vendredi 27 novembre 2015

CHRISTOPHER ROSS ET ABDELAZIZ BOUTEFLIKA AU CŒUR DU HOLD-UP DU COURANT DU RÉALISME.

AUJOURD’HUI NOMBREUX SONT LES ALGÉRIENS RENTRANT DANS UNE DÉMARCHE CONTRE LA PERTE DE MÉMOIRE VIS-A-VIS DU MAROC !

       Il est évident que Ammar Saadani Louisa Hanoun  et toute l’intelligentsia même celle proche du pouvoir algérien, sont désormais dans une démarche pour sortir le pays du flagrant délire contre la mémoire. N’acceptant ni fédéralisme, ni confédération, ni schize-division et encore moins autodétermination au Sahara marocain. Et ce, avec ou sans recensement dans les camps de séquestration, dont expressément ils n’en tolèrent plus l’existence. De fait, pour le Maroc droit dans ses bottes, c’est le Niet absolu vis-à-vis de ce hold-up aux quatre versions, car s’agissant effectivement d’une imposture bizarroïde qui n’existe que dans la tête de Christopher Ross le noctambule nostalgique de ses anciennes virées dans le Sud algérien. Et, dont en ce temps présent, il en a perdu l’assise référentielle pour éviter son décrochage où les portes de sortie sont fermées sinon trop étroites. Ainsi, autant l’annoncer, même en s’appuyant sur un raisonnement conceptuel de dématérialisation du marché de la mémoire, il ne pourra faire oublier le joug marocain et ses légitimités historiques tentaculaires en Afrique et sur le terrain algérien.

       A cet égard, ne peut-on dire que les marocains en ont assez des approches énièmes mains en marge et en dehors de la résolution 2218 du Conseil de Sécurité de l’ONU d’AVRIL 2015, que cherche à imposer Christopher Ross en préparation de la visite de Ban Ki Moon dans la région ? Car, à chacune de ses visites en tant qu’envoyé spécialement spécial, on s’en rend compte qu’il veuille raccorder le Maroc à l’accord-cadre qui a été conclu entre lui au nom de son patron et le président Bouteflika au nom du protopolisario. C’est dire que son objectif n’est autre que la protection, de seulement ce que veulent les lobbyings et centrales de productions des mensonges à l’encontre du Maroc. De surcroît sous-forme de demande on ne peut moins dire cautionnée par le Secrétaire Général qui n’a par ailleurs rien réussi nulle part, à savoir en (Crimée-Vénézuella-Syrie-Irak-Mali-Centrafrique-Libye-Somalie-Yémen etc…). En plus sans tenir compte de l’histoire de la mémoire régionale, mais juste pour requinquer le mental et psychologie du pouvoir algérien en bérézina totale sur tous les plans.

       D’ailleurs, outre le fait que ces initiatives invraisemblables de Christopher Ross n’en éviteraient que le Maroc puisse continuer tranquillement avec sérénité ses efforts pour l’offre du seul seuil de l’autogestion qu’il a proposé depuis 2007, elles ne pourraient qu’augmenter les turbulences voire risques de déstabilisation de tout le Maghreb et la bande Sahélo-africaine. Pourtant, et c’est le moins que l’on puisse dire, Ban Ki Moon sait pertinemment que le Maroc a donné ce qu’il peut comme solution politique sérieuse viable et/où il n’y aura ni vainqueur ni vaincu. D’autant qu’il est auréolé du déroulé électoral exemplaire du 04 Septembre 2015 et de l’ampleur de participation des habitants du Sahara, s’ajoutant à leur attachement fusionnel sans condition à la royauté. A ce propos, faut-il continuer à faire confiance à Christopher Ross qui cherche par tous les moyens de sous-traiter l’intégrité territoriale du Maroc voire mêmes ses souverainetés ? Ne s’en souciant aucunement de la réactivité des marocains, parce que si en 1975 ils étaient 350000 dans la Massira, cette fois-ci ils seraient 3500000 en partance non Saint Coran et drapeaux à la main mais brandissant armes.

       Apparemment, seul lui n’est pas conscient des dangers politiques et sécuritaires que peuvent engendrer ses suggestions génériques à l’emporte pièce. Parce que, ni l’Espagne ni la Mauritanie qu’à l’évidence ne rentreront jamais dans cette légèreté d’analyse et de conception maladroite, du fait que chaque pays a son propre agenda au regard de l’urgence à la sécurité qui l’emporte sur l’idéologie consumée il y a belle lurette. En cela, pourquoi ce diplomate reste-t-il dans l’aveuglément total, au point de changer d’objectif tantôt dans l’autodétermination tantôt dans la parthéno-division, parfois dans le fédéralisme ou la confédération ? Sans tenir compte des propositions et mesures prises par le Maroc, confirmant que c’est juste se tromper du coté où se trouve l’avenir rayonnant du Sahara marocain et donc de toute la région.

       C’est tellement vrai que nos officiels diplomates ont doublé de vigilance avec lui, usant de techniques de séquençages de ses propositions qu’au demeurant varient d’un entretien à un autre et tout le temps. Néanmoins avec les temps qui courent, ses propos mêmes oscillatoires ne sont-ils indispensables pour le ciblage le montage et l’homogénéisation des contre-attaques diplomatiques marocaines ? S’ajoutant au foisonnement des cris de la raison des soutiens que le Maroc ne cesse de recevoir de par le monde. Dans le but de le conforter dans son savoir-faire et de l’en encourager de continuer dans sa feuille de route de programmes diversifiés concis et précis pour son développement structurant, sa sécurité légendaire et son rayonnement reconnu.

       Aussi, dans un monde dominé par sa standardisation à tout point de vue, à cet égard, est-ce que la différence marocaine dans sa feuille de route vers le développement sans ambages, sa fonctionnalité institutionnelle et ses performances, ne mérite-t-elle d’être prise en compte par Ban ki Moon par les actes en dehors des paroles ? N’est-ce, ce que doit en effet creuser Christopher Ross, c’est comment faciliter le retour des sahraouis ne voulant rester en dehors de l’histoire événementielle qui bouge qu’on ne le veuille ou pas au Sahara marocain ? Comment aider le Maroc stable, dans sa lutte contre les parasitages d’environnement des camps en cellules terroristes d’obédience à Daech Aqmi Boco Haram et autres Chababs ? D’ailleurs l’intérêt qu’accorde le Maroc au daechisme polisarien n’est pas fortuit, dès lors que le conformisme à des calculs politiciens en matière de renseignement anti terroristes n’est pas pour les marocains. Sachant que ses conséquences sont ainsi anticipées, vu qu’elles sont mesurées ici là en Afrique de par l’agitation des groupuscules terroristes dans les camps à Tindouf Rabouni et dans le Sud algérien en général. Important l’est aussi avec ou sans aval de l’ONU de savoir, est-ce que le Maroc ne pourrait user le cas échéant du droit de poursuite à l’encontre des terroristes bien ancrés dans les camps ? Voilà peut être en quoi, si Christopher Ross ne révise son accord-cadre par une analyse approfondie de ces exemples, il pourrait se confronter. N’est-ce pour cela les FAR et le BCIJ s’en sont dotés de moyens dans les provinces du Sud et aussi le long de toutes les frontières terrestres de Saidia à Lagouira, comprenant des services et unités performants de traitement des crises et situations dangereuses? Gageons encore une fois, que la prédisposition du Conseil de Sécurité de l’ONU vers le réalisme se généralise dans sa résolution future d’Avril 2016, pour une coopération avec le Maroc dans le volet sécuritaire dans le respect de son intégrité territoriale. A bon suiveur bonne lecture !

mardi 24 novembre 2015

LA MACHINE INFERNALE DAECHISTE MULTI-ENGRENAGES, N’AURA JAMAIS D’AVENIR AU MAROC.

COMMENT MESURE-T-ON LES EFFORTS MAROCAINS APPRÉCIABLES, DE PRISE EN CHARGE SÉCURITAIRE SURTOUT DES TERRORISMES ?

