mercredi 29 septembre 2021

L'ARRÊT DE LA COUR DE JUSTICE DE L'UNION EUROPÉENNE EST UN NON ÉVÉNEMENT.

 



L'UNION EUROPÉENNE VA-T-ELLE SORTIR DE SA DUALITÉ DE CONCEPTUALISATION DE SES ECHANGES AVEC LE MAROC ?


      Quand on décrypte l'arrêt rendu du 29 Février 2021 par la CJUE (Cour de Justice de l'Union Européenne) en défaveur du Maroc, on comprend qu'elle est allée très loin. Créant ainsi une véritable suspicion sur son intention non avouée, et/où les discussions sur les réseaux sociaux auront, bien sûr, pour centre d'intérêt les problêmes d'interprétation. Pourtant, rien n'indiquait un tel revirement, si ce n'est une appréhension d'un basculement idéologique anti Maroc amorcé par le parlement européen à Strasbourg en pleine crise du rush migratoire sur le préside Sebta. En effet, c'est sans aucun doute la place accordée à une entité fantoche le Polisario vivant sur un terrain étranger en l'occurrence l'Algérie, qui démontre l'aspect troublant voire de magouille au sein de cette "déshonorable" Cour. Mais, pas seulement car il y a aussi un autre aspect de collusion et de corruption avec les lobbies anti Maroc dans cette nouvelle orientation voulant avant tout montrer ce qu'est le vieux continent dans sa rancune. Un archaisme qui se veut avoir le dernier mot comme une indication s'adressant surtout aux USA et les pays soutenant l'offre du Maroc d'autonomie 2007. Si bien que, pour elle, par le chantage bon nombre de ses décisions futures pourraient constituer autant d'obstacles à la reconnaîssance de la marocanité intégrale de son Sahara. Sauf que, le Maroc en a déjà vécu il y a quatre ans une telle situation dont il s'en est bien sorti.


       Donc, il faut que les marocains prennent conscience de la dimension psychlogique de cette irresponsabilité temporelle de cette Cour plus difficile à saisir pour les novices. Autrement dit, la question c'est de savoir pourquoi cette irrationnalité dans l'argumentation de la CJUE dans un conflit purement politique ? Même si, par le constat historique cela ne signifie aucunement le début d'une prédiction de la mise à l'écart du Maroc dans l'échelle onusienne. Parce que, son engagement sera qu'on ne le veuille ou pas, une digue infranchissable pour arriver au final à l'aliénation de cette irrationalité de la CJUE. D'ailleurs, c'est sûr, face à cette inattendue donnée, le naissant gouvernement AKHANOUCH devra s'efforcer, coûte que coûte, de casser la dualité de l'Espagne de la France et de l'Allemagne dans la conceptualité des accords sur les produits agricoles et de pêche avec l'UE. À même de mettre sur le devant qu'il n'est plus prêt à faire le dos rond et, lancer, lui aussi, un ultimatum de non reconduction de ses accords comme il y a 4 ans. Notamment, pour faire de la puissance démoniaque de la CJUE, un non événement juridictionnel comme l'a déjà intonné Nasser BOURITA en filigranne dans sa première déclaration à chaud. Afin qu'elle ne puisse, de quelque façon que ce soit, tuer l'avenir du Royaume Chérifien en tant que premier partenaire stratégique avec l'UE. Évidemment, la question qui taraude, pourquoi la CJUE a-t-elle pris la requète du Polisario en tant que représentant des sahraouis pour argent comptant ? Alors qu'il n'y a pas longtemps ils ont voté massivement pour leurs representants dans les élections du 08 Septembre 2021. N'est-ce pas qu'on veut faire payer à Rabat son affront à l'axe hypocrîte Madrid-Paris-Berlin ? Sans oublier son rapprochement avec Londres dans cette periode de décomposition de l'UE  après le Brexit. À bon suiveur, bon décryptage.

vendredi 24 septembre 2021

CHENGRIHA AFFIRME SA VOLONTÉ DE FAIRE LA GUERRE AU MAROC, MAIS S'EFFORCE D'AJOURNER LA DÉCISION.


