptes.

       Hélas, et c'est là où le bât blesse, pourquoi après presque une semaine de ce discours du 29 Juillet 2017, ils commencent déjà à oublier les promesses qu'il contient ? A même de s’être accommodés vite de se sentir ni visés ni coupables, en se faisant passer encore pour les interagissants témoins qui apportent leur point de vue sur ce qu'il faudrait faire. Un non sens politique qui informe sur le marketing de leur formatage d'un temps révolu, ne sachant que les marocains ont un regard distant sur eux du fait qu'ils ne bousculent plus leur curiosités. C'est même cette confiance démesurée pour certains d'entre eux qui choque et qui trouble le plus, alors qu'il aurait fallu qu'ils se taisent et chasser leurs pensées négatives porteuses de trahison de leur serment devant Dieu Al Wattan Al Malik. Dont les observateurs avertis commencent à s'interroger, est-ce que la machine judiciaire va-t-elle sitôt dépasser les nouveaux bobards concernant ceux impliqués d'avoir outrepassé leurs obligations par leur jeu politicien mesquin et les mettre face à leur responsabilité ? Sous prétexte à inventer au cas par cas des circonstances atténuantes pour qu'ils puissent s'en sortir, en se libérant de leur remord face à l'excitation des marocains gênés de leur besoin de montrer qu'ils ont plusieurs cordes en leurs mains. Et bien que les choses soient claires, même si la politique est un peu tout cela, sorte d'effet surprise dans un moment donné, n'est-ce pas il ne serait compréhensible pour les marocains que les affaires de traitrise soient classées voire étouffées ? A bon entendeur, salut !