       Rien ne sera comme avant en Europe, aujourd'hui en état hallucinant et de torpeur. Et, dont Bruxelles sa capitale est devenue ville morte, à cause de renseignements précis d'actions imminentes sûrement fondées divulguées  après le secouement profond de la France. Par suite des attaques terroristes jihadistes du 13 Novembre 2015 à Paris ayant propagé un sentiment de peur d’insécurité et instabilité. Qu’heureusement l’assaut préventif rapide la nuit du 17-18 à Saint-Denis en région parisienne par le Raid et BRI français, l’en a pour le moins apparemment rassurée. Parce que les services français de renseignement ont enfin surmonté leur surmoi et préjugés, en s’armant de notes informatives précises et ciblées émanant des services de renseignement marocains. Dont leur collaboration étroite a crée une dynamique prometteuse que le monde entier en a salué la contribution efficace au succès du traitement de ce dossier brûlant et au rétablissement de confiance même relative chez le peuple français.

       De fait, l’objectif de beaucoup de pays européens africains et américains, c’est d’une part collaborer avec le Maroc à plusieurs niveaux du partage des renseignements humains rapprochés sensibles dont il a effectivement le secret. Et d’autre part mettre en synergie leur potentiel technique de sondage et suivi pour avoir une meilleure visibilité et donc un bon rendement dans la lutte anti terroriste. Sauf que, comment faire pour déjouer les leurres et dépasser les parasitages préjudiciables que les services de renseignement dans le monde, subissent dans leur pistage des jihadistes? Dès lors que dans cette guerre numérique, ces derniers sont en permanence dans la délocalisation de leurs sites échappant à la fermeture au travers les portes dérobées du Net. Mais, même avec ça on peut d’ores et déjà dire, que l’industrie labyrinthique du daechisme multi-faces n’a pas d’avenir, au vu de la contre-attaque par palier de tous les pays à domicile comme au Cham-Mésopotamie. Dans un but final d’éradication de ce cancer, en s’aidant du suivi d’événements établis et sus qui interpellent tout un chacun, comme aussi des non-dits dans le cadre des interventions et appuis aux actions communes entre services sur la toile et sur le terrain. Ceci étant, dans tous les cas le contexte s’y prête à approfondir et mûrir davantage les réflexions sur les opportunités de jumelage des institutions de renseignement entre le Maroc et les pays qui le désirent. A l’instar de ce que demande la Belgique, en plus de l’entraide et coopération judiciaire dont il faut élever les niveaux de fiabilité jusqu’à l’automatisme.        

       A cet égard, néanmoins, partout ailleurs il est maintenant clair que le changement de mentalité envers le Jihadisme, demande des efforts de la part de tout le monde. Au même titre que les services sécuritaires en termes de traitement de ce cancer redoutable, aux répercussions humaines directes et indirectes invraisemblables. D’autant plus qu’il touche, non seulement les jeunes vulnérables souffrant en silence de stress intériorisé par manque de communication intégrative dans la famille et avec les amis. Mais aussi, les personnes cherchant aides dont elles ont besoin, pour atténuer leurs carences matérielles engendrant douleurs sociales dans leur existence difficile. C’est ainsi au Maroc, en prêtant attention à la collaboration des citoyens à l’exercice de veille sécuritaire, l’on se rend compte que beaucoup reste à faire malgré les efforts socioéconomiques culturels éducationnels sportifs et cultuels-sécuritaires déployés à marche forcée pour effacer définitivement les stigmates de l’état de névrose sociétale. Qu’en effet certains comportementalistes continuent d’appeler le pire, ce ‘’Ghoul’’ sorte de source de la productivité d’actes non citoyens au point de ne se sentir dans l’état d’éveil, ni concerné par ces actes ni même obligé de rester dans les rangs de la société.

       Mais pourquoi je dis cela ? N’est-ce parce qu’au sein de certains partis politiques marocains, il y a le double langage portant ambiguïtés et nuances dans les propos relatifs à la vigilance que demande cet état de veille sécuritaire ? Parfois, usant de contestation relativement feutrée qui n’est que rejet intériorisé des dispositions de l’accord tacite des citoyens par rapport au bilan sur le terrain. Ce qui peut engendrer confusion chez des sbires deuxième main sans état d’âme, qui croient malheureusement dur comme fer qu’avec le temps ça les mènerait vers l’abreuvoir du triomphateur final. Et donc de fait nourrissent les structures filipendules en dormance, même celles ne sachant quoi faire devant la maîtrise des services du renseignement de tous leurs recoins et tanières. Sauf qu’attention, éventuellement opportunément, ils pourraient par désespoir se lancer dans des stratégies mortifères consistant à essayer de détruire les symboles physiques ou immatériels du pouvoir de l’Etat là où ils se trouvent, pour donner plus d’éclat à leur action et se donner de l’importance même à titre posthume.

       Cependant, comme tout un chacun le sait, l’impédance du vide pourvoyeuse de flottement et d’incertitude dans les gouvernances induit la nonchalance. Notamment lorsqu’elle ne tient pas compte de l’augmentation des inégalités sur le terrain et des carences d’apports de réponses sociopolitiques clairement établies et réfléchies. C’est ce que l’on appelle les situations favorisant la conjonction de facteurs qui réduisent le champ de vision et d’analyse pour relever les défis du printemps marocains, par rapport à la réalité d’accompagnement sécuritaire sur le terrain. D’où, conséquemment parfois ça pourrait aboutir à la survenue d’actes irresponsables voire à connotations terroristes, qu’évidement à leurs tours vont majorer le syndrome d’agression et ses conséquences diplomatiques économiques et médiatiques. En ce sens, n’est-ce pas pour cela que ce genre de paradoxes encore résiduels dans la vie politique de certains partis au Maroc, a fait perdre beaucoup de marge de manœuvre au gouvernement à ce sujet ?


       De fait, et c’est vrai, ce questionnement tout le monde se le pose, le gouvernement avec cette charge paradoxale a-t-il les moyens d’une gouvernance sécuritaire sans parti-pris du moins sur le volet idéologique ? Chose qui indique qu’aujourd’hui avec la constitution du 01 Juillet 2011, le sérail restreint sécuritaire agit de manière balisant la mise en place du CSS  Conseil Suprême de Sécurité selon l’Article 54, au détriment de la marge d’action gouvernementale en matière de pérennité de l’Etat. Dont des observateurs aguerris en perçoivent par ce truchement, qu’il s’agisse d’un plus de vigilance officieusement envers la scène politique toute entière, sachant que l’idée n’est pas nouvelle et aussi non moins étonnante. Surtout qu’on n'est pas encore tout à fait sorti des zones de turbulences, si on s’en réfère aux formules de langage de religiosité ou du populisme abracadabrantesque qu’utilisent maladroitement certains ténors dans leurs essais de reconquêtes des consciences. Comprendra qui voudra, à bon suiveur bon décryptage !  

samedi 21 novembre 2015

UNE NOUVELLE VISION DU MONDE DU RENSEIGNEMENT SUR LE MAROC !

ARRÊT SUR IMAGES DU MAROC GRANDISSANT VITE PAR SA TRIPLE ACTION (RIA) RÉGULATION-INTENSIFICATION-ACCÉLÉRATION !       

       C’est bon pour le moral, l’efficacité de la DST en interne et DGED en externe du Maroc, est désormais sans ambages reconnue à l’international. Formant par l’impact global d’activation du marché du renseignement ciblé spécifique, un rempart de résistance au terrorisme-nihilisme et une école de résilience-production pour protection des souverainetés marocaines, en l’occurrence territoriale économique culturelle cultuelle et diplomatique. Effectivement, lors de l’inauguration du nouvel édifice imposant du Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ) à Salé, on pouvait en voir l’amorce d’une mise en place d’un programme de décloisonnement des renseignements pas n’importe comment. Aussi, le renforcement des infrastructures de la DST, semble aller bon train au vu du budget conséquent alloué à la réalisation et à l’équipement d’unités modernes sécurisées et efficaces selon le découpage des 12 régions s’inscrivant dans la durée. Ce qui permettra de corriger les retards d’intervention, par souci de sécurisation des champs et d’instauration de climat propice pour d’éventuelles négociations le cas échéant.

       Cependant, autant le crier fort, lorsqu’un renseignement n’est pas exploité en intervention anti terroriste au quotidien du fait de sa courte demi-vie, ça donne l’occasion à la terreur de s’installer subitement. A cet égard, au Maroc le partage du renseignement en matière de lutte anti terroriste n’est aucunement un acte anodin. Il est d’emblée toujours de valeur ajoutée à une situation, à l’exemple de celui désormais connu partout dans le monde grâce à un dépistage spécifique méticuleux et professionnel des services marocains. Ayant aidé et de quelle manière, d’abord à éviter d’autres conséquences plus graves voire cauchemardesques de ce qui se préparait par Abdelhamid Abaoud, ce gros poisson daechiste notoire à l’origine des attentats du 13 Novembre 2015 à Paris. Puis, à la prise en charge précoce et efficace par le Raid et BRI français, de ce commando terroriste à Saint-Denis en région parisienne dont tout un chacun en connait l’issue. Ce qui démontre hélas, que la prévalence du partage du renseignement sécuritaire en Europe est faible sinon parfois inexistante. D’où même des effets adverses dans cet espace UE, sont décelés dans l’approche d’accueil des migrants. Car en effet, n’ayant pas mis en place un cadre organisationnel lisible et opérationnel adapté non seulement aux contraintes des risques d’infiltration des jihadistes, mais aussi à la formalisation des droits de l’homme en supplétif des aides aux réfugiés.