LA RECTITUDE DANS LES RÉPONSES DU MAROC AUX CAPORAUX-GÉNÉRAUX ALGÉRIENS, FONT DE SON ENGAGEMENT SANS FAIBLESSE UN REMPART INFRANCHISSABLE.


       Tenez-le pour dit, ça va mal finir en Algérie ! Parce que la situation politique en interne n'augure d'aucun répit du "Hirak", ni même détente dans l'influence des séparatismes. Par conséquent, le Maroc est amené à doubler de vigilance et à considérer la discorde au sommet de l'État algérien entre CHENGRIHA et d'autres Caporaux-Généraux avec prudence. Autrement dit, c'est parce qu'ils ne se sont toujours pas remis du choc majeur Guergaratte que la situation Rabat-Alger est explosive. Déjà, ils ont montré une febrilité par la rupture des relations diplomatiques et une puérilité risible par la fermeture de l'espace aérien aux avions civils et militaires marocains. Dont, il incombe désormais aux observateurs les plus avisés de tenter d'identifier la prochaine "poche noire" qui déclencchera l'affrontement armé direct. D'où, le véritable chassé-croisé de déclarations d'AKHNOUCH-OUAHBI-BARAKA et BOURITA pour en démêler avec sagacité le fil rouge de la réalité sur le terrain. Disant en plus, ça restera aussi la priorité de définition et précision des objectifs de la coalition tripartite du gouvernement RNI-PAM-PI dans ses réponses sans faiblesse aux pouvoir algérien.


       En effet, l'incontinent et complexé CHENGRIHA avec l'instable toujours grisé TEBBOUNE et leurs journaleux portes-flingues considèrent qu'à terme la guerre Algérie-Maroc est inévitable. Et ce, même étant convaincus dans leur intime raisonnement que les ripostes des FAR sont comme une épée de Damoclès qui pend au dessus de l'Algérie. Tellement ils en sont tétanisés à l'idée d'être laminés et donc éjectés voire chassés par force du pouvoir. Voilà pourquoi, le Maroc théorisé par BOUMEDIÈNE comme étant l'ennemi classique, il fait peur aux Caporaux-Généraux. D'ailleurs, à présent, qu'on ne le veuille ou pas, il a le rôle géopolitique dominant. Dont il  faut en comprendre économiquement diplomatiquement et aussi militairement qu'il est de loin l'État de la région Maghreb-Sahel-Subsaharienne africaine le plus redouté par le malheureux CHENGRIHA. De toute évidence, pour ce dernier, d'après le DRS, la complêxité technicienne militaire des FAR est intrigante dans le contexte de vie de chien qu'il a vécu depuis la mort suspecte de GAID Salah. Craignant que l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël ne se conjugue à celle dernièrement scéllée USA-Royaume-Uni avec l'Australie et, de fait, n'entraîne que d'avantages au voisin de l'Ouest pour stopper les coups bas haineux de l'Espagne l'Allemagne et la France. 


       Mais, comment ne pas interpréter cette hésitation de l'Algérie de passer à l'action, par la peur d'usage des FAR dans leurs ripostes et controffensives stratégiques d'atouts inconnus et donc imprévisibles ? Une préoccupation sérieuse qui en dit long sur la diabolisation hors du temps du Maroc, par l'équipe CHENGRIHA. Le faisant, seulement pour saper son inclusion parmi les grands. Qu'évidemment, elle est préprogrammée par les dêcideurs civils et militaires à Ksar Almouradia d'Alger pour inciter l'administration BIDEN de se rapprocher d'eux. N'est-ce cela qui montre que le régime militariste algérien butte sur le choix de la déclaration de la guerre contre le Royaume Chérifien qui, lui, surveille de près toutes les tentatives d'intimidation à son encontre. En somme, un constat d'escalade en accordéon dont le Secrétaire d'État américain Anthony BLINKIN en avait mis en garde l'Algérie. Ce qu'en plus sa 4-ième conseillère au département d'État, en marge de la 76-ième session de l'Assemblée Générale de l'ONU 2021, a décrit à Ramtane LAAMAMRA comme un signal de l'engagement sans ambages des USA avec CCG Israël Royaume-Uni Canada Japon et Chine à l'égard du Maroc. À bon entendeur, salut !

mercredi 15 septembre 2021

LE RAID MAROCAIN AU MALI N'EST NULLEMENT UN LEURRE.