       C’est ainsi que les analyses des fils d’actualités formelles invasives et informelles discrètes du monde du renseignement au Maghreb, montrent qu’il y a un constat différentiel de puissance et confiance pour le Maroc, désordre et incertitude pour l’Algérie et observance-souffrance en silence pour la Tunisie. C’est aussi pour cela, alors que le pouvoir algérien actuel est en plein marché déprimé par suite à son aveuglément dans sa chasse politico-diplomatique aux mirages, au Maroc on continue à avoir des idées pour le vivre ensemble et pour l’émergence socioéconomique et écologique. Et/ou s’entremêlent les éléments de la triple action (RIA), primo l’objectivité dans la Régulation du cultuel et du partage du renseignement sécuritaire stratégique, deuzio la correction dans l’Intensification de la bonne gouvernance socioéconomique culturelle et écologique et tertio la détermination dans l’Accélération du développement structurant tout azimut.  

       De ce point de vue, par ailleurs, quand est-ce les ennemis résiduels du Maroc chasseront alors leur schizophrénie pour éviter leur perte ? Face au terrorisme pléthorique et aussi face aux effets de l’anxiété et la dépression sociétale menant crescendo aux demandes séparatistes. Ne savent-ils que leurs marchés politiciens sur le dos du Maroc, sont bel et bien en voie d’être définitivement fermés partout ? Du fait que leurs séances à la criée mensongère sont frappées de sinistrose, sur fond du ras-le-bol et non confiance de la communauté internationale vis-à-vis d’eux. Malheureusement, même avec ça, ils continuent dans le déni des réalités en s’agrippant à leurs diatribes et vociférations ouvertement anti Maroc, notamment de la part du trio (A.V.AS) l’Algérie le Venezuela et l’Afrique du Sud. Sauf que, il n’en demeure pas moins que leurs agitations sont aussi plombées d’une diminution en largesse-corruption et offrandes de toutes natures envers d’autres pays ayant longtemps bénéficié de leurs sucrages, mais commençant aujourd’hui à changer de fusil d’épaule par réalisme même tardif.

       D’ailleurs, depuis le début de l’année 2015, tous les marqueurs politiques du marché du renseignement anti Daech à l’international, ont subitement simultanément cédé du terrain en faveur du Maroc. Par suite aux grondements daechiens ici et là, dont toutes les instances internationales en ont fait enregistrer des déceptions pour ne pas dire des colères vis-à-vis du pouvoir algérien et vénézuélien pour ne citer qu’eux. De ce fait, seul le Maroc est considéré maîtrisant la situation avec une expertise d’analyse indéfectible et technicité d’intervention par anticipation hors normes. Dès lors que ses services de renseignement qui effectuent un travail d’observance très rapprochée, en ont bouleversé les cycles des réinitialisations des cellules dormantes daechistes sur tout le territoire national. Et ce, dans un environnement régional potentiellement tumultueux en référence à l’échelle des valeurs onusiennes en matière de sérieux de coopération et de partage de renseignements probants anti terroristes.


       En résumé, pourquoi beaucoup d’Etats européens et pas des moindres, montrent un engouement vers l’approche cultuelle-sécuritaire du Maroc ? Ne commencent-ils déjà à repenser leur vision vis-à-vis du Maroc par la révision de leur grille d’analyse, en sortant de leurs tabous et handicaps structurels parfois idéologiques mis à nus ? C’est vrai que l’impact du calendrier de l’offensive diplomatique marocaine, a aidé à montrer non seulement la qualité indéniable de son bilan notable anti terrorisme. Mais aussi, ses perspectives à effets d’entrainement en Afrique et ailleurs, malgré l’attaque sanglante et meurtrière de l’hôtel à Bamako au Mali du 20 Novembre 2015. A cet égard, fini le temps des faux engagements dans la lutte anti terroriste, dès lors qu’aucun pays fut-il grand ne peut vivre sans traitement prioritaire des causes de ce cancer redoutable. A bon suiveur bonne lecture !

mardi 17 novembre 2015

L’ALGÉRIE, QUEL AVENIR AURA-T-ELLE APRES LES REMOUS DES PÉTITIONNAIRES PAR CI ET LA.

CETTE FIN D'ANNÉE 2015 N’EST-ELLE MAUVAIS PRÉSAGE, POUR LE POUVOIR ALGÉRIEN SOUS INFLUENCE DU PRÉDICATEUR CHRISTOPHER ROSS ?

       Désormais, non pause dans l’offensive diplomatique marocaine à cause des mensonges sans fondement côté pouvoir algérien…D’ailleurs, coté marocain, opter pour une activation à haute performance diplomatique (AHPD) dans laquelle chaque détail a son pesant d’or, n’est pas une posture de prêche inutile et encore moins une perte de temps. Au sens où, il faudrait continuer à zoomer les réalités diplomatiques algéro-marocaines par nécessité de tout savoir, afin de ne continuer à prêcher dans le désert par inadvertance. Et donc, conséquemment d’éviter de les zapper, car c’en serait une faute impardonnable de ne pas en déceler les pièges des rencontres avec Christopher le magnifique prédicateur. Alors que le sésame populaire sans ambages, s’y est apprêté à l’ouverture des trois (03) régions du Sahara marocain à la régionalisation avancée et/où il ne sera plus question de marche arrière.

       Fini donc le temps de l’épandage des contrevérités et sournoiseries sur le Maroc aux Nations Unies ! Ni même le temps de l’autodafé des manuscrits revivifiant la conscience des algériens vis-à-vis de l’affaire du Sahara marocain. Effectivement, même si, le représentant spécial de Ban Ki Moon en l’occurrence C. Ross n’en fait qu’à sa tête, ne cessant de ramener l’essence de ce dossier au cœur de son désir et propres interrogations, il faudra côté marocain lui montrer que réglementation de passage par le Sahara marocain ne veut pas dire une limitation de son droit. C’est tout simplement, un rappel du mécanisme de bons procédés, lui permettant de donner plus de chance au dialogue et concertation avec les représentants-décideurs marocains se trouvant à Rabat, pour aller objectivement dans le sens d’une solution politique négociée apaisée et viable. D’autant, que les mêmes dispositions de ce code doivent s’appliquer aux algériens pour le recensement des séquestrés-réfugiés des camps de Tindouf et ailleurs. Non seulement, dans le sens de l’élaboration d’une résolution onusienne et sa promulgation par le Conseil de Sécurité couvrant l’objet de son application, mais surtout dans le seul but de prise en compte des rôles que désormais détiennent dans la régionalisation avancée les vrais et authentiques habitants dans les 03 régions du Sahara marocain. Dont le monde en a vu l’organisation de leurs rapports fusionnels avec le souverain SM le Roi Mohamed VI, lors de sa visite à Laayoun pour la commémoration du quarantième anniversaire de la Massira (Marche Verte 1975-2015).

       A cet effet, la lettre déposée à la présidence algérienne chez le chef de cabinet Ouyahia par un groupe de 19 personnalités connues, a de quoi interpeller tout un chacun au Maghreb. Difficile de ne pas en voir un message qui rappelle aux algériens que le glas d’Abdelaziz Bouteflika a sonné. Car, n’est-ce bien là le fond de leur initiative ? S’ajoutant au refus public de Ammar Saadani et d’autres non moins ténors du parti FLN, de continuer dans la voie du soutien de la thèse des pro-polisariens sans rendre compte au peuple. Ainsi, autant on en voit dans la lame de fond que ce refus porte, une renaissance de l’esprit de la préférence Algérie d’abord, puis Algérie ensuite et Algérie toujours. Autant ça signifie aussi, que les maladresses de Ramtan Laamamra par son manque de clarté et d’honnêteté, révèlent les inepties confusionnelles dont ses semblables refuzniks se sont trouvés porteurs après le discours tonique du Roi du Maroc du 06 Novembre 2015 à Laayoun.