PARCE QUE LAAMAMRA MINE ET RENVERSE LES CODES DE VALEURS DU BON VOISINAGE AVEC LE MAROC, IL EST MAINTENANT CATALOGUÉ LE LOOSER DE SERVICE SUPPORTER DU TERRORISME.


       Après le nettoyage de Guergaratte, le déploiement à Lagouira, le balayage de la zone Tampon à l'Est du Mur, les victoires diplomatiques pléthoriques et les déclarations déliées des obligations que lui imposait le bon voisinage, le Maroc commence à montrer ses atouts et forces géostratégiques. Au point, l'on peut dire, les informations glanées ici et là après l'assassinat des camioneurs marocains au Mali renvoient précisément à la date du 11 Septembre 2021. Dont, le niveau d'implication du régime algérien ne fait aucun doute. Ayant en même temps prévu d'une part, l'entréee en escadre contre le Maroc qui savait que le terrorisme dans le Sahel le menace.  Et, d'autre part, exécuter le plan concocté avec l'Espagne l'Allemagne et la France sera le défi majeur pour ralentir son developpement. Mais la question qui taraude, n'est-ce cette voie commune où ces pays s'engageaient les conduirait à se briser face à sa détermination ? D'ailleurs, entendons-nous bien, le Maroc n'a de choix que de rompre le silence autour de ce complot ourdi à son encontre au vu qu'il est, qu'on ne le veuille ou pas, au centre du plus formidable système militairo-diplomatico-économico-politique des deux dernières décénnies. Ce qui indique que l'Algérie se trompe en lachant ses hordes polisariennes au Mali et ailleurs, soi-disant, pour perturber les liens et les rapports commerciaux priviligiés du Maroc avec les pays du Sahel et la CDEAO.


       C'est ça le Maroc aujourd'hui, il avance et ne recule devant rien ! Tellement, l'on peut dire à ce propos, TEBBOUNE est dans une torpeur, CHENGRIHA est mal en point et LAAMAMRA est dans de mauvais draps. En effet, il est démontré que ce dernier est impliqué dans ce drame en tant que looser qui, par ailleurs, s'est réveillé humilié après qu'un Commando d'élite marocain avec l'accord du Mali, ait investi la zone où la horde polisarienne a attaqué les camioneurs marocains. D'autant plus, chacun sait que ce Commando en a arrêté l'un des assaillants et identifié tous les autres. Un renversement de la situation inattendu, notamment après le balayage des Satellites Mohamed VI A et B en coordination avec le lancement des drones prédateurs guidés par le renseignement sur place. Une sorte d'élan de promouvoir la puissance de projection tout terrain en profodeur africaine de la logistique des FAR. Un tournant à partir duquel les premières investigations de la DGED sur le terrain, ont mis directement en cause LAAMAMRA. Qu'évidemment, tôt ou tard, il y risque de payer le prix fort devant la CPI (Cour Pebale Internationale) et avant tout de perdre le restant de ses relais résiduels et amitiés louches à l'UA l'UE et l'ONU. Maintenant que les noms des assaillants assassins et leurs commaditaires sont établis à partir des indices les plus rècents et les indications des services occidentaux qui pillulent dans la région, les ripostes diplomatiques d'Omar HILAL deviendront un mécanisme ajusté avec les intérêts du Maroc et les pays du Sahel et de la CDEAO. Aussi, il faut le dire sans résérve, le profil général des pays impliqués ayant œuvré à la préparation de cet acte ignioble avec ou sans l'offre de garantie du retrait des terrorites de la scène du crime fait peur. Autrement dit, l'engagement par Raid du Commando d'élite marocain au Mali n'est pas un leurre, mais une indication sur la vision géopolitique globale du Maroc pour lever les doutes d'insécurité dans toute la région. Dont, effectivement, la Mauritanie doit les prendre en ligne de compte, au lieu de rester dans sa balance tarifaire d'être tantõt avec lui tantôt contre. À bon suiveur, bonne lecture !

dimanche 12 septembre 2021

GOUVERNEMENT AKHNOUCH, EN AVANT TOUTE.