       D’ailleurs, même comme ça, n'est-ce pas la démarche des 19 pouvait s’avérer fructueuse pour l’ouverture des débats sur les changements constitutionnels en perspective? Sauf que beaucoup de doute persiste à ce sujet, n’en excluant le fait que c’est juste un toilettage de façade après tant de reports incompris. Et qu’aujourd’hui le pouvoir du moins ce qui en reste visible, en espère sa sortie du goulot politique véritablement trop rétrécis, pour donner plus de chance à Said Bouteflika de briguer la charge suprême. A cet égard, ne faut-il pour ces messieurs du gouvernement algérien, de ne chercher par des coups bas à instrumentaliser la révision constitutionnelle comme dernier legs du disparu du radar présidentiel pour ne pas du moins dire du mort-vivant président ? N’est-ce en partie le manque de vision futuriste au sein du sérail bouteflikien, qui a fait de l’Algérie ce creuset de dangers reflétant essentiellement son enlisement social économique et politique du temps présent ? Parce qu’à en voir les pétitions foisonnant ici là, dénonçant les essais d’asservissement des consciences algériennes pour qu’elles n’appellent au bannissement du Polisario de tous les territoires algériens. L’en considérant de fait, portant la perniciosité dans la conception du bon voisinage au sein du Grand Maghreb, surtout entre leur pays l’Algérie et le Maroc.


    C’est vrai, en cette fin de 2015 les algériens n’ont plus besoin de l’autorisation préalable de quiconque, pour dire ce qu’ils pensent de l’affaire du Sahara marocain. Ils ne sont pas dupes de se laisser-faire manipuler, tôt ou tard, ils mettront à genou cette bande à Said par l'usage de la démocratie réelle en la dissolvant pour de bon dans leur matrice. D'ailleurs, autant qu’aujourd'hui plus qu'hier ils considèrent le Maroc leur vrai deuxième patrie, autant les marocains en pensent réciproquement la même chose de l’Algérie. Au sens où, déjà, des manifestations de toutes les composantes de la société civile algérienne commencent à tirer à boulets rouges sur les gouvernants, les accusant de monter en épingle le soi-disant péril marocain rien que pour provoquer zizanie et se maintenir. Alors que, seul le fait de cesser leur transgression des patrimoines moraux des algériens, pourra faire sortir le pays des dysfonctionnements institutionnels, sans en rajouter une couche à l'encontre du voisin de l'Ouest. Pourtant, meme avec les animosités des faucons du pouvoir à Ksar Lamradia à son vis-à-vis, allant dans leurs diatribes jusqu’à le faire passer pour le seul ennemi, le Maroc sans faiblesse ni tremblement n’évoque que le thème d’apaisement et rapprochement entre les deux peuples frères. Dont les USA de la bouche d’Obama en personne, en a vu des opportunités de la main tendue par le Maroc que le pouvoir algérien n’est malheureusement pas arrivé à saisir. D’ailleurs, aujourd’hui, quelques grandes plumes de la presse algérienne ne s’autocensurent plus pour leur taper dessus à ces faucons de carton. Principalement au nom de la liberté de circulation à travers des frontières ouvertes, de la démocratie participative tant désirée et aussi au nom du respect des droits humains surtout dans les camps de Tindouf Rabouni et ailleurs dans le sud algérien. A bon suiveur bonne lecture !

dimanche 15 novembre 2015

N’EST-CE PAS QU’ELLE EST INTERPELLATIVE LA NUIT DU 13 NOVEMBRE 2015, CELLE DES RENCONTRES HASARDEUSES AVEC LA MORT A PARIS.

ATTENTION DE NE PAS COMPRENDRE LE CONSTAT DES ATTAQUES DAECHISTES A PARIS COMME MESSAGE AUSSI, A LA TUNISIE BLESSÉE MAIS DEBOUT, A L’ALGÉRIE LASSÉE VOIRE BLASÉE ET AU MAROC INTERLOQUÉ MAIS TOUJOURS DÉTERMINÉ !

       C’est quoi ce message envoyé pour la France par des terroristes kamikazes daechistes kalachnikovs en mains ? Ne s’agit-il spécialement d’une démonstration voulue et téléguidée quelque part, à l’intention de tout l’occident coalisé et pas seulement ? Notamment les pays ne pouvant s’affranchir de leur naïveté politique d'interventionnisme à tout vent chez les autres, croyant pouvoir être épargnés de se trouver un jour sous l’éteignoir où peut-être sous l’aspersion microbiologique voire de nuages neurotoxiques. En tout cas, sans vouloir faire désordre dans les consciences ni de l’angélisme vis-à-vis de Daech qui s’installe et s’étend au-delà des frontières des pays cibles, bonjour les dégâts. A cet égard, n’est-ce par ailleurs l’annonce chronologique que la France vient d’entrée dans le club des pays ayant souffert du terrorisme-kamikaze, dont certains en pâtissent encore tous les jours sans que le monde ne s’en émeuve davantage ? N’est-elle frappée aussi honteusement froidement par cette vague de l’irrationalité et du nihilisme, rien que pour ses prises de responsabilités en réponse aux appels-soutiens s’exerçant sur elle ? Au point que des analystes politiques et sociétaux les qualifient de fardeau lourd et inutile sur ses petites épaules, au vu de son état économique difficile et celui social délétère par les temps des lâchetés hypocrisies et indéterminations de beaucoup de pays de sa trompe.

       Hormis cela, ne peut-on dire qu’en général les français n’ont jamais été des lâches, preuve en est le déroulé du fil de leur histoire avec ses tumultes ses fastes ses préciosités ses intrigues ses rubriques de maltraitance des peuples et sa candeur politique incarnant l’universalité, dont le monde s’y est nourri gargarisé et rassasié. Et qu’aujourd’hui même en pleine aigreur tristesse et convulsion, ils continuent à rester debout cherchant à se fédérer sur l’essentiel au-delà de leurs différences sociales ethniques et confessionnelles. Cependant, comment pourraient-ils ne pas apporter leurs idées même petites qu’elles soient, au paysage de l’imbroglio politique mondialisé pour pouvoir rester dans les rangs du fait qu’on cherche à les éliminer de ce concert ? Néanmoins, à ce propos, est-ce que leurs politiques toutes tendances confondues, ne savent-ils pas encore qu’on veut faire hériter la France rien que des manifestations nécrologiques dont elle a l’art d’émouvoir la planète ? D’autant qu’au niveau de la trame de ses intellos se croyant vierges de tout soupçon du fait des couacs polémistes, ne doivent-ils redoubler de vigilance dans leurs logorrhées manichéennes pour ne plus paraître politiquement le dindon de la farce. Notamment aux yeux des vrais manipulateurs et logisticiens de l’importation et implantation de ce mal terrible, voulant comme ça par rancune et rancœur porter le coup de grâce à la civilisation occidentale en provoquant une guerre civile ?        

       Et oui, le Maroc a raison d’insister, que les Etats qui se risquent aux transferts de renseignements biaisés sur la lutte anti terroriste au nom du principe de la souveraineté deux poids deux mesures, doivent être mis à l’index de la communauté internationale. Qu’au demeurant cette clarification ne doit aucunement les affranchir des difficultés d’exécutions, surtout quand ils visent à éloigner les soupçons sur les identités de personnes ou d’entités essentiellement marquées d’accointance avec les milieux terroristes. Encore faut-il si un jour, par hasard, cette décision sur les partages des renseignements est prise avec la mention OK de l’ONU, qu’elle le soit par tous les pays. Et ce, loin des mécanismes de sous-traitance seulement pour FBI et FEI (Frontex Europol Interpol) qui ont montré inefficacité pour le moins non limitée temporellement voire déconcertante objectivement. C’est désormais à leur libération de ce look d’esprit de ces machines certes sophistiquées de par leur activation-désactivation des cellules dormantes sur le terrain, qu’il faut aider pour la meilleure coopération sécuritaire entre l’Occident le Machrek passant par le Maghreb l’Afrique l’Asie Océanie et l’Amérique Latine. Aussi, autant le dire avec véhémence et sans détour, pour le Maroc dans le futur, l’emploi du conditionnel dans le traitement des renseignements basculés ici là, ne doit en rien excuser aucune indulgence même sincère et encore moins les défaillances dans les lectures et les évaluations des recoupements même venant de ces appareils d’épiage. Déjà qu’on peut le dire, cette charge terroriste-kamikaze survenue en France est prise au grand sérieux par les services compétents marocains, la mettant sous analyse pour prendre d'autres mesures adéquates d'anticipation de par leur expérience dans les chemins tortueux de lutte anti terroriste depuis le clash du 16 Mai 2003 à Casablanca à ce jour.

       C’est vrai, il n’était pas encore 22h quand les explosions ont eu lieu à l’extérieur du Stade de France à Paris le soir du 13 Novembre 2015, s’ajoutant à des fusillades violentes aux endroits les plus vivants du onzième arrondissement sûrement choisis avec minutie. Ayant fait des dizaines de morts dont un dixième d’étrangers s’additionnant aux centaines de blessés et ce, malgré qu’il y ait eu l’agitation par les services de renseignement du drapeau d’alerte. Mais la question qui taraude, c’est pourquoi on en est arrivé à ce point de violence internationalisée portée par des terroristes-kamikazes brandissant armes et scandant vengeance ? Néanmoins, faut-il se taire sans réagir devant l'effroi que la France vient de vivre, même si en effet, le code des indélicatesses des amalgames multiples et les aspects xénophobes qui lui sont liés provoquent et poussent à des promulgations de décrets en catastrophe. Une chose est sûre que dans les heures qui ont suivi ces six attaques suicides inédites, les autorités ont décidé des mesures sans précédent sur tout le territoire français. Mettant en plus une digue informationnelle judicieusement professionnelle, primo pour éviter le fourre-tout et secundo pour n’être induit dans l’erreur de contaminer la société plurielle française par le doute et la manipulation saugrenue. C’est ainsi qu’aussitôt, l’état d’urgence fut proclamé par suite à un conseil des ministres exceptionnel présidé par le chef de l’Etat François Hollande. A signaler, par ailleurs, qu’une solidarité planétaire s’est montrée presque simultanément, avec des mots très forts et instructifs sur les futurs positionnements à propos des nouvelles missions des services sécuritaires du renseignement de tous les pays. Voilà, pourquoi entre-temps des messages émanant du G8 à Antalya du 15 Novembre 2015 en Turquie portant sur la réflexion de collaboration à d’autres niveaux, sont envoyés à qui veut l’entendre. Notamment, sur l’état de guerre déjà dans les tuyaux du branle-bas de combat faisant l’unanimité contre l’EI (Etat Islamique) Daech et ses manutentionnaires logisticiens partout ou ils se nichent. A bon suiveur bon décryptage !

lundi 9 novembre 2015

DE QUELLE BOMBE LE POUVOIR ALGÉRIEN A-T-IL PEUR ?

Ajouter une légende
LES PRÉDATEURS A KSAR LAMRADIA DANS LEUR BAROUD D’HONNEUR SAVENT DÉSORMAIS QUE C’EST FINI, ILS NE POURRONT PLUS DÉSAMORCER QUOI QUE CE SOIT ?

       L’Algérie fut considérée au début de l’indépendance, comme un sous-produit de l’extraction de la guerre froide qui s’est isolé à sang et à feu de la France. Sauf qu’avec le temps après 55 ans, elle est devenue un pays prospecteur de mirages et chimères avec un zèle qui rappelle une histoire pas lointaine…Une sorte de ruée vers l’inconnu ! Voire même producteur de malheur pour son peuple malgré ses richesses et potentialités, alors que de par le monde une transformation profonde s’est produite sous l’influence de nouvelles idées à propos de la conduction des affaires de l’Etat. Notamment, concernant la recherche des motivations destinées à attirer l’attention des peuples sur les besoins d’instauration de la démocratie participative dans la dignité l’équité et la sécurité. Chose que le pouvoir algérien actuel n’est jamais arrivé à le faire, parce qu’il est tout le temps dans la fabrication des tromperies outrancières, évidemment téléguidées par le clan du bienheureux frère du président absent.

       D’ailleurs, si aujourd’hui on regarde le décollage que connait le Maroc dans sa vision-perspective multidimensionnelle réaliste, on aurait tort de ne pas s’inquiéter du devenir de l’Algérie. Et d’où, malheureusement grondent déjà des menaces d’explosion, que certains ex-proches du pouvoir confirment même n’étant plus dans la même optique des tenants et aboutissants du temps présent. Parce que lorsqu’on pense à leur positionnement dans toutes ses formes, un questionnement taraude pourquoi c’est maintenant, alors qu’ils avaient cautionné la reconduction d’un vieillard malade à un quatrième round. Ce qui montre qu’ils n’ont su se munir de réflexion politique clairvoyante, pour comprendre à temps l’expression d’alors de ne pas s’entêter en s’éloignant de l’observation réaliste de beaucoup d’algériens.

       A ce propos, l’Algérie n’est-elle aujourd’hui un conglomérat-bombe à fractionnement, dont les détonateurs intrinsèques socio-économiques et militaro-politiques et extrinsèques d’ordre diplomatique et in-sécuritaires terroristes, sont hors de sa portée ? Déjà, tous les observateurs  considèrent qu’elle est en phase de préchauffage susceptible d’être converti à tout moment, soit en putsch militaire ou en soulèvement à lourdes conséquences pour toute la région. Par conséquent, le climat de peur et le spectre de désordre qui sévissent aujourd’hui en Algérie posent une série de questions et thèmes politiques sur l’utilité et opportunité de, faudrait-il de facto sauver ce pouvoir ? Parce qu’à s’en référer aux distillations informatives de quelques lanceurs d’alertes, tellement il y a danger imminent de déflagration sociétale que ni Poutine ni Obama et encore moins Hollande ne désirent s’engluer dans les sables mouvants algériens. Déjà que la Lybie ressemble à un réacteur en sur-chauffage conséquence d’un interventionnisme sans lendemain, la Tunisie à une tour d’observation sans moyens même avec un Nobel à la clé, la Mauritanie à un champ de projection d’expériences malgré elle et que seul le Maroc présente une harmonie dans le sens visant la sagesse d’influence et du maintien de son idéal pour le développement socio-économique culturel écologique et cultuel-sécuritaire.    

       Pourtant, faut-il le rappeler, dans le cas de l’Algérie ce n’est qu’une version expurgée de l’état d’esprit des algériens, qui est projetée pour démontrer au monde l’immoralité du comportement de leurs dirigeants ayant aboutit à cette situation tendant vers le chaos. N’est-ce ceci s’explique, parce qu’il n’y a plus d’Etat pour faire face aux déprédateurs à Ksar Lamradia ? A cet égard, le président invisible ne commence-t-il à incarner le rôle du héros ingénu qui découvre le moyen de disparaitre sans laisser de traces aux yeux de ses concitoyens. En ce sens, n’est ce dans ce genre de situation que l’ethno culturalisme légitime rencontre plus de facilités, pour éventuellement se reconvertir en détonateurs des bombes parsemées ici et là ? Comprenant dans le cas de l’Algérie, non seulement la Kabylie le Mzab le Hoggar et Kanadssa qui demandent ouvertement leur autonomie, mais aussi le Chaouia et d’autres territoires nécessitant des investissements matériels appropriés pour faire face à la déplétion de l’offre des débouchés et travail par suite de souffrance des rentrées en devises pour l’Etat. N’en parlons pas des maladresses des gens du premier cercle du pouvoir vis-à-vis du Maroc, où là encore leurs contes pro-polisariens implacablement cruels n’augurent que d’un spectre aux couleurs du sang. Parce que si l’on s’en réfère aux derniers dires de Ramtan Laamamra, l’affrontement armé avec le Maroc n’est que question de temps. Ne sachant que la seule idée sans vouloir faire désordre, qu’une vielle cohorte de voleurs ‘’Chirdima’’ dont il fait partie, puisse penser pouvoir infliger une correction aux FAR est une absurdité affabulatrice. Ce qui donne une idée sur la confiance  qu'ont les marocains en eux, ne supportant plus continuer de se faire malmener sans réagir avec fermeté et vigueur. Et encore moins d’être manipulés par Christopher Ross voulant en rajouter une couche par sa proposition-gamme tendance fédéralisme rejeté immédiatement, du fait qu'il voulait mettre le Maroc dos au mur pour avoir le temps de soigner les blessures diplomatiques des férus polisariens. Lesquels, semblent encore candidement dans les effets d'annonce de reprises d'hostilités armées, omettant qu'ils risquent de plonger dans un enfer inédit au cœur même de leur campement par l'usage du coté marocain du droit de poursuite.