AKHNOUCH ET SES COALISÉS NE DOIVENT-ILS  DÉFINIR LE ROLE SPÉCIFIQUE DE CHAQUE MEMBRE DU GOUVERNEMENT NOTAMMENT LE PORTE-PAROLE ?


       Maintenant, tout le monde sait qu'au Maroc, exercer le pouvoir Éxécutif avec des angles morts et ambition pas claire, c'est vraiment compliqué voire impossible. Ainsi, l'on peut dire, le RNI et ses coalisés au gouvernement n'ont de choix que de respecter leurs engagements de la campagne éléctorale avec l'intentionalité de mieux faire. D'abord, en détruisant le rôle joué par les divers pasticheurs opportunistes de tous les horizons qui ont largement profité de l'apaisement et la sérénité du peuple après les secousses du printemps arabe. Ensuite, sortir du mélange de l'euphorie politique de la victoire et la peur des faux espoirs, et ce, par le retour progressif à la normalité tracée après le discours royal mémorable du 09 Mars 2011. Sachant qu'il n'y a pas de recette magique,  mais seulement la prise de véritables bonnes décisions tactiques dans le respect de ce que préconise le modèle de developpement. Autrement dit, par la mobilisation des compétences dans les territoires et régions, pour préparer l'avenir en dehors de l'apologétique idéologique et autres propagations de fakes-news. Et, donc, pour ne plus vivre un autre bail législatif pour rien, comme l'ont relaté beaucoup de medias internationnaux après trituration du PJD. Comprendront, ceux qui voudront ! 


       Comme ça, si le gouvernement AKHNOUCH ne veut s'assujetir à la fronde de la classe moyenne et les pauvres, il devra sortir de la politique de l'entre-soi. En proclamant de s'offrir pour résoudre les problèmes sanitaires sociaux éducationnels culturels et de travail du pays avec détermination et abnégation. Parce que, le gouvernement n'est pas un lieu de villégiature mais d'engagement pour assurer le bien du pays. Et c'est là où la gouvernance sans erreurs dans les choix et suivis des grands chantiers doit se comprendre selon la triangulation (verticalité-horizontalité-humilité). Déjà, l'on sait qu'AKHNOUCH, OUAHBI ET BARAKA pour ne citer qu'eux, montrent un intérêt grandissant à cette gouvernance par la réalisation des résultats sans verbiage désolant et blessant à la façon BENKIRANE et ses inconditionnels  zélés adeptes. Primo, par et pour l'ouverture au dialogue social et interprofessionnel, secundo pour l'affirmation transcendantale sur le terrain du changement opéré par les urnes et tertio pour la montée irreversible de la conscience collective centrée sur le développement et le progrès dans l'unité et l'unicité du Maroc. 


       En effet, tous ces thèmes developpés n'auront leur place dans la perspective politique qui s'annonce, que si l'évolution d'existence au parlement des partis coalisés est au sein de l'influence entre AKHNOUCH et les chefs de partis sans accros avec la société civile. Pour cela, le poste-clef au gouvernement pour assurer la cohésion et la cohérence dans les propos, dans les programmations et dans les activités de l'administration publique, c'est le porte-parole. N'est-ce le futur postulant qui doit redonner ses lettres de noblesse à ce travail difficile et peut-être même ingrat, doit répondre aux critères de cette nouvelle gouvernance ? Ceci, évidemment, demande un savoir-faire, un doigté voire flair pour la bonne communication. En somme, ça exige une culture politique très large et une rationalité dans le raisonnement pour faire la part des choses. Parce que les marocains en ont marre de la langue de bois et des stéréotypes du passé récent, alors que le pays joue ses atouts économiques diplomatiques géopolitiques et sécuritaires géostratégiques pour contrer ses ennemis qui ne veulent toujours pas lacher prise sur son Sahara. À même jusqu'à contester la reconnaîssance souveraine de la marocanité intégrale du Sahara par les USA et l'entente trilatérale USA-Maroc-Israël. À bon entendeur, bon décryptage !


lundi 6 septembre 2021

LE MAROC, CETTE FORCE TRANQUILLE N'EN VIENT-IL À DRESSER LE VÉRITABLE INVENTAIRE DES COUPS FOURÉS DU RÉGIME ALGÉRIEN ?


LES EXPLOITS DE LA DIPLOMATIE MAROCAINE ANTICIPENT DE FACTO LA CARTE DISLOQUÉE DE L'ALGÉRIE DU FUTUR.


       Par son dogme et par les excès de ses vociférations anti Maroc surtout, le pouvoir algérien inquiète la Ligue arabe et l'UA-UE dont les pays de la région MENA-Sahel-Subsaharienne. Il est vrai que ces derniers temps sous l'influence de l'Allemagne, un durcissement très net envers le Maroc s'est opéré en Algérie. En effet entre 1962 et 2021, au lieu de s'interroger sur les modes de gouvernance qui ont assuré la transition du Maroc vers un État institutionnel de rang respectable, le pouvoir militariste algérien, hélas, est resté dans son mirage d'hégèmonisme utopique creux. De fait, il n'a fait que se confiner dans sa haine sa rancune et sa rancœur depuis 1963 au lendemain de la guerre des sables. C'est pour cela l'on peut dire à présent, l'expérience des Kabyles Touareg Mozabes et Azawades montre leur sagesse accumulée au cours de leur lutte sans violence contre le système d'oppression et d'exploitation raciste de la "Issaba" à Ksar Almouradia d'Alger.


       Alors que le Maroc cette force tranquille, continue à relever les défis économiques sociaux et sécuritaires pour un avenir encore plus radieux, les Caporaux soi-disant Généraux de pacotille se voient toujours confrontés avec les doléances légitimes du "Hirak". Sans oublier les séparatismes grondants voire rompants en Kabylie Azawad et au Mzabe, s'ajoutant au dossier du Sahara oriental réactivé à l'ONU pour le retour à la mère patrie le Maroc. Notamment, après le coup de massue d'Omar HILAL asséné en termes structurés et clairs à Ramtane LAAMAMRA le nanipulateur de l'idéal démocratique du peuple algérien, pour qu'il sorte de l'ambigüité de l'idéologie du temps révolu. Mais, c'eût été encore plus flagrant si Antonio GUTTERRES avait sû procéder à se borner à dire le droit rien que le droit sur le Sahara marocain dont il en est convaincu sans pouvoir l'exprimer. 


       Pauvre Algérie ! La voilà réveillée avec le sentiment déprimant de sa défaite géopolitique accompagnée de débacle diplomatique face au Maroc digne du plus profond respect. D'ailleurs, c'est désormais le monde dans lequel elle vit qui n'est pas une attitude véritablement nouvelle, et ce, à la faveur des réveils des spectres de la décénnie noire 1990-2000. Telle est la perspective dans laquelle les tortionnaires et sanguinaires potentats du régime CHENGRIHA, MEDIENE et NEZZAR, continuent de développer leur haine de leurs opposants irréductibles. En plus, le faisant sans savoir qu'ils donnent à leurs plaidoiries du mordant devant la Communnauté Internationale pour les condamner fermement. En fait, s'agissant de l'interprétation par les observateurs assidus et avertis du constat fait de l'Algérie actuelle, c'est une coordination d'actes que les exploits de la diplomatie marocaine ont mis en évidence. Passant par dresser l'inventaire des coups fourés pendant 46 ans, en allant même jusqu'à anticiper la carte disloquée de l'Algérie du proche futur. À bon entendeur, salut !