       En résumé, il est intéressant néanmoins de noter qu’un président intelligent et actif, possédant tous ses moyens ne peut se laisser emporter vers un tel pourrissement. A moins qu’il soit lui aussi en séquestration, certes dorée, mais sans aucune vue sur le pays et son environnement, rappelant le cas d’autres chefs d’états connus du passé. Au fond, n’est-ce là où le Roi du Maroc de l’avis de tous les observateurs, s’avère un géo stratège de grande envergure, posant les vraies questions tout en les accompagnants d’une véritable pépinière d’idées réalistes facilement exécutables. Dont aujourd’hui les paramètres d’appréciation faisant foi, tel le timing de sa visite à Laayoun en arrivant symboliquement directement de New Delhi, puis la tonalité du discours montrant les clés du développement dans la paix la stabilité et la sécurité et enfin la charge référentielle du lancement de la régionalisation avancée comme point culminant de l’effectivité de la constitution du 01 Juillet 2011. Ce qui révèle en lui également, son génie d’une grande profondeur d’analyse perfectionnée de mise en exergue du respect des droits de l’homme, carrément impossiblement surpassable par les ennemis qu’ils soient temporels et/où atemporels. A bon suiveur bonne lecture ! 

vendredi 6 novembre 2015

LE MIRACLE MAROCAIN A L’HEURE DE VÉRITÉ FACE A L’ ALGÉRIE IRRESPONSABLE JALOUSE EN PLEINE DÉBÂCLE…

N’EST-CE LA OU LE ROI DU MAROC DANS SON DISCOURS-SCRIPT DU 06 NOVEMBRE 2015, A MONTRÉ  L’ARME-ÂME SOCIO-ÉCONOMIQUE ET POLITIQUE MAROCAINE RÉSOLUMENT AMBITIEUSE DONT IL VA FALLOIR COÛTE-QUE-COÛTE CONTINUER A LA RALLUMER !

       Au début des années 70 avant 1975, l’ensemble du Maroc n’était pratiquement qu’un champ d’influences idéologiques, tellement que certains croyaient qu’il ne se relèverait jamais. D’abord parce qu’il y avait la guerre froide avec ses compromissions et intrigues de part et d’autre, dont le Maroc s’en est bien sorti par rapport aux voisins. Puis, bien que fidèles au libéralisme les gouvernements de l’époque s’étaient pliés aux règles de la planification visant normalement à améliorer le vécu des citoyens. Au point que, plongé dans le doute, le Roi Hassan II devait connaitre une période très pénible surtout après les putschs militaro-socialisants. Mais voilà que le miracle du coup de génie de Feu Hassan II de la Massira se produisit, ayant donné les résultats escomptés pour le recouvrement du Maroc de son Sahara, en plus le mettant sur un nouveau départ vers un développement accéléré de ses provinces du Sud par des sacrifices qui honorent tout un peuple.

       En revanche, n’est-ce pas l’autre miracle marocain d’aujourd’hui se reflétant par la visite grandiose du Roi, car menu d'atouts socio-économiques culturels et cultuels d'ouvertures de chantiers d'envergure pour l’avenir des 03 régions du Sahara, qui met l’Algérie jalouse en pleine transe-débâcle politico-diplomatique ? Et dont le discours royal de Laayoun en a montré les relents extrêmes de bifurcation des destins Maroc-Algérie normalement devant être partagés sans complexe ni souffrance. Et auxquels s’y sont greffés, malheureusement, des calculateurs voguant à bord d'essais d'esquifs et manipulations pour s'approprier les détournements de fonds des subventions et aides à destination des égarés dans les camps de Tindouf. Donnant une image désolante voire désappointante des séquestrés frôlant le cas de servitude et mendicité résultat d’une répression sans merci, particulièrement envers ceux qui ne veulent continuer à cautionner politiquement ce désastre inhumain dont la communauté internationale en est aussi quelque part responsable.

       Et oui, l’histoire dans ses répétitions à travers les générations, a toujours besoin de personnalités ayant le charisme des grands leaders pour pousser à l’accompagnement des relèvements des défis. Ceci étant, ne peut-on dire que le Maroc aujourd’hui quarante ans après la Massira, est entré dans cette ère, se matérialisant par la rupture avec l'ancien modèle d'approche pour le développement? A ce propos, ne veut-il faire de son Sahara le comptoir maritime ferroviaire et aérien de l’offre des échanges sectoriels de partenariats gagnants-gagnants avec l’Afrique et pourquoi pas avec l’Amérique du Sud? D’ailleurs n’est-il déjà en voie de devenir ce pivot Sud-Sud, grâce au charisme visionnaire et percutant de SM le Roi Mohamed VI au Sommet Inde-Afrique du 29 Octobre 2015 à New Delhi. Dont la côte sur l’échelle onusienne notamment auprès des délégations Afrique-Asie-Amérique Latine, se révèle d’une puissance rappelant l’époque de l’essai de l’émanation de la Tricontinentale. Cet héritage immatériel même  politiquement avorté appartient par devoir de mémoire à tous les marocains, auquel SM Le Roi en a fait allusion dans sa lettre envoyée des terres du Mahatma Gandhi et Nehru. Et, qui fut lue par Youssefi dans un lieu symbolique qu’est la bibliothèque nationale à Rabat lors de la commémoration de la disparition de Benbarka il y a 50 ans à Paris.

        Néanmoins, n’est-ce là où il faut voir que le discours royal de Laayoun du 06 Novembre 2015 inscrit le Maroc dans l’histoire des pays enjoués par le désir de coupure avec la rente et aussi secouement du mammouth administratif pour l’effectivité de la déconcentration tenant compte de l’approche participative des citoyens. En effet, il ne s’agit pas seulement d’un discours tendance remarquable dans sa cohérence sur l’émergence de la spécificité marocaine, mais d’une feuille de route établie sur les repères en plusieurs points des priorités avec méthode et discernement. Une sorte de script du réel résolument ambitieux de recherche de la consécration de la singularité du Maroc, faisant du règne du Roi Mohamed VI une rencontre d’un destin avec son heure de vérité. Qu’en effet, elle donne aujourd'hui un aperçu sur la mécanique du traitement des affaires de l’Etat dans le futur proche, par des actes et pactes forts au bon gré malgré du déroulé du fil d’actualités. Evidemment dont la régionalisation avancée dans tous ses volets, en aura la bonne part en prenant en considération les particularités de la radioscopie du bilan des 40 ans avec ses hauts et ses bas.

       Pour grand nombre d’observateurs dans ce magma d’informations, est-ce que la jeunesse des camps de Tindouf et ailleurs, qui continue à pratiquer le Chouf désemparé en tenant les murs , ne semble-elle passer aux yeux des décideurs honteusement devenus richissimes, une entité négligeable la laissant comme proie facile au daechisme ou autres mouvements terroristes qui pilulent dans la région ? Autant dire que les dirigeants algériens ne seraient toujours rien aux yeux des marocains, s’ils ne combattent pas leur propre mensonge et faire leur autocritique à propos de la catastrophe des camps qu'ils entretiennent avec leurs manutentionnaires devenus presque des crésus. D'ailleurs, qu’ils ne le veuillent ou pas, le gouvernement Kabyle en exil prospectivement parlant, est loin d’être conjoncturel et circonstanciel face à la chronologie des défis s’y greffant chemin faisant devant eux. Tellement qu’aujourd'hui ils ne peuvent éviter de s’y laisser emporter par la clarté des réflexions idées et thématiques marocaines à ce propos. Et donc, de se rattraper vis-à-vis de la Kabylie du Mzab du Hoggar et autres territoires, en s'appliquant au réalisme et non l'aventurisme, pouvant les sortir de l’impasse dont ils s’y sont fourgués. D’ailleurs, à cet égard, que faire d’abord face à l’incurie des gens du premier cercle de Abdelaziz et sa femme épris de tout ce qui a attrait à l’Offshore et aux détournements pour raison facile à deviner ? Puis face à l’inconscience des groupuscules à l’Etranger d’influence-tartuferie et surtout des ONG idéologisées à outrance dans leur propre raisonnement politique anti Maroc. Au sens qu’il est maintenant temps de dépasser les maux parlants de quelques diplomates marocains officiels ayant longtemps auparavant plombé la marche forcée du Maroc, par inadvertance pour ne dire nonchalance ou carrément incompétence. En ce sens, c’est d'une diplomatie méthodique offensive sans complaisance ni compromission et sans merci comme ce que ont font en ce temps nos diplomates à l'ONU, que tous les marocains devront désormais faire subir à ces ONG dans les couloirs des forums salons et instances internationales.   

      En résumé, au-delà du retard de l’assimilation de la donne mondialisée des nationalismes, par certains pays faisant partie du giron des rancuniers du Sud, il se pose aujourd’hui celui du fossé sans cesse grandissant entre le Maroc leader stable ouvert à la démocratie et l’Algérie à la traîne où une atmosphère d’instabilité politique se développe. Certes, pour être plus clair, plusieurs facteurs y ont contribué depuis l’avènement de SM le Roi Mohamed VI à cette situation. Dont, notamment, son action soutenue et vigoureuse se manifestant par des pactes de facilitation et actes d'exécution dans les temps impartis du calendrier des défis socio-économiques financiers culturels écologiques et cultuels-sécuritaires à relever. N'est cela qui a fait aboutir le Maroc à un développement prodigieux, avec discernement intelligent dans l’interventionnisme de l’Etat? Et ce, de tous les gouvernements successifs depuis l’alternance sous Youssefi, sur les privatisations les prix (Maqassa) l’accession à la propriété la limitation de la consommation gestionnaire du fonctionnement de l’Etat et l’intensification des investissements publics et privés dans l’industrie les transports et autres secteurs visant à améliorer les infrastructures pouvant drainer la croissance. Dont on veut aujourd'hui après le discours de l'heure de vérité, que cet interventionnisme de l'Etat soit aussi discret que possible mais efficient, utilisé principalement dans l'esprit de la réussite de la régionalisation avancée ? Contrairement à l’Algérie tournée vers la jungle de la rente et l’élevage des particularismes des privilèges n’offrant que des activités de non rayonnement dans tous les domaines sociopolitiques s’ajoutant aux déplétions financières du temps présent. Ce qui la met aujourd’hui en état de rage disproportionnée et colère bleue envers son voisin de l’Ouest en l’occurrence le Maroc, au vu des difficultés économiques et les dis-sentions politiques qu’elle est entrain de vivre presque en continu. A bon suiveur bonne lecteur !

mercredi 4 novembre 2015

N’EST-CE PAS QUE LA VILLE DE LAAYOUN AU SAHARA MAROCAIN, EST AU MAROC CE QUE LE SYMBOLE DE L’ORIGINE DE L’HOMME EST A L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ ?

LA VISITE DU ROI A LAAYOUN, N’EST-ELLE UN APPEL DE RÉDEMPTION DES ÉGARÉS VERS LE DÉVELOPPEMENT TOUT AZIMUT DANS LA STABILITÉ LA SÉCURITÉ ET LA PAIX ?

       On ne débarque pas à Laayoun. On y arrive en se préparant à la charge émotionnelle, que l’on vienne de la bande côtière, du Sud, du Nord et de l’Est. D’ailleurs, c’est plus une réalité symbolique de ce qu’elle représente aux yeux des marocains, qui n’ont jamais cessé de se battre pour le Sahara marocain tout entier depuis la conférence d’Algesiras (Avril 1906). Et/où par suite, excepté Tanger qui acquît un statut international en 1923, il y eut établi au Maroc un protectorat français flanqué de zones d’influence espagnole au Nord dans le Rif et au Sud de Sidi-Ifni Tarfaya jusqu’à Lagouira et même au-delà ! Ne s’agit-il d’un contraste historique qu’il va falloir faire comprendre à l’international ? Notamment en plage communicative diplomatique parallèle, que le Maroc n’occupe personne et qu’il ne tient que son authentique et vraie place qui lui revient de droit. En insistant aussi, que si les marocains optent aujourd’hui pour la régionalisation avancée, c’est qu’ils entendent la faire aboutir à celle élargie pour tenir parole, et/où l’autogestion en serait une solution politique viable au sein d’un Maroc unique et unitaire de surcroît auréolé de sa Royauté constitutionnelle sociale et parlementaire par suite au référendum du 01 Juillet 2011.

       En cela, pour mémoire, il ne faudrait jamais oublier le rôle de la résistance et l’opposition nationale aussi bien dans les villes que dans les montagnes, qui n’ont jamais fait impasse ou omis de rappeler à qui voulait l’entendre leur désir de recouvrer tous les territoires spoliés du Nord jusqu’aux confins du Sud du Sahara. Qu’en effet après la deuxième guerre mondiale elles ont pris du poids, parce qu’encouragées des USA et des mouvements de libération à travers le monde, voire aussi influencées par la Ligue Arabe et cautionnées par le Sultan Mohamed V (discours de Tanger 1947). Suite à quoi les choses se sont accélérées après la tentative déportation-exil du Sultan et sa famille, jusqu’à l’indépendance 1956 le 03 Mars vis-à-vis de la France et le 07 Avril de l’Espagne pour seulement le Rif encore sans les présides Sebta Melilia et autres iles et rochers. Puis c’était Al Jihad Al Akbar sous Mohamed V garantissant le fonctionnement de la monarchie parlementaire pour maintenir l’équilibre des options et choix sociétaux en dépit des antagonismes frappants entre traditionalistes et forces nouvelles jusqu’à sa mort en 1961. Ensuite ce fut le règne Hassan II le bâtisseur du Maroc moderne jusqu’à sa mort en Juillet 1999, succédant à son père en maintenant et renforçant la monarchie constitutionnelle et parlementaire dans une marche ininterrompue vers le développement et l’unité territoriale. Dont son coup de génie de la Massira (06 Novembre 1975) en a ébloui plus d’un dans le monde en recouvrant paisiblement les territoires du Sahara alors occupés par l’Espagne. D'ailleurs n'a-t-elle auparavant rusé en commençant à intercéder pour Sidi Ifni Tarfaya et régions dans le but de faire taire le Maroc et donc continuer son stratagème sous le caudillo Franco?

       Au fond, aujourd’hui, 16 ans après l’intronisation du Roi Mohamed VI, à l’aune de la deuxième révolution du Roi et du peuple après celle de 1953 en l’occurrence la régionalisation avancée déjà en marche, le Maroc conscient de la portée historique du quarantième anniversaire de la Massira, veut lui créer le cadre référentiel par un tracé définitif institutionnel multi-potentiel avec la participation de l’assise populaire locale.  C’est dans ce sens qu’il y aura l’accélération de la cadence des constructions et réalisations de projets structurants en ( gare routière, ports, universités et annexes du savoir, CHU et centre de traitement contre les cancers, stations d’épuration et traitement des eaux et déchets, barrages et autres grands édifices socio-culturels et institutionnels dignes de l’époque…). Ce faisant, dans le cas de Laayoun à titre d’exemple, aux longues pistes où souffle l’Esprit du Sahara pour la rejoindre, ne se sont-ils additionnées d’autres tracés devenus des routes passant à travers les dunes et les collines de Saquia AL Hamra presque pieusement conservées ? A cet égard, n’est-ce pas dès le lendemain de la Massira (Marche verte 1975) les marocains ont lancé un plan d’urbanisme à coups de milliards et entamaient un programme de construction de rocades et infrastructures greffées diversifiées en mégaprojets, qui font en ce moment la fierté des habitants de Laayoun ? N’a-t-on pas fait des vielles enceintes de cette ville, une grande cité moderne qui possède dans sa diversité ceinturée de places plus ou moins verdoyantes, une remarquable unité citadine de portée civilisationelle ? Par conséquent, et ce n’est que le début, ceux qui étaient dans le déni des réalités rêvant du concept tout ou rien, ne montrent-ils déjà pour ne pas dire précipitamment leur revirement de cuti vers la proposition marocaine ? Car ils ont compris qu’il est temps de prendre le train du décollage vers le développement, avec plus d’équité de dignité et de solidarité dans le Maroc d’aujourd’hui et demain.

       La Massira a donc 40 ans. Une multitude de manifestations à travers le Royaume et dans le monde par les RME, lui sont consacrées. Ne s’agit-il d’ailleurs de l’un des plus grands événements de l’histoire contemporaine marocaine et aussi des plus socio politiquement scrutés après les mouvements d’indépendance du Maghreb ? Cela, ne doit-il encourager les universitaires-chercheurs en sciences sociales et aussi les conservateurs-bibliothécaires nationaux et étrangers, à amasser le fruit de ces 40 ans de recoupement et d’études comparées sur le rapport des analyses politiques du temps présent. En sortant des fondements englués de théâtralité que certains caciques algériens, peu nombreux heureusement, continuent à vouloir faire avaliser à la conscience internationale à propos du Sahara marocain. Sauf que là, on est rentré dans l'ère de l'arroseur arrosé, par le rappel du Maroc à la communauté internationale à travers les instances onusiennes compétentes de la souffrance et l'humiliation que subissent les Kabyles, à l'heure ou le soleil commence à ne plus couvrir l'Algérie du fait du comportement indigne de ses dirigeants.


       Finalement que Dakhla Laayoun et Guelmim en tant que chef-lieu des 03 régions du Sahara marocain soient tranquilles, car tout est bien qui fini bien ! La visite royale commémorative du quarantième anniversaire de la Massira (1975-2015) à Laayoun, apportera plus de valeur ajoutée à l’attente des habitants dans leur diversité. Elle s’appuiera sur le mouvement puissant de l’amour que portent ses habitants au Roi Mohamed VI et ce par la preuve au monde, au premier plan les intellectuels la société civile et les partis politiques.  Comme ça l’offre d’autogestion en gestation pourra prendre son essor dans un cadre typiquement marocain, en créant la puissance socio-économique culturelle et cultuelle-sécuritaire dont le CNDH CESE HCP et Cour des Comptes n’en ont jamais cessé d’en dessiner les contours. N’est-ce ce qu’on appelle la touche made in Morroco ? A bon entendeur salut !  

lundi 2 novembre 2015

CHICHE AU POUVOIR ALGÉRIEN CHICANIER, D’OSER CONTINUER A CHERCHER QUERELLE DIPLOMATIQUE A PROPOS DU SAHARA MAROCAIN !

N’EST-CE A CE PROPOS, QUE LE BRUIT DES CHENILLES DE L’OFFRE MAROCAINE D’AUTOGESTION DES TROIS RÉGIONS DU SAHARA COMMENCE A S’ENTENDRE DE PLUS EN PLUS PRESSANT ?

       Bientôt les bienfaits de la nouvelle donne royale sur les circuits relationnels Sud-Sud, vont faire changer les positionnements de beaucoup de pays du Sud. Notamment ceux aux trajectoires variées selon des voies algéro-dépendantes, et dont leurs peuples montrent qu’ils n’en ont nullement besoin…A ce titre, à en croire les questionnements qui en découlent, n’est-ce pas que le rythme de pénétration du Maroc au plan d’approche Sud-Sud fait peur au pouvoir algérien et ses acolytes ? Parce que, lors de l’intervention royale au Sommet Inde-Afrique du 29 Octobre 2015 à New Delhi, ce rythme a atteint un deal de bouclage coopératif sans précédent pour mieux faire entre le Maroc et l’Inde. Dont évidemment l’objectif est de sensibiliser les décideurs politiques et économiques africains, à l’assimilation des nouveaux défis dans ce monde globalisé.

       Néanmoins, est-ce que ces interrogations relatées et échangés dans des câbles intimistes diplomatiques, ne pourraient-elles créer un nouveau marché de la reconnaissance de l’entité Kabyle (8 millions d'individus), seule composante existante plus de 8000 ans ? Au point que l’on peut dire, l’affaire du Sahara marocain n’est-elle devenue un caillou dans la chaussure du pouvoir algérien récoltant la tempête de ce qu’il a semé ? En quelque sorte, tel est pris qui croyait prendre! D’autant qu’en plus l’Algérie ne pratique pas les droits ni de l’homme ni des minorités, au contraire elle les combat. D’où, est survenue la querelle diplomatique sur la Kabylie par suite des échanges rigoureux entre le Maroc répercutant une réalité historique et l’Algérie mensongère restant dans le déni de l'histoire par ses colportassions, à l’occasion des festivités officielles des soixante dixième anniversaires de l’ONU. Ainsi, comme c'est parti, tôt ou tard il va falloir s'attendre à ce que le Polisario allaité par l'Algérie, fasse volte-face en voulant devenir lui aussi l'un des piliers de l'offre marocaine. La laissant de facto dans ses regrets de l'avoir recueilli au détriment des Mzabes Kabyles et Tamachks.

        Ce faisant, stratégiquement, après l’avalanche des derniers discours royaux de vision réaliste de l’avenir de l’Afrique par suite de radioscopie des potentialités des pays africains, c’est avec humilité et détermination que le Maroc montre qu’il fait face aux soucis de matérialisation de la régionalisation avancée. Et d’où se dégage sa capacité de maîtrise et expertise de concrétisation de ce grand défi, relevant de l’évaluation des besoins dans tous les domaines malgré ce que colportent les ennemis comme contrevérités à son vis-à-vis. Qu’au demeurant ne s’inscrivant, malheureusement, que dans le déni la jalousie et la rancune, car sachant pertinemment que le point fort de l’offre marocaine d’autogestion des trois régions du Sahara, c’est évidemment le confort d’exécution de ce modèle dans la régionalisation avancée pour ensuite passer à celle élargie déjà en mode START. Une sorte d’exploitation du champ d’activation des sensations de recherche de dignité d’équité et d’égalité sur des bases objectives, au demeurant conformes aux potentialités socio-économiques et culturelles, loin des maquillages et/où autres artifices ne captant l’intérêt des populations locales.

       En effet, quarante ans après la ‘’Massira’’, n’est-ce pas les marocains sont aujourd'hui témoins du renouvellement volontariste par transfert-pivot institutionnel, avec plus de pouvoir aux régions pour le progrès et le développement ? Ce à quoi, même avec tout cela, il ne faut pas se faire d’illusion face à la rhétorique politique algérienne actuelle, ne voulant aucunement accélérer le recensement des séquestrés dans les camps de Tindouf Rabouni et autres. Et ce, en appel de la communauté internationale comme scénario viable permettant à comment imaginer leur retour à la mère patrie sans contraintes ni coercitions. C’est d’ailleurs dans cet esprit avec sourire quarante piges, que désormais les marocains authentiques expriment leur joie en cette occasion de célébration du 06 Novembre (1975-2015). Non seulement par suite à l’émotion des battements de leurs cœurs en remémorant les images-souvenirs de cette date, mais aussi par la fierté et la passion que suscitent les discours royaux offensifs du temps présent, de Tanger à Lagouira au gré du fil d’actualités. D’autant plus qu’en Algérie, il est maintenant établi que des voix sensées et raisonnables commencent à s’élever pour briser la dictature du pouvoir algérien mensonger dictant ses tabous au peuple désemparé. Et, dont il lui sera possible prochainement de plonger dans le bouillon d’idées sur le projet de constitution en perspective, en étant moins frustré dans ses choix pour braver les non-dits sur l’avenir au cœur du grand Maghreb. N’est-ce là, l’un des moments qu’attendent les algériens pour créer le meilleur tracé constitutionnel, entre leurs vraies aspirations et les illustrations dirigistes que brassent déjà les moulins à vent du pouvoir actuel ? Aussi, n’est-ce pas que l’un des atouts exclusifs de l’entente pour la promotion du dialogue en tenant compte des objectifs parlants à court et moyen terme, c’est de s’adapter à son environnement par le réalisme de l’analyse des choix démocratiques ? Dès lors que le manque de perspective qui fait monter les affrontements diplomatiques embarrassants, ne peut aider à réfléchir à comment redessiner la finesse de l’engagement correct vis-à-vis des voisins.

       Finalement, tout compte fait en étant encore plus clair, l’Algérie pour sortir de ses psychodrames avérés, elle doit s’interdire les relations sans valeurs ajoutées et sans amélioration de la sensation de faire partie du grand Maghreb stable rayonnant et hautement sécurisé. Pour cela, elle n’a de choix que d’imiter le Maroc dans ses défiances, ses annonces, ses constats et ses actions ne remettant aucunement sa capacité réceptive de ses possessions fonctionnelles pour le bien de son peuple. A cet effet, ce n’est pas difficile pour elle de se rendre à l’évidence de pouvoir aligner son activation diplomatique, rien qu’à travers la défense avec ferveur de la compréhension des clés des nouvelles données stratégiques dans la région. Parce que les effets des croisements des destins Maroc-Algérie dont certains écervelés n’en parlent jamais sans se tromper de cible, peuvent aider à saisir les opportunités du fil du déroulement des événements. En allant directement à l’essentiel sans perte de temps, même si, il faut le dire, dans l’affaire du Sahara marocain on est toujours loin du gong final d’une solution acceptée par le pouvoir algérien du moment. A bon entendeur salut !